21 janvier 1932 - Bibliothèque de Toulouse

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1 : Cloud, et Jeanne Barfhou tailleusc. à Mois- queurs furent plus adroits au panier. Très, sac fi'arn et-Uai onno). bon arbitrage de M. Sesquière. Louis Couplet, coiffeur, à Avignon (Vau- Lalande E bat La Dalhade E par 13 à 16. La partie, très agréable et très courtoise, Aimer cluse), et Eugénie Delécluse, stoppeuse, quai de Brienne, 2. resta Indécise jusqu'à la fin. Arbitrage im- Pierre Desbeaux, photographe, a Caussade partial de M. Laborie. (Tarn-et-Garunne), et Marie Ache, sans pro- Caousou E2 bat Saint-Sylve E par 48 à 20. THEATRE DU CAPITOLE fession, rue Sainte- Anne, 1S. Excellent arbitrage de M. Dominique. u La Favorite » Michel Gaston, monteur chauffage, chemin Saint-Etienne H bat Saint-Etienne H5 par SB à 16. Le vainqueur so classait cham- Le vieil opéra de Donizetti a. bénéficié de la Vieille-Briqueterie, et Jeanne Lacroix, pion du tournoi, les deux équipes disputé hier, d'une excellente interprétation vo (.ans profession, chemin de la Vieille-Brique- rent leurs chances avec une loyauté et uno j cale. Le ténor Charlesiù, notamment, lerie. Jean Dabos, entrepreneur de sonnerie, rue énergie pareilless. La décision fut acquise j est doué d'une voix franche, égale et Varsovie, 32, et E 'génie Aurlac, sans pro- (par le cinq joant avec la plus grande d'im beau timbre fession, petite-rue Solférinos, 11. liesse d'ensemble et une technique supérieure. Nous connaissions M. Charleski qui Le Caousou H hat Saint-Michel H. fit quelques soirées sur notre scène, Le Caousou P bat Satnt-Joseph Pl par son interprétation scénique peut se dis- 24 à 11. cuter et le style un peu ralenti manque Le Caousou P2 bat Saint-Joseph P2 par parfois de simplicité. Mais sa vaillance 2 à 2. vocale a fait une excellente impression Terrain Bonnefoy. — Bonnefoy H bat La- et le public ne lui ménagea pas les aplande H par 44 à 22 La fougue et l'adresse plaudissements et les rappels. au panier des vainqueurs eurent raison des Le baryton Tindel est un Alphonse de I Irlandais, meilleurs joueurs, mai s dont belle prestance. Il joue ce personnage l'équipe manqua de cohésion. avec dignité et distinction. La voix, i Bonnefoy P bat La Daurade P pap 24 sonne généreusement et la diction est à 21. Plus d'entraînement et d'homogénéité parfaite. Il chante les « andante » avec j à. Bonnefoy. M Ba-rère arbitra les deux expression et enlève avec brio la matches à la satisfaction do tous. « strotta » finale de l'air du deuxième Saint-Etienne Pl bat Bonefoy nP3 par 37 acte. Quelques sonorités un peu bas- à 20. Les Stéphanois, plus adroits et plus exses clans le chant soutenu, ne nuisent ' 30 n^ïrC. fnihips Pas au succès du sympathique artiste, jeune «nnpe dont les moyens sont fai"es ; récolto d chale \, reux afoj*U«W encore mais la volonté très grande e. le ^ t .rnnf ,Q „Alû A,ni1l0„*;f oc» hiar i sens du jeu très développé. Excellent arbi- 1 Naissances des 17 ot 13 Janvier Marcel Sentenac, chemin des Hiiou ielles. Georges Monté, quartier Montaudrau. Huguette Patte, rue Fieux. 12. Renée Bartlie, avenue de Lomnez, 9. Jacqueline Drueille, rue Alcxandre-Ducos, 2. Césarine Barraud. avenue des Minimes. tOO. Arlett.' Coupe ud Côte-Pavée Montaudrau. Jean Vidal, faubourd Bonnefoy. 48 ter. Geneviève Pressac rue des Teinturiers. I, Béatrice Ce Cuauliac. rue Saint-Antoine. du-T, 12. Claude vergnes. quartier Ginestous. Jeannine Vtrgnes, route de Paris, 101. Marguerite Pollazzon, rue Courte, il . Lucien !)emay rue des Tutlleries, 22. Tout le rôle d'ailleurs est bien Georges Smtenac, rue Saint-Louis, 23. composé et joué avec autorité. Odette '"abraup. rue Lencefoc, 19. trage de M. Bordant 1 si Le rôle de Léonore est écrit dans une Andrée C-'uiiaud. rue Diderot. Henri Massip, quartier Saint-Simon. '« 'Sa^nf Sa^" PT paT »T*i |1 mais Mme Swetskâ le" chante avec une Ginette Verdie, route de Pans, 07. •Partie très disputée et jouée d ebout en 'bout sans défaillance. Les Michaëls étaient étonnante facilité. Sa voix, d'un si Dominique Boy, rue Rocxles, 3. : beau timbre, dans tous les registres im peu handicapés par l'absence d'un bon ..Décès du 19 janvier fjoueurs. Les vainqueurs firent de jolis pa- fait merveille et l'artiste chante avec nier" par l'entremise de Frède et d'Andrieu. une parfaite musicalité. Elle a détaille Charles Gofftn, 31 ans, r. de Fleurance, 17, Excellant arbitrage de M. Supervieile avec art l'air « O mon Fernand », où Yves Castéras, 15 mois, à Lalande. Saint-Michel P2 bat Bonnefoy P2 par son grave impressionnant de chaude François Laclau, 76 ans, rue Campel- sonorité et son aigu étoffé lui valugno. l. 36 à 4. Terrain de Saint-Etienne. — Le Caousou E rent un gros succès. Jean Lacombe, 29 î>ns, chemin des Arrc- mt Saint-Etienne E2 par 37 à 20. Belle ren- Le personnage est îouô dans une note ques.contre jouée par deux équipes ayant la vo- sobre, mais expressive. Delphine Strauss, veuve Autourvilie, 83 lonté de vaincre. Il y a lion de signaler chez Lapeyre fait un Balthazar suffisam- ans rue d'Embarthe, 24. les blancs et noirs, l'action des frères Dument sonore et le joue avec ia plus Jean Baudonnet, 7-2 ans, port Saint-Saubuc et de Micouleau et la bello défense de sûre conviction. veur, 4. iSoler, parmi leurs adversaires Bivès et Borie Le rôle d'Inès était confié à Mme Du- Joseph Tissigné. 57 ans, rue Traversière- émergèrent du lot. Arbitrage compétent de frêne, gui n'a pas de peins à le placer de-la-Balance, 6. iM Durand. au bremier plan. Antoine Sesquière. 70 ans. rue Maran, 27. Terrain de Sawt-Sy'.ve . — Saint-Sylve P Enfin M. Albony, pensionnaire pré- Louise Bonvalet, veuve Ferrier, 89 ans. bat Saint-Pierre Pl par 23 à 9. cieux pour la direction, apporte sa rue Saint-Papoul, 3. Terrain de Lalande — Saint-Etienne P3 conscience habituelle .ians un rôle se- Marie Dutech, veuve Raynaud, 78 ans, liât Lalande Pl par 40 à 24. condaire, où sa voix: et sa diction sont CCie-Pavée, 81. Saint-Etienne P4 bat Lalande P2 par des plus appréciables. 2! à 16 . Les chœurs ct l'orchestre sont sous Terrain de Samt-Sernln. — Saint-Jérôme la baguette autorisée de M. Laporte, COURONNES MORTUAIRES COSTES H bat Saint-Aubin P par 25 à 1S. qui obtient une agréable exécution. Terrain de Saint-Pierre. — Les Bluets Pl Dans le grand divertissement du 25, rue de Rèmusat, 25. battent Saint-Pierre P3 par 37 à S. deuxième acte, on fait à Mlle Olga ' Les Bleuets P2 battente Saint-Pierre P2'. pa- 30 à 6. p. c. Toulousain. — Ce soir, à 20 h. 45, Chassaigne l'ovation habituelle et Mlles AddH et Du Hameau partagent son succès. F. BOUOHAUD-BOULO. AVIS DE DÉCÈS réunion du bureau et des commissions au siège social. A 21 h., réunion générale. Com- -munication au siège social. A 21 h., rêu- ;nion générale. Communications sur la journée de dimanche prochain : championnat contre Cahors. Présence indispensable. FAUTEUILS de cuir et de velours 'élégants et solides. Modèles et prix nouveaux. Dépôt de fabriques parisiennes. MOBILIA, 6, rue Romiguières. S0C1ÉTÉ DES CONCERTS DU CONSERVATOIRE C'est demain vendredi, qu'aura lieu au Théjtre du Capitole, le quatrième concert de la Société des Concerts du Conservatoire dont nous avons fait connaître l'intéressant programme. La partie vocale nous permettra d'apprécier à ses justes mérites, la réputation faite à Mme Nadia de Cléry et qu'ont consacré tous les critiques musicaux de la grande presse du Paris et de province. La Société des concerts ne pouvait manquer à la tradition de ses pro- Monsieur Charles RÈMOND et Madame née CHEVALIER ; Madame Veuve Laurent RËMOND ; Monsieur Robert REMOND, Chevalier de la Légion d'honneur, fondé de pouvoirs de la Banque Courtois, et Madame née BEGUE • Monsieur François SÉNYABICH et Madame née RËMOND ; Mademoiselle Jeanne RËMOND ; Monsieur Jean-Jacques RËMOND ; Mademoiselle Christia. ne RËMOND ; les familles GALLY, CHEVALIER, BËGUÉ, SËNYARICH ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver ertla personne de grammes de nous présenter chaque sai- Madame Veuve Edouard REMOND son, une des grandes célébrités pianistiques du moment, et c'est ainsi née Claudine Honorine GALLY I¥ÎS ET COIf oaTiois que ses auditeurs auront le plaisir leur mère, belle-mère, grand'mère et d'entendre, au cours de ce concert- arrière grand'mère, décédée à l'âge de Anciens combattants non pensionnés. — l'un de nos plus jeunes et plus réputés 88 ans, munie des sacrements de l'Egli- (Section Ouest). — Tsuo les anciens combat pianistes, Vlado Perlemuter, dont le se et vous pient d'assister à ses obsè- étants non pixsionnés des quartiers : Croix troisième concerto pour piano et orques qui auront lieu le vendredi 82 jan- de Pierre, Ste-Cécile, Lafourguette et Fonchestre de Prokofieff, donné en previer à 10 heures, à la paroisse Sainte taine-Lestang, sont priés d'assister à la réumière audition à Toulouse, et trois Germaine. nion qui aura lieu ce soir jeudi, à 21 heu- pièces pour piano, de Chopin et Mau- On se réunira à la maison mortuaire res au calé de l'Avenir, à la Pointe. Il y rice Ravel. 10, avenue Crampel. ,'sera exposé les droits et devoirs des A. C. Nous avons encore présent à la mé- Il ne sera pas fait d'autre invitation^ moire, le souvenir de l'immense succès Ni lleurs, ni couronnes. N. P. remporté par Vlado Perlemuter, lors de Association des Ingénieurs de l'institut Pompe- Funèbres Municipales sa première audition â la Société des de Chimie. — L'Assemblée générale des In- 34. rue Pargamlnières, Toulouse. Tél. H.» Concerts, au cours de la saison 1929génieurs et Elèves de l'Institut de Chimie 1930, et ceci nous permet de croire à aura lieu le jeudi 21 janvier, à 21 heures, tout l'intérêt que le public de nos '.18, « Mon Café », place du Capitole. concerts ne manquera pas d'apporter à la présence du talentueux et sympa- AVIS D'ANNIVERSAIRE j thique pianiste. Ceux qui n'auraient pas voté par correspondance peuvent remettre leur bulletin à cette séance. Le bureau rappelle que pour ï'932 la cotisation est fixée à 30 fr. pour les anciens iélèves. Comité de Défense 3es intérêts des quar. ilers (St-Roch, Ampalot, etc.). — Assemblée générale du Comité ce soir jeudi à 21 'heures, salle de la Coopérative, rue du Féxétra. Orphéon Saint-Cyprien. — Ce soir jeudi, ia 20 b. 30, saUe de la Justice de Paix, ré- j •pétition d'ensemble. Association des Employés de Chemins de i ifer. — L'Assemblée générale extraordinaire aura lieu deirain vendredi 22 janvier, à 21 (heures dans la salle de l'ancienne Faculté I des Lettres, rue de Rémusat. Lyre de Salnt-Cyprien. — Jeudi 21 janvier a 9 b. du soir, à l'Ecole, répétition générale j pour les musiciens. Vendredi, 8 h. 30 du soir, salle de la Justice de Paix, pour les tambours, clairons et trompes. Présence absolument indispensable. Harmonie « La Toulousaine » — Au Cours de son assemblée générale du 15 courant, le bureau pour 1932 a ét§ constitué comme suit : Président : M. Girou; vice-présidents : MM. Conte et Daurade; secrétaire général, M. Gilbert; secrétaire adjoint M. Couvot, trésorier M. Balarot; trésorier adjoint : M. Very; archiviste : M. Bezy; commissaires : MM. Dieudé, Escaich. Pautes, Robert. La direction artistique de a Société est assurée par M. Messaud, directeur honoraire; M. Palette, directeur et M. Delmas, sousdirecteur. Les répétitions ont lieu tous les vendredis à 9 h. du soir, au siège social, 11, rue du (Taur. Amis coloniaux, 1, place Wilson. — C'est ïe dimanche 24 ajnvier prochain, à 2 h. de l'après-midi, qu'aura lieu au siège de la Société, 1, place Wilson, une matinée-concert qui inaugurera, pour l'année 1932, la série de nos fêtes familiales. AU JARDIN-ROYAL « Le Saint de Toulouse n Le populaire et noble Père Marie-Antoine r aeçu, dimanche dernier, un nouvel et filial hommage de la, part de l'Union Catholique du personnel des chemins de fer, toujours fidèle à sa fière devise : Fidem senari. Dans ce but l'Union a fait représenter Le Mystère, en 3 tableaux, un prologue et j un épilogue bien connu et si légitimement | estimé de tous nos lecteurs. le Saint de Toulouse, en effet, a été porté à la scène, sa physionomie dépeinte, son caractère sculpté, sa personnalité magnifiée par notre collaborateur Armand Praviel, d'une façon saisissante, en poète his- torien de Toulouse et en penseur chrétien. Le double et heureux réalisme, à lafois spirituel et matériel, la. poésie et le pittoresque, qui caractérisent l'œuvre d'Armand Praviel, ont été exprimés avec fidélité et souplesse par la troujg du Théâtre Chrétien de l'Union Sociale d\l Midi. MM. Cabar,.-s. Bensy, Thiers, ont personnifié dignement le Père Marie-Antoine et incarné des ! ouffartigues et Galestroupat pris sur le vif. Mlles Teychenné, Benzy, Cabanes, et tous les autres interprètes ont partagé les nombreuses salves d'applaudissements. Un succès de plus, très marqué, très vif, de la part ("un nombreux public à l'adresse de l'auteur et des interprètes du « Saint de Toulouse ». — H. D. Monsieur Hippolyte CAZAUX. cals* sier à la Compagnie Française ; Madame E. DELMAS, née CAZAUX ; Monsieur E. DELMAS, chef du bureau mu. nicipal d'hygiène, et leur fille Simone ; Madame et Monsieur J. ESPES dessinateur principal en retraite de la Cornpagnie du Midi ; Madame veuve GO- DIN et les familles ESPES, BELOU- DELMAS et CANTEGRIL prient leurs amis et connaissances de leur faire l'honneur d'assister au service anniversaire de Madame Marie CAZAUX née ESPES qui sera célébré en la cathédraV Saint- Etienne, le vendredi 82 courant, â EN BANLIEUE BLACNAO BouPes. — Ce soir, à 80 hTioTausièg^ Café Canal, réunion des Boulomanes Ces derniers désirant former des quadrettes de pupilles, 18 à 16 ans font appel aux parents qui voudraient bieni les letr confier. Pour l'Ermitage de Sainte Thérèse de I EnfanWésus C'est dimanche prochain — en matinéo — quo sera donnée la splendlde représentation artistique de : La Bergère au Pays des SAîKT-MARTIN-DU-TOUCH Loups, cette pièce admirable d'Henry Giiéon, si profondément émouvante dans sa pittoresque simplicité. C'est dans le but d'ériger une église dans le populeux quartier de la Côte-Pavée que cette manifestation d'art est organisée. But élevé puisqu'il s'agit do construire à la Pour les chômeurs anciens combattants. gloire de la petite Sainte de Lisieux, un — M. Rivollt, secrétaire général de la Con- nouveau ïita de culte d'où rayonnera brillédération nationale des A. C, est venu lamment : la Foi, l'Espérance et la Cha- spécialement à Toulouse, le lundi 18 janrité ; buts essentiels de l'église et qui sera vier, pour s'intéresser au sort des anciens pour la population de ce faubourg un foyer combattants « sans travail ». spirituel ou les âmes viendront chercher la M. Rivollet. assisté des représentants tou- paix le bonheur et les consolations . lousains de l'U: F. et de l'U. N. C, a fait Donner à un quartie- une église nouvelle des démarches auprès de l'Office départe- est un but tellement noble qu'il doit groumental de placement et du bureau municiper toutes les bonnes volontés, que de chapal du travail afin que les anciens combatque coin ds la ville 'es spectateurs accoutants « chômeurs » aient satisfaction le plus rent nombreux En contribuant par leur tfit possible. présence et par leur sympathio à ériger M. Brun, secrétaire général do la préfec- cette église, ils jouiront d'un spectacle éle- i cmssaoie, mais qui, dans 1 ensemble, ture reçut ensuite M. Rivollet et la déléga- vant les cœurs et les âmes et se réserveront | ?\ _ tion qui raccompagnait M. Ri volet d'exprimer accorde une priorité aux anciens combattants, pour les emplois disponibles, et un tour de faveur en cas de licenciement. Trouvailles. — Réclamer à l'administration des trams, un porte billets, une broche, un sac à main, une paire de gants, un sac à main, un paquet, un sac à provisions, un paquet, ua sac à main, un paquet, un sac, quatre parapluies ; à M. AugèTes, chez Mme veuve Garabe, à Cazères, tune petite éebarpe ; à M Bonnet, rue Percbepinte, 24, un naperon ; à M. Charlas, rue Négreneys, 2, une trousse médicale ; à M. Monfraix ,rue des Changes, 12, un balancier de pendule j à M. Berges, rue imaraon, 28, un cache-nez , à M. Sabu- sa Football-Club. — Les deux équipes au S. M. F. C. enlèvent la poule toulousaine et se classent, pour la poule finale. C'est devant une très grande assistance que se joua, dimanche dernier, a la prairie des Filtres, la finale de cette poule. En équipes secondes, Saint-Martin triompha par 3 buts à 1, après une partie toute à son avantage En équipes premières, ie jeu fut plus équilibre, les deux onze quittèrent le terrain dos à dos, 1 but contre 1. L Espérance montra une équipe supérieure à celle qui vînt à Saint. Martin pour, le match aller. Rapide flans toutes es lignes, une défense infranchissable, trop du fort coup de pied, . cej qui permit à , les benâictions et )es ffrâces qu0 Sainte ! chose qui rend ces matches monotole oesir^ Queî on ( T-,lérèse tear multipliera en pluie de roses et de faveurs. Billets en vente : Papeterie des Six Sœurs, plac9 Saint-Etienne. 1 nes - j Saint-Martin fit preuve d'une meilleure science, sa ligne d'avants qui n exerçait qu'a quatre joueurs, « ne —VVWjouant qu a dix », ne put arriver à concrétiser certaines attaques cependant bien, amorcées. L'extrême gauche, ÉTAT CîlILJe TilLOïSE d habitude impeccable, faillit faire payer cher a son cluh un repas d'amis. Publications de mariage des 17 et 18 janvier Excellent arbitrage de M. Doubaud. Louis Jaffre, mouleur statuaire, boulevard do la Marquette, 39, et Marie Timbal, re- CUGNAUX lieuse, port de l'Embouchure, 7. Antoine Agut, électricien, chemin de la Fête de la Sainte-Enfance. — Diman- Salade, et Maria Bouquet, sans profession, che 17 janvier a été célébrée la fête de place Saint-Georges, 15. la Samte-Enfance. ques rue Romiguières 17, un Uvret de j EUenne Clamens, coupeur «=u eu uûssures, chaussures, | Le soleil, en chassant le brouillard .Sisè d'épargne ; à M. Rigal, 45, rue du ^^SSS^taLT^ ' 1**°? ^ hésitantes à aP 1 ^fSrnrSn'ri^rS — ^ 22?" leurs béMs au Alphonse Teisseire cordonnier, place Ro- 1 cbe cycliste Cassagnau. chemin ae la Charbon- «te la Crônière, une chienne de chasse ; à M. Delga, faubourg Bonnefoy, un gant ; au bureau des épaves, une fourrure. SS'IaZSi, boulevard J[]Z % C rcT.\ d 'Z î l S Jl-^ &g t Sud, 2 et Marie ViUaroya, bonnetière, rue i cérémon e U rr,^7j C \ ié 1 ° h]6t ' àS '! Saint-Nicolas, 27. ï la rX'h I " ontr «. les personnages n US Ce Amans Lan.arque. électricien, écluse St- ce rm'iR n„, \ ° ,, aU lls 1 i ^ ! Michel, et i vette Coutanceau. à Ax-les-Ther- j exemn P »' n* falre J a et - BONS OUVRIERS ÉLECTRICIENS, mes (Ariège). ' noumèm£? Q n ° US d€VOnS f£U ' bons ajusteurs sur plaques modèles,. Charles Eeurion. ingénieur à Toulouse,! n evnlimfo i„ K * A ,
JEUDI 21 JANVIER 1932 lîie iilllllllllllllllHH" 1""""" 1 "" 1 " 1 IIBBBIIlial mmiiiiiimiium,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, r II ' n f Le Cross-Country de " l'Auto " à Vincennes On passage du doyen des « Vétérans » M. Olnzewkl soixante ans). (Catégorie des plus de Photo WideWorld. NATATION Encore l'Amateurisme Las. commissions compétentes de la Fédération . Française de Natation et Sauvetage se sont enfin émues, paraît- il de la fréquence du petit scandale de ràiriatéurisnie marron. En -vérité, il en était bien temps. Elles y consacreront cette semaine, de . longues séances et prendront, paraît-il, des décisions défi- nitives. Ce n'est , pas trop tôt. car voici six ans que cela dure. C'est un scandale gui fait long feu. Tant et , si ' bien long feu que le public, les . nageurs, les intéressés et les dirigeants étaient accoutumés de le considérer comme une chose natu- relle. , Quoi de. plus normal, je vous le demande, pour un club pauvre de gloire, mais riche d'espèces, que d'engager au prix fort un entraîneur officiel ,? Quoi Se plus normal ensuite que le faire nager .sous ; ses couleurs 7 a C'est un amateur, messieurs ; il ne touche rien pour nager. » Comme dit l'autre : i Je sut: oiseau, voyez mes ailes. » C'est réellement une excellente mé- thode pour , la fabrication des virgini- tés. Elle n'a qu'un défaut, c'est que Ja ficelle êst bien grosse. > Encore . si cette gale n'avait atteint que les clubs sans prestige, dont l'ac- quisition : d'un bon professitdmel sti- mulé le courage des amateurs, le mal n'eut pas été très grand, mais elle avalt J fmi par contaminer les sociétés les plus .glorieuses, et les plus respec- [tabi'es; les amateurs tes plus purs. Faut-il citer l'ancien international Rl&vaud, péïsé pour des faisons obscu- reskde la libellule aur S C.I J.-F., pour entraîner l'équipe de water-polo de ce cl'UD" mafs qui' joué à chaque ren- contra -dans- cette même équipe ? . Faut-il citer l'ancien champion' de Paris'- Xfeh'uf, que les baigneurs d'Hos- eegor connaissent bien pour avoir pris aveodui des, leçons de nage do style 1 Et "Lâssus, -le populaire professeur "dé natation dé Dqanville ? La. liste serait longue si Je voulais jr»htihuer 'jusfrvt'au bo.ut. Le cas"de Maya'ud. il est vrai, n'est pas .très, clair. ' Après tout, peut-être, entraîne-t-il les Scuîistes avec un dé sintéressement sans tache Mais Me- met et les autres ? Voila des g«ns que l'on paie comme professeurs de natation. Les paierait-on de même s'ils n'avaient pas un nom dans la natation sportive ? Allons donc 1 Et il lont figure d'amateurs. Pour l'hygiène et la morale du sport, il vaudrait mieux appeler les choses et les gens par le nom qu'ils méritent. Un autre cas : On se rappelle peut- être de l'éphémère recordman de Fran- ce des 400 mètres dos, Guigné-Bologne; pour les sportifs c Papillon » 7 Un joli nom. Ce brave garçon était maître nageur à la piscine Oberkampf de Paris. Ce n'est pas pour le diminuer. Seulement, il y avait ceci : grâce à son métier, il s'entraînait gratis tout à son aise, ce qui lui permit d'ailleurs de conserver son titre tout un temps. Grâce à son titre, il avait autant de clients qu'il voulait. Était-ce moral ? L'amateur qui devait payer chaque entraînement de son temps et de son argent étalt-il placé clans les mêmes conditions que lui ? Pouvait-il lutter à armes égales ? Il y a une définition de l'amateur qui a le mérite de la' clarté et d'une juste sévérité. Elle appartient, je crois, aux statuts de l'aviron. « Est amateur tout sportif qui ne tire du sport aucun, profit matériel. » U me semble que la chose serait vite ju- gée si l'on partait de cette définition. Au .reste, elle est acceptée par la Fédé- ration internationale. Pourquoi faut-il que. Ja Fédératir»a Française fasse ex- ception 7; Veut-on donner à l'eptranger l'impression que nous sommes des hy- pocrites ? Car il n'y a aucune objec- tion sérieuse à la réforme. Un homme n'est pas déshonoré parce qu'on sait qu'il gagne sa vie par le sport, s'il fait cela au grand jour. Il j l'est au contraire s'il ment au public, i en laissant croire . à . son désintéresse- i ment. Il l'est parce qu'il fait peser fa- j talement la suspicion du même m»n- 1 songe sur ceux de ses camarades qui sont restés purs. — M. B. tendu que le Français fut battu parce 1 qu'il commit t l'erreur ». dans le deu- xième set, de ne pas faire nui suprême effort pour s'adjuger la deuxième man. che alors qu'il menait par 6-4 et 5-1. Définissons d'abord le terme. Le mot erreur est un signe qui affecte diverses formes de notre manière d'être. Nous en reconnaîtrons, pour ne pas nous perdre dans les subtilités d'un cours de logique, deux grandes catégories. Dans l'une, nous distinguerons les erreurs raisonnées, ou jugements faux,, parce que s'appuyant sur un raisonne- ment péchant soit dans aa base, soit dans son enchaînement • dans l'autre, les erreurs sensorielles. Ainsi donc, on bien notre Joueur, conscient du score de 5-1, aurait déli- bérément cessé ses efforts pour ae re- poser fin vue d'une lutte ultérieure, ou bien il ne se serait pas rendu compte qu'il n'avait qu'un jeu à faire pour gagner la seconde mandhe. Pourquoi souriez-vous, tennismen T Mais l'explication rationnelle que nous cherchons de cet inattendu ren- versement de situation va peut-être nous être fournie par les données d« la psychologie. Les deux théories suivantes nous sont soumises à ce propos par notre enn- nent confrère Jean Zenith. Selon les joueurs de tennis, rapporte-t-i'l, « il y a des moments critiques au cours de certaines parties, ou la volonté est annihilée par une sorte de fatalité contre laquelle on ne peut rien. Même si on a une vision très nette de oe qu'il, faudrait faire, on ne peut passer à l'exécution.C'est comme une paralysie mentale qu'il est impos- sible d'éliminer ». Remarquons d'abord que ceci est une constatation et non l'explication q ue nous cherchons ; ensuite que le lait do ne pouvoir passer à l'exécution des gestes dont on voit la nécessité est le signe d'une paralysie motrice et non d'une paralysie mentale ; enfin que les hommes ont toujours cherché dans le surnaturel l'explication des faits dont leur ignorance constituait le mystère Le docteur Bellin du Coteau, ainsi que le rapporte plus loin le même chro. nique ur, a donné du fait que nous étu dions une explication plus recevante. Dans une première phase l'on assis- terait entre les deux joueurs à un « dé- placement de potentiel psychique » que suivrait, pour le joueur bénéficiaire, une exagération des facultés sensorielles et motrices, alors que son parte- naire serait victime du phénomène in- verse. Pour celui-ci, il s'agirait d'une sorte « d'ivresse provenant de l'afflux d'un trop grand nombre d'images ». L'AVIATION DES AFFAIRES POUR VOU L'aviatrice Maryse Hiltz et son méoanl cien Dronne qui s'envoleront prochai- nement vers Madagascar, U'hoto wide-worid) T ^Balles sans s résultat H est un pays, me suis-je'laisse dire, où les journaux .soucieux de la bonne santé morale aussi bien que respec- tueux, dés digestions pénibles de leurs lecteurs, n'étendent leurs chroniques que sur les événements heureux. Tendres journalistes, douillets lecteurs 1 Ainsi voudrais-je, voir les petites dé- ceptions et les grandes misères de notre fraction d'humanité . reléguées en trois lignes et en un coin de nos quoti- diens, recouvertes d'un écran opaque, permettant, selon l'humeur du moment, d'en prendre connaissance ou de les Ignorer.. Rien de plus pénible, en effet que de voir ergoter Un mois durant sur la dé- la ue d un champion, pour le vrai spor- Iil, qui connaît le jeu et s'est trouvé lui-même dans des circonstances paral- lèles, sinon identiques. Chez nous, cependant, où la joie de ia d^cussion arrive parfois à faire ou- blier la navrance du fait en cause, la délaite que l'Anglais Perry vient d'in- ' Alger à Borotra, dans ia Coupe de Noël, a été largement commentée. La difficulté ne semblerait cependant pas mince pour celui qui entrepren- drait l'analyse de tels événements. De- vant se placer au triple point de vue de la pratique, de la physiologie et de la psychologie du sport considéré, ce qui nécessitait des connaissances aussi précises que variées, ii risquait d'errer le plus souvent dans une blaguologie incolore bien faite pour indisposer à la fois sportifs, physiologistes et psy- chologues. Sans compter l'intéressé, avec lequel peu de rédacteurs sportifs se soucient pourtant d'échanger des balles, fus- sent-elles de tennis ! Malgré cela, plusieurs hypothèses nous ont été présentées. Nous allons les examiner par ordre chronologique. Notre excellent confrère Paulin a pré. L'Aéropostale cherchant toujours à réduire ia durée du trajet France- Amérique du Sud — déjà si écourtèe par rapport au bateau — s'intéresse beaucoup à l'hydravion commercial à grand rayon d'action. Divers constructeurs essaient de résoudre le problème et on en voit enfin la solution, cela ne veut pas dire évidemment que d'ici quelques jours, le service postal effec- tué par des avisos le sera par vole aérienne, mais une étape importante est franchie et on peut envisager le triomphe prochain de la ligne aérien- ne 100 % la plus longue du monde. Blériot a depuis quelque temps en construction un hydravion mùltimo- teur de 20 tonnes qui présente quelques caractéristiques intéressantes. De struc- ture métallique, la coque étudiée par le célèbre Ingénieur Zappata présente cette particularité que la partie AV, au lieu d'avoir une quille, possède aïi contraire une concavité centrale. On attend beaucoup de ce dispositif qui faciliterait les manœuvres de décolla- ge et d'amerrissage- Les ailes sont en grande partie entoilées, le constructeur ayant remarque que les vibra- tions des moteurs occasionnaient des fissures au revêtement métallique. D faut souhaiter que la construction de Ce bel appareil sera vivement poussée et qu'il entreprendra bientôt des essais probants. Latécoère, qui fonda l'Aéropostale, ne s'G9t pas désintéressé de la question. Depuis longtemps déjà les usines de Toulouse s'occupent d'hydravions à flotteurs d'abord puis à coque ; le constructeur a successivement étudié divers modèles de plus en plus puis- sants et qui ont donné de bons et mê- me d'excellents résultats sanctionnés par divesr records mondiaux. Le dernier né de la mfiison est aussi «un 20 tonnes, à 4 moteurs placés 2 à 2 en tandem. Construction métallique monoplane avec un aileron inférieur assez développé. Ce-t appareil aux u~ gnos superbes* venait à peine de com- mencer ses essais quand, ces jours-ci, il. a coulé dans l'étang de Biscarosse. On ne sait encore à quoi est dû cet accident : on n'en a tout au moins pas publié les causes. L'équipage s'en est heureusement tiré sain ct sauf et on peut espérer — étant donné les lieux Pour VENDRE ou ACHETER une Industrie ou un Commerce j Pour TROUVER une commandite, une gérance, un emploi intéressé ; Pour CONSTITUER une Société, etc.; Pour GÉRER vos Immeubles, votre intérêt est de VOUS ADRESSER en CONFIANCE à une] ORGANISATION SPÉCIALISÉE ayant fait ses preuves et offrant toutes garanties. LE CABINET H. ÂSPE FONDE EN 1907 , Membre de la Chambre Syndicale des Mandataires en vente de Fonds de Commerce et Industrie de France. (25, Rue Laîayette, TOULOUSE - Tél. 18.77 Ses relations étendues dans le monde des affaires lui permettent de réaliser! rapidement — et à la satisfaction des parties — j toutes transactions. Toutes ses affaires ont été sérieu- sement étudiées et sont présentées à leur valeur. Références Consultez-nous Téléphona : 18-77 ou sur rendez-vous. de l'accident, que l'appareil sera bien- tôt renfloué et répaié. La question des hydravions mise de côté, la France possède un bel aviou gros porteur, le « Dyle- et Bacalan 70 ». Ce trimoteur vole dep'iis pas mai de temps et semble avoir donné des ré- sultats satisfaisants, AUX dernières ma- nœuvres, l'armée a étudié son utilisa- tion possible et ces jours-ct, à Vijua- coublay, lors de l'exposition des pro- totypes, M. Dumesnil, ministre de l'air, lui a confié la mission de tiansporter les journalistes invités. Espérons que la S. G. A., dont lont partie les chan- tiers Dyle et Bacalan, ne sera pas la seule à s'intéresser au gros avion et que ncs autres constructeurs tiendront à présenter des modèles taisant honneur à la construction nationale. Depuis le succès de l'ascension du Professeur Piccard dans lu stratosphè- re, divers avionneurs français et étran- gers se sont attachés à l'étude de l'a- vion stratosphérique. Ces jours "derniers, la presse donnait d'intéressants détails ur l'avion stra- tosphérique Guerchais. Cet appareil fera ses essais au printemps prochain. Ce sera un monoplan à ailes surbais- sées de lignes normales. La cabine de pilotage, placée tout en arrière du moteur et du réservoir d'essence, sera étancha et munie d'appareils de régé- nération de l'air. Le moteur prévu est un Lorraine-Orion 700 CV à compres- seur Brown-Boveri. En dehors d'un appareil léger de records, le modèle normal aura une charge utile de 2.500 kilogs pour 5.000 kilogs de poids total. aO espère atteindre au sol la vitesse de 298 kilomètres et 388 kilo- mètres à 7.000 mètres et 316 kilomètres à 10.000 mètres. Souhaitons que ces essais soient satisfaisants et que les autre constructeurs ne restent pas en arrière. L'avion stratosphérique est en effet appelé à révolutionner l'aviation civile et militaire. Au point de vue commercial, l'obtention de grande* vitesses permettra de couvrir de longues distances et au ]>oint de vue militaire en pense bien qu'Un avion volant à 10 kilomè- tres en l'air sera à peu près à couvert de la défense aérienne normale. Souhaitons que cett.i dernière utilisa- tion soit la moins employée I — DRELCÊv LES PLUS BELLES AFFAIRES DE VENTE OU ACHAT DE COMMERCES OU INDUSTRIES A TOULOUSE ET DANS LA RÉGION DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES ONT ÉTÉ TRAITÉES PAR Le Cabinet d'Etudes H. ASPE MES RÉFÉRENCES A titre d'Indication, ci-dessous Quelques-unes des principales affaires réalisées par mon Cabinet d'études : Brasserie du Coq d'Or, à Toulouse. Restaurant Doré, — Michel, — — Lucullus, — — de la Paix, — Alimentation Pasturel, — Fabrique de billards Détail, — Grand Café de la Paix, — Grand Hôtel Capoul, à Toulouse. Grand Hôtel de Paris, — Grand Hôtel du Progrès, — Grand Hôtel Henri IV, — Grand Hôtel Leroy, à Biarritz. Grand Hôtel de la Méditerranée, à Marseille. Brasserie des Cigognes, à Marseille Vendeurs et Acquéreurs Soucieux de leurs intérêts, peuvent s'adresser — en toute confiance — au Cabinet H. ASPE. Toutes les affaires ont été sérieusement étudiées j et sont présentées à leur valeur. M. Gillou, présiJ'-nt de la Fédération française de Lawn Tenis qui vient d'être promu officier de la Légion d'honneur. {Photo Wlde-\Vorld) Voici quelques éléments de vérité que nous allons essayer de démêler : Tout phénomène reconnaît des causes : pour celui qui nous occupe, .dis- tinguons-les er. prédisposantes et en déterminantes ou occasionnelles. Comme l'écrit Marcel de La.borderle dans le « Sport Universel », Borotra est un plus de trente ans, engagé sur la pente du déclin et qui n'a plus l'ar- deur à l'entraînement d'un Perry, jeune, en pleine ascension. Au septième jeu de la seconde man- che, nous sommes en présence d'un challenger qui joue chaque balle avec la fougue de ses vingt-deux ans, en face d'un tenant du titre dont le manque d'entraînement ne lui permet plus de jouer cinq sets à cette cadence. Et Marcel de Laborderie peut écrire : « Borotra baissa de pied ; le souffle n'y était plus ; les muscles cédèrent et' bientôt ce fut au tour du moral d'être atteint ; dès lors, c'était la dé- bâcle... » Cause occasionnelle : quelques balles perdues à la file, pour que surpisse dans l'esprit du joueur et grandisse jusqu'à i'or.vahir tout entier cette ef- frayante lucidité qui lui montre la marque à maîtriser. 5—1, 5—2. 5—3... Ohnubilité par cette idée de l'intérêt d'abord, de la néces- sité ensuite, à mesure que l'adversaire remonte, qu'il y a à gagner ce sixiè- me jeu, 'le joueur ne joue plus contre la balle, mais contre la marque. Et tout à coup, à l'occasion d'un effort aussi vain que les précédents, cette unité de l'esprit tendu vers un seul but et qui coïncidait avec une con- tracture musculaire déprimante, se ré- sout en une pluie d'images par les- quelles parviennent à la connaissance toutes les conséquences de la défaite prochaine. Les muscles contracté» jusque-là se résobvent. Les réflexes ne jouent plus. On peut alors parler de débâcle. La conclusion de cet essai est que ces renversements de situation sont inhérents à la formule du championnat où le souci exagéré de la marque entrave trop souvent la liberté du geste sportif. N'ajoutons donc pas trop d'impor- tance au tableau noir et disons-nous bien que notre Basque a fait déjà prouve d'assez de fantaisie pour nous réserver encore "quelques surprises qui ne seront pas toutes désagréables. — RENF-SUZANNF. sa*/» idr3 l'i VOITURES D'OCCASION La succursale CITROEN. 18, rue Cons- tantine, a actuellement un choix con- sidérable de voitures d'occasion de toutes marques, à des prix particuliè- rement avantageux. Ci-dessous, extrait da notre tarif des voiures d'occasion : CITROËN Conduite int. B 14 G. 8.000 — Torpédo B 12 7.000 — Boulangère B 14.... 6.000 — Familale C 4 13.IWU — Torpédo 5 CV 6.0.J — Conduite int. C 6.... 11.000 — Torpédo C 4 11.000 — Torpédo sport B 13 G 7.00a Toutes ces voitures ont été remises en parfait état par nos spécialistes et comportent une garantie mécanique et électrique de 3 à 6 mois, suivant mo- dèle. Pour essai, s'adresser 18, rue Canstantine, Toulouse. (Téléph. 36-19). 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Les Auditions par T.S, PROGRAMMES DtT M JANVIER RADIO-TOULOUSE 12 h. 45. — Opéra : Les Huguenots, fantat. sie ; Don Juan ; Aida : Marché tj-ioinphale, 13 heures. — Chansonnettes. 13 h. 15. — Soli. 17 h. 15. — Musique militaire. 17 h. 30. — Orchestres divers. 17 h. 45. — Orchestre synit>l.onl
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21 janvier 1932 - Bibliothèque de Toulouse

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