jeunesse jeunesse bidon ?y - Bibliothèque Numérique Marocaine

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Siïdiens en réaction contre I anarchu généralisée Tout ee«i alors que d« s Mo'jj ihidines lançaient «los appels IIIX irrru* peur comhattre 1rs l'or' mis et qu: les pratiques mvsticr» hyrténqueî venurs dOrlent Introdu «U t dins l'Islam maghrébin UN ASCETE ET UN MYSTIQUE Li vit dt Ibn Aissa est entourée d um* multitude de légendes qui font l'objet de la plupart des cantiques uns mu i légendes qui d'ailleurs résistent très mal a lanalysc rigourruse
do p.ir le bondir ou la ghuita s, et la tradition nous apprend que 1 origine de ces pratiques vient do Suit Chb&ni Ben Abdel Qadcr disciple de Ibn Autsa qui. pour déclencher l'extase s'emparait d'un bondir r? se prenait à danser tout seul en invoquant le nom de Dic-j, d'où le nom autiefois employé de hadra chbanya Ibn Aissa ne s'éloigna de Mekiès qu'à de très rares reprises La légende ne note qu'un vovage a Mar iakech un autre a Sidi-Kahal. pour roncontr.-r Sidi Ha h al el Boudait et un petit pelennage a Sidi AtKleslam M'chich cheikh fut en tous cas un guérisseur reconnu, mais il v a «••pendant une distinction A faire entre la medecine et le magnétisme, don dont parait avoir été amplement pourvu Ibn Aissa De nombreuses légendes concernent 1a lutte du fondateur do la secte des Aissaoua contre les autorités, luttes dont il sortit régulièrement vainqueur, avec, nous dit l'imagination populaire, l'aide de Moulay Abdclkadcr Jilali En effet, si Ibn Aissa resta a l'écart du conflit qui opposait le.s Beni-Ouattas et les SaAdicns. son rayonnement spirituel et la réputation dont il jouissait, le posaient en concurrent du pouvoir temporel UN REDRESSEUR DE TORTS On rapporte ainsi que las d« vot tous les artisans meknassi ro« rut« s par le cheikh pour reciter lot a son le Sultan le convoqua et lui intima l'ordre de quitter la ville Ibn Aissa s'exécuta en dcpit «les supplication-» de ses elèvei qui tentaient de le tau • revenir sur sa décision L'un d eux eut alors l'idée de prendre une outre dans laquelle il se mit a souffler d» toutes ses forces Au nieme instant 1«; Sultan s'enflait domesur ornent Dieu lui ayant fait connaître les « IU vos du mal dont il souffrait il si toata de faire revenir le «heikh et de lui promet tri* entière liberté dans ses activités pour I avenir Si Ion no peut accorder foi a une semblable iogendc il est cependant loisible ili penser quelle reflète a la fou» Ion gine et l'issue du conflit opposant Ibn Ai.-sa au pouvoir et que celui-ct dut s'incliner devant le thaumaturgi par crainte de s'aliéner les sympaties populaires, toujours davantage portées sur les faibles que sur les puissants Cependant, on voit mal quel Sultan de l'epoque résidait a Meknes. puisque aussi bien le.s Mon nides que les Beni-Ouattas avalent choisi Fès comme siège de leur makhzen C.- qui est en ' ni cas certain 'si que d »ns s.i ro\ dtç contre riton.c Ibn Aissa prit ligure de défenseur des faibles «t dw» oppnm» s de re dresseur «h toit contre les ti n -irts du jour et que vizirs • ùds et cadt* durent i nmpter ivec lui l'an tôt V domestique d un v iwftr v«:n » t ehr* cher auprès «le ha udi et proie» tion tantôt un faibli qu les exac nn-> d un caïd inett o nt i ix ibois -» r» tugiait dans sj /aouia Li légende nous te montre toujours victorieux des fonctionnaires du ma»chzc» qu'il ramène i une p us jus*, < >mpn n« n «-•un de leurs devoirs L». crair t r» vérentlilh «pi il inspir ut ontenai' le exncteurs et contribuait i tlU'v r 1- ttrdeiu qui [hmiI sir les miss» , A ne» pxt Jouit r . i st l.i qu'il ti trouve» le son » de sa réussite e* le* i lisons d une célébriU «pu i ci jour ne s est pas encort dt m» nt o Mehdi HXLMEL? (Il u/k leila « j' urt *,nt* rf les ulirruu d. VfcAr.» par M jy t deHcb.r Ik n /id.m (3| T.uiqa » Jie tpiritu• c î-il Rinn Marabout* et Â/iouun 1 _
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