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2 d SEMESTRE<br />
THÉOLOGIE<br />
Introduction<br />
À l’Ancien Testament :<br />
« Il a parlÉ par<br />
les prophÈtes » (II)<br />
Mardi ❙ 8h45-12h<br />
Philippe Cazala<br />
Voir argumentaire du 1 er semestre, p. 11.<br />
Introduction<br />
au Nouveau Testament :<br />
La tradition évangélique<br />
Vendredi ❙ 8h45-12h<br />
Henry de Villefranche<br />
4 ECTS<br />
4 ECTS<br />
Le semestre est consacré à l’étude des<br />
Évangiles synoptiques. Pour lire convenablement<br />
un Évangile, il est nécessaire de comprendre<br />
comment il est écrit. Nous introduirons<br />
chacun des Évangiles et on évaluera des<br />
caractéristiques de chacun, en repérant tant<br />
les divergences que les convergences. Des<br />
péricopes significatives seront analysées en<br />
synopse. Nous initierons à la critique textuelle<br />
du Nouveau Testament et nous attacherons<br />
s’attachera à décrypter le rapport du texte à<br />
l’histoire comme à la théologie.<br />
Liturgie : célébrer<br />
la liturgie du Christ<br />
et de l’Église<br />
Jeudi ❙ 8h45-10h15<br />
3 ECTS<br />
Pascal Thuillier<br />
La liturgie doit être considérée comme la<br />
célébration du mystère pascal du Christ par<br />
l’Église. Cette célébration s’exprime dans un<br />
ars celebrandi à travers un langage qui lui<br />
est propre (signes, symboles et rites) comme<br />
annonce du salut dans le temps des hommes<br />
où se manifeste la foi au Christ ressuscité.<br />
L’approfondissement de ces éléments durant<br />
ce cours se propose de poser les bases d’une<br />
connaissance et d’un discernement à la fois<br />
théologique et pastoral qui ne se confond pas<br />
avec les aspects cérémoniels.<br />
Histoire de l’Église<br />
(de 756 à 1453)<br />
Mercredi ❙ 14h30-16h<br />
3 ECTS<br />
Marie-Hélène Grintchenko<br />
L’Église se développe dans la chrétienté latine<br />
qui s’élabore sous les Carolingiens. Après le<br />
chaos du premier âge féodal, elle s’affirme au<br />
milieu des tensions entre pouvoirs temporel<br />
et spirituel. Tour à tour, elle subit ou encadre<br />
les changements de la société, mais les Latins<br />
s’éloignent des Grecs. L’Église poursuit son<br />
expansion missionnaire et s’enrichit de plusieurs<br />
réformes monastiques. La papauté s’appuie<br />
sur les conciles, les ordres mendiants et la<br />
naissance de l’université au XIII e siècle, avant<br />
que la crise institutionnelle et spirituelle du bas<br />
Moyen Âge signe le déclin de la chrétienté.<br />
PHILOSOPHIE<br />
MÉtaphysique<br />
Mercredi ❙ 8h45-12h<br />
4 ECTS<br />
David Rabourdin<br />
Ce cours vise à l’appropriation, par l’étudiant,<br />
des catégories et distinctions classiques<br />
– substance et accident, matière et forme, puissance<br />
et acte, essence et existence, etc. – qui<br />
soutiennent l’interrogation métaphysique, afin<br />
de découvrir les enjeux actuels d’une méditation<br />
sur l’être et les êtres, sur l’esprit et sa vie, sur le<br />
vrai, le beau et le bien, ainsi que sur la notion de<br />
« personne ». L’appui sur les auteurs classiques,<br />
notamment sur saint Thomas d’Aquin, permet<br />
d’envisager les problématiques contemporaines<br />
qui marquent le déploiement d’une pensée de<br />
Dieu, de l’âme et du monde.<br />
Éthique<br />
philosophique<br />
Lundi ❙ 10h30-12h<br />
4 ECTS<br />
Blandine Humbert<br />
Il n’y a de « morale » que par rapport<br />
à l’affirmation de la liberté humaine.<br />
Mais qu’est-ce que la liberté ?<br />
Les philosophies morales qui veulent expliquer<br />
la moralité par des fondements archéologiques<br />
dont l’homme dépendrait inconditionnellement<br />
montrent l’importance des situations humaines,<br />
mais ne sauraient rendre compte de la<br />
transcendance de la loi morale et de la liberté<br />
humaine : la philosophie morale n’est alors<br />
plus normative, mais descriptive.<br />
Si la liberté est bien autonomie de l’homme,<br />
dans le sens où l’homme s’engage dans ses<br />
choix, les philosophies morales qui prennent<br />
l’homme comme unique référence ne peuvent<br />
tenir compte de la condition humaine médiatrice<br />
entre des données objectives et une spiritualité<br />
ouverte à des réalités supérieures. Le théocentrisme<br />
est à la fois reconnaissance d’un<br />
dessein créateur et d’une orientation naturelle<br />
de l’homme vers le bien et permet de rendre<br />
compte de l’intégralité de la personne humaine,<br />
appelée à répondre librement à ce qu’elle est.<br />
Une phénoménologie de la chair permet<br />
de tenir une ligne de crête entre subjectivisme<br />
et théocentrisme.<br />
1 er cycle - FI 1 er cycle - FDP 2 e cycle 3 e cycle & recherche AUTRES FORMATIONS<br />
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