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Moteur ! - La Seyne-sur-Mer

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12/ ACTUALITÉ Précision Le portrait de François Morin paru dans Le Seynois dumois de septembre 2010, a fait réagir Gilles Vincent, maire de Saint-Mandrier, conseiller général et vice-président de TPM, qui relève quelques"inexactitudes" dans les propos de l'interviewé, tout en rappelantla considération qu'il a pour François Morin et affirmant qu'il est« heureux de l'hommage que Le Seynois lui a rendu ». Mais à propos dessentiers du littoral, dont François Morin estime que TPM leur portepeu d'intérêt, Gilles Vincent tient à rappeler que « l'agglomération aconsacré, depuis 6 ans, 4 863 000 euros (études et travaux de 2004 à2010 inclus) pour la réfection du sentier, très touché par les intempéries de2008 et 2009 ». Quant à la promenade Charcot, dont François Morindéplore « le refus du Conseil général de participer à sa remise en état »,Gilles Vincent rappelle qu'elle est « entièrement sous emprise communale». Et d'ajouter que « la commune de <strong>La</strong> <strong>Seyne</strong>, comme toutes lescommunes, perçoit une aide du Conseil général ». Une aide de 3,8 millionsd'euros, précise-t-il. Avant que soit mise en place la procédured'aide aux communes sinistrées de la Dracénie... (NDLR : QUI A FAIT TOM-BER L'AIDE À 800 000 EUROS). Création théâtrale <strong>La</strong> bibliothèque théâtrale Armand Gatti d'Orphéons'est installée dans les anciens locaux de l'école Eugénie Cotton, 38 rueFrançois Villon. Elle est accessible les mercredis, jeudis et vendredis de14h45 à 18h45 et le samedi de 14h à 17h. Au menu, création théâtrale,défense et promotion du livre, de la lecture, de l'écriture, des auteurset des éditeurs de théâtre.Renseignements : 04 94 28 50 30 et www.orpheon-theatre.orgSubventions publiquesSOSassociationsVigilanceCentre social Nelson Mandelale décembre 2010Depuis quelques années,lessubventions des pouvoirspublics se font de plus enplus maigres. Difficile de <strong>sur</strong>vivre àces restrictions budgétaires pour lesdix associations de l'aire seynoise quitravaillent dans le domaine social(éducation,animation,santé et insertion).FrançoisLépine,président del'OMASE,rappelle la situation : «Lesassociations se réunissent une fois parmois pour développer un travail encommun <strong>sur</strong> le terrain. Toutes lesactions dépendent les unes des autreset la disparition d'une association,faute de financement public, provoqueun grave déséquilibre ». HervéNaccache, directeur de l'APEAdéplore “l'action pompier”« dès qu'ily a une difficulté, on nous demanded'aller travailler à cet endroit. Maisun projet éducatif se construit au fildes années ! ». Serge Léger, directeurdu centre social Nelson Mandela,Les associations seynoisesdéplorent le désengagementde l'Etatqui les prive de moyenspour mener à bien leurmission. Elles tirent lasonnette d'alarme.met en évidence de tristes réalités :chômage chez les jeunes deux foissupérieur à la moyenne nationale,fragilité de la population et négationdes réalités sociales de la part despouvoirs publics. A l'Université ducitoyen, le constat est le même :« Heureusement qu'on est là pourcompenser les pouvoirs publics. Il y aune augmentation des SDF jeunes. Ilfaut se pencher <strong>sur</strong> le problème de logementet <strong>sur</strong> la santé.On voit d'ailleursréapparaître la rougeole et la tuberculose». Autre inquiétude, pourChristine de Robertis,présidente del'APEA : « Nous sommes dans unesituation de danger car on tente denous transformer en prestataires deservice ».Pour Rachid Maziane, adjointdélégué à la politique de la Ville et del'Habitat, il est hors de question deconsidérer les associations commedes prestataires de service : «Nouscoopérons au quotidien avec les associationsseynoises et avons sollicité lePréfet et ses services. En effet, pour2011, les engagements de l'Etat dansle Contrat urbain de cohésion sociale(CUCS) vont se réduire. Nous n'acceptonspas cette baisse, alors que lapréfecture est engagée contractuellementdans le CUCS depuis 2007, àhauteur de 820 000 euros.Nous organisonsune table ronde, avec l'ensembledes partenaires financiers,l'Etat etles collectivités TPM,le Département,la Région et les associations seynoises.<strong>La</strong> Région, et nous l'espérons, TPM,feront tout pour maintenir leur engagement,enadéquation avec les besoinspour 2011 ». Et l'élu d'ajouter «nousne sommes pas des “tiroirs caisse”,maisdes acteurs intervenant en appui,auprès des associations ». Chantal Campanachantal.campana@la-seyne.comLes 10 associations présentes :Association maison intergénérationnellede quartier (AMIQ), Associationde prévention et d'aide à l'insertion(APEA), Association vivre en famille(AVEF), Centre social et culturelNelson Mandela, Femmes dans la cité,Foyer Wallon Berthe, Nouvel horizon,MAEFE (Maison associative enfancefamille école), Office mutuel de l'animationsociale et éducative (OMASE),Université du citoyen.JANVIER FÉVRIER 2011 N°21

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