Vanessa - Herblay

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Première création lyrique inédite en Ile-de-France - Vanessa - Théâtre Roger Barat d’Herblay - 2012 Hélène Delavault : La baronne, alto Poursuivant des études de piano et une licence de Lettres Modernes, Hélène Delavault commence le travail du chant au Conservatoire de Rennes, puis au CNSM de Paris où elle obtient un Premier Prix en 1977. Suivent une année à l'Ecole d'Art Lyrique et deux ans à la Julliard School de New York. En 1981, elle est Carmen dans le spectacle de Peter Brook, qu'elle chante ensuite à New York en 1983, puis en Allemagne, en Italie, en Espagne, au Japon et au Canada. Elle obtient pour ce rôle une nomination aux “Ace Awards” dans la catégorie de la meilleure actrice dans un spectacle musical. Par la suite, elle chante dans : La Périchole, au Théâtre des Champs-Elysées, La Chauve-souris, au théâtre du Châtelet, dans le rôle d'Orlovsky, Didon de Purcell, avec le Scottish Opéra, à Londres, La Vie Parisienne, avec l’Opéra de Lyon, dans le rôle de Métella, La Nourrice de Boris Godounov, à l’Opéra-Garnier, et Le Couronnement de Popée, sous la direction de Marc Minkovski, dans le rôle de Nutrice. En 2006, elle interprète Vénus dans le Signé Vénus, de Kurt Weill et Ogden Nash, dans une mise en scène de Jean Lacornerie, pour le Théâtre de Suresnes Jean Vilar. En 2007, elle participe à Yvette et Sigmund ou les gants noirs de la psychanalyse, qui est une pièce de et avec Hélène Delavault et Jean-Pierre Drouet. En récital, elle a chanté avec Christian Ivaldi, Alain Planès, Jorg Demus, Stephen Kovacevich. Elle a été la créatrice de nombreux ouvrages contemporains, en partenariat avec Georges Aperghis, René Koering, Philippe Hersant, Maurice Ohana, Betsy Jolas, Yves Prin et Pascal Dusapin. Depuis 1983, elle imagine des récitals-spectacles à la frontière du classique et du cabaret comme : Le Tango stupéfiant, La Républicaine, L'Absinthe, Le Mot et la chose ou Liturgies. Elle participe régulièrement comme écrivain aux émissions de France Culture “Des papous dans la tête et Les décraqués”. Jacques Bona : Le docteur, baryton Jacques Bona a abordé de nombreux genres musicaux, comme le chant grégorien, l’oratorio classique, les récitals de Lieder, les créations contemporaines et toutes formes de musiques écrites pour la scène lyrique ou adaptées. Curieux, il s’est souvent orienté vers le théâtre musical ou l'opéra actuel. Mais il a interprété aussi la musique des XVII e et XVIII e siècles sous la direction de Jean Claude Malgoire, Michel Corboz, William Christie ou Hervé Niquet dans de grandes réalisations “baroques” : Tancrède de Campra, Le Retour d'Ulysse de Monteverdi, Atys de Lully, Jephté de Montéclair, Les Indes Galantes de Rameau, Médée de Charpentier, Le Triomphe d'Iris de Clérambault, La Servante Maîtresse de Pergolese… Il a chanté ces dernières années dans les productions lyriques de l'Atelier Péniche Opéra, comme Ubu de Vincent Bouchot, de l'ARCAL, compagnie lyrique, avec La Confession Impudique, de Bernard Cavanna, Le Pauvre Matelot de Darius Milhaud, l’Ormindo de Cavalli, de l’Atelier Lyrique de Villeurbanne, Cie Annie Tasset, avec Aux sources du fleuve de Gérard Garcin, de l’ensemble orchestral Ostinato, avec Krapp de Marcel Mihalovici. Plus récemment, il collabore avec la Compagnie Rebotier- Voque, avec Les trois jours de la queue du dragon, de Jacques Rebotier, et avec la Maison de la Culture de Bourges, avec Cosi fan tutte, de Mozart. Basse soliste de nombreux oratorios, les plus récents sont Requiem allemand de Brahms au Festival de Comminges, Cantates de Bach au Festival Bach en Combrailles, Cantates de Rome au Musées d’Orsay, Requiem de Fauré, Rêveries de Philippe Hersant, il a participé aussi à des enregistrements des Solistes de Lyon, sous la direction de Bernard Tétu, de l’ensemble Gilles Binchois, sous la direction de Dominique Vellard et de l’ensemble Entheos, sous la direction de Benoît Damant. En qualité de professeur, il a enseigné le chant au Conservatoire National de Région de Caen, au CNR de Paris, au Département de Musique Ancienne et au Conservatoire Hector Berlioz du X e arrondissement de Paris. - 17 -
Première création lyrique inédite en Ile-de-France - Vanessa - Théâtre Roger Barat d’Herblay - 2012 Aurélien Pernay : Nicholas, basse Tout en achevant un doctorat en sciences économiques, Aurélien Pernay a commencé l’étude du chant au Conservatoire de Dijon, avec Odile Pietti et Inge Dreisig. Il poursuit sa formation avec Xavier le Maréchal, au Conservatoire du VI e arrondissement de Paris et obtient en 2008 le Prix de Chant à l’unanimité du jury. Il se perfectionne actuellement auprès de Jean-Philippe Courtis, Gabriel Bacquier, Valérie Millot et Sophie Hervé. Il reçoit, en 2008, le Prix Marshall au Concours d’Excellence de l’Union Professionnelle des Maîtres du Chant Français, et en 2009 le 2 e Prix au Concours International de chant Honneur de l’Union Française des Artistes Musiciens. Il aborde les rôles de Figaro pour Les noces de Figaro et du Baron de Gondremarck pour La Vie parisienne d’Offenbach, dans des mises en scène de Robert Dumé. Il chante également Guglielmo, dans Così fan tutte, à Berlin, dans une mise en scène de Jeannette Aster, ainsi que le rôle-titre de Don Giovanni et le Comte Almaviva, une nouvelle fois dans Les noces de Figaro. Dans le cadre de l’édition 2008 du festival des “Opéras en Plein Air”, il interprète les rôles de Luther et Crespel dans Les Contes d’Hoffmann d’Offenbach, dans une mise en scène de Julie Depardieu et Stéphan Druet, et sous la direction musicale de Philippe Hui. Il retrouve en 2010 les Opéras en Plein Air, pour le rôle de Moralès dans Carmen. Il interprète également le rôle d'Agamemnon dans La Belle Hélène, au théâtre de Ménilmontant à Paris. Il a chanté le rôle du Comte Ceprano dans la création de Rigoletto de Verdi en mai 2011, au Théâtre Roger Barat d'Herblay. Dans le domaine de l’oratorio, il interprète notamment des œuvres de Bach, comme Passion selon Saint-Jean ou Cantate BWV 106 Ich habe genug de Mozart, Michael Haydn ou encore Berlioz avec L’Enfance du Christ. Enfin, il donne régulièrement des récitals de mélodies et de Lieder, en compagnie du pianiste Frédéric Calendreau. Yvan Serouge : Le servant, comédien Yvan Serouge naît en Suisse en 1972 et se produit pour la première fois sur les planches du théâtre de Carouge à l’âge de 6 ans. Il se sensibilise alors au solfège et au piano, de même qu’à la danse, tout en participant à divers ateliers d’art dramatique. Après des études de littérature à la Sorbonne, il passe par le Conservatoire dramatique de Nantes de 1992 à 1994, la formation professionnelle de mimodrame L'Œil du Silence dirigée par Anne Sicco, en 1998, et conclut sa formation à l’Institut National d’Expression de Création d’Art et de Transformation, auprès de Jean-Pierre Klein en 2000 et 2001. A partir de 1995, il collabore à de nombreux spectacles en tant que comédien. Il fait en outre quelques apparitions au cinéma ou à la télévision, prête sa voix pour des documentaires, participe régulièrement à des créations lyriques et écrit des textes de différentes natures. Il a chanté récemment des extraits du rôle de Wotan, dans un spectacle mêlant des extraits de Der Ring des Nibelungen de Wagner et des textes de Nietzsche, à l'Opéra de Reims. Il retrouvera prochainement cette scène pour le rôle de Sid, dans Albert Herring de Britten. - 18 -
Page 3 and 4: Première création lyrique inédit
Page 5 and 6: Première création scénique Paris
Page 17: Première création lyrique inédit
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