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30 avril - 18 juillet 2010 couvent des jacobins - Les Ateliers de Rennes

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<strong>Les</strong> <strong>Ateliers</strong> <strong>de</strong> <strong>Rennes</strong> - Ce qui vient - Du <strong>30</strong> Avril au <strong>18</strong> Juillet <strong>2010</strong>Au <strong>couvent</strong> <strong><strong>de</strong>s</strong> <strong>jacobins</strong>Mati DiopAu <strong>couvent</strong> <strong><strong>de</strong>s</strong> <strong>jacobins</strong>Reynald DrouhinMati Diop, « Atlantiques » (2009). France, Sénégal. 15’ /couleur / vidéo / VOSTF. Production : Le Fresnoy – Studionational <strong><strong>de</strong>s</strong> arts contemporains / Anna San<strong>de</strong>rs Films.Née en 1982 à Paris. Vit et travaille à Paris.Jeune réalisatrice, Mati Diop a intégré le Pavillon,laboratoire <strong>de</strong> recherche artistique du Palais <strong>de</strong>Tokyo en 2006, puis le Studio national <strong><strong>de</strong>s</strong> artscontemporains du Fresnoy en 2007. Elle réalise<strong><strong>de</strong>s</strong> courts métrages <strong>de</strong>puis 2004 et collaboreà <strong><strong>de</strong>s</strong> projets vidéos et sonores pour le théâtre.Pour Ce qui vient, elle présente Atlantiques(2009) au Couvent <strong><strong>de</strong>s</strong> Jacobins, film contantl’odyssée clan<strong><strong>de</strong>s</strong>tine échouée d’un Dakaroisd’une vingtaine d’années vers l’Europe. Suivantle quotidien précaire du jeune homme, Atlantiquesdélivre un récit loin <strong><strong>de</strong>s</strong> clichés sur l’immigrationclan<strong><strong>de</strong>s</strong>tine, et dénué <strong>de</strong> toute tentation <strong>de</strong>voyeurisme. Un documentaire qui abor<strong>de</strong> avecjustesse la pensée d’un avenir incertain et lefantasme d’une meilleure condition dans les paysdéveloppés.Œuvre en prêtReynald Drouhin, « Cité » (2008). Bois brûlé et socle enPlexiglas. 79 x 79 x 158 cm. Courtesy <strong>de</strong> l’artiste.Né en 1969 à Paris. Vit et travaille à Paris.Reynald Drouhin expérimente et développe <strong>de</strong>puisplusieurs années une œuvre dans le domaine <strong><strong>de</strong>s</strong>technologies numériques, <strong>de</strong> la photographie, <strong>de</strong>l’installation et <strong>de</strong> la sérigraphie. Une partie <strong><strong>de</strong>s</strong>on travail est visible sur le site Inci<strong>de</strong>nt.net dontil est membre <strong>de</strong>puis 1996. Cette plateforme <strong>de</strong>création plastique – qui n’est pas exclusivementnumérique – est un lieu d’échange et <strong>de</strong> rencontre<strong><strong>de</strong>s</strong> pratiques, où conversent et s’alimentent <strong><strong>de</strong>s</strong>esthétiques et <strong><strong>de</strong>s</strong> créations. Pour Ce qui vient,Reynald Drouhin expose Cité au Couvent <strong><strong>de</strong>s</strong>Jacobins, une sculpture en bois brûlé représentantune ville déshumanisée. Sorte d’interface virtuelle,l’œuvre s’inscrit dans une pensée globale <strong>de</strong>construction d’une ville, et par extension d’unecité idéale, en jouant <strong>de</strong> l’ambivalence entrel’utopie et son contraire, la dystopie.Œuvre en prêt20

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