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^SPHTOOE SPÉCIAL - Bibliothèque de Toulouse

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Itïairai 8 «Tain 1901<br />

SIllLi flEROMHJBfifgQE i<br />

Da S juin.<br />

Oa • recaeilll BO mlllimëtrefl d'eau eu Ple-<br />

An-MMi. 1 à <strong>Toulouse</strong>.<br />

f« vent est modéra sur nos côtes <strong>de</strong> ia »re-<br />

h„na- «t Us la Gascogne ; <strong>de</strong>s pluies sont tom-<br />

bées su? rouo8t <strong>de</strong> la France et <strong>de</strong>s lies Bri-<br />

L^'umpér^tare a baissé sur nos i*sp"ons ;<br />

J?èffiei mat* <strong>de</strong> 18- à Paris. 28- à'Serlm.<br />

* 4 En Fifancefun tempjs beau et ebaud est pro-<br />

bable ; a Paris.hier, nuageux, petite ploie.<br />

AXS «HaPTAWT frattjjjT J C- P>- T<br />

Stations.<br />

<strong>Toulouse</strong>.<br />

Puy-<strong>de</strong>-D.<br />

Flc-du-M.<br />

Peryign.<br />

Bor<strong>de</strong>aux<br />

Bar.j Th.<br />

I sô".7| a<br />

es-. 5<br />

61.3<br />

61.9<br />

6.7<br />

(Etat du CSel<br />

22.1 N. O. f. II.<br />

10.9 S. mod. o.<br />

2 8 S.S.O. t. f. n.<br />

19.8 S.-E. faib. n.<br />

21.1 E. f. couv.<br />

Mini,<br />

18 6<br />

—4<br />

13<br />

! 10<br />

Mas.<br />

ai<br />

»<br />

-s SB<br />

15<br />

BOURSE DE PARIS<br />

Du * juia ( par dépêche télégraphique)<br />

AU COMPTANT<br />

g: HZ ejo-.<br />

ette tunisienne<br />

u i Consolidé anglais<br />

5 Egypte unifiée<br />

f\ Russe 1880<br />

M\ _ 1889<br />

.*»{ — 1893<br />

w ] Autriche or<br />

g / Hongrois 4 0; 0<br />

g Espagne extérieure<br />

ï, ' Italien<br />

t Banque <strong>de</strong> France<br />

/ Crédit Foncier<br />

J Comptoir d Escompte<br />

| Crédit Lyonnais<br />

I Société Générale<br />

IMidi<br />

I Orléans<br />

<br />

Soir (omn.).. 6 10<br />

TOULOUSE SAINT-GIRONS<br />

Matin (omn.). 6 11 Matin (omn.) 8 14<br />

Matin (omn.). 9 18 Matin (omn.) 11 59<br />

Soir (omn.).. 3 »» Soir (expr.). . 4 44<br />

Soir (omn.). . 6 10 Soir (omn.).. 8 01<br />

BAYONNE<br />

ARRIVÉES:<br />

Mat. (Mont). 8 14<br />

Matin (Pau.). 11 59<br />

Soir (omn.).. 3 12<br />

Soir (exp.)... 4 44<br />

Soir (Pau)... 8 01<br />

Soir (exp.)... 10 25<br />

LUCHON<br />

Matin (exp.) 11 59<br />

Soir (omn.). 8 12<br />

Soir (omn.). 8 01<br />

LIGNE<br />

DEPARTS :<br />

Mat (mixte). 6<br />

Mat(ex.Foix) 9<br />

Matin (omn.). 9<br />

Soir (mixte). . 1<br />

Soir (mixte). . 6<br />

DEF0IX-AX<br />

ARBIVEESJ<br />

JTP Mat.(Tarasc.) 8 g<br />

12 Soir (omn.)- - 18 *<br />

27 Soir (mixte). { g<br />

40 Soir(ex.Foa) 8^<br />

55 Soir (mixte). JM'<br />

27<br />

TOULOUSE A BOULOGNE-SUR-GESS2<br />

(Gare Roguet) $ $<br />

Matin 6 »» Matin. j »<br />

Matin 10 6 Soir 8 23<br />

Soir 5 6 Soir..-- îQt<br />

LIGNE DE TOULOUSE A SM" 1<br />

(Gare Roguet) g %<br />

Matin 6 »» Matin--<br />

Soir 1 6 Soir 6 «<br />

Soir 6 85 Soir^—^<br />

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kl<br />

S<br />

COI<br />

Jeu<br />

il«a<br />

m<br />

123<br />

6 *<br />

Nous informons nos lecteurs que toute <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> renseignements relatifs aux annonces doit être accompagnée d'un timbre <strong>de</strong> 0,15 pour la rèP0{] se<br />

§6 Feuilleton du 3 Juin 1902<br />

PAR<br />

ROGER DES F0URN1ELS<br />

vu<br />

Floréal ne disait pas un mot, mais tous<br />

ses membres se raidissaient et il pous-<br />

sait toujours son adversaire vers le trou<br />

noir.<br />

Dans la lutte, Voltin avait reculé d'un<br />

pas ; le vi<strong>de</strong> était là, <strong>de</strong>rrière lui, mena-<br />

çant, à quelques lignes <strong>de</strong> ses pieds ; la<br />

cage re<strong>de</strong>scendit, et il lui sembla qu'elle<br />

le frôlait.<br />

—• Si tu pousses, je t'entraîne I cria-t-il.<br />

Maintenant, Floréal essayait <strong>de</strong> se dé-<br />

gager, mais Voltin tenait ferme.<br />

Les <strong>de</strong>ux corps eurent une oscillation ;<br />

ils penchèrent vers le vi<strong>de</strong>, puis, instinc-<br />

tivement, ils eurent une réaction déses-<br />

pérée, et sous une formidable poussée<br />

<strong>de</strong> vent ils retombèrent dans la galerie :<br />

ia chargement <strong>de</strong> berlines remontait ;<br />

la colonne d'air ébranlée avait décidé <strong>de</strong><br />

leur sort.<br />

Us roulèrent dans la terre humi<strong>de</strong> et<br />

noire ; Floréal était <strong>de</strong>ssous, brisé par<br />

la lutte, contusionné par la chute <strong>de</strong><br />

Voltin sur lui.<br />

Le surveillant en vint facilement à<br />

bout.<br />

Il déroula sa ceinture <strong>de</strong> laine, et<br />

maintenant son adversaire sous son ge-<br />

nou, lui lia les bras et les jambes. Flo-<br />

réal était atterré ; il ne se dissimulait pas<br />

la gravité <strong>de</strong> sa situation ; il savait que<br />

<strong>de</strong>puis longtemps on était à la recher-<br />

che <strong>de</strong>s socialistes, et il ne doutait pas<br />

qu'on lui fît porter toute la responsabi-<br />

lité <strong>de</strong>s faits qui <strong>de</strong>puis un an plon-<br />

? ;eaient Montceau dans la terreur. Cette<br />

ois, ce n'était plus avec huit ou dix<br />

mois <strong>de</strong> prison qu'il s'en tirerait comme<br />

lors <strong>de</strong> son article dans un journal <strong>de</strong><br />

Lyon ; il voyait en perspective la Cour<br />

d'assises, et, au bout, les travaux forcés.<br />

U était pris alors d'accès <strong>de</strong> rage in<strong>de</strong>s-<br />

criptibles et <strong>de</strong>s larmes roulaient sur ses<br />

joues.<br />

Voltin, s'en étant rendu maître, l'ob-<br />

servait <strong>de</strong>puis un instant, cherchant<br />

comment il pourrait, sans lui rendre la<br />

liberté <strong>de</strong> ses mouvements, le <strong>de</strong>scen-<br />

dre au fond, ou le remonter au jour.<br />

La première chose à faire était <strong>de</strong> pré-<br />

venir, jjj poussa donc Floréal assez loin<br />

<strong>de</strong> l'ouverture du puits et <strong>de</strong> l'échelle du<br />

goyau, et reprit sa lampe qui fort heu-<br />

reusement ne s'était pas éteinte.<br />

Il allait enjamber le premier échelon<br />

et regagner le fond, lorsqu'une idée su-<br />

bite lui traversa l'esprit.<br />

Votre nom? lui dit-il.<br />

Floréal le regarda fixement et ne ré-<br />

pondit pas.<br />

— Vous ne voulez pas répondre ? Vous<br />

<strong>de</strong>vez bien avoir <strong>de</strong>s papiers sur vous ;<br />

nous allons voir ça.<br />

U se mit en mesure <strong>de</strong> fouiller son<br />

prisonnier.<br />

Dans les poches, en effet, le socialiste<br />

avait <strong>de</strong>ux lettres assez compromettan-<br />

tes ; 1 une d'elles lui annonçait l'envoi<br />

d une caisse <strong>de</strong> dynamite ; elles lui<br />

étaient adressées sous le nom <strong>de</strong> Flo-<br />

réal ; c'est sous ce sobriquet d'atelier<br />

qu'il était connu <strong>de</strong> ses camara<strong>de</strong>s.<br />

Le geste <strong>de</strong> Voltin lui fit retrouver la<br />

parole :<br />

— Ce n'est pas la peine, dit-il ; vous<br />

ne trouverez rien ; je suis d'Autun et je<br />

m'appelle Jean Chariot!<br />

Chariot I murmura-t-il, d'Autun! le<br />

frère <strong>de</strong> Nini ?<br />

— Vous la connaissez ? reprit Floréal,<br />

stupéfait à son tour et essayant <strong>de</strong> se<br />

redresser.<br />

Oui (répondit Voltin, d'une voix étran-<br />

glée et tremblante d'émotion. Ah !<br />

malheureux ! si votre mère savait !...<br />

— Ma mère...<br />

Floréal baissa la tète, et la relevant<br />

soudain avec <strong>de</strong>s éclairs dans les yeux :<br />

— Ma mère... dit-il, c'est la révolu-<br />

tion !!!<br />

Puis il retomba dans le plus profond<br />

silence, se <strong>de</strong>mandant comment cet<br />

homme pouvait connaître celle qui lui<br />

avait donné la vie.<br />

Voltin, lui, était hébété; il ne ques-<br />

tionnait plus ; il était là, hésitant, ne sa-<br />

chant ce qu'il <strong>de</strong>vait faire : se taire ou<br />

parler. Il s'arrêta au premier parti.<br />

A quoi bon révéler à ce misérable<br />

qu'ils étaient <strong>de</strong> la même famille; il en<br />

profiterait peut-être pour comploter con-<br />

tre la mine avec plus <strong>de</strong> hardiesse. Ce-<br />

pendant, il ne pouvait pas se résoudre â<br />

le faire arrêter. C'était le frère d'Eugé-<br />

nie, son propre beau-frère, et la honte<br />

<strong>de</strong> la Cour d assises rejaillirait sur eux.<br />

Toutes ces pensées lui traversèrent<br />

l'esprit en une secon<strong>de</strong> ; il eut vite pris<br />

une résolution.<br />

U se remit à genou, près <strong>de</strong> son pri-<br />

sonnier, approcha sa lampe et vit ses<br />

traits bouleversés par la peur, peut-être<br />

aussi par Je remords et les souvenirs qui<br />

venaient d'être évoqués.<br />

— Ecoutez-moi, lui dit-il ; le nom que<br />

1 vous portez m'obligo à user envers vous<br />

d'indulgence. Votre mère me rendit l'an<br />

passé un grand service. ..<br />

— A Autun ?<br />

— A Autun.. . Je ne puis faire arrêter<br />

le fils <strong>de</strong> cette brave femme, mais vous<br />

allez me promettre une chose : ce soir,<br />

vous aurez quitté Montceau...<br />

Au lieu <strong>de</strong> la prison et du bagne, c'é-<br />

tait la liberté qui se présentait <strong>de</strong>vant<br />

Floréal; le malheureux hésita; mais,<br />

avec une conviction qui touchait à la fo-<br />

lie, il refusa net et répondit à Voltin :<br />

— Faites <strong>de</strong> moi ce que vous voudrez,<br />

je n'ai rien à promettre 1<br />

Le mineur ne parut pas surpris, il dé"<br />

noua la ceinture, et, un instant après<br />

Floréal se relevait absolument libre.<br />

— Descen<strong>de</strong>z, lui dit Voltin, en lui<br />

montrant l'échelle ; je vous suis.<br />

— Mais c'est une fausse générosité<br />

que la vôtre ; vous me laissez libre ici<br />

pour me faire prendre plus facilement<br />

en bàs !<br />

— Vous êtes bien <strong>de</strong>scendu, vous re-<br />

monterez <strong>de</strong> même !<br />

— Vous ne me dénoncerez pas ?<br />

. — Pourquoi vous dénoncer? N'étais-je<br />

pas maître <strong>de</strong> vous, il y a cinq minutes ?<br />

— C'est juste ! re<strong>de</strong>scendons. ..<br />

Ils se dirigèrent du côté <strong>de</strong> l'échelle ;<br />

Floréal passa le premier, Voltin le sui-<br />

vit ; ils arrivèrent au fond sans encom-<br />

bre; le surveillant s'enfonça dans les<br />

galeries laissant son compagnon se tirer<br />

d'affaire comme il le pourrait<br />

Lorsque l'heure <strong>de</strong> la remonte sonna,<br />

les travailleurs arrivèrent en foule, se<br />

précipitant vers le rond ; Floréal sortit<br />

<strong>de</strong> son trou et se faufila dans la première<br />

ban<strong>de</strong>.<br />

Voltin, adossé à une berline vi<strong>de</strong>, l'ob-<br />

servait ; il le vit baisser son chapeau <strong>de</strong><br />

cuir sur ses yeux et ge glisser dans la<br />

cage en partance. Le signal fut donné,<br />

la cage s'enleva dans l'ombre.<br />

Un soupir <strong>de</strong> soulagement s'échappa<br />

<strong>de</strong> la poitrine dn surveillant ; il laissa<br />

remonter tous les mineurs et passa le<br />

<strong>de</strong>rnier.<br />

Une fois au jour, il récapitula dans sa<br />

tete tous les événements qui s'étaient<br />

succédés <strong>de</strong>puis le matin, et se <strong>de</strong>manda<br />

quelle conduite il <strong>de</strong>vait tenir.<br />

Après mûre réflexion, il résolut <strong>de</strong> ne<br />

rien dire à sa femme, <strong>de</strong> prévenir la<br />

mine qu'il avait eu vent que les socialis-<br />

tes envoyaient <strong>de</strong>s émissaires dans les<br />

E uits, et se promit, si Floréal lui retom-<br />

ait encore sous la main, <strong>de</strong> l'arrêter et<br />

<strong>de</strong> le mener à sa mère.<br />

Lorsqu'il revint chez lui, il avait l'air<br />

soucieux, sa tête était ailleurs qu'à la<br />

conversation engagée autour <strong>de</strong> lui. Sa<br />

femme remarqua sa préoccupation et on<br />

chercha vainement la cause. Voltin avait<br />

décidé qu'il gar<strong>de</strong>rait son secret, il ne<br />

parla pas.<br />

Le soir, il prit sa canne et fit un tour<br />

aux Alouettes.<br />

Il vit les Frampon, s'arrêta pour cau-<br />

ser avec eux, et, tandis qu'il était <strong>de</strong>bout<br />

<strong>de</strong>vant leur porte, Vignaud sortit <strong>de</strong><br />

chez lui avec Chassain.<br />

— Où vas-tu donc comme ça, Vi-<br />

gnaud ? cria Frampon !<br />

— Chez le docteur, répondit brusque-<br />

ment le mineur.<br />

— Ça ne va pas, alors ?<br />

— Non !...<br />

D. s'éloigna rapi<strong>de</strong>ment.<br />

— Us n'ont pas <strong>de</strong> chance, dit Fram-<br />

pon ; mais, après tout, pour ce que fart<br />

la Vignau<strong>de</strong>, autant vaut qu'elle s'en<br />

aille. ..<br />

— Elle est bien mal ? <strong>de</strong>manda Voltin.<br />

— U fout croira, ta fois... il court<br />

chez le mé<strong>de</strong>cin.<br />

• yïs<br />

— Qu'est-ce que diable Ghjgg^ g<br />

faire chez eux f Uà ne se ^ .ft ç<br />

tant, autrefois I Ge Cl»fïî*a.ll» Z<br />

bonne réputation; ça ne ^<br />

mais et le porte-monnaie u<br />

T i<strong>de</strong> - t a„t être s'effl 53 ^<br />

-Qui sait? B. veut peut-être<br />

cher <strong>de</strong> nouveau. t - n -irrledO111<br />

Voltin secoua la tête d'un air<br />

puis il ajouta : . «<br />

— As-tu vu venir le cure T<br />

— Chez eux ? ^<br />

— Oui. _ h ign (f09,<br />

— Ma foi ! non ; tu saisi<br />

gnaud n'est pas porté ^VjnV 'U»<br />

* - Cependant, je pense<br />

voudrait pas laisser moum „<br />

sans sacrements. . is ri^jls<br />

— Ecoute donc, Je n e ° ff r ire s;<br />

ne me mêle pas <strong>de</strong> leurs ai»» ^<br />

s'arrangent. . _ n<br />

— Je vais aller savoir un r<br />

ment elle va. Au revoir... $s<br />

— Bonsoir... , ,no^V\^\<br />

Voltin entra chez la yj 0 piW<br />

était couchée par terre sur » e $o^e<br />

il n'y avait que là t «»fH 6 V ie»£<br />

pas trop. Elle aval déjà - x6 ^ fr<br />

morte, ses cheveux s échaPP . ggw |fl t<br />

f<br />

ms éclat d'un ^Sf^ltVj^<br />

goûtant <strong>de</strong> crasse if^J^H oVfi<br />

sa pauvre poitrine <strong>de</strong> «^ïoig^ »<br />

misole <strong>de</strong> couleur, et ses a dr »v<br />

et décharnés s agitaien t su „,<br />

lui recouvrait lM^^éile s» r< ^ ^<br />

Lorsqu'elle vit Voltin, ^<br />

vers lui. , m onsieuL<br />

_ Ah I c'est TOUS, m bra *e<br />

lui dit-elle ; vous êtes nie u d««<br />

venu... merci..- paUV re Vf ?<br />

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