nu DIMANCHE-ILLUSTRÉ ninmiiwiiiuimiïwiinuniuiuui iiiiiiiinmiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii i 2 iiiiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii»i»iiiiiiiii»>i"'
Miiiinii <strong>LE</strong> 14 AVRIL 1929 iiiiiiiiiMiiiMiiiiiiiiiMiiiiiiiiiiiiiiiiitiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiimiiiiiiiiiiiu s iiiiiiiuiiiuiiiiiiiiiiiiiiiuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiuiiiiiiiiiiiiiiiiuiiiuiiuiiiiii SEPTIÈME ANNÉE : N° 320 ■>■>«) MANCHE-lLLUSTR ENTRE NOUS <strong>LE</strong> crime affreux de deux enfants — l'un n'a pas quinze ans, l'autre en a seize à peine — pose plus impérieusement que jamais le problème de l'éducation morale, problème dont l'enseignement moderne ne se soucie peut-être pas assez. t C'est un fait que, de nos jours, l'école s'occupe beaucoup moins d'éduquer l'enfant que de l'instruire. Elle lui apprend — en principe — l'écriture, l'arithmétique, la géographie, etc., mais elle ne cherche pas. à combattre ses défauts innés, à développer ses qualités naturelles. Pénelon, dans Télêmaque, J.-J. Rousseau, dans Emile, ont été, à leur manière, des éducateurs : ils s'intéressaient plus au cœur de l'enfant qu'à son cerveau, sachant bien que celui-ci est d'ordinaire aux ordres de celui-là. Mais nos maîtres d'école, nos professeurs, nos pédagogues de tous rangs ne suivent guère cette tradition illustre : ils gavent l'enfance de connaissances plus ou moins pratiques, plus ou moins durables, et, pour ce qui concerne l'éducation, s'en remettent aux parents. Certes, former l'esprit, modeler le caractère de l'enfant, c'est bien le rôle du père et de la mère... Ceux-ci le remplissent encore, Dieu merci, dans nombre de familles, mais il faut bien reconnaître que c'est là aussi <strong>une</strong> tradition qui s'en va. <strong>LE</strong>S parents bourgeois ont leurs occupations et surtout leurs plaisirs qui les empêchent de se transformer en Mentors, et, d'ailleurs, ils trouvent un peu rococo de faire de la morale, <strong>une</strong> morale -sur laquelle ils ne sont même pas toujours bien fixés. . Les parents d'<strong>une</strong> condition plus modeste disposent de moins de temps encore pour faire l'éducation de leurs enfants. Dans les villes — où ceux-ci sont cependant en danger —• la mère travaille au dehors comme le père. Les « gosses » poussent tout seuls, au petit bonheur... Leurs instincts, bons ou mauvais, se développent au hasard des rencontres, des exemples. A peine sorti de l'école primaire avec un léger bagage de connaissances — et il s'allégera encore — l'enfant doit travailler pour gagner au moins sa nourriture. . Travailler? ■Si encore c'était à "l'atelier, pour apprendre quelque métier utile ! Mais, lé plus souvent, pour qu'il rapporte plus tôt l'argent indispensable, Gavroche sera placé comme sauteruisseau, commissionnaire, groom, chasseur de café, de restaurant... Ce ne sont pas là, évidemment, des « carrières » qui conduisent bien loin, encore qu'on y fasse beaucoup de chemin. Bref, l'enfant, que lie protège pas <strong>une</strong> éducation première, doit se faire à lui tout seul <strong>une</strong> philosophie de l'existence;.. Rien d'étonnant à ce qu'elle soit parfois assez cynique. I, est grand temps d'aborder et de résoudre" I ce grave problème de l'éducation de la je<strong>une</strong>sse dans notre société devenue si brutale, si avide de jouissances immédiates. C'est peut-être parce que l'éducation des je<strong>une</strong>s a été négligée que notre pseudo-progrès a pris cet aspect déplaisant. La société peut être comparée à un champ.où l'on ne récolte que ce qu'on a semé. L'instruction que ne complète pas l'éducation n'est qu'un leurre. Je dirai même que l'éducation doit, dans les programmes scolaires, être l'essentiel : elle donne, d'ailleurs, dans la lutte pour la vie, plus de résultats pratiques qu'<strong>une</strong> science le plus souvent illusoire, éphémère... La politesse, par exemple, — et elle devient rare — ouvre plus de portes qu'<strong>une</strong> instruction revêche, balourde, sans bonne grâce, sans. ce qui constitue le vrai moven dè parvenir, c'est-à-dire la manière. Il faut rendre à l'éducation la place qu'elle avait autrefois à l'école et dans la famille : ne craignons pas d'être un peu « vieux jeu ». Ce systèrne avait du bon. Nous commençons à nous en apercevoir. JEAN STYLO. O REF<strong>LE</strong>XIONS <strong>DU</strong> DIMANCHE N a appris ^récemment qu'<strong>une</strong> jolie je<strong>une</strong> Américaine, prix de beauté, demandait le divorce. Elle trouvait que le fait d'avoir un mari la gênait dans les obligations que lui imposait sa qualité de « prix de beauté ». Voilà le genre de chose que peut amener l'agitation éveillée autour des prix de beauté. Pourquoi donner des prix de beauté? La beauté n'est-elle pas déjà un prix en elle-même, sans qu'il soit besoin d'y ajouter? Peut-être veut-on justifier la parole de l'Evangile : « On donnera à celui qui a déjà ». Mais un prix 1 Que rêcompense-t-il? Si <strong>une</strong> femme est jolie, ce n'est ni sa faute ni son mérite, c'est que le Bon Dieu l'a faite ainsi; pourquoi donc se glorifier en des charmes physiques desquels on est tout à fait irresponsable? La plus grande partie du bon travail qui se fait sur terre est accompli par la multitude des femmes sans grande beauté. On assure que les je<strong>une</strong>s filles peu jolies font les meilleures épouses. Admettons, que ce ne soit pas toujours vrai. Mais disons que beaucoup d'hommes craignent d'épouser <strong>une</strong> femme trop éclatante parce qu'ils ne se sentent pas de taille à la disputer toujours à trop de compétiteurs. Si même ils sont courageux,' ils ne veulent pas vivre auprès d'<strong>une</strong> femme si pénétrée de l'idée de sa valeur esthétique qu'elle est persuadée de ses droits illimités en tout et pour tout. On comprend fort bien l'utilité des concours, qui servent à démontrer <strong>une</strong> habileté, <strong>une</strong> supériorité quelconque. Ils pourront désigner la dactylographe la plus rapide, la femme d'affaire la plus entendue, la'meilleure maîtresse de maison, ou la mère qui a les enfants les mieux portants et bien d'autres personnes les plus remarquables dans un domaine bu dans un autre. Un journaliste suggérait dernièrement que l'on pourrait aussi offrir un prix à la personne la plus disgraciée, à l'infirme le plus tristement contrefait. Ce serait,sans doute, ce qu'on appelle un prix de consolation. Il aurait du moins l'avantage d'attirer l'attention sur un être malheureux, et de lui amener peut-être quelque soulagement. Mais, là encore, un prix ne récompenserait rien de voulu, ni de clierché, car, hélas I tout comme la beauté, les infirmités nous viennent sans que nous y soyions pour rien. En somme, ces fameux prix de beauté semblent n'être qu'un encouragement à la vanité. En règle générale, les fort jolies femmes n'ont pour elles que cette beauté dont elles sont, si fières qu'elles dédaignent les charmes de l'intelligence et parfois du cœur. ' Pourtant, même quand il s'agit de conquérir ht de garder le cœur des hommes, la beauté n'est pas toujours la meilleure arme d'<strong>une</strong> femme: il y faut les attraits subtils de l'esprit et <strong>une</strong> mystérieuse compréhension de la vie. Les historiens nous donnent à penser que Clêopâtre, ou Anastasie, ou Ninon de Lenclos, qui furent de grandes séductrices, n'étaient, ni l'<strong>une</strong> ni les autres, d'<strong>une</strong> très grande beauté. , Le fait est qu'<strong>une</strong> belle âme peut donner de la vie et du rayonnement même à un visage qui n'est pas beau. On peut ajouter qu'à la longue, il est plus agréable de vivre auprès d'<strong>une</strong> belle âme qu'auprès d'un beau visage qui cacherait <strong>une</strong> vilaine âme. FRANK CRÂNE. LA SEMAINE PROCHAINE LUNDI 15 AVRIL . Lever du soleil : 5 h. 2 — .coucher : 18 h. 40. Lever de la l<strong>une</strong> : 8 h. 38 — coucher : o h. 57. Le jour omit : 2 m. matin : 1 m. soir. Sainte ANASTASIE : 105 e jour'+ 260. Courses hippiques à Saint-Cloud. MARDI 16 AVRIL Lever du soleil : 5 h. 1 — coucher : iS h. 42. Lever de la l<strong>une</strong> : 9 h_ 47 - coucli. : 1 h 57 (p. Q_., 14 h. 9). Le jour croît : 1 m. matin : 2 m. soir. Saint FRUCTUEUX : 106 e jour + 259. MERCREDI 17 AVRIL Lever du soleil : 4 h. 59 — coucher : 18 h. 43. Lever de la-l<strong>une</strong> : 11 h. 4 — coucher : 2 h. 41. Le jour croît : 2 m. matin : 1 m. soir. Saint ANICET : 107 0 jour + 258. Courses hippiques au Tremblay. JEUDI 18 AVRIL Lever du soleil : 4 h. 57 — coucher : 18 h. 45. Lever de la l<strong>une</strong> : 12 h. 24 — coucher : 18 h. 45. Le jour croît : 2 m. matin : 2 m. soir. Saint PARFAIT : 108 e jour + 257. • Boxe : Championnat du monde des poids mouche, Pladner (tenant) contre Genaro (challenger), au Vélodrome d'Hiver. Courses hippiques à Auteuil. VENDREDI 19 AVRIL Lever du soleil : 4 h. 55 — coucher : 18 h. 46. Lever de la l<strong>une</strong> : 13 h. 43 — coucher : 3 h. 38. Le jour croit : 2 m. matin : 1 m. soir. Saint LÉON, évêque : 109 0 jour + 256. Courses hippiques à Maisons-Laffitte. SAMEDI 20 AVRIL Lever du soleil : 4 h. 53 —coucher : 18 h. 48. Lever de la l<strong>une</strong> : 14 h. 59 — coucher : 3 h. 58. Le jour croît :2 m. matin : 2 m. soir. Saint THÉODORE : 110 e jour + 255. Courses hippiques à Saint-Cloud. DIMANCHE 21 AVRIL Lever du soleil : 4 h. 51 — coucher : 18 h. 49. Lever de la l<strong>une</strong> : 16 h. 12 — coucher : 4 h. 15. Le jour croît : 2 m. matin ; 1 m. soir. Saint ANSELME : 111 e jour + 254. Rugby : Quarts de finales du championnat de France. Cyclisme : Paris-Rennes. Football : Paris-Auvergne à Clermont- Ferrand. Courses hippiques à Longchamp. AUJOURD'HUI DIMANCHE 14 AVRII, 1929 Cross-country : le cross international du Petit Parisien dans les bois de Saint-Cloud. — Football : France-Espagne, à Saragosse ; Paris-Madrid, au Parc des Princes de Paris ; Alsace-Lorraine, à Mulhouse. — Rugby : Quarts de finales du championnat de France et le huitième de finale Toulouse-Toulon, à Béziers ; Paris-Londres au Stade de Colombes. — Boxe : Championnat d'Europe des poids légers, Raphaël (tenant) contre Sybille (challenger), à Marseille. — Cyclisme : Paris-Caen. — Courses hippiques à Longchamp. J SOYONS AU COURANT... ... des avantages, réservis aux avia'surs de l'armée du Levant I ES avantages réservés aux militaires désignés pour '—' servir au 3g 8 d'aviation au Levant sont les suivants : Voyages. ~ Voyage intéressant de Marseille à Beyrouth ; escales possibles : Alexandrie, Naples, Malle, Athènes, Constantinople, Smyrne, Rhodes, Chs-prc. Régiment réparti dans toute la Syrie. —■ Rayac'-r, Damas, Alep, Rakka, Deir-ez-Zorr, Palmyre, Derai. Climat assez chaud en été, mais salubre. Vie plus large et plus facile qu'en France, grâce à des avantages de solde qui, suivant le grade, varient du tiers au double de la solde de France. Régime de permissions spécial au Levant accordant <strong>une</strong> permission de cent dix jours à la suite d'un séjour de deux ans. Les militaires de l'armée du Levant font, en outre, campagne et peuvent obtenir des décorations spéciales telles que la médaille eommémorative du Levant, la croix de guerre des T. O. E. et être l'objet de distinctions accordées par les Etats sous mandat : Mérite libanais et Mérite syrien. ...de l'organisation de concours pour l'intensification de la culture du blé IWIONSIEUR JEAN HENNESSY vient de faire connaître aux présidents des offices agricoles départementaux les mesures qu'il compte prendre pour favoriser la culture du blé ; il a décidé, notamment, de généraliser et d'amplifier les concours de culture du blé, qui devront être organisés, cette année, dans tous les départements français. Des récompenses seront distribuées aux trois meilleurs producteurs de blé de chaque département, à raison de trois prix de 2.000 francs chacun et d'<strong>une</strong> plaquette de bronze, pour la grande, moyenne et petite culture. Un crédit de 10.000 francs est, dès à présent, ouvert à chaque office agricole départemental. Le ministre de l'Agriculture envisage, lors de' la distribution solennelle des récompenses, <strong>une</strong> grande fête nationale du blé. ... d'<strong>une</strong> intéressante initiative des pêchsuri des Sables-d'Olonne E ministère des Travaux publics communique la L note suivante : « Les marins-pêcheurs des Sables-d'Olonne viennent de fonder, sous le nom de L'Olonnaise, <strong>une</strong> coopérative de vente du poisson — sardines fraîches notamment — groupant 96 % des pêcheurs de ce port. « Le but poursuivi par cet organisme est de produire beaucoup et de vendre à bon marché, par suite de la suppression de tout intermédiaire entre le producteur et le consommateur. C'est dire tout l'intérêt de cette louable initiative qui mérite d'être soutenue par le consommateur. La direction de la coopérative L'Olonnaise, aux Sables-d'Olonne, donnera à ceux que la question peut intéresser et qui voudront bien s'adresser à elle, tous renseignements utiles sur le mode et les conditions d'expédition. » ... d'un concours-exposition d'inventions 'UNION des inventeurs français fait appel à tous L les inventeurs pour participer au concours-exposition d'inventions organisé par la Foire internationale de Paris 1929 et qui aura lieu au cceûr de cette foire, du 11 au 26 mai 1929, selon <strong>une</strong> formule tout à fait nouvelle et très intéressante. ; Ce concours est doté par le comité de la Foire de Paris de plus de 25.000 francs de prix. Les inventions peuvent être exposées sous forme d'appareils en grandeur naturelle, réductions, maquettes ou plans ; l'U. I. F. se charge, pour les inventeurs qui ne pourraient être personnellement à l'exposition, de recueillir les demandes des industriels et de leur fournir les renseignenients. Le règlement sera expédié à toute demande adressée à l'Union des inventeurs français, qui se tient à la disposition des inventeurs pour leur fournir les indications désirées. ... du lancement de nouvelles unités navales françaises A marine française va s'accroître, dans le courant L du mois d'avril, de sept bâtiments de guerre, faisant un total de 31.000 tonnes. L'arsenal de Lorient vient de mettre à l'eau le mouilleur de mines Pluton (5.300 tonnes) et les sous-marins de 1.500 tonnes H enri-Poincaré et Poincelet. D'autre part, le sous-marin A cteon est lancé à Salnt- Nazaire. Le sous-marin Argo, identique aux précédents, vient d'être lancé à Nantes. Le 12 avril, le transport d'aéronautique Commandant-Teste (10.000 tonnes) a été lancé à Bordeaux. Enfin, le 24 avril, l'arsenal de Brest mettra à l'eau le croiseur de 10.000 tonnes, auquel le ministre de la Marine a récemment, donné le nom de Foch. En raison de cet illustre parrainage, les opérations de mise à flot donneront lieu à <strong>une</strong> grande cérémonie officielle. Ut Il III IIIIIIUMI III IIIIH ■■! Illlllllllllllll I llll III II 1111III II 11111 II IM11111111 < III111 MU Il III II 11111111M 11111 II 11 ! UNI IIIH IIIIII MM II IIIIII II III II III Mil IM11 II II 1111 II M II I M MIM 11 II 11111111 MM 111MI II 111111MI II I <strong>LE</strong> PROB<strong>LE</strong>ME DES MOTS CROISES HORIZONTA<strong>LE</strong>MENT. — 1, ce terme désigne des mairies ; 14, ménageront ; 15, autre nom de Cybèle ; 16, réseau de chemins de fer ; 17, chef-lieù de canton sur la Saône ; 18, deux lettres d'Ainélia ; 19, quittons cette demeure ; 22, à la fin du soir ; 23, serré ou vigoureux ; 24, boisson fort connue ; 25, levée aux cartes ; 26, commencement de l'idéal ; 27, possessif ; 28, sur <strong>une</strong> tombe ; 30, article à rebours; 31, diffusions'du style; 34, tel la cherche qui reçoit des coups ; 36, on désigne aussi des tronc3 d'arbres ; 38, averse soudaine ; 39, cité belge ; 41, partie du corps d'un quadrupède ; 42, près de ; 43, insecte des forêts de pins ; 45, possédée ; 46, pronom personnel à rebours ; 47, bâtiment de guerre fortement cuirassé ; 49, désigne quelqu'un de très fort ; 50, roi d'Israël ; 52, veut dire à la surface de ; 53, rivière de France ; 55, roi de Juda ; 56, préfecture française ; 57,. sorte de poème. VERTICA<strong>LE</strong>MENT. — 1, elle habite à Marseille ou à Montpellier ; 2, romancier et auteur dramatique français ; 3, personnage biblique ; 4, prénom féminin étranger ; 5, indique l'association ; 6, nom d'<strong>une</strong> région malgache ; 7, pour le cycliste ou le jockey ; 8, vieille cité espagnole ; 9, article ; 10, du verbe aller; 11, possessif ; 12, tel est le grain que l'on veut conserver en terre; 13, les terres qui le sont ne produiront guère ; 20, jadis petit poids français ; 21, visible en hiver ; 27, indique la tête ; 29, cours d'eau de France ; 31, il découvrit le cap de Bonne-Espérance ; 32, un des corps simples de la chimie ; 33, étable à porcs ; 35, ils sont très gros ; 37, au moyen âge, vagabond ; 39, de cette façon ; 40, bel arbre de France ; 43, au milieu du rasoir ; 44, deux lettres d'un Saxon ; 47, possessif ; 48, pour un tapin ; 51, note de musique j 54, demiiota. Nous publierons, dans le prochain numéro, la solution de ce problème qui, ne comportant aucun classement, dispense nos lecteurs de nous envoyer leur solution. A gauche : Problème proposé ; à droite : Solution du problème paru dans le dernier numéro, as sa HLSufiiaUtfBi HISHnfflSS^ffi] SES iigsM mmm isniiu mm ffimmmm mm msa sis mmsimm aBiMsiffisiMiiiB] mm BBiisa mmm m tiama HESE msmm