26 Novembre 1908 - Bibliothèque de Toulouse

More documents

Recommendations

Info

Jeudi 26 Novembre 1903- œraeanra M 50- prochain. M; * sromèora. W 55; 4 «e mm», H; •"ïfc ""oS^»». » «5: PT.....« Orléans 3 % ancienne Ouest 3 % ancienne .-r.r... Ouest-Algérien P.-L.-M. 3 % (fusion ancienne).... Panama lots Panama lots libérés Suez 5 % Autrichien 3 %. i" hypothèque.... fximbarde ancienne Nord-Espagne Portugal» Saragosse ....juoti • — ' • COURS DES PRIMKS 3 % dont 50 Idont 25 3 % dont 10 Extér. dont 50... Banq. ottom. d. 5 Rio dont 10 Londres Londres (chèques). Allemagne Espagne (court)... Espagne (long).... Buenos-Ayres (or) . 98 82| .. .. 1 don t 2o dont 2 f 1920 ..Idont 5. CHANGE 540 75 539 50 503 .. 505 .. 407 . . 407 75 542 .. 542 50 511 .. 541 .. 307 .. 385 25 306 .. 385 .. 406 .. 405 50 441 SO 442 50 B92 .. 392 .. 482 . 48 4 80 502 75 50 1 .. 39(1 .. 897 75 45 1 50 452 .. 465 50 468 .. 501 .. 502 .. 434 .. 435 .. 456 .. 456 50 472 .. 471 .. 497 75 499 50 432 .. 432 .. 4:il .. 432 50 447 .. 418 .. 438 50 439 75 451 75 452 50 411 75 4xx BOÎTES de 4.25, portant le nom VALDA, et l'adresse du seul fabricant H. Canonae, ph' 1 , 49, tut Réaianur, Paris |k. La boîte 1.2S tEfefide Kie :H»
10 MIDI Organe quotidien de Défense Sociale et Religieuse ,E NUMÉRO0CENTIMES RÉDACTION ET ADMINISTRATION: Toulouse, Rue Roquelaine, 25 LE NUMÉRO 5 CENTIMES SiOTE GAnONNE ET DÊPAmT.MF.NTS L1MITllal'UI S SÉI'ARTF.MENTS NON MMITftOl'HKS 4THANGI.II (Union postale) Trois mois 6 fr. 7 - 10 Ski tnoii A\ fr. 13 - 20 - Un «n 20 fr. 2-4 - 40 - fces Abonnements partent dos 1" et 16 de chaque mois et sont payables d'avance Toute demande di changement d'adresse doit être accompagnée de 50 centimes. ÉDITIONS RÉGIONALES Lot, Aveyron, Corrèze, Cantal Gers, Hles-Pyrénées, Basses-Pyrénées, Landes Tarn-nt-daronne. Lot-et-Garonne Tarn, Aude, Hérault, Pyrénées-Orient&les Haute-Garonne, Ariège Edition du matin spéciale a Toulouse X9STWXI «TioraB ANNONCES (t« pifl . RÉCLAMES — RECLAMES (3» page) . LOCALES • • • » . ï . . • • et • • • • • • • • • • Il Uguo O fr- 80 - 4 - 50 - 2 - » «- 3 - » Les Annonoes et Réclames sont reçues dans nos Bureaux, rue Roquelaine, 26, à Toulouse, et ohez WUB nos Correspondant!. FIL TÉLÉGRAPHIQUE SPECIAL Jeudi 26 Novembre 1908. - 18' Année - N" 5,866 BUREAUX A PARIS: 26, RUE FEYDEAli j sant ot surtout plus profitable à la vérité I £>c F*aîtS QU I OtIÏ I d'enregistrer les aveux du rédacteur de J 'la Dépêche, lorsqu'il déclare un peu plus ta Chambre a achevé la discussion du bud- egt de la marine. loin qu'il y a « dans le pays, à l'égard des parlementaires, un mouvement de mau- vaise humeur qui n'est pas encore très redoutable, mais qu'uno circonstance for- On croît toujours que des arrestations se rapportant à l'affaire Steinheil sont imminen- . les ; le bruit de l'arrestation de Mme Steinheil J tuite et imprévue pourrait transformer B couru à Parla, mais n'est pas confirmé. I en une opposition violente et mena- ï çante ». Voici le mot de la fin : « Si décidément, quoiqu'ils en puissent D , w . , dire ou faire, le peuple persiste à se scan- buigares viennent d'aboutir à un accord sur 1 daliser de 1 augmentation du traitement De nouvelles manifestations antiautrichion- nes ont eu lieu à Rome ; les carabiniers ont dû intervenir. tous les points. — On assure que l'ambassadeur d'Autriche quit- tera Constanti nople vendredi en raison de la continuation du boycottage des produits autri- chiens en Turquie. —>— Le général haïtien Lecomte a été exécuté par les révolutionnaires et la ville d'Aquin pillée. , _ *-»-. Un vapeur anglais transportant des pèlerins de ses députés, si ces députés, après en quête sérieuse chacun dans sa circons- cription, acquièrent la certitude que leurs électeurs les désapprouvent en cela, ils s'honoreront en s'acquittant du de- voir de revenir sur une mesure que l'opi- nion aura jugée prématurée, et, par un I Corvée." le 8 de ce mois, ou devra suspendre à cette date tous les services du maghzen. SAINT-AUIAIRE. Le 4 mal, Abd el Aziz, ee préparant à tjuitter Rabat, demande notre protection. Le 1" juin, il adresse aux signataires de l'acte d'Algésiras uhe protestation contre la révolte de son frère. Le 27 juin, il pousse encore vers noua un cri d'appel. Il montre que son avenir est entre nos mains : Toutefois, Abd el Aziz, avant d'entreprendre cette expédition, demande si le gouvernement de la République consent à assurer la protection de son palais de Rabat, dans lequel u laisserait sa famille et ses serviteurs. Il craindrait, en effet, qu'en cas de revers, des traitements barbares ne leur fussent inin- ges. S'il échouait dans son projet, Abd ei Aziz 6e replierait sur la Chaouia, oii 11 cesserait aussitôt de combattre. 11 demande que, dans cette éventualité, la protection du gouvernement français le couvre, ainsi que sa famine et le ipersonnel de son maghzen. Le sultan espère que notre appui ne lui fera pas défaut et que grâce à notre intervention une situation digne de son rang lui sera ré- franc aveu de leur erreur, l'autorité re- marocains à la Mecque a brûlé dans le port I viendra à leurs personnes, tandis que le le Malte ; il y a de «ombreuses victimes. \ régime parlementaire, vraie et indispen- sable forme de la République démocrati- que, reprendra son prestige. » Au tirage des obligations de la Ville de Paris 1904, le n°2O5,0S3 a gagné 100,000 francs. —>-- folr par ailleurs tes nouvelles qui nout toaf parvenues à la dernière heurt. Les Malades Es ne mouraient pas tous, mais tous étalent frappés. Notre bon La Fontaine eût certaine- ment conté cette triste histoire en vers. M. Aulard la narre en prose aux lecteurs de la Dépêche. C'est l'abomination de la désolation. Les parlementaires de la République» r/ont pas encore la peste. Ils ont simple- ment quinze mille francs par an 1 Est-ce trop ? Non, ce n'est pas assez, dirait pour un fwxii lo eif,/wi3.n JuwUiflpd, Moô lo oîiofcr-© est un homme prudent. Il se borne à ob- server, avec d'infinies précautions, que l'augmentation de l'indemnité parlementaire est « une bonne chose en soi ». Les princes de la Démocratie républi- caine ne pouvaient pas se contenter du traitement de neuf mille francs que les élus de la plupart des Etats monarchi- ques n'eurent jamais la pensée de s'oc- troyer. La République n'estrelle pas, «près tout, un gouvernement à bon mar- ché ?... Pour cette raison, députés et sé- nateurs ne sauraient assez bien se servir. Et c'est sans une minute d'hésitation qu'ils ont accompli la plus grande ré- forme des temps modernes. M. Aulard ne les blâme pas, leur geste devant leur donner « plus de loisir et plus de force pour poursuivre le bien de leurs commettants ». Toutefois, tout le monde, en France, ne pense pas comme M. Aulard, et M. Aulard est obligé d'en faire discrètement l'aveu aux lecteurs de la Dépêche. Oui, les « électeurs, surtout dans les campagnes, écrit-il, ont eu une tout autre im- pression et n'ont point jugé comme moi.» Et que dit-on dans les campagnes ? M. Aulard, qui se flatte d'avoir l'ouïe extrêmement fine, a entendu ceci notamment : — Si du moins, les parlementaires ga- gnaient leur argent, s'ils travaillaient sé- rieusement, s'ils travaillaient davantage depuis qu'ils sont mieux payés ! Mais non : les séances dp Sénat, fait remar- quer la malignité, sont aussi courtes et Il rappelle que si sa. cause s'est trouvée compromise, c'est parce qu'il a voulu appli- quer loyalement les réformes d'Algésiras et notamment l'institution de la police, comptant qu'il serait soutenu par les puissances signa t aires. .. .. C'est également, dit-il, parce qu'il a accepté "TV/"T - -»A " i« -,i fct Rion I sans protester l'action de la France à Casa- Il faut, en venté, que le mal «oit men blancai qu . u a donné à adversaire l'occa- grand pour que M. Aulard se soit décidé | sion d'exploiter contre lui les sentiments tena à signer un aussi alarmant bulletin de santé. Ce mal nous était apparu dans quelques manifestations électorales. L'en- trée de M. d'Elissagaray au Palais-Bour- bon au cri de : « A bas les Quinze Mille » ne pouvait qu'inspirer de sérieuses crain- tes aux moribonds. La confession de M. Aulard est décisive : les Quinze Mille agonisent I Tous peut-être ne sucombe- ront point ; mais tous sont frappés de déchéance morale aux yeux du pays ; le régime qui leur permit la gigantesque flibusterie que constitue l'augmentation de l'indemnité parlementaire, ce régime- là est atteint et convaincu de complicité. Il pourra reculer la date du verdict de condamnation qui l'attend. Il n'empê tiques de son peuple. Les projets d'Abd el Aziz sont unanimement approuvés par ses vizirs M. Regnault signale deux jours après combien ces demandes sont justifiées et modérées Il est donc avéré que durant toute cette année la France a pu compter absolument sur Abd efl Aziz et qu'il s'est mis à sa dis- position «pour créer sous notre direction un régime plus stable au Maroc. La France, malgré cela, a choisi, non 6ans hésitation, une politique de « neutra- lité », — en réalité d'abandon, dont on voit révolution dans les documents du Livre Jaune. Dès le 8 novembre, elle laisse partir pour Marrakech à destination du prétendant les armes et les munitions qui se trouvaient à la douane de Safi. Ce n'est qu'après de nombreux échanges avance à Abd el Aziz 2.500.000 francs, M. Pichon met à l'emploi de cette somme des restrictions difficilement conciliâmes, sem- Me-t-il, avec la « souveraineté » du eultan, proclamé à Algésiras. L'argent sera fourni par mensualités. Les chèques devront être visés par un contrôleur, qui devra Être agréé par la Banque do 1 Etat. Je propose à ladite Banque le commandant Fariau. qui a déjà été chargé du même rôle lors de l'avance die 1,500,000 francs. Je demande A la Banque de vouloir bien ouvrir d'urgence un crédit dc 400,000 francs, destiné au paiement des soldes arriérées. M. Gaillard devra expliquer au maghzen due cette nouvelle avance ne devra pas servir à solder les mehallas dirigées vers l'inté- rieur. PICHON. Le 18 février, M. Pichon fait part de cette restriction à l'Allemagne. 'Néanmoins, le 18 mai, H refuse de rece- voir les envoyés do Moulai Hafld. '.La France va-t-elle donc soutenir, suivant les traités et suivant son intérêt, Abd el Aziz ? Non. Quand, en juin, celui-ci fait appel à nous, M. Pichon télégraphie à M. Regnault t Paris, le 27 juin 1908. Je no puis, en réponse 'à votre télégramme de ce jour, que vous confirmer toutes mes instructions antérieures sur notre résolution de no pas intervenir dans la lutte entre le sultan et les prétendants. Nous ne pouvons, par conséquent, donner h Abd el Aziz les assurances qu'il demande et nous ne pouvons rien faire qui ressemble à une action militaire en sa faveur. PICHON. Le 30, nouvelle dépêche, un peu moins sèche que la précédente, mais toujours dans le même sens : Paris, le 30 juin 1908. Vous pouvez faire connaître à Abd el Aziz que. le cas échéant, nous offrirons un refuge à bord de nos bateaux de guerre à sa famille et à ses serviteurs. D'autre part, il va de soi que le palais de Rabat doit être gardé comme toutes les autres parties de la ville par la police. A cela doivent se borner les assurances à donner au sultan. Si des troubles se produi- saient et si la police était impuissante à main- tenir l'ordre et la sécurité, nous pourrions être amenés à intervenir, sur l'avis conforme du corps consulaire, mais c'est une éventualité que vous n'avez pas à viser dans votre réponse à Abd el Aziz. Les circonstances pourraient devenir telles que le maghzen croirait avoir intérêt à faire naître des troubles pour nous obliger à occu- per la ville et il importe que rien dans notre langage ni dans notre attitude ne puisse en- excessif. S'il est soupçonné ou inculpé d'autres crimes, rtu'on Je dise nettement. Or, non seulement la découverte do la fa- meuse perle dans son portefeuille ne prou- ve en rien sa complicité dans l'assassinat de M. Steinheil et de Mme Japy, mais elle l'innocenterait plutôt. En effet, quand on dé- robe un objet, c'est dans un but quelcon- que, soit pour en faire de l'argent, soit pour l'employer à son usage personnel. Depuis plus de cinq mois qu'il garde sur lui le produit de son larcin, comment n'a-t-il pas trouvé l'occasion de s'en défaire moyennant une somme même minime, au lieu d'en faire une preuve contre lui en le gardant ? Cette perle, que parmi les autres bijoux de Mme Steinheil il a choisie presque sans valeur, il ne voulait pourtant pas la faire monter en uno épingle qui l'eût dénoncé tout de suite. La veuve du peintre assassiné joue vrai- ment de malheur. Dés la découverte du crime, elle désigne trois hommes noirs et une femme rousse. Les hommes noirs, ni vus ni connus ; et pas plus de femme rousse que sur la main- Tous les gens que Mme Steinheil a cru reconnaître comme les as- sassins de son mari et de sa belle-mère, se sont trouvés être l'honnêteté même. Une perle, dont on n'avait même pas annoncé ia disparition après le crime, est découverte, enveloppée d'un papier de soie tout neuf, dans un vieux portefeuille crasseux, et le valet de chambre déclare que, si on en a fait tomber la perle, c'est que quelqu'un l'y a mise. Mais, bizarrerie remarquable et qui don- ne à penser que certaines personnes jouis- sent de la double vue, Mme Steinheil avoue avoir secoué le portefeuille, comme 6i elle savait qu'il devait contenir autre chose que des lettres d'où Couillard avait enlevé les timbres-poste. Depuis cinq mois que celui- ci vivait auprès d'elle, elle aurait eu cepen- dant de nombreuses occasions d'inventorier le contenu du portefeuille. Elle eût, dès le début de l'instruction .saisi la perle et n'aurait pas tenu le public le bec dans l'eau pendant des mois. A moins que, comme l'affirme Rémy Couillard, une main incon- nue n'ait introduit récemment, dans le but de le perdre, la perle dans le portefeuille. Ce n'est peut-être pas dans les bureaux du Matin, journal dont les procès Humbert et Chaumié n'ont pas entamé la bonne répu- tation, qu'on aurait eu l'idée de jouer au jeune domestique cet épouvantable tour. Ce n'est pas non plus Mme Steinheil, trop heu- reuse dans 6on deuil d'avoir retrouvé sa quel se joindra aussi le peuple des villes, g? ÊlmaSÏÏ ^ «f£ J&^to tStofiS P**»- . n'en déplaise à M. Aulard — de mar- contre la mehalla hafidlste de Moulai Ra- Jî D 6 " d n0 à s ^Jwn territoire Mon> e héros de la guerre du Transvaal a signalé le péril qu'offre l'éventualité d'une invasion alle- mande. Jusqu'à ces derniers temps, il était admis, comme un dogme, dans le monde militaire, que la Grande-Bretagne ne pou» vait être envahie que par son littoral méri- dional. La Fronce seule, disait-on, pouvait faire débarquer des troupes entre Plymouth et Douvres. Au dix-huitième siècle, cette question fut étudiée de très près par le gouvernement de Louis XV- Une élite d'Ir- landais, placés sous les ordres du comte de Broglie, visita tous les ports, tous les ha- vres, toutes les anses, 6e rendit compte des ressources du pays, dressa l'inventaire des approvisionnements et consigna ses obser- vations dans de nombreux rapports qui for- ment un curieux dossier conservé dans les archives du ministère de la guerre. Lors- que Napoléon créa le camp du Bois de Bou< logne, il se fit remettre cette masse de documents. On vivait donc jusqu'ici dans la croyance que l'Angleterre n'était abordable que du côté qui -regarde la FTance. C'est pourquoi, lorsque des pourparlers furent sur le point de s'engager, pendant la guerre du Transvaal, avec l'Allemagne, il fut con- venu que le corps de débarquement parti- rait de Cherbourg. Mais aujourd'hui tout est changé. Voici que le général Roberts prévient ses compatriotes que la mer du Nord doit être désormais plus surveillée que la Manche. C'est par le littoral oriental que l'Angleterre cotfrt aujourd'hui le dan- ger d'être envahie. Et quelle résistance op- poscruit-eMe à l'Allemagne ? Une force de 40.000 hommes tout eu plus. Or, d'après le général Roberts, il ne faudrait pas moins do 600.000 soldats citoyens pour lutter à armes égales contre 150.000 continentaux bien entraînés. Notre situation, a déclaré le généra] Roberts, est effrayante. Ce qui manque en effet, à l'armée anglaise, c'est le recrutement ; et le recrutement est le mus- cle de la guerre, comme l'argent en est U nerf. Les engagements jusqu'au 30 juin der- nier oint été moins nombreux qu'on ne l'es- pérait. On n'a créé l'artillerie des volun teors qu'en licenciai* 33 batteries actives Comme l'écrivait au pintemps demiet VArmy and Navy Gazette, a l'armée active a été réduite et reste menacée de nouvelles réductions. La réserve décroîtra également par l'effet des mêmes causes- La milice a été détruite et nul ne peut dire dans quell* mesure la réserve spéciale la remplacera- is volontaires ont disparu pour les deu* tiers de leur nombre et sont remplacés pour un tieTs seulement par des territoriaux. L» corps de l'artillerie royale, gr.âce à une in- novation criminelle, va perdre une partit de ses effectifs. » Et la revue technique con- cluait : « Nous sommes au regret de voit le ministre réfractai ro à tous les argument* que lui oppose ce que l'armée et la natiot; comptont de plus éclairé ». Gomme vous U voyez, les doléances du général Robert.» sont des plus fondées. Mais le mintetèM Asquith ne veut en tenir aucun compte 5 le refus hâtera fin chute et précipitera l'a- vènement d'un cabinet Tory. MÉWAI.OUS MA par fil Spécial M OTRE M VRINE Le • Coudé il Toulon Paris, 25 novembre. I.e ministère
Page 1 and 2: LE NUMERO 5CENTIMES Organe
Page 3 and 4: ISS Jen&\ 26 Novftiïibre 1908 M KZ
Page 5 and 6: DU MIDI LE NUMERO 5 CENTIMES Orgai
Page 7 and 8: -Ml Aimât** de I'.ord'a été fa.i
Page 9 and 10: LE NUMÉRO 5CENTIMES Organe. qaotid
Page 11: mm ^0B-xsjamui.i u n —" ,.„. ,i
Page 15 and 16: Jeudi 2fi Nryrrtmfrre lÔS ,Wvr«v-

26 Novembre 1908 - Bibliothèque de Toulouse

Create successful ePaper yourself

Delete template?

Save as template?