Simple et <strong>de</strong> bon goût. Walidh a monté sa propre société<strong>de</strong>caxis,puisilaorganisésonuafic<strong>de</strong>« chariOts Il. Ilcompte bientôt développer son activit~ <strong>de</strong> livraison av('(<strong>de</strong>s cou1'5iers à vélo ouen roller..... ' .. '1110la communauté indienne <strong>de</strong> lA vit dans la terreur.Ceue ttrreura un nom: les rhugs. Cette antique sodétfsecrète indienne révère Uli, sous sa forme la plus <strong>de</strong>structrice:Bahavani la déesse <strong>de</strong> la mort. Ses a<strong>de</strong>ptesttranglaienr<strong>de</strong>svoyageurs, souvent<strong>de</strong>scaravanes<strong>de</strong>commerçants, au nom <strong>de</strong> leurdiviniré. I1spTIlcédaient<strong>de</strong>lafaçonsuivante:ils sejoignaienrà.lacaravane,parrageaientlavie <strong>de</strong> leurs victimes pendantquelquesjuurs,puis les étranglaient durant une nuit à l'ai<strong>de</strong> d'un garTiltriruel.OncTIlyaitlesmugsdisparus,exterminésparl'arméebritannique pendanrla colonisation <strong>de</strong> l'In<strong>de</strong>. lessurvivants ont réussi à subsism dans l'ombrf,passantles secrets du culte <strong>de</strong> générations en générations ... pourfinalement s'exporter jusqu'à lA Pourquoicfttevil\e?Mystère. Toujours est-il que <strong>de</strong>puis quelques années onretrouve régulièrement <strong>de</strong>s commerçants indiens étrangléspar le garrot rituel. les victimes sont toujours <strong>de</strong>shommes et leur corps est enterré nun loin du lieu ducrime, dans lin sac. les os du dos et <strong>de</strong>s jambes sontbriséspour que le corps puissent tenir dans ce sac. On neconnaît pas le nombre d'a<strong>de</strong>pte <strong>de</strong> Bahavani sur LA nileurs visées. Beaucoup <strong>de</strong> parents <strong>de</strong> victimes <strong>de</strong> sesmeurues soupçonnent <strong>de</strong>s gens <strong>de</strong> leur entourage d'avoircommis le crime, mais chaque fois aucune preuve n'Ol puconfirmer ces allégations. la paranoïa règne chez les commerçantsindiens, où on soupçonne son voisin jalouxd'être un rhug prêt.1 l'étrangler. Récemment <strong>de</strong>s crimesontétpcommis.1 l'ai<strong>de</strong> <strong>de</strong> garrOtS riruels sur <strong>de</strong>s personnesn'appartenantpOlsàlacommunautéindienne etla fréquence <strong>de</strong>s meurtres augmente. Copycarou expansion<strong>de</strong> [a secte ?~J 3.&, la mafia Irlandaise!l Y a <strong>de</strong>ux siècles <strong>de</strong> cela, la misère poussa lesIrlandais à migrer en masse vers le nouveau continentpour y bltir un mon<strong>de</strong> meilleur. Hs débarquaient à NewYorketwuins, peu préparés à aller co[oniserl'Ouestsauvage,restèrentdanslesbas-fondsoùilséraienrparqués,vivant d'expédients. Ces malfrats irlandais s'organisèrentbientôtpourlégirl'activitécrimineUe.Exploiution<strong>de</strong>s nouveaux migrants, mainmise syndicale, rackets,petits trafics, contreban<strong>de</strong> ... \..J. mafia irlandaise étaitnée 1 EUe vit bien jusqu'à la vague migratoire italo-sicilienne... et la Cosa Nosua, qui engloutit la mafla irlandaise(notammentpendant1.aprohibition). Il ne subsistealors <strong>de</strong> ceUHi que quelques ban<strong>de</strong>s, qui agissent sur [epOlt <strong>de</strong> New York et dans les quartiers irlandais. EllesS'l>t.tlJplnl sunDUI <strong>de</strong> cDnlle~lI<strong>de</strong> el <strong>de</strong> CJ~fu J',umes.C'est à cetre occasion qu'eUes nouent <strong>de</strong>s liens avec <strong>de</strong>sactivistes <strong>de</strong> l'IRA, l'armée révolutionnaire irlandaise.Très vire, l'osmose estttUe entre les <strong>de</strong>ux organisationslJ,u'on a du mal à voir où finit l'IRA et où commence lamafia irlandaise. Cerrainsrévo[utionnaires irlandais, désabusés,llchèrentd'ailleursleurcombatinitia[pour<strong>de</strong>venirceque la mafia leur avait appris : <strong>de</strong>s melCenaires et<strong>de</strong>s trafiquants d'armes. Ils profitèrent <strong>de</strong>s liens qu'ilsavaient tissés avec le terrorisme international (MoyenOrient notamment) pour se doter d'une soli<strong>de</strong> dientèle. Âla fm du XXt siè<strong>de</strong>, cem organisation criminelle est partieà l'ouesr, enCalifomie,pourrépondreà<strong>de</strong> nouvellesexigences du marché: le trafic d'armes passait désormaispar [a Russie, via [e Pacifique, tandis que le mercenariatse concentrait sur ['Amérique Centrale et latine (conflits<strong>de</strong> carrels). Deux organisations principales se partagentlest.iches: les leprechauns pour le trafic d'armes et leShamrock's Club pour le mercenariat.lui ..,"",Dans le folklore irlandais, [e leprechaun est un lutinmalicieux et avare, qui cache son rrésor<strong>de</strong> pièces d'or aupied<strong>de</strong>sarcs-en-<strong>de</strong>l. Quel rapport entre ce lutin et le uaficd'armes ? Ben aucun, hormis les pièces d'or (enfin lesbillets verts) que rapporte cette activité criminelle et lesorigines irlandaises <strong>de</strong> ces crafiquants. les Leprechallnsregroupent une cinquantaine <strong>de</strong> membres spécialisésdans chaque éupe du uaficd'armes:• Certains prospectent <strong>de</strong> nouveaux producteurs(fabriques artisanales <strong>de</strong> copies d'armes cé[èbres,comme les vieilles Kalash fabriquées au Pakistan,ou cadres gouvernementaux européens prêts .1écoulerdumatérieldéclasséparleurarmée), <strong>de</strong>sven<strong>de</strong>urs étrangers (récupération d'umes <strong>de</strong>sanciennes républiques soviétiques, surplus <strong>de</strong>troupes régulières africaines ou moyen-orientalesetc.), <strong>de</strong>s voleurs sp ~ cialisés (détournement <strong>de</strong>matériel militaire, cambriobge d'armurerie, voldans les labos <strong>de</strong> conception d'armes nouvelles),ou d'autres trafiquants avec qui faire <strong>de</strong>s échanges<strong>de</strong> marchandises.~D'autress'occupent<strong>de</strong>fairevoyager!esmarchandisesachetées. Ces passeurs sont les pivots logistiques,les vrais hommes d'action du trafic et savents'adapter à toutes les contraintes douanières d'unpays, corrompre les bons fonctionnaires, s'attacherles services d' un bon gui<strong>de</strong> etmnsporteur... Et sedéfendre le cas échéant. Ces hommes sont souvententourés <strong>de</strong> mercenaires appartenant au Shamrock'sClub (voir plus loin).4 les armuriers se chargent <strong>de</strong> vérifier l'éut <strong>de</strong> lamarchandise, <strong>de</strong> [a rester, <strong>de</strong> la réparer si besoin estet d'effacer les moyens d'i<strong>de</strong>ntifier la source ou laprovenance d'une arme." les <strong>de</strong>rniers sont [es ven<strong>de</strong>urs: ils disposent <strong>de</strong>bonnes relations dans les milieuxterroristes, criminelset militaires pour avoir un bon portefeuille <strong>de</strong>cJientèle. Ils savent négocier les urifs, organiser leskJunges .. Bref, d~s bons comm~râ;l/JX quoi.les leprechauns fournissent tour [e mon<strong>de</strong>._ sauf lesmilices protesuntes irlandaises. Si vous avez unearrneiIléga[eà [a main LÀ, il ya <strong>de</strong> fortes chances qu'unleprechaun l'ait amenée jusqu'ici.
,e0 :. -. r r lA otrtCHE DE lA MODE." • :",: • (Jl.tAl 2029)....En relief et: en f!thnikolor •.•Pouritrtict-sharpaujourd'hui, commencez paroublier tOUt Ct que vous croyez savoir <strong>de</strong>s mo<strong>de</strong>s- et <strong>de</strong> LA mo<strong>de</strong>, not.lmm~nt en matière <strong>de</strong> bodyimpro~'tJJIent.Aux oubliettts les ceinwrtS et auues bracelets <strong>de</strong>mortification, passé i lauappe le sqUOrt branding(le comble du chic enla matière consisuntiarborerunegrille dont chaque carré est d'une couleurdifférente), <strong>de</strong> même que le hook entang/ing (censéprovoquer <strong>de</strong>s hallucin.uions et un sentiment <strong>de</strong>décorporation). Finitou[cela : l'ethnikfashion a,une nouvelle fais imposé ses standards au corps <strong>de</strong>l'homme <strong>de</strong> b rue en recyclant une traditionvieiIJecomme l'humanité.Donc, après le tatouage, le piercing- si vulgaire,le branding, la <strong>de</strong>rnière mo<strong>de</strong> corporelle est à lascarification (marquage rimel symbolisantl'apparrenanceàlatribuquepratiquentencorerrèssérieusementcercainspeupleslointains).leprocédé,mixhype <strong>de</strong> piercing et <strong>de</strong> dân-in<strong>de</strong>ep, consisre à percerla peau (partie visible du corps pour un effet/ashion-consciousmaximal, ou ailleurs pour faireune surprise exotique à vorreAngelino ou Angelinad'amour ... ), puis à introduire un objet plus grandou plus large que l'incision: en cicatrisant, la peaul'emprisonne etil reste bien visible. En multipliantles objets, on obtient <strong>de</strong>s motifs du meilleur goût(cfnains artisteS proposent, pour une somme follemais qu'imporu, <strong>de</strong> penser le motif iUnt sa réilisaûon-lefH'o" du chic !). Et en miriantdl'S objets<strong>de</strong> forme, taille, miûère et <strong>de</strong> couleur différentes,1'1 l, 11'11' il!Ii l ' Ilii~_,I)aEnvie <strong>de</strong> hold-up ? D'un coup d'ttat dans une répubUquebananière?Dedéuuireunlalw<strong>de</strong>drogueconcurrentenplein milieu <strong>de</strong> la jungle birmane dans une acrion commandoulua-discrète et nocrume ? Oui? Seulement vaiU,vous manquez <strong>de</strong> spécialistes, d'armement, <strong>de</strong> matérielpour ffiOnter varre coup. Hemeusement le Shamrock'sOubvous ouvre son catalogue, qui vaus pttmet <strong>de</strong> choisir et <strong>de</strong>composer, àlacane, voue perire croupe<strong>de</strong>mercenairl'S,laplupan d'anciens terroristes <strong>de</strong> 1'[RA, formés aux [echniques<strong>de</strong> commando et<strong>de</strong>guérilla,ettouslesgadgecs quivont bien avec.Vous disposez d'une liste <strong>de</strong> plus <strong>de</strong> cent mercenaires,avec leur CV complet: spécialités militaires, armes préférées,langues parlées, expériences passées ... Er même lesrecommandations <strong>de</strong>cenains ex-employeurs qui vous donnentleur avis surun homm e. Bien sûr, certains hommesvalent plus cher que d'autrl'S. On classe d'ailleurs les me!cenaires selon leur palmar~s, avec une échelle allant d'uneà quaueétoill'S.on parvient à obtenir <strong>de</strong>s effeu <strong>de</strong> conuaste toutsimplement crazycrozy!L'opération, si vous vous résolvez à confier votreépi<strong>de</strong>rme si <strong>de</strong>licatà un pro, se fait à grand rmfon<strong>de</strong>nanotechnologie(pas<strong>de</strong>mauvaisjoumeydûàune anl'Sthésiegénérale) ec<strong>de</strong> laser guidé puordinateur.Voue serviteur vous conseille cependant <strong>de</strong><strong>de</strong>man<strong>de</strong>r. dans la foulée, l'implanu.tiond'une biopuce(la <strong>de</strong>mière OSCAR-6B est un petit bijou d'effi.cacité) qui vous avertira avanttouteappari6ond'un évenruel problème infectieux.La forme la plus simple <strong>de</strong> la scarification : l'osdans le nez. ('est furieusement wild, ça fait erhniken diable et ça resre discret dans les be/ore-a/ter.Notez bien que tOUt est possible : bout <strong>de</strong> bois, <strong>de</strong>vene, <strong>de</strong> P-glass, etc. Ajoutez-y un tatouage ocreaucour <strong>de</strong>s ailes du nez et vous serez paré pouraffronter les critiques, toujours catillons, pour [esuois mois à venir (l'e)({racrion <strong>de</strong> l'objec est aussirapi<strong>de</strong> et peu douloureuse que son introduction).Autre grand sucds programmé <strong>de</strong> cet été, les motifsgéométriques en coquillage, bougrement naturerevillal etUèssfo-sond-sun, fatalement. ..À l'opposé, les scarifications <strong>de</strong> certains audacieux,fidèles à un certain esprit gerbage diggeruèsinspirésparcenains <strong>de</strong>s plus beauxcollagl'S dumouvementnéo-expressionnisteallemind, neressemblentà rien. l.es objecs. les matières et les couleurssont apparemmentas50ciés au hisud: lesrésulu.cs sont parfois rout bonnemrntgéniaux, parfois... Ceux-là auront quand même la paix au moinsun an.M.ais gare: la mo<strong>de</strong> corporelle l'St une fille volageet capricieuse ...Edward Il IS Il <strong>de</strong> Paulu$
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