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Tirages et restaurations de la Cinémathèque ... - Ciné-ressources

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Fanfan <strong>la</strong><br />

Tulipe<br />

René Leprince<br />

1925<br />

Mise en scène <strong>de</strong> René Leprince. Se. : <strong>de</strong> Pierre-Gilles<br />

Veber. Asst. à <strong>la</strong> mise en scène. Nick Winter. Op. :<br />

Julien Ringel <strong>et</strong> René Gaveau. Dir. artistique. Louis<br />

Nalpas. Cost. <strong>de</strong> <strong>la</strong> maison Edouard Soupl<strong>et</strong>. C<strong>la</strong>u<strong>de</strong><br />

France (Madame <strong>de</strong> Pompadour), Simone Vaudry (Perr<strong>et</strong>te),<br />

Renée Héribel (Mme Favart), Ninon Gilles (Mme<br />

Van Steinbergbe), Aimé Simon-Girard (Fanfan), Jacques<br />

Guilhène (Louis XV), Alexandre Co<strong>la</strong>s (le Maréchal <strong>de</strong><br />

Saxe), Paul Guidé (chevalier <strong>de</strong> Lurbeck), Pierre <strong>de</strong><br />

Guigand (Marquis dAurilly), Paul Cervières (Fier-àbras),<br />

Jean Peyrière (M. Favart), Mario Nasthasio (Marquis<br />

d'Argenson), Jean Demerçay (Duc <strong>de</strong> Cumber<strong>la</strong>nd).<br />

(Source : générique copie)<br />

Ad. : ïnt. : François Viguier (l'intendant Tar<strong>de</strong>nois),<br />

Ninon Gilles (Madame Van Streinberg), Henri Mail<strong>la</strong>rd<br />

(le père Mahut). Prod. : Société <strong>de</strong>s <strong>Ciné</strong>romans (Jean<br />

Sapène). Dist. : Pathé-Consortium <strong>Ciné</strong>ma. Se. : publié<br />

dans <strong>la</strong> collection illustrée « <strong>Ciné</strong>ma bibliothèque » <strong>de</strong>s<br />

Editions Jules Tal<strong>la</strong>ndier (Pierre Veber était le père <strong>de</strong><br />

Françis Veber). Voitures : Maison Girard (?). Conseiller<br />

militaire. Chavandier. Film en huit épiso<strong>de</strong>s : 1. : Pour<br />

l'amour d'une belle. 2. : Le Peloton d'exécution. 3. :<br />

L'Espionne <strong>et</strong> <strong>la</strong> favorite. 4. : Le Nègre b<strong>la</strong>nc. 5. ; Le<br />

Carrosse embourbé. 6. : L'Enlèvement <strong>de</strong> Perr<strong>et</strong>te. 7. :<br />

Le Départ du Maréchal. 8. : La Bataille <strong>de</strong> Fontenoy.<br />

Métrage: 27bobines, 9147m. Durée: 6h 13, à<br />

22 i/s. Projection corporative: 30septembre 1925. Sortie<br />

: 16 octobre 1925 (premier épiso<strong>de</strong>). Tournage : Maiseptembre<br />

1925. Studio. <strong>Ciné</strong>romans, Joinville. Extérieurs:<br />

Lisieux, Pont Au<strong>de</strong>mer, Bayeux, Orbec, Saint<br />

Julien <strong>de</strong> Mailioc, Hermival-les-Vaux, Alençon, Saint<br />

Cénery (le carrosse emballé), Blois, Chenonceaux, Azay<br />

le Ri<strong>de</strong>au, Versailles, Vaux-le-Vicomte, Rambouill<strong>et</strong>.<br />

(Sources : Chirat, Lenny Borger, presse d'époque),<br />

(l) Chirat donne d'autres titres : Pour l'amour d'une<br />

belle. La L<strong>et</strong>tre <strong>de</strong> cach<strong>et</strong>. Une ma<strong>la</strong>die diplomatique.<br />

Fanfan <strong>la</strong> Rose. L'Enlèvement <strong>de</strong> Perr<strong>et</strong>te. Le Départ du<br />

Maréchal. Fontenoy.<br />

Note : On a peut-être sous-estimé <strong>la</strong> puissance <strong>de</strong> <strong>la</strong> firme<br />

dirigée par Jean Sapène, citizen Kane français, épaulé par<br />

Louis Nalpas, qui investit dans <strong>la</strong> société <strong>de</strong>s <strong>Ciné</strong>romans<br />

<strong>de</strong>s sommes considérables, s'assura le contrôle <strong>de</strong> Pathé<br />

Consortium, p<strong>la</strong>nifia sa production, <strong>et</strong> sut progresser vers<br />

<strong>de</strong>s œuvres prestigieuses comme L'Argent <strong>de</strong> Marcel<br />

L'Herbier (1928). En 1925 il produir plusieurs fresques<br />

popu<strong>la</strong>ires d'une longueur considérable, dont Les Misérables<br />

<strong>de</strong> Fescourt <strong>et</strong> ce Fanfan <strong>la</strong> Tulipe, où l'on semble<br />

vouloir refaire en mieux Mandrin : on note les décors,<br />

châteaux, parc nationaux, les costumes somptueux, <strong>la</strong><br />

profusion d'obj<strong>et</strong>s authentiques, <strong>la</strong> variété <strong>de</strong>s équipages,<br />

<strong>et</strong> une figuration qui agit, nombreuse, dans le style du<br />

film. C'est le travail d'une équipe, habituée à travailler<br />

ensemble. Cf : Henri Fescourt • La Foi <strong>et</strong> les Montagnes »<br />

Paul Montel 1959, chapitre XVIII.<br />

Restauration 1986-87. A partir du négatif f<strong>la</strong>m d'origine,<br />

établissement d'un matériel <strong>de</strong> conservation saf<strong>et</strong>y (interpositif)<br />

<strong>et</strong> d'un positif mu<strong>et</strong> <strong>de</strong> présentation. Mise dans<br />

l'ordre du positif <strong>de</strong> présentation. Réalisation, puis<br />

intégration <strong>de</strong>s intertitres dans c<strong>et</strong>te copie. Conformation<br />

<strong>de</strong> l'interpositif.<br />

56<br />

Expédition nocturne chez <strong>la</strong> marquise <strong>de</strong> Pompadour au Château <strong>de</strong> Choisy.<br />

Fanfan <strong>la</strong> Tulipe, ainsi nommé dans son vil<strong>la</strong>ge normand <strong>de</strong> Piquefleur, parce qu 'il y fut trouvé<br />

nouveau-né, dans un parterre <strong>de</strong> tulipes, aime Perr<strong>et</strong>te. Les parents s'opposent au mariage. Désespéré,<br />

Fanfan s'engage dans les armées du Roi, <strong>de</strong>vient l'ami <strong>de</strong> M. <strong>et</strong> Mme Favart, les illustres comédiens, qui<br />

ont engagé dans leur troupe Perr<strong>et</strong>te, fuyant <strong>la</strong> tyrannie paternelle. Le marquis d'Aurilly, chef immédiat<br />

<strong>de</strong> Fanfan, lui manifeste son inimitié. Amoureux <strong>de</strong> Perr<strong>et</strong>te, il essaie <strong>de</strong> l'enlever, mais trouve toujours<br />

<strong>de</strong>vant lui le courageux Fanfan. Tandis que l'inquiétant chevalier <strong>de</strong> Lurbeck, amoureux <strong>de</strong> Mme Favart<br />

tente <strong>de</strong> <strong>la</strong> ravir aux siens. Les intrigues <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux complices conduisent Favart à <strong>la</strong> Bastille, <strong>et</strong> Fanfan<br />

n'échappe au peloton d'exécution que par le dévouement <strong>de</strong> son vieux mentor, « Fier-à-bras ». Le maréchal<br />

<strong>de</strong> Saxe, épris <strong>de</strong> Mme Favart, r<strong>et</strong>ar<strong>de</strong> l'é<strong>la</strong>rgissement <strong>de</strong> son époux, <strong>et</strong> Fanfan doit échapper à ses<br />

poursuivants. Mais, <strong>la</strong> protection <strong>de</strong> <strong>la</strong> Pompadour <strong>et</strong> du maréchal, sauvera nos héros. Fanfan se couvre<br />

<strong>de</strong> gloire à Fontenoy, démasque l'espion Lurbeck auprès du Maréchal c<strong>et</strong>te fois vainqueur, <strong>et</strong> reçoit sur le<br />

champ <strong>de</strong> bataille le titre <strong>de</strong> «premier chevalier <strong>de</strong> France». Robert d'Aurilly, cependant, découvre que<br />

Fanfan était son frère, abandonné par le feu marquis, après une faute <strong>de</strong> jeunesse. Fanfan <strong>la</strong> Tulipe<br />

recouvre ses droits. Il épousera Perr<strong>et</strong>te, à <strong>la</strong> gran<strong>de</strong> joie <strong>de</strong> « Fier-à-bras » <strong>et</strong> <strong>de</strong>s époux Favart. (Source :<br />

vision du film).<br />

Pierre Gilles a voulu nous donner son meilleur scénario, mais je crois fort aussi que René Leprince veut<br />

dépasser tout ce qu'il a fait comme mise en scène. Ça lui sera difficile, car nous lui <strong>de</strong>vons déjà <strong>de</strong> si belles<br />

choses ; mais nul n'ignore qu'il est homme à y parvenir. Faisons-lui <strong>la</strong> plus absolue confiance, il nous a<br />

toujours prouvé qu'il <strong>la</strong> méritait.<br />

F.F.R, <strong>Ciné</strong>magazine n" 32, 7 août 1925.<br />

Quelques belles sélections <strong>de</strong> scènes importantes nous ont montré l'intérêt <strong>et</strong> <strong>la</strong> valeur artistique <strong>de</strong> ce<br />

ciné-roman dont <strong>la</strong> belle époque est reconstituée avec faste <strong>et</strong> goût. Admirons <strong>la</strong> bataille <strong>de</strong> Fontenoy, fort<br />

bien réglée, <strong>et</strong> les adorables scènes <strong>de</strong>s fêtes <strong>et</strong> <strong>de</strong>s divertissements dans les jardins <strong>et</strong> les salles étince<strong>la</strong>ntes<br />

<strong>de</strong>s pa<strong>la</strong>is d'autrefois. C'est un peu du passé qui surgit <strong>de</strong>vant nos yeux avec ses grâces ranimées.<br />

La <strong>Ciné</strong>matographie française, octobre 1925.<br />

Note : Voir aussi : <strong>Ciné</strong>-Miroir n" 84, 15 octobre 1925, Mon <strong>Ciné</strong> n° 193, 29 octobre 1925, Filma du 15 octobre 1925, <strong>Ciné</strong>magazine,<br />

9 octobre 1925.<br />

René Leprince ou Le Prince (1875 ?, Lyon ? — Saint-Raphaël 23 mai 1929). D'abord comédien (Conservatoires<br />

<strong>de</strong> Lyon <strong>et</strong> Paris) au théâtre <strong>et</strong> au music-hall. Débute au cinéma comme acteur à <strong>la</strong> S.C.A.G.L. sous <strong>la</strong><br />

direction <strong>de</strong> Capel<strong>la</strong>ni. Apprend <strong>la</strong> mise en scène. Remarqué par Charles Pathé, commence en 1912 une<br />

carrière prolifique dans <strong>la</strong> maison, épaulé au début par Zecca. Ses Scènes <strong>de</strong> <strong>la</strong> vie bourgeoise imposent le<br />

trio Robine, Alexandre <strong>et</strong> Signor<strong>et</strong>. Supervise aussi <strong>de</strong>s films <strong>de</strong> Max Lin<strong>de</strong>r. Mobilisé, il reprend en 1919, en<br />

Italie puis à Paris, <strong>la</strong> mise en scène à son compte. Le succès <strong>de</strong> L'Empereur <strong>de</strong>s pauvres (1919, Pathé) !e<br />

voue au récit popu<strong>la</strong>ire. Parmi <strong>la</strong> vingtaine <strong>de</strong> suj<strong>et</strong>s qu'il réalise en dix ans, <strong>de</strong>s feuill<strong>et</strong>ons à caractère<br />

historique, d'une durée considérable, tournés avec soin <strong>et</strong> <strong>de</strong> grands moyens pour <strong>la</strong> société <strong>de</strong>s <strong>Ciné</strong>romans :<br />

Le Vert Ga<strong>la</strong>nt (1924), Mylord L'Arsouille (1924-25), Fanfan La Tulipe (1925)...<br />

P.E.<br />

Fernand Gravey, Car<strong>et</strong>te (au centre)<br />

Deux musiciens au chômage se déguisent en femme <strong>et</strong> parviennent à se faire engager dans un orchestre<br />

féminin qui doit se rendre sur <strong>la</strong> Côte d'Azur ; ils y font connaissance <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux « consœurs », si on peut<br />

dire, dont ils ne tar<strong>de</strong>nt pas à s'amouracher, ce qui provoque les quiproquos <strong>et</strong> les transformations<br />

frégoliennes qu'on peut imaginer. Comme l'une <strong>de</strong> nos <strong>de</strong>ux fausses jeunes femmes parait fort gentille, un<br />

adorateur surgit, qui est le propriétaire <strong>de</strong> l'établissement où elle joue : il en résulte une bastonna<strong>de</strong> digne<br />

<strong>de</strong> Boccace, mais, naturellement, tout finit par s'arranger <strong>et</strong> <strong>de</strong>s mariages s'en suivent. (Nino Frank, Pour<br />

Vous, n° 366, 21 novembre 1935).<br />

Si on vou<strong>la</strong>it dresser en quelques mots le bi<strong>la</strong>n critique <strong>de</strong> ce film, voici ce qu'on obtiendrait : l'idée<br />

originale du scénario est <strong>de</strong>s plus amusantes ; cependant on ne l'a pas développée avec <strong>la</strong> verve <strong>et</strong> l'animation<br />

qu'il aurait fallu ; le dialogue est naturel, mais un peu incolore, <strong>et</strong> on regr<strong>et</strong>te <strong>de</strong> ne pas trouver l'humour<br />

qu'on trouvait au dialogue <strong>de</strong> Si j'étais le patron <strong>et</strong> d'Un oiseau rare, les <strong>de</strong>ux films précé<strong>de</strong>nts <strong>de</strong> M. Richard<br />

Pottier ; quant à <strong>la</strong> mise en scène proprement dite, elle est toujours ingénieuse, mais se ressent, çà <strong>et</strong> là, <strong>de</strong>s<br />

pertes <strong>de</strong> vitesse du scénario ; l'interprétation, enfin, est <strong>de</strong> très bonne qualité, <strong>et</strong> il faut en féliciter tout<br />

particulièrement M. Fernand Gravey, car si celui-ci n'eût pas tenu son rôle avec le goût <strong>et</strong> l'élégance qu'on<br />

lui connaît, tout le film aurait pu changer <strong>de</strong> ton,<br />

En résumé, Fanfare d'amour n'est pas <strong>de</strong> <strong>la</strong> même veine que les autres films <strong>de</strong> M. Richard Pottier, mais<br />

c'est une œuvre amusante <strong>et</strong> sympathique. Si on ne tenait pas compte <strong>de</strong>s passages où l'action piétine, elle<br />

constituerait un film <strong>de</strong> série <strong>de</strong>s plus agréables ; <strong>et</strong> si <strong>la</strong> moyenne <strong>de</strong>s films français était <strong>de</strong> <strong>la</strong> même qualité<br />

que celui-ci, il y aurait quelque chose <strong>de</strong> changé dans notre cinéma. (...) Fernand Gravey, je l'ai dit, interprète<br />

son rôle avec une verve infatigable, mais, par définition, un peu monotone : il est délicieux en jeune femme<br />

qui minau<strong>de</strong>, <strong>et</strong> le contraste entre son allure <strong>et</strong> sa voix un peu faubourienne, <strong>et</strong> d'autre part son fauss<strong>et</strong> <strong>de</strong><br />

pianiste distingué, est <strong>de</strong>s plus comiques. Il révèle en outre <strong>de</strong>s qualités d'homme-orchestre qui, si elles sont<br />

vraies, comman<strong>de</strong>nt le respect. A côté <strong>de</strong> lui, Julien Car<strong>et</strong>te, c<strong>et</strong> acteur <strong>de</strong> gran<strong>de</strong> c<strong>la</strong>sse, a trouvé un <strong>de</strong> ses<br />

meilleurs rôles : il est peut-être celui <strong>de</strong>s interprètes qui joue avec le plus <strong>de</strong> mesure, même quand il est<br />

obligé <strong>de</strong> forcer <strong>la</strong> note. Larquey, Ma<strong>de</strong>leine Guitty, Louvigny, nous divertissent comme à l'ordinaire, <strong>et</strong><br />

Pa<strong>la</strong>u a campé une <strong>de</strong> ses silhou<strong>et</strong>tes caractéristiques. La charmante B<strong>et</strong>ty Stockfeld <strong>et</strong> Gaby Bass<strong>et</strong><br />

représentent, fort gentiment, le vrai sexe faible, en compagnie d'une série <strong>de</strong> jeunes femmes à qui les<br />

costumes hol<strong>la</strong>ndais vont à ravir.<br />

Nino Franck, Pour Vous, n° 366, 21 novembre 1935.<br />

Richard Pottier : ce Hongrois né en 1906 tournera sans répit en France pendant une trentaine d'années. Il<br />

eut <strong>la</strong> chance d'associer son nom dans ses premiers films (Si j'étais le patron, Un Oiseau rare) à celui <strong>de</strong><br />

Jacques Prévert <strong>et</strong> <strong>de</strong> ce fait ces histoires se revoient avec p<strong>la</strong>isir. Il tourna ensuite indifféremment <strong>de</strong>s<br />

œuvr<strong>et</strong>tes pour Tino Rossi ou Luis Mariano, <strong>de</strong>s drames policiers {La Ferme aux loups, 1943), <strong>de</strong>s opér<strong>et</strong>tes.<br />

Il connut un certain succès en faisant <strong>de</strong> Martine Carol une étoile (Caroline chérie, 1950).<br />

R.C.<br />

Fanfare<br />

d'amour<br />

Richard Pottier<br />

1935<br />

Ec<strong>la</strong>ir-Journal présente : Fernand Gravey fean) dans<br />

Fanfare d'amour avec B<strong>et</strong>ty Stockfeld (Gaby), Ma<strong>de</strong>leine<br />

Guitty (Lydia), Gaby Bass<strong>et</strong> (Poup<strong>et</strong>te), Julien<br />

Car<strong>et</strong>te (Pierre) <strong>et</strong> Louvigny (Alibert) avec Pa<strong>la</strong>u,<br />

Vilbert, Gildès, Marthes, Jane Lamy, Du Pont, Trinquel,<br />

Strozzi, Lane, Oudart, Pierre Larquey (Emile).<br />

Réal. <strong>de</strong> Richard Pottier. Je. <strong>de</strong> Robert Thoeren <strong>et</strong><br />

M. Logan. Découpage <strong>de</strong> Max Bronn<strong>et</strong> <strong>et</strong> Pierre<br />

Prévert. Dial. <strong>et</strong> Lyrics <strong>de</strong> René Pujol. Musique <strong>de</strong><br />

Joe Hajos, éditions Coda. Dir. <strong>de</strong> <strong>la</strong> prod. : Pierre<br />

Voisin. Chef op. . Jean Bachel<strong>et</strong>. Op. : André Daman,<br />

Asst. m<strong>et</strong>teur en scène : Pierre Prévert. Régie générale<br />

: Tony Brouquière. Maqu<strong>et</strong>te du décor: Iris-<br />

Paris. Décorateur : Robert Hubert. Danses arrangées<br />

par Floyd Du Pont. Montage: Pierre Méguérian.<br />

Orchestre sous <strong>la</strong> direction <strong>de</strong> Georges Dervaux.<br />

Ingénieur du son : Sivel. Enregistrement sonore<br />

RCA, par procédé photophone, réalisé dans les<br />

studios Pathé-Natan, 6, rue Francceur. (Sources:<br />

générique copie, crédits acteurs ajoutés).<br />

Ad. : Int. : Gin<strong>et</strong>te Leclerc, Paul Lov<strong>et</strong>all, Eugène<br />

Frouhins, Paul Démange. Durée: lh51. Sortie:<br />

16 novembre 1935, Aubert-Pa<strong>la</strong>ce (<strong>Ciné</strong>matographie<br />

française n" 889). Début du tournage : juill<strong>et</strong> 1935<br />

(Cie fse n° 871).<br />

Tirage 1986 : A partir du négatif f<strong>la</strong>m d'origine,<br />

établissement d'un matériel <strong>de</strong> conservation saf<strong>et</strong>y<br />

(interpositif) <strong>et</strong> d'une copie standard <strong>de</strong> présentation.<br />

5"

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