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Gérer des événements traumatiques dans une structure scolaire ...

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1""'-1• En immédiatUne prise en charge médicale peut êtreenvisagée pour les personnes en étatde stress dépassé et présentant <strong>des</strong>troubles dissocia tifs. Pour les sujets enétat de stress adapté, et uniquement pource type de clinique, il est proposé à titreindividuel ou collectif (uniquemeht pour<strong>des</strong> groupes préconstitués) <strong>une</strong> interventionmédico-psychologique immédiate(Romano H., 2007), qui correspond àuntemps d'écoute très spécifique visant à untravail de figurabilité et de mise en sens del'événement. /1 s'agit de permettre auxélèves et-ou adultes concernés de comprendrece qui vient de leur arriver et <strong>des</strong>'exprimer sur cet événement. Ce typed'écoute n'est pas du «bon sens D, il nes'improvise pas. C'est un acte de soins quidoit être réalisé par <strong>des</strong> professionnelsformés et capables de contenir le débordementpulsionnel et de restaurer <strong>une</strong>continuité d'existence pour les sujetsconcernés. Cette fonction de réassurance,de contenance, (nous pourrions prendrel'image du paravalanche). ne vise pas àétouffer, limiter ou interdire l'expressiontraumatique, mais tout au contraire àlacontenir.Différents termes ont été donnés à cetemps de contenance psychique: cc defusingIl, «déchoquage)}, (( accueilàchaud)} ;quelle que soit sa dénomination, ce premiertemps d'expression émotionnelle estun temps protecteur, puisqu'il autorise lesujet à s'exprimer face àun professionnelcapable de contenir les émotions ressenties:détresse, frayeur, sentimentd'impuissance, culpabilité, étrangeté. Leprofessionnel, par cette fonction de( porte-parole Il, offre au sujet victime <strong>une</strong>space favorable de retransitionnalisationde la réalité. La restauration du sentimentd'appartenance, la réhumanisation <strong>des</strong>sujets victimes, passe par le respect deleur expression traumatique et <strong>des</strong> mécanismesde défense exprimés: il s'agit dereconnaître la souffrance ressentie sanschercher àbanaliser ou à minorer, et d'accepterles processus de dégagement àl'œuvre sans vouloir dédramatiser oudéculpabiliser. Par exemple: « Pouvezvousme dire ce qui vous est arrivé? )} ;«Pouvez-vous me dire ce qui s'est passé;comment vous sentez-vous maintenant? )}Parler, se libérer de la tension émotionnelle,ne suffit pas pour que le récit et lequestionnement fassent sens pourle sujet. Pour que la parole ait cettedimension psychiquement apaisante,il est nécessaire que l'écoute proposéesoit réparatrice, c'est-à-dire qu'elle relancel'activité psychique, notamment lacapacité de liaison et de figurabilité dusujet. Sans réponse réflexive, cette repriseest en panne et le travail de restaurationde l'altérité est <strong>dans</strong> l'impasse.• En postimmédiatL'intervention médico-psychologiquepostimmédiate se tient 48 à 72 heuresaprès l'événement. En France, le termeutilisé pour qualifier ces prises en chargeauprès de sujets qui présentent <strong>des</strong> signesde souffrance psychotraumatique estcelui d'cl Intervention psychothérapeutiquepostimmédiate }} (lPPI) (Duchet c.,Ducrocq F., Vaiva G., et al., 2004);le terme anglo-saxon de de briefingconcerne les interventions s'adressantdirectement aux sauveteurs et ne devraitêtre utilisé que <strong>dans</strong> ce contexte-là. L'interventionmédico-psychologique est <strong>une</strong>offre de soin assuré par <strong>des</strong> professionnelsde santé, formés à cette technique etproposée à <strong>des</strong> personnes volontairessoit au niveau individuel soit de façon collective,avec <strong>des</strong> groupes homogènes etqui ont <strong>une</strong> cohérence antérieure àl'événement(Crocq L., 2002). Par exemple, siseuls cinq élèves d'<strong>une</strong> classe ont assistéau suicide d'un de leurs camara<strong>des</strong>, il estnécessaire d'avoir un temps de debriefingpour ces cinq élèves et un autre pour lereste de la classe. Ce temps n'est qu'<strong>une</strong>étape et ne saurait suffire à résoudretoutes les situations de souffrance psychique.Il permet, cependant, un repérage<strong>des</strong> personnes présentant <strong>des</strong> troublespost-<strong>traumatiques</strong> naissants et la transmissiond'<strong>une</strong> information susceptibled'initier àl'avenir un travail thérapeutiquepersonnel. Chaque participant reçoit <strong>une</strong>notice d'information où sont renseignéesles coordonnées <strong>des</strong> centres médico-psychologiqueset <strong>des</strong> consultations spécialisées<strong>dans</strong> le psychotraumatisme.• En différéLes événements <strong>traumatiques</strong> s'inscrivent<strong>dans</strong> l'histoire d'un établissement <strong>scolaire</strong>et, plusieurs mois, plusieurs années après,<strong>des</strong> manifestations de réactivation <strong>traumatiques</strong>peuvent s'exprimer, en particulier aumoment <strong>des</strong> dates anniversaires. la ser&­bilisation <strong>des</strong> professionnels de finstitWon<strong>scolaire</strong> permet, actuellement, de plus enplus souvent, qu'<strong>une</strong> attention spécifiquesoit assurée durablement auprès <strong>des</strong>élèves et <strong>des</strong> adultes directement concernéspar l'événement, mais égalementauprès d'élèves plus indirectement touchés,mais pour lesquels cette catastrophea réactivé <strong>une</strong> problématique personnelledouloureuse {ex. suicide d'un élève quiL'infor!1Jotion Guprcs <strong>des</strong> porenl5 esl essentiel/e. <strong>une</strong> prise en charge spécifique peut feur l'tre apportee.entraîne chez <strong>des</strong> élèves qui ne le connaissaientpas particulièrement, mais qui développent<strong>des</strong> troubles post-<strong>traumatiques</strong>liés àla réactivation de deuils familiaux malélaborés). Àl'extérieur de l'établissement,les propositions de prise en charge, avecles dispositifs ressources habituels (CMP,CMPP, PMI pour les maternelles), sont sollicitéesen demandant à ces <strong>structure</strong>s <strong>des</strong>prises en charge rapi<strong>des</strong>.Au niveau institutionnel, un temps d'analysecritique de la gestion de crise doit êtreeffectué par les différents responsablesqui sont intervenus, afin d'évaluer lesconséquences de cet événement et les


""I"1lrépercussions au niveau individuel commeau niveau institutionnel. Ce temps deréflexion permet d'analyser la pertinencedu dispositif mis en place, de comprendreles difficultés éventuellement rencontrées,aFin de limiter les conséquences néfasteset d'améliorer la réaction institutionnelleen cas de nouvelle gestion de crise.CommunicationCommuniquer en situation de crise est difficileet cela s'avère particulièrement délicat<strong>dans</strong> les situations d'événements <strong>traumatiques</strong>,où la confrontation à la mortparasite bien souvent les réactions. Faceaux dérèglements consécutifs à l'événementtraumatique, l'institution <strong>scolaire</strong> sedoit d'assurer <strong>une</strong> information cohérenteet suivie, afin de limiter rumeurs, incompréhensionet contamination excessive del'anxiété et de l'insécurité.• Communication auprès <strong>des</strong> élèvesLes enfants exposés au trauma ne sontpas préservés <strong>des</strong> conséquences de cetype d'événements (Baubet T., Moro M. R.et 01.,2003; Romano H., 2006). Si certainsadultes persistent à considérer queles enfants ressortent indemnes d'événements<strong>traumatiques</strong> ({( ils sont trop je<strong>une</strong>spour être marqués par ce qui s'estpassé )) ; {( ils n'ont pas compris » ; Il ilsvont oublier»), la clinique témoigne ducontraire. Les enfants exposés à un événementf<strong>une</strong>ste manifestent, tout autantque les adultes, <strong>des</strong> troubles immédiats,limités à quelques heures ou quelquesjours, mais peuvent présenter également<strong>des</strong> souffrances psychiques intenses, etdévelopper <strong>des</strong> troubles post-<strong>traumatiques</strong>(regroupés sous l'appellation syndromepsychotraumatique en Franceet états de stress post-<strong>traumatiques</strong>,selon les classifications internationales),durables sur plusieurs années, voire compromettantleur devenir d'adulte. Il s'agit,donc, de pouvoir leur apporter au mêmetitre que pour les adultes <strong>une</strong> prise encharge adaptée, au plus près de l'événement.En cas d'événement individuel (ex.mort d'un élève ou d'un enseignant), l'informationconcerne les élèves directementimpliqués et non toute la communaUté<strong>scolaire</strong> (risque de contaminationrenforcé). En cas d'événement collectif(ex. nombreuses victimes), c'est l'ensemble<strong>des</strong> élèves qui est informé.• L'annoncè de la mortLorsque l'institution <strong>scolaire</strong> est confrontéeà un événement traumatique, l'annonce dela mort se pose inévitablement: qui informer?Comment annoncer? Qui fait l'an­. nonce? Quand annoncer? Commentrépondre aux questions que les enfantsne manqueront pas de poser? Parler dela mort est difficile, douloureux, car celamet en jeu notre propre rapport à la mort,à la vie, au corps, à nos référents culturels,religieux, à notre vulnérabilité d'êtremortel et à notre impuissance à pouvoirl'empêcher. La mort ne peut être parlée,car elle est difficilement pensée et restepour beaucoup impensable (Romano H.,Baubet T., 2006).Le diagnostic de mort est un acte médicalet, tant que cela est possible, il est préférableque cela soit le médecin ayant fait leconstat qui puisse annoncer la mort. Dansla plupart <strong>des</strong> situations auxquelles sontconfrontés les établissements <strong>scolaire</strong>s, sila mort est constatée <strong>dans</strong> l'établissement,c'est le médecin du SAMU qui l'annonceaux parents et au chef d'établissement.L'information au reste de lacommunauté <strong>scolaire</strong> est du ressort duchef d'établissement ou de l'inspecteurd'académie, en présence du médecin, dupsychologue <strong>scolaire</strong> ou de l'infirmière,mais c'est à lui de prononcer le mot{( mort )l, afin de préserver le lien pédagogique(élève/enseignant) et le lien médical(élève/professionnel de santé). En casd'événement collectif (accident f<strong>une</strong>ste decar, incendie, effondrement de locaux,catastrophe naturelle ou industrielle),c'est un responsable administratif de lapréfecture ou de la mairie qui est habituellementchargé de cette annonce(Prieto N., Lebigot F., op. dt.).Le temps de l'annonce est un temps traumatique,un temps suspendu qui se fige<strong>dans</strong> la mémoire: longtemps après, lesmots, le visage <strong>des</strong> personnes, le contexte(lieu, jour, météo), restent ancrés <strong>dans</strong> lamémoire <strong>des</strong> personnes endeuillées. Celuiqui aprononcé le mot {( mort II est déFinitivementle porteur de cette f<strong>une</strong>ste nouvelleet peut inconsciemment être perçu commecelui qui aurait <strong>une</strong> responsabilité <strong>dans</strong> cedécès, c'est pour cela qu'il est tant que possiblepréférable que l'annonce soit faite par<strong>une</strong> personne moins impliquée affectivement.Par exemple, décréter en urgenceque, <strong>dans</strong> chaque classe, le professeur dumoment doive annoncer de façon impérativela mort aux élèves, c'est introduire l'enseignanten tant que porteur de ce messagef<strong>une</strong>ste, et participer à <strong>une</strong> confusion<strong>des</strong> rôles qui peut durablement affecter lelien enseignant-élève. Par ailleurs, lesenseignants se trouvent très souventdémunis pour répondre à<strong>des</strong> questions ouà <strong>des</strong>commentaires d'élèves, et leur désarroiparticipe au sentiment d'insécurité et lesmet à mal psychiquement autant qu'il meten souffrance les élèves... Communication auprès <strong>des</strong> famillesL'information auprès <strong>des</strong> parents estessentielle, <strong>une</strong> prise en charge spécifiquepeut leur être apportée, s'ils sont euxmêmesdirectement impliqués <strong>dans</strong> l'événement.Quelle que soit la nature <strong>des</strong>interventions proposées au sein de l'établissement<strong>scolaire</strong>, il est indispensableque les familles en soient averties, afin derestaurer le sentiment de sécurité, d'assurerun climat de confiance et de cohésioninstitutionnelle. Le dispositif décidé parl'établissement peut ne pas correspondreaux attentes <strong>des</strong> parents et, sans lisibilité,sans communication, les malentenduspeuvent s'enkyster et donner lieu à <strong>des</strong>réactions d'agressivité et de dénigrementà l'égard de l'institution <strong>scolaire</strong> et de sespersonnels; attitu<strong>des</strong> qui viennent renforcerle sentiment d'insécurité et qui peuventêtre <strong>des</strong> facteurs aggravant lestroubles auprès <strong>des</strong> élèves impliqués.L'information passe habituellement parun mot signé du chef d'établissement ettransmis par l'intermédiaire du carnet decorrespondance. Chaque mot doit êtreréfléchi et rédigé <strong>dans</strong> le respect de laconfidentialité et <strong>dans</strong> l'attention de touset, en particulier, <strong>des</strong> personnes décédéeset de leur famille. Il est important que lesnoms et les fonctions <strong>des</strong> personnesintervenantes soient précisément indiqués(ex. responsable CUMP, médecin,infirmière, chargés de la cellule d'écoute)ainsi que les moyens de les joindre. Lesparents sont également informés, par undocument écrit, <strong>des</strong> différents lieux ressourcesproposant <strong>des</strong> prises en chargeadaptées à l'extérieur de l'établissement.La mort est un. événement privé; lorsqu'ellese produit <strong>dans</strong> un établissement<strong>scolaire</strong>, elle représente <strong>une</strong> valencesociale forte, mais qui ne doit en rienmener l'établissement à <strong>des</strong> initiativesintrusives et déshumanisantes pour lesfamilles endeuillées. Ainsi, les initiativesconcernant les rituels de deuil (participationaux obsèques, quête, cadeaux, cérémonies,etc.) ne peuvent être menéessans l'accord <strong>des</strong> familles concernées. Parailleurs, les causes de la mort n'ont pas àêtre divulguées: il est, par exemple, inenvisageabled'indiquer « à la suite du suicidede tel élève... ll, car <strong>une</strong> telle précisionest <strong>une</strong> atteinte à la vie privée.• Communication auprès <strong>des</strong> personnelsLes professionnels de l'école risquent, enraison de leur fonction, d'être sollicités parles élèves (enseignant, conseiller principald'éducation, surveillant) et les familles(administratif, chef d'établissement). Il estnécessaire quils puissent être informés auplus tôt, et le plus justement possible, de cele Jurul .e5 psychologues


IL-I""Iqui vient bouleverser leur établissement.En cas d'événements se déroulant horspériode <strong>scolaire</strong> (vacances, week-end), lechef d'établissement prévient chacun <strong>des</strong>enseignants concernés en transmettant, àtous la même information et en restant sur<strong>des</strong> données factuelles. Il est souhaitablequ'un temps d'information soit effectué,dès que possible, par le chef d'établissement(et selon les cas avec l'inspecteurd'académie) avec l'ensemble de la communauté<strong>scolaire</strong> concernée, Cette réunionpermet de décrire le cadre du dispositif misen place; de répondre aux questions <strong>des</strong>personnels sur les conduites à tenir; d'expliquerl'importance de rester, chacun, <strong>dans</strong>sa fonction pour ne pas ajouter à la confusion;de rappeler les devoirs et obligationsde réserve, en tant que fonctionnaire àl'égard <strong>des</strong> médias; d'infomner de la tenueéventuelle de debriefing pour les personnelsimpliqués qui le souhaiteraient (habituellementproposé par la CUMP).• Communication auprès <strong>des</strong> médiasTout professionnel de l'institution <strong>scolaire</strong>est soumis en tant que fonctionnaire à<strong>une</strong> obligation de réserve qui interdittoute communication avec la presse, sansaccord préalable avec la hiérarchie. Lesinspections d'académie et les rectoratsont leurs propres services de communicationsusceptibles d'intervenir, à l'occasionde conférences de presse, afin d'informer<strong>des</strong> procédures mises en place, et de limiterles rumeurs.ConclusionLes contextes d'intervention en milieu<strong>scolaire</strong> par suite d'événements <strong>traumatiques</strong>sont difficiles, éprouvants, car ilsconfrontent à la détresse <strong>des</strong> sujets et à laperte de repères de l'institution. Ils nécessitentpour cela <strong>une</strong> réflexion préalable,de la part <strong>des</strong> responsables institutionnelset <strong>des</strong> professionnels, afin d'être enmesure de proposer <strong>une</strong> procédure adaptéeà chaque situation et d'instaurer unpartenariat constructif avec les institutionsextérieures susceptibles d'intervenir.Gérer <strong>des</strong> événements <strong>traumatiques</strong>nécessite de s'adapter àchaque situation:protocoliser de façon rigide et impérativel'organisation de ce type d'événementsreviendrait à imposer <strong>une</strong> représentationaseptisée et technicisée <strong>des</strong> sujets, qui netiendrait pas compte de la singularité dechaque situation. En ce temps si spécifiqued'accompagnement à l'ultime lim.itede la vie, <strong>une</strong> prise en charge normativeserait particulièrement déshumanisante,et ne ferait que renforcer les méfaits liésau trauma.!IllBiblio ra ~ieBaubet l, Moro M. 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({ Le Fil rouge )l.Crocq l., 2002, « Secours médicopsychologiques:le dispositif d'urgence».Soins psychiatrie, 118: 5-6.Duchet c., 2002, « Le psychotraumatismecollectiF 1), Annales médico-psychologiques,160(5-6) : q67-q69.Duchet c., Ducrocq F., Vaiva G. et al., 2004,« Présentation d'un modèle d'Interventionpsychothérapeutique post-immédiate IIpPI) Il,6' Joumée de l'AFoRCUMP, 11-12 juin, Lyon.Lebigot F., 2001, Les Traumatismespsychiques, Paris, Masson.Lebigot F., 2002, (1 L'effroi dutraumatisme psychique: le regarder en"'fiface ou s'en protéger Il, Stress et Trauma,2 (3): 139-1q6.Louville P., Ducrocq F" 2005, « Lescellules d'urgence médico-psychologique J),in Psychotraumatismes' Prise en charge ettraitements, Masson.Prieto N., Vignat J.-P., Weber E., 2002.Il Les troubles <strong>traumatiques</strong> précoces 1).Stress et Trauma, 2 (1) : 39-qq.Prieto N., Lebigot F., 2003, (1 Les soinspsychiques précoces en cas de catastrophe lI,Stress et trauma, 3(1): 29-33.Romano H., 2003, Il Enjeux psychiquesde la révélation d'abus sexuel en milieu<strong>scolaire</strong> ll, Thèse de doctorat depsychopathologie, Université de Rouen.Romano H., 2006, (1 Enfants et adolescentsface àun événement traumatique, quelleprise en charge en immédiat? ll, Stress ettrauma, 6(3): 239-2q6Romano H., Margenet A., 2005,Jehel L., 2006, Psychotraumatologie, Dunod. {( Les sortilèges du trauma en situationd'accident catastrophique Il, Synapse, 219.Kaës R. et al., 2002, Souffrance et psychopathologie<strong>des</strong> liens institués. 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SM0725» 24 au 26 sept. - 15 au 17 oct.Programmes détaillés, renseignements et inscriptions: www.lecopes.orgau"- 20, rue de Dantzig ­ 75015 ParisTél.: 01.53.68.93.40 - Fax: 01.53.68.93.45Email: copes-formation@wanadoo.fr, •• ,....,..-' " "']"'" '"fil

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