Sen-YattanoeL, prince d'Astrée - YattanoeL.com

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Le groupe se voulait en tournée mondiale à l’occasion de la
sortie de leur nouvel opus qui renouait avec leur légende et
avait pour ambition de baliser la route du rock une fois de
plus. Les Plastic Flag incarnaient en quelque sorte une
génération et plus encore, une idée de l’Amérique, tout à la
fois d’essence libertaire, trash et, effet étrange, aux
penchants volontiers néo romantique, post grunge, ou
encore volcanique metal, politiquement impliquée dans un
mouvement mondial alternatif et écologiste gagné par un
mercantilisme commercial récupérateur de tendances et
initié par leurs parents punks ou post punks, les parents de
Sarah Howard en somme. Pour peu que leurs fut acquise
une attention sincère, leurs déplacements agrémenter de
déclarations crachées l’haleine au fluor de façon tonitruante
à la presse, en dehors de leurs résidences de Bel Air où tous
les éléments avaient fini par s’installer, représentaient des
mouvements de foules dignes de véritables évènementiels
nationaux, polices ou services de sécurité sur les dents.
Régulièrement à la une des magazines de genre, poursuivis
comme le seraient toutefois avec moins d’une familière
aciduité quelques membres du Gotha par une nuée de
paparazzis professionnels ou amateurs, de groupies
adolescentes avec des penchants de call girls ou de dealers
de drogues semi mauvais garçons, épiant tous leurs faits et
gestes, une série de concerts suggérait un certain degré
d’organisation dont il convenait de préservé la distribution
des rôles et des tâches. Eiwob Patterson avait cependant
connu des démêlés avec la justice américaine pour usages