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Tirages et restaurations de la Cinémathèque ... - Ciné-ressources

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Entrée <strong>de</strong>s<br />

artistes<br />

Marc Allégr<strong>et</strong><br />

1938<br />

Filmsorior présente une prod. Regina. Louis Jouv<strong>et</strong><br />

(le professeur Lambertin), <strong>et</strong> C<strong>la</strong>u<strong>de</strong> Dauphin (François<br />

Polti), dans un film mis en scène par Marc<br />

Allégr<strong>et</strong>, Entrée <strong>de</strong>s artistes, se. <strong>de</strong> Henri Jeanson <strong>et</strong><br />

André Cayatte, dial. <strong>de</strong> Henri Jeanson. Avec : Od<strong>et</strong>te<br />

Joyeux (Cécilia), Janine Darcey (Isabelle), André<br />

Brunot, sociétaire <strong>de</strong> <strong>la</strong> comédie française (M. Grenaison),<br />

Robert Pisani (Jérôme), Ma<strong>de</strong>leine Lambert<br />

(Elisab<strong>et</strong>h), Roger Blin (Dominique), Mady Ma<strong>de</strong><br />

(Denise), Babita Sauren (Norah), Henri Busqu<strong>et</strong> (huissier<br />

du Conservatoire), Georges Pally (Marty), Mad. -<br />

Geoffroy (Mme Grenaison), Yves Brainville (Sylvestre),<br />

Mlles Gaby Andreu, Hélène Dassonville, Sanda<br />

Dancovici, Anita Daene, Denise Berley, Nina Sainc<strong>la</strong>ir,<br />

MM. Bernard Blier, André Roussin, Michel<br />

Vitold, Dennery, Ro<strong>la</strong>nd Piétri (les élèves). Avec Mme<br />

Sylvie (Clémence), <strong>et</strong> Car<strong>et</strong>te (Lur<strong>et</strong>te), <strong>et</strong> Dalio<br />

(le juge d'instruction). Chef op. : Christian Matras.<br />

Second op. : R. Juil<strong>la</strong>rd. Ai<strong>de</strong>s-op. : Bourreaud, Bontemps.<br />

Mus. <strong>de</strong> Georges Auric. Éditée par Chou<strong>de</strong>ns.<br />

Maqu<strong>et</strong>tes <strong>de</strong> Alex(andre) Trauner. Chef déc. : Jacques<br />

Krauss. Asst m<strong>et</strong>teur en scène Jean Hu<strong>et</strong>.<br />

Second asst. : Louis Gendre. Mont. : Yvonne Martin.<br />

Régisseur général : Lucien Pinoteau. Régisseur <strong>de</strong><br />

p<strong>la</strong>teau : L. Demasure. Script-girl : Mad. Lefèvre.<br />

Photographes : Roger Kahan, Henri Pecqueux. Administrateur<br />

: Robert Vernay. Dir. <strong>de</strong> prod. : Georges<br />

Jouanne. Ce film a été réalisé dans les studios<br />

Filmsonor d'Epinay-sur-Seine. Enregistrement Eurocord.<br />

Ingénieur du son : Leblond. (Source : générique<br />

copie).<br />

Ad. : Métrage : 2 952 m. Durée : 1 h 48. Maquil<strong>la</strong>ge<br />

: Mijissky. Tournage : 1" juill<strong>et</strong> 1938 - 5 août<br />

1938. Décor à Epinay : b<strong>la</strong>nchisseries, boîte <strong>de</strong><br />

nuit, cabin<strong>et</strong> du juge d'instruction, le Conservatoire.<br />

(<strong>Ciné</strong>matographie française n°1026 à 1031). Sortie ;<br />

octobre 1938.<br />

Janine Darcey, Nina Sinc<strong>la</strong>ir, Louis Jouv<strong>et</strong>, Ro<strong>la</strong>nd Piétri<br />

L'action se passe dans les milieux du conservatoire. Toute une jeunesse impatiente, studieuse, fleurie<br />

d'espoir <strong>et</strong> d'illusions, prépare l'examen d'entrée aux c<strong>la</strong>sses dramatiques. Nous voyons les nouveaux <strong>et</strong><br />

les anciens élèves, nous assistons à leurs débuts, aux séances d'examen <strong>et</strong> à <strong>la</strong> c<strong>la</strong>sse du professeur<br />

Lambertin. Une intrigue s'ourdit contre un coquebin d'élève, une jeune fille <strong>de</strong> famille (Cécilia), fantasque<br />

<strong>et</strong> désaxée <strong>et</strong> une p<strong>et</strong>ite b<strong>la</strong>nchisseuse qui s'éveille à l'art <strong>et</strong> à l'amour. Pour prouver sa passion désintéressée<br />

Cécilia se suici<strong>de</strong> au cours d'une scène théâtrale jouée au Conservatoire ; mais elle agit <strong>de</strong> telle sorte que<br />

l'on soupçonne François <strong>de</strong> l'avoir assassinée <strong>et</strong> le malheureux serait condamné sans l'intervention d'un<br />

tiers qui révèle à temps les <strong>de</strong>sseins <strong>de</strong> <strong>la</strong> pauvre Cécilia. (L'Intransigeant, 9 octobre 1938)<br />

Entrée <strong>de</strong>s artistes a été tourné par M. Allégr<strong>et</strong> sur un scénario original... Son attrait principal est <strong>de</strong><br />

reproduire l'aspect <strong>et</strong> les habitu<strong>de</strong>s <strong>de</strong> notre Conservatoire, <strong>de</strong> nous introduire dans l'intimité d'une <strong>de</strong>s<br />

c<strong>la</strong>sses que l'on appelle encore <strong>de</strong> « déc<strong>la</strong>mation ». L'idée est excellente <strong>et</strong> elle a fort bien été réalisée.<br />

M. Allégr<strong>et</strong>, auteur <strong>de</strong> p<strong>et</strong>it tempérament, mais qui sait être raffiné, a évité le gros <strong>et</strong> c<strong>la</strong>ssique documentaire<br />

pour nous donner une suite <strong>de</strong> p<strong>et</strong>its tableautins remuants, un peu forcés peut-être, mais dans le sens <strong>de</strong> <strong>la</strong><br />

vérité.., Ce marivaudage est évi<strong>de</strong>mment très supérieur aux guimauves que l'on nous débite d'ordinaire à<br />

l'écran. Il leur est supérieur surtout par le détail, On est habitué à <strong>de</strong> tels brou<strong>et</strong>s que l'on se récrie sur ces<br />

finesses psychologiques <strong>et</strong> aussi sur <strong>de</strong>s aphorismes concernant l'art du comédien qui tombent constamment<br />

<strong>de</strong> <strong>la</strong> bouche du professeur Lambertin. Il ne faut rien outrer, les dialogues d'Entrée <strong>de</strong>s artistes se tiennent<br />

malgré tout à fleur <strong>de</strong> peau. Il serait facile d'y relever <strong>de</strong>s « mots » qui sont trop <strong>de</strong>s mots <strong>et</strong> vraiment que<br />

<strong>de</strong>s mots... La qualité majeure d'Entrée <strong>de</strong>s artistes, c'est son interprétation, jusqu'aux <strong>de</strong>rniers figurants qui<br />

sont enfin convaincus. Monsieur Jouv<strong>et</strong> joue admirablement le rôle <strong>de</strong> professeur qu'il tient dans <strong>la</strong> vie rue<br />

<strong>de</strong> Madrid, il sait rendre savoureux <strong>et</strong> légers <strong>de</strong>s aphorismes dont d'autres auraient fait <strong>de</strong>s cuistreries.<br />

M. C<strong>la</strong>u<strong>de</strong> Dauphin est vraiment le plus intelligent <strong>de</strong>s jeunes premiers français. Il est tout en nuances, plus<br />

exquises <strong>et</strong> plus naturelles les unes que les autres. La simplicité <strong>et</strong> <strong>la</strong> finesse <strong>de</strong> Mlle Od<strong>et</strong>te Joyeux, qui est<br />

Mme Pierre Brasseur à <strong>la</strong> ville, <strong>et</strong> <strong>de</strong> Mlle Janine Darcey m'ont personnellement enchanté. J'espère que ce<br />

sentiment sera partagé <strong>de</strong> tous.<br />

François Vinneuil, L'Ecran <strong>de</strong> <strong>la</strong> semaine, Action Française, 21 octobre 1938.<br />

Les <strong>de</strong>ux premiers tiers du film sont éblouissants. Voilà pensais-je, le cinéma français <strong>et</strong> le meilleur. Rien<br />

ne fait défaut à une telle production: ni le pittoresque du milieu, le Conservatoire, ni <strong>la</strong> vérité <strong>de</strong>s<br />

personnages, ni dans le réalisme ou plutôt dans <strong>la</strong> réalité, c<strong>et</strong>te poésie naturelle qui enchante l'imagination.<br />

Tous les artistes qu'on nous présente ont l'âge <strong>de</strong> leur rôle <strong>et</strong> tout est animé par le charmant é<strong>la</strong>n <strong>de</strong> leur<br />

jeunesse. Le rythme est excellent. S'il y a quelquefois un peu <strong>de</strong> littérature dans les propos <strong>de</strong> ces jeunes<br />

gens, il ne faut pas oublier que ce sont <strong>de</strong> futurs acteurs. Bref l'impression d'une œuvre achevée, originale,<br />

hardie <strong>et</strong> qui justifiait <strong>la</strong> considération dont jouit, maintenant, notre cinéma à l'étranger. Et puis brusquement,<br />

ce fut le noir tunnel du noir mélo policier... Une fin désaccordée <strong>et</strong> qui semble n'avoir été composée que<br />

pour satisfaire aux souhaits d'un mentor inqui<strong>et</strong> <strong>de</strong> n'avoir pas au moins un meurtre <strong>et</strong> un juge d'instruction<br />

dans c<strong>et</strong>te histoire...<br />

René Biz<strong>et</strong>, L'Echo <strong>de</strong> Paris, 10 octobre 1938.<br />

Tirage 1984 : A partir du négatif f<strong>la</strong>m d'origine,<br />

établissement d'un matériel <strong>de</strong> conservation saf<strong>et</strong>y<br />

(interpositif) <strong>et</strong> d'une copie standard <strong>de</strong> présentation. F. M.<br />

52<br />

*Ê 1 j|<br />

Etchika Choureau, Erich von Stroheim <strong>de</strong> dos.<br />

Tout apparaît étrange dans le film d'Edmond T. Gréville. Les décors : un vieux château, <strong>de</strong>s souterrains,<br />

une cave. Les noms <strong>de</strong> ses personnages : Vio<strong>la</strong>ine (aucun rapport avec « L'Annonce faite à Marie »), O'Hara<br />

(aucun rapport avec « Scarl<strong>et</strong>t »). Le scénario : une jolie vil<strong>la</strong>geoise condamnée par les mé<strong>de</strong>cins se grise <strong>de</strong><br />

be-bop <strong>et</strong> d'alcool. Amoureuse d'un écrivain en villégiature accusé d'un meurtre, elle use <strong>de</strong> subterfuge pour<br />

se faire arrêter à sa p<strong>la</strong>ce. Etrange attitu<strong>de</strong> du policier <strong>et</strong> <strong>de</strong>s parents qui acceptent que leur fille morte passe<br />

pour une meurtrière... Etchika Choureau, le visage noyé <strong>de</strong> pleurs (ainsi que nous l'avons vue dans Les<br />

Enfants <strong>de</strong> l'amour) défend son rôle avec conviction. Cependant, le p<strong>et</strong>it visage volontaire <strong>de</strong> c<strong>et</strong>te jeune<br />

ved<strong>et</strong>te n'est pas fait pour <strong>de</strong>s rôles <strong>de</strong> victime <strong>de</strong> <strong>la</strong> société. Eric von Stroheim, en amoureux p<strong>la</strong>tonique<br />

prêt à se sacrifier pour Vio<strong>la</strong>ine — Etchika s'émeut <strong>et</strong> s'attendrit avec crispation. Son texte, il le débite à<br />

toute allure, pressé d'en finir avec ce rôle pas du tout pour lui...<br />

Jacqueline Fabre, Libération, 21 décembre 1953.<br />

Edmond T. Gréville fut, vers les années trente, un <strong>de</strong>s espoirs <strong>de</strong>s avant-gardistes du cinéma. Vingt ans<br />

après, il ne semble pas encore avoir dépassé ce sta<strong>de</strong>, malgré les promesses plus précises qu'avait donné, il y<br />

a quelques années, Pour une nuit d'amour.<br />

Ce n'est pas L'Envers du Paradis qui modifiera c<strong>et</strong>te impression. Gréville a <strong>la</strong> nostalgie d'une certaine<br />

forme <strong>de</strong> cinéma tarabiscoté. Il aime les suj<strong>et</strong>s aux faux prolongements, les points d'orgue suspendus dans le<br />

vi<strong>de</strong>, les eff<strong>et</strong>s puissamment symboliques. Qu'il s'agisse <strong>de</strong> ses personnages, du milieu dans lequel il les fait<br />

évoluer, <strong>de</strong> <strong>la</strong> façon dont il p<strong>la</strong>ce sa caméra, on attend toujours (mais en vain) qu'il s'engage résolument<br />

dans <strong>la</strong> voie qu'il a ouverte. Mais il se contente <strong>de</strong>s prémisses sans tirer <strong>de</strong> conclusion. D'où l'impression<br />

d'inachevé que l'on r<strong>et</strong>ire <strong>de</strong> ses films. Il y en a trop ou pas assez. Ici, c'est trop <strong>de</strong> drame, trop saugrenu,<br />

trop <strong>de</strong> convention ; pas assez <strong>de</strong> vraie poésie, <strong>de</strong> sentiments profonds, <strong>de</strong> simplicité.<br />

Pourtant, Etchika Choureau (...) résiste beaucoup mieux à l'à-peu-près <strong>de</strong> Gréville <strong>et</strong> se tire à son honneur<br />

du personnage impossible <strong>de</strong> <strong>la</strong> p<strong>et</strong>ite-tuberculeuse-qui-se-sacrifie-pour-l'homme-qu'elle-aime. Von Stroheim<br />

est, une fois <strong>de</strong> plus lui-même <strong>et</strong> Castelot a <strong>de</strong> l'aisance. Quant à Jacques Semas, l'homme aimé, c'est un<br />

bien étrange ca<strong>de</strong>au que nous a fait là le cinéma italien en nous le renvoyant.<br />

Jean Néry, Le Franc Tireur, 15 décembre 1953.<br />

E.T. Gréville (1906-1966). D'abord journaliste. Il <strong>de</strong>vient réalisateur <strong>de</strong> courts métrages, tout en étant<br />

assistant <strong>de</strong> Gance, Génina <strong>et</strong> Dupont. Il m<strong>et</strong> en scène une trentaine <strong>de</strong> longs métrages <strong>de</strong> 1931 à 1963 entre<br />

l'Angl<strong>et</strong>erre, les Pays-Bas <strong>et</strong> <strong>la</strong> France, dont : Remous (1934), Menaces (1938/40), Dorothée cherche l'amour<br />

0945) <strong>et</strong> Le diable souffle (1947), ces films étant dans le catalogue <strong>de</strong>s <strong>restaurations</strong> <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong><strong>Ciné</strong>mathèque</strong><br />

Française (Edition 1986).<br />

E.L.R.<br />

L'Envers du<br />

paradis<br />

Edmond T. Gréville<br />

1953<br />

Columbia présente Erich von Stroheim, Jacques<br />

Semas (Biaise d'Or<strong>la</strong>c), Denise Vernac, Jacques<br />

Castelot (inspecteur Dautrand), dans L'Envers du<br />

paradis (un film rf^lEdmond T. Gréville. Etchika<br />

Choureau dans le rôle <strong>de</strong> Vio<strong>la</strong>ine... Dany Caron,<br />

Dina Sassoli, Pamel<strong>la</strong> Wil<strong>de</strong>, Jean Combale, Edouard<br />

Hemme, Pierre Lorsay, Jacques Sablons, Edmond<br />

Ardisson, Héléna Manson, Dora Doll. Dir. <strong>de</strong> <strong>la</strong><br />

photographie : L.H. Burel <strong>et</strong> Jacques Lemare. Caméramen<br />

: H. Raichi, G. Raul<strong>et</strong>. Assts. : Charoy, Charvein,<br />

Mirot, Fontenelle, Pastier. Régie extérieurs :<br />

Ch. Brandlé, F. Bernardi. Accessoiristes : Dava<strong>la</strong>n <strong>et</strong><br />

Tora. Habilleuse : M. Brandlé. Maquilleur <strong>et</strong> coiffeur<br />

: Occelli <strong>et</strong> Puverel. Secrétariat <strong>de</strong> prod :<br />

Y. Toumayeff, S. Bray, M. Toti. Conseillers artistiques<br />

: maquil<strong>la</strong>ge <strong>et</strong> coiffure : Fernand Aubry (visagiste)<br />

; robes <strong>et</strong> cost. : Edith Maillot ; bijoux : Burma ;<br />

déc. : Jean Douarinou. Asst. réal. : Louis Pascal<br />

<strong>et</strong> J.-P. Cassy. Script-girl : Lucie Lichtig. Régisseur<br />

général : Georges Testard. Chef mont. : Georges<br />

Arnstam, assté <strong>de</strong> Jean Ravel. Ingénieur du son :<br />

Paul Habans, assté <strong>de</strong> J. Dastugue <strong>et</strong> G. Berto<strong>la</strong>.<br />

Enregistrement Omnium sonore. Procédé Euphonie.<br />

Mus. <strong>de</strong> Joe Hagos, éditions Chou<strong>de</strong>ns. Dir. <strong>de</strong><br />

prod. : Fred d'Orengiani. Prod. technique : Paul<br />

Pavaux. Prod. Pafico (Sté parisienne <strong>de</strong> films en<br />

couleurs). Administrateur : M.L. Gouble. Co-prod. :<br />

U.C.I.L. Laboratoires G.T.C. Visa <strong>de</strong> censure<br />

n°13625. Tourné dans <strong>la</strong> rue <strong>et</strong> chez les habitants<br />

<strong>de</strong> « Haut <strong>de</strong> Cagnes ■. (Sources : générique copie <strong>et</strong><br />

crédits acteurs : La <strong>Ciné</strong>matographie Française).<br />

Ad. : Photographe : Tomatis. Rég. adjoint :<br />

Frandley. Mus. : Paul Misraki. Attachée <strong>de</strong> presse :<br />

Mme Boisnard. Tournage commencé le 14 janvier<br />

1953. Durée: 1 h36. Présentation corporative<br />

(Paris) : 2 juin 1953- Première représentation<br />

(Paris) : 4 décembre 1953 à l'Alhambra. (Sources :<br />

La <strong>Ciné</strong>matographie Française <strong>et</strong> presse <strong>de</strong> l'époque).<br />

Tirage 1985: A partir du négatif f<strong>la</strong>m d'origine,<br />

établissement d'un matériel <strong>de</strong> conservation saf<strong>et</strong>y<br />

(interpositif, contr<strong>et</strong>ype négatif). Tirage d'une copie<br />

standard <strong>de</strong> présentation.<br />

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