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45 ans de Fraternité Matin
Dona-Fologo: “Nous avons le quotidien ouest-africain
francophone le plus réussi et le plus sérieux”
P. 7
Jeudi 10 décembre 2009 45 e année / N°13526 www.fratmat.info
Prix: 200 F • Cedeao, Cameroun, Gabon : 300 fcfa • France: 1,10 €
PREMIER QUOTIDIEN IvOIRIEN D’INfORMaTIONs géNéRalEs
Dette ivorienne
Gbagbo de retour de Malabo
La Côte d’Ivoire va former
des ingénieurs agronomes
équato-guinéens
P. 20
La France efface
205 milliards
• Elle rééchelonne 314 autres milliards de Francs Cfa sur une période allant de 23 à 40 ans
photo: gooré bi hué
Le ministre de l’Économie et des Finances, M. Charles Diby Koffi (à gauche) et l’ambassadeur de France, SEM. Jean-Marc Simon.
Tronc commun à Abobo-Adjamé
1 500 bacheliers de 2008
attendent de composer
Enseignement primaire
À quoi servent les cours
de renforcement PP. 2 et 3
Guinée
P. 4
La junte militaire se retire
des négociations de Ouaga
P. 9
P. 19

La sélection du jour
2
Option
La responsabilité
des parents
Le débat a été suscité
par des parents d’élèves,
qui ne comprennent
pas que
l’on puisse dispenser
des cours de renforcement
à des toutpetits,
dont l’esprit
n’est pas suffisamment
aguerri aux
épreuves. «Généralement, on
renforce des acquis. Mais
qu’ont appris ces enfants qui
mérite d’être renforcé», s’étonnent
ils. Belle réplique de
la part des enseignants. «Les
cours de renforcement ne
s’imposent pas aux enfants
dont le père et la mère veillent
au suivi». réponse du berger
à la bergère.
Les parents sont-ils en droit
de se plaindre de ce que des
cours de renforcement soient
sollicités pour leurs enfants,
si véritablement, ils ne les
suivent pas régulièrement
il est bien entendu que certains
parents ne se sentent pas
concernés par des cours de
renforcement ou les répétiteurs
à domicile, parce qu’ils
veillent au suivi de leurs
Par
MarceLLine Gneproust
enfants dans leur travail. Mais
combien sont-ils Malheureusement
- les responsables des
établissements scolaires le
dénoncent souvent-, certains
d’entre eux ignorent la
moyenne de classe de leurs
enfants. Pris dans le feu de
leurs activités professionnelles,
ils ne peuvent ouvrir le
cahier de l’enfant le soir. une
fois ce dernier inscrit, ils ne
retournent dans l’école, que
lorsqu’ils sont convoqués.
Mais même là encore, ils se
font suppléer par le grand
frère, ou même le boy. Lequel
est mandaté pour gérer les
problèmes. Confrontés à plusieurs
défis, les parents «se
cherchent», sans toutefois
accorder un regard à leurs
progénitures, pour qui ils
paient des sommes faramineuses
dans des établissements
scolaires. Peut-on
condamner les enseignants
dispensateurs de cours de renforcement,
tout en accordant
son blanc-seing aux jeunes
chômeurs, non qualifiés,
mués en répétiteurs pour des
prébendes Le psychologue a
bien raison de dire que «c’est
un vrai-faux débat que d’affirmer
que les cours de renforcement
sont à condamner
ou non». La question ici est:
«L’enfant a-t-il besoin que
ses connaissances soient renforcées».
il ne sert à rien de
se ruer sur les répétiteurs de
maison, et jeter la pierre aux
enseignants. Peut-être faut-il
les canaliser…
parents et enseignants
s’accusent mutuellement
La pratique existe depuis bien
longtemps, avec les élèves en
classe d’examen. Ces dernières
années, elle connaît une
extension aux enfants du Ce1,
Ce2 et même au CP1 et CP2.
Mercredi et samedi, jours non
ouvrés (ouvrables), nombre d’écoles
primaires de Koumassi,
Cocody, Yopougon, d’abobo, etc.,
ouvrent leurs portes aux détenteurs
du savoir et aux petits apprenants,
pour des cours de lecture, d’écriture,
de mathématiques, physique
(pour les plus grands), etc, moyennant
une contribution financière
des parents.
accompagnés par des servantes,
frères et parfois les parents, on en
aperçoit certains dans les cours,
gambadant, sacs à dos, sachets
d’eau et sandwiches en mains.
d’autres, traînant le pas, sont tirés
par les bras par des accompagnateurs,
comme pour les contraindre
à avancer. tout ceci, pendant que
leurs petits camarades sont assis
chez eux.
tricherie organisée désordre
racket Les récriminations fusent
de parents d’élèves qui, pour certains,
ont refusé de s’inscrire dans
cette pratique. tel est le cas de
Mme Kouassi edith agnès, médecin
dans une structure privée, et
mère d’une fillette de 9 ans en
classe de CM2. Pour elle, la question
ne se pose pas. «N’ayons pas
peur des mots, c’est du racket
imposé dans les écoles. Ou le maître
est incompétent et n’arrive pas
à faire comprendre à l’enfant ce
qu’il faut pendant ses cours, ou il
est très doué pour réussir à lui
faire comprendre l’essentiel en 2h.
S’il n’a pas pu faire entrer dans
son petit cerveau, ce qu’il doit
comprendre en 6h, ce n’est pas en
2h qu’il va le réussir. En plus,
quand un parent refuse, son enfant
a de mauvaises notes. Mais on sait
qu’en réalité, il s’agit d’une sanction
parce que ce dernier ne vient
pas aux cours de renforcement ».
Pour celle-ci, la situation est d’autant
délicate que l’enfant est obligé
de subir la présence du maître, les
jours ouvrés et libres.
«Pédagogiquement, est-il
conseillé pour un enfant de vivre
cette situation A-t-on pensé à
l’impact psychologique que cela
peut entraîner», s’interroge-telle.
attoumgbré Pascal, ingénieur,
relève le caractère contraignant
ettien Yao corentin (à gauche) et Dibi aimé, tous deux enseignants.
(Photos: GneProust)
Les tout-petits ne disposent plus de leurs jours libres. (Photo d’arChives)
des cours, qui, bien que définis par
les enseignants comme facultatifs,
sont en réalité obligatoires, selon
lui. il dénonce même une prise en
otage des parents par les demandeurs.
« Ces cours sont en réalité
imposés, parce que, lorsque l’enfant
ne les suit pas, il subit des
représailles, d’une manière ou
d’une autre. Ses résultats vont s’en
ressentir et l’enseignant a toujours
le beau rôle pour vous dire que l’échec
de l’enfant est dû à ses lacunes.
Au point que finalement, on se
Mme ecrabet esther,
parent d’élèves.
Fraternité Matin / Jeudi 10 décembre 2009
École primaire Petits écoliers de Cp1, Cp2 et au-delà sont sollicités les mercredis et jeudis
par des maîtres pour des cours de renforcement, moyennant une contribution financière.
sent obligé d’accepter. On n’ose
même pas approcher les enseignants
pour leur manifester notre
opposition, de peur que l’enfant ne
subisse des représailles en classe.
Les parents sont finalement pris en
otage ».
Les parents réfractaires aux cours
de renforcement ne viennent pas
que du domaine non enseignant.
L’opposition se rencontre au sein
même de la corporation. Ceux-là
en appellent à la vigilance de leur
ministère de tutelle.
Mme Bogui solange, conseiller
pédagogique.
en attendant une décision officielle,
Mme Bogui solange Clarisse,
conseiller pédagogique en éducation
physique et sportive, en fonction
à la direction de la pédagogie
et de la formation continue, a affiché
clairement sa position aux
enseignants de ses neveux qui
voulaient renforcer leurs connaissances.
« J’ai refusé. Et quand les
maîtres ont su qu’ils avaient en
face d’eux, quelqu’un dont les
actions pouvaient les desservir, ils
se sont rétractés ». elle accuse les
responsables d’établissements de
complicité. « Parfois, c’est toute
l’administration de l’école qui est
impliquée. Parce qu’un chef, c’est
celui qui doit donner l’exemple et
si le directeur de l’école dit non,
ces choses ne peuvent pas exister
».
Le refus de Mme Bogui Clarisse
s’explique, à l’entendre, par le fait
que ces enfants sont jeunes et «
qu’on ne renforce que des connaissances
». or, en ce qui les concerne,
poursuit-elle, « qu’ont-ils
appris qui mérite d’être renforcé
». elle déduit simplement qu’il
s’agit d’une tricherie et même
d’une anarchie. « Chacun se lève
et fait ce qu’il veut. En plus, c’est
de la tricherie, parce que ceux qui
dispensent ces cours sont ceux-là
même qui font les évaluations des
élèves pendant les compositions de
passage. Finalement, l’élève n’est
pas plus méritant que les autres.
La preuve, pendant les examens de

La sélection du jour
Fraternité Matin / Jeudi 10 décembre 2009
3
La pratique existe depuis bien
longtemps, avec les élèves
en classe d’examen. Ces dernières
années, elle connaît
une extension aux enfants du
Ce1, Ce2 et même au Cp1 et
Cp2. Mercredi et samedi, jours
non ouvrés (ouvrables), nombre
d’écoles primaires de Koumassi,
Cocody, Yopougon, d’Abobo,
etc., ouvrent leurs portes aux
détenteurs du savoir et aux petits
apprenants, pour des cours de
lecture, d’écriture, de mathématiques,
physique (pour les plus
grands), etc, moyennant une
contribution financière des
parents.
Accompagnés par des servantes,
frères et parfois les parents, on en
aperçoit certains dans les cours,
gambadant, sacs à dos, sachets
d’eau et sandwiches en mains.
D’autres, traînant le pas, sont
tirés par les bras par des accompagnateurs,
comme pour les
contraindre à avancer. tout ceci,
pendant que leurs petits camarades
sont assis chez eux.
tricherie organisée Désordre
racket Les récriminations
fusent de parents d’élèves qui,
pour certains, ont refusé de s’inscrire
dans cette pratique. tel est
le cas de Mme Kouassi edith
Agnès, médecin dans une structure
privée, et mère d’une fillette
de 9 ans en classe de CM2. pour
elle, la question ne se pose pas.
«N’ayons pas peur des mots,
c’est du racket imposé dans les
écoles. Ou le maître est incompétent
et n’arrive pas à faire comprendre
à l’enfant ce qu’il faut
pendant ses cours, ou il est très
doué pour réussir à lui faire comprendre
l’essentiel en 2h. S’il n’a
pas pu faire entrer dans son petit
cerveau, ce qu’il doit comprendre
en 6h, ce n’est pas en 2h qu’il
va le réussir. En plus, quand un
parent refuse, son enfant a de
mauvaises notes. Mais on sait
qu’en réalité, il s’agit d’une
sanction parce que ce dernier
ne vient pas aux cours de renforcement
».
pour celle-ci, la situation est
d’autant délicate que l’enfant est
obligé de subir la présence du
maître, les jours ouvrés et libres.
«Pédagogiquement, est-il
conseillé pour un enfant de vivre
cette situation A-t-on pensé à
l’impact psychologique que cela
peut entraîner», s’interroge-telle.
Attoumgbré pascal, ingénieur,
relève le caractère contraignant
des cours, qui, bien que définis
par les enseignants comme facultatifs,
sont en réalité obligatoires,
selon lui. Il dénonce même une
prise en otage des parents par les
demandeurs. « Ces cours sont en
réalité imposés, parce que,
lorsque l’enfant ne les suit pas, il
subit des représailles, d’une
manière ou d’une autre. Ses
résultats vont s’en ressentir et
l’enseignant a toujours le beau
rôle pour vous dire que l’échec
de l’enfant est dû à ses lacunes.
Au point que finalement, on se
sent obligé d’accepter. On n’ose
même pas approcher les enseignants
pour leur manifester
notre opposition, de peur que
l’enfant ne subisse des représailles
en classe. Les parents sont
finalement pris en otage ».
Les parents réfractaires aux cours
de renforcement ne viennent pas
que du domaine non enseignant.
L’opposition se rencontre au sein
Dr Dagou Denis, psychologue clinicien, M e assistant à l’université de Cocody
“La décision des cours de renforcement
se prend après un diagnostic”
En sa qualité de personne
avertie des questions de
psychologie, Dr Dagou
Denis, n’est pas opposé
systématiquement aux
cours de renforcement. Ce
pourquoi il plaide, c’est l’établissement
d’un diagnostic préalable
à ces formations. «La
question n’est pas tant de
savoir si les cours de renforcement
sont utiles ou pas. Mais de
savoir si l’enfant a des difficultés
ou des troubles d’apprentissage.
C’est à partir de ce diagnostic
qu’on intervient dans
un domaine précis. Dans le cas
des tout-petits, il faut se poser
la question de savoir si les
structures d’apprentissage sont
en place. C’est un vrai-faux
débat que de dire que l’enfant
Des enseignants, notamment
des syndicalistes le
pensent et ne se sont pas
privés de le dire. «Les
cours de renforcement
sont une alternative sérieuse
dans la recherche de la qualité».
Comment pourrait-il en être
autrement, pour Mesmin Komoé,
secrétaire général du Mouvement
des instituteurs pour la défense
de leurs droits (Midd), avec les
effectifs pléthoriques, l’insuffisance
ou même le manque d’encadrement
des enfants par les
parents, ainsi que le manque
d’espace pour des apprenants qui
vivent parfois à l’étroit chez eux
«Que ce soit pour le CP1 ou le
CM2, les cours sont hautement
importants».
son collègue enseignant, Gnelou
paul, secrétaire général du
Une alternative dans
la recherche de la qualité
syndicat de l’enseignement primaire
public de Côte d’Ivoire
(syneppci), est du même avis.
«Au niveau de l’éducation de
l’enfant, il y a trois niveaux.
L’élève, qui doit apprendre ses
leçons; l’enseignant qui doit
dispenser les cours et les parents,
qui doivent suivre le travail scolaire
de leurs enfants. Or, il est de
plus en plus difficile pour les
parents de s’acquitter de cette
tâche, en raison de certaines difficultés.
Ils sollicitent donc les
enseignants pour les y aider».
C’est pourquoi il trouve les récriminations
de certains parents
inadmissibles. «Certains parents
font preuve de mauvaise foi, en
criant au vol et au racket, parce
que, ce sont généralement eux
qui sollicitent les cours».
Quant à la contribution financière
Des cours de lecture et d’écriture sont dispensés aux enfants.
(photo D’ArChIves)
réclamée par les dispensateurs de
cours, les deux syndicalistes estiment
que tout travail mérite salaire.
«L’enseignant ne peut pas
faire le travail gratuitement. Il lui
faut assurer ses frais de transport
et son repas. Les répétiteurs qui
encadrent les enfants sont bien
rémunérés. Pourquoi rechigne-ton
quand il s’agit de l’enseignant,
qui de surcroît est pédagogue
Accuser les enseignants de
mettre les enfants qui ne souscrivent
pas aux cours en quarantaine
n’est pas juste», selon Gnelou.
M. G.
Si pour des parents d’élèves,
mettre son enfant à l’école
dès l’âge de 5, 4, voire 3
ans, permet à ce dernier de
croître psychologiquement,
ce n’est pas l’avis de certains
professionnels du secteur de
l’éducation, dont Mme Zehia
solange, inspectrice d’enseignement
primaire, chef de circonscription
Abobo 1, et du
spécialiste de la psychologie,
Dr Dagou Denis. Ces derniers
perçoivent plutôt la scolarisation
précoce comme une difficulté
dans la vie du jeune
enfant, parce qu’il se trouve
responsabilisé trop vite.
«Certains enfants scolarisés
très tôt n’éprouvent aucune difficulté.
Ce n’est pas parce que
le fils du voisin a réussi que le
vôtre y parviendra», avertit Dr
Dagou Denis. non sans avoir
dénoncé auparavant l’attitude
photo: Gneproust
ne doit pas suivre des cours de
renforcement. Car un enfant qui
a des difficultés d’apprentissage
a besoin d’être aidé dans une
pédagogie spécialisée». pour
l’homme, qui, par ailleurs,
dispense des cours de psychologie
en privé, le diagnostic se fait
à trois niveaux. Au niveau de
l’enseignant, des parents et du
spécialiste. A l’aide des informations
recueillies, le spécialiste
peut conclure, selon lui, à des
difficultés ou troubles, et définir
ainsi, la démarche à suivre. or,
constate l’intervenant, les cours
sont devenus systématiques,
d’un enfant nécessiteux à un
autre brillant. «La décision des
cours de renforcement se prend
après un diagnostic. A savoir:
comment l’enfant traite l’information,
comment réagit sa
mémoire, sa perception visuelle,
sa capacité à saisir l’information
qu’on lui communique,
sa réaction par rapport aux
mathématiques, etc. Cela se fait
par l’élaboration de grilles de
notation. Ainsi, au lieu d’une
intervention prêt-à-porter, on
aura une intervention sur
mesure. Parce quel’ on sait où
se situe la difficulté».
L’intervenant, tout en qualifiant
les cours de renforcement
dispensés sans l’observation de
la démarche prescrite d’études
surveillées, n’écarte pas la
responsabilité des parents. «Les
parents ne suivent pas toujours
leurs enfants. Il faut le reconnaître».
Aussi n’hésite-t-il pas à
dédouaner ces enseignants dont
la pédagogie est mise en doute.
des parents. Ceux-là même, qui
«mettent les enfants très tôt
sous pression. Le fait que ces
enfants arrivent dans un domaine
éducatif compétitif ne représente
rien pour ces parents, qui
ne voient leurs enfants qu’en
termes de résultats scolaires».
«Je lui ai tout donné», formule
prisée par ceux-ci, se limite, à
en croire l’intervenant, au matériel.
Dès lors, le spécialiste invite
les parents à changer leur
regard sur leurs progénitures,
tout en les aidant à aller à leur
rythme. «Les parents ne doivent
pas être trop exigeants. Un
enfant de quatre ans, au Cepe,
doit être considéré comme un
enfant de quatre ans, et non
comme un de six ans», clame
Dr Dagou. Il poursuit que:
«L’enfance de certains enfants
est violée. On ne les voit qu’en
termes de travail. Ils sont à la
«On entend certains parents
dire que les jeunes gens recrutés
pour dispenser les cours à
leurs enfants ne sont qualifiés.
Il ne faut pas oublier que l’enseignement
est un métier. Il est
normal que ces jeunes gens
recrutés sur le tard, sans aucune
notion de pédagogie, ne
soient pas qualifiés».
M. G.
Repères
tarifs. Les tarifs des
cours vont de la modique
somme de 200Fcfa à
5000Fcfa. Mais certains
parents ne pouvant pas
toujours payer cette
somme, s’arrangent avec
les maîtres qui sont les
seuls décideurs. soit pour
fractionner les montants
ou les verser avec retard.
EffEctif. Les effectifs
pléthoriques constituent
un casse-tête chinois
pour les enseignants.
Ceux-ci font cas de 50
élèves en moyenne, par
classe et 17 matières.
Dans une classe de Cp et
pour une discipline
comme le français, les
enseignants parlent de 3
exercices, pour chaque
séance de lecture. pour
un chapitre complet de
lecture, vous avez 6 séances.
Ce qui donne, selon
eux, un nombre élevé
d’exercices.
Focus
Zehia solange: “La précocité de
la scolarisation augmente le taux d’échecs”
recherche de performances,
rien que pour faire plaisir aux
parents. Sa majesté le bébé fera
ce que ses parents n’ont pas pu
faire. Le meilleur cadeau qu’on
puisse faire à un enfant, c’est de
l’aider à aller à son rythme de
développement».
Mme Zehia solange se réfère à
l’europe, où les enfants sont
admis à l’école, selon elle, à
l’âge de 7. or, «chez nous, ceux
de 5 ans se retrouvent dans une
classe avec d’autres de 7, 8, 9
ans. Ils n’ont pas les mêmes
aptitudes, la même maturité,
donc pas la même façon de
comprendre. Nécessairement, il
y aura des décalages». Autant
de dysfonctionnement, à la base
d’échecs. «La précocité de la
scolarisation augmente le taux
d’échecs».
M. G.

4
Dette extérieure
Économie
Fraternité
Matin / Jeudi 10 décembre 2009
Depuis l’atteinte du point de décision à l’initiative Ppte, fin mars dernier, la Côte d’Ivoire ressent
de moins en moins lourdement le poids des dettes, grâce aux accords de restructuration obtenus avec ses créanciers.
La France annule 205 milliards de Fcfa
Hier, au 19 e étage de l’immeuble
Sciam, abritant le cabinet
du ministre de
l’Economie et des Finances,
l’ambiance était détendue.
Et pour cause, la Côte d’Ivoire
venait de bénéficier d’une importante
remise de sa dette extérieure
due à la France : 205 milliards de
Fcfa (455 millions de dollars
américains) effacés immédiatement,
314 milliards de Fcfa (697
millions de dollars) rééchelonnés
sur une période allant de 23 à 40
ans, et 990 milliards de Fcfa (2,2
milliards de dollars) d’arriérés et
déchéances, payables, en réalité
tout juste après l’obtention du
point de décision, différés exceptionnellement
sur une période de
8 ans maximum pour permettre à
la Côte d’Ivoire de réussir la mise
en œuvre de son programme économique
et financier triennal
conclu avec le Fmi. Ces différés
exceptionnels correspondent, au
dire de S.E.m Jean marc Simon,
Ambassadeur de la France en
Côte d’Ivoire, signataire hier des
accords respectifs, avec le ministre
ivoirien Charles Koffi Diby,
en charge de l’Economie et des
Finances, à l’annulation de 67%
des arriérés de dettes commerciales
pré date butoir et de 90% des
échéances sur la durée du programme
triennal sus indiqué
(avril 2009-avril 2012). Pour
l’Ambassadeur de France, cette
restructuration qui se situe dans le
cadre de la mise en œuvre effective
du procès-verbal agréé du
Club de Paris, signé le 15 mai
dernier, au terme des négociations
qui ont regroupé à Paris,
créanciers bilatéraux et gouvernement
ivoirien, «est un événement
important et marque véritablement
une étape de sortie de crise
et par conséquent, le futur du
pays». mais pour en arriver là, le
représentant de l’Etat français
reconnaît que les autorités ivoiriennes
ont dû faire beaucoup
d’efforts. Lesquels efforts ont été
reconnus par la communauté
internationale, notamment le
Fonds monétaire international
(Fmi) et la Banque mondiale.
D’où l’éligibilité du pays à
l’Initiative en faveur des pays
pauvres très endettés (Ppte) à travers
l’atteinte du point de décision
qui a permis d’ouvrir les
négociations avec les créanciers
réunis au sein des Clubs de Paris
et de Londres. SEm. Jean marc
Simon promet par ailleurs, qu’une
fois que le pays atteindra le
point d’achèvement à l’initiative
Ppte, la France procédera à un
autre allègement de la dette
Le ministre Charles Koffi Diby (économie et Finances) et SEM. Jean-Marc Simon, ambassadeur de
France en Côte d’ivoire, lors de la signature des accords. (PhOtO : m. E. F).
publique ivoirienne par le biais
d’un système de contrat de désendettement
et de développement
(Cdd). Par ce contrat sur lequel
experts ivoiriens et français vont
travailler, la France pourrait abandonner
la quasi-totalité de ses
créances. mais en contrepartie,
l’Etat ivoirien s’engagera à affecter
cette manne financière ainsi
obtenue grâce à l’atteinte du point
d’achèvement, dans des projets
contribuant au développement
et/ou à la réduction de la pauvreté
qui auront été identifiés par les
deux partenaires. Au regard de
tout ce qui précède, il n’est pas
superflu de déclarer que ce 09
décembre 2009 est un jour de
bonheur pour le pays. Et c’est à
juste titre que le ministre ivoirien
de l’Economie et des Finances,
Charles Koffi Diby, l’a souligné
dans son discours: «Aujourd’hui
est un jour très agréable pour la
Côte d’Ivoire», parce que ces
trois accords qui ont fait l’objet
de signature hier, à la salle de
conférences Kaberuka du cabinet,
allège substantiellement le
poids de la dette publique ivoirienne.
«En effet, en tant que partenaire
privilégié de la Côte
d’Ivoire, la France, votre pays,
occupe la première place au
nombre de nos créanciers bilatéraux,
avec un portefeuille représentant
52% du stock total de la
dette due à l’ensemble des 14
pays créanciers, membres du
Club de Paris», a dit le ministre
Charles Koffi Diby, à l’endroit de
l’Ambassadeur français. Ajoutant
«qu’il est donc aisé de comprendre
que cette position prépondérante
implique la France, comme
acteur essentiel concernant la
Côte d’Ivoire, au titre de la restructuration
de sa dette extérieure».
Le ministre qui a plaidé au
cours de cette cérémonie pour le
retour de l’Agence française de
coopération (Afd) et de l’intensification
de ses activités dans le
pays afin de servir de catalyseur
et de déclencheur du retour de
tous les autres partenaires au
développement, n’a pas manqué
de souligner que cette institution
avait été, en 2008, d’un apport
appréciable dans la normalisation
des relations de la Côte d’Ivoire
avec des institutions financières.
En effet, l’Afd, par son mécanisme
de crédit relais avait permis le
bouclage du financement nécessaire
à l’apurement des arriérés
dus aux institutions multilatérales,
notamment la Banque mondiale
et la Banque africaine de
développement (Bad). «Je voudrais
saisir l’occasion de cette
cérémonie de signature, pour
remercier, au nom du gouvernement
ivoirien, les plus hautes
autorités françaises pour leur
implication totale lors du bouclage
dudit financement», a insisté
Charles Koffi Diby. Qui n’oublie
pas que ce soutien français a été
aussi remarquable dans la gestion
du dossier de la Côte d’Ivoire
auprès des instances du Fmi pour
l’obtention du programme économique
et financier assorti, immédiatement,
du point de décision
de l’Initiative Ppte.
Assurant que le gouvernement
s’emploiera à conduire à bonne
fin, ce programme nécessaire à la
relance, le ministre de
l’Economie et des Finances a fait
savoir que «notre pays attend
beaucoup de la France dans le
processus post-crise. Nous comptons
surtout sur le retour des opérateurs
économiques français,
pour reprendre la place qui est la
leur».
Concernant la dette, il est important
de savoir que le stock de la
dette publique extérieure du pays
s’élevait au 31 mars 2009, à 6 450
milliards de Fcfa environ dont un
peu plus de la moitié est due au
Club de Paris. Les négociations
du 15 mai dernier avec les pays
créanciers membres du Club de
Paris, avaient porté sur un stock
de dette consolidée de 2 255
milliards de Fcfa, comme l’a rappelé
hier, le ministre Diby. Aux
termes desdites négociations, la
restructuration de cette dette avait
été déclinée en trois modalités
suivantes : l’annulation immédiate
de 435 milliards de Fcfa, le
différé de remboursement de 1
224 milliards de Fcfa d’arriérés et
d’échéances de la dette post date
butoir, et le rééchelonnement, à
long terme, du stock résiduel
d’un montant de 596 milliards de
nos francs.
En tout cas, la Côte d’Ivoire qui a
déjà bénéficié d’une remise de sa
dette due aux Etats-Unis (98
milliards de Fcfa), à l’Italie (28,1
milliards de Fcfa.), et aujourd’hui
Conserverie de thon
Décidément, la tempête dans le
secteur de la conserverie de
thon risque d’emporter tous
les opérateurs. Des quatre
entreprises bénéficiant du
régime franc de transformation des
produits halieutiques, deux ont déjà
mis leurs employés au chômage
technique : Scodi et Pêche et froid.
L’adage «jamais deux sans trois»,
risque de s’appliquer, malheureusement,
au secteur. hier après-midi en
effet, la direction de Castelli Côte
d’Ivoire déclarait, au cours d’une
conférence de presse, qu’elle est
également à bout de souffle. Selon
l’attaché du directeur général, Jean
Kouakou, sa société se trouve dans
une situation financière critique. Du
fait de la dette de l’Etat envers elle.
Au 31 décembre 2008, ce sont 896
millions de Fcfa que le trésor
(l’Etat) n’a pu honorer. Au 30
novembre 2009, la société n’a pu
encaisser ses 380 millions de Fcfa
au près de l’administration
publique. Au chapitre taxe sur la
valeur ajoutée (tva), le crédit s’élève
à 500 millions de Fcfa. Soit une
perte sèche de 1,776 milliard de
Fcfa. «Tout cela pèse lourdement
sur notre trésorerie. Car, même si
par écrit, l’Etat a reconnu sa dette,
les modalités de remboursement de
cette dette aux entreprises ne sont
pas encore envisagées», a ajouté le
conférencier. Et c’est la directrice
des ressources humaines (Drh),
Eugénie Kassi Attia, qui tire les
conséquences. Si rien n’est fait, l’usine
sera malheureusement obligée
d’arrêter momentanément ses activités.
«Nous serons obligés de prendre
des mesures qui pourraient aller
jusqu’à une mise au chômage technique
de longue durée», précise m.
Kouakou. 875 travailleurs dont
80% de femmes sont ainsi menacés.
Surtout qu’ils reviennent d’un arrêt
de travail (chômage technique) de
deux semaines, du 13 novembre au
2 décembre. Arrêt de travail interrompu,
du fait de l’intervention de
la maison mère.
Les raisons de la débâcle des
conserveries de thon demeurent le
non-respect de la loi du 2 décembre
d’une importante concession de
la France, pourrait dans douze ou
dix-huit mois disposer de plus de
moyens financiers pour relancer
durablement son développement
social et économique.
GOORE Bi HUE
Une 3 e société menace de fermer
2005, dont le décret du 22 décembre
2006 fixe les modalités d’application.
Les opérateurs, tout en
reconnaissant qu’ils sont effectivement
exonérés d’impôts et taxes,
regrettent que l’Etat récupère l’argent
«perdu», par la parafiscalité
(taxe de voirie, taxe d’hygiène …).
mais, surtout, le second avantage
conféré par la loi ne connaît même
pas de début d’application. Il s’agit,
selon l’article 19 du décret, d’un
abattement de 50% sur les coûts de
facteur. A savoir, l’eau, l’électricité,
les communications téléphoniques,
les acquisitions de produits pétroliers.
Pour les opérateurs, si cette
disposition est appliquée, elle constituera
une véritable bouffée d’oxygène.
Et rendra leurs produits plus
compétitifs. C’est pourquoi,
Castelli Côte d’Ivoire espère qu’après
sa fermeture annuelle (du 18
décembre 2009 au 10 janvier 2010),
pour maintenance de son équipement,
l’Etat aura fait un geste.
Sinon, comme le dit m. Kouakou,
«ce début d’année 2010 sera celui
de tous les dangers».
aDaMa KONé
Tendance
Oapi. Dans le cadre de la 49 e
session du Conseil d’administration
de l’Organisation africaine de
la propriété intellectuelle (Oapi),
sa Commission des experts s’est
réunie le mardi 8 décembre, pour
préparer la réunion des ministres
des pays membres qui se tiendra à
Abidjan les 15 et 16 décembre
prochain. Situant l’enjeu de la
réunion du jour, Paulin Edou
Edou, directeur général de l’Oapi,
a indiqué qu’elle se penchera sur
des dossiers de grande importance
pour l’avenir de l’Organisation. Il
s’agit notamment, de sujets liés à
son fonctionnement et ses activités,
à la promotion de la propriété
intellectuelle et aux réformes du
Fonds d’aide à la propriété
Intellectuelle «Fapi». Des dossiers
qui vont être débattus lors de la
réunion des ministres.
Typon

Fraternité Matin / Jeudi 10 décembre 2009
Économie
Filière avicole Les états généraux, devant déboucher sur un plan stratégique de relance de la filière, ont
été ouverts, hier, par le président du Conseil économique et social, représentant le Chef de l’état.
150 milliards d’investissement prévus par les opérateurs
5
Les opérateurs de la filière avicole
de Côte d’Ivoire prévoient des
investissements de 150 milliards
de F Cfa, dans les dix prochaines
années, pour que le secteur
déjà en bonne santé, atteigne le
même niveau de développement
des pays tels que ceux de la
Méditerranée et d’asie. Cette prévision
a été faite, hier par le président
de l’Interprofession avicole
(apravi), Jean-Marie ackah, lors de
la cérémonie d’ouverture des états
généraux de la filière avicole organisés
par le ministère de la
production animale et des
ressources halieutiques.
En attendant la mise en route de ce
programme de développement, les
acteurs quant à sur l’embellie
actuelle… en effet, la filière avicole
marche bien actuellement. hier, le
ministre de la production animale et
des ressources halieutiques,
alphonse douati et le président de
l’Ipravi l’ont soutenu, chiffres à
l’appui. Le secteur réalise en
moyenne un chiffre d’affaire de 40
milliards de Fcfa par an (plus de 50
milliards de F en 2008). La production
de viande de volaille est passée
de 9200 tonnes à 20 mille tonnes en
2009. La production annuelle de
poussins a atteint 30 millions. 26
mille tonnes d’œufs ont été produits
en 2008. La filière, constituée, entre
Le président du Conseil économique et social pose ici avec les opérateurs décorés
pour leur contribution à l’essor de la production avicole. (photo : poro dagnogo).
autres, d’au moins cinq fermes de
reproducteurs et une dizaine de couvoirs
modernes à dimensions industrielles,
génère 15 mille emplois
directs et indirects.
Finis donc les durs moments (2003-
2005) où la production nationale
était passée de 8000 à 4000 tonnes.
a cette période, les producteurs
locaux avaient été confrontés aux
importations massives de viandes
de volaille en provenance de
l’Europe, d’asie et d’amérique.
Loin de se laisser abattre, les acteurs
du secteur s’étaient battus pour
obtenir du gouvernement des mesures
plus probantes de protection de
la production locale. Le prélèvement
compensatoire sur les viandes
de volaille importées était alors
passé de 300 francs à 1000 francs
par kilogramme dans la loi des
finances de 2006, grâce aux injonctions
du président de la république.
La filière avicole marche bien. Mais
les acteurs n’entendent pas s’arrêter
en si bon chemin. Leur ministre de
tutelle leur donne l’opportunité, à
l’occasion des états généraux, de
définir justement une stratégie et un
plan d’action pour les 10 années à
venir, avec pour objectif, la satisfaction
de la consommation nationale,
voire l’exportation. Le ministre
douati demande aux participants,
entre autres, d’évaluer l’impact de
la loi des finances de 2006.
Le président du conseil économique
et social, Laurent dona-
Fologo qui représentait le Chef de
l’Etat, a félicité les opérateurs pour
leur performance.
Six pionniers de la filière ont été
Filière hévéa
C’est la saignée à l’organisation
des producteurs de caoutchouc
naturel (opcn). alors que l’on
s’achemine vers la fin de l’année,
la crise au sein de la filière,
est loin de s’achever. La sérénité est
bien loin des associés d’hier. C’est
que deux camps s’affrontent depuis
plus d’un an. d’un côté, le président
du conseil d’administration (pca),
désiré porquet, et de l’autre, l’expca
intérimaire, Bezem atchiri. de
procès en procès, ils sont dans l’attente
d’une ultime décision de justice.
Celle de la cour d’appel, programmée
pour demain 10 décembre
2009. Contre toute attente, le clan
atchiri annonce une assemblée
générale pour le 23 décembre prochain.
toute chose qui soulève le
courroux du camp adverse. Qui souligne
qu’il faut respecter la justice et
décorés par le président de la
république. Ce sont MM.
Laminezana paul auguste Louis,
ancien directeur général de la
Sodepra, Jean-Marie ackah, président
de l’Ipravi et dg de Sipra, ali
ouattara, producteur à
La crise s’accentue
qualifie l’acte de l’ex-intérimaire de
« court circuit » contre la cour
d’appel. Cet autre rebondissement
risque de paralyser davantage les
activités de l’organisation. C’est que
l’administration dirigée par M.
porquet, estime que M. atchiri ne
peut poser d’acte de gestion, au
regard des différentes décisions prises
jusque-là par la justice. pour
mémoire, M. désiré porquet, pour
des raisons de calendrier chargé du
fait d’activités personnelles, avait
proposé à son associé, M. atchiri,
d’assurer son intérim au poste de
pca. Mais, au moment de « rendre à
César, ce qui appartient à César »,
l’intérimaire se braque. pire, il intente
une action en justice. Le but étant
de faire nommer un administrateur
provisoire. La justice ne le suit pas.
Mieux, elle demande, dans une
agnibilékrou, Zarour abdalah, dg
de Sogex, diaby Karamoko, président
de l’association nationale des
aviculteurs et Mme Klébert Bénié,
promotrice d’une microfinance
dans le secteur.
ALAKAGNI HALA
audience de référé d’heure à heure
du 20 mai 2009, que l’ex-pca par
intérim remette les clés du siège de
l’organisation ainsi que les documents
comptables à M. porquet.
deux jours après, M. Bezem atchiri
fait appel de cette décision et obtient
une suspension provisoire de l’exécution
de la décision de référé
d’heure à heure. toutefois, la cour
précise, que cette suspension est
valable jusqu’à ce qu’elle statue sur
le fond de l’affaire. Ce à quoi s’est
conformé le camp porquet. pour sa
part, M. atchiri, joint au téléphone, a
dit attendre la décision de justice. Il
a ajouté qu’il dispose de documents,
justifiant de la régularité de ses
actes, qu’il pourra mettre à notre
disposition, en temps opportun.
A. K
Typon

PUBLI-REPORTAGE
BIAO-CÔTE D'IVOIRE
RUBIS, LA CARTE VISA PREPAYEE
DE LA BIAO-CI, PRESENTEE A LA PRESSE
M. Laurent Yapi N'Chot Directeur du Réseau
et des Particuliers représentant l'Administrateur Directeur
Général de la BIAO-CI.
La carte VISA prépayée RUBIS, est la nouvelle offre que
la BIAO-Côte d'Ivoire a présenté aux journalistes, au
cours d'une conférence de presse, à l'hôtel Tiama.
La BIAO-Côte d'Ivoire : Une banque
innovante et avant-gardiste
La BIAO-CI, banque pionnière de la modernisation des
services bancaires, a fait de la monétique, un pilier essentiel
de sa stratégie.
C'est ce qu'a indiqué dans son discours d'ouverture de la
conférence, Monsieur Laurent Yapi N'chot Directeur du
Réseau et des Particuliers représentant l'Administrateur
Directeur Général de la BIAO-CI. Il a également présenté
les différentes offres innovantes conçues par la BIAO-CI
pour rendre cette banque accessible à tous.
De g. à d. : M. Jean Jacques N'docho Directeur
des systèmes d'information BIAO-CI, M. Laurent Yapi N'Chot
Directeur du Réseau et des Particuliers BIAO-CI, M. Louis
Gohourou, Directeur des opérations BIAO-CI, M. Saliou
Bakayoko, Directeur Général Adjoint NSIA Vie Côte d'Ivoire.
La carte VISA “RUBIS” : “Le bijou que
la BIAO-CI offre au public Ivoirien”
Mme Nina Kouacou, Chef de Service Marketing de la BIAO-CI
a fait, aux journalistes présents à cette conférence de
presse, un exposé détaillé de la carte VISA prépayée
RUBIS et de son principe de fonctionnement.
“RUBIS” est une carte VISA, Prépayée Rechargeable, qui
offre tous les avantages d'une carte bancaire classique,
sans que les bénéficiaires n'aient besoin de détenir un
compte en banque.
RUBIS existe aussi bien pour les particuliers, que pour les
entreprises désireuses de limiter les risques liés aux
paiements en espèces (salaires, frais de mission,
fournisseurs, etc.).
Cette carte VISA prépayée rechargeable ne coûte que
5000 FCFA TTC.
Les journalistes attentifs à la présentation de la carte
VISA RUBIS.
Les avantages de la carte VISA RUBIS pour
les particuliers, clients ou non, de la BIAO-CI
Que vous soyez client ou non de la BIAO-CI, avec ou sans
compte bancaire, la carte VISA RUBIS vous permet d'effectuer:
• des retraits d'espèces dans tous les distributeurs et guichets
automatiques des réseaux de la BIAO-CI, GIM-UEMOA et
VISA dans le monde entier.
• des achats sur Internet et dans les surfaces et commerces
Mme Nina Kouacou, chef de service marketing
de la BIAO-CI, décrivant la carte VISA RUBIS.
munis d'un Terminal de Paiement Electronique (TPE).
• un rechargement à distance de la carte VISA RUBIS pour
vous et vos proches.
De plus le titulaire de la carte prépayée RUBIS a la
possibilité de gérer son avoir sur sa carte :
• de faire des retraits partiels jusqu'à épuisement de la
somme disponible sur la carte.
• de la recharger à sa convenance
Le rechargement peut être fait dans toutes les agences de
la BIAO-CI, sur toute l'étendue du territoire (en espèces, de
compte à carte ou de carte à carte) et en France à partir du
bureau de représentation de la BIAO-CI à Paris (45 Rue
Archereau - 19 ème arrondissement).
A la fin de la conférence, les journalistes présents
ont reçu chacun, une carte Visa prépayée Rubis,
gracieusement offerte par la BIAO-Côte d’Ivoire.
M. Bernard N'Dri, Directeur de publication du magazine
MABEF NEWS, apportant sa contribution aux échanges.
Les avantages de la carte VISA RUBIS
pour les entreprises
La solution RUBIS permet aux entreprises d'alléger la
charge de travail de leurs services de gestion. En effet
adopter la solution Entreprise RUBIS, c'est opter pour un
système de règlement plus économique, plus performant et
plus sécurisé (paiements de salaires, règlement de
fournisseurs…).
L'entreprise, cliente de la BIAO-Côte d'Ivoire émet tout
simplement un ordre de virement de son compte vers les
cartes à créditer du montant choisi.
Bien plus, cette carte prépayée rechargeable VISA peut être
personnalisée au nom de l'entreprise qui souscrit.
Il faut également noter qu'en plus de la carte VISA RUBIS,
la BIAO-CI offre toute une gamme de cartes VISA Electron,
VISA Classic et VISA Gold.
C'est visiblement heureux et satisfaits de cette conférence
de presse et des échanges qui s'en sont suivis, que les
journalistes sont repartis, avec chacun, une carte VISA RUBIS.
La BIAO COTE D’IVOIRE : une banque pérenne
La BIAO-COTE D'IVOIRE
opère en Côte d'Ivoire depuis
1906, avec l'ouverture de sa
première agence à Grand-
Bassam. En 1934, l'agence
est transférée à Abidjan. Et
par arrêté n° 1648 du
Ministère de l'Economie, des
Finances et du Plan, l'Agence
devient, le 30 décembre 1980,
une Banque de droit ivoirien,
dénommée BIAO-Côte d'Ivoire,
avec un capital détenu à 35 %
par l'Etat. Le 25 janvier 2000,
la Banque est privatisée
ouvrant ainsi son capital à
d'autres intérêts privés
extérieurs, l'Etat n'en détenant
plus que 20 %.
L'histoire de la BIAO-CI va
prendre un autre tournant en
septembre 2006 ; les 80 %
d'actions détenues par des
capitaux étrangers ont été
reprises par un consortium
formé par la Nouvelle Société
d'Assurance en Côte d'Ivoire
(groupe NSIA) et la Caisse
Nationale de Prévoyance
Sociale (CNPS). Le groupe
NSIA représenté par NSIA
Participations devient l'actionnaire
majoritaire. Première
banque privée à capitaux
100 % nationaux, la BIAO-CI,
dirigée depuis septembre
2007 par M. Martin Djedjes,
Administrateur Directeur Général,
est aujourd'hui un acteur
majeur du système bancaire
ivoirien.
La BIAO-Côte d’Ivoire,
société anonyme au capital de
20 Milliards de FCFA est une
filiale du Groupe NSIA. Elle
est forte d'un réseau de trente
quatre (34) agences réparties
sur tout le territoire ivoirien et
d'un bureau de représentation
à Paris depuis octobre 2008.
En plus des nouveaux
produits et services innovants
tels que la carte prépayée
RUBIS, EASY COLLECT,
EPARGNE PLUS, la BIAO-CI,
offrira bientôt à sa clientèle,
un siège, totalement rénové,
ainsi que de nouvelles
agences.
Son expérience, sa fiabilité, et
son expertise, font de la
BIAO-Côte d'Ivoire, un partenaire
privilégié au service de
l'économie ivoirienne.
BIAO - COTE D’IVOIRE, 8 - 10 Avenue Joseph Anoma, Abidjan - Plateau - 01 BP 1274 Abidjan 01 - Tel : +225 20 20 07 20 - Fax : +225 20 20 07 00
Infoline : 20 32 11 12 - Email : info@biao.ci - Site web : www.biao.ci

Société
Fraternité Matin / Jeudi 10 décembre 2009 7
Anniversaire Fraternité Matin a commémoré, hier, ses 45 ans d’existence.
laurent dona-Fologo et rosine diodan portent un regard sur la marche du journal.
“Ce qui me fait le plus plaisir à Fraternité matin,
c’est l’effort d’objectivité et d’équilibre”
M. le président, vous êtes le tout
premier rédacteur en chef de
Fraternité Matin qui célèbre en
ce mois de décembre 2009 son
45 ème anniversaire. Il enregistrera
la présence du Chef de
l’Etat. Comment percevez-vous
cette commémoration
Je considère la venue annoncée
du président de la république à
cette cérémonie comme un grand
honneur, un peu comme un couronnement.
le président Gbagbo
est un historien, un homme d’etat
intellectuel qui accorde beaucoup
d’importance au passé, à l’histoire,
tout en construisant l’avenir.
sa présence va donner à notre
45 ème anniversaire un éclat particulier.
il sait que l’histoire du
journal se confond presque avec
celle de la côte d’ivoire indépendante.
c’est donc son histoire et je
suis heureux qu’il vienne l’honorer.
en tant que premier rédacteur en
chef de ce quotidien que j’ai
démarré à 25 ans avec le soutien
du président Félix houphouet-
Boigny qui en est le vrai père, je
considère que Fraternité Matin est
toute l’histoire de mon adolescence
et de mon parcours tout court.
Je suis, à chaque anniversaire, le
chemin parcouru par le journal et
c’est avec fierté que je dis partout
où je passe que nous avons le quotidien
francophone de l’afrique
de l’ouest le plus réussi, le plus
sérieux, malgré la floraison de titres
de nos jours, et le plus solide
quant au tirage car nous avons le
(photo d’archives)
plus fort tirage de tous les pays
voisins. c’est une fierté que j’exprime
sans vanité, certes. Mais
que je ne saurais taire non plus.
Vous avez dit votre fierté de voir
votre bébé grandir. Mais comme
tout bon parent, vous avez certainement
quelques recommandations
à faire par rapport au chemin
qui reste à faire.
Je voudrais saisir cette occasion
pour rendre hommage à tous ceux
qui m’ont aidé à lancer le journal
et dont beaucoup ne vivent plus
malheureusement : MM. robert
Bin, pierre Blanc, durand, henri
Je suis la première femme
journaliste diplômée du Cesti
de dakar recrutée, mais je ne
suis pas la première journaliste
de Fraternité Matin. il y en
a eu avant moi, dont certaines
que je n’ai pas connues. 45 ans,
c’est un âge raisonnable pour une
entreprise et de surcroît pour un
journal. Nous devons nous
réjouir que Frat Mat ait pu traverser
45 années, car cela témoigne
d’un travail accompli par
plusieurs générations de personnes,
de journalistes, notamment,
qui ont su porter un métier, un
support, une entreprise. pour
nous autres, qui sommes à la
retraite officiellement depuis
quelques années, c’est une occasion
de bilan pour nous-mêmes,
en même temps que pour l’entreprise
qui nous a formatés. et de
pierre; tous des experts que nous
avait envoyés la France pour nous
aider à lancer le quotidien. ils
m’ont été d’un grand apport. Je
rends aussi hommage aux
ivoiriens qui nous ont quittés :
Bruno Garcias, Jean pierre ayé,
thiam Belafonte, Noël ebony,
atta Koffi qui, lui, est vivant.
Je leur rends hommage car je ne
travaillais pas seul. c’était une
équipe et je souhaite que cet esprit
de fraternité demeure au journal.
Je souhaite que ceux qui en sont
les responsables soient toujours
habités par l’esprit d’humilité et
de solidarité. le bon chef, c’est
celui qui est humble, qui sait
écouter tous les collaborateurs et
qui agit dans le sens de la justice.
Je souhaite que cet esprit de
Fraternité Matin continue d’habiter
les uns et les autres car c’est
ma fierté parce que j’ai toujours
souhaité que le journal me ressemble
et que je lui ressemble
également.
rosine diodan (1 ère femme journaliste de Frat Mat diplômée du cesti de dakar )
“Le journal doit refléter ses 45 ans dans son contenu”
(photo : pascal soro)
s’interroger sur les enjeux et perspectives
du journalisme dans le
contexte nouveau. ce qu’il
convient de considérer comme
un défi, dorénavant, c’est que le
quotidien Fraternité Matin, à cet
âge très adulte, doit pouvoir
refléter ses 45 ans dans son
contenu. Un contenu qui s’accroche,
certes, aux règles de notre
métier, mais aussi qui se distingue
par sa pertinence et son
exclusivité. son contenu devrait
pouvoir, aussi, s’adapter aux évolutions
technologiques, tout en se
diversifiant en termes d’offres
éditoriales».
propos recUeillis par
Rémi CouLibaLy
Un grief revient souvent par rapport
aux médias d’Etat dont
Fraternité Matin. Des hommes
politiques leur reprochent de ne
pas en faire assez pour eux. En
votre qualité d’homme politique
mais aussi de journaliste, comment
réagissez-vous à cette critique
Je pense que les politiciens qui
reprocheraient cela aux médias
d’etat ont tort. ils ne connaissent
pas la profession. Même lorsque
vous êtes propriétaire d’un journal,
vous devez accepter que tous
les jours, on ne parle pas que de
vous parce qu’on aboutit généralement
à un phénomène de rejet
quand on exagère. Moi je trouve
Fraternité Matin très équilibré.
J’ai lu dans le journal de grandes
interviewes des adversaires du
pouvoir. tout cela est bon pour la
démocratie.
ce qui me fait le plus plaisir à
Fraternité Matin, c’est qu’il y a un
effort d’objectivité, d’équilibre,
de professionnalisme. en recevant,
il y a quelques instants, les
journalistes membres de l’ojpci
(il venait de recevoir ce lundi 7
décembre les journalistes membres
de cette association, ndlr), je
leur ai dit que leur force viendra
de leur professionnalisme.
en journalisme, on peut tout dire
à condition d’y mettre la manière.
Nul n’ignore que nous sommes
un pays fragile. Nous devons renforcer
l’unité nationale, la solidarité,
la gouvernance afin que la
majorité partage les fruits de la
croissance. les journalistes
savent toutes ces choses et doivent
les défendre. cela n’empêche
pas qu’ils critiquent ce qui
leur semble ne pas aller sur le bon
chemin. Moi j’accepte cela.
en ma qualité de premier rédacteur
en chef et donc un des fondateurs
du journal, je n’ai jamais
imposé à Fraternité Matin un seul
article. on m’interviewe comme
tout le monde; on dit de moi ce
qu’on veut dire mais je n’ai
jamais appelé pour demander
pourquoi il y a telle chose plutôt
que telle autre, pourquoi je ne
figure pas à la Une, etc.
Je pense que le journaliste travaille
selon sa conscience et selon
l’intérêt qu’il porte aux sujets ou
aux événements. il faut que nos
hommes politiques acceptent
qu’il en soit ainsi parce que c’est
la voie de la démocratie et de la
fraternité vraie.
propos recUeillis par
abeL DouaLy
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08 35 27 58 / 07 30 80 86
INFORMATION
Messieurs, Mesdames, nous vous informons par la
présente annonce que Monsieur YAH BI Eric Arthur,
Agent Commercial chez COMAFRIQUE Technologies
ne fait plus partie de l'effectif du personnel de la société
COMAFRIQUE Technologies depuis le 12 novembre
2009. II n'est donc plus habilité à agir pour le compte de
la société. COMAFRIQUE Technologies décline donc toute
responsabilité quant aux actes que Monsieur YAH BI
Eric Arthur pourrait poser pour le compte de la société.
La Direction Générale

8
Filière café-cacao
Le monde entier célèbre aujourd’hui
le 61 e anniversaire de la
Déclaration universelle des
droits de l’homme. Les 24 dirigeants
des structures de gestion
de la filière café-cacao et des sociétés
acquises ou créées détenus à la
Maison d’arrêt et de correction
d’Abidjan (Maca) ont profité de
l’occasion de la Quinzaine nationale
des droits de l’homme et des
libertés qui prend fin aujourd’hui
pour saisir la Commission nationale
des droits de l’homme de Côte
d’Ivoire (Cndh-CI).
Dans le courrier en date du 2
décembre dernier adressé à cette
structure et dont nous avons reçu
copie, ces présidents de conseil
d’administration, directeurs généraux
et directeurs financiers, arrêtés
et incarcérés dans la période du 18
au 30 juin 2008, dénoncent quatre
“atteintes graves à (leurs) droits”.
Il s’agit d’abord, selon eux, de la
violation du principe de la présomption
d’innocence. Rappelant
Société
l’article 11 de la Déclaration universelle
des droits de l’homme qui
dispose que “toute personne accusée
d’un acte délictueux est présumée
innocente jusqu’à ce que sa
culpabilité ait été légalement établie
au cours d’un procès public où
toutes les garanties nécessaires à
sa défense lui auront été assurées”,
Fraternité Matin / Jeudi 10 décembre 2009
Les dirigeants, arrêtés et placés sous mandat de dépôt depuis juin 2008 pour de présumés
“détournements massifs de fonds”, se battent pour obtenir la liberté provisoire.
Les détenus dénoncent des violations de leurs droits
les détenus de la filière café-cacao
se sont élevés contre la tendance
observée de substituer la présomption
de culpabilité à la présomption
consacrée d’innocence.
Ensuite, ils estiment qu’il y a une
atteinte à leur honneur et à leur
réputation. S’adossant à l’article 12
de ladite Déclaration qui stipule
que “nul ne sera l’objet d’atteintes
à son honneur et à sa réputation”,
les dirigeants de la filière, “blessés
et bafoués dans (leur) honneur”,
constatent qu’ils “sont régulièrement
présentés comme des délinquants,
des voleurs de milliards
aussi bien par la presse, certaines
autorités judiciaires que par les
plus hautes autorités du pays”.
Par ailleurs et selon eux, il y a, dans
la procédure judiciaire engagée,
une violation des règles de la détention
préventive. Détenus sans jugement
depuis juin 2008, les dirigeants
de la filière café-cacao s’interrogent
aujourd’hui sur l’opportunité
de leur incarcération systématique
et la reconduction mécanique
de leur détention provisoire alors,
selon l’article 137 du Code de procédure
pénale ivoirien auquel ils se
réfèrent, “la liberté est de droit» et
«la détention préventive, une mesure
exceptionnelle”. En outre, dès
leur arrestation, Ladji Joachim
Gnakadé, le doyen des juges d’instruction,
a pris une série de mesures
préventives (interdiction de sortie
du pays et mise sous séquestre de
tous leurs biens et comptes bancaires)
en vue de sécuriser le déroulement
des enquêtes. Malgré cela, la
détention provisoire de quatre mois
des détenus a été prorogée le 15
octobre dernier et court jusqu’au 13
février 2010.
Enfin, ils estiment qu’il y a manifestement
atteinte à leur droit à un
procès équitable. Ils n’ont pu, à
leurs yeux, participer aux deux
audits financiers déjà réalisés et ne
peuvent participer sereinement et
efficacement au troisième audit qui
vient d’être diligenté pour faire la
lumière sur les “détournements
massifs” de fonds qui auraient
émaillé leur gestion.
De là à craindre que des délits ne
soient fabriqués pour les accabler, il
n’y a qu’un pas que certains de
leurs parents, qui ont assiégé le
palais de justice d’Abidjan-Plateau
le 23 novembre dernier, n’hésitent
plus à franchir. Surtout que le parquet,
au cours d’une conférence de
presse en 2008, a stigmatisé le
fonctionnement dans l’illégalité
totale de toutes les structures de
gestion de la filière et visé les
infractions suivantes: “détournement
de fonds, abus de confiance et
de biens sociaux, escroquerie, faux
et usage de faux en écriture privée
ou de commerce”.
En réalité, l’information judiciaire
ouverte par le doyen des juges
d’instruction fait grincer bien des
dents. Huit prévenus qui n’ont pas
la qualité de dirigeants – ce sont
essentiellement des directeurs
financiers – ont manifesté, les 18 et
23 novembre, devant le greffe de la
Maca, refusant de regagner leur
cellule. Quatre autres détenus –
Henri Amouzou Kassi (président du
conseil de gestion du Fdpcc),
Théophile Kouassi (secrétaire exécutif
du Fdpcc), Mmes Obogui née
Houssou Aménan Roselyne (Daf
du Fdpcc) et Aka épouse Elloh
Evelyne (Dg de Coco-service) – qui
estiment que “l’instruction est
manifestement conduite à charge
contre eux”, se sont retirés de la
procédure judiciaire. Ce n’est pas
tout. Ils ont attrait l’Etat ivoirien
devant la Cour de justice de la
Cedeao. Assistés de Me Aka
Narcisse, avocat, ils ont porté plainte
pour cinq présumées violations
des droits de l’homme au nombre
desquelles l’atteinte à la présomption
d’innocence, l’atteinte à l’honneur
et à la considération et l’atteinte
à un procès équitable.
De son côté, la Coordination nationale
des délégués départementaux
de la filière café-cacao a aussi
intenté un procès contre l’Etat de
Côte d’Ivoire pour atteinte au principe
d’égalité de tous les citoyens
devant la loi. Le verdict de ces deux
procès, prévu initialement pour le
18 novembre dernier, a été reporté
au 17 décembre prochain, à Abuja
(Nigeria).
Pendant ce temps, la santé de trois
détenus s’est sérieusement dégradée
au point qu’ils sont hospitalisés:
Mangoua Koffi Saraka, Pca du
Fgccc, à la Pisam; Firmin Kouakou,
directeur général du Frc, et Tohouri
Prosper Kouassi, Daf du Frc, au
Chu de Treichville.
FERRO M. BaLLy
Liste des dirigeants détenus
Autorité de régulation
du café et du cacao (Arcc)
1. Placide Zoungrana (Pca)
2. Didier Gbogou (Dg)
3. Mme Agbalessi Coffi Dominique (Daf)
Fonds de régulation
et de contrôle du café
et du cacao (Frc)
1. Mme Kili Zilahon Angeline (Pca)
2. Kouakou Firmin (Dg)
3. Kouassi Tohouri Prosper (Daf)
4. Sahé Kouadio (Dg de Sarem, filiale)
5. Okaigni Okaigni Louis (Pca de New
York chocolate and confections compagny
ou Nyccc, usine de Fulton aux Usa, filiale)
Bourse du café
et du cacao (Bcc)
1. Tapé Do Lucien (Pca)
2. Tano Kassi Kadio (Dg)
3. Mme Mensah Viviane Mangnan (Daf)
4. Mme Bolou épouse Dago Sophie
Laure Adèle (Daf)
Fonds de développement
et de promotion des activités
des producteurs du café
et du cacao (Fdpcc)
1. Henri Amouzou Kassi
(Président du conseil de gestion)
2. Kouassi Théophile (Secrétaire exécutif)
3. Digbeu Toh Lambert (Daf)
4. Mme Obogui née Houssou Aménan
Roselyne (Daf)
5. Mme Aka épouse Elloh Evelyne
(Dg Coco-service, filiale)
6. Kouassi Kouamé Bernard
(Pca de Sifcacoop, filiale)
7. Mme Adou Joelle (Dg de Sifcacoop)
8. Kra Bany Blaise (Dga de Sifcacoop)
Fonds de garantie
des coopératives
du café et du cacao (Fgccc)
1. Mangoua Koffi Saraka (Pca)
2. Bayou Bagnon Jean-Claude (Dg)
3. Gnako Sokouri Alfred (Daf)
4. Souanga Koffi Saraka
(Dg Simatp, filiale)
Les dirigeants cités
et non détenus
Frc
1. Amon Jean-Claude (Dg de Nyccc)
2. Yallé Agbré Gabriel (Daf de Nyccc)
3. Le député Abo Akpindé Daniel
(Pca de Sarem)
Forexi
1. Moussa Bado (Dg)

Société
Fraternité Matin / Jeudi 10 décembre 2009
Université d’Abobo-Adjamé C’est toujours l’incertitude pour 1500 bacheliers
de 2008, qui n’ont toujours pas été évalués, après leur première année universitaire.
les étudiants du tronc commun attendent depuis
novembre, leur concours d’accès en 2 e année
Les étudiants en tronc commun,
pharmacie, médecine
et odonto-stomatologie, de
l’université d’Abobo-
Adjamé n’ont pu passer le
concours leur permettant d’évoluer
en 2 ème année. Depuis le
02 novembre dernier, date à
laquelle cette échéance était prévue,
ils sont dans l’incertitude,
Lutte contre l’insalubrité
en raison de la grève déclenchée
par la Coordination nationale
des enseignants du supérieur
(Cnec).
Ils sont 1500 étudiants, bacheliers
de l’année 2008, à passer le
concours, après un an d’études à
l’université d’Abobo-Adjamé.
En ce qui concerne le nombre
d’étudiants à admettre dans les
trois UFR, les quotas sont fixés
par ces structures, dès le début
de l’année.
L’université d’Abobo-Adjamé
n’étant pas dotée de campus
universitaires, les étudiants ont
trouvé refuge dans les amphis,
où ils passent les nuits. Des toilettes
de fortune ont été installées
également par ceux-ci.
Le degré de salubrité urbaine
est un bon indicateur du
niveau de développement de
la nation et une bonne mesure
de la maturité de ses populations
». Ce message a été lancé
par le ministre de la Ville et de la
Salubrité urbaine, Mel Eg
Théodore, hier au cours d’une
conférence de presse qu’il a animée
au Plateau. Cette rencontre
s’inscrit dans le cadre du lancement
du concours du quartier le
plus propre qui s’étendra du 10
décembre au 08 janvier 2010. En
effet, il s’agira, au cours de ce
concours, selon le ministre, de
faire appel à la main-d’œuvre des
jeunes, de sensibiliser dans les
écoles et centres de formation,
d’impliquer les maires des communes
sur la question de la salubrité.
Car, une ville est le reflet de
la qualité de vie d’une communauté
d’hommes et de femmes de
tout âge avec leurs besoins, aspirations
et accomplissements.
C’est pourquoi, soutiendra-t-il,
elle ne saurait se réduire à des
actions disparates et sans implication
réelle de la population.
Pour le ministre Mel Théodore,
cette implication des populations
passe par l’embellissement des
immeubles et villas résidentiels,
la création de plantations, jardins
Outre le tronc commun pharmacie,
pdonto-stomatologie et
médecine, deux autres existent
dans cette université. Il s’agit de
Sciences de la nature et
Sciences fondamentales et
appliquées. Ces deux derniers
ne sont pas soumis au principe
du concours.
m. GNepRoUsT
mel Théodore veut récompenser les quartiers les plus propres d’abidjan
Sommet de Copenhague
Les experts et autres spécialistes
du changement climatique ont
abordé depuis mardi, les questions
techniques liées à la problématique
de la réduction des
émissions de gaz à effet de serre
(Ges ). Véritable centre d’intérêt de
ce sommet, dont la plupart des
scientifiques présents s’emploient à
faire admettre la nécessité de l’application
par les pays industrialisés
; notamment. Déjà gonflés à bloc et
surtout bien unis pour une fois, en
venant à cette rencontre, les pays du
Sud singulièrement, rament dans le
même sens que les scientifiques. En
effet, bien que n’étant pas astreints
à des objectifs de réduction chiffrés,
au même titre que les pays riches,
ils restent cependant convaincus
que les nantis devront se soumettre
à cette recommandation. Mieux,
les pays en développement ont tenu
à manifester leur attachement à la
reconduction du protocole de
Kyoto, élaboré en 1997. Lequel exigeait
de ses signataires, une réduction
de leurs Ges de 5,2%, par rapport
à leur niveau de 1990. Pour
autant, ils ne perdent pas de vue leur
exigence première qui reste l’apport
financier de 100 milliards d’euros
par an que les nations riches
devront leur apporter, pour s’assurer
une adaptation aux effets du
changement climatique. Et cela,
assorti d’un appui technologique.
Le groupe africain a particulièrement
mis l’accent sur le développement
des instruments de mesure du
climat, dans le continent. Une
nécessité qu’a vivement soutenue
le directeur de la météorologie
nationale ivoirienne, M. Guéhi
Gorozoa. L’autre point important
défendu par les experts ivoiriens,
notamment le conseiller spécial du
Chef de l’Etat, chargé du changement
climatique et de l’espace, M.
Cédric Lombardo, est l’élaboration
du plan d’adaptation du continent
au changement climatique. En clair,
nous a expliqué M. Lombardo au
téléphone, il s’agit « de développer
une approche scientifique, afin
d’étudier la vulnérabilité du continent
audit changement. Car, seule
une parfaite compréhension des
mécanismes climatiques permettra,
par exemple, à un pays comme la
Côte d’Ivoire de mesurer au mieux
la vulnérabilité de ses différentes
régions au réchauffement du climat.
Et identifier ainsi, les stratégies
d’adaptation que notre pays
pourra mettre en œuvre. Ces
réflexions sont du reste déjà engagées
en Côte d’Ivoire… » Le
conseiller spécial du Président
Gbagbo est également intervenu,
avec le concours du point focal
ivoirien du Fonds pour l’environnement
mondial (Fem), Mme Koné
Alimata, afin que les financements
de l’adaptation de l’Afrique aux
conséquences du changement climatique,
puissent passer par le
Fem, pour parvenir au continent .Et
ce, au regard des nombreux efforts
déjà déployés par cet organisme en
Afrique. « Il suffit d’orienter les
et places, l’entretien des cours
communes et des voiries urbaines
jouxtant les concessions. Ce
concours est doté de plusieurs
prix constitués de matériel et
d’un financement un montant de
55 millions de F Cfa. Il a invité
la population à cesser de jeter par
les fenêtres de leurs maisons et
les vitres de voitures toutes sortes
d’objets pouvant salir la cité.
GRace oUaTTaRa
les propositions des experts ivoiriens
Droits de l’homme
Un institut de formation
ouvre ses portes
Un institut des droits de l’homme
existe désormais à
Abidjan. Il est situé à
l’Université de l’Atlantique
(Ua).Cet institut va se consacrer
à l’enseignement et à la
recherche en matière de droits de
l’Homme. Il s’agira pour l’Idh de
l’Ua de former des personnes
aptes à la protection et à la promotion
des droits de l’homme,
dans l’humanitaire et pour des
Ong spécialisées, de former des
enseignants de tous niveaux, des
conseillers des droits de l’homme,
des travailleurs humanitaires,
des responsables d’Ong
humanitaires et des droits de
l’homme, d’initier et de suivre
toutes recherches dans le domaine.
Pour le président de l’Ua, M.
Aliou Mané, la création de cet
institut n’obéit pas simplement à
des préoccupations de mode
(programme d’éducation de
l’Onu aux droits de l’homme)
mais à la volonté de mettre sur le
marché des professionnels des
Droits de l’homme et du développement
durable, ainsi que des
travailleurs humanitaires bien
outillés et compétitifs.
Y. N
différents montants qui seront définis
dans le compte du Fem, qui
dispose déjà de l’expérience requise
et des structures appropriées.
Cette recommandation de la Côte
d’Ivoire se veut pragmatique, car
l’urgence veut que dès 2010, des
actions concrètes soient entreprises
», soutient M. Lombardo .
moUssa ToURÉ
Coup d’oeil
violeNces. La deuxième
campagne de sensibilisation
contre les violences faites aux
femmes a démarré hier en Côte
d’Ivoire. Elle s’étend sur 16
jours. Le gouvernement des
Etats-Unis a encouragé la Côte
d’Ivoire, dans cette lutte. Dans
un communiqué de presse, « les
Etats -Unis exhortent les autorités
ivoiriennes à renforcer leurs
efforts en vue de sensibiliser les
différentes couches sociales et de
les emmener à prendre conscience
des dangers de cette violence
qui constitue une pandémie mondiale…
“
amU. Le bureau exécutif de la
Fédération nationale des orateurs,
parlements et agoras de
Côte d’Ivoire (Fenopa-ci), a
organisé récemment, une
conférence publique à la salle
Houphouet-Boigny de l’Hôtel
du District au Plateau. Animée
par Mme Ohouochi Clotilde,
cette conférence avait pour
thème «Importance et enjeux
de l’assurance maladie universelle
(AMU) dans un pays en
voie de développement: le cas
de la Côte d’Ivoire».
AVIS D’ENQUETE DE COMMODO ET INCOMMODO
Monsieur Jean - Baptiste GOMONT DIAGOU Maire de la
Commune de Cocody, a l'honneur de porter à la connaissance
du public qu'en application du courrier 6065/MC UH/DGUF/
DDU/SDPAA/KS/KF/DV en date du 30 Juin 2009.
Une enquête de Commodo et incommodo d'une durée d'un
mois à compter du 10/12/2009 au 08/01/2010 inclus, est ouverte
dans les bureaux de la Mairie de Cocody, au sujet d'une demande
d'attribution d'une parcelle de 1118 mètres carrés de superficie
située à M'BADON (COMMUNE DE COCODY) présentée par
Monsieur TRA MAGLOIRE 09 B. P. 2124 ABIDJAN 09.
Monsieur AJAVON Jean Yves, Sous Directeur de l'Urbanisme
de la Mairie de COCODY, nommé Commissaire enquêteur par
Arrête Municipal N° 120/MC/DST-SDU /2009 du 07/12/09 a
qualité pour recevoir et enregistrer toutes les oppositions et
observations qui pourraient être faites et ce, tous les jours
ouvrables au bureau de la Direction des Services Techniques de
la Mairie de Cocody situé à la Riviera Golf ou un registre est
ouvert à cet effet.
LE MAIRE
Jean-Baptiste GOMONT DIAGOU
9

10
Politique
Fraternité
Matin / Jeudi 10 décembre 2009
Liste électorale provisoire Le traitement du contentieux dans la capitale politique rencontre
quelques anomalies préjudiciables au processus.
Des soupçons de fraudes signalés à Yamoussoukro
La phase du contentieux électoral
qui s’est ouverte juste après l’affichage
de la liste électorale provisoire
enregistre un «break» à
Yamoussoukro ; particulièrement
au niveau de la Cei communale.
En effet, des commissaires qui y
travaillent sont soupçonnés de
manipuler les données pour faire
valider des cas litigieux qui ne doivent
pas l’être. Ces soupçons se sont
amplifiés, avec le rejet la semaine
dernière, de plus de 800 dossiers par
la commission régionale.
Cette information qui nous est parvenue
est «une rumeur», selon le 1 e
Typon
vice-président de la Cei régionale
que nous avons rencontré. “Nous ne
pouvons pas parler de fraude. C’est
une rumeur qui circule, mais il n’en
est rien”, a-t-il démenti. Avant de
préciser que les dossiers ont été
retournés pour que les commissaires
reportent, en lieu et place du
numéro identifiant du requérant, le
numéro du formulaire. «Le numéro
identifiant ne nous permet pas d’avoir
accès aux dossiers pour les
vérifications. C’est le numéro du
formulaire qui nous ouvre les dossiers.
Il aurait fallu reporter le
numéro du formulaire. Il n’y a pas
de cas de fraude. C’est un simple
dysfonctionnement», rassure-t-il.
Ces assurances sont corroborées par
les mis en cause. Ainsi, pour montrer
qu’il ne s’agit que de rumeurs,
ils nous reçoivent dans leurs
locaux. Et c’est parti pour une
démonstration. Aucune modification
n’est possible sur l’écran de
l’ordinateur. Seules la liste électorale
provisoire et la liste électorale de
2000 sont disponibles pour les différentes
recherches. tout est verrouillé
et codé. «Vous voyez, aucune
manipulation n’est possible. Ici,
nous décidons, mais nous ne
signons pas. Cette tâche revient au
superviseur. Nous suivons scrupuleusement
les instructions édictées»,
indique M. Akpoué
Christophe, le commissaire communal,
en brandissant le guide
qu’ils suivent. toutefois, celui-ci
reconnaît qu’ils reçoivent des aides
des autorités de la ville. Mais «cela
ne peut être considéré comme de la
corruption. Ce sont des aides pour
nous soutenir dans notre tâche»,
Militant du Pdci, togba
Bonaventure, a soutenu le
général Robert Guéi, au
lendemain du coup d’Etat
contre le parti en 1999.
Puis, selon lui, après cette parenthèse,
il a gardé ses distances visà-vis
du Pdci sans toutefois adhérer
à un autre parti. Accusé de
fomenter un coup d’Etat en collaboration
avec un pasteur, il a été
arrêté et mis en prison le 13
février 2008. Il y restera jusqu’au
31 octobre 2009, quand, blanchi
par la Justice, il sera libéré. «Je
félicite le monde judiciaire ivoirien
qui a fait un travail professionnel…Notre
justice n’est pas
une justice aux ordres. Elle est
une justice animée par des professionnels
qui font leur travail de
façon consciencieuse», a-t-il
déclaré, hier, à la presse, à la
Maison du Pdci-Rda, à Cocody.
C’était à la suite d’une sobre cérémonie
qui marquait son retour au
bercail. Une cérémonie dont le
clou aura été la remise d’une carte
de membre du parti à togba
Bonaventure par le Secrétaire
général du parti, Alphonse Djédjé
Mady, qui la présidait.
«J’ai décidé, en âme et conscience,
de retourner au Pdci-Rda», a
déclaré togba Bonaventure. Les
motivations de ce retour à la maison,
a-t-il expliqué, sont que le
parti fondé par le Président Félix
houphouet-Boigny, a-t-il dit avec
insistance, est «un parti de dialogue
et de démocratie apaisée».
Arborant une chemise à l’effigie
de henri Konan Bédié, président
du Pdci, il a loué le parti d’avoir
su bâtir la Côte d’Ivoire sur la
base de ce dialogue et de la fraternité
entre les Ivoiriens.
«Aujourd’hui, la Côte d’Ivoire a
besoin qu’on se parle, qu’on se
prenne pour des frères les uns les
fait-il savoir.
Cependant, contrairement à ce que
nous ont raconté les responsables
approchés, des sources officieuses,
proches de la Cei, soutiennent mordicus
qu’il y a effectivement des
tentatives de fraude. « Les commissaires
incriminés, moyennant de
l’argent, reclassent les cas de la
catégorie C (ceux qui doivent prouver
leur nationalité) en A (cas
mineurs). Au cours d’une réunion
de crise organisée à ce sujet, vendredi
dernier, il s’est trouvé qu’une
centaine de dossiers ont été traités
en dehors de la voie normale», relèvent
ces sources. Pis, nos informateurs
accusent le superviseur de la
Cei pour la Région de Lacs, Me
Linda Dadiet-Sangaret, de vouloir
étouffer cette affaire dont elle a
connaissance. Signalons que ce sont
14.000 cas litigieux qui doivent être
traités au niveau de la seule commune
de Yamoussoukro.
.
KOFFI KOUAME
AGEnCE DE YAMoUSSoUKRo
Pdci-Rda
togba Bonaventure: “La justice
ivoirienne n’est pas aux ordres”
Togba Bonaventure, libéré après
neuf mois de détention, dit n’avoir ni
haine, ni rancune contre personne.
autres», a-t-il conseillé. Du reste,
togba Bonaventure a annoncé
être retourné au Pdci «pour
contribuer à pacifier les relations
entre les Ivoiriens».
«Togba Bonaventure arrive à un
moment où le Pdci lutte pour le
rétablissement de la paix, le redémarrage
du développement», a
indiqué Djédjé Mady. Entouré de
plusieurs cadres du parti, dont le
président de la Jpdci, Kouadio
Konan Bertin (KKB), il s’est
réjoui du retour de ce militant qui,
a-t-il relevé, a déjà fait ses preuves
dans l’encadrement des jeunes
dans le passé. «Il a rendu de
grands services à ceux qui sont
devenus aujourd’hui ses tortionnaires,
quand ils étaient dans
l’opposition», a-t-il souligné sans
autre forme de précision.
PASCAL SORO
(Photo : P. SoRo)

Politique
Fraternité Matin / Jeudi 10 décembre 2009 11
Hommage La politique de décentralisation et surtout de communalisation du Chef de l’Etat permet,
aujourd’hui, à de nombreuses régions, d’espérer un meilleur développement, un mieux-être.
Huafla célèbre Laurent gbagbo
Les populations de la tribu Bindin et celles d’autres villages de sinfra,
ont massivement assisté à la fête-hommage au Chef de l’etat.
Reconnaître le bienfait. C’est
fidèle à cette sagesse africaine
que la population de Huafla,
village du département de
Sinfra, a choisi la journée du
vendredi 04 décembre pour exprimer
sa reconnaissance au Chef de
l’Etat. Vu que grâce à son programme
spécial d’électrification rurale et
sa politique de décentralisation, le
village a non seulement l’électricité,
mais encore a été érigé récemment
en commune de plein exercice.
« Deux instruments essentiels,
pour assurer le développement
local et la lutte contre la pauvreté
», a fait savoir le porte-parole des
cadres, M. gooré Bi Hué, journaliste
économiste, chef du service économie
du quotidien Fraternité
Matin.
raisons pour lesquelles à l’initiative
du mouvement de soutien aux
actions de développement (MSAD)
dont il est l’inspirateur, vieux, jeunes,
hommes et femmes, vêtus de
leurs plus beaux habits, avec à leur
tête tous les chefs de villages et de
communautés de la tribu Bindin se
sont retrouvés à Huafla pour manifester,
d’une manière singulière,
leur reconnaissance.
D’abord, sur l’esplanade de l’école
primaire du village, où ils ont été
entretenus par M. tébili Félicien,
membre du cabinet présidentiel,
représentant M. Coulibaly gervais,
porte-parole du Président de la
république et président du CAP-
Ur-Lg, parrain de la cérémonie.
Ce dernier, mettant en exergue les
objectifs de la politique de décentralisation
de Laurent gbagbo, a
exhorté ses hôtes a apprécier plutôt
ce qu’il fait. Une manière pour lui
de les inviter à lui accorder leur
confiance aux échéances électorales
prochaines. M. tébili a salué
cette initiative d’organiser cette
journée de mobilisation et de reconnaissance
à SEM. Laurent gbagbo.
Après quoi, tous se sont retrouvés
sur le terrain pour la finale du tournoi
de football doté du trophée
L’Action pour la promotion des
droits de l’homme (Apdh) demande
au gouvernement d’accorder
une grande priorité aux questions
de désarmement conformément à
l’Apo. C’est ce qui ressort d’une
déclaration lue par son secrétaire
général, Sylvère Koffi.
Paradoxalement, l’Apdh note le
réarmement et l’organisation des
ex- combattants d’une part, le
manque d’engagement et de
volonté à exécuter le programme
de désarmement tel que prévu par
l’Apo d’autre part. Selon cette
Ong, de telles situations ne peuvent
qu’être préjudiciables à la
A l’écoute
gooré Bi Hué qui a opposé le village
de Barthémémyfla (vainqueur) à
Zamanamabougou. La veille, ce
sont des danses traditionnelles et
des artistes du terroir qui ont fait
danser le public toute la nuit.
Ce fut l’occasion bien indiquée
pour l’initiateur de la journée de
reconnaissance d’annoncer la construction
d’un établissement secondaire
qui va accueillir la rentrée prochaine,
les élèves de la commune.
KoFFi KouAMe
AgEnCE DE YAMOUSSOUKrO
L’Apdh exige le désarmement avant la présidentielle
tenue d’élections crédibles, non
violentes et démocratiques. En ce
qui concerne la présidentielle, M.
Koffi invite la Cei à élaborer un
nouveau chronogramme incluant
un délai d’enrôlement des populations
n’ayant pu le faire et une
date réaliste. Selon lui, la non
tenue de l’élection à la date du 29
novembre 2009 crée indiscutablement
un vide juridique en raison
de la “caducité subséquente” du
chronogramme qui avait été établi
par la Cei.
JeAn- Hugues AHoLiA
StAgiAirE
Reprise du “Pique-Nique en toute liberté”,
tous les dimanche à partir du 1 er novembre
au GOLF HOTEL.
Renseignements : 22 43 10 44 Poste 2401 ou 2601

Politique
Fraternité
12
Réinsertion L’établissement général des Services du ministère de la Défense, sis à Marcory,
a abrité, hier, une cérémonie de remise de kits et d’attestations de fin de formation.
Matin / Jeudi 10 décembre 2009
130 éléments des groupes d’auto-défense reconvertis
Après quatre mois de formation
au civisme, à la citoyenneté
et à la gestion, appuyée
par un apprentissage à l’électricité
et à la peinture
auto, à la menuiserie et à bien
d’autres métiers, à
l’Etablissement général des
Services, 130 éléments des groupes
d’auto-défense ont reçu, hier,
leurs kits d’installation et attestations.
Avec ces 130 éléments, ce sont,
au total, 5.123 personnes dont
803 sorties il y a trois semaines, à
Bouaké, qui ont reçu, à ce jour,
selon le coordonnateur national
du Programme de service civique,
Malan Jean-Paul, les rudiments
d’une insertion sociale bien réussie.
Il a profité de cette cérémonie
pour annoncer que l’objectif visé
par le Programme national de service
civique est de former 6.000
jeunes, cette année. Un chiffre,
qui, soulignera-t-il, “n’est rien à
côté des milliers de jeunes qui
attendent d’être pris en compte”.
Aussi, invite-t-il les bénéficiaires
à faire bon usage des kits d’installation
et à prendre leur travail au
sérieux.
Le commandant de
l’Etablissements général des
Services, le lieutenant- colonel
Koffi Daniel a abondé dans le
(PHOTO: COULIBALY ABDOULAYE)
Après la remise des diplômes et des kits, les bénéficiaires ont posé avec les responsables
du Programme du service civique et des autorités militaires.
même sens avant de leur souhaiter
une très bonne chance dans
leurs activités : “Vous devenez
aptes à créer vos entreprises que
je souhaite prospères. Contribuer
à votre formation est une fierté
pour nous de participer au retour
de la paix en Côte d’Ivoire.
Mettez en pratique tout ce que
vous avez appris, ici, tout en vous
rappelant l’hymne national”, a-til
conseillé.
Au nom des bénéficiaires,
Gnakaza Dahi Augustin a exprimé
leur reconnaissance à l’Etat
de Côte d’Ivoire. C’était, pour lui,
le lieu de souhaiter que “cette
initiative se pérennise pour tous
les jeunes de toutes les régions de
la Côte d’Ivoire afin de réduire la
pauvreté dans le pays”. Tout en
promettant d’utiliser à bon
escient leurs kits d’installation, il
a présenté deux doléances essentielles:
la facilitation des démarches
administratives auprès des
autorités municipales dans les
communes d’installation et une
exonération d’impôts et autres
taxes sur une période d’un an.
EMMANUEL KOUASSI
Présidentielle
Tiégbé Ludovic mobilise
Divo pour Gbagbo
Tiegbé Ludovic, conseiller
technique du Président
Laurent Gbagbo, poursuit la
mobilisation des militants et
sympathisants du Fpi dans le
département de Divo. Vendredi
dernier, il s’est rendu dans la
commune de Iroporia où il a
animé un meeting à la faveur de
l’investiture du directeur local de
campagne (Dlc) du candidat
Laurent Gbagbo. Parrain de cette
cérémonie, il a lancé des messages
de remobilisation et apporté
son soutien à plusieurs militants
et sympathisants du Fpi. En leur
offrant des diplômes du parti, des
moyens financiers, des pagnes.
Tout en leur traduisant sa reconnaissance
et précisant que le
combat pour la victoire du candidat
Laurent Gbagbo à la présidentielle
n’est pas perdu.
Tiegbé a demandé à chacun de
faire bloc derrière Goa Kouadio
Eunoch, le Dlc, que le Président
Gbagbo gagne avec un score d’au
moins 90% des voix à Iroporia à
la prochaine présidentielle.
Selon lui, d’aucuns racontent que
le Chef de l’Etat ne veut pas aller
aux élections. C’est pourquoi, le
processus connaît un retard. Il a
martelé que cela n’est pas juste.
Au contraire, a-t-il soutenu, le
candidat Laurent Gbagbo est très
pressé que cette joute électorale
se tienne dans un bref délai. Au
passage, il a précisé que la Cei est
dirigée par l’opposition. Avec un
président qui est royalement
payé, qui n’est pas pressé. Avant
d’inviter la Cei à tout mettre en
œuvre pour que nombre de personnes
aient leurs cartes d’électeur,
leurs pièces d’identité. Et
qu’elles soient sur la liste électorale
définitive. Car beaucoup de
personnes ont été omises ou des
erreurs ont été faites sur la liste
provisoire. Le conseiller a exhorté
les populations à ne pas avoir
peur en dénonçant les fraudeurs
de la liste électorale.
Le député de Divo, Bada
Tayoro, a pour sa part révélé que
20.000 cas de contentieux à
Divo sont à régler. Et que le délai
pour leur règlement est insuffisant.
Invitant chacun à avoir ses
pièces pour accomplir le vote et
matérialiser le succès du candidat
Laurent Gbagbo.
Quant au médecin du Président
de la République, Bidi Jean-Paul,
il a affirmé que l’on doit ouvrir
les yeux et regarder autour de soi.
Parce que les coups d’Etat ne
constituent pas le moyen idoine
d’accession au pouvoir. La guerre
n’est pas une bonne chose; elle
crée des poches d’instabilité.
C’est pourquoi, poursuivra-t-il,
le Président de la République a
toujours prôné la voie électorale.
Poursuivant, il a indiqué que le
Chef de l’Etat est l’unique candidat
qui puisse rassurer les
Ivoiriens; le Pdci et le Rdr, alliés
au sein du Rhdp, étant à couteaux
tirés à la suite de l’élection
récemment du nouveau maire de
Daloa.
Le directeur départemental de
campagne du candidat Laurent
Gbagbo à Divo, Gneba Akpalé
Jacob, et le Dlc, Goa Eunoch,
sont en phase avec le parrain dont
l’objectif est la réélection du
Chef de l’Etat au sortir de la présidentielle
prochaine.
CHRISTIAN DALLET

Fraternité Matin / Jeudi 10 décembre 2009
Face aux opérateurs économiques
ivoiriens réunis au
sein de la Confédération
générale des entreprises de
Côte d’Ivoire (Cgeci),
Albert Mabri Toikeusse, candidat
à la présidence de la
République de Côte d’Ivoire, a
déclaré ce mercredi, que l’école
gratuite est une vue de l’esprit,
une déclaration démagogique.
Sans donner de chiffres précis,
le candidat de l’Union pour la
démocratie et la paix en Côte
d’Ivoire (Udpci) a estimé que le
financement d’une école gratuite
est hors de portée du budget
national. Aussi, propose-t-il
«une discrimination positive en
faveur des plus démunis» de
manière à assurer à tous l’accès
à «l’école pour réussir». Il veut
un système éducatif privilégiant
«le savoir, le savoir-faire et
savoir bien faire, afin d’induire
un comportement social positif».
Outre l’école, Albert Mabri
Toikeusse a développé plusieurs
autres sujets touchant les
domaines économique et social.
Lesquels ont été regroupés en
trois principaux axes: Le renforcement
de la souveraineté de
l’Etat et les institutions de la
République ; les politiques de
soutien au développement et la
politique économique et financière.
Tout cela pour décliner sa
doctrine politique qu’il a nommée
«économie libérale tempérée
par un social ardu». La
politique économique et sociale
du candidat de l’Udpci insiste
sur des facteurs économiques
Politique
13
Présidentielle Le président et candidat de l’Udpci, Albert Mabri Toikeusse, a jugé le projet de société
du président Laurent Gbagbo, face aux opérateurs économiques.
“l’école gratuite est une vue de l’esprit”
Les populations de Soko, village
de la commune de
Bondoukou, étaient en fête le
samedi 5 décembre dernier.
Elles recevaient le Dr Issa
Malick Coulibaly, directeur
national de campagne (Dnc) du
candidat de La majorité présidentielle
(Lmp), le président Laurent
Gbagbo. C’était à l’occasion de
l’intronisation de Toley Sanou
Amoro, 10 e chef de terre et de
Ouattara Souleymane, grand
Iman dudit village. «Je vous
demande de soutenir le président
Laurent Gbagbo, et de le voter
massivement dès le premier tour,
pour qu’il réalise vos vœux», a
lancé le Dnc de Gbagbo et parrain
de la cérémonie, Issa Malick
Coulibaly, aux populations de
(phOTO : pORO DAGNOGO)
La plate-forme de la société
civile pour la paix et la
démocratie en Côte d’Ivoire
a procédé, hier, au ranhôtel
de Bouaké, au lancement
officiel du projet d’éducation
des organisations de jeunes et
de femmes sur l’éducation à la
culture démocratique, dans la
région de la vallée du Bandama.
Elle est constituée de plusieurs
organisations de la société civile
engagées dans la recherche de la
consolidation de la paix. Ainsi
que dans la promotion des droits
de l’homme, de la démocratie et
dans les actions de développement.
pour mener à bien ledit
projet qui s’étend sur une période
de 11 mois, cette organisation
a bénéficié de l’appui
financier de l’ambassade des
Etats-Unis en Côte d’Ivoire à
hauteur de 9 millions de francs
CFA. Dans son adresse, le vicecoordonnateur
de ce projet,
Koné Moussa, a rappelé que l’avènement
du multipartisme en
Côte d’Ivoire en 1990, a suscité
un réel espoir au sein des populations
ivoiriennes. parce que,
dira-t-il, ce nouveau concept
traduit une effective implication
des différentes couches sociales
dans la gestion de la chose
publique. Toutefois, il a indiqué
comme l’eau et l’électricité
pour lesquels il a promis
d’«engager un programme
d’urgence de connexion au
réseau électrique national de
tous les chefs-lieux de sous-préfecture
et de commune avec son
extension progressive à tous les
villages». L’objectif visé, selon
lui, étant de faire de la Côte
d’Ivoire, au moins le deuxième
que ses exigences imposaient à
ces populations bien des
devoirs. “Qui, jusqu’aujourd’-
hui, sont très mal maîtrisées au
regard des attitudes adoptées
durant tout le processus électoral”,
a-t-il dit. “De sorte que
ces populations, particulièrement
les jeunes et les femmes en
âge de voter, restent exposés aux
hommes politiques du fait de la
méconnaissance des principes
fondateurs du jeu démocratique
et de la stratégie politique”. Or
soutient-il, ces acteurs sociaux
ont, à l’analyse, une vision erronée
des règles régissant les principes
de la démocratie et des
droits humains. Selon lui, cette
lacune est à mettre à l’actif de
leur analphabétisme qui, par
ricochet, influence négativement
le taux de participation des
jeunes et des femmes aux différents
scrutins précédents. C’est
pour toutes ces raisons a-t-il
souligné, que la plate-forme de
la société civile pour la paix et
la démocratie en Côte d’Ivoire a
décidé, en cette période préélectorale,
de former et de sensibiliser
les jeunes et les femmes
pour qu’ils ne soient plus considérés
comme du bétail électoral.
Quant au conseiller aux affaires
politiques et économiques de
pays de la région ouest-africaine
en matière de couverture
nationale. Car, quoique exportatrice
dans la sous-région, elle
n’occupe que le troisième rang
en Afrique de l’Ouest, derrière
le Ghana et le Nigeria.
Concernant le développement
des industries et des petites et
moyennes entreprises, Mabri
Toikeusse, entend créer un
•Des jeunes et des femmes formés
pour l’élection à Bouaké
• Coulibaly Malick sensibilise Bondoukou
Soko. Il a ensuite
indiqué à l’assistance
que le président
Laurent Gbagbo rêve
de bâtir une Côte
d’Ivoire moderne,
basée sur la tradition
et sur la couverture de
Dieu, après les élections
générales. «Le
président Gbagbo
vous exhorte à ne
jamais profaner les
lieux de culte, à ne
jamais manquer de
respect à un homme
de Dieu», a-t-il
recommandé.
SOURI KONÉ
CORRESpONDANT REGIONAL
l’ambassade des Etats-Unis en
Côte d’Ivoire, Mary
Townswick, elle a noté que cette
plate-forme contribuera, à travers
l’éducation, à l’émergence
d’une culture de démocratie
chez les jeunes et chez les femmes.
En vue d’accompagner le
processus de sortie de crise et la
réconciliation nationale. pour
elle, les efforts que déploie cette
organisation en cette période
cruciale consacrée aux préparatifs
des élections générales en
Côte d’Ivoire sont d’une importance
capitale. pour une
meilleure réussite des différentes
phases du processus électoral.
Le sous-préfet central de
Bouaké, M’bahia Magloire,
représentait le préfet de la
région de la vallée du Bandama,
préfet du département de
Bouaké.
ADjÉ jeAN-AlexIS
CORRESpONDANT RéGIONAL
Alassane Ouattara
dans le Denguélé:
demain, notre
compte-rendu
fonds de développement, en
plus de mettre en place un cadre
permanent de consultation secteur
privé-Etat, présidé par le
président de la République. Au
total, des échanges francs et
courtois auxquels il a néanmoins
manqué beaucoup de
précisions, notamment en
matière d’évaluation chiffrée de
ses projets d’investissement.
En prélude à la prochaine élection
présidentielle, le patronnat
ivoirien organise une série de
rencontres avec les candidats
déclarés pour en savoir plus sur
leur programme économique et
social. Albert Mabri Toikeusse
est le quatrième à passer à cette
tribune, après Francis Wodié
(pit), Anaky Kobenan (Mfa) et
Alassane Dramane Ouattara
(Rdr).
DAvID YA
SOCIETE NATIONALE DES TRANSPORTS TERRESTRES
COMMUNIQUÉ
Le Directeur Général de la Société Nationale
des Transports Terrestres (SONATT) rappelle
aux usagers du Permis de Conduire que,
conformément à l'arrêté N° 168/MT/CAB du
31 mars 2009, la date butoir pour le changement
du Permis de Conduire ancien format
(3 volets) en format “carte de crédit”
est maintenue au 31 décembre 2009.
Passé ce délai, les anciens Permis de Conduire
format 3 volets ne seront plus valables sur
toute l'étendue du territoire national. Tous
contrevenants s'exposent à la rigueur de la loi.
Le Directeur Général de la SONATT invite
par conséquent, les retardataires à se rendre
dans les Guichets Uniques de Permis de
Conduire d'Abidjan (Angré, Lanema), Daloa
(ex-TP) et Yamoussoukro (centre Moh
Faiteh) pour effectuer les modalités de
changement de leur Permis de Conduire en
Format “Carte de Crédit”.
AVIS DE RECRUTEMENT
Fait à Abidjan, le 03 décembre 2009
Le Directeur Général
ASSIE ARGNAR AMON
L'Ambassade des USA recrute un Technicien ayant bonne maîtrise de l'anglais et du
Français; titulaire d'un diplôme universitaire/grande école (minimum D.U.T.) en
Electronique, Télécommunication/Réseaux, systèmes d'information ou tous autres
domaines connexes; au moins deux ans d'expérience.
Salaire et avantages sociaux compétitifs.
Voir annonce détaillée à http://abidjan.usembassy.gov/present_job_openings.html.
Pour plus amples renseignements sur le poste consulter la page web suivante :
http://abidjan.usembassy.gov/pds.html
Prière envoyer demande et CV en anglais au plus tard le 21 décembre 2009 à:
Human Resources Office
American Embassy
Riviera Golf, Abidjan
Téléphone : 22 49 40 00 - Fax : 22 49 41 02
Ou par email à AbidjanHR@state.gov.

14
Zouglou
Culture
Fraternité
L’une des icônes de ce rythme dont il fut parmi les précurseurs propose un cocktail
Matin / Jeudi 10 décembre 2009
sonore pour signer son retour sur le marché discographique.
10 ans après, Bilé Didier revient avec 10 titres, ce 10 décembre!
L'ex-lead vocal de l'ex-groupe
estudiantin "Les parents
du campus ", Bilé didier, qui
porta le rythme zouglou sur les
fonts baptismaux, en 1990 avec
l'album " Gboklo Kofi " (vendu à
près de 1 00.000 exemplaires en 3
mois), revient sur le marché phonographique.
ce, après une hibernation
de 10 ans.
après qu'il a sorti, de son exil européen,
" ivoir compil " retraçant la
décennie glorieuse du zouglou, en
reprenant les titres de tous les artistes
qui l'ont marquée. pour ce
come-back, Bilé didier a choisi
d'offrir 10 titres aux mélomanes,
sous la double direction technique
des arrangeurs Koudou athanase et
david edson tayorault. après le
mastering, il y a deux semaines à
paris, l'album sera disponible, à partir
du jeudi 10 décembre.
en prélude à la sortie de cet opus,
l'artiste et le staff de Leader's team
associated, co-producteurs de ce
bijou sonore, ont convié des zouglouphiles
triés sur le volet à une
(photo d’archives)
C’était à l’époque des parents du campus.
écoute, récemment, au Best of des
deux-plateaux. au nombre desquels
MM. Gervais coulibaly,
Georges W. aboké, charles Blé
Goudé, respectivement porte-parole,
conseiller spécial du président
Laurent Gbagbo, et président du
cojep. des Magic system aux
salopards, en passant par les
Mercenaires, Fitini, vieux Gazeur...
et bien d'autres qui ont contribué à
établir le zouglou comme " valeur
culturelle nationale", ainsi que le
rappellera Georges aboké, tous
sont venus apporter leur soutien et
(re) découvrir leur ex-idole.
tantôt poétique, parfois caustique
mais toujours critique, la
démarche textuelle de Blé didier ne
rompt pas avec l'esprit printanier.
aussi, dans " allah 'akbar ", fustige-t-il
les clans tribalistes et le
clientélisme politique, tout en prônant,
a contrario, l'unité et la paix. a
travers
"artiste ", didier dénonce la mésestime
que d'aucuns avaient et ont
encore pour les métiers créatifs
comme la musique et le sport. La
femme, la persévérance et le laxisme
sont autant de thèmes abordés
par le zouglou-maker. Fort rythmé,
le zouglou version Bilé didier s'enrichit
de basses "Juju music ", de
percussions style afro-beat. venant
showbiz
On en parle
donner aux rythmes " aloukou ", "
yatchana ", "akpongbo"
et fanfare déjà présents dans les
albums précédents, la saveur d'un
cocktail détonnant ! avec ses
anciens compères, il interprète dans
l'air du temps, un morceau de
tonton etienno, chansonnier, pionnier
de la musique tradi-moderne
baoulé. dont les royalties perçues
sur le titre lui seront reversées pour
contribuer à son mieux-être.
RémI CoulIBAly
En coulisse
AICF. L’agence ivoirienne de
coopération francophone (aicf)
a abrité, hier, une sénace de travail
au profit des faîtières relevant
de ses axes d’intervention,
avec une délégation de
l’agence tunisienne de coopération
technique (atct).
L’objectif de cette rencontre est
de déterminer, à court terme des
projets susceptibles de redynamiser
la coopération culturelle
et technique entre la tunisie et
la côte d’ivoire. et ce, conformément
aux dispositions de
l’accord signé en 2003 et réactivé
en 2007 entre les deux
institutions étatiques.
Johnny Halliday hospitalisé
Johnny a été hospitalisé lundi 7
décembre à Los angeles à la
suite d’une infection consécutive
à une intervention pour
une hernie discale. «suite à
l’intervention qu’il a subie à
paris, le 26 novembre () il est
actuellement en observation pour
une infection, précise le service
de presse de l’artiste. son état de
santé est stable et il devrait sortir
de l’hôpital dans quelques jours».
Le chanteur est parti aux etats-
Unis le 1er décembre, quatre
jours seulement après son opération,
contre l’avis de ses médecins.
des douleurs au dos, durant
le vol, l’ont obligé à sortir de l’aéroport
de Los angeles dans une
chaise roulante. La douleur
n’ayant cessé de s’amplifier,
Johnny halliday a finalement été
admis à l’hôpital cedars sinai de
Beverly hills. a 66 ans, Johnny
halliday a déjà été opéré à deux
reprises cette année d’un cancer
du côlon. cette fois, les médecins
ont diagnostiqué une infection
postopératoire. Le chanteur,
maintenu en observation, a été
placé sous antibiotiques.
Purepeople.fr

Fraternité Matin / Jeudi 10 décembre 2009
Insaac le ministre de la Culture, augustin Komoé, a procédé hier, à l’ouverture
des journées portes ouvertes de l’institut, qui se poursuivront jusqu’au 15 décembre.
“l’insaac est une référence dans
la sous-région en matière de formation”
L’institut national supérieur des
arts et de l’action culturelle
(insaac) a décidé de mieux se
faire connaître du public. il a, à
cet effet, initié depuis hier, et ce
jusqu’au 15 décembre prochain,
des journées portes ouvertes. il
entend ainsi exposer son savoir,
promouvoir les disciplines enseignées
et les métiers qui en découlent,
contribuer à la dynamique des
écoles et centres. a cette occasion,
le directeur de l’insaac, Bini
Kouakou Martin, a présenté au
ministre de la Culture et de la
Francophonie, augustin Komoé,
parrain de la cérémonie, sa structure
et ses collaborateurs. il a également
émis le vœu de voir le projet
de réforme de l’institut aboutir, ce
qui constituerait un beau présent
pour lui. saisissant cette opportunité,
il a informé le public du projet :
‘’Un ministère, un tableau ‘’, qu’il
compte initier l’année prochaine
pour inciter les uns et les autres,
notamment le gouvernement à
consommer les produits de l’insaac.
le ministre a, à son tour, exhorté le
public à prendre d’assaut l’établissement
pour découvrir ce qui y est
enseigné. notamment la musique,
le théâtre, la peinture et autres.
augustin Komoé a, par ailleurs,
salué le travail abattu par le corps
enseignant et l’administration, qui
en ont fait ainsi «une référence en
matière de formation dans la sousrégion.
Il est sollicité par l’Uemoa
pour son expertise». a en croire
celui-ci, l’institut national supérieur
le ministre de la Culture et de la
Francophonie, parrain des journées
portes ouvertes. (ph:D’arChives)
des arts et de l’action culturelle a
achevé de convaincre sur sa capacité
à former des agents de développement
culturel. D’ailleurs, il a noté
que les meilleurs artistes d’ici et
d’ailleurs en sont issus.
le ministre a encouragé les jeunes
artistes sortis de cette école à l’entrepreneuriat,
tout en relevant qu’il
existe un fonds de soutien. aussi a-
t-il indiqué : «Un artiste est un
artiste car il s’affirme, il ne saurait
être autrement en se confinant sous
les ordres de quelqu’un». Ceci pour
leur dire que bien que l’insaac soit
une structure étatique, l’etat ne peut
leur offrir des emplois.s’agissant de
la réforme, augustin Komoé a précisé
qu’elle permettra à l’institut de
mieux jouer son rôle. elle consistera,
entre autres, à régulariser le statut
des enseignés, notamment ceux
qui n’ont pas le niveau universitaire,
et à donner les moyens à l’insaac
afin qu’il jouisse véritablement de
son statut d’établissement public à
caractère national. en somme, elle
va lui permettre d’insérer ses produits
dans le tissu économique de la
Côte d’ivoire.
Quant au conseiller spécial du
président de la république chargé
de l’éducation et de la culture, pr.
voho sahi alphonse, il a fait une
communication sur «L’importance
et le rôle des arts et de la culture
dans les pays en développement :
le cas de la Côte d’Ivoire». il ressort
de cette conférence inaugurale que
le président de la république n’a
cessé de soutenir et de promouvoir
les symboles de la culture ivoirienne.
il en veut pour preuve l’exposition
des tableaux de James houra,
Monnet Brou, Kabran, satini et autres,
sur les cimaises du salon d’honneur
des ambassadeurs, la création
de l’ascad, etc.
les visiteurs ont eu droit à une visite
guidée de l’école, des travaux des
étudiants, à une prestation de son
orchestre et d’harmonica.le ministre
a procédé à l’ouverture de l’espace
de loisirs et gastronomie qui
porte son nom.
la visite se poursuivra aujourd’hui
et dans l’après-midi, autour de 16h,
il y aura la prestation de l’orchestre
variété et jazz.
Marie ChaNtal OBiNDÉ
obsèques du père de notre collaborateur Bini Debordjo
Nana Koffi Bio est allé se reposer
Culture
AGENCE DE GESTION FONCIERE
RÉSULTATS DE L'APPEL A MANIFESTATION D'INTERETS POUR LA SELECTION D'UNE
ENTREPRISE EN VUE DE L'AMENAGEMENT DE LA PARCELLE CHU-AUTOROUTE
Autorité contractante : Agence de Gestion Foncière (AGEF)
Objet : Viabilisation de la parcelle CHU-AUTOROUTE
N° de l'appel d'offres : AMI S 17/2009
Source de financement : AGEF (Budget AGEF)
Date et heure d'ouverture des plis : Lundi 06 octobre 2009 à 15h 00
Date de jugement des offres : Lundi 19 octobre 2009 à 16h 25
Description sommaire des fournitures : Aménagement d'une parcelle de 4,9 hectares:
- Terrassement, voirie et bitumage
- Aménagement des abords
- Adduction d'eau potable
- Electrification et éclairage public
- Assainissement eaux usées et drainage
Nombre de lot : Lot unique
Cautionnement provisoire : Sans objet
Nombre d'entreprises ayant retiré le dossier d'appel à manifestation d'intérêts :
Dix (10)
Nombre d'entreprises ayant déposé des plis et échantillons : Cinq (05)
Tableau des résultats
N° d'ordre Entreprises
Nombre de
points obtenus
Classement
Zone Franche de la Biotechnologie et des Technologies
de l'Information et de la Communication
INFORMATION
Résultats
de l'analyse
1 ENSBTP 97 1 er Qualifiée
2 GECOTP-CI 68 2 ème Qualifiée
3 LMA 66 3 ème Qualifiée
4 ADS 66 3 ème ex Qualifiée
5 SARL ACGIM 27 Non classée Eliminée
Le Directeur Général
KETY LANSINE SOUMAHORO
La Direction Générale de VITIB SA informe les opérateurs
nationaux et de la sous-région Ouest africaine
exerçant dans le secteur des technologies de
I’information et de la communication ainsi que dans
celui de la formation, (universités, grandes écoles...),
que HP Education organise dans la Zone Franche de
Grand-Bassam, avec la collaboration de VITIB SA, une
série de formation dont la première session est prévue
pour les 09 et 10 décembre 2009.
15
Pour implorer Dieu afin que l’âme de Nana Koffi Bio (en médaillon) repose en paix, les orphelins
sont appelés à s’asseoir à même le sol. (photo: Monteiro nathalie)
Kouassi n’Dawa, dans le département
du Zanzan, a porté en
terre, à l’aube du samedi 7
novembre dernier, l’un de ses
illustres fils, akydom
Bakoumahenin Koffi Bio, « infatigable
travailleur, bâtisseur et rassembleur».
il fut transporteur, planteur
et commerçant. aussi a-t-il
reçu, d’abord, un hommage mérité
de son peuple venu de toute la
région du Zanzan et même du
Ghana. Ce peuple, à travers sa présence
massive, a pris part de façon
remarquable et solennelle aux différentes
cérémonies traditionnelles
auxquelles l’illustre défunt, issu de
la lignée royale du royaume abron a
eu droit. reconnaissants, les fils et
filles de la région, avec à leur tête
les autorités politiques et administratives,
ont également marqué leur
solidarité à l’endroit de toute la
famille du défunt, à travers de nombreux
dons. Décédé le dimanche
20 septembre 2009 au Chr de
Bondoukou,
akydom
Bakoumahenin Koffi Bio, laisse
derrière lui, une riche postérité: 50
enfants, parmi lesquels Bini
Débordjo, chef du service
prépresse à Fraternité Matin ; 53
petits-enfants et 7 arrière-petits
enfants. Dors en paix, illustre disparu.
Car, tu n’as pas vécu inutilement.
M. K
inForMations
(Monteiro nathalie)
En conséquence, elle invite toutes les personnes
intéressées à contacter les partenaires HP Education ou
Vitib à l'adresse ci-après :
- Téléphone : (225) 21 31 29 00
- Fax : (225) 21 31 29 29
- Email : info@vitibsa.com
La Direction Générale

16
Sports
Fraternité Matin / Jeudi 10 décembre 2009
Football Le Stade d’Abidjan sera en assemblée générale élective, dimanche, à la mairie
du Plateau. Le président sortant entend briguer un autre mandat.
abi richmond ,candidat à sa propre succession
Elu, le 26 décembre 2006, le
président du conseil d’administration
du club bleu et
rouge, Abi Koffi Richmond,
est au terme de son mondant.
Il est candidat à sa propre succession.
L’élection aura lieu le 13
décembre prochain. Et ce, à l’occasion
de l’Assemblée générale ordinaire
du Stade d’Abidjan qui se
déroulera à 9h à la mairie du
Plateau. L’intéressé donne les raisons
de sa candidature : «Je suis
venu au Stade pour contribuer à sa
construction. Je ne suis pas venu en
touriste. Je ne veux pas faire un
mandat et m’enfuir. Il n’est pas normal
d’abandonner le navire en
cours de route. Je dois le mener à
bon port».
L’entraîneur du Burkina Faso,
Paulo Duarte, peut à présent
mieux se concentrer sur la
prochaine Can. Il a été démis
de ses fonctions d’entraîneur
du club français de Ligue, Le
Mans, hier, d’un commun accord
avec ses dirigeants. Duarte, qui
avait de mauvais résultats avec ce
club depuis le début de la saison,
était dans le viseur des dirigeants.
Et la raison principale de cette
séparation, en plus du classement
du club, est la Coupe d’Afrique
des Nations 2010, au mois de janvier
prochain en Angola. Paulo
Duarte doit diriger le Burkina
Faso, qui se trouve dans le groupe
Le fait
Selon les statuts, seules les personnes
à jour de leurs cotisations, ayant
participé régulièrement à la vie du
club pendant ces cinq dernières
années, sont éligibles. Sur la question,
le président sortant confie :
«Les candidatures de tous ceux qui
remplissent les critères d’éligibilité
seront acceptées. A ma connaissance,
seuls deux ou trois membres de
mon conseil d’administration remplissent
ces conditions».
Interrogé sur l’éventuelle candidature
de l’ancien président du Stade,
Innocent Doffou à l’élection de
dimanche, le Pca du Stade écarte
cette hypothèse: «Je vous disais
tantôt qu’il existe des critères d’éligibilité
pour ce qui est des élections
au Stade. Je ne crois pas
qu’Innocent Doffou soit à jour de
ses cotisations et ait participé ces
cinq dernières années à la vie du
club. Toutefois, c’est une bonne
chose qu’il se manifeste. Cela veut
dire qu’il porte un intérêt à notre
chose commune. Sur ce point, les
portes du Stade sont grandement
ouvertes à tous ceux qui désirent
apporter leur pierre à sa construction».
Après quatre années de gestion,
Abi Richmond se targue d’avoir
un bilan sportif satisfaisant :
«Je trouve mon bilan largement
positif. Il ne faut pas limiter notre
gestion aux seuls résultats sportifs.
Nous avons hérité d’un club totalement
malade. Je me suis attelé à
ramener la confiance au niveau de
l’instance dirigeante et de l’ensemble
des partenaires. J’ai également
réussi à stabiliser l’environnement
du club. Pour ce qui est des résultats
sportifs, ils ne sont pas si
médiocres que cela. C’est vrai
qu’on n’a pas été africain mais
nous avons joué deux demi-finales
de Coupe nationale».
Ce qui interpelle le plus, lorsqu’on
dresse le bilan des quatre années de
gestion d’Abi Richmond, c’est la
stabilité qu’il a réussi à installer
dans un club jadis secoué par des
crises à répétition. Pour l’heure, il
est le seul candidat déclaré. Il n’y a
pas l’ombre d’un doute qu’il se succédera
à lui-même. Tout porte à
croire qu’il est l’homme de la situation.
MarTIaL goHourou
Duarte va se consacrer au Burkina Faso
de la Côte d’Ivoire avec le Togo et
le Ghana. Les dirigeants de Le
Mans ont estimé que dans leur
position, ils ne peuvent se passer
de la présence et de l’énergie de
l’entraîneur principal sur un mois
pendant, d’autant plus que janvier
2010 est un mois capital pour la
saison. Ils l’on donc démis de ses
fonctions pour le remplacer par
son adjoint. Duarte est le premier
entraîneur de Ligue 1 viré.
Une bonne nouvelle pour les
Burkinabè, qui n’acceptaient pas
également l’éloignement de leur
coach. Ce dernier a tout le temps à
présent pour préparer la Can.
EDgar YéBoué

Fraternité Matin / Jeudi 10 décembre 2009
Régions
Yamoussoukro Les agents des services municipaux se sont abstenus de travailler pour revendiquer
le paiement de leur salaire du mois de novembre.
La mairie est restée fermée, hier
Aucun service de la mairie de les travailleurs ont déserté leurs re, ils n’ont pas encore perçu Aujourd’hui 9 décembre, nous a martelé Amani Kouassi
Yamoussoukro n’a fonctionné
hier. A l’état civil, le jardin de l’Hôtel de ville et A travers ce débrayage qu’ils ont salaire ; alors que nous avons syndicat desdits agents.
postes, pour se rassembler dans leurs salaires.
n’avons pas encore reçu notre Edmond, le secrétaire général du
aucun acte n’a été établi ou crier leur indignation. Parce que, qualifié de « sit-in », parce que des engagements à honorer. Pendant que les agents manifestaient
passivement, le maire qui a
délivré. Et pour cause, tous depuis la fin du mois de novemb-
n’ayant pas respecté la procédure Parfois, c’est dans la deuxième
légale de grève, les agents entendaient
ainsi dénoncer la situation
ou la troisième semaine du mois
suivant que nous recevons notre
joint par téléphone le secrétaire
général, a affirmé sa solidarité
dont ils sont victimes. « paie. Nous n’en pouvons plus », avec les travailleurs. Cependant,
Gagnoa
Le canton Guébié
a son premier collège
Amener sous-préfets, maires et
agents de l’état civil de la
région du Bas-Sassandra à
maîtriser les procédures de
déclaration de naissance, de
décès et de mariage à l’état civil.
C’est l’objectif de la formation que
la cellule d’exécution du programme
de modernisation de l’état civil
en Côte d’Ivoire (Mecci) a organisé
en début de semaine, avec l’appui
du Haut commissariat des
Nations unies pour les réfugiés
(Unhcr) à San Pedro. Le directeur
général de l’administration du territoire,
président du comité de pilotage
et de suivi de la modernisation
de l’état civil, M. Séhi Gaspard, a
expliqué que la formation doit permettre
aux acteurs de l’état civil
d’assumer et jouer pleinement leur
rôle sur le terrain. «L’état civil
joue un rôle déterminant dans la
vie des populations et aussi dans la
gestion d’un Etat moderne. C’est
pourquoi les officiers et agents doivent
suffisamment être imprégnés
de la responsabilité qu’emporte sa
gestion », a-t-il insisté. Avant d’indiquer
que dans le cadre de la
modernisation de l’état civil, ces
acteurs de terrain peuvent proposer
des solutions pour régler les incoréhences.
Le représentant de
Le Conseil général de Gagnoa a
remis récemment de façon officielle
aux autorités de l’éducation
nationale, les clés du tout
nouveau collège moderne de
Gnagbodougnoa, localité située à
environ 35 km de Gagnoa, dans le
canton Guébié. Un établissement
qui a ouvert ses portes en cette
rentrée scolaire 2009/ 2010. Il est
composé, pour l’instant, de trois
bâtiments, deux de trois classes
chacun et un pour l’administration.
Noël Badi, directeur régional de l’éducation
nationale de Gagnoa, recevant
les clés de cet établissement, a
dit merci à Gnahoré Jean-Baptiste,
président du Conseil général, pour
avoir judicieusement pensé à doter
ce canton de la région du Fromager
d’un collège. Cette réalisation résout
ainsi le problème de l’éloignement
des enfants de leurs parents et du
déficit d’encadrement de ces derniers.
Finie également la quête de
tuteurs pour ces enfants, contraints
de partir loin de leur milieu naturel
pour la ville de Gagnoa où leur intégration
n’a pas toujours été chose
facile. « Cette action n’est autre
que le fruit de la politique de décentralisation
prônée par le Président
Laurent Gbagbo. C’est grâce à elle
que nous pouvons poser aujourd’-
hui, des actes de cette envergure
dans nos régions respectives », a dit
Me Yassi Ziri, vice-président du
Conseil général. M. Tra Bi Koué
Jean Brice, sous-préfet de
Gnagbodougnoa, après avoir remercié
à son tour le conseil « pour la
construction de ce moyen de développement
», a invité les populations
de sa circonscription, à bien
accueillir Mme Juliette Nadjé, principale
du collège, et tout son personnel
composé de dix professeurs, un
économe et un éducateur. Cela
passe, a-t-il ajouté également, par la
construction de logements pour ces
fonctionnaires, afin de les sédentariser.
Seule condition pour que ce
collège, facteur de développement,
puisse fonctionner correctement
pour le bonheur des élèves du
Guébié.
Signalons que ce collège compte
123 élèves répartis en trois classes
de sixième.
MouhaMed FadiGa
COrrESPONDANCE PArTICULIèrE
San Pedro
Sous-préfets et maires s’instruisent
sur la modernisation de l’état civil
l’Unhcr à la cérémonie, M. Denis
Alma Kuindjé, a expliqué que sa
structure participe à la rencontre
dans le cadre de son mandat de
protection des apatrides. «
L’apatride est une personne qui ne
possède pas de lien juridique la
rattachant à un Etat donné ».
Théodore kouadio
Pays profond
SikenSi. L’Ong Cœur d’or a
offert 400 kits scolaires aux
élèves du groupe scolaire du
village de Soukouobou (situé à
7 Km de Sikensi) samedi dernier.
La remise de ces fournitures
scolaires a été faite par
Mme Juliette Tapé, directrice
d’Epeba, présidente fondatrice
de cette Ong (créée en septembre
2004 pour assister les personnes
vulnérables, les démunis,
les orphelins et les enfants
de la rue). Cœur d’or intervient
dans l’agriculture, la santé et
l’éducation. Elle travaille aussi
avec des partenaires au nombre
desquels l’on compte Mme
Simone Gbagbo.
17
il les a invités à aller manifester
aussi devant le Trésor, d’où provient
le problème, selon lui.
Signalons que cette grève inattendue
a créé d’énormes désagréments
à la population.
koFFi kouaMe
AGENCE DE YAMOUSSOUKrO

18
Régions
Fraternité Matin / Jeudi 10 décembre 2009
Anyama A la suite d’un incident survenu sur le réseau électrique le 29 novembre dernier, la distribution du courant connaît
des perturbations qui vont de la baisse de tension jusqu’au manque d’électricité .
Des groupes électrogènes installés pour atténuer le délestage
Pour atténuer le délestage, que
subit la ville d’Anyama depuis
quelque temps, la direction de
la Base Côte de la Compagnie
ivoirienne d’électricité (Cie),
située dans cette localité, a installé 7
groupes électrogènes depuis le vendredi
4 décembre dernier. Ces appareils
sont disposés dans les quartiers
shnieder, Ancienne gendarmerie et
Pk 18. Pour le moment, ce sont les
ménages qui sont la priorité des
responsables de la Cie. Autrement
dit, l’éclairage public n’est pas pris
en compte. « Compte tenu de la
charge élevée de l’éclairage public,
on ne peut pas le faire fonctionner
dans l’état actuel des choses. Nous
sommes en train de prendre toutes
les dispositions nécessaires pour
retrouver la situation normale d’ici
au 15 janvier 2010. », a confié M.
soumahoro Amara, directeur régional
de la Base Côte Cie d’Anyama.
Outre l’éclairage public qui n’est
plus fonctionnel aussi bien en ville
que dans certains villages branchés
sur ce même réseau, la distribution
du courant n’est pas permanente
dans tous les quartiers de la ville.
Une rotation en alimentation est
ainsi faite pour essayer de satisfaire
les abonnés. En d’autres termes, la
Cie est obligée d’alterner la distribution
du courant. « Nous estimons
que les groupes électrogènes vont
soulager les clients en réduisant le
nombre de quartiers délestés au
quotidien. Ce n’est vraiment pas
volontaire et nous comptons sur la
compréhension des usagers », a
ajouté M. soumahoro. Cette situation
a évidemment des conséquences
sur le rendement des activités
quotidiennes de la cité de la Cola.
Les établissements financiers et
scolaires, les hôpitaux et les centres
de santé, les bureaux locaux de la
Commission électorale indépendante
(Cei), les services de la mairie,
de la sous-préfecture, la police,
la gendarmerie …sont fréquemment
perturbés en cas de coupure de
l’électricité dans la ville. Par
ailleurs, la crainte, c’est de savoir si
ces machines qui fonctionnent
actuellement 24 heures sur 24 vont
tenir le coup. tout comme la Cie,
dont les charges supplémentaires
moyennes de 2 millions de Fcfa par
jour, occasionnées par les frais de
gasoil servant à alimenter ces
machines, ne faibliront pas.
ALFRED KouAME
CORREsPONdANt LOCAL
Typon
Bloléquin
Les écoles primaires manquent
toujours d’enseignants
Le campus 1 et la cité forestière
qui, dans un passé récent, faisaient
la fierté de l’université de
Bouaké vont retrouver bientôt un
nouveau visage pour le bonheur
des étudiants de ladite ville. Cela,
grâce au Comité de pilotage du redéploiement
de l’administration
(Cnpra), dans le cadre de l’exécution
du projet intégré d’appui au redéploiement
de d’administration, au
retour et à la réinsertion de personnes
déplacées internes et à la cohésion
sociale. Ainsi, avec l’appui
technique du Programme des
Nations Unies pour le développement
(Pnud), les travaux de réhabilitation
des 2 sites précités seront
exécutés par 4 entreprises triées sur
le volet. Et ils prendront fin dans 3
mois pour un coût total de 479.
millions de francs CFa. Pour le
chef de la cellule des appuis extérieurs
au Cnpra et chef de la délégation,
Mme Boutue Léocadie, ce projet
concerne 3 ministères. A savoir,
ceux de la Reconstruction et de la
Réinsertion, de la Réconciliation
nationale et des Relations avec les
Au cours d’une réunion tenue
récemment avec les parents
d’élèves au foyer des jeunes,
les populations ont évoqué la
pénurie d’enseignants dans les
écoles primaires du département de
Bloléquin. de doya-doké à
Keïbly en passant par Médibly,
diboké, Oulaïtahibly, Zilébly, le
déficit est criant. A Petit-guiglo par
exemple, il n’y a pas de maître.
seul un bénévole dirige l’école de
6 classes. A tuambly, le directeur
et son adjoint sont deux titulaires
de l’école pour 6 classes. ils sont
obligés de travailler avec des bénévoles
recrutés sur place. A en croire
M. Blokoula Paul, parent d’élève
à tuambly, « le taux d’abandon
à la faveur de la guerre oscille
entre 55% et 60%. Même difficulté
à Goya, Doké et autres. Ce déficit
est plus ressenti dans la zone rurale.
Pour la simple raison que certains
enseignants redéployés, nous
a-t-on raconté, refusent de se rendre
dans les villages du département.
Ils préfèrent rester dans la
capitale ou dans les villes où ils
enseignent à trois ou deux par classe.
». M. Kahou Bruno, parent
d’élève, a révélé que certains instituteurs
ayant quelques liens de fraternité
avec un haut responsable de
l’Education, préfèrent abandonner
la craie pour se retrouver dans un
bureau à se tourner les pouces.
d’autres, sur la base d’un certificat
médical de complaisance, s’accordent
des congés prolongés. Le
maire de la commune de
Bloléquin, M. Wadi gilbert, et ses
populations, interpellent le ministre
Bleu-Lainé de l’Education
nationale afin qu’il affecte toujours
plus d’instituteurs. il faut signaler
que les populations ont salué le
patriotisme dont font preuve les
enseignants bénévoles qui dispensent
les cours dans les villages du
département de Bloléquin.
GouAGNoN LéopoLD
CORREsPONdANt RégiONAL
Bouaké
Le campus 1 et la cité forestière
bientôt réhabilités
institutions, de la solidarité et des
Victimes de guerre. Le Cnpra en
est la structure d’exécution. Quant
au coordonnateur national du Fonds
ivoiro - suisse pour le développement
économique et social (Fisdes),
il a indiqué que dans le cadre de la
reconstruction post-crise, sa structure
a bien voulu mettre à la disposition
du Pnud une enveloppe de 5
milliards de francs CFa dont 2
milliards de francs CFa ont été
affectés à la réhabilitation des bâtiments
administratifs en zones centre,
nord et ouest(Cno). Outre cela, le
projet intégré d’appui au redéploiement
de l’administration, au retour
et à la réinsertion des personnes
déplacées internes et à la cohésion
sociale, a déjà remis plusieurs équipements
aux magistrats dont le
redéploiement dans les 10 circonscriptions
judiciaires est pratiquement
terminé. Notamment du mobilier,
des ordinateurs complets et des
fournitures usuelles.
ADJE JEAN-ALEXIS
CORREsPONdANt RégiONAL

Fraternité Matin / Jeudi 10 décembre 2009
étranger
Nigeria La maladie du Président provoque des tractations dans un pays où la rotation du pouvoir est régie
par un accord tacite.
L’opposition appelle à la démission de Yar’adua
19
L’opposition nigériane demande
la démission du Président
Umaru Yar’Adua pour raison
de santé. hospitalisé depuis le
23 novembre à l’hôpital saoudien
King Faisal de Jeddah, Umaru
Yar’Adua souffre d’une péricardite
aiguë, une inflammation d’une
membrane entourant le cœur.
Cette demande intervient au
moment où les médecins saoudiens
de l’hôpital King Faisal, selon la
station de télévision nigériane Ait,
annoncent que le président nigérien
se sentirait suffisamment bien. Et
que d’ici la semaine prochaine, il
pourrait retourner au Nigeria et
reprendre ses acticités.
En l’absence de Umaru Yar’Adua,
c’est le vice-président Goodluck
Jonathanb qui assure l’intérim.
Selon l’opposition, l’absence du
président nigérian pose problème
dans le fonctionnement des affaires
du pays. A commencer par la signature
de certains dossiers, notamment
celui concernant l’adoption
du budget 2010. Umaru Yar’Adua
n’a pas pu le présenter aux deux
chambres de l’Assemblée.
Il y a, par ailleurs, le problème de la
succession du président «pour
cause de maladie». Faut-il le noter,
l’état de santé du président nigérian
a été évoqué plus d’une fois. On
Le président nigérian, umaru
Yar’adua. (PhOTO: AFP)
s’en souvient, en pleine campagne
électorale, Umaru Yar’Adua a été
admis en urgence dans un hôpital
allemand.
L’opposition, rappelant au gouvernement
la gravité de l’état de santé
du Président de la République,
après la précédente rechute, exige
Guinée
La junte suspend sa participation aux
négociations sur la crise à Ouagadougou
Le colonel Moussa Keïta, chef
de la délégation de la junte et
ministre secrétaire permanent
du Cndd. Les militaires au
pouvoir ont décidé de suspendre
leur participation aux négociations
sur la crise à
Ouagadougou, et ce jusqu’au «
retour » dans ses fonctions de
leur chef, Moussa Dadis Camara.
C’est Moussa Kéïta, ministre
secrétaire permanent du Cndd
(Conseil national pour la démocratie
et le développement) qui
l’a annoncé lors d’une déclaration
à la télévision nationale.
« Nous savons que c’est dans la
négociation, que le peuple où la
nation aura son salut » déclare
d’entrée de jeu le colonel Moussa
Kéita dans cette interview accordée
à la rtg, la radio télévision
guinéenne, mais pour le moment,
ajoute-t-il, ce qui préoccupe le
gouvernement c’est la santé du
Président, c’est la quiétude interne.
» Et il annonce : « Pour le
moment notre participation aux
négociations n’est pas bannie
mais elle est suspendue jusqu’au
retour du Président. » Les jours du
chef de la junte militaire guinéenne,
le capitaine Moussa Dadis Camara,
victime d’un attentat le 3 décembre,
ne sont pas en danger mais son état
est “assez difficile” et il ne peut pas
rentrer en Guinée, a déclaré le
secrétaire d’Etat français à la
Coopération
Parallèlement, le ton continue à
monter entre Paris et la junte guinéenne
qui accuse la France d’avoir
préparé un coup d’Etat. Les autorités
guinéennes ont voulu fouiller
lundi la voiture de l’ambassadeur
français à Conakry.
Blessé à la tête par son aide de
camp, le lieutenant Aboubacar
“Toumba” Diakité, Camara a été
hospitalisé dimanche à Rabat, la
capitale marocaine, et soigné pour
un traumatisme crânien.
“Camara est dans un état, semble-til,
assez difficile mais en tout cas
ses jours ne seraient pas en danger.
S’agissant de sa capacité à revenir
en Guinée, je crois qu’on n’en est
pas encore là”, a dit à Paris le secrétaire
d’Etat à la Coopération, Alain
Joyandet, à la sortie du conseil des
ministres.
rFi ET
reuters
Le globe tourne
France. Une ambassadeur
au Rwanda a été nommé hier en
Conseil des ministres, trois ans
après la rupture des relations
diplomatiques entre les deux
pays, annonce le porte-parole du
gouvernement Luc Chatel. La
présidence française a cependant
refusé de révéler son nom
tant qu’il n’aurait pas reçu l’agremment
du Rwanda.
chine. La deuxième phase du
séminaire destiné aux attachés
de presse et des journalistes des
pays en voie de développement
a lieu, à Shenzhen, ville portuaire,
située au sud de Pékin, la
capitale chinoise.
sa démission. Ce que réfute le gouvernement.
En effet, le Conseil des
ministres du 2 décembre dernier a
estimé, dans un communiqué, qu’il
n’y avait pas de base pour invoquer
l’article 144 de la Constitution. Qui
stipule que le président démissionne
au cas où «il est jugé inapte à
assurer ses fonctions».
AVIS DE VACANCE DE POSTE
TEMPORAIRE
Nº. : ONUCI/CON/2009/108
Cette même Constitution dispose
qu’en cas de vacance de pouvoir,
l’intérim est assuré par le vice-président.
Au Nigeria, la rotation du
pouvoir est régie par un accord
tacite entre le nord (d’où est originaire
Umaru Yar’Adua) et le sud, la
région de Goodluck Jonathan. Le
troisième personnage de l’Etat, se
NATIONS UNIES
Opérations des Nations Unies
en Côte d’Ivoire
trouve être, en ce moment, le président
du Sénat, David Mark, qui
vient du nord.
Cela expliquerait-il les tractations
actuelles sur la démission du président
Yar’Adua Pour l’heure,
Yorouba, haoussa, Ibo et autres
minorités ethniques nigérianes
prient. Afin que Yar’Adua regagne
AVIS DE VACANCE DE POSTE
Adzopé, 12 - 13 janvier 2010
Séguéla, 27 - 28 janvier 2010
San Pedro, 02 - 03 février 2010
Korhogo, 30 - 31 mars 2010
Lakota, 11 - 12 mai 2010
ONUCI
I - PRINCIPALES FONCTIONS ET RESPONSABILITES
Sous la responsabilité du Directeur de la Division de
l'Information Publique et sous la supervision directe
du Chef de l'Unité du Plaidoyer, les consultants(es)
seront chargés des tâches suivantes :
Avant les séminaires :
• Collecter et mettre en forme finale les modules et
toute autre documentation sur le thème à développer
pour les participants aux séminaires ;
• Assurer toutes autres activités techniques en
rapport avec la préparation des séminaires.
Pendant les séminaires :
• Animer des modules de formation en plénières et
en ateliers ;
• Assurer la synthèse et la mise en perspective des
travaux en plénières et en ateliers ;
• Assurer toutes autres activités techniques en
rapport avec le déroulement des séminaires.
Après les séminaires :
• Rédiger un rapport de chaque séminaire ;
• Rédiger le rapport final des séminaires et le
soumettre à l'approbation du Directeur de la Division
de l'Information publique;
• Etablir un plan de suivi évaluation de la mise en
œuvre des recommandations issues des séminaires.
II - QUALIFICATIONS, APTITUDES & EXPERIENCES
REQUISES
• Etre titulaire d'une maitrise en communication,
administration ou avoir une expérience avérée en
TITRE DU POSTE :
Trois (3) Consultants Nationaux pour
l'animation de 5 séminaires relatifs
à l'engagement de la société civile en faveur
d'un environnement électoral apaisé
Poste uniquement ouvert aux candidats
de Nationalité Ivoirienne
UNITED NATIONS
United Nations Operations
in Côte d’Ivoire
L'ONUCI recrute pour sa section Bureau de l'Information Publique (“PIO”) :
Abuja en bonne santé pour préserver
le pays de tout remous social.
Qui, du reste, est la locomotive de
la Communauté économique des
Etats de l’Afrique de l’ouest
(Cedeao).
Lieu d'affectation :
Séguéla, Adzopé, San Pedro,
Korhogo & Lakota, CI
ernest aka simOn
Date d'ouverture : 10 décembre 2009
Date de clôture : 24 décembre 2009
Les candidatures reçues après la date
limite ne seront pas acceptées.
matière d'éducation à la culture de la paix, de prévention
et de gestion des conflits, de communication
pour le changement de comportement durable, ou
dans un domaine équivalent ;
• Avoir au moins 10 ans d'expérience dans les
domaines de la culture de la paix, de la prévention
et la gestion des conflits, de la communication pour
le développement durable dans les structures
gouvernementales ou non gouvernementales
reconnues ;
• Disposer des capacités d'animation des travaux de
groupes ;
• Avoir un bon esprit d'équipe, un grand sens de
l'organisation et être capable de travailler sous
pression et d'entretenir des relations de travail efficaces
dans un environnement multiculturel avec une sensibilité
et un respect pour l'équilibre des genres ;
• Avoir une excellente maîtrise de la langue française.
La connaissance d'une langue nationale serait un
atout ;
• Disposer d'excellentes capacités rédactionnelles et
d'expression en public.
III - DUREE DE LA CONSULTATION
• La durée de la consultation est de 30 jours, pour
chaque consultant, selon le calendrier des séminaires
(2 jours de préparation - 2 jours d'animation -
2 jours de rédaction des rapports, soit 6 jours x 5
séminaires).
Les dossiers de candidatures comprenant un CV
détaillé et une lettre de motivation, sont à
envoyer sous pli fermé, portant la mention obligatoire:
“Consultants Nationaux pour l'animation
de 5 séminaires relatifs à l'engagement de la
société civile en faveur d'un environnement électoral
apaisé”, au plus tard le 23 décembre 2009 à
l'adresse suivante :
Service du Personnel
Bureau de l'Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI),
Ancien Hôtel Sebroko, Boulevard de la Paix, Attécoubé 19 - 08 BP 588 Abidjan 08, Côte d'Ivoire

20
étranger
Fraternité Matin / Jeudi 10 décembre 2009
Coopération De retour de Malabo, où il a assisté à l’investiture de son homologue équato-guinéen, le chef de l’etat
a déclaré, hier, à abidjan.
Gbagbo:“La Guinée Equatoriale est intéressée par l’expérience agricole ivoirienne”
La Guinée équatoriale est intéressée
à venir étudier en Côte
d’Ivoire l’expérience agricole».
cette déclaration a été faite par
le Président Laurent Gbagbo,
hier, à l’aéroport international
d’abidjan Port-Bouët, de retour de
la Guinée équatoriale. où il a assisté
mardi à l’investiture de son
homologue équato-guinéen,
teodoro obiang Nguema, réélu
récemment à la tête de son pays.
Qui a invité, par ailleurs, le
Président Gbagbo à effectuer, début
janvier, une visite de travail dans le
cadre de la coopération agricole
entre son pays et la côte d’Ivoire.
Le Président équato-guinéen, selon
son homologue ivoirien, se rendra
en retour en côte d’Ivoire. «Pour
étudier les expériences en matière
de cacao, de riz, de palmier à huile,
d’hévéa». Le Président teodoro
obiang Nguema, du reste, pourra
s’informer au cours de sa visite sur
l’expérience du centre national de
recherches agricoles (cnra) et de
l’ecole nationale supérieure d’agronomie
(ensa).
Il y a, en perspective de cette coopération
ivoiro-équato-guinéen, la formation
en côte d’Ivoire d’ingénieurs
agronomes et des chercheurs
de ce pays. a l’instar de la coopération
qui existe entre la côte d’Ivoire
et la Malaisie dans le cadre de la
Typon
Le Président Laurent Gbabgo a été accueilli par les Présidents
des Institutions, des membres du gouvernement et ceux de La
majorité présidentielle. (Photo: N’cho JeaN)
recherche agricole.
La Guinée équatoriale, selon le
Président Laurent Gbagbo, n’a pas
l’intention d’abandonner l’agriculture
à cause de la rente pétrolière,
comme l’ont fait certains pays producteurs
du pétrole.
ce volet de la coopération entre la
côte d’Ivoire et la Guinée équatoriale
a été d’ailleurs la raison principale
de la présence du chef de
l’etat à la prestation de serment de
son homologue équato-guinéen.
avec qui il a eu des échanges portant
sur les d’études relatives à la
voie routière entre Bata et le village
d’obiang Nguema pour lequel le
Bureau national d’études techniques
et de développement (Bnetd)
est en concurrence avec un bureau
d’études canadien.
au moment où le Président Gbagbo
regagne le pays, les greffiers sont en
grève. ce qui pourrait, en quelque
sorte, mettre à mal le processus
électoral. a ce sujet, le chef de
l’etat, qui a eu une séance de travail
hier après-midi avec le Premier
ministre et le ministre de la
Fonction publique, a indiqué «des
difficultés surgissent toujours».
L’essentiel, étant comment
s’en sortir.
ERnEst AkA sImon
Niger
L’Ue accorde une
semaine de sursis
Manifestation d’opposants à
Mamadou tandja à
Niamey, Niger le 5.
L’Union européenne a
accordé une semaine de
sursis au Niger pour permettre à
ses dirigeants d’ouvrir un dialogue
politique avec l’opposition.
cela survient après la décision
controversée du président
Mamadou tandja d’amender la
constitution afin de perpétuer son
pouvoir, a-t-on appris mardi de
sources politiques à Niamey.
Début novembre, les Vingt-Sept
avaient gelé leur aide au développement
à cet etat sahélien riche
en uranium, mais déshérité, pour
protester contre une « grave violation
» de l’ordre constitutionnel.
Les discussions entre la délégation
nigérienne comprenant 25
personnes, dont huit ministres, et
la partie européenne ont duré plus
de cinq heures en présence du
médiateur de la cedeao, abdul
Salami aboubacar.
RfI

Infos service
Fraternité Matin/Jeudi 10 décembre 2009
Etude de Maître YEO NINDJALA
Nanviégué
NOTAIRE
COCODY, Boulevard de France, Immeuble
SICOGI "GOYA B ",1er étage,
(au-dessus du Restaurant chinois après
l'Eglise Saint Jean)
14 B.P. 2027 ABIDJAN 14 - Tél. 22-48-50-
51/22-48-91-94
yeonindjala@yahoo.fr. /etudeyeo@aviso.ci
" SOCIETE DE DISTRIBUTION DES
LACS"
EN ABREGE " SODILACS"
Société à Responsabilité Limitée
Pluripersonnelle
Au capital de 1.000.000 FRS CFA
Siège Social: YAMOUSSOUKRO, 25 Boîte
Postale 1372 ABIDJAN 25
AVIS DE PERTE
Monsieur LOSITO Giovani Calogero,
Directeur de société, demeurant à ABIDJAN-
COCODY, RIVIERA GOLF, gérant de la
SAR.L Pluripersonnelle dénommée "
SOCIETE DE DISTRIBUTION DES
LACS" en abrégé " SODILACS", ayant son
siège social à YAMOUSSOUKRO, 25 BP
1372 ABIDJAN 25, déclare la perte de
l'Original du Certificat de Propriété
Foncière numéro 008654, établi au nom de la
société SODILACS, par le Conservateur de
la Propriété Foncière et des Hypothèques de
YAMOUSSOUKRO, le treize novembre
deux mil six.
Pour Avis: le Notaire
SCPA BANNY, MEDAFE & IRITIE
ABIDJAN Plateau Indénié,
7 bis, Bd des Avodirés
01 BP 7352 Abidjan 01
Tél: 20 21 63 58/ Fax: 20 22 8245
Email: scpabmi@aviso.ci
Société Ivoirienne d'Oxygène et d'Acétylène
SIVOA - AIR LIQUIDE SIVOA
Société Anonyme avec Conseil
d'Administration au
capital de 873.4000.000 F CFA
Siège social: Abidjan, 131 Bd de Marseille
01 BP. 1753 Abidjan 01 , RCCM : CI-ABJ-
1962-B-769
Aux termes des délibérations du Conseil
d'Administration en date du 15 Avril 2009 ,
tenu à Accra ,de l'Assemblée Générale
Ordinaire Annuelle en date du 09 Juin 2009 ,
du Conseil d'Administration du 09 Juin 2009
consécutif à l'assemblée générale ordinaire,
les Administrateurs ont pris les résolutions
suivantes:
- Approbation des comptes et répartition des
résultats;
- Approbation des opérations visées par
l'article 438 du Livre IV de l'OHADA
concernant la société anonyme.
- Renouvellement de mandat de deux
administrateurs:
• Monsieur Claude BOURAYNE
• Monsieur OLIVIER MORRISSEAU
• Nomination de deux administrateurs:
• Monsieur Alain LAROUSSE
• Madame Odette BENSON
• Nomination d'un nouveau président conseil
d'Administration, M. Gérard PRIET
- Fixation du montant de l'indemnité de
fonction du conseil
d'administration;
- Nomination d'un nouveau Directeur
Général Mme Odette BENSON et
détermination de ses attributions ;
- Renouvellement du mandat et des
attributions et de la rémunération du
Directeur Général Adjoint;
- Démission d'un administrateur.
Deux (2) exemplaires timbrés et enregistrés
des Procès-verbaux des Conseils
d'Administration des15 avril et 9 juillet 2009
, de l'Assemblée générale Ordinaire Annuelle
du 9 juillet 2009 ont été déposés au greffe du
Tribunal d'Abidjan, sous les numéros CI-
ABJ-09-12449 du 5/11/2009 et CI-ABJ-09-D-
12185 du 29 /10/2009
CONSTITUTION DE SOCIETE
DENOMMEE SAFEETI Sarl
Aux termes d'un acte SSP en date du
31/01/07, enregistré à Abidjan le 31/01/07,
Registre SSP Vol 33 F° 189 N° 3066 Bord
1861/20, il a été constitué une SARL
Unipersonnelle dénommée SAFEETI
Capital: 2.000.000 F CFA
OBJET: Construction de Bâtiment,
Travaux Publics, Menuiserie
Métallique et Aluminium, Climatisation et
Electricité, Cuisine Collective et Buanderie,
Installation de réseau Télécommunication et
entretien AUTOCOM, Travaux
d'Imprimerie, Fourniture de Bureau et
Matériel Informatique, Prestations diverses.
Siège Social: II-Plateaux Aghien 06 BP 2158
Abidjan 06
Durée: 99 ans
Dépôt au TPI Abidjan N° CI-ABJ-07-D-1255
du 08/2/2007
RCCM N° CI-ABJ-2007-B-872 du 22/2/2007
Le Gérant est Monsieur
SERI Yolou Narcisse
Pour avis: Le Gérant
Annonces légales
WARID COTE D'IVOIRE S.A
Société anonyme avec Conseil
d'Administration
au capital de 30.000.000.000 F CFA
Siège social: Immeuble BICICI Cocody-
Angré
08 BP 2377 Abidjan 08
R.C.C M : CI-ABJ-2005-B-3100
AVIS DE CONVOCATION
Mesdames et Messieurs les actionnaires de
WARID COTE D'IVOIRE SA sont
convoqués en Assemblée Générale Ordinaire
annuelle, le lundi 28 décembre 2009 à 10
heures 00 minute au 5ème étage de
l'immeuble de la Polyclinique de l'Indenié à
Abidjan, à l'effet de délibérer sur l'ordre du
jour suivant:
1. Approbation des comptes sociaux de
l'exercice 2008. Quitus :
2. Affectation du résultat de l'exercice 2008 :
3. Fixation du montant des indemnités de
Fonction de l'exercice 2008 :
4. Fin du mandat d'un administrateur:
5. Remplacement d'un administrateur et
nomination d'un nouvel ou de nouveaux
administrateurs ;
6. Renouvellement du mandat du
commissaire aux comptes :
7. Questions diverses (Pouvoirs pour
l'accomplissement des formalités).
Tout actionnaire pourra participer
personnellement à l'as semblée ou s'y faire
représenter par
un mandataire de son choix.
Tous les documents prescrits par les
dispositions légales ainsi que des formules de
procuration sont tenus à la disposition des
actionnaires au 5ème étage de l'immeuble de
la Polyclinique de l'Indenié à Abidjan quinze
jours avant la réunion.
Pour Avis et pour le Conseil
d'administration
ETUDE DE MAITRE GNAKOURI D.
AMOS
NOTAIRE B.P. 417 BOUAFLE
TEL/FAX: 30.68.98.87
QUARTIER COMMERCE ENTRE LA
STATION TOTAL ET LE BUREAU
WESTERN UNION FACE MISSION
CATHOLIQUE
NOUVELLE CELESTE TRANSIT
IVOIRIEN PAR ABREVIATION
SARL AU CAPITAL DE 25.000.000 F CFA
SIEGE SOCIAL: ABIDJAN-ZONE 2
TREICHVILLE rue des SELLIERS.
05 B.P 469 ABIDJAN 05
RC-CM ABIDJAN N° 200.919
CHANGEMENT DE DENOMINATION
SOCIALE
NOMINATION D'UN NOUVEAU
GERANT
MISE A JOUR DES STATUTS
I°) Par délibération de l'Assemblée Générale
Extraordinaire en date du 23 Octobre 2009,
la collectivité des associés a décidé:
- de changer la dénomination de la société
initialement CELESTE TRANSIT
IVOIRIEN comme suit: NOUVELLE
CELESTE TRANSIT IVOIRIEN.
- de la mise à jour des statuts de ladite société
suite au changement de dénomination
sociale.
-Monsieur WAPO Camille est nommé en
qualité de nouveau Gérant pour une durée
d'un an renouvelable. Les pièces
justificatives ont été déposées au Greffe du
TPI du PLATEAU.
Pour avis le Gérant et le Notaire.
ETUDE DE MAITRE YAPO-KOYO
FLORE
NOTAIRE A ABIDJAN, COCODY
ANCIEN - 37 Bis, RUE DE LA
CANNEBIERE
B.P 307 POST' ENTREPRISES ABIDJAN
TEL. : 22.48.79.22 /42
E.mail: etudeykf@aviso.ci
BIAO-COTE D'IVOIRE
Société Anonyme avec Conseil
d'Administration au capital de
20.000.000.000 F CFA
Siège social: ABIDJAN-PLATEAU, 8-10
Avenue Joseph ANOMA
01 BP 1247 Abidjan 01
RCCM d'Abidjan n° CI-ABJ-1980-B-52039
NOMINATION D'UN ADMINISTRATEUR
RENOUVELLEMENT DE MANDAT D'
ADMINISTRATEURS
MODIFICATION DES STATUTS
Aux termes du Procès Verbal de l'Assemblée
Générale Mixte en date du 18 mai 2009,
enregistré à Abidjan le 4 août 2009 sous le
Registre SSP, Vol. 33, F° 274, numéro 4376,
Bord. 344/53 et déposé au rang des minutes
du notaire soussigné le 10 novembre 2009, les
actionnaires de la BIAO-COTE D'IVOIRE
ont décidé de:
A titre ordinaire:
- Ratifier la nomination de Madame Janine
DIAGOU épouse WODIE en qualité
d'administrateur pour une durée qui
prendra fin à l'issue de l'assemblée générale
ordinaire appelée à statuer sur les comptes
clos au 31 décembre 2009, en remplacement
de Monsieur Richard COULIBALY,
démissionnaire;
- Renouveler pour une durée qui prendra fin
à l'issue de l'Assemblée Générale Ordinaire
appelée à statuer sur les comptes clos au 31
décembre 2009, les mandats de:
. Monsieur Jean Kacou DIAGOU
. Monsieur Martin Essoh DJEDJES
. Monsieur Noël Akossi BENDJO
. Monsieur Bernard N'DOUMI
. Monsieur Marcel Mensah KODJO
. Monsieur Michel Gogoh ABROGOUA
. L'Etat de COTE D'IVOIRE, représentée
par Madame Danielle SARAKA
. NSIA VIE COTE D'IVOIRE SA,
représentée par Monsieur Bene Boevi
LAWSON,
.La CNPS, représentée par Monsieur
Clément Kouassi KOUADIO.
A titre extraordinaire:
. Modifier les articles 1, 9, 14, 17, 28 des
statuts et mettre corrélativement les statuts à
jour.
Deux (02) Copies de l'acte de dépôt susdit et
deux (02) Copies des statuts mis à jour ont
été déposées au Greffe du TPI d'ABIDJAN-
PLATEAU, le 24/11/2009 sous le n° CI-ABJ-
09-D-13111 et une inscription modificative a
été obtenue le 26/11/2009 sous le n° CI-ABJ-
09-M2-13 162.
POUR AVIS LE NOTAIRE ET LE
CONSEIL D'ADMINISTRATION
SOCIETE F-COSMETIQUES-COTE
D'IVOIRE
Capital social: 5 000 000 F CFA
Siège social: Yopougon Zone Industrielle 03
BP 707 Abidjan 03
Tél: (00225) 60 06 50 50 / 66 18 60 68 / 01 21
27 12/07 60 30 40
CONSTITUTION DE SOCIETE
Par A S S P en date 09 novembre 2009,
enregistré à Abidjan le 10 Novembre 2009, il
a été constituée une SARL ayant pour objet:
La Distribution-Commercialisation-
Promotion-Importation-Exportation-
Fabrication de Produits Cosmétiques et
Divers. Gérant : FAYE Bachirou. Dépôt au
greffe le 10-11-09 sous le n° CI-ABJ-2009-B-
11008
Pour avis Le Gérant
Le 28/10/2009, les Actionnaires de
INTEGRAL PLUS Sarl, adoptent la modif.
des statuts, du capital social nouv. Action.
suiv. P.V enreg. Sous N°4542 bord. 510/45, du
26/11/2009 Gérant GEORGES MUNIER
PIERRE
Direction
Intégral +
Sécurité
CONSTITUTION DE SOCIETE
Suivant acte sous seing privé enregistré le 19
août 2009, registre SSP, vol 33
Folio 278, N° 4433 Bordereau n° 401/ 16. Il a
été constitué une Société à Responsabilité
Limitée (SARL) au capital de 1 000 000
Francs CFA dénommée "CACI SARL"
ayant pour objet:
• L'assistance comptable et informatique
• La formation
• Les études économiques.
• Les prestations diverses
Durée 99 ans, siège social Abidjan
Treichville, BP 592 BONOUA, RCCM N° CI-
GRDBSM-2009-B-1385
Gérante: Madame OTCHOMOU MOTIKE
THERESE Résidant à BONOUA
Vente
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mun Koumassi 10M 01 05 11 40/ 38
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7 décembre Paul Langvain Zone 4, tél
: 07 84 88 11.
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Marc Hibis 60 37 23 18.
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sécurité âgés de 18 à 35 ans d'un
niveau minimum de la classe de 3è -
des commerciaux de niveau Bac + 2.
NB : l'absence ou la non-validité du
casier entraîne le rejet de l'offre à
l'analyse. Cont : 22 52 42 22 / 65 11
77 95, e-mail : i2501er@ymail.com.
Jeu 89 748
STE RECRUTE ASSISTANTE ET
cciaux. Envoyez cv + lm au 44 31 31
00 06 / 21 24 75 70.
Jeu 89 810
IN MEMORIAM
18 octobre 2008 - 18 octobre 2009
Voici un (01) an déjà qu'il a plu au
Seigneur Dieu Tout-Puissant de
rappeler à lui notre regretté Papa:
AUREAUD BREGUEHI
ZOUZOUGBO Antoine.
En ce jour anniversaire, sa veuve
Aureaud Madji Marguerite née
Niankoury, ses enfants, ses petitsenfants,
sa famille, ses parents
alliés, ses amis, renouvellent leurs
sincères remerciements et leur
profonde gratitude à toutes les
connaissances qui de loin ou de
près, leur ont apporté soutien moral,
spirituel, matériel et financier lors
de la douloureuse épreuve. Que
Dieu les couvre de ses riches
bénédictions et que chacun en ce qui
le concerne, reçoive les grâces
divines.
Ils prient tous ceux qui l'ont connu
et aimé d'avoir une pensée pieuse
pour lui et les invitent à participer ou
à s'unir d'intention à la messe de la
levée du deuil qui aura lieu le
samedi 12 octobre 2009 à 6h30 à
l'Eglise Catholique Ste Anne de
Gagnoa.
Frat-Mat N°87316

Infos service
22
Sa Majesté Nanan Assoumou Kangah, Roi des Abourés Ehé de
Moossou/Grand-Bassam, la grande famille Moho à Moossou,
Ebrah, Bonoua, la grande famille Atchado des villages Ebriés,
la famille Kassi Barré à Maféré, les familles Bernard N'djessan
Kadjo, Mamadou Sy, Léon Vallée, Henri Coffi, Idrissa
Germain Coulibaly, Joseph Kadjomou Ouégnin, Albert
Dodou, Jean-Baptiste Kouaty, Laurent Yapobi, Gomont
Diagou, les veuves Niamké Benjamin Hélène Amoa Assindjo,
Jacqueline Gbodan, M. et Mme Victor Niacadié et enfants,
Mme Agathe Elloh et enfants, M. Albert Amssan, frères et
enfants, M. et Mme Edoukou Benjamin Wognin et enfants, M.
et Mme Jérôme Sehr et enfants, M. et Mme Alphonse
Adjoussou Koffi et enfants, M. Mambo Arsène Gomont, frères
et enfants, M. le maire Gomont Diagou Kacou J.B., freres et
sœurs, M. et Mme Blaise Aby, frères et enfants, M. Moussa
Diarra et enfants, les enfants Niamké : M. ET Mme Adolphe
Vangah, M. Jean-Michel Moulod et Mme née Odile Niamké,
M. Thomas Amondji et Mme née Emma Niamké, M. et Mme
Eugène Niamké, Veuve Anzouan Kacou née Rosalie Niamké,
M. et mme Jean-Marie Niamké, Mme Jeanne Akouba Niamké,
M. Mohamed Charles et Mme née Adrienne Ahou Niamké, M.
et Mme Etienne Niamké, M. et Mme Roger Christophe
Niamké, M. et Mme Georges Assémien Niamké, M. Théodore
Niamké, Mme Odette Niamké, M. et Mme Patrice Niamké,
Mme Viviane Niamké, M. Eugène Assoué et Mme née
Delphine Niamké, M. Daniel Yamblé et Mme née Hortense
Niamké, M. René Philippe Coffi-Ahibo et Mme née Virginie
Niamké, M. et Mme Alain Niamké, M. Henri Claude Niamké,
M. et Mme Arthur Niamké, M. et Mme Emmanuel Niamké,
M. Alexandre Niamké, les petits-enfants et arrière-petitsenfants
de Niamké Benjamin et les familles alliées: Wlohon,
Dzo, Adjéképoué, Abrogoua, Moulod, Amondji, Anzouan
Kacou, Charles, Kouassi Gaston, Tchicaya, Ehouman Ebbé,
Assoué, Coffi-Ahibo, Yamblé, Lohouess, ont la profonde
douleur de vous annoncer le décès de leur regretté :
Nécrologie
Son Excellence Aimé Henri Konan Bédié, Président du Pdci-Rda et Mme, la
famille Pdci-Rda, M. le ministre Jean Konan Banny et famille, M. le 1er
ministre Charles Konan Banny et famille, M. le ministre Konan Kouassi
Lambert et famille, M. le ministre Camille Aliali et famille, M. le ministre
Ahoussou Kouadio Jeannot, épouse et enfants, M. le ministre Allah Kouadio
Remi, épouse et enfants, M. le ministre Anaky Kobenan, épouse et enfants,
M. Yéboué-Kouamé Pascal, président du Conseil Général de Tiébissou,
épouse et enfants, M. Koffi Luc, maire de la commune de Tiébissou, épouse
et enfants, la délégation départementale Pdci de Tiébissou, la grande famille
Fofana, la grande famille Touré, la grande famille N'Guessan N'zi, N'zi Allui
Hélène, Yao Dinard, frères, sœurs, enfants et petits-enfants, Nanan Maya
Koffi, chef de canton des Faafoué du sud, son épouse Fofana Anne marie,
enfants et petit-enfant, la grande famille David, M. Djallo Kouamé, chef de
Sando, Nanan Oussou Ama, chef du village de N'Gattadolikro, Nanan
Kouakou Edouard, chef de Minambo, Nanan Kouadio Amani, chef de
N'zissiessou, Monsieur Béhibro Kouadio, chef de famille, M. Djè N'guessan,
chef de village de Cafénou, la grande famille Hacandy, la grande famille
Ahebé, la grande famille Nanan Yamousso, la grande famille Dahouet, M.
Grah Blaise et famille, M. Konan Kangah et famille, la grande famille
Kouassi Lenoir, veuve Gadeau Denise et enfants, la grande famille Yacé
Philipe, Mme le maire Aka Anghui et famille, la famille Chapman, Nanan
Kouamé Amani chef Aitou de Tiébissou, Nanan Assa Ouffoué, chef du
village de Totokro, Professeur Koffi Allangba Théodore et son épouse,
Monsieur Kouakou Raphaël épouse et enfants, Pr Kouamé Konan Joseph et
son épouse, Docteur Allangba Esther, les enfants Fofana, Franck Philippe
Allangba et épouse née Braud-Mensah, Stéphane Henri Allui et épouse née
Koua, Charles Olivier N'guessan, Paule Yvette Soma Tena, et les petits
enfants de Yves Koffi Fofana, les amis de Yves Koffi Fofana du petit Clerc
et du petit séminaire de Bingerville, toutes les familles alliées, ont la
profonde douleur d'annoncer le rappel à Dieu, le 26 OCTOBRE 2009 à
Abidjan de :
Fraternité Matin/Jeudi 10 décembre 2009
Bissimlaye Ramani Rahini
SEM. Koudou Gbagbo Laurent, Président de la République de Côte
d'Ivoire et famille, SEM. Henri Konan Bédié, président du Pdci-Rda
et son épouse, la famille de feu Namogo Silué à Abidjan et
Tégnonkaha, la famille de feu Tiéffi Konan Touré à Abidjan, Adahou
(Toumodi) et Katiola, M. le ministre Lanzéni Coulibaly, son épouse et
famille, M. le Pr Nangbélé Coulibaly, son épouse et famille, M. le Pr
Samba Diarra à Abidjan, M. le ministre Pierre Vincent Lokrou, son
épouse et famille, Mme Koné Fatou Noëlle à Cocody (Abidjan), M.
Koné Sina et famille à Annecy (France), Mme Koné Touré Djénéba en
RDC, Mme Koné Aïssata Emma à Abidjan, Mme Koné Sara à
Abidjan, M. Koné Youssouf à Lyon (France), M. Konan Kouadio
Séraphin à Abidjan, M. Koné Namogo Antoine à Paris (France), M.
Sangaré Inza à Mtn Bouaké, M. Touré Khalil à Danané et son frère
Ahmed à Abidjan, Mlle Koné Sara et frères à Paris et Annecy
(France), Mlle Kouakoussui Vanéssa et frère à Abidjan, les arrièrepetits-fils
de feu Koutia Lemon à Abidjan, Mme Alavo Henriette à
l'Unicef Dakar (Sénégal), M. Antoine Alavo et famille à Dakar, en
France et au Canada, Veuve Konan Marc née Yamé et famille à
Abidjan, les familles de feu Lancina Koné, feu Satigui Coulibaly et
feu Fétigué Koulibaly à Abidjan, les familles amies et alliées, ont la
profonde douleur de vous faire part du décès de leur fils, neveu, frère,
père, oncle, grand-oncle, cousin, beau-frère et ami :
KONE MAMADOU,
Architecte DPLG,
BENJAMIN NIAMKE,
chef de la famille Moho,
survenu le jeudi 05 novembre 2009 à l'Institut de cardiologie
d'Abidjan, dans sa 94è année.
Le programme des obsèques est le suivant:
- Les condoléances sont reçues tous les jours du lundi 07
décembre au samedi 12 décembre 2009 de 18h à 20h, au
domicile de M. et Mme Moulod Jean-Michel, sis aux Deux-
Plateaux,
Rue de la résidence Bertille, villa 40 (accès possible par la rue
des jardins au niveau de " Tout à bas prix".
Le 16 décembre 2009 de 20 h 30 à 22h: veillée de prière à
l'église St Pierre de Blockauss /Cocody
Le 18 décembre 2009 de 14h à 15h: levée du corps à Ivosep
(salle privilège), suivie du transfert du corps à Moossou /
Grand-Bassam
De 21h à minuit: veillée religieuse, suivie d'une veillée
traditionnelle, dans la cour familiale des Moho à Moossou
(domicile du défunt)
- Le samedi 19 décembre 2009 de 8h à 09h30: cérémonies
traditionnelles
10h00: messe de requiem à l'église St Antoine de Padoué de
Moossou, suivie de l'inhumation au cimetière dudit village.
Frat-Mat n° 87194
L'Honorable YVES KOFFI FOFANA
Député de la Nation (Circonscription de Tiébissou Commune et Sous
Préfecture),
Membre du groupe parlementaire Pdci-Rda,
Président de la Mouvance Parlementaire
pour la Réconciliation et la Paix,
Vice Président de la Commission des Finances à l'Assemblée Nationale,
Délégué Departemental Pdci-Rda de Tiébissou,
Membre Fondateur de la Coordination
des Cadres et Elus du Grand Centre.
Le programme des obsèques se déroulera comme suit:
Les condoléances sont reçues tous les jours de 18 h30 à 20 h au domicile du
Défunt sis au II
Plateaux derrière le BMW du Jeudi 3 Décembre 2009 au 8 décembre 2009
Vendredi 4 décembre 2009: veillée de prière au domicile du défunt de
19h30 à 21h
Mercredi 09 Décembre 2009 : Veillée de prière à l'Eglise Saint Albert Le
Grand près du Chu de Cocody de 19h30 à 22h30: Veillée traditionnelle au
domicilie du défunt de 21h à l'aube
Jeudi 10 décembre 2009: 1ère Cérémonie de dons au domicile du défunt à
Abidjan de 9h à 12h et de 15h à 17h
Vendredi 11 Décembre 2009: Levée du corps sur le parvis de l'Eglise Saint
Albert Le Grand suivie de la messe de requiem de 8h à 9h
Hommage des Députés à l'Assemblée Nationale à 11h suivi du Transfert du
corps à Tiébissou
Veillée de prière au domicile du Défunt de 20h à 23h
Veillée traditionnelle de 23h à l'aube
Samedi 12 Décembre 2009: Cérémonie de dons au domicile du Défunt à
Tiébissou de 8h à 9h: Hommages au Défunt de 9h30- à 10h30
Messe de requiem suivie de l'inhumation à N'gattadolikro de 11h à 12h.
Frat-Mat n° 87234
survenu le vendredi 20 novembre 2009 à la Pisam.
Le programme des obsèques s'établit comme suit:
Les condoléances sont reçues tous les soirs au domicile familial sis à
Cocody Sicogi, ensembles Chomette (appt 233).
Le jeudi 10 décembre 2009 : grande veillée de prière audit domicile
à partir de 20h
Vendredi 11 décembre 2009 de 10h30 à 11h30: levée du corps à
Ivosep Bd Vge
Halte à la maison mortuaire
13h00: prière à la mosquée d'Aghien, suivie de l'inhumation au
cimetière de Williamsville
Le dimanche 13 décembre 2009: cérémonie des 7è et 40è jours à
partir de 15h.
Al Fathia !
Frat-Mat N°87325
IN MEMORIAM
Le Seigneur dans son infini
bonté nous prive souvent de la
présence d'êtres chers qu'il
rappelle à lui. Qu'il soit selon
sa volonté !
04 décembre 2004 -
04 décembre 2009
Voici déjà 05 ans qu'il a plu au
Seigneur de rappeler à lui :
COULIBALY KADY
DESIREE
EMMANUELLE
En cette période mémorial, sa mère, Mme Ekra Sidonie et
M., ainsi que ses frères et sœurs se souviennent d'elle et la
porteront toujours dans leur cœur.
Encore une fois, Mme Ekra Sidonie réitère ses
remerciements à tous ceux qui l'ont soutenue lors de cette
douloureuse épreuve.
Rendons gloire à Dieu.
Frat-Mat N°87219

Infos service
Fraternité Matin/Jeudi 10 décembre 2009
23
Avis de remerciements
Nécrologie
Veuf Bruno Guéï Blé, Directeur général du Fonds national de
solidarité pour la promotion d'emplois jeunes (FNS) et ses enfants
Félicia Suzy et Paul-Cédric Bohoun ; veuve Matio née ROBE
Suzanne, à Abidjan; M. Paul Antoine Bohoun-Bouabré, Ministre
d'Etat, Ministre du Plan et du Développement, Mme et enfants
Bohoun-Bouabré Marie-Pascale, Paule Andrée, Olivia et Kévin;
Mgr Jean-Pierre Kutwa, Archevêque d'Abidjan; Mme Christine
Adjobi, Ministre en charge de la lutte contre le Sida et la famille
Adjobi à Abidjan; MM. Zokolo Kouakou Maurice, Chef central du
village de Tézié (Issia), Gnebo Zié Etienne, Christophe Lebo Zié,
Capitaine des Eaux et Forêts et Mme; Jean Nabor Koukoua,
président des jeunes de Tézié et son Bureau; Zié Sibahi Gabriel,
Raphaël Diali Siabé, Raphaël Zié Diali, Directeur de l'Agence
principale Bceao et Mme, et la grande famille Gosséhoa de Tézié;
M. Blé Gomélé Pascal, Chef central de Nakiahio (Issia), et famille;
M. Guéï Koré Vincent, Prof. à l'Université de Cocody et les enfants
de feu Seri Guéri Edouard; M. Claude Zagol et la famille Zagol,
tous de Golihoa (Issia); MM. Sery Zouzoua André, Chef de la tribu
Gbaléoua ; Prégnon Mahi Paul, Chef du village de Gbaléville, Mlle
Evelyne THOME et Mme Elisabeth THOME née Matio et famille,
en France; M. Matio Richard, Mme Seri Hélène Zako et la
communauté villageoise de Zozoubré (Soubré); MM. ROBE
Gogoua Benoît et famille, Gago Sahué Laurent, Nenié Martin et la
communauté villageoise de Bagoliéoa (Soubré) ; les parents et
amis: M. Philippe Attey, Directeur général de la Sotra, et Mme;
Christophe et Evelyne Bazo, et les enfants Bazo Emmanuel, Paul-
Antoine, Alexandra et Marcellin; Guy et Hortense Anouma;
Solange Zako dite Sosso; Odile Legré ; Félix et Agnès Baï Sikely;
Marcel et Sylvie Toro; Sylvestre et Eléonore SEM; Maman
Madeleine Dro et la famille Dro ; remercient très sincèrement,
toutes les personnes qui leur ont manifesté leur fraternité ou amitié,
par la prière, la disponibilité, l'assistance morale, matérielle ou
financière, lors de l'épreuve de la maladie jusqu'au rappel à Dieu le
lundi 26 octobre 2009, à l'hôpital Notre-Dame du Perpétuel
Secours (Institut Hospitalier Franco-Britannique) de Levallois-
Perret (France), et des obsèques de leur bien-aimée épouse, mère,
fille, amie, filleule, marraine et sœur en Christ:
MATIO Zika Eliane épouse GUEÏ BLE
Senior Budget Assistant à Unicef Abidjan
En particulier, et comptant sur l'indulgence de tous pour
d'éventuelles malheureuses omissions de noms, ils voudraient
traduire ici, par des mots nécessairement moins expressifs, leur
profonde reconnaissance à : la Représentation du Fonds des Nations
unies pour l'Enfance (Unicef) en Côte d'Ivoire; spécialement à Mme
Sylvie Kouamé Dossou, MM. Kader Diarra et Raoul Koty; le Père
Pamphile Djokpé et M. Jean-Michel Barbagli, en France; les Pères
Elvis Guigui, Andoche Pregnon, Janssen Gbaïro, Arsène Dosso,
Maurice YELOME et les Frères de la Fraternité Saint Dominique;
Sœur Marie-Marthe née Konan et la Communauté des Sœurs
Clarisses d'Aboboté ; le Père Curé Emmanuel Zamsoré et les
Vicaires de la Paroisse Sainte Famille de la Riviera; les membres et
le Chœur de la Fraternité Chrétienne Salomon de la Communauté
Mère du Divin Amour; la Chorale Christ Roi, Auguste et Lucie
Bouazo, François et Nicole Gilbernair de la Paroisse St Albert Le
Grand de Cocody ; M. le Premier ministre Charles Konan Banny et
Mme; M. Désiré Tagro, Ministre de l'Intérieur et Mme; M. Charles
Koffi Diby, Ministre de l'Economie et des Finances; M. Hubert
Oulaye, Ministre de la Fonction publique et de l'Emploi; M.
Emmanuel Koffi Ahoutou, Directeur de Cabinet; Kablan Yao-Sahi,
Conseiller spécial, et les membres du Cabinet du Ministre de
l'Economie et des Finances; Mme Marie Vidjanagni née Gbato,
Directeur de Cabinet Adjoint du Ministre de l'Economie et des
Finances, son époux Antoine Vidjanagni et la famille Gbato; M
Kessé Feh Lambert, Directeur général des Impôts; M. Kouassy
Oussou, Directeur Général de l'Economie; M. Michel Tahi,
Directeur Général du Budget et des Finances; Mme Simone Djédjé
Mama, Directeur général du Trésor et de la Comptabilité publique;
M. Edouard Kouassi Kouamé; M. Victor Nembelessini-Silué, PDG
de la BNI, et leurs collaborateurs; Mme Jeannette Koudou,
Directeur général de l'AGEFOP et PCA de la PFS-CI ; M. Pierre
Henri Koffi, Secrétaire général du FDFP ; M. Maurice Zehia
Kouadio, Directeur général de l'AGEPE, et leurs collaborateurs;
Docteur Jean Pohé, Directeur de Cabinet; M. Benjamin Gouheré,
Directeur de Cabinet Adjoint; MM. Pierre Bosson, Directeur
général de l'Emploi, Djé Bi Irié, Directeur de l'ENA, Akpeubi
Parfait, DAF, et les membres du Cabinet du Ministre de la Fonction
publique et de l'Emploi; M. Philippe-Henri Dacoury-Tabley,
Gouverneur de la Bceao et Mme; MM. Christian Koffi, Directeur
de Cabinet du Gouverneur, Ambroise Koné, Albert Konian,
Niangoran Allé, Mankan Dabo, Albert Bah, Domia Koné, Samuel
Meango et les cadres Ivoiriens au Siège de la Bceao à Dakar et leurs
épouses ; M. Dénis N'Gbé, Directeur national, et les membres du
personnel de la Direction nationale de la Bceao pour la Côte
d'Ivoire; M. le Ministre Bertin Kadet, Conseiller spécial du
Président de la République; MM. Benjamin Djédjé, Silvère Nebout
et Jocelyn Zagahi, à la Présidence de la République; le Président
Albert Dadié Dago et les membres du Conseil d'Administration de
la Sotra; M. Armand YAPI, Secrétaire général, et les membres de la
Direction générale de la Sotra; le Président Aman Kadjo et les
membres du Conseil d'Administration de la LONACI ; M. Ernest
Dally Zabo, Directeur général et les membres de la Direction
générale de la Lonaci ; le Président Raphaël Zobo, le Directeur
général Mathias Ouraga, et les membres du Conseil
d'Administration et de la Direction générale du FGCCC; la
Présidente Henriette Zémékou Kondé et les membres du Conseil de
Gestion et de la Direction générale du FNS ; M. Désiré Dallo,
Directeur général du Port Autonome de San-Pedro, Mme et la
famille Dallo; Mme Agnès Monnet, Maire d'Agou; M. Simplice De
Messe Zinsou, Président d'AERIA; M. Marcellin Zahui, Directeur
général de la CNCE et Mme; Mme Marie Ferdinande Desclercs,
PCA, et M. Tiornan Coulibaly, Directeur général de la BRS-CI ; M.
Michel N'Zi, Directeur Général de la SNDI; Mme Christine Konan,
Secrétaire Général Adjoint du Gouvernement, et ses sœurs Brigitte
et Alice; Mme Léonie Kabessa, Secrétaire Particulière du Ministre
d'Etat, Ministre du Plan et du Développement, Mme Caroline Assié,
Assistant/PCA CIE/SODECI; M. Désiré Monney et ses enfants;
Mlles Josiane et Cynthia Konan; M. et Mme Ayekpa, André et
Léonie, et leurs enfants; M. Guillaume Aévouelie Kouassi et sa
collaboratrice Jocelyne Coulibaly née Konan; Olivier et Isabelle
Tanoh; Docteurs Laurence Kamara N'Groh et Michèle Assie
Azagoh; Commissaire Joachim ROBE Gogo du Cecos ; M. et Mme
Ackah, Marcel et Francine; M. Joseph Urbain Oréga; Mme Odette
Sangaré et enfants; les frères et sœurs en Christ Jacqueline et
Patricia Dogoua, Flore Djesse, Patricia Botoko, Elysée Jacob Zehé,
Abraham Marie-Pio et Emma Do, et leurs Communautés de prière;
les élus du département d'Issia : M. Michel Seri Gouagnon,
Président du Conseil général; Mme Adèle Dedi Tapé, Maire d'Issia;
M. Lucien Solou Gnoléba, Maire de Saïoua et les membres de leurs
bureaux; les Honorables Charles GUIPIE Yoro et Victor Seri
Dehouan; le Président Edmond Zebéhi Bouazo, le Ministre
Alphonse Djédjé Mady, Professeur Tapé GOZE, Mmes Alexise
Gogoua, Rachel Guédé, MM. Bertin Mady Mady, Philomin
Djihounou, Charles Blé Blé, André Gnato Zié, Nicolas Youho, Félix
Yoh Gama, Honoré Behiri, Paulin Ziki Koléa, Me Takoré Guizot
Bernard et la famille de feu Takoré Dali Benoît, M. Sébastien Zahiri
Ziki et la Fondation Ziki, et tous les frères et sœurs compatissants
du Département d'Issia; les frères et sœurs de la Communauté des
Ressortissants du Canton Yocolo (Saïoua) en France; les résidents
de la Riviera Allabra, notamment ceux à qui les différentes formes
de manifestation de la détresse n'ont pas manqué de causer de
regrettables désagréments.
Ils informent, à toutes fins utiles, qu'une cérémonie d'hommage à la
mémoire de la défunte est prévue le samedi 12 décembre 2009 à
Tézié, et anticipent ici leurs remerciements à tous ceux qui leur
apporteront leur soutien à cette occasion.
Que par sa grande Foi, perceptiblement manifestée jusqu'au dernier
souffle, celle qui est maintenant auprès de Notre Père des Cieux,
nous obtienne les Grâces dont nous avons besoin. Amen! Amen!
Amen!
Frat-Mat 87 324
Cérémonie de levée de deuil
DJAMPANY ADJOBA
CATHERINE épse
KACOU ABOUOH
Son époux Kacou Abouoh, ses
enfants Raymonde Zadi
Abouo, Maurice Xavier
Kacou Abouo, Daniel Wodjè,
Michel Essignan, Edouard
Assémian, Jeannette, Thérèse,
Benjamin, Emmanuel,
Hortense, Solange, Dieudonné, ses petits-enfants, neveux,
nièces, cousins, leurs familles et familles alliées; dans
l'impossibilité de toucher individuellement les parents,
amis et connaissances et toutes les personnes qui, de loin
ou de près, ont apporté leur soutien moral, financier et
spirituel renouvellent leurs sincères remerciement.
Que le Seigneur vous bénisse et vous comble de ses
grâces.
Ils vous savent gré de vous associer à la cérémonie de la
levée du deuil qui aura lieu le samedi 12 décembre 2009
à 10h à Assouba S/P d'Aboisso.
Frat-Mat N° 87 210
La grande famille Abromando
à Anono, Bago, Adjin,
Songonté et Akoué Santé, la
grande famille Lomoman n°3
de Yopougon-Kouté, la grande
famille Lokoman d'Anono,
d'Attinguié et Locodjro, le
doyen du village d'Anono,
Abekan Gabriel, les
Communautés villageoises
d'Anono, de Yopougon Kouté
et d'Adjin, M. Alley Jean et
Mme née Assassou Yaba
Yvonne, Mme Alley Marie
Colombe et enfants, M. Alley Pacôme, Mme et enfants, M.
Alley Serge et enfants, M. Lago Joseph et Mme née Alley
Louise Chantal et enfants, M. Bonny Alex et Mme née
Alley Yolande Marie Joséphine et enfants, M. Alley
Marcel Richard, Mme et enfants, M. Gueye Michel et
Mme née Alley Yolande et enfants, les enfants, Mélissa,
Diane, Audrey, Jean dit Junior et Nancy, M. et Mme Assi
Paul "Adolphe "et enfants, Mme Amian Germaine et
enfants N'kpoman Aboké Stanislas, Mme et enfants à
Abobodoumé et à Abidjan, M. et Mme Bonda Bernard et
enfants à Anono, M. et Mme Adinon Jacques et enfants à
Abidjan, M. et Mme Abou Ange et enfants à Anono, M.
Aboussou Sauveur, et Mme, enfants à Anono, Mme
Aboussou Michèle et enfant à Anono, Mme Lognon
Marthe et enfants à Abidjan et en France, M. Anoma
Bonaventure, Mme et enfants, le vicaire général Anoh
Blaise, curé de la paroisse St François Xavier d'Anono et
ses Vicaires, le Père Akouadan Jean-Baptiste, curé de la
Cathédrale St Paul d'Abidjan. M. Gouédan Mobio David,
frère et sœurs à Abidjan, aux Usa et Paris, les familles
alliées, Anoma Jean Gabriel, Kouamé Assouan, Lago
Comaud, Bonny, Gueye, Kouadio Paul, Bénié, Ibo,
Valentin, Camara, Koré, Koivogui, N'guessan Bertin,
Konan, Adjosso Sagou, Diplo, la catégorie Dougbo Agban
d'Anono et les familles de Maixent ont la profonde douleur
de vous faire part du rappel à Dieu le mercredi 18
novembre de leur petit-fils, fils, frère, père, cousin, neveu
et ami :
Docteur ALLEY MAIXENT ARSENE
"Scouhidou",
Directeur de l'hôpital général de Jacqueville
18 novembre 1958
18 novembre 2009
Programme des obsèques :
Mardi 1er décembre au lundi 07 décembre 2009, 18 h à
20 h: Présentation des condoléances au domicile de M.
Alley Abou Jean, sis à Anono- Riviera.
Mardi 08 décembre 2009 de 20h à 22h: Veillée à Ivosep
Treichville.
Vendredi 11 décembre 2009, 20 h à 22h: Veillée
religieuse à l'église St François Xavier d'Anono.
Samedi 12 décembre 2009 de 8h à 9h: halte au domicile
familial - 9 h : Levée du corps sur le parvis de l'Eglise St
François Xavier d'Anono suivie de la messe de requiem.
Inhumation au cimetière dudit village.
Frat-Mat n° 87211

Infos service
24
Nécrolgie
Fraternité Matin/Jeudi 10 décembre 2009
REMERCIEMENTS
Nanan Boua Kouassi III, Roi de
l'Indénié, Nanan Adou Koffi, chef
de canton d'Amelékia, Nanan
Koffi Dihyé III, chef du village de
N'zébénou et sa notabilité, Nanan
Kouadio Kouakou Pierre, chef du
village de Satikran et famille à
N'zébénou et Akoikro, Nanan
Tanoh II, chef de la famille
Assoibossoufoué à Arrah, M.
Tanoh Kouamé René, chef de
famille à N'zébénou, Veuve Ekra
Pascal née Kouassi Kanga à N'zébénou, M. Ekou Allou Paul et
famille à Arrah et Abidjan, la grande famille Kouassi Aboutou à
N'zébénou et Abidjan, la grande famille Sangné Koffi à Amélékia et
Abidjan, la population du village de N'zébénou, M. Ekra Anoh
Barthélémy, président de la Mudeviz, Veuf Kumassi Sangné,
contrôleur financier à Dabou et enfants, les enfants, petits-enfants et
arrière-petits-enfants de feu Kumassi Albert à N'zébénou et Abidjan,
M. Ekra Kacou Vénance, Inspecteur des Services Financiers et Mme
à Abidjan, M. Anoh Koffi Dihyé Antoine, Trésorier Général de
Dabou et Mme à Dabou, Mme Koffi Ablan Marie-Thérèse,
Lieutenant des douanes, présidente de l'Ong Amour à Noé, Nanan
Adou Bibi II ,chef de province Pinango à Oulétchéi, Nanan Kouamé
Kossonou, chef de province Akidom, Nanan Yao Affrey Ababio,
chef du village de Takrom, Nanan Yao Manzan Pascal, Noufan Héné
à Yomian, M. Koffi Fofié et la notabilité de Gouméré, M. Abo
Kouassi et famille à Abidjan, M. Kouamé Affrey Robert, conseiller
municipal à la mairie de Transua, Mme Fiéni Rosalie, marraine de la
défunte à Abidjan, M. Adiéhi Vénance, frères et sœurs à Takrom,
Mme Kouamé Charles et enfants à Abengourou, M. et Mme N'dri
Pascal au Trésor à Abidjan, M. Koffi Kouakou Abraham, Adjudant
à Abidjan, M. Bini Koffi Nestor, président de l'Association des
ressortissants de Gouméré à Abidjan, M. Abossi Kouadio et Mme à
Dabou, Mme Hypolite Gnamba et enfants à Abidjan, Mme
Zampalégré Adissa et enfants à Abidjan, M. N'dabian Ebi Aman,
conseiller du Président de la République à Abidjan, le général
Lorhougnon Pierre, Conseiller du Président de la République à
Abidjan, M. Konan Justin à Fraternité Matin à Abidjan, Mme Kéna
Thérèse, à la Cie à Abidjan, Mme Yédo Rosalie, ingénieur agronome
à Abidjan, M. Kouakou Yoman Alphonse à la Dst à Abidjan, M. Yao
Mathieu et Mme à Dabou, Mme Koffi Adjoa Marie Hélène à
Abidjan, Akpané Eulalie, Gnango Joséphine, très touchés par les
nombreuses marques de compassion, de réconfort et d'amitié qui leur
ont été témoignées lors du rappel à Dieu de leur regrettée petite-fille,
belle-fille, fille, épouse, mère, sœur et amie:
KUMASSI née ADOU AMA ROSALIE
Et dans l'impossibilité de toucher individuellement tous ceux qui leur
ont apporté soutien aussi bien moral, spirituel, matériel que financier,
les prient de trouver ici l'expression de leur profonde gratitude.
Ils remercient en particulier: MM: le corps préfectoral des villes de
Dabou, Songon, Jacqueville, Tiassalé, Sikensi, Taabo, Abengourou,
Bétié et Biankouman, le maire de Dabou, le président du Conseil
général de Dabou, le député de Dabou, le maire d'Abengourou, le
député d'Abengourou, le président du Conseil général
d'Abengourou, les directeurs et les chefs de services de Dabou,
Jacqueville, Tiassalé, Sikensi, Taabo, l'inspecteur de l'Iep de
Jacqueville, Aman Yao à la préfecture de Dabou, Kodia Aimé à
Dabou, les personnels des contrôles financiers de Dabou,
Jacqueville, Tiassalé et Sikensi, les anciens collègues de la direction
générale des Impôts, les agents de Sigfip de Dabou, Jacqueville,
Tiassalé et Sikensi, l'Association des ressortissants Agni
d'Abengourou à Dabou, l'Association des Agni des départements
d'Agnibilékro, Koun-Fao et Tanda à Dabou, l'Association des
résidents de la Cité Caïman à Dabou, la communauté des
Légionnaires de Dabou (Légion de Marie à Dabou), la Ceb de la Cité
Caïman.
Ils expriment singulièrement leur infinie reconnaissance et gratitude
à MM. : le Révérend Père N'guessan Lys Donatien, Curé de la
Paroisse Immaculée Conception de Dabou, le Curé et le Vicaire de
la Paroisse d'Amélékia, le Révérend Père Oga Martin, Vicaire à la
Paroisse Saint Joseph de la Gare à Yopougon, le Révérend Père
N'gata Yves, Vicaire à la Paroisse Immaculée Conception de Dabou,
l'Abbé Kouamé Hypolite au Grand Séminaire d'Anyama, Yoh Baï
Adrien, directeur du Contrôle Financier à Abidjan, Beugré D.
Casimir, directeur de l'Administration du Sigfip à Abidjan, l'Amicale
des Contrôleurs Financiers et sous-directeurs de la direction du
Contrôle Financier, le Directeur régional des Impôts de Dabou et son
personnel, le Personnel du Trésor de Dabou, Sogrou Gnama Pierre,
directeur de Société à Abidjan, Brédou Banga à Ivosep à Abidjan,
Andoh Yao, directeur de Société à Tiassalé, Dr N'diaye, pharmacien
des Lagunes et son personnel, Konan Charles et Mme à Abidjan,
Doua Nathaly à Abidjan, Boua Kouassi Jean, commissaire de Police
à Tiassalé, Béké Akati Joseph, directeur du Cafop de Dabou, Kouassi
Martine à Jacqueville, Kouassi Marcel, principal du Collège
moderne BAD de N'douci.
Que Dieu vous bénisse et vous comble de ses grâces.
Frat-Mat N°87267
Veuve Yanon Allé née Atsé
Chô Delphine et enfants, M.
Yanon Yapo, Mme et enfants,
M. Yanon Assi, Mme et
enfants, Mmes Yanon
Chiadon, Yanon Apo, Yanon
Allatin, Yanon Kousso, Yanon
Apie, Yanon Brou et leurs
enfants, Les enfants de feu
Yanon Emmanuel, les
membres de la grande famille
Sodji, M. Diako Bindé, chef
de famille, épouse, frères et
sœurs, M. Adja Monney et famille, M. Adoman Aké,
frères et sœurs, M. Affou Sonan, frères et sœurs, M. Aguié
Aman Michel, Prédicateur Harriste, ont la profonde
douleur de vous annoncer le décès de leur regretté époux,
père, frère, beau-frère, oncle, cousin, neveu et
coreligionnaire:
YANON ALLE ISIDORE,
Agent d'imprimerie à la retraite
Prédicateur harriste
survenu le vendredi 20 novembre 2009.
Programme des obsèques :
Vendredi 11 décembre 2009 à 14h00: levée du corps à la
morgue d'Adzopé suivie du transfert à Grand Akoudzin
(Agou)
21h à l'aube: veillée de prière en l'Eglise Harriste.
Samedi 12 décembre 2009 de 09h à 11h00: cérémonies
traditionnelles sur la place publique;
11h00: Culte suivi de l'inhumation.
Frat-Mat N°87251
Veuve Kouassi Emile née
Assindjo Christine Eloi,
inspecteur général de
l'Enseignement Technique à la
retraite, ses enfants: M.
Kouassi Jean-Yves et enfants,
professeur, Dr Kouassi Erika,
pharmacienne à l'INSP, son
époux Dr Aka Erick, Mme
Kouassi Myriam, responsable
réseau agences à la SIB, son
époux, M. Coulibaly
Nabéléfiné Ben et enfants, M.
Kouassi Jean-Philippe,
ingénieur aux Usa, Mlle Kouassi Marie-Christelle Emilie,
étudiante en Tunisie, ont l'immense douleur d'annoncer le
décès survenu des suites d'une courte maladie de leur
époux, père et grand-père:
Dr KOUASSI KOUAKOU Emile,
Gynécologue accoucheur au service de Gynéco-
Obstétrique du Chu de Yopougon,
Ex-gynécologue à la PMi de Yopougon et au Chr
d'Agboville,
endormi dans la paix du Seigneur le samedi 21 novembre
2009 à la Pisam, dans sa 60 ème année.
Le Programme des obsèques est le suivant:
Les condoléances sont reçues du dimanche 6 décembre
2009 au mardi 8 décembre 2009 inclus de 18 h à 20 h au
domicile du défunt à la Riviera Sideci villa 114, 2ème rue
à gauche après le commissariat du 18ème arrondissement.
Mercredi 9 décembre 2009 de 20h30 à 22h30:veillée
religieuse à la Paroisse Sainte Famille de la Riviera 2
Vendredi 11 décembre 2009 de 8 h à 9 h: levée du corps
sur le parvis de l'Eglise Saint Jacques des 2 Plateaux
9h : messe de requiem, suivie du transfert de la dépouille
à Gourominankro (une dizaine de Km avant
Yamoussoukro).
A partir de 15h: Cérémonies traditionnelles et
présentation des Dons (N’Zié)
De 21h à 00h: veillée religieuse
De 00h à l'aube: veillée traditionnelle
Samedi 12 décembre 2009 à partir de 08h: Suite des
cérémonies traditionnelles et présentation des dons
(N’Zié).
10h: messe, suivie de l'inhumation au caveau familial à
Gourominankro.
Dimanche 20 décembre 2009 à 9h: messe d'action de
grâce à l'Eglise Saint Jacques des 2 Plateaux à Abidjan.
Frat-Mat N°87259
MM. Kouassi Kouassi
Raymond, chef de la famille
Kouèdoman d'Elokato, Ehou
Toussaint, chef de famille
Godouman d'Elokato, Zalo
Henri, doyen de la grande
famille Akouédo à
Abobodoumé, Konan Bédjo
Noël, chef de la famille
Akouédo à Abobodoumé,
Akéo Djodan René, chef de la
famille Akouédo à Anonkoi-
Kouté, Debeh Joseph, chef de
la famille Akouédo à Abobo-
Té, Jaty René, chef de la famille Akouédo à Blockhauss,
Koutouan Aké Lucienne et famille à Abidjan, Bouandan
Ayé Antoinette et enfants à Paris, Aké Charles à
Abobodoumé, Konan Antoine, épouse et enfants à
Abobodoumé, Mobio Abrogoua Célestin, Mme et enfants
à Abobodoumé, M'bougoua Aby Blaise, Mme et enfants à
Abidjan, Veuve Anongba Guillaume née Moro Kouassibié
Marcelline, les enfants Anongba : Simplice, épouse et
enfants, Charlotte épouse Akpoué Konan et enfant, Jean-
Charles, épouse et enfants, Agathe épouse Alloh Joachim,
et enfants, Philippe, épouse et enfants, Patrick, épouse et
enfants, Léopoldine épouse Kobou Sylvain et enfant,
Marcel, épouse et enfants, Rose épouse Koffi Yao
Théodore et enfants, Guillaume Innocent, épouse et
enfants, Jocelyne épouse Kouakou Denis et enfants,
Sidonie épouse Gnahoré Justin et enfants, Marie Jeanne,
Edwige épouse Inchaud Clotaire et enfants, Francis,
épouse et enfants, Rodrigue, épouse et enfants, Aristide,
épouse et enfants, Maryse, Raïssa épouse Diarrassouba
Ben Sidick et enfants, veuve Kouédan Albertine et enfants;
les arrière-petits-enfants ; les familles alliées : Mambo,
Akpoué et N'zi, Adahonlin, N'zi, Alloh, Konan, Varela-
Santos, Kobou, Ehounoud, Koffi Yao, Gohi-Bi-Kié,
Kouakou Yobouet, Koffi Kouakou, Inchaud, Okou Yao,
Kongo Aman, Zinmin Koffi Kouassi Jean, Diarrassouba,
veuve Aka Marie Thérèse, Mmes Nobou Marie Thérèse,
Coulibaly GON Salamata, la génération Gnando Dogba
d'Abobodoumé, ont la profonde douleur de vous annoncer
le décès de leur belle-fille, fille, sœur, cousine, co-épouse,
mère, grand-mère, arrière-grand-mère et amie :
Veuve ANONGBA Guillaume née BOUADAN
Lokoua Radegonde,
survenu le vendredi 04 décembre 2009 à la Pisam.
Le programme des obsèques s'établit comme suit :
Du samedi 12 décembre au lundi 14 décembre 2009 de
18h00 à 20h00 : présentation des condoléances au
domicile du Pr Anongba Danho Simplice, Cocody 8e
tranche, domicile situé sur la rue parallèle à celle de la
résidence Hôtel Niablé
Mardi 15 décembre 2009 de 20h à 22h: veillée au
domicile du Pr Anongba Danho Simplice Cocody 8e
tranche, domicile situé sur la rue parallèle à celle de la
résidence Hôtel Niablé
Jeudi 17 décembre 2009 de 20h30 à 22h: veillée à la
Paroisse Saint Ambroise d'Angré.
Samedi 19 décembre 2009 de 7h à 8h00: levée du corps
à Ivosep, transfert du corps à Elokato S/P de Bingerville,
suivie de la messe de requiem à l'Eglise St Michel et de
l'inhumation au cimetière dudit village.
Frat-Mat N°87317
Les grandes familles David
Ghahoui, Séri Geneviève et alliés,
ont la profonde douleur de faire
part du rappel à Dieu de leur père,
frère, beau-frère, oncle, neveu,
époux :
DAVID CHARLES
KOHOVI,
survenu le jeudi 19 novembre
2009 à Cotonou (Bénin) des suites
d'une longue maladie.
Les condoléances sont reçues au
domicile de M. David Narcisse sis
à Yopougon Sogéfiha Solic 1
appartement n°969 dès
publication de cette annonce
(09/12/09) de 18h30 à 20h30
précises.
Contact : 23 45 55 02 / 66 45 89
02.
Frat-Mat N°87268
M. Kouamé Koua, chef du village
du groupe Gbani, s/p de Sakassou
et famille, M. Kouassi N'doua
Jean, chef des ressortissants de
Gbani à Abidjan, la grande famille
Zébié Gaston à Abidjan et
Gagnoa, M. Toto Jules et enfants,
M. Koudou François et enfants,
Mme Zébié K. Jeannette et
enfants, M. Koffi Léon, M.
Kouamé Yao Nestor, frères et
sœurs à San-pédro, M. Kouamé
Casimir et enfants, Mlle Bolati
Hervée C., le personnel de la
mairie de Cocody, ont l'immense
douleur de vous faire part du
rappel à Dieu de leur regrettée
petite-fille, fille, nièce,
conjointe, mère, sœur, cousine, tante,
collègue et amie:
TOTO AKISSI
ANTOINETTE,
rédacteur à la mairie de Cocody,
survenu le lundi 30 novembre 2009
à la Polyclinique de l'lndénié.
Programme des obsèques :
Les condoléances sont reçues du
lundi 7 au jeudi 10 décembre 2009
de 18h à 20h au domicile de M. Toto
Jules à Yopougon-Gfci-Cité Bel-Air
lot n° 104 non loin du Foyer des
jeunes.
Vendredi 11 décembre 2009 de 21h
à l'aube: veillée au domicile de M.
Toto Jules à Yopougon-Gfci-Cité
Bel-Air lot n° 104 non loin du Foyer
des jeunes.
Samedi 12 décembre 2009 à 08h30:
levée du corps à la morgue de
Yopougon, suivie de l'inhumation au
cimetière municipal de Yopougon.
Frat-Mat N°87301
Les grandes familles Dja Laël,
Soukpa Laël, Gnankou Laël et
familles alliées, Affi Akmel, N'zoré,
Adouwétchi, Lasm Jean, Mélédjro
Nomé Sophie, Djitta Yédoh
Benjamin tous à Vieil Aklodj, Essoh
Nomel Alphonse à Abidjan, Latt
Yédéï Yvonne dit " Abô Loukouass "
la femme du défunt à Vieil Aklodj,
Bosso Affi à Débrimou, le député
Yede Gnagne Jean Claude à
Débrimou, Lattroh Georges et frères
à Lopou, Lorng Sess Essis à Agbaille,
Yedess Philippe à Agbaille, Famille
de feu Yao Niamba Abraham à
Oyorokpo S/P de Gomon, Djedjro
Latt Elisée et épouse résidant en
Suède, Dr Latt Yedmel Evariste et
épouse résidant en Italie, Latt Eloi,
président de la Chorale Peniel
d'Abidjan et épouse, Djedjro Bernard
résidant aux Etats-Unis, Latt Akpa
Elias, secrétaire général adjt des
hommes de l'Eglise Méthodiste Unie
Côte d'Ivoire et épouse à Abidjan,
Djedjro Latt Eugène, comptable à
Suprême Food Onuci, ont la
profonde douleur d'annoncer le décès
de leur regretté frère, époux, fils,
oncle et grand-père :
le Patriarche DJEDJRO
LATT ESAIE,
survenu le jeudi 05 novembre 2009
au Chu de Treichville.
Le programme des obsèques se
déroule comme suit:
-Mercredi 16 décembre 2009:
veillée à son domicile sis à Marcory
Champroux près de l'immeuble
Samaritain
- Vendredi 18 décembre 2009: levée
du corps à 14h30 au Chu de
Treichville, suivie du transfert à Vieil
Akladj s/p Dabou où une veillée est
prévue de 21h à l'aube.
-Samedi 19 décembre 2009:
inhumation au cimetière dudit village
après le culte de 9h.
Les condoléances sont reçues tous les
jours à Abidjan au domicile familial à
Marcory Champroux cité Saci près
de l'immeuble Samaritain.
Frat-Mat N°87230

Infos service
Fraternité Matin/Jeudi 10 décembre 2009 25
Nécrologie
Dr. Yoboué
N'Guessan Paul,
ingénieur agronome, chargé
de recherche à l'iNP-HB de
Yamoussoukro,
nous a quittés le 09
novembre 2009.
La famille Yoboué à
Béoumi, Bouaké et Abidjan,
la famille Yoman à Souafouè
(Béoumi) et Abidjan, M. et
Mme Amon à Bouaké, M. et
Mme Bah Paul à Yamoussoukro, Mmes Téhoua.
Marcelline et Téhoua Claudine à Abidjan.
Dans l'impossibilité de nommer de toucher
individuellement tous ceux et celles qui de près ou de
loin ont apporté soutien moral, spirituel, matériel et
financier lors des obsèques de leur regretté fils, frère,
beau-frère et ami à Bouaké, vous prient de trouver ici
l'expression de leur infinie gratitude.
Ils remercient particulièrement: la direction et le
personnel de l'INP-HB de Yamoussoukro, Mme Koffi
Ursule à Abidjan, la Chorale Bon Pasteur de la
cathédrale de Bouaké, la chorale CMA de Tchèèkro-
Bouaké, les Sœurs Bénédictines de Bouaké, M. et Mme
Beker aux Etats-Unis, M. Yacouba Séré à l'Adrao.
Frat-Mat N°87305
La grande famille Namnei
Lael de Bonn, d'Agbaille, de
Tiaha, Grand Bouboury et du
Leboutou s/p de Dabou, la
famille Aboubosso et
Dombosso d'Elibou s/p de
Sikensi, la famille Amenou de
Kodi commune de Ouéllé, les
anfants N'goran Colette,
Roseline, Carmen et Jules à
Abidjan, Paris et Accra, M.
Esmel Gustave et Mme Abro
Adiow Marthe à Bonn, M.
Kohi Djèdje Augustin, épouse
et enfants à Bonn, Abidjan, Daloa et Agboville, M. Kohi
Brime, épouse et enfants à Daloa, Abidjan et en Inde, Mme
Amissa Meleme Emilienne, époux et enfants à Bonn et
Abidjan, M. Djambi et Mme née Kohi Têtê Louise et
enfants à Abidjan et Daloa, M. Kadja et Mme née Kohi
Kock Marie et enfants à Abidjan, Mlle Kohi Niamkey
Cécile et enfants à Bonn et Abidjan, M. Esmel Beraudy
Paulin, épouse et enfants à Marseille, M. Esso Lambert,
épouse, sœurs, frères et enfants à Agboville, Daloa et
Abidjan, Aka Lambert, journaliste à Frat-Mat, les enfants
des regrettés Kohi Djédjagne et Kohi Akadjé à Daloa,
Abidjan, Bonn, San Pedro et Paris, les cadres et la
génération Bodjl de Bonn, la direction et le personnel du
Centre national de recherche agronomique (Cnra), la
chorale Salve Regina de la paroisse du Bon Pasteur de la
Riviera III et familles alliées, ont la profonde douleur de
faire part à leurs parents, amis et connaissances, du décès
de leur regrettée mère, fille, sœur, belle-sœur et
collaboratrice :
Dr N'GORAN née KOHI ANDI JEANNE,
Maître de recherches, chef d'unité coopération
internationale du Cnra,
Chevalier dans l'ordre du mérite de l'éducation nationale,
survenu le jeudi 22 octobre 2009 à la polyclinique de
l'Indénié à Abidjan.
Programme des obsèques :
Mercredi 02 décembre 2009 de 20h à 22h: veillée
religieuse à la paroisse Bon Pasteur de la Riviera III
Du jeudi 03 au mardi 08 décembre 2009 de 18h à 20h:
condoléances au domicile de la défunte sis à la Riviera III
Selmer, route du Lycée Français, carrefour de la pharmacie
Saint Pierre des Rosées, à droite, villa D3
Vendredi 04 décembre 2009 de 19h à 22h: veillée
académique au Cnra de Cocody Mermoz
Mercredi 09 décembre 2009 de 20h à 22h: veillée
religieuse à Ivosep Treichville
Vendredi 11 décembre 2009 à 14h: levée du corps à
Ivosep Treichville, suivie du transfert à Bonn
(s/p de Dabou)
Samedi 12 décembre 2009 à 10h: messe de requiem,
suivie de l'inhumation au cimetière dudit village.
Frat-Mat N°87012
L'honorable Bouaman Adjoa
Bernadette, député de Vavoua
commune, la grande famille
Bouama : enfants, petits-enfants
et alliés, Veuve Guigui Blandine,
la grande famille Guigui et
enfants à Saïoua et Abidjan, très
sensibles aux nombreuses
marques d'affection, de sympathie
et de solidarité que vous leur avez
témoignées lors du rappel à Dieu
de votre fils, frère et collaborateur:
le Supérieur Sénior
Evangéliste KOUAME
BOUAMA MAKAWE Frédéric,
ex-conseiller spécial du Président Centrafricain.
Et dans l'impossibilité de toucher individuellement tous ceux qui,
de près ou de loin, leur ont apporté soutien moral, spirituel,
matériel et financier, vous prient de trouver ici l'expression de leur
profonde et infinie gratitude.
Elles remercient particulièrement: SEM. Laurent Gbagbo,
Président de la République de Côte d'Ivoire, SEM. François
Bozizé, Président de la République de Centrafrique, SEM. Henri
Konan Bédié, président du Pdci-Rda, SEM. Koulibaly
Mamadou, président de l'Assemblée nationale, SEM. Robert
Beugré Mambé, président de la Commission électorale
indépendante, M. Hua Koffi, président du Cnsi, SEM. le Premier
ministre Daniel Kablan Duncan, M. Ossey Gnassou Denis,
ministre d'Etat de la République Centrafricaine et la grande
famille Gnassou, M. Djéjdé Mady, Secrétaire général du Pdci-
Rda, Mme Téhoua Amah Marie, ministre de la l'Industrie et de la
Promotion du Secteur Privé et sa délégation, M. Allah Kouadio
Rémi, ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique, M. le
ministre Alain Cocauthrey et Madame, - Mme le ministre
Sangaré Assana, Mme le ministre Bobi Assa Emilienne, M.
Malick Coulibaly, directeur de cabinet du Président de la
République de Côte d'Ivoire et sa délégation, M. Manou Bi
Kouéli, vice-président de l'Assemblée nationale, Mme Bouabré
Delompu Abane, vice-présidente de l'Assemblée nationale et son
époux, M. Moulod Jean Michel, président du groupe
parlementaire Pdci-Rda et sa délégation, M. le général
Ouassénan Koné Gaston, président du Elus du Pdci-Rda,
l'honorable Guiriéoulou Emile, président de la Commission des
affaires générales et institutionnelles et Mme, Mme Dao
Coulibaly, présidente de l'Ufpdci-Rda et sa délégation, Dr Baba
Célestine, épouse du président du Conseil économique et social
de la République Centrafricaine, l'honorable Aka Aouélé, viceprésident
du Pdci-Rda, l'honorable Yoboué Kouassi, viceprésident
de la commission des affaires générales et
institutionnelles, M. Jacob Oshoffa, chargé de mission du
Président de la République Centrafricaine, M. Yoh Gama,
procureur à la Cour d'Appel et Mme, MM. les députés: Matto
Joseph, Brou Koffi René, Coulibaly Yoyaga dit Fatogoma, .
Gouali Dodo Basile Junior, Béssi Koffi Maurice, Salé Poli,
Kouamé Koffi Kévin, Kra Yao, Diomandé Mamy, Mmes les
députés: Kouakou Akissi Colette, Oulaï Lagni Madeleine, M.
Denis Kah Zion, président du Groupe Nouveau Réveil, M. Diro
Théodule, maire de Vavoua, le Révérend Pasteur Emmanuel
Oschoffa, chef mondial de l'Eglise du Christianisme Céleste et sa
délégation, le Révérend Most Supérieur Evangéliste Zagadou
Akéblé Louis, chef du Diocèse des Pays Francophones et d'Outre
Mer, le Révérend Pasteur Ediémou Blin Jacob, président du
Comité Supérieur, l'Assistant Supérieur Kanon Luc, président du
Cdn et l'ensemble des membres du Cdn, le Most Supérieur
Evangéliste Moulo Nicolas, chef de Diocèse La Sainte Eglise
venue des Cieux et l'ensemble des Hauts Dignitaires de la Sainte
Eglise venue des Cieux, le Supérieur Evangéliste Ackah Kouamé
Faustin et famille, le Supérieur Evangéliste Dépri Joachim, chef
du Diocèse adjoint de France et chargé de la famille de
Champigny France et l'ensemble des fidèles de Saint Michel
Champigny France, le Supérieur Evangéliste Tin Richard, chargé
de la Paroisse Saint Gabriel de Paris et Mme, les Supérieurs
Evangélistes Laïss Joseph, Guédé Agénor, Assamoi Claude et
Tossou André et l'ensemble des Choristes de l'Eglise Evangéliste
du Christianisme Céleste conduits par Me Eli Mango, la Mère
Céleste Kacou Rachel, Mère de la Paroisse d'Israël Akwaba, le
Supérieur Evangéliste Nobou Victorien, chargé de la Paroisse
d'Israël Akwaba, le Supérieur Evangéliste N'guessan Frédéric,
co-président du Comité Paroissial, l'ensemble des fidèles de la
Paroisse d'Israël Akwaba, la grande famille de l'Eglise du
Christianisme Céleste de Côte d'Ivoire, la grande famille Black
Mantongo au Caméroun, Centrafrique et Paris, El Hadj Cheick
Lamine Fatiga, président des Soufis, Dr Méité, Islamologue, M.
Gbocho Emmanuel, président de la Fédération universelle de la
paix, M. AHondjo Eugène, secrétaire général de la Fédération
universelle de la paix et la délégation de la grande famille Moon,
Mme Bouanga Akpa Yvonne, secrétaire à l'Encadrement des
femmes du Pdci-Rda, Mme le Pr Yoman Thérèse, M. Koré
Nahounou Robert, président directeur général de la Sipem, M.
Gueye Edouard, chef du service Appro-Logistique de
l'Assemblée nationale, M. Kadra Mouni, opérateur économique
et Mme, M. Méssou Roger, opérateur économique et Mme, M.
Guigui Tétiali Fructueux et Mme, Lieutenant Blé Jean Louis, M.
et Mme Potey, M.et Mme Tapé, M. Konaté Issouf, préfet à la
retraite, les grandes familles amies et alliées, les délégations
venues, du Bénin, du Togo, de Vavoua, Tiassalé, Daloa, etc., la
grande famille Céleste Mondiale.
Que le Dieu des Cieux vous comble au centuple.
Frat-Mat N°87314
M. le préfet de région, préfet
du département de Daloa,
M. le préfet du département
de Zuénoula, M. le maire de
Daloa, M. Kouadio Loukou,
chef des Bro à Daloa, M.
Yéboué Djaha Joseph,
président de l'Arebda
(Association des Bro à
Daloa) et famille, M.
Kouassi Yao Jules, mare de
Diabo et famille, la grande
famille Ngatta Wossou de
Sélakro, commune de Diabo et son chef Kouamé Brou
Alphonse, planteur à Ouragahio, les grandes familles
Séla Wossou et Kongo Wossou de Sélakro, MM. Oka
Yao Valère, Oussou Kouadio Alfred, Kouamé Bernard
et famille à Diabo-Sélakro, Bouaké et Abidjan, Veuve
Konan N'zj Pascal et famille à Abidjan, Béoumi, Daloa,
Saioua et Korhogo, Veuve Koffi Sylvain et famille à
Daloa, la famille Konan N'zi et Camara à Abidjan,
Daloa, Botro et Diabo, M. Konan N'dri Jean Claude,
conseiller pédagogique et famille à Daloa, la grande
famille Bouaman à Abidjan, Daloa et Vavoua, la grande
famille Diomandé à Abidjan, Séguéla, Daloa et Paris, El
Hadj Ségbé Diomandé, adjudant de Gendarmerie à la
retraite à Anyama et famille, la grande famille Liadé à
Issia, M. Koffi Raymond, président de E'LIKÉ
(Association des enseignants Akan) et famille, la grande
famille feu Diby Réné à Abidjan, Daloa, Saioua et
Béoumi, Mme Oka Martine, épouse Amoikon, sagefemme
à Daloa et famille, Mme Tanoh Ahou Isabelle et
enfants à M'bahiakro, M. Diallo Ferdinand, directeur de
société et famille, Konan Kouadio André, sous-directeur
au ministère de la Jeunesse des Sports et famille, M. Vié
Ebagnini Ernest, Mme et enfants à Abidjan et Yakro, M.
Lath Alphonse, professeur de lettres et famille, M.
Nicholas, président d'honneur du comité Asec-Mimosas
de Daloa et famille, les ressortissants Bro à Daloa, les
membres de l'Association E'LlKÉ, le Club des amis de
Daloa (C.A.D.), le Club de Maracana "I. Virtuosi",
l'Association des douze sœurs (Add) à Daloa, la
Mutuelle de développement de la sous-préfecture de
Vouéboufla, ont la profonde douleur de vous annoncer
le décès de :
KOFFI Sylvain,
sous-préfet de Voueboufla,
ex-secrétaire général de la mairie de Daloa,
survenu le jeudi 26 novembre 2009 à Abidjan.
Le programme des obsèques s'établit comme suit :
Du lundi 07 au jeudi 17 décembre 2009: présentation
des condoléances: tous les jours de 18h00 à 21h30 au
quartier Tazibouo (2ème rue Fadiga - Ceinture)
Vendredi 11 décembre 2009 de 20h00 à 22h00: veillée
de prière au domicile du défunt.
Vendredi 18 décembre 2009 de 20h00 à 23h00: veillée
religieuse
De 23h00 à l'aube: veillée traditionnelle au domicile du
défunt à Tazibouo(2ème rue Fadiga - Ceinture).
Samedi 19 décembre 2009 à 09h00: levée du corps à
Ivosep Daloa.
09h45: escale au terrain de maracana du centre Culturel
Saint Joseph de Calasanz de Lobia.
10 h 00 : messe de requiem a la Paroisse Ste Marie Mère
de Dieu de Lobia.
11h30: inhumation au cimetière municipal de Daloa.
Frat-Mat N°87266
La Direction générale du Port
Autonome d'Abidjan a le regret
d'annoncer le décès de :
ORO LILI MATHURIN,
Agent de bureau à la Direction des
infrastructures,
survenu le dimanche 06 décembre
2009 à Abidjan.
Le programme des obsèques est le
suivant:
Jeudi 17 décembre 2009 de 20h à
22h : Veillée à Ivosep Treichville.
Vendredi 18 décembre 2009
- 20h à 22h : Veillée religieuse
- 22h à l'aube : Veillée traditionnelle
au domicile du défunt (Abobo
Avocatier en face du lycée municipal
d'Abobo)
Samedi 19 décembre 2009
- 10h - 11h : Levée du corps à Ivosep
de Treichville, suivie de l'escale au
domicile du défunt (Abobo Avocatier
en face du lycée municipal d'Abobo).
-13h: Inhumation au cimetière
municipal d'Abobo Baoulé.
Frat-Mat 87 308
Mr. Guéi Vincent Timothée à Tieny-
Seably, Pasteur Emmanuel Guéhi,
président de l'Amicale des pasteurs
ivoiriens en France et famille à Paris,
M. Tenahande, M. Togouli et familles
en France et en Allemagne,
Hambourg, la famille Tia Késsé à
Kebly, Facobly, M. Théophile,
Pasteur Rocelyn Guéi et familles à
Abidjan, M. Kouada, M. Séa et
familles à Abidjan, les grandes
familles Monguéhi, Séa, Oulaï et
Guéhi en Côte d'Ivoire, les doyens
Kui Benoît, Ya Gaston et familles à
Paris, M. Guéi Gérard, Bah
Barthélemy et l'Amicale des
ressortissants de Tiény-Siably en
France, la famille Sahi et Soumahoro
à Abidjan et Man, ont la profonde
douleur de vous faire part du rappel à
Dieu de leur épouse, mère, tante,
grand-mère, belle-mère :
TIA DJE MARIE,
chantre de l'Eglise UEESO de
Tiény-Siably,
survenu le 08 novembre 2009.
Programme des obsèques :
Jeudi 10 décembre 2009 de 18h à
l'aube: veillée de prière à l'église
Ueeso-Ci Abobo Dokui derrière
l'école Adama Sanogo
Vendredi 12 décembre 2009 à 07h:
levée du corps à la morgue de
l'H.M.A (Hôpital militaire d'Abidjan:
Zoo), suivie du transfert à Tiény-
Siably
De 18h à l'aube: veillée religieuse à
Tiény-Siably (Facobly)
Samedi 12 décembre 2009 à 10h30:
inhumation au cimetière dudit
village.
Les condoléances sont reçues tous les
jours de 8h à 20h au domicile de
Guéi Théophile à Abobo- Té
Renseignements: 07 69 04 19/07 69
04 19/02 89 74 08
Pasteur Guehi : 01 9785 48
Frat-Mat N°87332

26
Infos service
nécrologie
Fraternité Matin/Jeudi 10 décembre 2009
La grande famille Akouandiakon
à Kouakro, Assouba et
Kotoagnouan, la famille
Moketrin à M'Possa,
Mouassoué, Kokotré, Anvo, le
Roi des Affemas et ses notables à
Kouakro, M. et Mme Bilé
Amanlan Bertin et enfants à
Abidjan, M. Moularé Aboua
Charles et enfants à Abidjan et
Mouassoué, M. et Mme
Amanlan Kassy Georges et
enfants à Abidjan, le Colonel
N'golé Mingomin, président de la Mudesko et les cadres de
Kouakro, les enfants Aka Kablan et petits-enfants à Abidjan,
Kouakro, France, Etats Unis et Italie, la famille Ehilé Basile à
Abidjan et en France, M. Aka Aouélé, président du Conseil
général d'Aboisso, les ressortissants de Kouakro, les familles
alliées et connaissances, ont la profonde douleur de vous
annoncer le décès de leur petite-fille, fille, mère, nièce, sœur:
EHILE BRIGITTE dite "MAMIE",
19 septembre 1982 - 03 décembre 2009,
survenu le 03 décembre 2009 à 00h25 à la Clinique Polymed à
Marcory Résidentiel
Programme
Vendredi 11 décembre 2009 de 20h00 à 22h00: veillée
religieuse à Ivosep
Samedi 12 décembre 2009 à 07h30: levée du corps à Ivosep
salle A, suivie du transfert à Kouakro S/P de Mafferé et de
l'enterrement à 14 h.
Frat-Mat N°87270
Nana Adjiri Adjiri Georges,
chef central d'Assinie, M.
Miézan Aka Aketchi, chef de
la famille Allohomba, frère et
sœurs à Assinie Mafia, M.
Saka Edouard à Téma au
Ghana, M. Ahoussi Auguste,
chef de la grande famille
Mahilé à Grand-Bassam,
Assinie Mafia et Ebouinda, la
grande famille Wouedja à
Assinie, Abidjan et
Yamoussoukro, veuve
Angbolé Marie-Laure et
enfants à Abidjan, Mme Bilé Gnouama Véronique à
Assinie Mafia, M. Bilé Gnangni à Assinie Mafia, M.
Ediaho Ediaho à Ebouinda, M. Bilé Gnangoran à Assinie
Mafia, M. Bilé N'dabilé à Assinie Mafia, la grande famille
Boua Aka à Assinie Mafia, M. Niamkey Angbolé, Daniel à
Yamoussoukro, Angbolé Echua Thérèse à Assinie Mafia,
Angbolé Magnin Madeleine à Assinie Mafia, Angbolé
Achia Pauline à Assinie Mafia, Angbolé Assiè Chantal à
Assinie Mafia, la famille Ahua Kouao à Abidjan et Grand
Bassam, M. Miézan Prosper, frères, sœurs, cousins,
cousines à Assinie Mafia et Abidjan, M. Gomis Kablan
Alfred, frères, cousins et cousines à Assinie et Abidjan, M.
Aman Emmanuel, Mme et enfants à Yamoussoukro, M.
Adjiri Anasso à la Rti, frères, sœurs, cousins, cousines à
Abidjan et Assinie Mafia, M. Aketchi Kamon, frères et
sœurs à Assinie et Abidjan, M. Ayemou Attoumani, frères,
sœurs, cousins et cousines à Aboisso, Abidjan, Bingerville
et Assinie Mafia, M. Koffi Georges, frères, sœurs à
Yamoussoukro, Abidjan, Sakassou, Dibri et Paris, Mme
Kouakou Suzanne frères, sœurs à Abidjan, Yamoussoukro,
Dibri et Paris, les grandes familles Bandama à Abidjan,
Sakassou et Paris, Mme N'Dri Kanga Christine, frères et
sœurs à Soubré, Abidjan et Bouaké, la direction et le
personnel du Groupe Sifca, la direction générale et le
personnel de Palm-Ci, l'Association des ingénieurs de
l'Inp-Hb, les amis de promotion Inset, l'ordre des
ingénieurs industriels, les amis et connaissances ont la
profonde douleur d'annoncer le décès survenu le 21
novembre 2009 des suites d'un accident de la circulation,
de leur fils, époux, père, frère, cousin, neveu, petit-fils,
gendre, collaborateur, collègue:
ANGBOLE ANLOUAN JOSEPH,
Directeur technique industrielle de Palm-Ci.
Le programme des obsèques se présente comme suit:
Du lundi 30 novembre 2009 au dimanche 06 décembre
2009 de 18h30 à 20h30: présentation des condoléances à
son domicile sis à Cocody Riviera Palmeraie aux Rosiers
programme 5A, rue Hortensia nord, villa 774.
Le vendredi 04 décembre 2009 de 20h30 à 24h :
première veillée religieuse à la Riviera Palmeraie, aux
Rosiers programme 5, à l'aire de jeux.
Le jeudi 10 décembre 2009 de 20h à 22h : deuxième
veillée religieuse à la Paroisse Notre Dame de l'Incarnation
(NDI) sise à la Riviera Palmeraie.
Le samedi 12 décembre 2009 de 7h à 8h : levée du corps
à Ivosep, suivie du transfert à Assinie Mafia.
Messe de Requiem à 11h30 à la paroisse Sainte Thérèse de
l'Enfant Jésus d'Assinie Mafia, suivie de l'inhumation au
cimetière dudit village.
Le dimanche 13 décembre 2009 à 08h30: messe pour le
repos de son âme à la paroisse Sainte Thérèse de l'Enfant
Jésus d'Assinie Mafia.
Le dimanche 20 décembre 2009 à 09h : messe pour le
repos de son âme à la paroisse Notre Dame de l'Incarnation
sise à la Riviera Palmeraie.
Frat-Mat N°87162
In memorIam
13 décembre 2008 -
13 décembre 2009
Voilà déjà un an que s'est
endormie dans la paix du
Seigneur notre regrettée :
OFFOUMOU KASSE
CELINE épouse
AHOCHI
A l'occasion de ce 1 er
anniversaire de décès, son
époux, ses enfants, ses petits-enfants, sa famille,
renouvellent leurs infinis remerciements ainsi que leur
profonde gratitude à tous ceux qui de près ou de loin, leur
ont témoigné soutien spirituel, moral, matériel et financier
lors de ses obsèques et vous informent par la même
occasion qu'une veillée de prière est organisée le samedi
12 décembre 2009 de 21h à 00h au domicile familial à
Attobrou, suivie d'une messe pour le repos de son âme le
dimanche 13 décembre 2009 à 8h en l'église Immaculée
Conception d'Attobrou.
Ils prient tous ceux qui l'ont connue et aimée, d'avoir une
pensée pieuse pour le repos de son âme dans la paix du
Seigneur.
Que le nom du Seigneur soit béni!
Frat-Mat N°87323
Le chef des grandes familles
N'Vavilé et Mafoulé Ahiko
Etchua à N'Guiemé s/p de
Tiapoum, la grande famille
Afforo Kodjo à N'Guiemé,
Abidjan, France, Italie,
Norvège, N'Kroful au Ghana, la
grande famille Kouao à
N'Guiemé, Abidjan, France, la
grande famille Eliamon à
Abidjan, N'guiemé et Mowa, la
grande famille Aka à Eboinda,
N'guiemé, Abidjan, la grande
famille Tassi à N'Guiemé et
Italie, la grande famille
Ehouman à N'guiemé et
Abidjan, la grande famille
Egnankou à N'guiemé et
Abidjan, la grande famille Cissé
à Aboisso, Abidjan, la grande
famille Ouattara à Abidjan et
Yorobodi, la grande famille Lato
à Niangbo s/p Niakara, la
Mutuelle de développement de
N'guiemé ont la profonde
douleur de vous annoncer le
décès de leur fils, père, grandpère,
beau-père, frère, oncle,
beau-frère et ami :
AFFORO KODJO
FREDRERIC dit PAPA
EHOULE,
survenu le jeudi 3 septembre
2009 à l'hôpital général d'Ayamé
des suites d'une longue maladie.
Programme des obsèques :
Vendredi 18 décembre 2009 à
13h: levée du corps à la morgue
d'Aboisso suivie du transfert à
N'guiemé s/p de Tiapoum.
-Veillée religieuse et
traditionnelle jusqu'à l'aube.
Samedi 19 décembre 2009 à
11h: inhumation au cimetière
dudit village.
Frat-Mat 87 206
Veuves Kipré Daniel, nées Bouabré
Cécile et Bai Odette, enfants et petitsenfants,
Pr Bissagnené Emmanuel et
Mme à Abidjan, Pr Youlou Séri
Fernand, maire de Gboguhé, M.
Nahounou Kanon Augustin et Mme à
Abidjan, M. Tanoh et Mme née Kipré
Adélaide en Italie, MDL Kipré Jean
Claude à Abidjan, M. Kéya Amédée à
Abidjan, M. et Mme Likane Paulette,
frères et sœurs, Zouzouko Bouabré
Alexandre, chef de village et la
communauté villageoise de Koréa II,
Inéfé Touapry Philippe, chef de village
et la communauté villageoise de Koréa
I, Bouabré Blaise, chef de village et la
communauté villageoise de
Sébraguhé, Lago Gnonka Félix, chef
de village et la communauté
villageoise de Kéïbla, Kipré
Guihounou Gilbert, chef de village et la
communauté villageoise de Digbapéa,
Koré Drépeuba Robert, chef de canton
à Gboguhé, ont la profonde douleur de
vous faire part du décès de leur époux,
père, grand-père, frère, cousin, neveu,
oncle, beau-frère, beau-père,
KIPRE POUAME DANIEL,
membre du conseil municipal de
Gboguhé,
survenu le 02 septembre 2009 au Chr
de Daloa.
Programme des obsèques :
Vendredi 11 décembre 2009 à 15h:
levée et transfert du corps à Koréa,
veillée religieuse et traditionnelle à
partir de 21h.
Samedi 12 décembre 2009 à 10 h:
inhumation au cimetière dudit village.
Frat-Mat N°87333
La grande famille Anoh, la famille
Ziga Adjé à Akakro, sous-préfecture de
Bouaflé, Abidjan, Yamoussoukro,
Angleterre, Canada, France, la famille
Kouadio Téhua Rémi à Agnibilékro,
Veuve Kouadio épouse Adjé Yvette
frères et sœurs, ont la profonde douleur
de vous faire part du décès de leur fils,
frère, neveu, oncle, père et époux :
ADJE Kouadio Norbert,
survenu le vendredi 04 décembre
2009 au Chu de Treichville.
Le programme des obsèques est le
suivant:
Vendredi 11 décembre 2009 à 19h:
messe de requiem à la chapelle Sacré
Cœur du Chu de Treichville
Samedi 12 décembre 2009 à 7h :
levée du corps à la morgue du Chu de
Treichville, suivie de l'enterrement à
Akakro, sous-préfecture de Bouaflé.
Frat-Mat N°87255
Nanan Kouassi Dongo N'Gouanda
Hini à Abidjan, Nanan Youssouf
Ouattara, chef du village d'Akossuam,
Nanan Amponsah Mahaman, chef du
village d'Ahuitiesso, Nanan Yaa Dibia
Jacqueline, Reine-mère d'Ahuitiesso,
El Hadj Lazane Ouattara, chef de
famille à Akossuam, El Hadj Mory
Ouattara à Akossuam, M. Yao Dongo
Laurent et famille à Transua, El Hadj
Mahaman Ouattara N° 1 à Akossuam,
El Hadj Mahaman Ouattara N° 2,
femmes et enfants à Transua et en
Espagne, M. Assouman Blackman,
femmes et enfants à Transua et Taiwan,
M. Kouadio koffi, proviseur du lycée
Alphonse Assamoi de Divo, Mme
Aminandou Ouattara et enfants à
Akossuam, Mme Abriwa Ouattara et
enfants à Akossuam, M. Anzoumanan
Yamaa et famille à Akossuam, M.
Amadou Kouadjo dit Akran, femme et
enfants à Akossuam, M. M. K. Moro,
femmes et enfants à Akossuam et
Abidjan, M. N'guettia Brahiman,
femme et enfants à Akossuam et
Abidjan, M. Ouattara Lazane, coach et
famille à Transua, Veuve Abriwa et
enfants Mohamed, Affou, Malick,
Moussa, Adjaratou à Divo, M. Moussa
Galan et famille à Tchrebio Késsié, M.
Moctar Ouattara, femme et enfants à
Akossuam, M. Atta Lazane, femme et
enfants à Akossuam, M. Mahaman
Titcha, femmes et enfants à Akossuam,
M. Moussa Ouattara (Capinda),
femmes et enfants, M. Mahaman
Koko, frères, femmes et enfants à
Akossuam, M. Dongo Tidjane, M. Ali
Daouda et famille à Gagnoa, M.
Yéboua Ibrhim, cadre financier à Sdv-
Saga / Bolloré Dti et famille à Abidjan,
M. Brahima Ouattara, professeur au
Lycée municipal d'Attecoubé à
Abidjan, Veuve Sala Ouattara et
enfants à Abidjan, M. Ouattara Abdoul
Kader à Abidjan, M. Mahaman
Mécano à Abidjan, M. Mahaman
Ouattara, président de Yoman-Hon à
Abidjan, Mme Awa Ouattara, mari et
enfants à Attecoubé, Fatou Ouattara dit
Nantogoman à Abidjan, M. Kouakou
Kouassi Justin, président d' Atrazan
(Association des travailleurs du
Zanzan) à Divo, M. Gueye et famille à
Divo, M. Adou et famille à Divo, M.
Kra et famille à Divo, ont la profonde
douleur de vous annoncer le décès de
leur fils, mari, père, oncle, frère,
collègue et ami :
ALI OUATTARA,
ex-éducateur d'internat au Lycée
Alphonse Assamoi de Divo,
rappelé à Dieu le mardi 1 er décembre
2009 au Chu de Cocody à Abidjan.
Programme des obsèques :
Vendredi 11 décembre 2009 de 21h à
l'aube : veillée au domicile du défunt à
Divo, quartier Isora
Vendredi 18 décembre 2009 à
08h00: levée du corps au Chu de
Yopougon, suivie du transfert à
Akossuam dans la commune de
Transua où une veillée aura lieu de 21h
à l'aube.
Samedi 19 décembre 2009 à 09h30 :
inhumation, suivie des cérémonies
religieuses du 7ème jour.
Frat-Mat N°87269
Nanan Ehoué Aka, chef du canton
Féyassé, Nanan Koffi Amoikon, chef
du village de Padiegnan, M. Tano
Kouassi N'kruma, chef de la famille
Aka à Yakassé, Agnibilekrou, Bouna,
Abidjan, M. Koffi Tiémélé Vincent,
Mme et enfant à Abidjan, M. Koffi
Rémi Gentil, Mme et enfant à Abidjan,
M. Kouao Kouakou Dominique et
famille à Yakassé, M. Kouao Adou
Olivier à Abidjan, Dame Assalé
Kirima à Yakassé, ont la profonde
douleur de vous annoncer le décès de
leur fille, sœur, mère, grand-mère :
ADOU N'GUESSAN YAH,
survenu le lundi 31 novembre 2009 à
Yakassé Feyassé, des suites d'une
longue maladie.
Le programme des obsèques s'établit
comme suit:
- Vendredi 11 décembre à 16h00:
levée du corps au Chr d'Abengourou,
suivie du transfert du corps à Yakassé
Féyassé où une veillée est prévue de
20h à l'aube.
- Samedi 12 décembre à 10h00 :
messe de requiem
11h30: inhumation au cimetière dudit
village.
Frat-Mat N°87311
In memorIam
"Le temps passe, mais tu
demeures dans nos cœurs."
12 décembre 2006 -
12 décembre 2009
Voici déjà 3 ans qu'il a plu au
Seigneur de rappeler à lui son
serviteur :
NGORAN NZI JEAN
ETIENNE
En ce jour anniversaire, sa veuve,
ses enfants, ses petits-enfants, sa
famille et alliés vous réitèrent leurs
sincères remerciements pour toutes
les marques d'affection et de
soutien lors de cette douloureuse
séparation.
Ils vous informent par ailleurs
qu'une messe sera dite pour le
repos de son âme ce samedi 12
décembre à 19h en l'Eglise St
André de Yopougon.
Frat-Mat N°87310
Les familles Soumahoro, Koné et
Méité à Kani, Abidjan et Paris, la
famille Bakayoko à Séguela,
Abidjan et Vavoua, la famille
Binaté, Kéita à Séguela et Abidjan,
M. Soumahoro Issiaka à
l'Imprimerie nationale et ses frères
et sœurs, les familles alliées
Diomandé, Bamba, Diarra à
Bassam, Sakho, Haïdara, Méité,
Dao, Diabaté, Ganon, Fofana,
Traoré, Tembely, Kouakou
Komably, Diallo, ont la profonde
douleur de vous annoncer le décès
de leurs épouse, fille, mère, grandmère
et belle-mère :
BINATE MANONGON,
ex-agent à la mairie de Séguela.
Le programme des obsèques se
présente comme suit :
Le vendredi 11 décembre 2009 à
13h30 : levée du corps à la morgue
de Yopougon, suivie de
l'inhumation au cimetière
municipal de Yopougon
Le dimanche 13 décembre 2009 à
9h : cérémonie de du 7ème jour au
domicile familial à Adjamé Dallas
Rue 28 Av. 9 Lot 112 près du dépôt
de boisson.
Frat-Mat N°87312

Fraternité Matin/ Jeudi 10 décembre 2009
Infos service
27
JEUX : PAR BROU AMAN LOIC
MOTS à TROUVER N°776
Liste des mots N°776
Cogner/ Enflé/ Réelu/ Ibis/ Acte/ Ecrue/ U.F.O.A/ Eau/
Terrier/ Terrible/ Bro Grebé/ Pousse/ Spectacle/ Rien/
Etagère/ Grogner/ Priver/ Aorte. Sans.
Mot-clef:Du groupe Gour, fait partie des 60 ethnies
qui peuplent la Côte d'Ivoire.
Solution du N°776: Mona
MOTS CROISÉS N°776
Horizontalement.
I. Célèbre acteur Noir américain (2 mots) - II. Véhicule. Barre la
" Une " de tous les journaux du Proche-Orient. III. Possessions.
Dans la gamme. IV. Bon travailleur- Un non-juif - V.
Consonnes. Pays arabe assiégé. VI. Autrichien, nous lui devons
un bec. Tua n'importe comment. VII. La Côte d'Ivoire reconnaissante,
ne peut l'oublier.
Verticalement.
1. Siffle pour des preneurs de thé en Russie. 2. Dans la mesure
où. 3. Mot qui s'adresse aux fidèles. Gaz intestinal. 4. Chef-lieu
de sous-préfecture dans la région des Savanes. Pour les avoir, il
faut les rouler. 5. Pronom personnel. 6. Patron français.
Avancerai. 7. Groupe pétrolier français, mais quelle politique !
Véhicule passe-partout. 8. Ancien préfet romain.
Horizontalement.I. Sardines. II. Irai. N'Da. III. Maman. Eg. IV. Ose. Er. V. Né. Epées. VI.
Suaves. VII. Eberluée.
Verticalement.1. Simonie- 2. Arase. 3. Rame. Se. 4. Dia. Eur. 5. Népal- 6. NN. Revu. 7. Ede. EEE. 8.
Sagesse.
Tous les mots placés ici sont des anagrammes de noms.
Retrouvez exactement ces mots par le jeu des lettres en
vous inspirant de l’énoncé.
Thème:Sous-préfectures
* Fafyre
* Anadi
* Scrofe
* Hinite
Cabinet Médical le
Manguier (Face CCIA 44
boulevard Angoulvant Plateau)
Tél. : 20.21.21.16
Dr Farran Sallam (Centre
Médico-chirurgical Marcory
Résidentiel Rue de la Paix)
Tél.21.26.83.23/21.26.04.83
Dr Kassi Michelle (Centre
Pédiatrique Rue Sainte Marie
Cocody)
Tél.22.44.16.86/22.44.07.66
Dr Bosson N’Goran Michel
(Centre Médical Saint Louis
Villa 166/ près de Phcie
Hibiscus Marcory)
Tél. : 21.26.16. 68
Dr Safi Camille (Centre
Médical Nadine Rue Adjoukrou
Adjamé)
Tél. : 20.22.44.56/22.44.27.10
Espace Médical St Paul (28,
Bd Angoulvant Plateau St Paul)
Tél. : 20.21.18.27 / 20.21.16.52
Groupe Médical du Plateau
(Rue des Banques AMCI
4 ème étage Plateau)
Tél. : 20.22.20.29
Dr Aly Bourgi (Centre Médical
ANACHROSTICHE 776
MOTS EN CROIX N°776
medecins de garde
la Rochelle Résidence Nabil 1 er
étage Plateau)
T.20.21.95.43/20.22.50.72/
05.96.72.02/03.01.04.76
Dr Dieng Souleymane
(Clinique les Arcades Zone 4)
Tél. : 21.24.43.34
Dr Farid Haddad (Centre
Pédiatrie du Plateau 31 Bd de la
République Plateau)
Tél. : 20.21.95.43/20.22.50.72
Dr Aka Pierre-André CDA-
CI, Rue des Jardins II Plateaux
face à Mobil Imm Sogefiha
CORMORAN N° 10 Vallon
Tél. : 22.41.60.15/22.41.60.16
Dy Aly Bdeiri (Centre Médical
Achalme Bd Achalme/face
à Viga Assistance Marcory)
Té. 21.26.12.07/05.04.39.39/
07.01.33.34
Dr Bassit Assad, Polyclinique
Internationale Hôtel Dieu
Abjan, Treichville-Bvd de
Marseille 01 BP 2761 Abidjan
01
tél : 21.25.79.19/ 21.75.79.20
Solutions n°775
*Chicago
*Cincinnati
*Boston
* Montréal
NUMÉROS UTILES
Pompiers: 180
Caserne de l’Indénié:
20 21 12 89 / 20 21 10 67
Zone 4: 21 35 73 65
Yopougon: 23 45 16 90
Urgences:
Samu: 185 / 22 44 34 45 / 22 44 53 53
CHU Cocody: 22 44 91 00
22 44 90 38 / 22 44 90 60
CHU Treichville:
21 24 91 55 / 21 24 91 22
CHU Yopougon:
23 26 64 54 / 23 46 61 70
CHU Bouaké: 31 63 21 90
31 63 21 91 / 31 63 53 50
Police:
Police secours: 111 / 170
Direction générale de la police: 20 22 20 30
Préfecture de police: 20 21 00 22
Direction de la police judiciaire: 20 21 23 00
Direction de la police économique:
20 32 51 44
Aéroport: 21 75 79 01 / 21.75.79.02
Divers:
Dépannage CIE: 179
Dépannage SODECI : 175
Côte d’Ivoire-Telcom: 120
SEMAINE DU SAMEDI 5 2009 AU VENDREDI 11 DECEMBRE 2009 (PERMANENCE 24 H / 24)
ABOBO
1. Phcie Azur - M. Chintoh Armstrong -
Tél. : 24 39 46 14 - Route du zoo, Plateau
Dokui Azur - Carrefour Policier.
2. Phcie Kann'Sy (ex-Phcie Jovinal) -
Mme Kouamé Assacy Nathalie épse
Coulibaly - Tél. : 24 39 12 51 / 07 56 98
89 / 02 03 33 24 - Zone du Commissariat
du 14ème arrondt.- Face Gde Mosquée en
construction - Ligne Bus N° 49
3. Phcie Providence - Mme Doh Jocelyne
- Tél. : 24 49 39 62 - Quartier Banco - 1er
arrêt Sotra - Début autoroute Anyama
4. Phcie de la Cité - Mme Egnankou
Juliette - Tél. : 24 39 03 33 - Quartier
Sogefiha N'tanoua face PTT/Abidjan 1
5. Phcie d'Abobo Baoulé - M. Yoboué
Serge - Tél. : 24 48 27 54 - Route d'Alépé
- Au terminus des taxis Wôro-Wôro
6. Phcie Avocatier Marché - M. Diop
Kouamé Juste - Tél. : 24 49 70 19 /09 30
38 52 - Abobo Avocatier à gauche après la
Cie d'Abobo Nord et après formation sanitaire
Henriette Konan Bédié - Carrefour
château près groupe scolaire Les
Angelots.
Abobo PK 18 - Phcie Milié Hevié - M.
Aka Kouao - Tél. : 24 39 04 00 - Route
d'Anyama - PK 18 -Terminus bus 76.
ABOBODOUME/LOCODJORO
Phcie St Etienne - M. Yapo Franck Désiré
- Tél. : 23 52 44 44/01132413 -
Attécoubé/Abobodoumé face marché
poisson carrefour Pinasses près du terminus
bus 36 - 42 - 44 - 47 de la Sotra
ADJAME
1. Phcie Reboul - Mme Allou Diaha
Christiane - Tél. : 20 37 99 98 - Avenue
Reboul - 150 m des sapeurs pompiers de
l'Indenié - Bus 82 81 35.
2. Phcie Quartier Ebrié - M. Lambin
Christian - Tél. : 20 37 12 56 - Face à la
gare STIF Daloa.
3. Phcie des Gares - M. Kiré Kouadio
Noël - Tél. : 20 37 26 24 - Bd Nangui
Abrogoua - Entre la Ran et Citelcom
ATTECOUBE
Phcie Sébroko SARL - Gbocho Sosthène
Edgar - Tél. : 20 37 67 48 - près du grand
marché d'Attécoubé.
WILLIAMSVILLE
1. Phcie Rapha - M. Dassé Philippe - Tél.
: 20 37 96 88 - Williamsville 3 - En allant
vers Macaci en face de la boulangerie
BMW
2. Phcie L'Emmanuel - M. Adou
Assoikou Alexis - Tél. : 20 38 40 17 -
Route Zoo carrefour des II Plateaux entre
station Shell et dépôt Sotra.
ANYAMA
Pchie du Marché d'Anyama- Mlle Dah
Olga Moussokoro épse Dosso - Tél. : 23
55 82 30/31 - 06 24 63 65
BINGERVILLE
Phcie Principale - Mme Dablé Gaba -
Tél. : 22 40 32 29
COCODY/RIVIERA
1. Phcie de l'Oasis de Paix - Mme Foua
Bi Esther - Tél. : 21 37 26 67 / 07 44 82
46 - Cocody Bd Mitterrand carrefour
dépôt Sotra face dépôt de boisson en allant
vers la petite mosquée de la Riviera.
2. Phcie Riviera III - M. Kangah Félix -
Tél. : 22 47 56 16 / 09 01 01 84 - Route
du Lycée Français - Face Lycée Américain
(Base ONUCI).
3. Phcie du Bonheur - M. Diby Joseph -
Tél. : 22 47 02 88 - Riviera Palmeraie -
Marché - Rue I 127 menant à SCI Les
Rosiers (Rue Marie Rose Guiraud EDEC)
- 700 m de la barrière de police - Route de
Bingerville.
COCODY
1. Phcie des Arts - Mme Colomb Andrée
- Tél. : 22 44 42 35/95 67 - Centre commercial
de la Cité des Arts.
2. Phcie de la Cité Cocody - M. Assamoi
Tetchi Claude - Tél. : 22 44 63 67/63 68 -
Cocody Danga face Cité Rouge à la gare "
wôrô wôrô " de Marcory.
II PLATEAUX
1. Phcie Kerens - Mme Bourgoin
Blandine - Tél. : 22 41 82 05 - Bd Latrille
face au Restaurant BMW.
2. Phcie du Vallon - Mme Coulibaly
Mayelé - Tél. : 22 41 35 14 - A côté du
CASH Center des Deux Plateaux.
3. Phcie Santé de Vie - Mme Tia Lou Boti
M. Chantal - Tél. : 22 42 05 22 / 06 35 93
05 - II Plateaux / Les Perles fin de la rue
principale / Cité Sanon près de la Poste
4. Phcie Ste Marthe - Mme Zadi Agoh
Marthe - Tél. : 22 42 33 87 /07 69 48 96 /
07 93 21 13 - Angré Bd Latrille -
Carrefour station Petro Ivoire, tourner à
droite, terminus bus 81& 82.
.5. Phcie du Bien-être - Mme Codo Kéïta
Eliette - Tél. : 22 50 80 80 / 22 50 11 11 -
Angré sur la voie principale de la 8ème
Tranche - Entrée de Soleil 3.
KOUMASSI
1. Phcie St Albert - M. Assavo N'Da
N'Zian - Tél. : 21 28 76 04 / 21 28 75 99
- Koumassi Bd 7 décembre - Face collège
Ajavon vers le GD Marché.
2. Phcie Climbié - Mme Obbin Walémé
Elisabeth - Tél. : 21 36 35 46 - Angle Bd
du Caire et rue Raoul Follereau, face à la
grande mosquée.
3. Phcie du Canal - M. Oulaï S. Urbain -
Tél. : 21 36 27 48 - Koumassi Remblais
- Entre le Gd carrefour Gabi (feu tricolore)
et le carrefour Millenium - A 80 m du
maquis " Le Tapis Rouge " ou à droite du
Groupe scolaire La Rochelle en provenance
de la station Mobil.
4. Phcie St Paul - M. Tra Bi Lala Paul -
Tél. : 21 36 19 28 - Koumassi Nord-Est -
Akromianbla- Non loin du terminus 32 -
Près de l'hôtel Le Recul.
5. Phcie Regina - Mme Coulibaly Dodo
Régine - Tél. : 21 36 68 65 - Koumassi
Sogefiha - 2ème arrêt bus ligne 32 - Non
loin du garage Akwaba.
MARCORY
1. Phcie des Hibiscus - Mme Adou Marie
Louise - Tél.: 21 26 31 66 - Bd
Brazzaville - Près de la PMI.
2. Phcie Anoumabo - M. Mockey
Edouard - Tél.: 21 26 02 07 - Face à
EPP/Anoumabo 1er arrêt Bus 03 & 31
3. Phcie Cyrille - M. Polneau
N'Guessantie - Tél. : 21 25 95 28 - Angle
Bd de Marseille - Bd Giscard d'Estaing -
Ancien Koumassi - Biétry/ Bus N° 06 - 12
- 24 - 29 - 53
4. Phcie du Bd de Marseille - Mme
Adioumani Rachel - Tél. : 21 25 76 25 -
Bd Marseille station Shell face Lonaci
Zone 3.
PLATEAU
Phcie les Ambassades - M. Kouadio
Koffi Noël - Tél. : 20 22 69 00 - Entre
l'Ambassade de France & l'Ambassade
des Etats-Unis.
PORT-BOUET/VRIDI
Phcie Wharf - M. Dempah Joseph - Tél.
: 21 27 71 31/87 81 - Quartier derrière
Wharf route de Grand Bassam près du
dépôt 8 de la Sotra.
PORT-BOUET / JEAN FOLLY
Phcie Santé pour Tous - M. Bruno Basile
- Tél. : 21 58 76 34 / 06 10 88 00 / 01 13
99 73 - Port-Bouët Jean Folly - "
Carrefour Casier ".
TREICHVILLE
1. Phcie des 3 Mosquées - Mme Sylla
Aïchatou - Tél. : 21 24 21 96 - Dans
l'Avenue 8 rue 22 Barrée à 300 m de la
Station Shell Immeuble Nanan
Yamoussou Rue 38.
2. Phcie Rond point du CHU - Mme
Bleu Lainé Simone - Tél. : 21 35 73 03 -
40 Bd de Marseille - Face BICICI-Sud -
Bd de Marseille
3. Phcie Ste Jeanne - Mme Mangoua
Régina - Tél. : 21 24 57 41 - Entrée marché
de Belleville - Face station Petro
Ivoire.
YOPOUGON
Niangon 1 - Phcie Léa - Mme Zodo
Myriam - Tél. : 23 46 02 15 - carrefour
Niangon-Nord/Sud, bus n° 44-27-39
Niangon 2 Phcie Lotus - Mme Kouao
Bilé Ramatoulaye - Tél. : 23 45 06 66 -
Niangon Sud à Gauche - Terminus Bus 27
Niangon 3 Phcie du Progrès (Gde
Phcie) - M. Mominé Kessé Roch - Tél.:
23 46 59 02 - Yopougon Maroc - 50 M de
la station Ivoire Oil.
Zone PMI Phcie Tereza - Mme
Masumbuko Oumou - Tél. : 23 50 88
56/23 50 98 53 - Yopougon Sogefiha "
Magasin " - Route Niangon.
CHU Phcie St Pierre - M. Saï Gba
Albert - Tél. : 23 52 62 08/27 51 / 05 69
01 53 / 01 20 74 45 - Yopougon Port-
Bouët II.- Près ancienne gare 2ème arrêt
bus 39 - Sur entrée principale à 200 m de
l'ancienne mosquée.
Centre 1 Phcie Segai - M. Doué Patrice -
Tél. : 23 52 21 10 - Yopougon Wassakara
- Face au marché.
Centre 2 Phcie du Lavage - Mme
Ehounou Kadjo Nazer - Tél. : 23 50 25 40
/ 06 15 91 97 - Yopougon Sicogi Lavage -
10 m carrefour Lavage.
Centre 3 Phcie de l'Horeb - Mme Tapé
Ahou Thérèse - Tél. : 23 51 88 89 / 07 45
24 14 - Yopougon Sideci Lem 1er Lavage.
Zone Sud 1 Phcie Du Carmel - M.
Amanho Djinin Hyacinthe - Tél. : 23 53
16 32 - Yopougon carrefour Kouté par
église St Laurent entre terminus 40 et la
CNPS.
Zone Sud 2 Phcie Carrefour Koweït - M.
Koffi Etté Georges - Tél. 23 45 84 07 -
Toit Rouge - Route Abobodoumé -
Carrefour Koweït - Face Groupe scolaire
Petit Soleil - Ligne bus 42/ 37.
Périphérie Phcie d'Andokoi - M. Diarra
Arounan - Tél. : 23 50 95 02 - Yopougon
Andokoi - 1er pont à droite - Entre Centre
Ivoire couture et collège moderne (ex-
CEG).
ABENGOUROU
Phcie de l'Indenié - M. Koffi Joseph -
Tél. : 35 91 36 04/33 82 - Voie principale
à côté de la Gde Mosquée.
ABOISSO
Phcie du Sanwi - M. Aka Bilé Joseph -
Tél. : 21 30 43 82
AGBOVILLE
Phcie Sini-Keneya - M. Alloué Simon
Pierre - Tél. 23 54 74 00
AGNIBILEKROU
Phcie Mai - M. Kouassi Eugène - Tél. :
35 91 00 30
BONDOUKOU
Phcie Nouvelle - M. Agoh Kouassi
Roland - Tél. : 35 91 52 61
BOUAFLE
Phcie St Augustin - M. Loukou Judith -
Tél. : 30 68 91 83 - Quartier Commerce.
BOUAKE
1. Phcie Ayatha - M. Coulibaly Mamadou
- Tél. : 05 08 66 34 - Air France III - Route
de Sopim boulangerie de la Paix.
2. Phcie Des Champs - Succession M.
Konan Konan - Tél. : 31 63 42 70 - Route
de Gonfreville face Sodeci ;
3. Phcie Moderne - M. Coulibaly
Dinignako - Tél. : 31 63 19 93 -
Commerce face Bhci - A côté du
Savannah.
4. Phcie Nouvelle Sokoura - Mme Kacou
Marie Claude - Tél. : 31 63 10 81 -
Quartier Sokoura.
5. Phcie Ste Marie N'Gattakro - M.
Silué Lanzeny - Tél. : 31 63 16 17 -
N'Gattakro, route du stade près Stif
ancienne gare.
DABOU
Phcie du Marché - M. Touré Babacar -
Tél. : 23 57 45 03
DALOA
1. Phcie des Antilopes -Bamba Inza - Tél.
: 32 78 80 48
2. Phcie Lobia - Djévié Kouamé - Tél. :
08 16 68 79 / 32 76 78 33
3. Phcie du Progrès - M. Ahouman Tedjé
Joseph - Tél. : 32 78 22 53
DIVO
Phcie Sainte Marie - M. Séri Guy
Gadhout - Tél. : 32 76 09 32
Phcie Espérance - M. N'Cho Séka
Théodore - Tél : 32 76 31 04
Phcie Sainte Véronique - Mme Dibril
Gottah Béatrice - Tél. : 32 76 05 05
DUEKOUE
Phcie de Duékoué - M. Coulibaly
Mamourou - Tél. : 33 70 34 12
GAGNOA
1. Phcie du Marché - M. Oria Adou - Tél.
: 32 77 22 62
2. Phcie Ahouane - M. Kosso - Tél. : 32
77 82 35
GRAND-BASSAM
Phcie du Littoral - M. Koné Lanciné -
Tél. 21 30 10 64
GUIGLO
Phcie Nikla - M. Doué Noumandiez
Désiré - Tél. : 33 70 53 80
ISSIA
Phcie de l'Espoir - M. Téhi Kouhon -
Tél. : 32 77 01 76
OUME
Phcie Centrale - M. Richmond Pierre
Marie - Tél. : 30 68 41 78
SAN PEDRO
1. Phcie Madou - Mme Dobré Kéké- Tél.
: 34 71 15 51
2. Phcie Divine Providence - M.
Abadjina Augustin - Tél. : 34 71 47 09
3. Phcie Les Béatitudes - M. Konin
Bouaffon. - Tél. : 34 71 15 02
SINFRA
Phcie de Sinfra - M. Dallo Guillaume -
Tél. : 30 68 03 38
SOUBRE
Phcie Ste Rita - Mme N'Goran Monique
- Tél : 34 72 58 18 /58 17
TIASSALE
Phcie Ste Marie - M. Bella Didier - Tél. :
01 31 31 72
YAMOUSSOUKRO
1- Phcie de Yakro - Mme Agbassi Marie
Antoinette - Tél. : 30 64 04 12
2- Phcie des Lacs - M. Cowpply-Bony -
Tél. : 30 64 03 11
3- Phcie Sanitas - M. Kouamé Bruno -
Tél. : 30 64 08 88
4 - Phcie des 220 Lgts - M. Kouassi Emil
- Tél. 30 64 22 05