Dimanche 17 février 2 013 - Salle Pleyel
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dimanche <strong>17</strong> <strong>février</strong><br />
Acte III<br />
Premier tableau. Une tente indienne.<br />
Zurga compare son esprit tourmenté à l’orage qui s’est apaisé (« L’orage s’est calmé »).<br />
Il déplore la fin de son amitié avec Nadir (« Ô Nadir, tendre ami de mon cœur »). Léïla<br />
lui réclame la grâce de Nadir, mais Zurga, jaloux de leur amour, s’y refuse. En guise de<br />
dernière volonté, elle lui demande enfin que le collier qu’elle porte soit transmis à sa mère.<br />
Deuxième tableau. Un site sauvage.<br />
Le bûcher funéraire est prêt, des danses et des chœurs sauvages annoncent l’exécution<br />
de Léïla et Nadir (« Dès que le soleil »). Ceux-ci arrivent, amenés par Nourabad. Alors que<br />
les amoureux s’apprêtent à mourir, une lueur apparaît au loin. Zurga fait irruption, hurlant<br />
que le camp a pris feu par la volonté divine. Le peuple part combattre les flammes. Zurga<br />
l’avoue à Léïla et Nadir : il a lui-même incendié le camp, pour faire diversion et les libérer.<br />
Il révèle à la jeune femme que le collier qu’elle portait lui a appartenu : il est en effet le<br />
fugitif que Léïla a jadis sauvé d’une mort certaine (trio « Ô lumière sainte »). Nadir et Léïla<br />
peuvent échapper au peuple et s’enfuir.<br />
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