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DÉLIBÉRATIONS<br />
LEGS<br />
ACCEPTATION D'UNE CESSION PAR-<br />
TIELLE DE M. RAYMOND MOULIN DU<br />
LEGS DE SON ÉPOUSE<br />
Le maire expose que : «au décès de<br />
Mme Yvonne Étienne-Moulin, la<br />
Commune a bénéficié du legs de son<br />
patrimoine avec<br />
réserve d'usufruit au<br />
bénéfice de M.<br />
Moulin, son époux.<br />
M. Raymond Moulin<br />
est animé d'un<br />
souci de porter<br />
avantage à la commune<br />
de <strong>Fontvieille</strong><br />
et à ses habitants. Il<br />
a donc décidé de<br />
céder à titre gratuit<br />
l'usufruit d'une partie<br />
de ce legs,<br />
consistant en trois<br />
parcelles issues de<br />
la parcelle cadastrée<br />
AB n°138, lieu<br />
dit le village. Les<br />
terrains concernés<br />
représentent une<br />
superficie de 61<br />
ares 73 centiares,<br />
subdivisibles en<br />
trois parcelles<br />
constructibles.<br />
Après réalisation<br />
des opérations de<br />
viabilisation et de<br />
raccordements aux<br />
divers réseaux et à<br />
la voirie communale,<br />
éventuellement<br />
encore nécessaires,<br />
ces parcelles<br />
seraient mises en<br />
vente afin que le<br />
produit de ces<br />
ventes permettent<br />
la réalisation de certains<br />
projets communaux.<br />
Le conseil municipal<br />
Communiqué<br />
Le journal de <strong>Fontvieille</strong><br />
a donc validé à l’unanimité l’acceptation de<br />
la cession à titre gratuit, au profit de la<br />
commune de l'usufruit de M. Raymond<br />
Moulin, de la parcelle AB n° 138, subdivisée<br />
en trois parcelles, autorisé le maire à<br />
réaliser toutes les formalités nécessaires à<br />
cette cession, et à engager les travaux de<br />
viabilisation nécessaires à la mise en<br />
vente de ces parcelles pendant l'année<br />
2002.<br />
Pour éviter toute polémique et interprétation abusive, M. Raymond Moulin<br />
tient à ce que soient apportées aujourd'hui les précisions suivantes sur le<br />
legs initial et l'opération présente : "Consécutifs au décès de mon épouse,<br />
les frais de succession ainsi que ceux des gros travaux d'investissements et<br />
d'entretien des bâtiments et du parc ont été de très lourdes opérations financières.<br />
A cet effet, j'ai été dans l'obligation au cours de ces trois dernières années<br />
de vendre deux villas à Maussane, au n°2 de la Vallée des Baux et au n°6 avenue<br />
Frédéric Mistral. Concernant les terrains, objet de la demande, situés au sud<br />
de la propriété sise au n° 26 cours Hyacinthe Bellon, ils comportent trois parcelles<br />
viabilisées de plus de 2.000 m2 chacune, en zone constructible. Sans cautionner<br />
aucune gestion, mais afin que la commune dispose rapidement de fonds<br />
libres pour l'engagement de crédits de réalisations bénéfiques à tout un village, je<br />
vous donne mon accord".<br />
TEMPS DE TRAVAIL<br />
APPLICABILITÉ AUX SERVICES DU RÉGIME<br />
DES 35 HEURES, EN CORRÉLATION AVEC LA<br />
DÉLIBÉRATION DU 21 DÉCEMBRE 2000<br />
Le maire expose, : «par délibération du<br />
21 décembre 2000, la commune a<br />
opté pour un régime de 35 heures de<br />
travail hebdomadaire, à compter du 1 er<br />
octobre 2001, par anticipation à la réglementation<br />
applicable à la Fonction<br />
Publique Territoriale, qui n'était pas encore<br />
votée par le gouvernement.<br />
Les textes applicables sont à présent<br />
connus, il s'agit de :<br />
La loi 2001-2 du 3 janvier 2001, relative à<br />
la résorption de l'emploi précaire ainsi<br />
qu'au temps de travail dans la Fonction<br />
Publique Territoriale, le décret 2001-623<br />
du 12 juillet 2001, relatif à l'aménagement<br />
et à la réduction du temps de travail dans<br />
la Fonction Publique Territoriale.<br />
Ces textes constituent désormais la norme<br />
d'organisation du temps de travail qui s'impose<br />
aux collectivités territoriales, notamment<br />
en ce qui concerne un temps de travail<br />
annuel effectif de 1.600 heures, qui est<br />
devenu la norme plafond au-delà de<br />
laquelle seront décomptées les heures<br />
supplémentaires, mais aussi la norme<br />
plancher en-dessous de laquelle le temps<br />
de travail communal ne peut pas se situer,<br />
par principe de parité avec la Fonction<br />
Publique d'État.<br />
La coïncidence entre 35 heures hebdomadaires<br />
et 1600 heures de travail effectif<br />
annuel n'est exacte que pour autant que<br />
les congés annuels soient de 25 jours (soit<br />
les 5 semaines du secteur privé, pour<br />
lequel la loi a été initialement prévue).<br />
Appliqués au cas de <strong>Fontvieille</strong>, les textes<br />
impliqueraient donc une moyenne hebdomadaire<br />
de 36 heures pour atteindre l'objectif<br />
des 1.600 heures, le déficit horaire<br />
par agent étant de 46 heures annuelles.<br />
En parallèle, il est nécessaire de travailler<br />
sur la notion d'annualisation de temps de<br />
travail qui n'a pas été mise en œuvre dans<br />
la précédente organisation des services,<br />
de manière à tendre vers un meilleur service<br />
à la population et la prise en compte de<br />
la dimension touristique dans l'activité des<br />
services. La loi nous permet, d'autre part,<br />
par une décision avant le 31 décembre<br />
2001, de valider la précédente situation,<br />
et, donc, de maintenir la durée hebdomadaire<br />
à 35 heures».<br />
Le conseil municipal s’est prononcé à<br />
l’unanimité pour le maintien de la situation<br />
votée en décembre 2000 des 35 heures<br />
hebdomadaires, avec néanmoins prise en<br />
compte de la notion d'annualisation du<br />
temps de travail.<br />
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