Urban BEAST #6

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#Entertainment | Cinema
LES COPRODUCTIONS LUXEMBOURGEOISES
Barrage, de Laura Schroeder
La réalisatrice luxembourgeoise Laura Schroeder a sorti
son deuxième long-métrage avec son nouveau film intitulé
Barrage. Catherine, la trentaine, revient au Luxembourg
pour renouer avec sa fille Alba (10 ans) qui a été élevée
par sa mère, Elisabeth. La jeune fille est froide et très
distante de Catherine qui n’arrive pas à l’accepter. Un jour,
alors qu’elle et Alba sont enfin seules, celle-ci se blesse au
bras. Craignant la réaction d’Elisabeth, Catherine enlève sa
propre fille. S’en suit un voyage insolite...
Mappamundi, de Bady Minck
Ce docu-fiction de 45 minutes a été réalisé par Bady Minck,
une réalisatrice, artiste et productrice luxembourgeoise.
Elle propose un voyage accéléré à travers les 950 millions
d’années nécessaires au développement de la Terre, les
150 000 années de déplacements des hommes et les
15 000 années de cartographies humaines. Ce film met
en lumière les multiples changements qu’a connu notre
planète Terre.
Richard the Stork, de Tobias Genkel et Reza Memari
Ce film d’animation raconte l’histoire de Richard,
un moineau adopté par une famille de cigognes. Ce dernier
est convaincu d’en être une lui-même. En tant qu’oiseaux
migrateurs, les cigognes repartent vers l’Afrique pendant
l’hiver et Richard veut les suivre. Commence alors une
aventure loufoque où Richard fera du stop, prendra le bus
ou encore le bateau pour rejoindre les cigognes.
Die Nacht des 1000 Stunden (Night of a 1000 hours),
de Virgil Widrich
La famille Ullich se retrouve dans son palace pour savoir
qui héritera de l’entreprise familiale. Au moment où elle
s’apprêtait à donner son consentement survient la mort
de la matriarche. À la surprise générale, celle-ci réapparait
avec des générations d’ancêtres décédés. Ces derniers
amènent avec eux les secrets de famille les plus enfouis.
Philippe Ullich et sa grande tante Renate, revenue d’entre
les morts, tombent amoureux l’un de l’autre. Les ancêtres
dévoilent également la véritable origine de la fortune
familiale.
Ethel & Ernest, de Roger Mainwood
Roger Mainwood a réalisé un film d’animation au récit plein
d’émotion qui retrace une traversée du siècle à travers la
vie de deux personnes : Ethel et Ernest. Tout commence
par une rencontre entre les deux jeunes gens en 1928, puis
le mariage et l’arrivée au monde d’un jeune garçon. Ethel
et Ernest sont solidement ancrés dans la classe ouvrière
anglaise qui subit la grande dépression, la seconde guerre
mondiale puis la prospérité de l’après-guerre ainsi que les
changements sociétaux de l’époque.
Bye bye Germany (Es war einmal in Deutschland),
de Sam Gabarski
L’histoire se déroule à Francfort en 1946. David Bermann et
ses amis ont survécu à la Shoah, ils n’ont désormais qu’un
seul but : partir pour l’Amérique. Se posent les problèmes
d’argent car le voyage coûte très cher. Ils montent une
entreprise de linge, mais très vite, le passé trouble de David
ressurgit. Pourquoi a-t-il un second passeport ? Pourquoi
était-il sur l’Obersalzberg, le lieu de résidence d’Hitler ?
Etait-il en contact avec lui ? Sara Simon, la traqueuse de
nazis, va mener l’enquête.
Chernobyl, de Franco Dipietro
Ce court-métrage réalisé par l’italien Franco Dipietro revient
sur la vie de couple de Cristiano et Anna qui ne peuvent
pas avoir d’enfants à cause de l’infertilité du premier. Ils
décident alors d’accueillir un enfant de Tchernobyl, Viktor.
Très vite ils forment une famille unie mais les traumatismes
du passé ressurgissent très vite et hantent le couple
tandis que Cristiano essaye de devenir un père.
A real Vermeer, de Rudolf van den Berg
Ce film est inspiré de l’histoire vraie du plus grand
faussaire d’art de tous les temps, le néerlandais Han
van Meegeren. Dans les années 1920, ce jeune peintre
n’arrive pas à convaincre les critiques d’art, jugeant sa
peinture dépassée et le prenant même pour un faussaire.
Pour leur prouver le contraire van Meegeren va réaliser
un faux Vermeer. Il réussit et continue sur cette lancée en
produisant de nombreuses copies. Un jour, l’officier nazi
Hermann Göring, sonne à sa porte, il cherche un Vermeer
pour sa collection privée.
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