9. Gesellschaftliche Verantwortung - CHdN - Centre Hospitalier du ...
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JAHRESBERICHT<br />
RAPPORT ANNUEL<br />
2009<br />
C E N T R E H O S P I T A L I E R d U N O R d I H ô P I T A L S T L O U I S I 2 0 , A v E N U E S A L E N T I N y I L- 9 0 8 0 E T T E L B R U C k
ABküRzUNgSvERzEICHNIS / ABREvIATIONS<br />
<strong>CHdN</strong> <strong>Centre</strong> <strong>Hospitalier</strong> <strong>du</strong> Nord<br />
CNS Caisse Nationale de Santé<br />
CSJ Clinique St Joseph<br />
CSL Clinique St Louis<br />
HSL Hôpital St Louis<br />
LTPS Lycée Technique pour Professions de Santé
PREFACE<br />
C’est avec une certaine nostalgie que j’écris<br />
cette préface pour le rapport annuel 2009, le<br />
dernier de l’Hôpital St Louis (HSL).<br />
En effet, le nouveau <strong>Centre</strong> <strong>Hospitalier</strong> <strong>du</strong><br />
Nord (<strong>CHdN</strong>) issu de la fusion de l’HSL d’Ettelbruck<br />
avec la Clinique St Joseph (CSJ) de<br />
Wiltz, a vu le jour le 1er janvier 2010, réglementé<br />
par la loi <strong>du</strong> 20 avril 200<strong>9.</strong><br />
Brièvement quelques dates clés de la courte<br />
vie de l’HSL :<br />
Construit en 5 ans, d’octobre 1998 – octobre<br />
2003, la séance académique a eu lieu le<br />
24 octobre 2003 et l’ouverture des services<br />
s’est faite le 8 novembre 2003.<br />
Durant les années écoulées, l’activité journalière<br />
n’a cessé de progresser, mais la qualité<br />
des services n’en a pas souffert.<br />
L’HSL s’est fait un excellent renom par sa<br />
compétence médicale, sa qualité des soins<br />
infirmiers, l’accueil chaleureux, le confort<br />
hôtelier et le travail inlassable des services<br />
administratifs et informatiques.<br />
C’étaient les atouts majeurs pour faire de<br />
l’HSL un hôpital à visage humain.<br />
Le patient au centre de nos préoccupations<br />
était le point fort de la Clinique St Louis<br />
(CSL) et de l’HSL, et ce „Leitmotiv” restera<br />
la préoccupation <strong>du</strong> nouveau <strong>CHdN</strong>.<br />
2009 était aussi l’année de la démolition de<br />
l’ancienne CSL et de l’aménagement d’un<br />
parking écologique augmentant sensible-<br />
ment les emplacements disponibles pour les<br />
patients, les visiteurs et le personnel.<br />
En 2009, l’HSL a signé une convention par<br />
bail emphytéotique avec la commune d’Ettelbruck<br />
pour une période de quatre-vingtdix-neuf<br />
ans pour la jouissance des terrains<br />
<strong>du</strong> site de l’HSL et de l’ancienne CSL.<br />
D’autre part, 2009 était l’année des travaux<br />
préparatoires au démarrage sans accrocs<br />
et sans encombres <strong>du</strong> nouvel établissement<br />
public <strong>CHdN</strong>.<br />
Mes remerciements vont aux autorités communales<br />
pour leur appui chaleureux et pour<br />
leur confiance envers nous tous, envers la<br />
commission administrative, les médecins et<br />
le personnel.<br />
Je ne peux que réitérer mes remerciements<br />
pour le travail fourni par nos médecins, par<br />
notre direction et par tous les membres <strong>du</strong><br />
personnel ainsi que par mes collègues de la<br />
commission administrative. Ensemble, nous<br />
avons su créer une ambiance familiale et de<br />
solidarité commune, introuvable dans n’importe<br />
quelle autre institution hospitalière.<br />
Nous avons donné une âme, une vie à notre<br />
Hôpital.<br />
Cette ambiance familiale était vécue et bien<br />
visible dans le travail journalier et lors de<br />
nos diverses manifestations.<br />
J’espère que le nouvel établissement public<br />
le <strong>CHdN</strong> trouvera sur les deux sites d’Ettelbruck<br />
et de Wiltz rapidement son rythme de<br />
HSL 2009 I 3
croisière et surmontera les premiers inhérents<br />
normaux à chaque fusion.<br />
Dommage que la crise financière survenue<br />
en 2009 et ses suites pour 2010 et 2011, nous<br />
oblige à faire des efforts conjoints pour que<br />
les budgets futurs restent en équilibre.<br />
Je suis confiant, que nous surmonterons<br />
ensemble ces turbulences et que nous arriverons<br />
à bon port.<br />
Bonne chance au <strong>CHdN</strong>.<br />
Marc Mohr<br />
président de la commission administrative<br />
HSL 2009 I 4
HSL 2009 I 5
INHALTSvERzEICHNIS<br />
Préface 3<br />
Teil i • Strukturen, Prozesse, Projekte 9<br />
1. Unit Dose 10<br />
2. einführung eines Triage-Systems in der Notaufnahme (Poliklinik) 13<br />
3. Chronischer und akuter Schmerz 15<br />
4. Démolition „ancienne clinique” 20<br />
5. Onkologische Versorgung: „Tumour Board” 24<br />
6. Patienteninformation und -schulung 26<br />
.1 Schulung: Diabetes und Antikoagulation 2<br />
.2 Einrichtung einer ambulanten Pflegesprechstunde zur Verbesserung<br />
der präoperativen Vorbereitung bei Kindern 28<br />
7. Zusammenarbeit mit den Hausärzten 29<br />
8. innovative Pflegekonzepte 31<br />
Teil ii • ergebnisse 35<br />
<strong>9.</strong> ergebnisse der nationalen Patientenbefragung (Picker-institut / Schweiz) 36<br />
<strong>9.</strong>1 Pädiatrie 3<br />
<strong>9.</strong>2 Erwachsene 40<br />
10. Beschwerdemanagement 44<br />
11. einzugsgebiete 2007 - 2009 46<br />
HSL 2009 I
12. Mitarbeiter 47<br />
12.1 Personalbilanz 4<br />
12.2 Jubiläen und Ehrungen 49<br />
12.3 Arbeitsunfälle 49<br />
12.4 Umsetzung von dezentralen Projekten aus der Mitarbeiterbefragung 200 50<br />
12.5 Fort- und Weiterbil<strong>du</strong>ng 52<br />
12. Blitzlichter vom Sommerfest „Come together” 54<br />
13. <strong>Gesellschaftliche</strong> <strong>Verantwortung</strong> 55<br />
13.1 „Back to the roots – Kann Fortschritt auch ein Schritt zurück sein?” 55<br />
13.2 „Schnupperstages” 58<br />
13.3 Ökologie im Krankenhaus 59<br />
13.4 Veranstaltungen 2009 0<br />
14. Zentrale ergebnisse 62<br />
14.1 Leistungsentwicklung 2<br />
14.2 ICD-10 Übersichten mit Fallzahlen 4<br />
14.3 Allgemeine medizinische und pflegerische Qualitätsindikatoren<br />
14.4 Qualitätsindikatoren in der Schlaganfallversorgung 8<br />
14.5 Finanzielle Kennzahlen 9<br />
14. Umfassende Qualitätsbewertung 2009 0<br />
Teil iii • Anhang 71<br />
15. Gremien und Personen 72<br />
16. Historische entwicklung 73<br />
HSL 2009 I
TEIL I<br />
STRUkTUREN, PROJEkTE,<br />
PROzESSE<br />
HSL 2009 I 9
1. Unit Dose<br />
Automatisation de la distribution<br />
unitaire des médicaments à la<br />
pharmacie<br />
Historique<br />
Le projet de distribution unitaire des médicaments<br />
a été lancé en 2004 dans notre institution<br />
suite à une volonté de respecter la loi relative à<br />
la pharmacie hospitalière <strong>du</strong> 1er mars 2002 ; en<br />
effet, ce mode de délivrance permet une distribution<br />
sûre, économique et efficace.<br />
L’idée de combiner ce projet à celui de la prescription<br />
informatisée était un pas de plus dans<br />
le processus vers la sécurité thérapeutique.<br />
En avril 200 , les premiers traitements ont été<br />
préparés manuellement pour quelques patients<br />
de l’US 41 (service de neurologie); les médicaments<br />
étaient classés par heure de prise (8 h,<br />
10 h, 12 h, 1 h, 18 h, 20 h, 24 h) dans un tiroir<br />
dédié à un patient et pour 1 jour.<br />
Début 2008, alors que 2 unités de soins (soit 54<br />
lits) étaient préparées en distribution unitaire<br />
nominative, les premières démarches ont été<br />
faites pour automatiser le procédé.<br />
A partir de juillet 2009, ce sont 91 lits qui sont<br />
distribués unitairement et manuellement.<br />
HSL 2009 I 10<br />
Automatisation de la distribution unitaire des<br />
médicaments<br />
Le facteur limitant au déploiement de la distribution<br />
unitaire est inévitablement le manque de<br />
ressources en personnel.<br />
De plus, la traçabilité ne peut être garantie avec<br />
le système manuel puisque chaque dose ne possède<br />
pas nécessairement un code-barres. Ce<br />
dernier permet en effet d’identifier et de tracer<br />
les mouvements de chaque sachet pro<strong>du</strong>it (sécurisation<br />
<strong>du</strong> circuit <strong>du</strong> médicament.)<br />
Le système retenu par le HSL, permet le découpage,<br />
le conditionnement, le stockage et la<br />
dispensation de doses unitaires.<br />
Avantages de l’automatisation :<br />
la préparation <strong>du</strong> traitement correspond exactement<br />
à la prescription<br />
• heures de prise exactes et pas selon un créneau<br />
„matin – midi - soir”,<br />
• les fractions de comprimés sont également<br />
délivrées.<br />
Presque toutes les formes galéniques peuvent<br />
être distribuées en dose unitaire (comprimés,<br />
gélules, ampoules, vials, flapules, suppositoires,<br />
sachets, …) avec l’avantage de conserver leur<br />
emballage d’origine ( important pour des raisons<br />
de stabilité et d’hygiène ).
Traçabilité : chaque dose unitaire reçoit un<br />
code-barres unique lui permettant d’être traçée<br />
depuis sa fabrication jusqu’à l’administration au<br />
patient (lecture <strong>du</strong> code-barres et intégration<br />
dans le dossier patient via l’interface). Pour les<br />
médicaments ne pouvant être distribués directement<br />
par l’automate (trop volumineux, stupéfiants,<br />
médicaments réfrigérés,…), la traçabilité<br />
peut être assurée par un étiquetage unitaire<br />
› donc aucune perte de données.<br />
Sécurité et fiabilité / Garantie que:<br />
Le BON médicament est administré au BON moment<br />
à la BONNe heure et selon la prescription<br />
médicale établie.<br />
Tous les médicaments d’un patient sont regroupés<br />
sur un clip muni d’une étiquette portant<br />
un code–barres identifiant le patient. Lors<br />
de l’administration <strong>du</strong> médicament au patient,<br />
l’infirmière vérifie qu’il s’agit <strong>du</strong> bon patient en<br />
lisant le code-barres figurant sur le bracelet<br />
<strong>du</strong> patient qui doit correspondre à celui de l’étiquette<br />
regroupant les médicaments. Ensuite,<br />
lecture <strong>du</strong> code-barres <strong>du</strong> médicament devant<br />
être administré et contrôle par rapport à ce qui<br />
a été prescrit par informatique (le bon médicament<br />
au bon moment).<br />
De plus, analyse systématique par un pharmacien<br />
des prescriptions avec vérification des<br />
doses et contrôle des interactions médicamenteuses.<br />
Chaque retour de médicament peut être réintégré<br />
dans le stock de l’automate puisque nous<br />
disposons de toutes les informations nécessaires,<br />
à savoir :<br />
• nom commercial<br />
• forme galénique (comprimée, ampoule, sachet,<br />
...)<br />
• principe actif<br />
• numéro de lot<br />
• date de péremption<br />
• code-barres unique d’identification <strong>du</strong> sachet<br />
(permettant d’enregistrer tous les mouvements<br />
de ce sachet)<br />
La gestion de ces retours est automatique (médicaments<br />
remis dans le stock de l’automate).<br />
les armoires dans les unités de service (stock<br />
tampon de médicaments pour l’administration<br />
en dehors des heures d’ouverture de la pharmacie)<br />
sont également réapprovisionnées par<br />
l’automate avec une garantie de la gestion des<br />
péremptions et de la traçabilité.<br />
L’automatisation permet de retarder la préparation<br />
des traitements ce qui engendre une bonne<br />
corrélation avec le passage des médecins dans<br />
les unités de soins et la rédaction des ordonnances.<br />
Les modifications éventuelles sont<br />
prises en compte jusqu’à 10h30 avant que ne<br />
commence la préparation.<br />
HSL 2009 I 11
l’inventaire automatisé <strong>du</strong> stock de l’automate<br />
est possible à tout moment.<br />
L’informatisation de la gestion de l’automate garantit<br />
un meilleur contrôle des péremptions.<br />
En conclusion, l’automatisation garantit un niveau<br />
qualitatif élevé ayant pour finalité la sécurité<br />
<strong>du</strong> patient en prévenant les erreurs de préparation<br />
et d’administration des médicaments<br />
ainsi qu’en assurant la traçabilité.<br />
Quelques chiffres<br />
En 2009, 1 . 24 ordonnances informatiques ont<br />
été rédigées par les médecins et contrôlées par<br />
la pharmacie et ceci pour 2.002 patients (US 41,<br />
42, 52 et 53).<br />
3 0. 90 médicaments ont été distribués unitairement.<br />
A partir d’octobre 2009, les traitements des US<br />
52 et 53 ont été préparés via l’automate ce qui a<br />
représenté plus de 21.200 doses en 3 mois.<br />
Environ 80 % de ce qui a été prescrit a été délivré<br />
via l’automate (20% étant des pro<strong>du</strong>its trop<br />
volumineux, des stupéfiants, des médicaments<br />
réfrigérés et des „hors formulaire“).<br />
La capacité de stockage d’une armoire automatisée<br />
est de .000 doses.<br />
HSL 2009 I 12
2. einführung eines Triage-Systems<br />
in der Notaufnahme<br />
(zentrale Poliklinik)<br />
Im Jahre 2008 hat die Arbeitsgruppe „Qualität“<br />
mehrere Projektaufträge an die Direktion herangetragen.<br />
Einer dieser Projektaufträge, das sogenannte<br />
Manchester-Triage-System (MTS), wurde vom<br />
Direktionskonzil im Februar 2009 freigegeben.<br />
Es handelt sich um die Einführung eines systematischen<br />
Bewertungssystems des Notfallgrades<br />
und der darauffolgenden fachmedizinischen<br />
Zuordnung in der Notaufnahme.<br />
Zur besseren Steuerung der Dringlichkeit des<br />
Notfalls wurde eine farbliche Kennzeichnung<br />
und eine Unterteilung in Notfallgrade eingeführt.<br />
Es resultiert daraus eine dem Notfallgrad angepasste<br />
Wartezeit und somit eine „bestpracticed“<br />
Notfallversorgung.<br />
HSL 2009 I 13
Das Manchester-Triage-System (MTS) setzt somit<br />
Massstäbe für die Optimierung des Patientenflusses<br />
in einer zentralen interdisziplinären<br />
Notfallaufnahme.<br />
Das MTS wurde 1994/95 von einem Team aus<br />
Ärzten verschiedener Fachdisziplinen und Pflegekräften<br />
aus Notfallaufnahmen ins Leben gerufen.<br />
Das MTS ist ein 5-stufiges Konzept mit einer<br />
Farbkodierung. Prinizipiell orientiert sich die<br />
Einstufung des Patienten in die eine oder andere<br />
Kategorie an den Symptomen des Patienten,<br />
nicht an Diagnosen.<br />
HSL 2009 I 14<br />
Hierbei arbeitet das MTS mit typischen Flussdiagramm-Symbolen.<br />
Wie auch in anderen Systemen<br />
gibt es so genannte Indikatoren (Diskriminatoren),<br />
anhand derer die Einteilung zu den<br />
vorgegebenen Dringlichkeitsstufen erfolgt.<br />
Diese ca. 200 Indikatoren sind in 50 Flussdiagramme<br />
zu verschiedenen Beschwerdekomplexen<br />
zusammengefasst. Unterschieden werden<br />
generelle und spezielle Indikatoren.<br />
Ab Februar 2010 wird dieses System mit -monatiger<br />
Testzeit in der zentralen Poliklinik im<br />
neuen <strong>CHdN</strong> angewandt werden.
3. Chronischer und akuter Schmerz<br />
Die ganzheitliche Behandlung von Schmerzen<br />
bzw. deren Vermei<strong>du</strong>ng besitzt seit längerer<br />
Zeit im HSL einen hohen Stellenwert im<br />
Rahmen des ganzheitlichen Pflegekonzeptes<br />
(ethische und humanistische Werte).<br />
Eine für alle Dienste geltende Proze<strong>du</strong>r, basierend<br />
auf internationalen Richtlinien, ist im<br />
Règlement général hinterlegt.<br />
HSL 2009 I 15
Im Leitbild des HSL sind die Grundsätze der<br />
Schmerzbehandlung verankert:<br />
• Die Behandlung bzw. Vermei<strong>du</strong>ng von<br />
Schmerzen obliegt einer gesetzlichen Vorgabe.<br />
• Jeder Patient wird vor unnötigen Schmerzen<br />
geschützt / alle akuten oder chronischen<br />
Schmerzen werden erleichtert.<br />
• Die Behandlung beschränkt sich nicht auf die<br />
körperlichen Schmerzen / eine Betreuung<br />
der psychologischen bzw. emotionalen Komponenten<br />
(z.B. Angst) ist vorgeschrieben.<br />
Jeder Patient wird über die Möglichkeiten der<br />
Schmerzbehandlung und seiner diesbezüglichen<br />
Rechte informiert.<br />
Bei jedem Patienten werden mögliche Schmerzen<br />
nachgefragt bzw. mit anerkannten Instrumenten<br />
evaluiert.<br />
An der Entstehung und Aufrechterhaltung von<br />
Schmerzen können vielfältige Einflussfaktoren<br />
beteiligt sein und sich in einem Teufelskreis<br />
wechselseitig verstärken. Wir sprechen in diesem<br />
Zusammenhang von einem bio-psychosozialen<br />
Schmerz- und Krankheitsverständnis,<br />
das die wechselseitige Beeinflussung von Körper,<br />
Psyche und Umwelt berücksichtigt.<br />
HSL 2009 I 1<br />
Auszug aus der Patientenbroschüre<br />
Zur Verbesserung der Schmerzbehandlung in<br />
der Notaufnahme wurde die Wahl des „Manchester-Triage-Konzeptes“<br />
begünstigt. Akute<br />
starke Schmerzen werden hierbei als dringende<br />
Behandlungssituationen eingeordnet.
Ranking nach bestem Resultat<br />
Maximaler Schmerz Ranking 10 (115 beteiligte Krankenhäuser)<br />
Nebenwirkungen Ranking (115 beteiligte Krankenhäuser)<br />
Zufriedenheit Ranking 1 (115 beteiligte Krankenhäuser)<br />
Eine besondere Herausforderung liegt in der<br />
Evaluation und Behandlung von Patienten mit<br />
abwesenden bzw. verminderten Kommunikationsmöglichkeiten.<br />
Die medikamentöse Behandlung postoperativer<br />
Schmerzen beschränkt sich nicht auf<br />
die Behandlung von bereits aufgetretenen<br />
Schmerzen, sondern es wird eine „präemptive“<br />
Schmerzbehandlung <strong>du</strong>rchgeführt. Das<br />
heißt, die interventionstypischen, voraussichtlich<br />
auftretende Schmerzen werden schon vor<br />
ihrer Entstehung im Therapiekonzept berücksichtigt<br />
und vermieden.<br />
Ein Schwerpunkt besteht auch in der Vermei<strong>du</strong>ng<br />
von Analgetika-Nebenwirkungen, wie<br />
Übelkeit oder Magenschmerzen.<br />
Die Effektivität der postoperativen Schmerzbehandlung<br />
wird seit 2009 in einem externen<br />
Benchmark-Projekt verglichen: QUIPS<br />
(Qualitätsverbesserung in der postoperativen<br />
Schmerztherapie): ± 115 Krankenhäuser aus<br />
Deutschland, Österreich und Luxemburg (siehe<br />
Tabelle).<br />
Schmerzen vermeiden<br />
Entscheidend für die guten Resultate der<br />
Schmerzbehandlung (im externen Vergleich<br />
von Befragungen / Schmerzscores) ist die Zusammenarbeit<br />
von Referenzpersonen aus allen<br />
Pflegegruppen.<br />
Workshops zum Austausch von Erfahrungen<br />
und zur Fortbil<strong>du</strong>ng (z.B. 3-tägige multidisziplinäre<br />
Fortbil<strong>du</strong>ng <strong>du</strong>rch Fachexperten der<br />
Universität Straßburg: „chronischer Schmerz,<br />
wenn Körper und Psyche leiden“) finden regelmäßig<br />
statt.<br />
Chronische Schmerzen sind gekennzeichnet<br />
<strong>du</strong>rch lang andauernde (über 3 Monate) und<br />
/ oder immer wiederkehrende Phänomene.<br />
Sie können eine dauerhafte Schädigung eines<br />
Organs reflektieren, lösen sich allzu oft von<br />
der ursprünglich zugrunde liegenden Schädigung<br />
und es kommt langfristig zu physiologischen<br />
und psychischen Veränderungen des<br />
Schmerzerlebens. Chronischer Schmerz kann<br />
eine Krankheit an sich darstellen. Die üblichen<br />
Erklärungsmodelle und Therapiestrategien<br />
des akuten Schmerzes sind keinesfalls auf<br />
den chronischen Schmerz übertragbar.<br />
HSL 2009 I 1
Bedarf<br />
In Luxemburg leben ungefähr 30.000 Patienten<br />
mit chronischen Schmerzen. Von diesen<br />
Patienten haben ca. 12% therapieresistente<br />
Beschwerden und benötigen einen Therapieansatz<br />
<strong>du</strong>rch eine multidisziplinäre Schmerzgruppe.<br />
Die CNS hat dem Antrag zum Aufbau eines multidisziplinären<br />
Schmerzdienstes zugestimmt.<br />
Das interdisziplinäre Team besteht aus Ärzten<br />
verschiedener Fachrichtungen, einer Psychologin,<br />
einem Physiotherapeuten (bei Bedarf<br />
Ergotherapeuten und Sozialassistenten) sowie<br />
einer pflegerischen Koordinationsstelle.<br />
Der Erfolg liegt in der spezifischen, auf den<br />
Patienten zugeschnittenen, Behandlung. Das<br />
Konzept hat sich bewährt und die Zahl der Patienten<br />
nimmt stetig zu.<br />
HSL 2009 I 18<br />
Ablaufbeschreibung<br />
Rollenverteilung innerhalb<br />
des multidisziplinären Teams<br />
Therapeut Aufgaben<br />
• Anamnese<br />
• Untersuchung relevanter physiologischer<br />
und<br />
Arzt<br />
pathologischer Bedingungen<br />
• Medizinische Diagnose<br />
• Information über<br />
Behandlungsprogramm<br />
• Untersuchung der<br />
Muskulatur und des Skeletts<br />
Physio- • Übungsanleitung<br />
therapeut • Patienteninformation:<br />
Funktion des Skeletts und der<br />
Muskulatur<br />
• Psychologische<br />
Untersuchung und Diagnose<br />
• Patienteninformation: biopsychosoziales<br />
Schmerzmodell<br />
Psychologe<br />
• Vermittlung von Techniken zur<br />
Schmerzbewältigung<br />
• Beeinflussung exzessiven<br />
Schmerzverhaltens<br />
In den wöchentlichen Fallbesprechungen werden<br />
indivi<strong>du</strong>elle patientenbezogene Therapiekonzepte<br />
erstellt.
elemente der psychologischen<br />
Schmerztherapie<br />
1. Diagnostik und Schmerzmodell<br />
2. Therapeutische Maßnahmen:<br />
• Vermittlung eines biopsychosozialen<br />
Schmerzmodells<br />
• Informationen zur Schmerzwahrnehmung,<br />
-entstehung und -beeinflussung<br />
• Schmerzauslösende, -verstärkende und<br />
-lindernde Faktoren<br />
• Psychische Komorbiditäten<br />
• Belastungsfaktoren/Stressoren<br />
• Ressourcen<br />
• Biographische Aspekte der Schmerzerfahrung<br />
• Einstellungen und Überzeugungen zum<br />
Schmerz<br />
• Akzeptanz von Schmerzen<br />
• Konfliktanalyse<br />
• Aufbau von Selbstwirksamkeit, Erleben von<br />
Veränderbarkeit, Verringerung der Hilflosigkeit<br />
• Veränderung von Schmerzkognitionen/Befürchtungen<br />
zum Schmerz<br />
• Körperwahrnehmungs- und Entspannungsübungen,<br />
Biofeedback<br />
• Fokusverlagerung auf nicht-schmerzbezogene<br />
Lebensthemen, Genusstraining<br />
• Psychotherapeutische Behandlung von psychischen<br />
Komorbiditäten<br />
Ablauf chronischer Schmerzdienst<br />
HSL 2009 I 19
4. Démolition „ancienne clinique“<br />
Entreprise de démolition:<br />
Olivi & Rodrigues Démolitions S.A.<br />
Début : 20 janvier 2009<br />
Fin : 1 juin 2009<br />
Coût financé par l’HSL : € 18.350,95 (TTC)<br />
Déchets éliminés par 8 5 camions :<br />
amiante 0 kg<br />
bétons armés 1.89 .480 kg<br />
bois 182.340 kg<br />
débris électroniques 20 m 3<br />
bétons, briques,… 8.535.980 kg<br />
laine de verre .040 kg<br />
mélanges 33 . 40 kg<br />
huiles et rési<strong>du</strong>s 3.000 litres<br />
roofing 5.180 kg<br />
styro<strong>du</strong>r 1 m 3<br />
verre 12 m 3<br />
terres argileuses 4.988.250 kg<br />
Eau consommée pour ré<strong>du</strong>ire<br />
les poussières: 8.2 2.000 litres (8.2 2 m 3 )<br />
HSL 2009 I 20<br />
Mesures hygiéniques <strong>du</strong>rant les travaux<br />
Suite aux travaux de démolition, l’air à l’intérieur<br />
de notre hôpital risquait d’être contaminé<br />
par l’Aspergillus et d’autres champignons pathogènes.<br />
Les patients vulnérables car immunodéprimés<br />
et malades risquaient de s’infecter<br />
en sorte qu’un groupe de travail s’est constitué<br />
pour se remédier à cette pollution et pour assurer<br />
aux patients une qualité de l’air conforme<br />
aux règles et usages applicables.<br />
Les mesures mises en place ont été :<br />
• Les changements des filtres HEPA sur le système<br />
de renouvellement de l’air,<br />
• la fermeture systématique de toutes les fenêtres<br />
avec un mot d’ordre strict et bien suivi,<br />
• un renforcement de l’entretien ménager, surtout<br />
dans les services à risque,<br />
• des prélèvements de l’air extérieur et intérieur<br />
tous les 15 jours,<br />
• l’information des résultats de prélèvement au<br />
groupe de travail,<br />
• des informations au personnel via intranet.
D’ailleurs, et comme on le voit dans les chiffres<br />
ci-dessous, le nombre de patients contaminés<br />
par ce type de germe <strong>du</strong>rant l’année 2009 n’a<br />
pas été plus important que les années précédentes.<br />
Et aucun cas d’aspergillose nosocomiale<br />
n’a été signalé.<br />
Colonnies Aspergillus<br />
Bien que les concentrations à l’extérieur et dans<br />
les „zones tampons“ soient élévées, les mesures<br />
mises en place garantissent une sécurité à<br />
l’intérieur <strong>du</strong> bâtiment.<br />
Un suivi des prélèvements, vue l’expérience<br />
acquise, sera assuré <strong>du</strong>rant les prochaines années<br />
et la même procé<strong>du</strong>re s’appliquera au site<br />
Wiltz <strong>du</strong>rant les travaux de modernisation.<br />
HSL 2009 I 21
22.01.2009<br />
22.01.2009<br />
12.02.2009 24.06.2009<br />
HSL 2009 I 22<br />
06.04.2009<br />
20.05.2009
Après démolition, aménagement d’un parking<br />
écologique de 1 3 emplacements.<br />
15.0<strong>9.</strong>2009<br />
27.10.2009<br />
30.10.2009 inauguration 07.06.2010<br />
HSL 2009 I 23<br />
Vue de l’HSl „by night”<br />
01.05.2010<br />
30.05.2010
5. Onkologische Versorgung: „Tumour Board“<br />
Un traitement médical doit répondre essentiellement<br />
à deux critères de qualité :<br />
Il faut non seulement qu’il soit administré de manière<br />
correcte (ceci est assuré par des conditions<br />
structurelles et procé<strong>du</strong>rales dans lesquelles il<br />
est fourni) mais il doit surtout être adéquat et<br />
adapté aux besoins spécifiques <strong>du</strong> patient. Cet<br />
aspect, qui nécessite une attitude indivi<strong>du</strong>alisée<br />
centrée sur le patient, ne peut être assuré par<br />
les seules modalités infrastructurelles ou procé<strong>du</strong>rales<br />
préétablies ou prédéfinies selon des<br />
cas de figures plus ou moins généralisables.<br />
Pour les décisions indivi<strong>du</strong>elles quant à la démarche<br />
thérapeutique à proposer à un patient<br />
oncologique (c’est – à – dire porteur d’une affection<br />
maligne) les médecins de l’HSL ont ensemble<br />
avec la direction de la clinique mis sur pied<br />
depuis fin 2008 un „tumour board”. Il s’agit de<br />
réunions de concertation pluridisciplinaires aux<br />
cours desquelles une stratégie thérapeutique<br />
est validée pour une personne donnée par toute<br />
une équipe d’intervenants.<br />
Une fois par mois les praticiens impliqués dans<br />
la prise en charge d’une pathologie tumorale<br />
donnée se réunissent afin de discuter des nouveaux<br />
cas de tumeurs diagnostiquées. Il existe<br />
trois groupes différents de concertation (tumeurs<br />
thoraciques, gynéco-mammaires, digestives et<br />
autres). Les réunions sont annoncées à l’avance<br />
HSL 2009 I 24<br />
et tous les médecins de la clinique sont préalablement<br />
informés des cas traités par courriel.<br />
Les cas sont discutés par les médecins présents<br />
représentant les diverses disciplines impliquées<br />
(monospécialistes d’organe, chirurgiens, interniste-oncologue,<br />
radiologues et isotopistes,…).<br />
Un accès au dossier informatisé de la personne<br />
soignée avec projection de l’imagerie médicale<br />
est disponible sur place.<br />
Ceci permet une prise de décision voire une<br />
validation par une équipe multidisciplinaire mais<br />
aussi par plusieurs médecins issus de la même<br />
spécialité et garantit un choix thérapeutique<br />
optimal.<br />
Un médecin chargé de la coordination aidé de<br />
membres <strong>du</strong> personnel soignant de l’équipe de<br />
chimiothérapie (également présent lors de la<br />
réunion) assure l’organisation des réunions et<br />
la rédaction d’un résumé de la décision prise.<br />
Cette documentation se fait par l’intermédiaire<br />
d’un outil informatique conçu par le service informatique<br />
de l’HSL et indiquant les paramètres<br />
<strong>du</strong> patient (co-morbidité, besoins spécifiques en<br />
diététique, psychothérapie, prise en charge de la<br />
douleur etc..) ainsi que les données relatives à la<br />
tumeur (stade TNM, grade, facteurs histo-pronostic<br />
etc.). La stratégie thérapeutique décidée<br />
et son éventuelle motivation (par exemple en cas<br />
d’abstention) sont notées tout comme les noms<br />
des médecins impliqués. Le nom de l’omnipraticien<br />
référent est également indiqué.
A noter que le programme informatique permet<br />
une rapide revue des cas répartis en fonction de<br />
l’organe (défini selon ICD10) et enregistre des<br />
paramètres importants pour le suivi (comme<br />
la survie globale par exemple). Une validation à<br />
distance et différée dans le temps est possible<br />
par voie électronique ce qui est particulièrement<br />
utile pour la concertation avec les médecins<br />
radiothérapeutes qui sont incapables de<br />
participer personnellement aux séances.<br />
Durant les douze derniers mois un total de 2 1<br />
patients différents ont fait l’objet d’un tel colloque<br />
pluri- et interdisciplinaire. Les entités<br />
tumorales les plus fréquemment traitées et<br />
représentant plus de la moitié des cas furent<br />
le sein (21%), les cancers pulmonaires (19%) et<br />
les cancers colo-rectaux (13%). Considérant le<br />
nombre total de cancers observés au Grand-<br />
Duché on peut en conclure que la quasi-totalité<br />
des tumeurs diagnostiquées à l’HSL ont fait<br />
l’objet d’une décision au tumour board ce qui<br />
per se démontre que les procé<strong>du</strong>res appliquées<br />
sont efficaces.<br />
Bien enten<strong>du</strong> des améliorations sont possibles<br />
et d’ailleurs prévues. Ainsi les images obtenues<br />
par PET–scan devront être intégrées au dossier<br />
informatisé et le compte-ren<strong>du</strong> <strong>du</strong> tumour<br />
board versé au sein <strong>du</strong> dossier de la personne<br />
soignée. On y ajoutera au possible les données<br />
issues <strong>du</strong> Laboratoire National de Santé. Dans<br />
un avenir plus lointain des vidéo-conférences<br />
pourraient permettre une concertation avec des<br />
collègues incapables de se déplacer sur le site<br />
d’Ettelbruck. Ceci vaut pour les confrères <strong>du</strong><br />
site de Wiltz mais aussi pour les spécialistes <strong>du</strong><br />
laboratoire d’histologie ou <strong>du</strong> CF Baclesse.<br />
HSL 2009 I 25
6. Patienteninformation und -schulung<br />
6.1 Schulung: Diabetes und<br />
Antikoagulation<br />
Diabetes<br />
Immer mehr breitet sich die Erkrankung an Diabetes<br />
Typ 2 mit den daraus entstehenden Folgeerkrankungen<br />
aus. Wir sind daher bemüht,<br />
unseren Patienten bestmögliche Informationen<br />
und praktische Anleitungen <strong>du</strong>rch unsere Diabetesschulungen<br />
zu geben.<br />
Die Schulungen finden jeweils mittwochs statt<br />
und werden von einem multidiziplinären Team<br />
gehalten, somit sind während der Schulung<br />
Krankenschwestern, Diätassistenten und ein<br />
Arzt präsent. Momentan steht im Tagesspital ein<br />
Raum zur Verfügungin in dem bis zu Personen<br />
Platz finden. Die Schulung umfasst 4 x 4 Stunden<br />
und richtet sich an Patienten, welche unter Diabetes<br />
Typ 2 leiden. Ehepartner oder Angehörige<br />
können auch an den Schulungen teilnehmen.<br />
Es werden sowohl Patienten, die im HSL wegen<br />
Diabetes hospitalisiert waren, als auch Patienten,<br />
die von den Hausärzten überwiesen werden,<br />
geschult. Die Anmel<strong>du</strong>ng zur Schulung erfolgt<br />
über die Tagesklinik. Zu Beginn wird eine ausführliche<br />
diabetische Anamnese erstellt und die<br />
Vorkenntnisse ermittelt.<br />
HSL 2009 I 2<br />
Die Schulung umfasst theoretische und praktische<br />
Aspekte:<br />
• Erklärungen zur Erkrankung: Was ist Diabetes<br />
Typ 2?<br />
• Erklärungen zur Bauchspeicheldrüse und Insulinpro<strong>du</strong>ktion.<br />
• Erklärungen zum Thema Ernährung und Bewegung.<br />
• Erklärungen zum Thema Medikamente sprich<br />
Therapie.<br />
• Praktisches Durchführen der Blutzuckerkontrolle.<br />
• Nützliche Adressen, wie z.B. ALD, Maison <strong>du</strong><br />
Diabète, werden mitgeteilt.<br />
• Es besteht die Möglichkeit, dass Betroffene<br />
mit Gewichtsproblemen auch noch nach der<br />
Schulung, die Ernährungsberatung aufsuchen<br />
können.<br />
• Neue Geräte zur Blutzuckerkontrolle werden<br />
erklärt.<br />
Das Team passt sich jeweils den Bedürfnissen<br />
der Patienten an. Am Abschlusstag der Schulung<br />
steht ein gemeinsames therapeutisches<br />
Mittagessen auf dem Plan. Der überweisende<br />
Arzt erhält nach Abschluss der Schulung eine<br />
Information. Momentan ist ein angepasster<br />
Überweisungsbogen in Ausarbeitung. Die Schulung<br />
bzw. einzelne Schulungsblöcke können bei<br />
Bedarf wiederholt werden. Um den Ansprüchen<br />
der Patienten gerecht zu werden, erhält jeder<br />
Teilnehmer am Abschluss der Schulung einen
Fragebogen, indem er seine Eindrücke zum Ablauf<br />
der Schulung angeben kann.<br />
Im Rahmen des interregionalen Projektes (Interreg)<br />
zur Diabetesprävention und dem Weltdiabetestag<br />
beteiligt sich das HSL an den jährlichen<br />
Präventionswochen. Zahlreiche Menschen aus<br />
Ettelbruck und der Region machen Gebrauch<br />
von diesem Angebot. Neben der Erfassung des<br />
Risikos an Diabetes zu erkranken, werden Beratungen<br />
zur gesunden Ernährung und Raucherentwöhnung<br />
angeboten.<br />
Für die Zukunft ist geplant, diese Veranstaltungen<br />
zusammen mit anderen gesundheitspolitisch<br />
relevanten Themen auszubauen z.B. Apoplexund<br />
Herzinfarktvorbeugung.<br />
Antikoagulation<br />
Die Schulung ist in 2 Bereiche aufgeteilt:<br />
a. Theoretische Kenntnisse<br />
Was sind Antikoagulation, Laborkontrolle und<br />
Blutwerte-Medikamente?<br />
An diesen Schulungen kann jeder Patient teilnehmen,<br />
der antikoaguliert ist. Die Teilnehmer<br />
können sich selbst anmelden, können vom Arzt<br />
überwiesen werden oder vom Pflegepersonal<br />
während des Krankenhausaufenthalts einen<br />
Termin erhalten.<br />
Die Schulungen finden in der Abteilung der Kardiologie<br />
statt und umfassen 2 x 2 Stunden. Es<br />
wird sich indivi<strong>du</strong>ell an den Patienten angepasst<br />
und mittels eines strukturierten Fragebogens<br />
wird das Wissen ermittelt. In jeder Schulung<br />
werden die aktuellen Blutwerte gemessen und<br />
die weitere Therapie wird ärztlich festgelegt.<br />
Die Patienten erhalten einen Blutpass, um die<br />
Blutwerte und die Therapie zu dokumentieren.<br />
Informationen über Besonderheiten, Notfall,<br />
anormale Gerinnungswerte, Operation bei<br />
Antikoagulation werden zusammengestellt.<br />
Ehepartner / Angehörige können ebenfalls an<br />
der Schulung teilnehmen. Nach Abschluss der<br />
Schulung erhält der zuständige Arzt einen pflegerischen<br />
Bericht über den Verlauf der Schulung.<br />
b. Praktische Kenntnisse und Selbstkontrolle<br />
der Antikoagulation<br />
Wie können Blutwerte selbständig kontrolliert<br />
werden?<br />
An diesen Schulungen können nur Patienten<br />
teilnehmen, die vom Arzt überwiesen werden,<br />
da gewisse Konditionen erfüllt sein müssen.<br />
Der Patient erhält hier nach Arztverordnung<br />
und Genehmigung seitens der Krankenkasse,<br />
ein eigenes Gerät zur Blutwertkontrolle und er<br />
wird mit dessen Umgang vertraut gemacht.<br />
Diese Schulung findet auch in der Abteilung der<br />
Kardiologie statt und umfasst 2 x 2 Stunden.<br />
HSL 2009 I 2
6.2 einrichtung einer ambulanten Pflegesprechstunde<br />
zur Verbesserung<br />
der prä-operativen Vorbereitung<br />
bei Kindern<br />
Nach einer Testphase von 12 Monaten im Jahr<br />
2009 Im Rahmen eines Pilotprojektes, konnte<br />
Anfang 2009 eine prä-operative Sprechstunde<br />
für Kinder unter 15 Jahren eingerichtet werden.<br />
Zeitgleich zur ambulanten prä-anästhesiologischen<br />
Sprechstunde <strong>du</strong>rch den Narkosearzt,<br />
erhalten Kinder mit ihren Eltern von einer<br />
Krankenschwester der Station US 22 eine ausführliche<br />
Information über den geplanten Aufenthaltsablauf.<br />
Ihnen werden ferner, soweit<br />
möglich, alle Fragen zur Operationsvorbereitung<br />
beantwortet und zusätzlich kindergerechtes<br />
Dokumentationsmaterial ausgehändigt.<br />
Diese Sprechstunde findet auf der Station US<br />
22 statt, in der sich auch die Kinderabteilung<br />
befindet, so dass sich die kleinen Patienten sowohl<br />
mit dem Pflegepersonal als auch mit den<br />
Räumlichkeiten der späteren Aufnahmestation<br />
vertraut machen können.<br />
Bei dieser Gelegenheit legt das Pflegepersonal<br />
die Krankenakte im voraus ambulant an. Dies<br />
ermöglicht die stationäre Aufnahme der Kinder<br />
erst am Tag des operativen Eingriffes.<br />
HSL 2009 I 28<br />
Ziel dieses neu geschaffenen Ablaufs:<br />
1. Verbesserung der prä-operativen Vorbereitung<br />
und Information der Kinder und Eltern.<br />
2. Verringerung der Ängste und des prä-operativen<br />
Stresses.<br />
3. Verkürzung des Krankenhausaufenthaltes.<br />
4. Verbesserung der Arbeitsorganisation des<br />
Pflegepersonales.<br />
5. Klärung und Behebung von möglichen<br />
Schwierigkeiten im Vorfeld.<br />
Dieses neue Angebot hat sich bei allen Beteiligten<br />
bewährt und wird von den Eltern und<br />
Kindern äußerst positiv angenommen.<br />
Zur Weiterentwicklung dieser Sprechstunde<br />
wird zur Zeit ein Formular zur Patientenbefragung<br />
im Sinne der kritischen Beurteilung unserer<br />
Strukturen und Abläufe erarbeitet.
7. Zusammenarbeit mit<br />
den Hausärzten<br />
Bereits 200 wurde der Ausbau der Zusammenarbeit<br />
mit den Einweisern als ein wichtiges, prioritär<br />
zu behandelndes Verbesserungsziel fixiert.<br />
Zweck war und bleibt die nachhaltige Betreuung<br />
und Versorgung der Bevölkerung, insbesonders<br />
bei chronischen, polymorbiden Patienten, um<br />
eine lückenlose Versorgungskette „continuité<br />
des soins“ zu gewährleisten.<br />
Diese anspruchsvolle Zielsetzung unterteilt sich<br />
zwangsläufig in mehrere Etappen. Neben der gemeinsamen<br />
Hilfe bei der Einrichtung einer „Maison<br />
médicale“ zum hausärztlichen Notdienst, in<br />
unmittelbarer Nähe zum Krankenhaus, wurde<br />
eine gemeinsame Plattform zum vierteljährlichen<br />
Austausch geschaffen. Sie dient dem direkten,<br />
unkomplizierten Informationsaustausch und<br />
damit zur Optimierung der Kooperation.<br />
Darüber hinaus wurde eine stärkere Strukturierung<br />
der Zusammenarbeit bei den regulären Abläufen<br />
rund um die Einweisung und Entlassung<br />
von Patienten zum Thema gemacht. Dabei wurde<br />
besondere Sorgfalt auf die Risikoabsicherung<br />
gesetzt, z.B. besondere Aufmerksamkeit in den<br />
Dokumentationen der Antikoagulation, bis hin<br />
zur Therapieschulung des Patienten unter Einbeziehung<br />
der Hausärzte.<br />
HSL 2009 I 29
Das zentrale Projekt „Verbesserung des Entlassungsprozesses“<br />
wurde aus der nationalen<br />
Patientenbefragung abgeleitet. Hierbei wird<br />
dem Hausarzt eine wesentliche Bedeutung<br />
zugemessen, z.B. valide und klar ersichtliche<br />
Dokumentation des zuständigen Hausarztes in<br />
der Patientenakte mit zeitnaher Information über<br />
den stationären Verlauf. Des Weiteren ist eine<br />
konsiliarische Zusammenarbeit im Rahmen des<br />
Case Management (integraler Bestandteil des<br />
Entlassungsprozesses) vorgesehen.<br />
In 2009 wurde darüber hinaus die Zusammenarbei<br />
bei den Projekten zu chronischen Krankheiten<br />
(Diabetikerschulung, Antikoagulationschulung,<br />
…) intensiviert.<br />
Formations continues médicales en 2009<br />
0<strong>9.</strong>03. Les no<strong>du</strong>les thyroidiens; approche diagnostique et thérapeutique<br />
10.0 .<br />
23.0<strong>9.</strong><br />
1 .12.<br />
Gutartige Prostatahypertrophie:<br />
Diagnose, Therapie, Zukunftsperspektiven<br />
Nycturie<br />
Opération moderne de la cataracte<br />
Traitement révolutionnaire de la dégénérescence maculaire sénile<br />
Chirurgie réfractive<br />
La place de la désensibilisation sublinguale dans l’approche thérapeutique<br />
de l’asthme<br />
La place de la réhabilitation pulmonaire dans le traitement de la BPCO<br />
L’approche de la toux chronique<br />
HSL 2009 I 30<br />
Selbstverständlich wurden die Fortbil<strong>du</strong>ngsveranstaltungen<br />
weitergeführt. Sie geben immer<br />
wieder Gelegenheit zu einem informellen Austausch.<br />
Für 2010/2011 wird als weiterer Schritt eine<br />
Befragung der Einweiser zu den eingeleiteten<br />
Maßnahmen und zur Erfassung weiterer Verbesserungspunkte<br />
erfolgen.<br />
Dr Luc Schroeder, ORL<br />
Dr Stefan Meilinger, ORL<br />
Dr Marc Doat, médecine nucléaire<br />
Dr Philippe Forgeard, radiologie<br />
Dr Fernand Grünig, urologie<br />
Dr Patricia Marong, urologie<br />
Dr André Muller, ophtalmologie<br />
Dr Markus Buser, ophtalmologie<br />
Dr Simone Casel, pneumologie<br />
Dr Jean Faber, pneumologie<br />
Dr Anne Schulze-Berge, pneumologie
8. innovative Pflegekonzepte<br />
Die Pflegedirektion im HSL fordert seit einigen<br />
Jahren innovative Pflegekonzepte.<br />
Bereits seit dem Jahr 2000 gibt es Weiterbil<strong>du</strong>ngen<br />
zu den Pflegekonzepten Basale Stimulation,<br />
Aromapflege und Kinästhetik. In den folgenden<br />
Jahren gab es weitere Möglichkeiten, sich fundierte<br />
Kompetenzen in diesen Pflegekonzepten<br />
anzueignen.<br />
In 200 wurde aufgrund des Projektes „Praxisbegleitung“<br />
die Möglichkeit geschaffen, dass<br />
Mitarbeiter sich in den jeweiligen Konzepten<br />
zertifiziert ausbilden lassen konnten. Die Ausbil<strong>du</strong>ngszeit<br />
lag, je nach Konzept, zwischen 8 Monaten<br />
und 2 Jahren.<br />
Im Jahre 2009 wurde eine Pflegekonzeptgruppe<br />
gegründet.<br />
1. Basale Stimulation:<br />
4 zertifiziert-ausgebildete Praxisbegleiter in<br />
basaler Stimulation<br />
2. Aromapraktiker:<br />
3 zertifiziert-ausgebildete Aromapraktiker<br />
3. Kinästhetik: 1 zertifiziert-ausgebildeter Trainer<br />
und zertifizierte Anwender in der Praxis.<br />
2008 war die Ausbil<strong>du</strong>ngsphase abgeschlossen.<br />
Die Umsetzung der Konzepte in die Praxis wurde<br />
für die Jahre 2009 / 2010 geplant und strukturiert.<br />
Momentan sind wir in der Lage, alle Grundkurse<br />
in den einzelnen Konzepten mit den ausgebildeten<br />
Pflegern eigenverantwortlich zu organisieren<br />
und abzuhalten.<br />
Die so genannte „Praxisbegleitung“<br />
Die Mitarbeiter der verschiedenen Konzepte<br />
nahmen ihre Arbeit auf und organisierten sich<br />
je nach Konzept verschieden, um die Pflege<br />
und Patienten in der Praxis zu begleiten. Hier<br />
werden Pfleger im Alltag auf der Station von einem<br />
Praxisbegleiter besucht und das erlernte<br />
Konzept wird am Patienten angewendet. Somit<br />
erhält der Pfleger mehr Sicherheit im Umgang<br />
mit Neuem und es fließt in den normalen Arbeitsablauf<br />
ein.<br />
Bis dahin gab es das System in dieser Form<br />
noch nicht und nach einigen Monaten wurde<br />
es vermehrt genutzt. Jeder Bereich kann<br />
zusätzlich telefonisch an Werktagen erreicht<br />
werden.<br />
Hauptziel ist, dass die 3 Konzepte vernetzt<br />
Anwen<strong>du</strong>ng finden. Sie sollten in der Praxis<br />
ineinander überfließen können. Somit entstand<br />
aus den zertifizierten Mitarbeitern in den<br />
3 Konzepten die Pflegekonzeptgruppe.<br />
HSL 2009 I 31
Seit Ende 2009 organisiert die Pflegekonzeptgruppe<br />
sich soweit, dass verschiedene Weiterbil<strong>du</strong>ngen<br />
gemeinsam abgehalten werden<br />
können (Beispiel Palliativzyklus).<br />
Das Pflegeleitbild des HSL entstand Ende 2009<br />
und wird im Januar 2010 vom Pflegedirektor<br />
vorgestellt. Hauptmerkmal der Pflegekonzepte<br />
ist, wie im Projet d’établissement verankert,<br />
„der Patient im Mittelpunkt unserer täglichen<br />
Pflege“.<br />
Pflegeziel(e) werden zusammen mit dem Patienten/Angehörigen<br />
festgesetzt. Die Pflege wird<br />
anhand der Konzepte geplant und sollte von<br />
jeder Person, welche Kontakt mit dem Patienten<br />
hat, auf diese Weise <strong>du</strong>rchgeführt werden.<br />
Wichtig ist es zu ermitteln, ob das Pflegeziel<br />
erreicht werden konnte oder nicht. Geplant ist<br />
für 2010 den Pflegern hierzu eine angepasste<br />
Dokumentation an die Hand zu geben.<br />
Vision : Bis 2014 sollen die Konzepte im Bereich<br />
der Pflege umgesetzt sein.<br />
Die 3 Konzepte können bei jedem Patienten angewendet<br />
werden, die Ressourcen der Patienten<br />
werden indivi<strong>du</strong>ell gefördert und genutzt. Besonders<br />
aber bietet sich für Patienten, welche<br />
<strong>du</strong>rch ihre Erkrankung in ihrer Wahrnehmung<br />
beeinträchtigt sind, die Möglichkeit, <strong>du</strong>rch indivi<strong>du</strong>elle<br />
Konzeptangebote, ihre Wahrnehmung<br />
zu verbessern und somit die Autonomie im Bereich<br />
des Möglichen zu fördern.<br />
HSL 2009 I 32<br />
Im Laufe des Jahres 2009 kam es für die Bereichsleiter<br />
der Pflegedirektion des HSL zu<br />
Neuaufteilungen der verschiedenen Bereiche<br />
und es entstand der Bereich „Praxisbegleitung“<br />
(fillière). Ein Vertreter aus der Pflegedirektion,<br />
der ausgebildeter Praxisbegleiter für<br />
Basale Stimulation ist, übernahm für diesen<br />
Bereich <strong>Verantwortung</strong>.<br />
Die Gruppe der Praxisbegleiter-Pflegekonzeptgruppe<br />
trifft sich - 8 x jährlich, um das<br />
weitere Vorgehen zu planen und über aktuelle<br />
Fälle und Probleme zu sprechen, benötigtes<br />
Material zu ermitteln und Fort- und Weiterbil<strong>du</strong>ngen<br />
zu planen sowie Erfahrungen aus den<br />
praktischen Begleitungen auszutauschen.<br />
Umsetzung 2009<br />
Praxisbegleitung:<br />
Seit Januar 2009 terminierte Begleitungstage.<br />
Telefonnummern der Praxisbegleiter sind im<br />
hauseignen Intranet veröffentlicht.
Fort- und Weiterbil<strong>du</strong>ng:<br />
Grundkurse werden von den internen Referenten/Praxisbegleitern<br />
gehalten.<br />
Workshopangebote zu einzelnen Konzepten.<br />
Die Konzepte fließen in das Projekt der Palliativpflege<br />
ein.<br />
Die internen Referenten/Praxisbegleiter nehmen<br />
an Fachtagungen in ihren Konzepten teil,<br />
um Innovation zu fördern und ihr Wissen zu<br />
vertiefen.<br />
Materialien:<br />
Aromaöle sind auf jeder Station vorrätig und<br />
werden in der hauseigenen Apotheke, nach<br />
den Richtlinien der Aromapraktiker, zusammengestellt.<br />
Aroma<strong>du</strong>ftlampen sind in den erlaubten Bereichen<br />
vorrätig und werden nach den Vorschriften<br />
genutzt.<br />
Neue Mundpflegematerialien sind bekannt.<br />
Testphase auf 2 Stationen für Lagerungsmaterial,<br />
besonders im Bereich der Basalen Stimulation<br />
und Kinästhetik.<br />
Die sogenannten Alpha-x–cell-Matratzen<br />
(Luftmatratzen), werden zunehmend weniger<br />
gebraucht und sollten ganz aus der Pflege genommen<br />
werden.<br />
Dokumentation:<br />
März 2009: Erstellung und Einführung der<br />
biografischen Pflegeanamnese, als fester Bestandteil<br />
der Patientenakte.<br />
Auf allen Stationen stehen für die Anwen<strong>du</strong>ng<br />
der Aromaöle die jeweiligen Beschreibungen<br />
zur Verfügung.<br />
Kommunikation:<br />
Die Praxisbegleiter, interne Referenten und<br />
Verantwortliche für Fort- und Weiterbil<strong>du</strong>ng<br />
treffen sich mal im Jahr.<br />
Einla<strong>du</strong>ngen der Praxisbegleiter, internen Referenten<br />
zur Vorstellung der Praxisbegleitung<br />
in den Stationsversammlungen.<br />
Kompetenzen der Mitarbeiter:<br />
Aromapraktiker (ausgebildete experten):<br />
Erstellen Richtlinien nach fundierter Ausbil<strong>du</strong>ng<br />
für das HSL.<br />
Arbeiten aktiv an der Umsetzung in die Praxis<br />
mit.<br />
In 2009: Beginn der Ausbil<strong>du</strong>ng zu hausinternen<br />
Aromareferenten pro Station, damit die<br />
Information und Umsetzung / Ansprechbarkeit<br />
verbessert wird.<br />
HSL 2009 I 33
Praxisbegleiter in Basaler Stimulation (ausgebildete<br />
experten):<br />
Arbeiten aktiv an der Umsetzung in die Praxis<br />
mit.<br />
Gewährleisten die praktische Begleitung auf<br />
den Stationen.<br />
Geplant wird für 2010, Referenten auf jeder<br />
Station zur Verfügung zu haben.<br />
Trainer und zertifizierte Anwender in Kinästhetik<br />
(ausgebildete experten):<br />
Arbeiten aktiv an der Umsetzung in die Praxis<br />
mit.<br />
Gewährleisten die praktische Begleitung auf<br />
den Stationen.<br />
HSL 2009 I 34<br />
evaluation:<br />
Zahlen der Mitarbeiter, welche eine Weiterbil<strong>du</strong>ng<br />
in den einzelnen Konzepten besuchen,<br />
werden ermittelt. Fragebögen zu den Weiterbil<strong>du</strong>ngen<br />
werden ausgewertet und bekannt<br />
gemacht.<br />
Praktische Umsetzung im HSL:<br />
Ende 2009 entstand das Pflegeleitbild mit der<br />
Vision auf 2014. Wie wird Pflege im HSL gelebt?<br />
Am Standort Wiltz wurden die Konzepte noch<br />
nicht als Weiterbil<strong>du</strong>ng angeboten (geplant für<br />
2010).
TEIL II<br />
ERgEBNISSE<br />
HSL 2009 I 35
<strong>9.</strong> ergebnisse der nationalen Patientenbefragung<br />
(Picker-institut / Schweiz)<br />
Nachfolgend veröffentlichen wir die unveränderten<br />
Zusammenfassungen des Picker-Insti-<br />
<strong>9.</strong>1 Pädiatrie<br />
HSL 2009 I 3<br />
tuts für unser Haus, getrennt für Pädiatrie und<br />
Erwachsenenbereich.
HSL 2009 I 3
HSL 2009 I 38
HSL 2009 I 39
<strong>9.</strong>2 erwachsene<br />
HSL 2009 I 40
HSL 2009 I 41
HSL 2009 I 42
HSL 2009 I 43
10. Beschwerdemanagement<br />
Das Beschwerdemanagement im HSL verfolgt<br />
im Wesentlichen zwei Ziele:<br />
Erstens ist es dem HSL wichtig, dass die Belange<br />
des Patienten berücksichtigt und ernst genommen<br />
werden. Deshalb werden alle schriftlichen<br />
Beschwerden im CIRS (Critical Incident<br />
Reporting System) aufgenommen, registriert<br />
und obliegen der Supervision des Generaldirektors.<br />
Alle Beschwerden erhalten einen<br />
ersten Antwortbrief, in dem der angeschriebenen<br />
Person der Erhalt des Briefes bestätigt<br />
wird. Weitere Maßnahmen werden in diesem<br />
Brief angekündigt. In einer zweiten Phase erhalten<br />
die sich beschwerenden Personen eine<br />
Erklärung über den Vorfall sowie die Möglichkeit<br />
eines persönlichen Gesprächs.<br />
Beschwerdemeldeformulare werden in allen<br />
Bereichen des HSL bereitgestellt (z.B. in allen<br />
Wartebereichen der ambulanten Versorgung<br />
und in der Patientenbroschüre für die hospitalisierten<br />
Patienten).<br />
Die folgenden Diagramme geben Aufschluss<br />
über die Entwicklung und Aufteilung der Bereiche<br />
in den 5 vergangenen Jahren.<br />
HSL 2009 I 44
Im nachfolgenden Diagramm ist die Anzahl der<br />
Rückantworten auf Beschwerden ersichtlich.<br />
Ziel bleibt eine 100%ige Beantwortung.<br />
Das folgende Diagramm stellt die Entwicklung<br />
der Beschwerde dar, wobei eine Einstufung ≥<br />
5 besonders prioritär behandelt wird und im-<br />
mer die Direktion impliziert. Die Beschwerden<br />
werden vom Beschwerdemanager verwaltet.<br />
Die weitere Behandlung und die Umsetzung<br />
der notwendigen Maßnahmen unterliegen dem<br />
zuständigen Direktor.<br />
Obiges Diagramm weist auf das zweite Ziel des<br />
Beschwerdemanagements, „die Optimierung“<br />
hin. Es ist ein wichtiges Instrument zur kontinuierlichen<br />
Verbesserung der Proze<strong>du</strong>ren.<br />
So fließen Bemerkungen von Patienten in den<br />
Prozessablauf ein, respektiv werden von den<br />
Prozessgruppen diskutiert und Änderungen<br />
werden festgehalten.<br />
HSL 2009 I 45
11. einzugsgebiete 2007 - 2009<br />
Stationäre Aufnahmen<br />
2007 2008 2009<br />
Capellen 112 12 10<br />
Clervaux 1225 1252 131<br />
Diekirch 3 3 45 3 2<br />
Echternach 45 53 2<br />
Esch/s/Alzette 1 9 1 4 1 1<br />
Grevenmacher 3 8 119<br />
Luxembourg 251 251 220<br />
Mersch 1 3 1 0 1 35<br />
Redange 1182 12 2 1248<br />
Remich 14 2 23<br />
Vianden 0 09 31<br />
Wiltz 829 844 835<br />
Total 10674 10881 10692<br />
Ambulante Aufnahmen<br />
2007 2008 2009<br />
Capellen 1 03 1949 1852<br />
Clervaux 13813 15138 1 005<br />
Diekirch 1101 3 35 4352<br />
Echternach 8 9 9099 98 0<br />
Esch/s/Alzette 2 83 2 54 22 4<br />
Grevenmacher 1243 12 0 1524<br />
Luxembourg 3 08 3 2 32 2<br />
Mersch 24895 25332 2590<br />
Redange 15525 1 3 9 1 048<br />
Remich 335 2 5 303<br />
Vianden 8491 8 31 8940<br />
Wiltz 10051 10 50 11480<br />
Total 152217 158864 162827<br />
HSL 2009 I 4<br />
Wiltz<br />
7,8 %<br />
7,05 %<br />
Redange<br />
,67 %<br />
0,47 %<br />
Capellen<br />
0,99 %<br />
, 4 %<br />
Clervaux<br />
2,3 %<br />
9,83 %<br />
Diekirch<br />
33,9 %<br />
39,52 %<br />
esch/s/Alzette<br />
,5 %<br />
,40 %<br />
Mersch<br />
5,29 %<br />
5,9 %<br />
luxembourg<br />
2,06 %<br />
2,0 %<br />
Vianden<br />
5,90 %<br />
5,49 %<br />
Stationäre Aufnahmen<br />
Ambulante Aufnahmen<br />
echternach<br />
7,22 %<br />
6,06 %<br />
Grevenmacher<br />
, %<br />
0,94 %<br />
Remich<br />
0,22 %<br />
0, 9 %
12. Mitarbeiter<br />
12.1 Personalbilanz<br />
Wie aus der obigen Grafik ersichtlich, lässt sich<br />
eine leichte Steigerung in der Anzahl der beschäftigten<br />
Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter<br />
feststellen.<br />
Die Altersverteilung der Mitarbeiterinnen und<br />
Mitarbeiter weist darauf hin, dass wir uns in den<br />
nächsten Jahren verstärkt mit Fragen der ergonomischen<br />
und altersgerechten Arbeitsgestaltung<br />
auseinandersetzen müssen und bestätigt<br />
die Signale aus den letzten Jahren.<br />
Die Fehlzeitenquote <strong>du</strong>rch Krankheit bewegt<br />
sich auf dem Durchschnittsniveau der Krankenhäuser<br />
in Luxemburg.<br />
Entwicklung zu Beschäftigenzahlen 200 200 2008 2009<br />
Anzahl Bewerbungen 510 540 0 893<br />
Anzahl Kündigungen <strong>du</strong>rch Mitarbeiter 10 10 15 11<br />
Anzahl Kündigungen <strong>du</strong>rch Arbeitgeber 0 1 2<br />
HSL 2009 I 4
Im Jahr 2009 haben 44 Mitarbeiter ihre Arbeit<br />
im HSL aufgenommen:<br />
Name Beruf<br />
Adam Delphine Infirmière en pédiatrie<br />
Andrade da Cunha Clarinda Maria Auxiliaire d’hygiène<br />
Andres Angelika Ergothérapeute<br />
Bessa Carvalho Sabine Marlène ATM de chirurgie<br />
Deltgen Nicole Infirmière diplômée<br />
De Lima Laura Infirmière diplômée<br />
Diet Emilie Infirmière en pédiatrie<br />
Dionysius Martine Ergothérapeute<br />
Dominguez da Cunha Ana Paula Employée de bureau<br />
Eira da Silva Sofia ATM de chirurgie<br />
Filippini Marc Kinésithérapeute<br />
Fonseca Rodrigues Sergio Infirmier diplômé<br />
Fournel Christine ATM de radiologie<br />
Gasbarrini Marc ATM de radiologie<br />
Heirens Christiane Orthophoniste<br />
Hoffmann Luc Kinésithérapeute<br />
Horger Michèle Infirmière diplômée<br />
Jonette Caroline Infirmière en anesthésie<br />
Keilen Carole Infirmière diplômée<br />
Krinyak Elke Infirmière en anesthésie<br />
Leonet Céline Laborantine<br />
Leutzgen Margit Infirmière en anesthésie<br />
Maquil Lynn Assistante sociale<br />
Marcolino Afonso Isabel Auxiliaire d’hygiène<br />
Martins da Costa Carine Infirmière psychiatrique<br />
Neiertz Jean-Paul Employé de bureau<br />
Neves Jeanine Infirmière en pédiatrie<br />
Newen Sylvia ATM de chirurgie<br />
Oliveira Domingues Nuno Infirmier diplômé<br />
Oliveira Soares Manuel Employé de bureau<br />
Rodrigues da Fonseca Lucia Diana Auxiliaire d’hygiène<br />
Rodrigues Duarte Carine Infirmière diplômée<br />
Rotili Daniela Employée de bureau<br />
Saraiva Pereira Joel ATM de radiologie<br />
Scheid Wendelin Infirmier diplômé<br />
Schneider Manuela Ergothérapeute<br />
Scholer Monique Infirmière diplômée<br />
Schwirtz Sandra Auxiliaire d’hygiène<br />
HSL 2009 I 48<br />
Steichen Lynn Infirmière diplômée<br />
Spautz Romain Kinésithérapeute<br />
Thiel Catherine Infirmière diplômée<br />
Tschiderer Lynn Employée de bureau<br />
Thull Julie Ergothérapeute<br />
Weber Myriam Infirmière diplômée<br />
3 Ärzte wurden neu am Haus akkreditiert:<br />
Name Beruf<br />
Dr. Pacary Jennifer Radiologe<br />
Dr. Reiter Christiane Zahnärztin<br />
Schreiner Marc Zahnarzt<br />
1 Mitarbeiter wechselte in den Ruhestand:<br />
Name Beruf<br />
Scholtes Edmée Infirmière diplômée
12.2 Jubiläen und ehrungen<br />
Auch in 2009 erhielten wieder nach guter Tradition<br />
im Rahmen der Weihnachtsfeier 4 Mitarbeiter<br />
/ Ärzte eine Auszeichnung für ihre<br />
langjährige Betriebszugehörigkeit.<br />
Name Betriebszugehörigkeit<br />
Agnes Tessy 20 Jahre<br />
Bach Christiane 20 Jahre<br />
Camerlynck Richard 20 Jahre<br />
Cassao Maria 20 Jahre<br />
Conceicao Ferreira Maria 20 Jahre<br />
Dasbourg Jean-Paul 20 Jahre<br />
Dr. Ghemard Françoise 20 Jahre<br />
Dr. Neuray Henri 20 Jahre<br />
Dr. Weis Romain 20 Jahre<br />
Glesner Rolande 20 Jahre<br />
Grotz Chantal 20 Jahre<br />
Heidesch Lisa 20 Jahre<br />
Heintz Carole 20 Jahre<br />
Hirt Joëlle 20 Jahre<br />
Kerkhove Magalie 20 Jahre<br />
Kirsch Petra 20 Jahre<br />
Lopes Do Couto Dias Teresa 20 Jahre<br />
Louis Jean-Paul 20 Jahre<br />
Marso Sonja 20 Jahre<br />
Moineau Michel 20 Jahre<br />
Muller Wilma 20 Jahre<br />
Pachacama Ana Maria 20 Jahre<br />
Quaring Josiane 20 Jahre<br />
Richarz Helga 20 Jahre<br />
Schank Albert 20 Jahre<br />
Schmitz Maggy 20 Jahre<br />
Scombussolo Giovanna 20 Jahre<br />
Warnimont Jean-Marie 20 Jahre<br />
Zenner Denise 20 Jahre<br />
Name Betriebszugehörigkeit<br />
Besseling Solange 25 Jahre<br />
Deloos Mariette 25 Jahre<br />
Gilbertz Annette 25 Jahre<br />
Gilberts Christiane 25 Jahre<br />
Heckemanns Roland 25 Jahre<br />
Hollebeke Magda 25 Jahre<br />
Kolling Joachim 25 Jahre<br />
Meyer Jeannine 25 Jahre<br />
Scheuer Odette 25 Jahre<br />
Schroeder Astride 25 Jahre<br />
Soisson Suzette 25 Jahre<br />
Steichen Françoise 25 Jahre<br />
Thomas Marianne 25 Jahre<br />
Turpel Edmée 25 Jahre<br />
Weynandt Jeannine 25 Jahre<br />
Wiance Eliane 25 Jahre<br />
Differding Lex 35 Jahre<br />
Gaspar Lucien 35 Jahre<br />
12.3 Arbeitsunfälle<br />
Global zeigt die Anzahl der Arbeitsunfälle eine<br />
klare Tendenz nach unten. Lediglich die Rückenbeschwerden<br />
und Auffahrunfälle halten<br />
sich auf einem verhältnismäßig hohem Niveau.<br />
Während die muskulo-skelettalen Erkrankungen<br />
zum Teil sicherlich mit der demographischen<br />
Entwicklung (ansteigendes Durchschnittsalter<br />
des Personals) in der Pflege<br />
zusammenhängen, sind beide Unfallkategorien<br />
aber auch Ausdruck des vermehrten<br />
Zeitdrucks. Ein eindeutiger Erfolg konnte, wie<br />
schon erwähnt, bei der Senkung der Stich- und<br />
Schnittverletzungen <strong>du</strong>rch den Einsatz neuer<br />
Materialien verbucht werden.<br />
Arbeitssicherheit 200 200 2008 2009<br />
Anzahl Arbeitsunfälle 9 110 9 90<br />
davon Wegeunfälle<br />
Stich- und<br />
25 12 11 13<br />
Schnittverletzungen<br />
mit Blutkontakt<br />
2 29 31 21<br />
HSL 2009 I 49
<strong>9.</strong> <strong>Gesellschaftliche</strong> <strong>Verantwortung</strong><br />
12.4 Umsetzung von dezentralen<br />
Verbesserungsprojekten<br />
aus der Mitarbeiter-<br />
befragung 2007<br />
Bei der in 200 <strong>du</strong>rchgeführten Mitarbeiterbefragung<br />
wurde in der allgemeinen Verwaltung<br />
eine Rücklaufquote von 5 % erreicht.<br />
Die Resultate der Mitarbeiterbefragung haben<br />
ein Verbesserungspotential in den Rahmenbedingungen<br />
am Arbeitsplatz, den internen Arbeitsabläufen<br />
sowie der Zusammenarbeit mit<br />
anderen Bereichen ergeben. Darauf hin wurden<br />
verschiedene dezentrale Projekte auf Verwaltungsebene<br />
festgehalten.<br />
Rahmenbedingungen am Arbeitsplatz<br />
Eine generelle Umstrukturierung der Büros<br />
wurde, in Zusammenarbeit mit der technischen<br />
Abteilung und der Abteilung für Sicherheit und<br />
Gesundheitsschutz vorgeschlagen und <strong>du</strong>rchgeführt,<br />
wo<strong>du</strong>rch eine wesentliche Verbesserung<br />
der Rahmenbedingungen erreicht werden<br />
konnte.<br />
Anhand einer Checkliste wurde von der Abteilung<br />
für Sicherheit und Gesundheitsschutz eine<br />
detaillierte Analyse der allgemeinen Arbeitsbedingungen<br />
in der Verwaltung <strong>du</strong>rchgeführt.<br />
Einige Schwachstellen konnten identifiziert<br />
werden und wurden größtenteils <strong>du</strong>rch eine<br />
direkte Schulung der Mitarbeiter zur Ergono-<br />
HSL 2009 I 50<br />
mie am Arbeitsplatz korrigiert oder <strong>du</strong>rch indivi<strong>du</strong>elle<br />
Maßnahmen (Arbeitstischhöhe, neue<br />
Bürostühle, Mousepads mit Gelkissen, Monitorracks,<br />
Fußstützen, zusätzliche Leuchten, …)<br />
behoben.<br />
In der Zentralrezeption wurde ein Sichtschutz<br />
an den Kabinen angebracht, um einerseits dem<br />
Personal eine Rückzugsmöglichkeit zu bieten<br />
andererseits aber auch dem Patienten die nötige<br />
Diskretion zu gewährleisten.<br />
Ein weiteres dezentrales Projekt der Abteilung<br />
für Sicherheit und Gesundheitsschutz ist die<br />
Vermei<strong>du</strong>ng von Stich- und Schnittverletzungen<br />
in der Pflege (Projekt „Weil ich es mir wert bin“).<br />
Durch gezielte Sensibilisierung zum Thema, die<br />
Erstellung von Betriebsanweisungen, Schulung<br />
zu richtigem Verhalten nach Unfällen, regelmäßige<br />
Überprüfung der Sicherheitsbehälter, Neueinführung<br />
von sterilen Sicherheitsbehältern<br />
für den interventionellen Bereich und den Austausch<br />
von spitzen und scharfen Gegenständen<br />
<strong>du</strong>rch Sicherheitsmaterial, ließen sich deutliche<br />
Effekte erzielen.<br />
Der nachhaltige Erfolg des Projektes lässt sich<br />
<strong>du</strong>rch obige Unfallstatistik einwandfrei nachweisen.
interne Arbeitsabläufe und Zusammenarbeit<br />
mit anderen Bereichen<br />
Um den internen Kommunikationsfluss zu verbessern,<br />
wurde entschieden, den Bericht der<br />
monatlichen Versammlungen der administrativen<br />
Verantwortlichen im Intranet zu veröffentlichen.<br />
In sämtlichen Bereichen wurde in Zusammenarbeit<br />
mit allen Betroffenen eine Verbesserung<br />
der Arbeitsabläufe sowie verschiedener Prozesse<br />
<strong>du</strong>rchgeführt.<br />
So wurde z.B. im Empfang eine Proze<strong>du</strong>r erarbeitet<br />
für die Lagerung der Nachtlieferungen,<br />
wo anhand einer Checkliste vermieden werden<br />
kann, dass Material an falsche Abteilungen geliefert<br />
wird.<br />
In der Apotheke wurde, mit Hilfe einer EDV-<br />
Software und in Zusammenarbeit mit der<br />
technischen Abteilung, eine Verbesserung der<br />
Arbeitsabläufe im Zusammenhang mit der<br />
medizinischen Gasversorgung eingeführt. Außerdem<br />
hat die Apotheke, <strong>du</strong>rch eine bessere<br />
Kooperation mit der logistischen Abteilung, eine<br />
Verbesserung der internen Transporte der Medikamente<br />
und Verbauchsmaterialien erreicht.<br />
Die technische Abteilung hat in den Bereichen<br />
Gärtnerei & Abfall, die Lagerungsmöglichkeiten<br />
verbessert. In Absprache mit der „Gestion<br />
des admissions“, konnte die Zimmersanierung<br />
zur besseren Freihaltung der Patientenzimmer<br />
beschleunigt werden.<br />
In der Kindertagesstätte wurde gemeinsam mit<br />
der logistischen Abteilung, der Diätassistentin,<br />
der hygienischen Abteilung und der Küche, die<br />
Ernährung in der Kindertagesstätte optimiert.<br />
Des Weiteren wurde die Sicherheit in der Kindertagesstätte<br />
gründlich erfasst, um bestehende<br />
Mängel und Risiken zu minimieren. Sämtliche<br />
„Zwischenfälle“, sowie „Beinahe-Zwischenfälle“<br />
werden über den Incident-Manager erfasst.<br />
Die EDV hat ein Projekt „Green IT“ eingeführt,<br />
welches in Zusammenarbeit mit sämtlichen<br />
anderen Bereichen, den Energieverbrauch in<br />
Bezug auf das Informatiksystem analysiert,<br />
Sparpotentiale ausmacht und diese dann auch<br />
ausschöpft.<br />
HSL 2009 I 51
12.5 Fort- und Weiterbil<strong>du</strong>ng<br />
Ingesamt haben wir unser gesetztes quantitatives<br />
Ziel, was die angebotenen und in Anspruch<br />
genommenen Fortbil<strong>du</strong>ngsstunden<br />
angeht, erreicht.<br />
Im Oktober 2008 wurde das Reglement des<br />
„Internen Referenten“ verabschiedet. Damit<br />
konnten in 2009 unsere spezifisch ausgebildeten<br />
internen Referenten die pflegerischeren<br />
Fortbil<strong>du</strong>ngen gemäß unseres Pflegekonzeptes<br />
selbst abhalten.<br />
Nach einer Evaluation mit den Referenten im<br />
Sommer 2009 wurde schnell klar, dass die drei<br />
Säulen Kinästhetik, Basale Stimulation und<br />
Aromapflege miteinander verbunden werden<br />
mussten, um beim Pflegepersonal ein Gesamtverständnis<br />
des Pflegeleitbildes zu vermitteln.<br />
Durch die ständige regelmäßige wöchentliche<br />
Präsenz und Begleitung im Pflegealltag von<br />
Tutoren, hauptsächlich in der Kinästhetik in<br />
2009, wurde ein Umdenken in der Pflege bewirkt.<br />
Diese Bewegung in „Harmonie“ beginnt<br />
sich in die betrieblichen Alltagsaktivitäten auf<br />
den Stationen zu integrieren Die Pfleger haben<br />
den Vorteil für sich und für den Patienten diese<br />
Art zu „bewegen“ erkannt und erlebt.<br />
HSL 2009 I 52<br />
Allen Referenten wurde aber auch bewusst,<br />
dass die biografische Anamnese und das Erkennen<br />
der Ressourcen eines jeden einzelnen<br />
Patienten der Schlüssel für eine patientenorientierte<br />
Pflege ist, welche, wenn sie richtig<br />
angewendet werden kann, nach eigenen Aussagen<br />
einiger Pflegekräfte, die Zufriedenheit<br />
der Patienten und Pflegekräfte erhöht.<br />
Die Fortbil<strong>du</strong>ngen werden von hausinternen<br />
Referenten abgehalten, welche den Alltag im<br />
HSL kennen und einschätzen können.<br />
Die Auswertung der Fragebogen in der Fortbil<strong>du</strong>ng<br />
zeigt, dass beinahe 95% der Pfleger nunmehr<br />
der Meinung sind, das Erlernte bei den<br />
Fortbil<strong>du</strong>ngen in der Praxis auf den Stationen<br />
anwenden zu können und sie dies auch tun.<br />
Wir haben auch bemerkt, dass es Sinn macht,<br />
ganze Stationen gleichzeitig zu schulen, da somit<br />
ein gemeinsames Denken und Pflegen auf<br />
den Stationen erfolgt und jeder den anderen<br />
immer wieder mitreißt und unterstützt. Jeder<br />
hat die gleiche Sprache und weiß auch, wie das<br />
Erlernte umgesetzt werden kann.
Die Einführung von Fortbil<strong>du</strong>ngen eines Palliativzyklus<br />
war sowohl für die internen Referenten<br />
eine Herausforderung als auch für die<br />
Teilnehmer, die sehr aktiv in die praktischen<br />
Teile miteinbezogen wurden. Die „Nursing<br />
Palliativtage“ haben immer wieder alle dazu<br />
angespornt, gemeinsame Wege im HSL zu gehen,<br />
damit auf allen Stationen das Wort „Palliativpflegen“<br />
gleich verstanden und umgesetzt<br />
wird.<br />
Wie jedes Jahr waren die obligatorischen Kurse<br />
in Hygiene und Brandschutz gut besucht.<br />
Großer Lob an die Stationsleiter, denen es gelungen<br />
ist, der immer größer werdenden Organisation<br />
und Planung hinsichtlich einer korrekten<br />
Teilnahme gerecht zu werden.<br />
In der Gesundheitserziehung „E<strong>du</strong>cation <strong>du</strong><br />
Patient“ wurden standardisierte Vorlagen von<br />
sehr motivierten interdisziplinären Teams zu<br />
diesem wichtigen Thema nach Pathologien<br />
ausgearbeitet, wie z.B. Schlaganfall, Diabetes,<br />
künstlicher Darmausgang, thrombo-embolische<br />
Störungen und Mammakarzinom , usw.<br />
Alle Mitarbeiter aus den Bereichen Pflege,<br />
Verwaltung und Logistik konnten an Kursen<br />
zum Thema Kommunikation, Teamwork, Motivation<br />
teilnehmen. Diese Kurse wurden sehr<br />
gut besucht. Nach dem Feedback der Beurteilungsbögen<br />
der ersten Seminare wurden im<br />
zweiten Semester zusätzliche Sitzungen angeboten<br />
und die Planung von Fortbil<strong>du</strong>ngen zur<br />
Vertiefung dieser Themen im Fortbil<strong>du</strong>ngsplan<br />
2010 wurde vorbereitet. Insgesamt wurden zu<br />
diesen Themen 2.081 Fortbil<strong>du</strong>ngsstunden absolviert.<br />
Zum Thema Mobbing wurde in 2009 eine in<br />
zwei Sprachen abgehaltene Informationskampagne<br />
hinsichtlich Definition, Rechtslage und<br />
Möglichkeiten angeboten (Vertiefung des Themas<br />
in 2010).<br />
Insgesamt können wir mit der Anzahl von 19<br />
verschiedenen Teilnehmern (91% des Personals)<br />
in Fortbil<strong>du</strong>ngen zufrieden sein.<br />
HSL 2009 I 53
12.6 Blitzlichter vom Sommerfest<br />
„Come together”<br />
HSL 2009 I 54
13. <strong>Gesellschaftliche</strong> <strong>Verantwortung</strong><br />
13.1 „Back to the roots –<br />
Kann Fortschritt auch ein<br />
Schritt zurück sein?“<br />
Projet Pilote : „encadrement des élèves de<br />
13Si7/8”<br />
Seit über 30 Jahren ist unser Krankenhaus an<br />
der Ausbil<strong>du</strong>ng der Gesundheitsberufe aktiv<br />
beteiligt.<br />
Diese Aufgabe ist bereits in der Berufsbeschreibung<br />
1 der Krankenpfleger fest verankert.<br />
Das HSL sieht darin nicht nur eine soziale Aufgabe,<br />
sondern verfolgt damit <strong>du</strong>rchaus auch eigene<br />
Ziele. Der größte Teil unseres Personals<br />
wurde nach abgeschlossener Ausbil<strong>du</strong>ng im<br />
LTPS Warken rekrutiert. Den neuen Mitarbeitern<br />
war es leichter, hier Fuß zu fassen, da sie<br />
unser Haus schon seit Jahren kannten.<br />
entwicklung Schüler im HSl 2006/2007 2007/2008 2008/2009 2009/2010<br />
Classe Spécialité / Profession<br />
12SI Infirmier 41 45 55 5<br />
12SR Assistant technique médical de radiologie 4 5 2 2<br />
13SI Infirmier 31 38 38 4<br />
13SL Assistant technique médical de laboratoire 1 2 4 2<br />
13SR Assistant technique médical de radiologie 1 5 3<br />
14SI Infirmier 31 2 35 29<br />
14SL Assistant technique médical de laboratoire 0 2 2 2<br />
14SR Assistant technique médical de radiologie 3 2 1 4<br />
1SAR Infirmer en anesthésie et réanimation 3 3 2 3<br />
1SC Assistant technique médical de chirurgie 0 2 2 1<br />
1SF Sage-femme 3 0 5<br />
1SP Infirmier en pédiatrie 10 4 3 5<br />
1SY Infirmier psychiatrique 4 4 4<br />
2SAR Infirmier en anesthésie et réanimation 2 3 1 2<br />
2SC Assistant technique médical de chirurgie 0 0 2 2<br />
2SF Sage-femme 0 1 1 3<br />
X1AS Aide-soignant 19 18 23 13<br />
X2AS Aide-soignant 2 1 19 1<br />
CATP administratif 1 1 3 1<br />
1 Règlement grand-<strong>du</strong>cal <strong>du</strong> 21 janvier 1998 portant sur l’exercice de la profession d’infirmier ;<br />
Art. 3. -assurer une mission d’encadrement et de formation ;<br />
HSL 2009 I 55
Ältere Kollegen, das heißt, solche die jetzt kurz<br />
vor der Rente stehen, erinnern sich zweifelsohne<br />
an ihre Ausbil<strong>du</strong>ng als Krankenpfleger. Sie<br />
waren damals während Monaten voll in die Pflegeteams<br />
integriert und die theoretischen Kurse<br />
fanden ebenfalls im Blocksystem statt. Dies änderte<br />
sich mit dem Wechsel der Krankenpflegeausbil<strong>du</strong>ng<br />
vom Gesundheitsministerium zum<br />
Schul- und Bil<strong>du</strong>ngsministerium. Die Begleitung<br />
der Schüler wurde zwischen den Pflegeteams,<br />
den „Infirmiers tuteurs“ und den Lehrern der<br />
Krankenpflegeschule aufgeteilt. Die Auszubildenden<br />
sind nunmehr ± 2 Tage in der Woche auf<br />
den Stationen.<br />
Im Laufe der letzten Jahre erreicht die intensive<br />
Zusammenarbeit zwischen dem Lycée Technique<br />
pour Professions de Santé (LTPS) und unserem<br />
Krankenhaus eine neue Dimension. Die<br />
Krankenpflegeschule wurde zu einem festen<br />
Bestandteil im Alltag der Pflegestationen.<br />
Die Erfahrung der Vergangenheit, aber auch die<br />
Budgetvorgaben zwangen die Direktionen, die<br />
Begleitung der Auszubildenden zu überdenken.<br />
Wie so oft galt es hier das Bestmögliche mit den<br />
vorhandenen Mitteln zu erreichen. Gemeinsam<br />
entwickelte die Direktion des LTPS und die Pflegedienstleitung<br />
ein Pilotprojekt, das die Begleitung<br />
der Krankenpflegeschüler der Klassen<br />
13ième SI neu regelte. Basierend auf unseren<br />
Erfahrungen wurde die Begleitung der Schüler<br />
HSL 2009 I 5<br />
während des Praktikums auf den Pflegestationen<br />
wieder näher an die Pflegeteams (zurück)gelegt.<br />
Die Aufgabe der Infirmier-Tuteur wird <strong>du</strong>rch die<br />
Krankenpfleger der Stationen übernommen. Die<br />
Präsenz und der Austausch mit den Lehrkräften<br />
bleibt, wie bewährt, bestehen.<br />
2008 fand der erste Versuch auf 2 Stationen statt.<br />
Das Feedback, das uns <strong>du</strong>rch eine Umfrage auf<br />
den teilnehmenden Stationen und Schülern erreichte,<br />
war sehr ermutigend. Das Projekt wurde<br />
2009 auf fast alle Stationen im HSL ausgedehnt.<br />
Eine zweite Beurteilung fand mittels der bewährten<br />
Fragebogen statt. 48 Schüler und 85<br />
Mitglieder unserer Pflegeteams beteiligten sich<br />
an der Umfrage und die Resultate (einen kleinen<br />
Auszug sehen Sie in diesem Bericht) übertrafen<br />
unsere Erwartungen. Interessant waren die Informationen,<br />
die uns von den beiden Stationen<br />
mitgeteilt wurden, die bereits 2008 am Projekt<br />
teilnahmen. Hier konnten wir feststellen, dass<br />
sich bereits eine gewisse Routine eingestellt<br />
hatte.<br />
2010 wird unser Projekt auf allen Pflegestationen<br />
im <strong>CHdN</strong> zum Einsatz kommen.<br />
Natürlich bedeutet diese Umstrukturierung<br />
auch einen Mehraufwand an Arbeit für unser<br />
Personal. Diesem Umstand wurde in der Konvention<br />
LTPS / HSL Rechnung getragen, in der<br />
vereinbart wurde, dass die vom Ministère de<br />
l’E<strong>du</strong>cation Nationale zur Verfügung gestellten
finanziellen Zuwen<strong>du</strong>ngen integral den Stationen<br />
zu Gute kommen. Mittlerweile wurde unser Projekt<br />
auch schon von anderen Krankenhäusern<br />
aufgegriffen und das HSL ist zufrieden, an einem<br />
wegweisenden Projekt mitgearbeitet zu haben.<br />
Einige offene Antworten:<br />
• Fannen desen Projet gudd, Schüler sinn mei an<br />
Equipe angebonnen, an gesin mei, mee awer<br />
Zeitopwendeg<br />
• Mei Deeg Praktikum, wei just 1-2, fir Schüler<br />
geif ech besser fannen<br />
• Questionnaire op Deitsch<br />
• Zevill Schüler am ganzen<br />
HSL 2009 I 5
13.2 „Schnupperstages“<br />
„Une société qui ne s’occupe pas de sa jeunesse<br />
n’a pas d’avenir / eine Gesellschaft die<br />
sich nicht um seine Jugend kümmert, hat keine<br />
Zukunft.“ Nelson Mandela<br />
Diese Worte beschreiben eigentlich in einem<br />
Satz den Sinn und Zweck der „Schnupperstages“,<br />
die das HSL seit einem Jahrzehnt, Jugendlichen,<br />
Schülern der benachbarten Schulen anbietet.<br />
Den Jugendlichen die Chance zu geben,<br />
sich aus voller Überzeugung für einen Beruf in<br />
der Pflege zu entscheiden, liegt sowohl im Interesse<br />
des Schülers als auch des zukünftigen<br />
Arbeitgebers.<br />
Das HSL bietet jährlich 120 Schülern die Möglichkeit<br />
an diesen Praktika teilzunehmen. Das<br />
Interesse ist groß. Im Jahre 2009 erhielten 104<br />
Schüler einen Einblick in den Berufsalltag des<br />
Krankenpflegers.<br />
HSL 2009 I 58<br />
Das LTPS in Warken unterstützt unsere Bemühungen<br />
<strong>du</strong>rch obligatorische Informationsversammlungen.<br />
Dabei hat der Schüler die<br />
Gelegenheit, die ersten Kontakte zum LTPS zu<br />
knüpfen.<br />
Im Abschluss an jedes Praktikum findet eine<br />
Evaluationsversammlung statt, an der die Vertreter<br />
der verschiedenen Schulen des LTPS, der<br />
Pflegedienstleitung sowie die Schüler selbst<br />
teilnehmen. In diesen Versammlungen wird das<br />
Erlebte besprochen, Verbesserungsvorschläge<br />
entgegengenommen und Fragen beantwortet.<br />
Viele unserer jetzigen Mitarbeiter haben früher<br />
selbst an diesen „Schnupperstagen“ teilgenommen.<br />
Sie ermutigen und bestätigen uns, weiterhin<br />
mit dem Leitbild des Pflegedienstes in den<br />
Schulen und bei den Schülern zu werben.<br />
Die folgende Tabelle zeigt eine Übersicht, wie<br />
unser Angebot von den Schülern der verschiedenen<br />
Schulen wahrgenommen wurde.<br />
Praktikanten und Studenten 2006 2007 2008 2009<br />
Praktikanten (Pflegeberufe) 44 2 41 44<br />
Medizinstudenten 12 14 10 18<br />
Medizinstudenten (Krankenpflegepraktikum) 24 19 33 21<br />
Schnupperstage 84 11 119 104
13.3 Ökologie im Krankenhaus<br />
In dem Bemühen, das Abfallaufkommen zu re<strong>du</strong>zieren,<br />
sind wir aufgrund von Entwicklungen<br />
bei unseren Lieferanten bzw. der In<strong>du</strong>strie bis<br />
jetzt noch nicht so erfolgreich gewesen wie gewünscht.<br />
Abfallaufkommen pro abrechenbare leistungseinheit (Unités d’oeuvre)<br />
2006 2007 2008 2009<br />
Hausmüll kg 24<strong>9.</strong>9 0 25<strong>9.</strong> 40 24<strong>9.</strong>3 0 2 2. 80<br />
Infektiöser Müll kg 52.9 4 . 11 50.883 4 . 3<br />
Papier und Karton kg 48. 94 4 .330 4 .9 0 50. 55<br />
Tonerkassetten kg 300 2 8 311 235<br />
Holz kg 511 1.020 230 9<br />
Metall kg 340 585 5 430<br />
Medikamente (perimiert) inkl.<br />
leere Glas-Infusionsflaschen<br />
kg 8.389 1. 41 255 34<br />
Plastik-Infusionsflaschen kg 3. / 4. 3 5.532<br />
Batterien kg 355 203 155 2 9<br />
Pro<strong>du</strong>kte für Fotos kg .021 2. 82 4.12 2.30<br />
Plastik (Total) inkl. Flaschen kg 1. 8 1. 02 1.983 1.2 9<br />
Elektro und Info-Schrott kg 1 1.485 9 5 99<br />
Glas m3 9 8 10<br />
Organischer Müll m3 0 103,5 12 ,5 92<br />
Durch eine gezielte Betriebsführung wird versucht,<br />
den Energieverbrauch so gering wie<br />
möglich zu halten.<br />
Verbrauch pro abrechenbare leistungseinheit (Unités d’oeuvre)<br />
2006 2007 2008 2009<br />
Dampf kwH 5, 48 3,3 11 2, 4 8 2, 422<br />
Elektrizität kwH 13,0855 12,5922 12,0 9 11, 251<br />
Kälte kwH 3, 99 2,4394 2,21 2,2832<br />
Wasser m 3 0,0 0 0,0809 0,0 5 0,0 2 0<br />
Wärme kwH ,4 09 5,18 2 4,5291 4,4044<br />
HSL 2009 I 59
Campagne „Propper Hänn“ 25.11.2009<br />
Chreschtmaart 2009<br />
13.4 Veranstaltungen 2009<br />
Jugendorchester Heiderscheid 21.03.2009<br />
HSL 2009 I 0
Ausstellung 15.10.2009<br />
Spitzenfelder 16.05.2009 Raudi an Daudi 14.02.2009<br />
HSL 2009 I 1
14. Zentrale ergebnisse<br />
14.1 leistungsentwicklung<br />
leistungsentwicklung (Unités d’oeuvre) 2006 2007 2008 2009<br />
Soins normaux . 40 8.200 8.444 <strong>9.</strong>328<br />
Soins intensifs 4.832 5.2 0 5.144 5.334<br />
Salles opératoires .551 8.359 8. 94 8. 8<br />
Salles d’accouchements 13 35 54 32<br />
Laboratoire 102.525 10 .845 108.420 112.494<br />
Imagerie médicale 1.339 2.455 4.198 .145<br />
Résonance magnétique 3. 00 4. 99 4. 3 4.822<br />
Dialyse .193 .259 . 13 . 9<br />
Physiothérapie 31. 20 35.254 40. 14 3<strong>9.</strong>435<br />
Policliniques 132.344 138.11 144.1 0 14 .481<br />
Chimiothérapie 1.53 1.4 2 1.519 1. 2<br />
HPJ psychiatrique 3.401 3.3 2 3.203 3.8 0<br />
Médecine nucléaire 3.003 3.18 3.534 3.48<br />
Place de surveillance ambulatoire 2.3 2 2.539 2. 24 3.008<br />
Ergothérapie 15. 94 15.300 1 .4 2 1 .2 2<br />
Soins palliatifs 1.954 1. 5 1.913 1.484*<br />
* In Folge der gesetzlichen Änderungen zur Palliativversorgung von Patienten besitzen die Zahlen nur noch<br />
begrenzte Aussagekraft für den Vergleich mit früheren Zahlen.<br />
HSL 2009 I 2
Auslastung Durchschnittliche Verweildauer<br />
HSL 2009 I 3
14.2 iCD-10 Übersichten mit Fallzahlen<br />
iCD-10 Übersicht hospitalisierte Patienten: 2007 2008 2009<br />
HSL 2009 I 4<br />
entwicklung<br />
2008-2009<br />
Kategorie iCD10 Anzahl DMS Anzahl DMS Anzahl DMS Anzahl DMS<br />
I00-I99 Maladies de l’appareil circulatoire 1.350 8,84 1.558 8,80 1. 30 10,10 4, 2% 1,30<br />
F00-F99 Troubles mentaux et <strong>du</strong> comportement 1.199 12,00 1.215 12,40 1.28 30,42 5,93% 18,02<br />
S00-T99<br />
Lésions traumatiques, empoisonnements et<br />
certaines autres conséquences de causes externes<br />
1.043 8, 9 1.148 81,0 1.1 4 8,53 1,39% 0,43<br />
K00-K99 Maladies de l’appareil digestif 888 5,53 919 , 0 1.042 ,42 13,38% -0,18<br />
J00-J99 Maladies de l’appareil respiratoire 881 5, 2 931 5,50 93 18,45 0, 4% 12,95<br />
C00-D48 Tumeurs 88 8,03 914 8,00 895 21,32 -2,08% 13,32<br />
O00-O99 Grossesse, accouchement et puerpéralité 8 9 4,13 844 3,90 845 4,35 0,12% 0,45<br />
N00-N99 Maladies de l’appareil génito-urinaire 812 5,10 858 5,30 5,32 -10, 1% 0,02<br />
G00-G99 Maladies <strong>du</strong> système nerveux 54 8,84 531 8,90 01 10,19 13,18% 1,29<br />
M00-M99<br />
Maladies <strong>du</strong> système ostéro-articulaire, des<br />
muscles et <strong>du</strong> tissu conjonctif<br />
15 ,39 42 ,30 59 ,89 - ,01% 0,59<br />
H00-H59 Maladies de l’oeil et de ses annexes 415 2,04 38 1,90 325 1,9 -1 ,02% 0,0<br />
R00-R99<br />
Symptômes, signes et résultats anormaux d’examens<br />
cliniques et de laboratoire, non classés ailleurs<br />
299 4,39 293 4,20 323 4,02 10,24% -0,18<br />
A00-B99 Certaines maladies infectieuses et parasitaires 152 5,13 155 5,00 1 5 , 8 12,90% 1, 8<br />
E00-E99<br />
Maladies endocriniennes, nutritionnelles et<br />
métaboliques<br />
100 8, 9 14 ,30 131 ,15 -10,88% -0,15<br />
L00-L99<br />
Maladies de la peau et <strong>du</strong> tissu cellulaire souscutané<br />
115 ,41 103 5,10 5 9,05 -2 ,18% 3,95<br />
Z00-Z99<br />
Facteurs influant sur l’état de santé et motifs de<br />
recours aux services de santé<br />
50 1 ,94 54 11,00 0 ,00 29, 3% -5,00<br />
P00-P99<br />
Certaines affections dont l’origine se situe dans la<br />
période périnatale<br />
40 3,50 4,20 9 5,90 4,55% 1, 0<br />
H 0-H99 Maladies de l’oreille et de l’apophyse mastoïde 95 1,91 0 2,30 4 5, 2 , % 3,42<br />
Q00-Q99<br />
Malformations congénitales et anomalies<br />
chromosomiques<br />
53 5,45 1 4, 0 5 4,11 -21,13% -0,49<br />
D50-D99<br />
Maladies <strong>du</strong> sang et des organes hématopoïétiques<br />
et certains troubles <strong>du</strong> système immunitaire<br />
33 ,45 42 5,90 54 8,02 28,5 % 2,12<br />
V01-Y98 Causes externes de morbidité et de mortalité 32 2, 32 3,00 40 5,82 25,00% 2,82
iCD-10 Übersichten Patienten „Places de surveillance ambulatoire”<br />
HSL 2009 I 5<br />
2007 2008 2009<br />
entwicklung<br />
2008-2009<br />
Kategorie iCD10 Anzahl Anzahl Anzahl Anzahl<br />
G00-G99 Maladies <strong>du</strong> système nerveux 341 395 442 11,90%<br />
M00-M99<br />
Maladies <strong>du</strong> système ostéro-articulaire, des muscles et <strong>du</strong><br />
tissu conjonctif<br />
394 390 331 -15,13%<br />
N00-N99 Maladies de l’appareil génito-urinaire 381 380 449 18,1 %<br />
S00-T99<br />
Lésions traumatiques, empoisonnements et certaines autres<br />
conséquences de causes externes<br />
314 320 368 15,00%<br />
C00-D48 Tumeurs 99 143 182 2 ,2 %<br />
I00-I99 Maladies de l’appareil circulatoire 94 94 175 8 ,1 %<br />
H00-H59 Maladies de l’oeil et de ses annexes 38 93 180 93,55%<br />
E00-E99 Maladies endocriniennes, nutritionnelles et métaboliques 5 88 42 -52,2 %<br />
J00-J99 Maladies de l’appareil respiratoire 8 8 112 28, 4%<br />
H 0-H99 Maladies de l’oreille et de l’apophyse mastoïde 13 84 95 13,10%<br />
K00-K99 Maladies de l’appareil digestif 8 81 103 2 ,1 %<br />
L00-L99 Maladies de la peau et <strong>du</strong> tissu cellulaire sous-cutané 51 50 53 ,00%<br />
O00-O99 Grossesse, accouchement et puerpéralité 84 4 25 -45, 5%<br />
R00-R99<br />
Symptômes, signes et résultats anormaux d’examens<br />
cliniques et de laboratoire, non classés ailleurs<br />
4 44 60 3 ,3 %<br />
A00-B99 Certaines maladies infectieuses et parasitaires 92 41 60 4 ,34%<br />
D50-D99<br />
Maladies <strong>du</strong> sang et des organes hématopoïétiques et<br />
certains troubles <strong>du</strong> système immunitaire<br />
14 25 35 40,00%<br />
Q00-Q99 Malformations congénitales et anomalies chromosomiques 21 1 19 11, %<br />
V01-Y98 Causes externes de morbidité et de mortalité 12 4 3 -25,00%<br />
F00-F99 Troubles mentaux et <strong>du</strong> comportement 5 3 5 , %<br />
Z00-Z99<br />
Facteurs influant sur l’état de santé et motifs de recours aux<br />
services de santé<br />
1 10 900,00%<br />
P00-P99<br />
Certaines affections dont l’origine se situe dans la période<br />
périnatale<br />
0 0 0 0,00%
14.3 Allgemeine medizinische und pflegerische<br />
Qualitätsindikatoren<br />
Nationale indikatoren (Auszug) 2007 2008 2009<br />
Harnkatheterinfektionen auf der Intensivstation<br />
1.000 Kathetertage<br />
Infektionen der Blutbahn bei zentralem Gefäßkatheter<br />
1000 Kathetertage<br />
Beatmungsassoziierte Pneumonie<br />
1000 Beatmungstage<br />
Patienten mit Schmerzscore ≤ EVA 4<br />
% stationäre Patienten Audit PRN<br />
Sturzrate hospitalisierter Patienten<br />
% stationäre Patienten / Mel<strong>du</strong>ngen<br />
Dekubitusrate hospitalisierte Patienten<br />
% stationäre Patienten Audit PRN<br />
MIF (Mesure de l’indépendance fonctionnelle)<br />
Aufnahme / Entlassung geriatrische Ree<strong>du</strong>kation<br />
HSL 2009 I<br />
3, 2,82 2,09<br />
0, 1,42 1,55<br />
1, ,19 5,33<br />
9,98 11, 11,<br />
0,51 0,38 0,4<br />
1,8 1,25 1,8<br />
12, 2 13, 4 14,2
iQiP (Auszug) - international Quality indicator Project 2007 2008 2009<br />
Selbstgefährdende Ereignisse in der stationären Psychiatrie<br />
1.000 Entlassungen<br />
Wiederaufnahme in die Psychiatrie innerhalb von 15<br />
Tagen bei vorhergehender Aufenthaltsdauer von › 15 Tagen<br />
% der Wiederaufnahmen<br />
Unvorhergesehene Abgänge aus der Psychiatrie (stationär)<br />
% der stationären Patienten<br />
Ungeplante Rückverlegungen auf eine Intensivstation<br />
% der stationären Patienten<br />
Einsatz von Harnblasenkathetern auf der Intensivstation<br />
% der stationären Patienten<br />
Seit 200 nehmen wir zusätzlich freiweillig<br />
am International Quality Indicator Project zur<br />
Unterstützung der Ergebnismessung im klinischen<br />
Bereich teil.<br />
• 1985 Pilotprojekt in Maryland<br />
• Assoziation mit Johns Hopkins University<br />
• Ausweitung des Projektes auf die gesamten<br />
USA<br />
• 1992 Sprung nach Europa/UK › International<br />
Quality Indicator Project –1992 IQIP®<br />
• 2002 Einführung von IQIP in Deutschland<br />
• 2005 Einführung in Italien, Luxemburg und<br />
der Schweiz<br />
• Weltweit größtes vergleichendes Forschungsprojekt<br />
zur Qualitätsmessung in<br />
Krankenhäusern<br />
Das Projekt liefert ca. 250 wissenschaftlich<br />
basierte Leistungsindikatoren als Grundlage<br />
für ein wissenschaftlich fundiertes internationales<br />
Benchmarking.<br />
Projektphilosophie<br />
IQIP® ist kein Projekt zur reinen Datenerfassung,<br />
sondern ein Projekt, das zur Reflexion<br />
des Klinikalltags anregen soll. Die Datenerhebung<br />
ist für die Einrichtung lediglich ein<br />
Hilfsmittel zur Leistungskontrolle in einem<br />
bestimmten Zeitraum und im Vergleich zu anderen<br />
Einrichtungen.<br />
Für alle Indikatoren gelten folgende Grundsätze:<br />
• Implikation der Pflegeteams,<br />
• Datenvalidität sichern,<br />
• multidisziplinäre Fallanalysen sowie<br />
• interner und externer Praxisaustausch.<br />
HSL 2009 I<br />
2)<br />
1) 2)<br />
2)<br />
2)<br />
2) 3)<br />
HSL<br />
europäischer Vergleich<br />
HSL<br />
europäischer Vergleich<br />
HSL<br />
europäischer Vergleich<br />
HSL<br />
europäischer Vergleich<br />
HSL<br />
europäischer Vergleich<br />
Stürze mit Verletzungsfolge / Schweregrad 3 2) 4) HSL<br />
europäischer Vergleich<br />
58,2<br />
85,00<br />
0<br />
,50<br />
10,88<br />
33,00<br />
9,55<br />
8, 4<br />
54,99<br />
82,4<br />
1) Vergleich der differenzierten Resultate nach vorangegangener Verweildauer: je höher diese ist, desto niedriger ist die Wiederaufnahmerate<br />
2) Indikatoren werden <strong>du</strong>rch Fallanalysen begleitet<br />
3) Indikator bestätigt die Umsetzung der Entschei<strong>du</strong>ng zur Senkung der Indikation zur Harnblasenkatheterisierung<br />
4) Stürze werden nach Ursache und Schweregrad evtl. Verletzungen differenziert.<br />
4,20<br />
,35<br />
2,50<br />
, 0<br />
0<br />
4,09<br />
1 ,<br />
24,13<br />
5,0<br />
8,2<br />
1,3<br />
3,13<br />
4,32<br />
83, 5<br />
3, 0<br />
,81
14.4 Qualitätsindikatoren in der<br />
Schlaganfallversorgung<br />
Erneut haben wir uns unter Federführung der<br />
Gruppe der Neurologen freiwillig an dem Qualitätssicherungsprojekt<br />
der Universität Münster<br />
beteiligt. Die Ergebnisse dieser Studie, die<br />
anerkannte Qualitätsindikatoren zur Schlaganfallversorgung<br />
einsetzt, ermöglichen einen detaillierten<br />
Leistungsvergleich mit 139 anderen<br />
Kliniken. Es handelt sich dabei überwiegend<br />
um Fachabteilungen für Neurologie mit zertifizierten<br />
Stroke Units aus Deutschland. Aus Luxemburg<br />
beteiligten sich drei Krankenhäuser<br />
und aus der Schweiz ein Haus.<br />
Einige ausgewählte Ergebnisse aus dem Verlauf<br />
der letzten drei Jahre sowie im Vergleich<br />
zu den Mittelwerten der Gesamtstichprobe aus<br />
2009 zeigt die nachfolgende Tabelle.<br />
Nach wie vor erzielen wir eine deutlich bessere<br />
Quote in der Wiederherstellung der Fähigkeiten<br />
zur selbständigen Lebensführung. Zieht man<br />
zusätzlich in Betracht, dass unsere Patienten<br />
im Mittel stärkere Funktionseinschränkungen<br />
bei der Aufnahme aufwiesen, bestätigen diese<br />
Schlüsselergebnisse unser Behandlungskonzept.<br />
Relevante Komplikationsindikatoren bewegen<br />
sich ebenfalls unterhalb des Gesamt<strong>du</strong>rchschnitts.<br />
HSL 2009 I 8
14.5 Finanzielle Kennzahlen<br />
HSL 2009 I 9
14.6 Umfassende<br />
Qualitätsbewertung 2009<br />
In 2009 wurden wir im Rahmen der nationalen<br />
Qualitätsinitiative im Krankenhaussektor<br />
(Commission d’evaluation) erneut von externen<br />
Gutachtern bewertet.<br />
Gemessen an den Anforderungen des Europäischen<br />
Qualitätsmodells (EFQM) erreichen drei<br />
Krankenhäuser den Grenzwert, ab der eine<br />
klar erkennbare Orientierung an den zugrunde<br />
liegenden Prinzipien attestiert wird (recognized<br />
for excellence).<br />
HSL 2009 I 0<br />
Es ist erfreulich, dass wir das im HSL geschafft<br />
haben - gerade angesichts der hohen Auslastung<br />
und des permanenten Versorgungsauftrags.<br />
Der Blick auf die einzelnen Kriterien<br />
macht aber deutlich, dass wir vor allem noch<br />
in den Bereichen strategische Orientierung<br />
und Umsetzung strategischer Projekte (Kriterium<br />
2) sowie im Bereich Prozessmanagement<br />
(Kriterium 5) gut von anderen Häusern im Land<br />
lernen können.
TEIL III<br />
ANHANg<br />
HSL 2009 I 1
15. Gremien und Personen<br />
Commission administrative<br />
Marc Mohr, président<br />
Jean-Paul Schaaf, député-maire<br />
Louis Reiles, vice-président<br />
François Faber, membre<br />
Viviane Dockendorf-Bellina, membre<br />
Nicole Wilhelm-Petry, membre<br />
Frank Gansen, commissaire aux hôpitaux<br />
Conseil médical<br />
Dr Paul Solvi, président<br />
Dr Chrétien Jacoby, secrétaire<br />
Christine Fraix, membre<br />
Dr Michel Hoffmann, membre<br />
Tom Manderscheid, membre<br />
Dr Frank Moeller, membre<br />
Dr Henri Neuray, membre<br />
Dr Jacqueline Parmentier, membre<br />
Dr Gérard Schanen, membre<br />
Dr Georges Steichen, membre<br />
Dr Tino Tancredi, membre<br />
Dr Laurent Visser, membre<br />
Dr Romain Weis, membre<br />
Comité éthique<br />
Prof. Jean-Luc Thill, président<br />
Peter Zilles, vice-président<br />
Maître Jean-Luc Gonner, secrétaire<br />
Dr Raymond Meyers, membre<br />
Dr Fernand Marxen, membre<br />
Dr Françoise Pauly, membre<br />
HSL 2009 I 2<br />
Comité mixte<br />
Patronat<br />
Louis Reiles, président<br />
Prof. Dr Hans-Joachim Schubert,<br />
directeur général<br />
Georges Bassing, secrétaire administratif<br />
René Haagen, directeur des soins<br />
Salariat<br />
Paul Becker, secrétaire<br />
Michel Gilson, représentant <strong>du</strong> personnel<br />
Daniel Michels, représentant <strong>du</strong> personnel<br />
Claude Thill, représentant <strong>du</strong> personnel<br />
Délégation <strong>du</strong> personnel<br />
Paul Becker, président<br />
Marianne Thomas, vice-président<br />
Claude Thill, secrétaire<br />
Solange Besseling, membre<br />
Claude Blom, membre<br />
Maria Bonito-Neves, membre<br />
Jeanne Both, membre<br />
Michel Gilson, membre<br />
Änny Hoffmann, membre<br />
Marie-Jeanne Jacobs, membre<br />
Daniel Michels, membre<br />
Axel Rosengarten, membre<br />
Abbes Schank, membre<br />
Khadija Zriouel, membre<br />
Conseil de direction<br />
Prof. Dr Hans-Joachim Schubert, directeur<br />
général<br />
Georges Bassing, directeur administratif<br />
Dr Marcel Bauler, directeur médical<br />
René Haagen, directeur des soins
16. Historische Entwicklung<br />
Clinique St Louis et Hôpital St Louis de 1963 à 2009<br />
23 novembre 1963<br />
Inauguration de la „Clinique St Louis”<br />
Les frais s’élevaient à 102 millions de Francs<br />
Le nombre de lits était de 142 lits; médecins 24,<br />
personnel 99<br />
15 mars 1968<br />
Le conseil communal approuve l’expansion vers<br />
186 lits aigus, et un département gériatrique avec<br />
42 lits, frais à charge de l’Etat<br />
19 novembre 1971<br />
Les sœurs de la „congrégation <strong>du</strong> Très Saint<br />
Sauveur” quittent après 35 ans de bons et loyaux<br />
services la Clinique St Louis<br />
1 mars 1974<br />
Fête de fins de travaux <strong>du</strong> nouveau département de<br />
gériatrie (6 étages) - Nouveau nombre de lits: 288<br />
HSL 2009 I 73<br />
Septembre 1982<br />
Ouverture d’une nouvelle école d’infirmiers,<br />
40, avenue Salentiny<br />
Juin 1989<br />
Garde SAMU<br />
12 janvier 1993<br />
Inondation<br />
1995<br />
Signature convention synergie avec Clinique de<br />
Wiltz<br />
1996<br />
Achat d’une maison unifamiliale pour la crèche<br />
Présence permanente de l’hélicoptère de<br />
Luxembourg Air Rescue auprès de la Clinique St<br />
Louis<br />
16 octobre 1998<br />
Coup de bêche de la construction <strong>du</strong> nouveau<br />
<strong>Centre</strong> <strong>Hospitalier</strong> <strong>du</strong> Nord – Clinique St Louis<br />
1999<br />
Inauguration d’un service „antenne mobile, soins<br />
palliatifs à domicile“<br />
Pose de la 1ère pierre <strong>du</strong> nouveau <strong>Centre</strong><br />
<strong>Hospitalier</strong> <strong>du</strong> Nord (01.10.1999)<br />
27 juillet 2000<br />
Fête <strong>du</strong> bouquet nouvel hôpital<br />
2001<br />
Signature de la convention entre la Clinique St<br />
Louis et l’Etat luxembourgeois et concernant le<br />
financement <strong>du</strong> nouvel hôpital<br />
Décision de construire un hangar de stationnement<br />
pour les besoins de l’hélicoptère de la LAR
2003<br />
Nouvel hôpital<br />
17.10. fête des partenaires<br />
18.10. fête <strong>du</strong> personnel<br />
24.10. séance académique en présence<br />
de Son Altesse Royal le Grand-Duc<br />
Henri<br />
25.10./26.10. portes ouvertes<br />
08.11. déménagement<br />
Changement de la dénomination de la Clinique St<br />
Louis qui devient officiellement Hôpital St Louis le<br />
8 novembre 2003<br />
© Raymond Clement<br />
© Raymond Clement<br />
2004<br />
Inauguration de l’unité de soins palliatifs en présence<br />
de Son Altesse Royal la Grande-Duchesse<br />
Maria Teresa<br />
2005<br />
1ère journée qualité<br />
Mise en place de la psychiatrie intensive<br />
Décision de proposer au conseil communal la<br />
démolition de l’ancienne Clinique St Louis<br />
2007<br />
Signature „Letter of Intent“ fusion HSL – Clinique<br />
St Joseph<br />
Prix de la Santé „Projet aggressions”<br />
2008<br />
Cession de biens immeubles par l’HSL à la Ville<br />
d’Ettelbruck<br />
2009<br />
Démolition Clinique St Louis<br />
Loi portant création <strong>du</strong> „<strong>Centre</strong> <strong>Hospitalier</strong> <strong>du</strong><br />
Nord“ (20.4.2009)<br />
Signature convention financière<br />
HSL – Ville d’Ettelbruck<br />
Commission Administrative<br />
Présidents<br />
Me René FRANK 1<strong>9.</strong>12.1963 - 31.01.1978<br />
Julien KANN 01.02.1978 - 31.01.1980<br />
Dr Lucien DEITZ 01.02.1980 - 31.01.1982<br />
Henri LUTGEN 01.02.1982 - 2<strong>9.</strong>02.1988<br />
Dr Lucien DEITZ 01.03.1988 - 30.0<strong>9.</strong>1990<br />
Henri LUTGEN 01.10.1990 - 31.01.1991<br />
Dr Jean-Marie SPAUTZ 01.02.1991 - 31.12.1993<br />
Marc MOHR depuis le 01.01.1994<br />
Direction 1963 - 2009<br />
Administrateurs<br />
Joseph LUDWIG 1<strong>9.</strong>12.1963 - 08.03.1971<br />
Jeannot KOENIG 01.0<strong>9.</strong>1971 - 31.01.1991<br />
Georges BASSING 01.02.1991 - 30.0<strong>9.</strong>1999<br />
Directeurs généraux<br />
Dr Guy SCHEIFER 01.10.1999 – 31.12.2006<br />
Prof. Dr Hans-Joachim SCHUBERT 01.01.2007 – 31.12.2009<br />
Directeur administratif<br />
Georges BASSING 01.10.1999 – 31.12.2009<br />
Infirmiers généraux<br />
Pierre SCHREITMULLER 01.01.1972 – 31.01.1995<br />
José LUXEN 01.02.1995 – 31.07.1998<br />
Fred FERRON 01.01.1999 – 30.0<strong>9.</strong>1999<br />
Directeur des Soins<br />
René HAAGEN 16.11.2000 – 31.12.2009<br />
Directeurs médicaux<br />
Dr Guy SCHEIFER 01.10.1999 – 13.12.2006<br />
Dr Marcel BAULER 01.01.2007 – 31.12.2009<br />
HSL 2009 I 74