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Pour l'enseignement professionnel public - snuep

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RELATIVES AU PROJETLYCEE PROFESSIONNELse de renforcern exerçant unif au niveau des. S'il y avait unne pourrait plussections dans "vement le débation. Il est révolnpeut aboutir àune faible partieéférentiel, faute'enseignement.atisfaire d'unees relatives aut la porte auxla relance dus préparant à cerofessionnelle.u en terme dex profils de cerdesSGEPA. Deà ces seuls élèfois,le ministèeFormation enappelle que cescomplémentariéeen Lycéevec insistanceau de l'efficacinsque les misedes équipesses. La mise enlations avec lesdevrait être uns, la mode estcette innovations ", ne serait-ilent, à ceux quipour évaluer samoyens qu'eltilisésà renfortaux,générauxctivités transdissséeaux enseidel'IGEN pourle s'appuyer surr les Rectorats.Le SNUEP rappelle que ces bilans ne correspondentpas à la réalité des établissements. Il est clair pourtous que l'objectif de ces bilans n'est que de légitimerla réforme en présentant au Ministère une situationplus que favorable. De telles méthodes de travailsont affligeantes.Après avoir cédé à la pression de L'UIMM (Uniondes Industries des Métiers de la Métallurgie), voicique l'on tente de développer des formations en troisans au baccalauréat <strong>professionnel</strong> à partir de la troisième.Encore une fois on oublie le <strong>public</strong> concernéet la finalité du diplôme. En effet ces sections ne s'adresserontpas toujours au <strong>public</strong> actuel de nosBaccalauréats Professionnels. Que proposera t-onalors à ce <strong>public</strong> ?Le SNUEP rappelle son attachement aux BEP. Il permetà de nombreux élèves de se remotiver par lavoie <strong>professionnel</strong>le après des difficultés et des souffrancesrencontrées au sein d'un collège unique.Si l'on peut concevoir un développement de <strong>l'enseignement</strong>de l'ECJS, une généralisation ne pourraêtre envisagée qu'après un véritable bilan. Cetenseignement nécessite des moyens spécifiques etne saurait être mis en place au détriment des autresdisciplines. Nous sommes, bien sûr, favorables à lapromotion de l'éducation à la citoyenneté.Cependant les diverses modalités pourront-ellesêtre mises en place pour l'ensemble du <strong>public</strong> duLycée des métiers ?Comment gérer l'empilement des dispositifs quialourdissent l'emploi du temps des élèves ?En conclusion, si certains objectifs de la circulaire derentrée sont ambitieux et légitimes, ce projet de circulairene fait que reprendre des dispositifs contestésque tente de mettre en place le Ministère pour lesLycées Professionnels et tout particulièrement pourle Lycée des Métiers.Comment, de plus, faire vivre l'heure de vie de classe,la préparation au brevet informatique et Internet,l'aide individualisée… ?Nous risquons donc de constater, à la rentrée 2002,que les moyens affectés aux objectifs principauxsouhaités par les personnels ne sont pas au rendezvousdans les académies et que, par contre, l'onimpose une structure qui est loin de faire l'unanimitédes personnels concernés.Le SNUEP ne peut en aucune façon donner unavis positif à ce projet de circulaire dans sa globalité.René PASINISylvianne DURANTNon à laprécarité :Si l'année scolaire a été marquée par une légère augmentationdu nombre des emplois, imposée par l'actionsyndicale, elle fut marquée surtout par l'insuffisancedes personnels titulaires pour les occuper, conséquencedirecte de la régression des postes mis auxconcours ces dernières années.Le recours aux contractuels et vacataires devient unerègle systématique et l'insuffisance du vivier de diplômésdans certaines disciplines limite les possibilités derecrutement.Le flux de recrutement de personnels précaires estplus important que celui des titularisations. De plus ungrand nombre de possibilités de titularisation ont étéperdues à l'examen <strong>professionnel</strong> par la faute de certainsjurys pour le moins sévères.Le SNUEP demande l'arrêt immédiat du recours àl'emploi précaire et la mise en place de modalitésadaptées pour la titularisation de ces personnels dansdes conditions équitables.Jean Louis ChanvrierParis - Créteil - Versailles:Non au lycée des métiers( jeudi 2 mai 2002)Al'appel des sections académiques Paris, Créteil,Versailles, des syndicats SNFOLC, CGTEduc'Action, SNETAA-EIL, SNUEP-FSU, SUDEducation, 150 personnels se sont retrouvés au ministèrede l'Education Nationale Jeudi 2 Mai pour êtrereçus et déposer les pétitions unitaires dénonçant lamise en place des lycées des métiers.La délégation a déposé une première série de 1500pétitions provenant de 80 établissements. Ces pétitionsdisent NON au lycée des métiers et exigentl'arrêt et l'annulation des labellisations.Une délégation de 5 représentants des organisationssyndicales présentes a été reçue sur le trottoirpar deux représentants du Cabinet de M.Mélenchon,ceux-ci prétextant le déménagement en cours duministère.Les deux représentants du Cabinet ont répondu" Nous transmettrons les pétitions au ministère suivantavec celles déjà reçues … La réforme est assuméepleinement par le ministère Mélenchon …Consigne a été donnée aux Recteurs de poursuivre ladeuxième vague de labellisations ".Des témoignages d' établissements au cours durassemblement ont confirmé toutes les craintes quenous avions déjà exprimées sur la mise en place deslycées des métiers.Les organisations syndicales SNFOLC,CGT Educ'Action, SNETAA-EIL, SNUEP-FSU,SUD Education, appellent à la poursuite et au renforcementde l'action unitaire engagée.Gérard Rumeau13 - SNUEP - N°5 - mai 2002

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