Lire le n°59 - AFP, Résidences retraite

Roue médecine (Michèle).Série sensibiliTé - insTant zen (Nadine Valéry). Photo USA (Audrey). Poésie (Anne Marie Darles).Série la mémoire dans la peau - drapé (Nathalie) . Toile (Mme Conrad). Poésie (Claudette).Patchwork (Mme Scherb). Pas àpas (Mina). Tableau végétal (Michel et Nathalie). Série sensibiliTé - sensualité (Nadine Valéry).Toile (Mme Ferrer). Poterie (Nathalie). Plantes nomades (Margaret).Série la mémoire dans la peau - ligne d'écriture (Nathalie). Série sensibiliTé- instant T (Nadine Valéry). Série la mémoire dans la peau - imprimé (Nathalie).

SommaireLa vie dans nos résidencesP3Première édition du printemps des talentsà la Calanque - La SeigneurieChers lecteurs,EditoP4P5P6P9P10P11P12P13P14P15P16P20P21P23P24La vie du groupeP25Portrait d’un métierP26Les partenaires de l’AFPP28Portrait d’un résidentP29Olympiades spécialesà La PéronnièreLa Bastide des Lavandins fait peau neuveLes Olympiades dans la VienneCréation d’un potager et de jardinièresthérapeutiques à La GénollièreLa double vie de Myriam : animatrice le jourà la résidence Laulade, comédienne la nuitAnimation Tour de Franceà La Presqu’IleUn bel acte de solidarité,La Source « aux sources »La lecture sous toutes ses formespour les résidents de Saint ThibaultSénior - Sport et Santépour le Clos Saint RochAtelier Prévention des Chutes / Equilibreau Clos des ToursCroisière en MéditerranéeInstants magiques aux Auresvécus par une résidente !100 ans de vie à LencloîtreLa thérapie par les chiens visiteursà l’Abbaye« Nouvelle vie » à BlanzacDes cadeaux, toujours des cadeaux…Aide-cuisinièreUne journée avec FabiennePortrait de Benjamin PierrePersonnel et non confidentielP30Charles Roux, une vie au service de lanation… et résident des MorellesNouvelles de la Famille AFPNous connaissons déjà le talent dessalariés à mettre en œuvre leurs compétences,au travers des valeurs del’AFP, tous les jours auprès des résidents.Mais il paraît qu’« en chacun,sommeille un artiste qui s’ignore »…Pour valider cette citation, les établissementsde La Calanque et LaSeigneurie ont permis de réveiller, etsurtout de révéler, certains talents artistiquesencore méconnus.Ainsi des salariés vous présententleurs créations, vous dévoilent leurs travaux et partagent avec vousles sources de leur inspiration... L’AFP magazine, réalisé par et pourles salariés de l’AFP, a choisi pour cette édition de mettre quelquesuns de leurs talents à l’honneur.Nadine VALERYDirectrice La Calanque / La Seigneurie – Marseille (BdR)Vous souhaitez lire l’AFP Magazine avant tout le monde ? Avantmême sa mise en ligne sur notre site internet ? Nous avons une liste dediffusion électronique !Dans une démarche écologique et économique, nous souhaitonslimiter les impressions inutiles de magazines papier et les réserver enpriorité à ceux qui ne disposeraient pas encore d’un ordinateur connectéà internet. Merci de nous envoyer un courriel d’inscription à notreliste « AFP Mag » auprès de adeboissezon@afprovince.comEn couverture :Les œuvres des salariés de La Calanque - La SeigneurieCorrespondants afp MagazineClémentine ThibertLa Presqu’IleNathalie RissoLa Calanque - La SeigneurieNicole Bocquelet Lou Mes de Maï – La Bastide du ChevrierSylvie PardouxLas MélaïesMarie-Claude BeaujonLauladeCharles BrunetLa SourceAngélique JerinteLa PéronnièreDenise TantotLes MorellesFlorence DelageLes AuresSéverine OlivierLes DoucetsVirginie BarbotinLe Clos des ToursNadia OulaldjLa GénollièreChristelle ArnouxL’AbbayeCarole RobieuxLe Clos AdlerAngélique NourryLes Logis du NivernaisLaurence ThaureauLe Pontreau Saint LucienAnnie BourgoinLe Pré Saint JeanCathy LucianiLa Bastide des LavandinsAurélie DavidOurceyreFrançoise DumainLe Clos Saint RochPascal HayeSaint ThibaultKatia DucrosPierre PéricardLucienne Benoit-FilippiSiègeCamille SantoniRessources HumainesafpMagazineLe journal de l'AFP et ses filialesDirecteur de la publication : Nicolas UtzschneiderRédactrices en chef : Alazaïs de Boissezon – Lucienne Benoit-FilippiCréation & Edition : www.Compoceans.comCrédit photo AFP.Laura Pion.NAISSANCESLa famille AFP s’agrandit.- 8 avril 2012 : Enora, fille de LaëtitiaSENGEL, Infirmière aux Morelles ;- 17 avril 2012 : Yoen, fils de CélineGRIMAUD, Aide soignante à l’Abbaye ;- 20 avril 2012 : Norah, fille de Mary-Laure RETCHNOU, Aide soignante auPré St Jean ;- 25 avril 2012 : Maxime, Fils deStéphanie MANDON, Aide soignanteaux Aures ;- 30 avril 2012 : Laura, filled’Alexandra PION, Aide soignante àLas Mélaïes ;- 01 mai 2012 : Elisa, fille de AlexandraGUILBOT, Aide soignante de nuit à laGénollière ;- 11 mai 2012 : Lorenzo, fils deSandrine BRÉMAUD, Employée de serviceau Pré St Jean ;- 18 mai 2012 : Corentin, fils deLauriane BONJEAN, Aide Soignanteau Clos Saint Roch ;- 18 mai 2012 : Lola, fille de AnaïsMARTY, Cuisinière au Clos Saint Roch ;- 29 mai 2012 : Adèle fille deStéphanie BOUCHERY, Aide MédicoPsychologique aux Morelles ;- 15 juin 2012 : Pierre, fils de AliciaPortelette, Aide Médico Psychologiqueà Saint-Thibault ;- 25 Juin 2012 : Lucie, fille de Jérômede LAPPARENT, Directeur de Lou Mesde Maï/Bastide du Chevrier.Elisa Guilbot.Pierre Portelette.Norah Retchnou.- 23 juillet 2012 : Arthur, fils deMathieu LEYMARIE, médecin coordonnateurà La Source.- 31 juillet 2012 : Curtis, fils d’EstherTSINMANG NGUE, aide soignante àLa Presqu’île.N’hésitez pas à donnerdes photos à votre Corcompour égayer cette rubrique !Rubrique rédigée par Camille Santoni, CorCom Ressources Humaines et tous les Corcoms !31Enora Sengel.Adèle Bouchery.Curtis Tsinmang Ngue.Arthur Leymarie.Yoen Grimaud.

La vie dans nos résidencesPremière édition du printemps destalents à La Calanque - La SeigneurieTout le monde est prévenu de longue date, depuis la fin février,aussi bien le personnel, les résidents que les familles.Les affiches appellent à l’action et lemot d’ordre est le suivant : il faut réaliserune œuvre, une création dans le domainede son choix en vue d'une exposition,une démonstration ou un défilé.Talent caché, hobby, passion démontrée,c'est le moment de dévoiler ce quel'on sait faire ou de se lancer un défiartistique.Ainsi, le 26 avril 2012, nous avonspu admirer, goûter, écouter les œuvresde chacun :- végétal : tableau végétal de Michel,le technicien de maintenance etplantes nomades de Margaret, uneinfirmière de la Seigneurie,- culinaire : un « wedding cake » deZahya, auxiliaire de vie et Djamila,cuisinière,- peinture : Nadine Valéry, la directrice,Michèle et Mina, les deux infirmières,Nathalie, l’animatrice, MmeFerrer, Mme Conrad et MmeBourderon, des résidentes,- couture : Mme Scherb et NicoleBourderon, notre partenaire Sherpas,- musique au piano : Marie Eva, quinzeans, la fille de Claudette,employée de la Seigneurie,- chant : Florence, assistante de directionet Aurélien, stagiaire en masterII, avec une interprétation de la chanson« Ben » de Mickaël Jackson,- poésie : Anne-Marie Darles, filled’une résidente, Claudette etAurélien,- poterie : Nathalie,- coiffure : Elisabeth, la coiffeuse del’établissement,- maquillage : Audrey B, auxiliaire de vie,- photographie : Audrey M, aide soignante,- documentaire en diaporama :M. Scherb,- et enfin un lipdub sur la chanson« attention Mesdames et Messieurs »,de Michel Fugain, réalisé parNathalie avec la contribution de toutle personnel !Tout le monde s'est bien amusé et aété émerveillé, aussi bien les créateursque les spectateurs.Même la directrice Nadine Valéry aosé exposer son talent sur les murs de laCalanque.Œuvres anciennes ou fraîchementréalisées, en tout il y avait une bonnetrentaine de réalisations.Bruno Valéry, Président d’Honneurde l’AFP et son épouse, plusieursmembres du siège, des familles etquelques partenaires étaient égalementprésents, ce qui nous a fait très plaisir,d’autant que tout a été apprécié et l'onse demande encore pourquoi on nel'avait pas fait avant.Une chose est sûre, nous avons devéritables artistes à la Calanque !Une bonne journée aussi bien pourles résidents que pour le personnel etles familles.Chant par Florence et Aurélien.Maquillage par Audrey.Vivement la prochaine édition auprintemps 2013, année où Marseille serala capitale européenne de la culture.Article rédigé par Nathalie Risso, CorrCom et animatrice La Calanque/La Seigneurie - Marseille (BdR)3

La vie dans nos résidencesOlympiades spécialesà La PéronnièreLes Olympiades sont toujours un moment unique pour nos résidents, mais cette année, cemoment fut exceptionnel. Petit retour sur ces deux jours particuliers.Les Olympiades, pour tous, ontdébuté le 14 juin ; à La Péronnière, ellesont commencé avant !En effet, les Olympiades, chez nous,ont débuté la veille. Eh oui, cette année,pour cause de travaux, les Olympiadesn’ont pas pu se dérouler chez nous.Alors, nous nous sommes organiséspour partir la veille car les Baux-de-Provence, dans les Bouches-du-Rhône,sont environ à trois heures de la Loire.Par conséquent, le 13 Juin à 14h45,nous embarquions dans les voitures,après avoir attendu le retour de siested'un de nos résidents. Le voyage a étéponctué de chansons d'antan maisaussi de la découverte de paysages peucourants chez nous (champs de lavandenotamment).A 17h50, nous arrivions à la résidenceLou Mes de Maï - La Bastide duChevrier où nous avons été accueillistrès chaleureusement. Nous avonsretrouvé une infirmière Ligérienne expatriée,avec qui nous avons pu échangerquelques mots sur notre Loire natale.Ensuite, le repas fut commenté parnos résidents, en le comparant à ceuxservis dans notre résidence : après avoirparlé de "nouvelles saveurs", noussommes retombés dans nos tics de langagetypiquement gaga avec "c'est desgoûts pas de chez nous" (eh oui, lepatois ne s'accorde pas toujours).La soirée s’est prolongée sur la terrassede la résidence en chantant, récitantdes poèmes et échangeant des histoires.Nous nous sommes perdus dans lesétages pour trouver nos chambres (malgréun plan !). Une fois tout le mondedans sa chambre, c'était dodo pourtous.Le lendemain matin, bien reposés, lesoleil nous a accueillis chaudement etnous étions ravis d’avoir décidé de partirla veille pour en profiter pleinement !Après le petit-déjeuner, tous en voiture! Moins de route cette fois-ci,Le jeu de quilles n'a aucun secret pour Mme Chantelouve.puisque le lieu où se déroulaient lesOlympiades était à peine à dix minutesde la résidence.Après un accueil sympathique, lesOlympiades débutaient officiellementavec l'embrasement de la "flammeolympique" par une Olympe magnifique.La journée avançait et les jeux s'enchaînaient.Tout à coup, stupeur au sein de la"Péronnière-team" ! Un jeu nous étaittotalement inconnu. Après nous enavoir expliqué les règles, nos résidentss'y sont frottés.Après un apéritif typiquement sudiste,la Sangria, le déjeuner préparé avectalent par les cuisiniers des Baux-de-Provence nous a redonné des forces.Alors que le repas se terminait, lesrésultats arrivaient : jackpot pour laPéronnière ! Les pièces ne sont pas tombées,mais les coupes si.Ainsi, nous avons remporté le prixdu meilleur tableau, que nous avonsoffert à la résidence d’accueil. Mais surtout,M. Rolland (notre centenaire) araflé la mise au jeu du billard bourbonnais(le fameux jeu inconnu).Vers 16h30, après une part degâteau, nous reprenions la route, directionla maison.Après autant d'heures de route qu'àl'aller, nos résidents retrouvaient LaPéronnière avec plein de bons souvenirs.Article rédigé par Angélique Jerinte - CorCom de La Péronnière - Grand’Croix (Loire)4

La vie dans nos résidencesLa Bastide des Lavandins fait peau neuveAprès 22 ans d’exploitation, l’établissement s’offre une seconde jeunesseen rénovant une partie de ses locaux.La Bastide des Lavandins a ouvert sesportes en décembre 1989 et la décorationde l’époque a fait son temps. Aussi,afin de moderniser l’établissement, ladirection a décidé d’investir dans destravaux de rénovation.Après quelques mois de réflexionintense, les travaux ont enfin débuté le 14mai dernier et c’est la salle de restaurantprincipale qui a « essuyé les plâtres ».Une équipe de maçons-carreleurs a,dans un premier temps, fait la déposedu linoléum qui recouvrait le sol, puis aprocédé à la pose d’un carrelage en grèscouleur gris souris.Les tons choisis pour les murs denotre futur restaurant et du rez-dechausséesont très actuels et couvrentune gamme alliant gris clair, rose framboiseet blanc.Dans la foulée, les artisans ont commencéles travaux dans le salon demusique et la cage d’escalier dont lesmurs étaient encore recouverts demoquette murale beige.Il est prévu de refaire le rez-dechausséede l’établissement et la caged’escalier mais d’autres projets sont enprévision avec notamment, la créationd’une Unité d’Hébergement Renforcéeau premier étage.Bien sûr, ces travaux entraînent deschangements d’habitudes tant pour nosrésidents que pour les salariés. Tout lemonde a bien conscience que les artisansoccuperont les lieux durant plusieursmois mais le plaisir de se retrouverdans des locaux tout de neuf habillésrend patients même les plus rébarbatifs.Pour finir, un nouveau mobilier viendracompléter la rénovation de l’établissement.Salle de restaurant principale.Ainsi rénovée, La Bastide desLavandins, seul EHPAD privé en paysd’Apt, pourra alors concurrencer lesétablissements publics qui ont déjàachevé leur mise à neuf et dont l’argumentcommercial s’avère redoutablepour des clients de plus en plus exigeantssur la qualité et le confort.Cage d’escalier en cours de travaux.Salon de musique.Article rédigé par Cathy Luciani - CorrCom La Bastide des Lavandins - Apt (Vaucluse)5

La vie dans nos résidencesLes Olympiades dans la VienneLes Olympiades ont été un moment fort pour la résidence ;leur organisation a mobilisé l’ensemble des personnels et… résidents.Ouverture des jeux par Olympe en présence de M. le Maire.L'équipe devant la résidence.Cela a débuté en janvier par la miseen place du comité de pilotage composéde personnels et de résidents.Le choix du thème n’a pas été simple : Une boîte à idées a été mise à dispositiondans le bureau infirmier ; Le dépouillement a été effectué parle comité de pilotage et deux thèmessont sortis du lot : Pirates desCaraïbes et La bande dessinée quiont été soumis aux votes des résidentset du personnel. Le thème de la BD ayant été retenu,il a fallu ensuite choisir sept personnagescélèbres et les attribuer àchaque équipe des résidences de laVienne. Et cela a donné le résultatsuivant, non sans mal :• Astérix et Obélix pour PierrePéricard - Civaux,• Gaston Lagaffe pour le PréSt Jean - Saint-Jean de Sauves,• Lucky Luke pour Saint Thibault- Fleuré,• Mickey pour le Pontreau SaintLucien - Lencloître,• Popeye pour la Génollière -Nieuil l’Espoir,• Les schtroumpfs pour la Tourdu Poêle - Vouillé,• Tintin pour le Clos Adler -Valdivienne.250 personnes étaient prévues pourparticiper à cette journée festive.Comment s’organiser ? La logistique n’apas été simple : nous nous sommescreusés les méninges et nous avonsdécidé où se trouveraient les lieux dupôle restauration, du pôle jeu, du pôleaccueil, du pôle vestiaire.Pour l’occasion, nous souhaitionsque la résidence soit décorée selon lessept thèmes déterminés. C’est en coordinationavec Pascale, notre animatricede choc, que résidents et personnels sesont investis avec brio dans cette tâcheau point que la confection de tous lescostumes a transformé le hall d’accueilen véritable atelier de couture où lesmachines à coudre ont « chauffé ». Quidit camp gaulois retranché dit aussiRomains et malgré l’éternel conflit, unetrêve a permis à ceux-ci de participeraux festivités (Bonusmalus, Rictus,Sciencinfus, Caïus Bonus).Et le 14 juin est arrivé…Ce jour-là, l’EHPAD Pierre Péricardétait enseveli par un village gauloisdénommé Pierrix PERICARDIX ; Falbalaavait remplacé la directrice, la pluie avaitfait place au soleil…Un pot de bienvenue servi par les villageoisgaulois : boissons chaudes, jusde fruits, viennoiseries accueillaient tousles participants. Pendant que les uns serestauraient, les capitaines d’équipesrecevaient les tee-shirts, badges et planningdes jeux. L’investissement dechaque résidence pour la confection descostumes nous a confortés dans le choixde notre thème. Les personnages imaginaires,que nous connaissions figés surdes images, évoluaient devant nous,parlaient, riaient. Nous étions toustransportés…Astérix, Obélix, Panoramix, Bonnemine,Cétautomatix, Ordralphabétix, Numérobiset bien évidemment Idéfix (en vrai et enfaux !), Gaston et Mois’elle Jeanne,Popeye, Olive et Mimosa, Mickey,Minnie et leurs amis, Tintin, Milou, capitaineHaddock, Dupont et Dupond,SchroumpfChef ou ChefSchroumpf,Lucky Luke et son ombre : ils étaientTOUS là ! C’était fantastique.Les discours officiels prononcés,l’ouverture des jeux décrétée par notrejeune Olympe, les couples costumés ontdéfilé sous les yeux attentifs du jury etsous les acclamations de leur équipe.Que de responsabilités pour lesmembres du jury qui ont eu du mal àdéterminer un classement.Les jeux se sont déroulés dans uneambiance conviviale, sans dopage, sansagressivité. Seules des paroles d’encouragementet des félicitations étaient6

Cochons farcis.Couple costuméen Astérix et Obélix.Interview pour France 3 Poitou Charentes.Les schtroumpfs gagnants.émises ; des moments d’efforts mais desmoments forts pour chacun qui donnaitle meilleur de soi-même.Ensuite, Traficatix, apéritif du jour, aapporté du réconfort en attendant quele déjeuner soit servi. Banquet digne desvaleureux Gaulois où « Obélix prendraitbien encore un cochon farci » a été servià l’assiette et préparé par nos chefs cuisinierset « rôtisseurs » !Diverses animations sont venueségayer chaque moment de la journéedont les « Bonobos » qui ont remplacéau pied levé Assurancetourix, indisponiblece jour-là.Après la remise des diverses récompenses,chaque résidence s’en est alléevers de nouvelles aventures… jusqu’àl’année prochaine où le rendez-vous estpris à Vouillé !Cet évènement régional a été couvertpar France 3 Poitou-Charentes pourl’édition des régions. Les résidentsétaient ravis d’être interviewés par unjournaliste professionnel.Beaucoup de temps a été passé pourorganiser cette journée mais les minesréjouies de tous les participants onteffacé la fatigue et les soucis. Prêts àrecommencer ? Pourquoi pas ? Maisdans quelques années seulement…Quant à l’équipe de Pierre Péricard,elle a terminé la journée par un nouveaubanquet (malheureusement sanspotion magique !) où la pression de l’organisations’est dissipée dans la bonnehumeur…P.S. : A noter une récompenseexceptionnelle et improvisée attribuéecette année à Mickaël, notrePsychologue habillé en Tragicomix, qui aassuré pour la descente à skis (nouveaujeu à proposer pour les futuresOlympiades ?) !Article rédigé par Katia Ducros et Christian Melon – CorCom Pierre Péricard - Civaux (Vienne)7

La vie dans nos résidencesLivrets personnaliséspour les résidents de la NièvreLa perte de mémoire des évènements récents entraîne angoisseet ennui chez les personnes âgées. Il a donc fallu trouver une méthodologiepour transcrire les éléments essentiels de la vie des résidents.A la maison des Huis, les salariés ontéchangé sur le handicap qu’est la pertede la mémoire des résidents. En effet,les personnes âgées atteintes detroubles cognitifs ont des difficultés àrelater leur participation aux activitésproposées, par oubli. Il est égalementdouloureux pour eux de ne plus se souvenirde la visite de leur entourage.L’équipe a donc mené une réflexion.Il a été mis en place des livrets personnalisésqui sont de vrais carnets de correspondance.Ils ont pour but de servirde repère temps à la personne âgéemais également d’informer la famille dela participation de leur parent à la viequotidienne de l’établissement.Plusieurs après-midi ont été nécessairesà la mise en œuvre de ces véritables« cahiers de bord ». Ils ont étépersonnalisés par les résidents, selonleurs goûts, avec l’aide de l’équipe, parle biais de coloriage, de collage d’élémentspersonnalisés. Les résidents sontdonc directement impliqués dans l’évolutionde leur cahier : s’ils en ont lacapacité, ils écrivent eux-mêmes cequ’ils ont fait de leur journée.Dans le cas contraire, c’est le personnelqui relate les activités réalisées enleur présence. Tous ces écrits sont agrémentésde photos pour favoriser lessouvenirs. Ainsi résidents et famillespeuvent passer un moment à revoir lesactivités réalisées. Le livret est à la dispositiondans la chambre du résident quipeut ainsi le consulter à tout moment.Le cahier de bord appartient à la personneâgée. Ainsi, lors du décès, il seraremis à la famille qui pourra garder unsouvenir du passage de leur parent ausein de la maison des Huis.Le personnel est satisfait de cette initiative: c’est un très bon support quiaide les personnes en perte de repères.Cela les rassure et c’est également uneactivité ludique de réminiscence.Devant le succès de ces livrets,l’équipe de la maison des Fées va lesmettre en place d’ici la fin de l’année.Article rédigé par Martine Duceau, infirmière référente et Sonia Halard, aide médico-psychologique - Logis du Nivernais8

La vie dans nos résidencesCréation d’un potager et de jardinièresthérapeutiques à La GénollièreAu-delà de nos cinq sens, l'aptitude au bonheur est un sens à éveiller et à cultiver avec amour.Le parc ombragé de la résidence esten soi un élément qui apporte un véritableagrément supplémentaire pour lesrésidents, quel que soit leur état desanté. Le jardin et le jardinage stimulentles sens, les émotions, la mémoire, diminuentle stress, donnent une raison devivre. Pour permettre aux résidents deretrouver certaines sensations, deux jardinièresréalisées par Jean-Pierre et Joëlont été installées devant la résidenceainsi que deux bancs en pierres.L’animatrice et les résidents ont aménagél’espace pour le rendreaccessible à tous et ontprocédé aux plantations detomates cerise et dediverses fleurs.Certains résidents viennentrégulièrement vérifiersi les tomates poussent,enlever les fleurs fanées etarroser. Bichonnés, les plantsde tomates ont donné dejolis fruits qui sont dégustéslors de l’apéritif le dimanchemidi. Cette année, des résidentsont souhaité en plusparticiper à la réalisation d’unpotager. Après avoir bêché leterrain, ils ont planté des tomates, descourgettes, des salades et des poivrons.Le matin, ceux qui le désirent se rendentau jardin qui se trouve derrière la résidenceavec Line. Nous n’utilisons aucuntraitement chimique. Des coquillesd’œufs écrasées font fuir les escargots,le marc de café sert d’engrais.Pour compléter l’investissement desRécolte du 9 août.Plantation dans les jardinières.Préparation du jardin par M. Jasinsij.résidents pour le jardinage, Line a eul’idée de contacter la communauté decommune qui a proposé de mettre ànotre disposition un composteur.Mercredi 18 juillet, une réunion deprésentation sur le compostage a étéréalisée au sein de la résidence avecvidéo projection (pourquoi composter,comment, emplacement, matériel utilisé,conseils…) par un membre de lacommunauté de commune. Les résidentsétaient ravis de cette intervention,certains ont découvert « le compostage »pendant que d’autres ont raconté leurJardin terminéavec composteur.vécu, donné des astuces, émis leur avis.Outre les souvenirs que font ressurgirles gestes d’autrefois, le jardinageest également l’occasion de se sentirresponsable de l’arrosage, par exemple,ou du composteur. Mais ces activitéspermettent aux résidents de se sentirutiles, valorisés.Les tomates cerise du dimanche permettentaux jardiniers de récolter unemoisson de compliments des résidentset de leur famille.Article rédigé par Nadia Oulaldj - CorCom de La Génollière - Nieuil l’Espoir (Vienne)9

La vie dans nos résidencesLa double vie de Myriam : animatrice le jourà la résidence Laulade, comédienne la nuitVoici le portrait de Myriam Soulier,recrutée à la résidence Laulade depuis 2007 en qualité d’animatrice.C’est une jeune maman de deuxpetits garçons qui réside, avec sa petitefamille, à Reterre près d’Evaux-les-Bains,à une vingtaine de kilomètres deBudelière.Avant de postuler à la résidence,Myriam avait déjà travaillé en EHPAD.Dans la structure, son rôle est indispensable,elle anime le quotidien despersonnes âgées. Elle se charge de créerle programme de chaque jour en respectantles envies et les besoins des résidentsafin d’organiser des activités physiques,intellectuelles ou ludiques (parexemple : jeux de société, jeux demémoires, jardinage, cuisine, sortiespique-nique…).La troupe du théâtre.Activitéjardinage.Au fil du temps, elle devient leurconfidente aussi bien pour leurs problèmesde santé que familiaux et petitstracas quotidiens. Elle sert de lien entrele résident et le personnel soignant.Mais depuis quelques années, elle jouedans une troupe théâtrale à Rougnatcréée en 1975 à l’initiative de l’AbéeFreau, prêtre de cette petite commune quicompte environ 500 habitants, située àune trentaine de kilomètres de Budelière.C’est en 1998 que Myriam rejoint legroupe d’une bonne vingtaine decomédiens, tous bénévoles qui aimentse divertir et surtout jouer la comédie.Toutes les pièces sont choisies encommun entre les mois d’octobre etdécembre. Puis, commencent les répétitionspour être fin prêts au mois demars ; là débute la tournée jusqu’à finmai. Les premières années, Myriamavait juste un petit rôle ou quelquesphrases dans les pièces. Mais, au fur àmesure du temps, l’ambiance du groupe,la confiance et surtout le plaisir dejouer la comédie, Myriam a acquis au fildes pièces de l’assurance. Maintenant,elle incarne un personnage tout au longd’une pièce. Voici quelques titres despièces depuis la création : « Quel scandale! », « Une journée de foire », « Ona perdu le Youki », « Ma grand-mère estgivrée »…Lors des spectacles, différentes villessont visitées aussi bien en Creuse quedans l’Allier (le Casino d’Evaux-les-Bainsou celui de Neris-les-Bains, ainsi que despetites communes comme Chambonsur-Voueize,Auzances et bien d’autres).Entrainements Olympiades.Au programme, deux pièces sontprésentées, des comédies avec unemoyenne de dix personnages, sansoublier Patricia la chanteuse de la troupeavec sa voix en or qui envoûte tout lepublic. Et il ne faut pas oublier non plusles décorateurs et les assistants du sonet de la lumière.Myriam dans une pièce de théâtre.Merci à toi Myriam de m’avoir permisde dévoiler ta passion pour les« planches ». Bonne continuation etbravo pour les moments de joie offertsà ton public. Bon courage à toi.Article rédigé par Marie-Claude Beaujon - CorCom de Laulade - Budelière (Creuse)10

La vie dans nos résidencesAnimation Tour de Franceà La Presqu’IleDu 1 er au 22 juillet 2012, les résidents de la Presqu’Ile ont participé à leur manière au Tour de France.Toute l'équipe du ''Tour de la Presqu'île", M. Pascaretti, Mme Gimenez Simone, Mme Gimenez Emilie, Mme Feix, Mme Gabriel,M. Deprez, Mme Pifferi, Mme Minelli, Mme Berthet ainsi que le Directeur M. Levesque.Onze résidents ont été sélectionnéspour le « Tour de la Presqu’île ».Le kinésithérapeute de notre structure,Serge Tournier, nous a aidé à mettreen place cette animation et nous a gracieusementprêté son vélo d’appartement.Le vélo était installé dans un denos salons devant un téléviseur qui diffusaiten direct le Tour de France afin demotiver nos troupes. Durant six séances,nos cyclistes ont redoublé d’effort pourobtenir le maillot jaune. Nous avonsrelevé pour chaque concurrent : la distanceparcourue, la vitesse moyenne etle temps effectué.Après tous ces efforts, le maillotjaune a été attribué au vainqueur du« Tour de la Presqu’île », MonsieurDeprez qui a effectué 11 km à unevitesse de 27 km/h durant 26 minutes.Le maillot vert à Madame GimenezEmilie, le maillot rouge à MadameGabriel et le maillot à pois à MadameGimenez Simone. Les autres participantsont été récompensés d’une bellemédaille.Les résidents ainsi que le personnelont passé un moment agréable et fortanimé. Cela a permis de découvrir deplus près le Tour de France et de seremémorer les courses etles parcours d’antan.M Deprez durant une étape.Article rédigé par Clémentine Thibert – CorCom de La Presqu’Ile – Port-de-Bouc (BdR)11Mme Simone Gimenez, gagnante du maillot à pois.

La vie dans nos résidencesUn bel acte de solidarité,La Source « aux sources »Suzanne Meunier est née en 1931 dans le Maine et Loire. Atteinte de cécité,elle a été scolarisée en braille à l’institut Montéclair d’Angers, pensionnaire dès l’enfancejusqu’à la fin du collège. Elle est titulaire du Certificat d’Etudes Primaires.Mme Meunier entourée des enfants de l'institut des Charmettes.Elle est arrivée aux Charmettes en1950 pour développer ses talents depianiste. Elle a connu Jeanne Schneider,fondatrice de l’institut à la fin du siècleprécédent (1899) qui a su l’initier àl’orgue et aux chants liturgiques assuranttrès tôt les fonctions de Chef desaltos dans la Chorale qui chantait àl’Eglise d’Yzeure, tenant aussi le clavierdes grandes Orgues.Elle rencontre son mari Aimé àMontluçon, également musicien etatteint de cécité, organiste à l’EgliseNotre-Dame. De cette union sont néstrois enfants ; elle est grand-mère troisfois et arrière-grand-mère d’un petitLorian, âgé de deux ans et demi.Elle est accueillie à la Maison deretraite médicalisée « La Source » deSouvigny en 1998. Son mari décèderaen 2005.Le jeudi 5 juillet 2012, elle a offert àl a B i b l i o t h è q u e d e s é l è v e s d e sCharmettes une trentaine d’ouvragesen braille abrégé issus de la collection« Géo » et d’une série scientifique ethistorique intitulée « Et la lumière fût ».Belle cérémonie en présence d’AnneBonnin, directrice de la Source, deM a r t i n e We s o l e c k d i re c t r i c e d e s« C h a r m e t t e s » , d e s c a d r e s d el’Etablissement et de Bernard Lissonde,coordinateur de cette généreuse initiative,ancien cadre de l’Etablissement,Président de l’Association des Membresde l’Ordre des Palmes Académiques del’Allier.Après les discours des responsablesqui ont salué, à cette occasion, tout l’intérêtmajeur d’un travail institutionnelet intergénérationnel et après les remerciementschaleureux de chacun àSuzanne Meunier, très émue d’être ainsihonorée dans son « école d’autrefois »,le verre de l’amitié a permis d’échangersur les souvenirs des anciens élèves etprofesseurs de l’Institution et naturellementpartager les enthousiasmes qu’ilsengendrent.Article rédigé par Charles Brunet - CorCom La Source - Souvigny (Allier)12

La vie dans nos résidencesLa lecture sous toutes ses formespour les résidents de Saint ThibaultOuverture d’une bibliothèque à deux pas de Saint Thibault : quelle aubaine pour les résidents !Depuis l’ouverture de Saint Thibaultà Fleuré en 2010, le microcosmeambiant a bien changé. Quasi désert àl’époque, hormis la poste et l’épicerie,le bourg de Fleuré s’étoffe à vue d’œiljuste à côté de la résidence SaintThibault.En effet, des résidences séniors sonten train d’éclore juste derrière la structurede l’AFP. Un kinésithérapeute aouvert un cabinet juste à côté. Et surtout,depuis juillet dernier, une bibliothèquemunicipale, comblée de beauxouvrages et de livres merveilleux, estsortie de terre… à deux pas de SaintThibault. Quelle aubaine pour les résidents!Profitant de cette ouverture, Pascal,notre animateur, s’est rendu sur placepour présenter Saint Thibault aux responsableset aux bénévoles de cettebibliothèque en les conviant à venirdécouvrir la structure et surtout les résidents.Tous ont, dans un premier temps,fait connaissance autour du verre del’amitié, à l’occasion d’un repas àthème, en l’occurrence sur la Provence.Puis après cette conviviale rencontre,un rendez-vous a été fixé au mardi suivantafin que la bibliothèque n’aitaucun secret pour les résidents.Elise Jay, responsable intercommunalde l’action culturelle, Cathy Durand,responsable de la bibliothèque de Fleuréainsi qu’Andrée Gerland, GenevièveJarrassier et Hélène Popilus, bénévoles,dont certaines déjà habituées à intervenirauprès de structures semblables àSaint Thibault, sont donc venues au seinde la résidence afin de rencontrer unpublic toujours avide de lecture. Preuveen est avec la bonne participation desrésidents à cette réunion d’informationconclue par un goûter pris en commun.« Au sein de cette réunion, nousavons présenté toutes les spécificités denotre bibliothèque, et nous avons été àl’écoute des questions et des envies desrésidents. Cela a été un échange trèsconstructif puisque certains résidentsviennent désormais régulièrement à labibliothèque les jours d’ouverture »,confie Cathy Durand, responsable de labibliothèque. La richesse de la bibliothèqueest très variée : que cela soit entermes d’ouvrages, de genre et mêmede… grosseur de caractères. « En effet,nous avons des livres publiés avec descaractères plus gros afin qu’un maximumde personnes, même quelque peuhandicapées visuellement, puissents’adonner aux joies de la lecture. Nousavons également des CD audio, etbeaucoup de livres incitant aux voyages.Et comme nous avons bien entendu lessouhaits de lecture des résidents, nousavons commandé des livres spécifiquementpour Saint Thibault », préciseCathy Durand.Depuis l’ouverture de la bibliothèque,bon nombre de résidents ontpris l’habitude d’y aller, même seuls.Lucienne Grillet, présente à SaintThibault depuis près d’un an, y va à raisonde deux fois par mois. « J’ai toujoursaimé lire. Dans cette bibliothèque,j’ai de quoi trouver de bons ouvrages,notamment ceux qui traitent de l’histoirelocale et rurale. »Un illustrésur le jardinage choisi avec attention par Odette Mallet, résidente,et la conseillère bibliothèque.Chaque résident peut y aller et reçoitune carte gratuite valable tant qu’ilshabitent la commune.Après ce premier contact bien réussi,la deuxième phase de l’action des bénévolesde la bibliothèque devrait s’intensifierrapidement avec entre autres, desséances de lecture, individuelle ou collectiveau sein de l’établissement. Desactions communes avec l’école, labibliothèque et Saint Thibault sont égalementprévues… Mais cela est uneautre histoire qui vous sera racontéeultérieurement !Article rédigé par Pascal Haye - CorCom de Saint Thibault - Fleuré (Vienne)13

La vie dans nos résidencesSénior - Sport et Santépour le Clos Saint RochLe Conseil Général de la Dordogne en partenariat avec la ville de Montpon-Ménestérol,a organisé une journée sportive en faveur des séniors.Explications sur le parcours anti chute.Parcours anti chute, passage d'obstacle.Parcours anti chute, avant le passage d'obstacle.Parcours anti chute, regard concentrésur les plots.Cette rencontre était basée sur lasanté du troisième âge. L’animatriceMarie-Line et Annick, une de nos infirmières,ont amené un petit groupe derésidents afin qu’ils puissent y participer.Lors de cette manifestation divers ateliersont été proposés tels que :- Atelier du bien vieillir,- Atelier mémoire,- Atelier prévention des chutes,- Réflexologie plantaire,- Atelier premiers secours avec lessapeurs pompiers de Montpon-Ménestérol.Sur un plan plus médical cette journéeavait pour objectifs :- accompagner et informer les diabétiques,- vérifier la tension artérielle,- faire des tests visuels,- vérifier la tension oculaire.Nos résidents ont participé à toutes cesactivités et ont apprécié plus particulièrementdeux de ces ateliers :- L’atelier de premiers secours despompiers de Montpon-Ménestérolcar ils ont vu fonctionner pour lapremière fois un défibrillateur. Il yavait beaucoup d’interrogation surcet appareil ! Comment fonctionnaitil? Sur secteur ou avec des piles ?Est-il plus performant qu’un massagecardiaque ? Toutes ces questionsont trouvé des réponses grâce auxpompiers.- L’atelier prévention des chutes dontils ont suivi le parcours : passage depetites barrières montées sur desplots, suivi d’une trajectoire biendéfinie.Et puis, bien sûr, la rencontre avecles résidents des établissements alentoursavec lesquels les discussions n’ontpas manqué.Pour clôturer la journée, petitsgâteaux et jus de fruits ont ravi les participantssous un beau soleil au bord del’eau. La vie est belle à Montpon-Ménestérol ! Un grand merci à la villede Montpon-Ménestérol, au ConseilGénéral et à Madame Michèle Leblayopour l’organisation decette manifestation.Article rédigé par Françoise Dumain - CorCom Clos Saint Roch - Montpon-Ménestérol (Dordogne)14

La vie dans nos résidencesAtelier Prévention des Chutes / Equilibreau Clos des ToursParmi les accidents de la vie courante, les chutes sont la cause la plus fréquentede blessures physiques et psychologiques importantes chez la personne âgée.Madame Louineau.C’est pour ces raisons que les autoritéssanitaires mettent en place descampagnes de prévention. Prévenir leschutes permet de maintenir l’ensembled’une population qui prend de l’âge enbonne santé. Cet objectif de santépublique se distingue toutefois d’unsecond enjeu qui vise à prévenir unediminution des capacités physiques etde l’autonomie de la personne âgée.Effectivement ces personnes sont plussusceptibles de souffrir de faiblessemusculaire, de mauvaise vision, de faiblessedes jambes, de sensationsréduites ou de problèmes médicaux quiles rendent plus vulnérables aux chuteset qui entraînent parfois des conséquenceslourdes.C’est pourquoi au Clos des Tours, ilnous a semblé important de mettre enplace un atelier de prévention deschutes et équilibre. Cet atelier a pourobjectifs :➢ prévenir les effets négatifs du vieillissementpar le biais d’une activitéphysique adaptée,➢ pratiquer une activité physique régulière,➢ le renforcement musculaire desmembres inférieurs,➢ réassurer la stabilisation posturale etl’équilibre,➢ apprendre ou réapprendre à avoirconfiance en soi,➢ acquérir une meilleure analyse etappréhension des obstacles que l’onpeut rencontrer lors des déplacements,➢ savoir réutiliser les conseils donnéslors des ateliers dans la vie quotidienne.Cet atelier se déroule toutes lessemaines pendant une heure avec ungroupe de huit personnes. Il est encadréMonsieur Mandin.par l’animatrice, Céline Bovani, titulaired’une licence Activités PhysiquesAdaptées.Des tests d’équilibre et d’analyse demarche sont effectués pour chaque participantà la première et à la vingtièmeséance. Cela permet de pouvoir évaluerla progression de chacun.Les participants débutent la séanceen position assise dans une chaise etcommencent par le renforcement musculaire.Puis ils poursuivent debout enrajoutant quelques exercices d’équilibre.Ils terminent par un parcours psychomoteuradapté aux difficultés de chacunet avec une aide si nécessaire. Les exercicesproposés sont ludiques ce qui permetde travailler tout en s’amusant ! Lesrésidents semblent apprécier cet atelierqu’ils jugent bénéfique.Article rédigé par Céline Bovani Animatrice de Clos des Tours - Villefagnan (Charente)15

La vie dans nos résidencesCroisière en MéditerranéeLe nombre important d’inscriptions au voyage 2012 organisé par le Comité d’Entreprise UESFoyers de Province, une croisière Sole mio, confirme que la grande bleue,toute aussi mystérieuse qu’elle puisse être, attire les salariés du Groupe AFP.Pise.Portofino.Quelques 230 personnes ont réponduà l’appel et ont embarqué surl’HORIZON le 13 mai pour voguer versl’Italie et rejoindre les ports de Livourneet de Santa Margherita.C’est sous les feux du Saphir, boîtede nuit, que les salariés, de différentesrégions, ont fait plus ample connaissanceavec la participation de ClaudeFrançois, Johnny Halliday et biend’autres qui ont su faire déhancher plusieursgénérations.Bien qu’un peu fatigué, l’ensembledu Groupe, enfin presque, était au rendez-vousle lendemain matin pour serendre à Pise.La tour penchée (torre pendente),un des symboles du centre de l'Italie etemblème de la ville toscane de Pise, estle campanile de cathédrale, située auchevet de celle-ci, sur la Piazza deiMiracoli (La place des Miracles), et dontla construction débuta en 1173.La tour est célèbre par son inclinaisoncaractéristique (qui est actuellementd'un angle de 3,99° vers le sud), apparuetrès rapidement après sa construction,du fait qu'elle a été édifiée sur uneplaine alluviale. Ce défaut serait dû soità un défaut de fondation, soit à unaffaissement de terrain.Après les visites guidées, du tempslibre pour arpenter les différentesruelles, s’assoir à une table de café pourse désaltérer, apprécier l’espresso veroou se reposer avant d’aller marchanderles prix des nombreux souvenirs présentsdans les petites boutiques quientourent la torre pendente tout enessayant de converser dans une languecommune. De retour sur le bateau, chacuna pu déjeuner selon ses envies :16

Santa Margherita.Pise.grillades, salades, etc. L’après-midi a étéconsacré, pour les uns, à la sieste etautres activités au bord de la piscine oudans la salle de sport et, pour les autres,à la visite de Livourne.La soirée du Capitaine a réuni encoreplus de salariés que la veille sous leslampes du Saphir ; les tenues blanchesse balançaient dans une ambiance bienjoyeuse.Pendant ce temps, l’Horizon voguaitvers le joli port de Santa Margherita.Une navette était ensuite prévue pourrejoindre Portofino qui est une petiteville portuaire sur la côte Ligure, devenuecélèbre depuis qu’elle est fréquentéepar la Jet Set italienne, aujourd’huireprésentée par les salariés du GroupeAFP.Au creux d’une anse bordée depinèdes, ce joli port de pêche est devenuune des stations balnéaires les plushuppées d’Italie. Véritable décor dethéâtre avec ses maisons de pêcheurs etses villas dont les façades sont peintesen trompe l’œil.Le soleil était au rendez-vous ; chacuna pu, selon ses envies, déambulerdans les jolies ruelles, admirer les bellesvitrines, profiter du calme de la grandeplace face au port et déguster l’espressovero ou une coupe de glace digne de laréputation d’une véritable glace italienne.Ces dames ont volontiers continué àlécher les vitrines et à s’offrir quelquesplaisirs avant de devoir reprendre lanavette qui les ferait rejoindre SantaMargherita pour le déjeuner.Beaucoup sont retournés surl’Horizon mais bien d’autres ont profitéde déjeuner sur place afin de profiter de17

l’accent chantant et du charme assuréde la gente italienne.Et la soirée, tout comme la veille etl’avant-veille, a été dynamique et chaleureuse.Encore plus de monde et derock endiablé pendant que le navireretournait vers son port de départ.Le débarquement s’est effectué defaçon remarquable grâce à l’interventiondu Président et des membres duCE. Chacun a rejoint son car, son véhiculeet est rentré chez soi avec, enmémoire, des images colorées de sourireset de bonne humeur.Le vent s’est abstenu pendant levoyage, il est seulement venu perturberle retour sur la terre ferme. Soyons sûrsque même la météo clémente était prévuedans l’organisation.Alors un grand Merci aux organisateurspour cette agréable escapade surl’eau.Portofino. Portofino. Pise.Article rédigé par Lucienne Benoit-Filippi, CorCom du Siège - Marseille (BdR)18

La vie dans nos résidencesLes jolies Mains de Las MélaïesDepuis plusieurs années, l’établissement collabore avec le Syndicat Inter hospitalier de la Creuse etplus particulièrement avec l’Unité d’hygiène et de lutte contre les infections nosocomiales, afin demettre en place des protocoles de bonnes pratiques professionnelles. Il y a quelques mois, HélèneSuchet, Infirmière hygiéniste a dispensé une formation « Hygiène des mains » au personnel.En début d’année, Hélène Suchet aproposé à Gaylord Gaillot, InfirmierRéférent, et Sylvie Pardoux, Animatrice,de mettre en place cet atelier à destinationdes résidents.La restructuration des sanitaires réaliséeen mai a permis de mettre à dispositionde ceux-ci des locaux adaptésdans lesquels il est plus aisé d’adopterune bonne hygiène des mains.L’atelier s’est déroulé en deux temps :1 ère étape : une résidente s’est prêtéeau jeu en étant photographiée alorsqu’elle mimait les bons gestes du lavagedes mains. Ces photos ont permis àl’animatrice de créer des affiches qu’ellea disposées dans chaque sanitaire.2 ème étape : l’infirmière hygiéniste,après un rappel sur l’importance del’hygiène des mains (Quand - Pourquoi -Comment), a fait tester grâce à sa boiteà S.H.A. (Solution Hydro Alcoolique)l’efficacité du lavage de chaque participant.Pour cela, chacun a glissé ses mainspréalablement lavées à l’intérieur de laboite, le système de lampes phosphorescentesa permis de visualiser les zonesde la peau oubliées lors du lavage.M et Mme Larduinat et Mme Bonnerat, IDE de Las Mélaïes.Mme Rousseau et Mme Suchet, IDE Hygiéniste du Syndicat interhospitalier de la Creuse.C’est très nombreux que les résidentsont participé à cet atelier.L’importance du sujet traité n’a pasempêché son déroulement dans la joieet la bonne humeur.Le bilan réalisé un mois après l’atelierest positif : le lavage des mains estdevenu un réflexe pour la majorité desrésidents.Article rédigé par Sylvie Pardoux - CorCom de Las Mélaïes - Bonnat (Creuse)19

La vie dans nos résidencesInstants magiques aux Auresvécus par une résidente !Au mois de juillet dernier, un duo d’artistes « Les Frankinis » est intervenu à la résidence les Aures.De nombreux résidents ont assisté à leur représentation qui comportait une variété de genres :magie, chants, danses et musiques.Parmi nos résidents présents encette journée, se trouvait MadameMonteau, radieuse et enchantée deredécouvrir des joies d’autrefois. Afin demieux cibler le ressenti de cette dernièreet, avec son accord, j’ai souhaité l’interviewer:Que pensez-vous du spectacle ?C’est un spectacle formidable car trèsvarié ; il y avait de la magie, des chansonset de l’accordéon.Qu’est-ce qui a attiré le plus votreattention ?La valse des foulards et des parapluies.Avant, ma passion était la chanson etcela m’a permis de me souvenir de majeunesse et de mes parents.D’autres instants particuliers ?L’ambiance et les résidents venus nombreux.Puis le petit goûter pour clôturerle spectacle, un agréable moment dedétente.Les FRANKINI en pleine magie.Est-ce que les artistes vous ont faitparticiper ?Oui, à plusieurs reprises, pour danser etchanter, ainsi que pour la magie telleque le jeu de cartes.Etes-vous prête à les accueillir denouveau ?Oui, car ils animaient très bien et étaientsympathiques. Je les ai d’ailleurs félicités.En remerciant Madame Monteaupour son attention et sa patience, je mesuis rendue compte qu’à travers ses proposil y avait là un sentiment de quiétudeet de bien-être qui a été partagé parles autres résidents.La magie du spectacle opère toujoursquelque soit notre âge.Mme Monteau ravie du spectacle.Article rédigé par Florence Delage - CorCom des Aures - Chabanais (Charente)20

La vie dans nos résidences100 ans de vie à LencloîtreLe 2 juillet 1912, Marthe Beaudin voyait le jour au château de la Boutière, non loin de Lencloître,où ses parents servaient la famille du Comte de Lastic Saint Jal.Elevée au château, elle franchissaitallègrement à pied, chaque matin, lescinq kilomètres qui la séparaient de sonécole à Lencloître pour éveiller sonesprit et parfaire ses connaissances, puiseffectuait tous les soirs le trajet en sensinverse pour retrouver ses parents etaider aux travaux des champs, au jardinageet à l’entretien du linge du château.Madame Florent accompagnée de son mari dans leur épicerie.Anniversaire de Madame Florent.Dans les années trente, les parentsde Marthe ouvraient une épicerie à l’enseigne« Le Petit Paris », au carrefour del’épinette, dans le bourg de Lencloître etl’employaient au magasin.C’était sans compter sur l’enthousiasmeet la volonté de Marthe qui, à 20ans, passait avec succès son permis deconduire les automobiles et inauguraitainsi les tournées en campagne auvolant d’une camionnette Citroën B12faisant office de magasin ambulant.En 1934, Marthe épousait GeorgesFlorent et tous deux reprenaient à leurcompte l’épicerie familiale. En 1935, elledonnait naissance à une petite fille etquelques temps plus tard, prenait encharge l’accueil et l’éducation d’un petitneveu dont les parents s’étaient séparés.Madame Florent à l’âge de 20 ans.Permis de Mme Florent 1922.Il en fallait bien plus pour venir àbout de l’énergie de Marthe qui selevait tous les matins à 5 heures pouraller faire du jardinage avant de rentrervers 7 heures pour se glisser derrière soncomptoir et ouvrir le commerce à laclientèle. Marthe et son mari devaientrythmer ainsi pendant quarante ans, lesjours de tous les habitants de Lencloître.Ils prenaient leur retraite en 1975 etse retiraient dans le quartier du « PetitBordeaux » à la périphérie du bourg.Georges décédait en 2002 etMarthe était accueillie par ses enfants,vivant eux aussi à Lencloître. En février2009, le temps faisantégalement son œuvresur les enfants deMarthe, il n’était pluspossible de la mainteniren toute sécurité dansla maison de sa fille etelle entrait tout naturellementà l’EHPAD duPontreau Saint Lucien àLencloître.Elle y coule, depuis,des jours heureux etvient d’y fêter, en famille,un siècle de vie àLencloître.Propos recueillis auprès de la fille de Madame Florent par Laurence Thaureau – CorCom Le Pontreau Saint Lucien à Lencloître (Vienne)21

La vie dans nos résidencesFête de la musique à OurceyreQuelques notes de musique à la résidence…Pour la première fois, nous avonsorganisé une rencontre intergénérationnelleavec les enfants de l’école maternelledes Ailes de Vichy. Pour cela, l’animatricea eu deux rendez-vous avec ladirectrice et l’institutrice pour élaborerensemble le programme de l’après-midiqui s’est déroulé en deux parties.Première partie : arrivée des enfantspar le bus. Nous les attendions avecimpatience.Puis ils ont ouvert le spectacle avecdes rondes « savez-vous planter leschoux, le grand cerf…», et quelquescomptines (pomme de reinette, l’éléphant…).On pouvait lire sur les lèvresdes résidents quelques phrases que l’onentendait à peine.Ensuite, c’est au tour du personnelde danser (sous le pont, tchic et tchac)et pousser la chansonnette avec la miseen scène de la marquise et la chaumière,avec les instruments de musique quenous utilisons lors de notre chorale. Lesenfants sont ensuite venus nousrejoindre pour partager un moment deconvivialité, les éclats de rire résonnaientdans la salle restaurant et les résidentsapplaudissaient pour les encourager.Puis, nous avons servi le goûter composéd’un cake au chocolat accompagnéd’un jus de fruit et de belles brochettesde bonbons multicolores.Deuxième partie : le moment dessouvenirs.Nous nous sommes rendus dans lejardin pour faire appel aux souvenirs desdifférentes générations, beaucoupd’émotion pour tous.Arrivée des enfants.La ronde.Brochette de bonbons.De retour dans la salle, les enfantsont remis des autoportraits qu’ilsavaient confectionnés en classe.Le temps des « au revoir » est arrivé.Ravis de leur rencontre, les résidents ontremis à chaque enfant des sachets debonbons qui avaient été confectionnéslors d’une animation.Peut être que la prochaine fois cesera à notre tour d’aller dans leurécole…Remise des autoportraitsArticle rédigé par Aurélie David - CorCom de Ourceyre - Vichy (Allier)22

La vie dans nos résidencesLa thérapie par les chiens visiteursà l’AbbayeDepuis quelques mois, Doudou, Fa et Cannelle, chiens visiteurs du club d’Agility de Montignacrendent régulièrement visite aux résidents.Le chien, compagnon de l’hommedepuis la Préhistoire, occupe une placeprivilégiée dans l’appareil psychique del’être humain et permet de le toucherau niveau du bien être émotionnel : unerelation forte et profonde avec desrépercussions physiologiques, psychologiqueset sociales.Pour être chien visiteur, maître etchien doivent avoir effectué un stage etobtenir le diplôme « chien visiteur ».C’est un chien qui doit être équilibré,sociable et bien éduqué, quelles quesoient son origine et sa taille.L’objectif de ces séances est de travaillerla mémoire ancienne et leséchanges verbaux ou non. Le chien visiteurpermet de communiquer avec lesautres et de renouer avec la vie. Il va rassurerpar sa spontanéité et sa sincérité,il sécurise et apaise par sa présence chaleureuse.Ce sont des moments decontact et de caresses. Ils permettentd’échanger sur des souvenirs.Les visites se réalisent en chambreou en groupe. Elles ont une durée d’environune heure. Par la suite, Doudou,Fa et Cannelle viennent ausalon rejoindre l’ensembledes résidentspour de multiplescaresses.L’après-midis’achève autourd’un goûterpour le plusgrand bonheurdesrésidents.Madame Duruisseau avec Cannelle.Madame Guivarc’h avec Fa.Madame Lafaye avec Doudou.Article rédigé par Christelle Arnoux – Corcom de l’Abbaye – Saint-Amant-de-Boixe (Charente)23

Monsieur Villard et Valérie Damidot.La vie dans nos résidences« Nouvelle vie » à BlanzacSilence, on tourne ! Action…Le 29 juin 2012, la mairie de Blanzacnous a envoyé un courriel pour nousinformer qu’une série télévisée dont letitre est « Nouvelle vie » avec ValérieDamidot allait être tournée dans lacommune voisine.Après avoir lu le mail aux résidents, cinqd’entre eux ont souhaité se présenter aucasting qui eut lieu le lundi suivant.Après quatre jours d’attente, la responsabledu recrutement pour la figurationnous a contactés pour nous indiquerque Messieurs Chabot et Villard avaientété sélectionnés. Le tournage a commencéle lundi 9 juillet pour MonsieurVillard et le mardi 10 juillet pourMonsieur Chabot dans la commune deBlanzac. Plusieurs tenues vestimentairesétaient exigées pour pouvoir se changeren fonction des scènes.Ressentis de nos figurants :M. Villard : « J’ai été très surpris lorsquel’animatrice m’a annoncé que j’étaissélectionné. Le jour du tournage, j’aiexécuté ce que l’on me demandait defaire : arroser des fleurs, discuter avecune personne… »La rencontre avec l’actrice : « J’étaisassis sur un banc lorsqu’elle est venues’asseoir près de moi entre deux scènespour discuter. Elle m’a posé plusieursquestions sur mon passé et ma vie à larésidence. Elle est très gentille et trèssimple. Lorsque nous discutions, unjournaliste de la Charente Libre nous aphotographiés et a partagé notre conversation.Le lendemain matin, lorsque j’aiouvert le journal je ne m’attendais pas àvoir ma photo en pleine page.J’ai eu une journée remplie d’émotionet je suis très content d’avoir pu le faire.Par contre, j’ai bien dormi la nuit carmalgré tout j’étais épuisé. »M. Chabot : « J’ai été très surprislorsque j’ai su que j’allais figurer car, lorsdu casting, la dame m’avait prévenuqu’il y avait peu de chance pour que jesois sélectionné du fait que j’avais unecanne pour me déplacer. Or, le réalisateura aimé mon profil et a souhaité queje fasse partie de l’équipe. »La rencontre avec l’actrice : « Valérieest très gentille, elle est venue meparler, elle prend soin de savoir si touts’est bien passé et si j’ai apprécié letournage… Je garde un excellent souvenirde cette journée et j’ai hâte de voirle film. »Histoire du film :Valérie Damidot, alias VictoireBonnot, vient en aide à un groupe dejeunes sortant de prison, pour lesréinsérer dans la vie active. Ils sontlogés dans un manoir et ils travaillentdans les vignes pour les vendanges.Seulement, les villageois refusent queces jeunes vivent dans leur villagebien tranquille.Victoire Bonnot, par tous les moyens,essaie de prouver aux gens que toutle monde a droit à une deuxièmechance ! Mais en vain…Pour connaître la suite de l’histoire, jevous laisse regarder le film qui seradiffusé sur nos écrans. A ce jour, ladate n’est pas encore connue maisnous vous tiendrons au courant…Article rédigé par Séverine Olivier - Corcom des Doucets - Blanzac Porcheresse (Charente)24

La vie dans nos résidencesInauguration du pôle Kinésithérapie deRééducation Gériatrique aux Baux-de-ProvenceLes résidents vont rajeunir, grâce à notre nouveau pôle Kiné.A l’initiative du Docteur Giral, médecincoordonnateur, Mesdames DominiqueThibaud, IDE et Nathalie Betis, kinésithérapeute,la création du pôle kinésithérapiede rééducation gériatrique ausein de la Bastide du Chevrier a vu lejour et son inauguration a eu lieu,autour d’un cocktail, le 19 juin en présencede nombreuses personnalités. Cepôle vise à permettre aux personnesâgées de garder le plus longtemps possibleleur autonomie. Il est proposé desséjours temporaires de « remise enforme » dans un cadre idyllique etcalme.Tous les éléments ont été réunis afinque les patients puissent bénéficierd’une convalescence rapide dans desconditions d’accueil optimales : unesalle de Kiné flambant neuve, une équipede kinésithérapeutes compétente etmotivée.Tous nos remerciements particuliersaux Lion’s Club des Baux-de-Provence,du Paradou, de Saint Gilles, de Vauvert,de Saint-Martin de Crau, de Tarascon etde Beaucaire qui ont permis, grâce àleur générosité, la création de ce pôle.En effet, tout le matériel a été entièrementfinancé par leurs soins.Merci au personnel pour son investissementet son enthousiasme à la réalisationde ce projet.De gauche à droite M. Lin, Président du Lion’S Club des Baux-de-Provence,M. de Lapparent, Directeur de La Bastide du Chevrier, M. Winkler, Président du Lion’S Clubde St Martin de Crau accompagné de membres du Lion ‘S Club de St Martin de Crau.Article rédigé par Nicole Bocquelet - CorCom et Magali Roux - Secrétaire - Lou Mes de Maï - La Bastide du Chevrier - Les Baux-de-Provence (BdR)La vie du GroupeDes cadeaux, toujours des cadeaux…Transat 2011, sac de plage ou sac de vacances 2012, les membres du Comité d’Entreprise UESFoyers de Province prouvent leur souci du bien être des salariés à la veille de chaque été.Les beaux jours invitent au farnienteet quoi de plus agréable de bouquinermi-allongé au calme, sans contrainte,un sac coloré à ses côtés pour rangercrèmes solaires, gourmandises, bouteilled’eau et tout ce qui peut faire plaisir.Il faut dire que ce sacest grand à souhait etsi pratiquequ’ilpeut s’adapter à toutes les situationsestivales et autres.Tout simplement Merci aux membresdu CE qui œuvrent à longueur d’annéepour apporter du plaisir à tous les salariésdu Groupe en offrant cadeauxd’été, de fin d’annéeet en propo s a n tdivers avantages.Gageons que tous ces mêmesmembres travaillent, aujourd’hui, surl’élaboration du colis de fin 2012 ;quelles surprises nous réservent-ils ?Merci encore.Article rédigé par Lucienne Benoit-Filippi, CorCom du Siège - Marseille (BdR)25

Portrait d’un métierAide-cuisinièreFabienne Tarrondeau, aide-cuisinière au Pré Saint Jean.Fiche de fonctionL’aide cuisinière participe à la préparation des repas en respectant les normes HACCP, elle assure le serviceà table, procède à l’entretien et au nettoyage des locaux de cuisine selon les protocoles établis.Concrètement, ce poste consiste à dresser les tables, les chariots de petits déjeuners, préparer les alimentspour la réalisation des repas, aider à la réception et au stockage des approvisionnements, relever lestempératures, assurer le nettoyage, la désinfection des matériels et des locaux selon les normes en vigueur.5 questions à Fabienne TarrondeauQue faisiez-vous AVANT AFP ?J’ai été assistante maternelle àdomicile pendant vingt ans, je gardaisquatre enfants.COMMENT êtes-vous devenueaide-cuisinière ?Mon parcours au Pré St Jean a commencéen avril 2009 par un stage enpré-qualification aux métiers d’aide à lapersonne pendant un mois. Ensuite, j’aieffectué des remplacements en tantqu’employée de service de jour et denuit en CDD, pendant une périoded’environ quatre mois.Le 1er décembre 2009, j’ai signé unCAE à temps partiel sur un poste d’aide-cuisinièrepuis mon temps de travaila progressivement augmenté jusqu’enseptembre 2010 où mon contrat estpassé à plein temps.Le 1er décembre 2010, je signais unCDI à temps plein sur le poste d’aidecuisinière.Quelles sont les QUALITES dontvous devez faire preuve dans votremétier ?Le poste d’aide cuisinière nécessited’être autonome, à l’écoute de tous, lesrésidents comme les collègues, êtrepatiente et bien sûr respecter les règlesd’hygiène. Pour finir, il faut êtreagréable, polie, souriante.Comment imaginez-vous votremétier dans L’AVENIR ?Pour moi, l’avenir dans mon métierserait d’avoir une aide supplémentaireen cuisine, pour la préparation desrepas de la résidence et de la cantinepuisqu’en plus de nos 60 résidents,nous élaborons environ 130 repas pourle midi en période scolaire.Q u e l l e e s t v o t r e m e i l l e u r eANECDOTE ?Récemment, Monsieur B. m’interpelleau début du déjeuner en me demandantpourquoi je lui ai servi de l’eauet non du vin comme d’habitude.Etonnée, je lui explique avoir procédécomme d’habitude c’est-à-dire servi levin avant l’arrivée des résidents.Quelques jours plus tard Monsieur B. etson voisin, Monsieur M. m’interpellentde nouveau sur ces verres d’eau qui ontremplacé le vin. Alertée par ce curieuxphénomène, l’équipe cuisine a redoubléde vigilance pour découvrir que deuxrésidents allaient boire leur verre de vinet celui de leur voisin et voisine de tableavant le début du repas et remplissaientensuite les verres d’eau !26

Une journée avec FabienneLorsque j’arrive à 8 heures, j’effectuel’élaboration des entrées et des dessertspour l’école et l’EHPAD, puis je continuepar la mise en place de la table dans lasalle de restaurant et dans la salle thérapeutique.Ensuite, je fais la vaisselle dupetit-déjeuner ainsi que le rechargementdes chariots du petit-déjeuner.Avec l’aide des cuisiniers, nous chargeonsles containers réfrigérés dans lavoiture de livraison pour que je puissealler livrer les repas de l’école. Quand jereviens, je fais la vaisselle de l’école et lenettoyage du véhicule.Ensuite vers 12h15, j’aide le cuisinierà dresser les assiettes pour le servicepuis je fais la vaisselle du déjeuner et laremise en place de la table pour le dîner.Je prépare le chariot du goûter, j’effectuele nettoyage du côté plonge, desréfrigérateurs, des réserves sèches (lavagedes murs, mono brosse) et les vestiaires.Certains jours, je reviens à 16h45pour la mise en chauffe du repas du soirpréparé par les cuisiniers le matin.J’effectue la mise en place des pichetsd’eau sur les tables pour le dîner puis lapréparation du chariot du dîner pourl’Unité de Vie Particulière et j’assure le1er service.Parallèlement, je fais le relevé destempératures des aliments et des réfrigérateursainsi que les prélèvementsd’échantillons. Puis arrive le 2ème serviceà 18h30 à l’issue duquel je fais laplonge des plats de cuisson et je fermeles réfrigérateurs, les réserves et lesbureaux.Fabienne et Jean-Pierre Perrochon, cuisinier au Pré Saint Jean.Article rédigé par Marie-Chantal Dellion, secrétaire au Pré Saint Jean - Saint Jean de Sauves Vienne)27

Les partenaires de l’AFPPortrait de Benjamin PierreActiphysicien & thérapeute de ReSanté-Vous,intervenant en Activités Physiques Adaptées au Clos Adler.Benjamin Pierre avec Madame Aubrun.On peut dire que les choses se sontmises à bouger à la résidence du ClosAdler depuis le début de l'été.Si les projets d'animations, de soinset d'hébergement nous permettent denous situer toujours plus près des aspirationsde nos résidents, des intervenantsdu groupe ReSanté-Vous sontdorénavant présents pour soutenir noséquipes.Équipe pluridisciplinaire spécialiséedans l'accompagnement de la personneâgée, ReSanté-Vous intervient dans demultiples EHPAD et résidences servicesau sein de la Vienne à travers la mise enplace d'accompagnements en art-thérapie,activités physiques adaptées, psychomotricité,psychologie et ergothérapie.Non contents de ce domaine d'interventiondéjà large, ces spécialistes interviennentégalement en instituts de formationdirectement auprès des professionnelsde soin, ainsi que dans la miseen place et la réalisation de conférences,d'expositions visant une meilleureprise en soin et valorisation de nosaînés.Benjamin Pierre, actiphysicien & thérapeutede cette singulière équipe,investit la résidence de manière hebdomadairedepuis juillet dernier. Son souhait: "aider la personne à faire seule".Là où la personne âgée est souvent perçuecomme passive ou inactive, ilcherche comment lui redonner un rôle,comment créer une dynamique autourd'actes de la vie quotidienne.Spécialisé dans la motricité, c'est àtravers des ateliers d'activités physiquesdouces, individuels et collectifs, qu'ilmet en exergue les motivations des personneset nouent des rapports fondamentalementempathiques et sourcesd'échanges.Cherchant à rendre acteur, il intervientégalement en tant que médiateursur le lieu de vie des personnes en développantdes aménagements de l'espaceorientant vers des plaisirs quotidiennementrenouvelables et favorisant l'autonomie.Relooking des salons d'animation,de jeux et de repos, création d'ateliersde jardinage et de gymnastiquedouce sont autant de projets à l'aubede bons moments à partager.Le coup de sifflet du départ a déjàretenti et nous nous attendons donc àune course longue et riche en rebondissements.Une chose est certaine, on ne perçoitpas le moindre signe d'essoufflementchez ce coureur vers l'innovationqui nous réserve, à n'en point douter,de nombreuses surprises.Article rédigé par Carole Robieux - CorCom de Clos Adler - Valdivienne (Vienne)28

Portrait d’un résidentCharles Roux, une vie au servicede la nation… et résident des MorellesJe suis né à Contes, un village tout près de Nice le 26 novembre 1920 de parents niçois.Suite à une épidémie de fièvre typhoïde en 1927, j’ai perdu ma mère ;ce fut le plus grand drame de ma vie de petit garçon.Mon père, brocanteur, m’a alorsconfié à ma grand-mère maternelle jusqu’àl’âge de 18 ans. Je n’ai pas eu lachance de faire des études, et j’ai doncpassé en autodidacte mon certificatd’études.En 1938, à 18 ans je me suis engagédans l’armée pour faire le front dans laMarne. Mon bataillon a été presqueentièrement décimé en 1940. Par chanceou par la volonté de Dieu, j’ai étéépargné et j’ai pu terminer la guerre.Ensuite, je me suis engagé dans lagendarmerie et mon premier poste aété à Riez dans les Alpes de Haute-Provence.Après toutes les restrictionset privations diversesdans les régiments pendantla guerre, j’ai trouvéune région accueillante oùla nourriture ne manquaitpas.C’est en 1944, à la fêtedu village, que j’ai rencontréJosette Sage, une jeunefille pétillante de 17 ans etdont la famille était originaired’un village voisin.Quelques temps après,j’ai fait ma demande enmariage et c’est le 25 avril1946 que nous nousM. Roux de nos jours.Charles, enfant.sommes mariés dans sonEn 1962, ans et à 70 ans pour moi et 63 ans pourvillage : Les Salles surj’ai été nommé Josette, nous avons pris une retraiteVerdon.M. Roux dans la brigade de Brignoles en 1966. adjudant à heureuse six mois d’hiver à DraguignanEnsuite, je fus affecté àGardanne, puis et six mois d’été dans le Haut-Var.la gendarmerie du Lavandou et en 1953à Brignoles, Draguignan et enfin En février 2009, tout a basculé lorsnaissait notre fille unique.Adjudant Chef à la brigade moto de du décès brutal de mon épouse. Je suisDe 1954 à 1956, j’étais en service auToulon.monté immédiatement rejoindre maVietnam et suis resté toutes ces annéesA 55 ans, touché par la limite d’âge, fille qui vivait à Ambierle, dans la Loire,sans revoir ma petite famille.j’ai pris ma retraite et nous sommes et quelques mois plus tard j’ai décidé deA mon retour, j’ai été nommé Chefremontés dans le Haut-Var au bord du rentrer à la résidence « Les Morelles »de la Brigade de St Rémy-de-Provence,lac de Sainte-Croix du Verdon où ma où depuis 3 ans je coule des jours paisibles.agréable région située tout près de lafemme et moi avons ouvert un petitluxuriante Camargue. Ce furent desmagasin de bibeloteries-souvenirs « Laannées remplies de bonheur.Petite Hutte ». Nous y avons travaillé 15Propos recueillis et portrait rédigé par Denise Tantot - CorCom des Morelles - Renaison (Loire)29

Personnel et non confidentielNouvelles de la famille AFPEMBAUCHESNous souhaitons la bienvenue auxsalariés ayant rejoint le groupe AFP.Ont été embauchés et titularisés,au sein du Groupe, à l’issue de leurpériode d’essai :En avril 2012- Laëtitia BOURET, Auxiliaire de vie à laSource ;- Cyprien CORTES, Agent de maintenanceà Lou Mes de Maï ;- Isabelle DUMAS, Aide MédicoPsychologique à Laulade ;- Emmanuel FRIC, Cuisinier à la Bastidedu Chevrier ;- Colombe GOUGAUD, Infirmière auxMorelles ;- Christelle JACKOWIAK, Aide MédicoPsychologique au Logis du Nivernais ;- Magali LEGRAND, Employée de serviceà Lou Mes de Maï ;- Hélène MARCHAL, Aide soignante àla Source ;- Jamila RIVIERE, Employée de serviceaux Doucets ;- Coralie VINATIER, Aide soignante auClos Saint Roch.En mai 2012- Margot ARNAULT, Employée de servicede nuit aux Doucets ;- Chamah BOUDJELLAL, Infirmière référenteau SSIAD Pomme de Pin ;- Aurélie BOUTINOT, Aide soignante àl’Abbaye ;- Carmen GOMEZ, Employée de serviceà la Presqu’Ile ;- Régis JULIEN, Médecin coordonnateuraux Logis du Nivernais ;- Karine ROUSSIN, Aide soignante denuit à l’Abbaye.En juin 2012- Sylvie BORTOLOTTI, Aide soignante àla Tour du Poêle ;- Joël CAGNIARD, Infirmier à la Bastidedes Lavandins ;- Sabrina DEBAISIEUX, Aide soignanteau Pontreau Saint Lucien ;- Angélina FAUQUE, Aide MédicoPsychologique à la Bastide desLavandins ;- Didier LALLET, Cuisinier à Laulade ;- Priscilla LEBRETON, Employée de serviceaux Doucets ;- Alain POUSSARD, Agent de maintenanceà la Tour du Poêle ;- Marie-Laure RAOUX, Psychologue auxAures.En juillet 2012- Karine DANGREAUX-HENIN, Aide soignanteau Pontreau Saint Lucien ;- Emilie HERBRETEAU, Aide soignanteaux Doucets ;- Awa KOITE, Aide soignante à laCalanque ;- Angélique LAFARGE, Employée deservice à Las Mélaïes ;- Isabelle SUDUPE, Agent de servicehôtelier de nuit au Clos Saint Roch.DIPLÔMÉSFélicitations aux salariés ayant obtenuun diplôme.Ont obtenu le Diplôme d’Etat :- d’aide soignante :Katia COCHELIN, Les Logis du Nivernais ;Rachel GALLET, Les Logis du Nivernais ;Murielle LALLET, Laulade ;Jessica PREVOST, Las Mélaïes.- d’aide médico-psychologique :Valérie DUBUIT PRUGNAUD, Les Logisdu Nivernais.- d’assistante de soins en gérontologie :Mélanie CHEBRET, Laulade ;Sylvie PAQUES, Laulade.SSTOnt été formés au “SauveteurSecourisme du Travail” (SST)Le Pontreau : Betty AUTEAULe Pontreau : Hanaa SARAZINSaint Thibault : Pascaline ROHAUTSaint Thibault : Hervé PINEAUPierre Pericard : Stéphanie SOUILLe Pré Saint Jean : Isabelle APERSLe Pré Saint Jean : Marlène POTIERLe Pré Saint Jean : Fabienne TARRONDEAULe Pré Saint Jean : Pascale ARNOULDOnt été formés “aux Gestes et Soinsd’Urgence“ (AFGSU)Le Pré Saint Jean : Audrey BASCKOnt obtenu la CertificationProfessionnelle Agentd’Accompagnement auprès desPersonnes Agées et des PersonnesDépendantes :La Bastide des Lavandins : Aurélie MIZZILe Pontreau : Betty AUTEAULe Pontreau : Hanaa SARAZINRETRAITEEn juin 2012- Claudine CHEVRON, AAPAPD de nuitau Clos Saint Roch- Jocelyne LECHAT, aide-soignante à laCalanqueJocelyne Lechat.MÉDAILLE DU TRAVAIL- Médaille d’argent (20 ans) :Emmanuelle REDON, LauladeEmmanuelle Redon a reçu sa Médaille d’argentdes mains du Directeur général.MARIAGETous nos vœux de bonheur.21 Juillet 2012 :- Nadia LAVERGNE, Aide soignante auxAures épouse Matthieu VIGNAUD ;28 juillet 2012 :- Delphine BANIZETTE, Aide Soignanteau Clos Saint Roch épouse FrédéricARNAUD.30