Sorcellerie Sortileges, exorcisme et contre sorcellerie - Islamicbook.ws

l- D'après Aisha (qu'Allah I'agrée), elle a dit : un homme des Banû Zwayq,,que l'on appelle Labîd Ibn al-A"sanr. ensorcella le Prophète 4É, au pointqu'il semblait au Messager d'Allah S qu'il faisait une chose alors qu'il nela faisait pas, et ce jusqu'à un certain jour - ou une certaine nuit - durantlaquelle il était chez moi et invoquait et invoquait. Il dit ensuite: < ô"Aisha! Ressens-tu qu'Allah m'a répondu dans ce que je L'aiconsuhé ? Deux hommes sont venus à moi, I'un d'eux s'assit près de matête et I'autre à mes pieds, et I'un d'eux dit à son compagnon: < euel est lemalaise de cet homrne ? >.< (Il est) ensorcellé >, dit-il.< Qui I'a ensorcelé ? >, demanda-t-il.< Labîd Ibn al-A.sam >, réptiqua-t-il.< De quoi ? >, questionna-t-il.< De ses cheveux qui tombent de sa tête et de sa barbe et I'envelopped'un épi de palmier mâle >, répondit-il.( Et où est-il ? > ajouta-t-il.Et lui de dire : < Dans le puits de Dharwân >.Ainsi, le Prophète Fy uttu avec quelques-uns de ses Compagnons, puisrevint et dit : ( O "Aisha" c'était comme si son eau était la macération duhenné et les têtes des palmes étaient telles des têtes de diables >. Je dis : < ôMessager d'Allah, que tu ne I'ais fait sortir ? >. Et lui de dire : < Allah m'acertes guéri mais je réprouve à causer du mal aux gens ). Et il ordonnaqu'on I'enterre'.Les juifs, qu'Allah les maudisse, se mirent d'accord avec Labîd lbn al-A.parn le plus fort en sorcellerie parmi eux, pour pratiquer une sorcelleriesur le Prophète *, en échange de trois dinars. Effectivement, ce damnépratiqua la sorcellerie en utilisant des cheveux tombés de la tête du prophète*. Il est dit qu'il se les procura par I'intermédiaire d'une jeune fille qui serendait dans les demeures du Prophète Ë. Il noua donc la sorcellerie et plaçale sortilège dans le puits de Dharwân.Il apparaît, en suivant toutes lcs voies du fadîth, que la sorcellerie pratiquéeétait l'une des fornres d'empêchement sexuel. Ainsi, le prophète 4És'imaginait être capable d'avoir des relations intimes avec I'une de sesépouses mais quand il s'approchait d'elle, il n'en était pas capable.' Rapporté par al-Bukhârî et Muslim.21