N° 356, mars 2010 - CNDP

Intégration
l’évolution des approches et des textes réglementaires,
les acteurs et les principaux dispositifs.
Ce document conçu comme un outil synthétique
s’adresse à toutes les personnes désireuses de disposer
d’éléments pour comprendre et/ou parfaire
leur connaissance de cette politique publique, de
son contexte d’émergence au début des années
1980 à ses enjeux actuels.
Observatoire régional de l’Intégration et de la
Ville - 1, rue de la Course - 67000 Strasbourg
- Tél. 03 88 14 35 89 - Télécopie 03 88 21 98 31
- Mél. oriv.alsace@wanadoo.fr - Internet www.
oriv-alsace.org
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Politique de la ville et développement
durable. Prêts Partez !
Les cahiers du DSU, aut-hiv. 2009, n° 51 ;
p. 4-47. Bibliogr. 13,00 euros.
À visée prospective, ce numéro traite de la prise
en compte du développement durable dans les
territoires engagés en politique de la ville, et du
croisement nécessaire entre les deux démarches.
Après avoir introduit les concepts et la problématique,
la première partie pose la question des enjeux
pour les habitants. La seconde et la troisième partie
interrogent respectivement les enjeux pour les
territoires et pour les professionnels.
Centre de Ressources et d’échanges pour le Développement
Social et Urbain - 4, rue de Narvik - BP
8054 - 69351 Lyon Cedex 08 - Tél. 04 78 77 01 43
- Télécopie 04 78 77 51 59 - Mél. crdsu@crdsu.
org - Internet http://www.crdsu.org/
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Les Quartiers de la politique de la ville
dans les communes de 10 000 habitants
ou plus en Languedoc-Roussillon
Repères Synthèse pour l’économie du Languedoc-Roussillon,
déc. 2009, n° 8 ; p. 1-4.
Accès internet
En Languedoc-Roussillon, au 1 er janvier 2006,
240 500 personnes vivent dans une zone urbaine
sensible (ZUS) ou dans un nouveau quartier prioritaire
(NQP). Dans certaines communes, plus de
la moitié de la population municipale vit dans un
de ces quartiers prioritaires concernés par la politique
de la ville. La situation sociodémographique
des ZUS est plus fragile que celle des nouveaux
quartiers prioritaires. La part de la population à
bas revenus et celle des bénéficiaires de minima
sociaux y sont plus élevées. Dans les nouveaux
quartiers prioritaires, les familles monoparentales
et les allocataires de moins de 25 ans sont relativement
plus nombreux.
INSEE Languedoc-Roussillon - 274, allée
Henri II de Montmorency - 34064 Montpellier
cedex 2 - Tél. 04 67 15 70 00 - Télécopie
04 67 15 71 71 - Mél. insee-contact@insee.fr
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Les Quartiers politique de la ville en
Haute-Normandie : une très grande
diversité de situations Valentin Guillon.
Aval - Lettre statistique et économique de
Haute-Normandie, fév. 2010, n° 92 ; p. 1-8.
Accès internet
Les 89 quartiers dits « Contrats urbains de cohésion
sociale (Cucs) » de Haute-Normandie concernent
14 % de la population régionale. La typologie
réalisée ici met en évidence cinq grands groupes
de quartiers homogènes. Les indicateurs de pauvreté
sont les plus discriminants. La région est
assez représentative des quartiers Cucs en France.
Ces quartiers sont présents dans les petites communes
comme dans les grandes agglomérations.
Cependant les groupes de faible pauvreté se retrouvent
plus souvent en centre-ville et sont composés
presque exclusivement de « Nouveaux quartiers
prioritaires (NQP) ». Au contraire, le groupe de
pauvreté extrême regroupe principalement des
« Zones urbaines sensibles (ZUS) ».
INSEE Haute-Normandie - 8, quai de la Bourse -
76037 Rouen cedex 01 - Tél. 02 35 52 49 28 - Télécopie
02 35 52 49 53 - Internet http://www.insee.
fr/fr/regions/haute-normandie/default.asp
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Rénovation urbaine : quels effets sur
la mixité sociale, l’éducation et l’action
sociale
Évry : Centre de ressources Politique de la
ville en Essonne, 2009. 32 p. Accès internet
Actes de la journée d’actualité et de réflexion
organisée le 11 décembre 2008 par le Centre
de Ressources Politique de la Ville en Essonne.
Les acteurs de terrain, travaillant quotidiennement
dans les quartiers d’habitat social, avaient
été invités à échanger autour de 3 tables rondes
: Peuplement et trajectoires résidentielles ;
L’éducation et l’école au coeur des projets ; Les
effets sur l’intervention et l’accompagnement
social.
Centre de ressources Politique de la ville en
Essonne - Maison de Banlieue et de l’Architecture,
Boulevard de France - 91000 Évry - Tél.
01 64 97 00 32 - Télécopie 01 64 97 00 33 - Internet
http://www.crpve91.fr/
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Emploi, économie sociale
Genre, filières migratoires et marché
du travail : acteurs et institutions de la
société civile en Europe au x x e siècle
Manuela Martini, Philippe Rygiel.
Migrations Société, janv-fév. 2010, vol. 22,
n° 127 ; p. 47-161. 13,00 euros.
Au sommaire de ce dossier : – Des formes de
médiation sexuellement orientées Lieux, institutions
et acteurs du placement des travailleuses
migrantes à l’époque contemporaine / Manuela
Martini, Philippe Rygiel
– Immigrer à Marseille et y travailler : parcours
féminins dans l’entre-deux-guerres / Linda
Guerry
– Les domestiques luxembourgeoises à Paris
du milieu du x i x e siècle au début du x x e siècle /
Christine Muller
– Entre discipline manufacturière, contrôle sexué
et protection des femmes. Recrutement, encadrement
et protection des jeunes migrantes italiennes
vers les usines textiles européennes (France,
Suisse, Allemagne) au début du x x e siècle /
Caroline Douki
– Marguerites à la maison : les domestiques hongroises
en Belgique et leurs organisations, 1930-
1949 / Vera Hajtó
– Piémontaises et Siciliennes à Marseille depuis
1945 : mobilité, réseaux et rapports de genre /
Francesca Sirna
Centre d’Informations et d’Études sur les
Migrations Internationales - 46, rue de
Montreuil - 75011 Paris - Tél. 01 43 72 49 34
- Télécopie 01 43 72 06 42 - Mél. migrationsociete@wanadoo.fr
- Internet www.ciemi.org
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L’Insertion professionnelle des immigrés
en 2008 Yves Breem.
Infos migrations, fév. 2010, n° 14 ; p. 1-4.
Accès internet
En 2008, 2,15 millions d’immigrés avaient un travail
en France, 1,4 million venant des pays tiers
et 750 000 des pays de l’EEE et de la Suisse. Les
immigrés contribuaient ainsi à 8,4 % de l’emploi,
contre 7,4 % en 2005. Cette évolution s’explique
par une augmentation rapide de la population
active en provenance des pays tiers (+ 16,7 % en
trois ans, contre + 3,7 % chez les immigrés de
l’EEE et moins de 1 % pour la population active
non immigrée) et par une baisse assez sensible du
taux de chômage (– 3,5 points pour la population
immigrée contre – 1,4 point pour la population non
immigrée). Pour les seuls immigrés des pays tiers,
le taux de chômage a baissé de près de 5 points en
trois ans, plus particulièrement celui des femmes
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