VH-365

Propédeutique
à l’exégèse
approximative
du monde
contemporain
Ne nous le cachons pas : la majeure partie
des civilisations a procédé à des sacrifices
rituels pour perdurer. Exemple : la Crète,
dans la mythologie, vivait sous l’égide
du roi Minos, nommé ainsi à cause de la
taille de son sexe. Adoré par les Crétins
(habitants de la Crète mythologique), Minos
voulut faire le malin et demanda aux dieux
un taureau ultra classe qui était capable
de faire la danse de la victoire Floss avec
ses roubignoles. Le taureau s’accoupla
bruyamment avec la femme de Minos dans un
Air B’N’B de Dédale pour leur intimité et
de leur union naquit le jeune Minotaure,
mi-homme mi-zanthrope. Minos, bien embêté
avec son beau-fils qu’il confina aussitôt,
proclama qu’il fallait offrir en sacrifice
sept jeunes garçons et sept jeunes filles
en pâture à ce monstre d’égoïsme. Ainsi,
dans le futur, un dédale contemporain créa
Parcoursup, dont l’anagramme est presque
semblable au mot « labyrinthe ».
Lorsque l’on parle de génération sacrifiée,
on oublie souvent que l’éthymologie (origine
des mots surgie dans l’ivresse dionysiaque)
du mot « sacrifice » est lat(r)ine : « sacer
facere », littéralement « ça sert de serrer
les fesses », référence à la peur de l’homme
de rester sans papier toilette, comme en
témoigne l’empressement d’une majeure
partie de la France de reproduire chez elle
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