25.09.2015 Views

Procès-verbal du Conseil municipal de la Ville de Seyssins Séance ...

Procès-verbal du Conseil municipal de la Ville de Seyssins Séance ...

Procès-verbal du Conseil municipal de la Ville de Seyssins Séance ...

SHOW MORE
SHOW LESS

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

MAIRIE <strong>de</strong> SEYSSINS<br />

département <strong>de</strong> l’Isère<br />

canton <strong>de</strong> Fontaine Seyssinet<br />

arrondissement <strong>de</strong> Grenoble<br />

convocation <strong>du</strong> : 29 janvier 2013<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong><br />

<strong>Conseil</strong> <strong>municipal</strong> <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>Ville</strong> <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong><br />

Séance <strong>du</strong> lundi 04 février 2013<br />

Le quatre février <strong>de</strong>ux mille treize à vingt heure trente, le conseil <strong>municipal</strong> <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> s’est<br />

réuni sur <strong>la</strong> convocation et sous <strong>la</strong> prési<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> Monsieur Fabrice HUGELÉ, Maire <strong>de</strong><br />

<strong>Seyssins</strong>.<br />

Nombre <strong>de</strong> conseillers municipaux en exercice au jour <strong>de</strong> <strong>la</strong> séance : 29<br />

PRÉSENTS : 22<br />

MMES ET MM. FABRICE HUGELÉ ; MICHEL VERGNOLLE ; DÉLIA MOROTÉ ;<br />

FRANÇOIS GILABERT ; SYLVAIN CIALDELLA ; MARTINE BROUZET ; ANNE-MARIE<br />

MIRCOVICH ; JACQUES LORTHIOIR ; JACQUELINE CHAPUIS ; CATHERINE BRETTE ;<br />

FRANÇOISE COLLOT ; GISÈLE DESÈBE ; PASCAL FAUCHER ; LAURENCE ALGUDO ;<br />

JOAN MCLAUGHLIN ; PASCALE CHAILLET ; FRÉDÉRIC ROCHAS ; LAURENT<br />

CHAPELAIN ; PASCAL BEAUCHAMP ; COLETTE TABELING ; JEAN-LUC LERA-<br />

VALDES ; JEAN-FRANÇOIS LAGNEAU.<br />

ABSENTS EXCUSÉS AYANT DONNÉ POUVOIR : 4<br />

MMES ET MM. ELISABETH ROUSSELOT-PAILLEY À DÉLIA MOROTÉ ; MICHEL<br />

BAFFERT À FABRICE HUGELÉ ; GEORGES ELZIÈRE À SYLVAIN CIALDELLA ; CÉLIA<br />

BORRÉ À MICHEL VERGNOLLE.<br />

ABSENTS : 3<br />

CLÉMENT PETIT ; BENOIT GARNIER ; JEANNE MACHEREL.<br />

SECRÉTAIRES DE SÉANCE : JOAN MCLAUGHLIN ET COLETTE TABELING.<br />

Monsieur Fabrice HUGELÉ, maire, ouvre <strong>la</strong> séance à 20h40.<br />

Il procè<strong>de</strong> à l’appel <strong>de</strong>s conseillers présents, donne lecture <strong>de</strong>s pouvoirs reçus <strong>de</strong>s<br />

conseillers municipaux absents et constate que le quorum est réuni. Il fait procé<strong>de</strong>r à <strong>la</strong><br />

désignation <strong>de</strong>s secrétaires <strong>de</strong> séance : Mmes Joan MCLAUGHLIN et Colette TABELING<br />

sont désignées.<br />

Le Maire soumet à l’approbation <strong>du</strong> conseil <strong>municipal</strong> le procès-<strong>verbal</strong> <strong>de</strong> <strong>la</strong> séance <strong>du</strong> 17<br />

décembre 2012. Ce compte-ren<strong>du</strong> est adopté à l’unanimité.<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


M. le maire rappelle que ce conseil sera essentiellement consacré au budget 2013 et <strong>la</strong>isse<br />

<strong>la</strong> parole à Monsieur Michel VERGNOLLE, afin qu’il présente le budget primitif 2013.<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Monsieur Michel VERGNOLLE, premier adjoint, précise qu’un document officiel complet<br />

contenant les éléments <strong>du</strong> budget primitif 2013 issus <strong>de</strong> <strong>la</strong> M14 est à disposition au service<br />

finances <strong>de</strong> <strong>la</strong> commune.<br />

En ce qui concerne les associations, toute subvention d’un montant supérieur à 23 000 €<br />

doit faire l’objet d’un vote spécifique et d’une convention.<br />

Enfin, certaines associations n’ont pas encore fourni leurs données statistiques sur le<br />

nombre <strong>de</strong> jeunes, leurs besoins, leurs moyens, ou n’ont pas suffisamment définies<br />

certaines activités. Leurs subventions ont été provisionnées et seront votées lors d’une<br />

prochaine séance <strong>du</strong> conseil <strong>municipal</strong>.<br />

Madame Colette TABELING estime que <strong>la</strong> prise en charge par <strong>la</strong> commune <strong>de</strong> l’employé<br />

<strong>municipal</strong> qui vient <strong>de</strong> LEJS, est <strong>la</strong> cause d’une augmentation <strong>de</strong> 3,1%. Il a été dit lors <strong>du</strong><br />

CTP que cette augmentation serait prise en compte par une baisse importante <strong>de</strong> <strong>la</strong><br />

subvention donnée à LEJS, sans en préciser le montant. Mais ce<strong>la</strong> n’apparait pas ici <strong>de</strong><br />

façon c<strong>la</strong>ire, il est même dit que les services <strong>de</strong>vront, à cause <strong>de</strong> cette augmentation, baisser<br />

leurs dépenses. Mme TABELING ne voit pas comment les services pourraient encore<br />

baisser <strong>de</strong>s dépenses qu’ils diminuent déjà <strong>de</strong>puis <strong>de</strong>s années. Selon elle, il faut baisser <strong>la</strong><br />

subvention versée à LEJS.<br />

En ce qui concerne l’impôt, <strong>la</strong> question <strong>de</strong>s taux communaux et <strong>de</strong>s bases est récurrente<br />

entre les élus <strong>de</strong> <strong>la</strong> majorité et <strong>de</strong> l’opposition. M. VERGNOLLE a eu <strong>la</strong> pru<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> dire que<br />

le SIRD in<strong>du</strong>isait <strong>de</strong>s dépenses. Cependant, il affirme que <strong>la</strong> commune est vertueuse et<br />

n’augmente pas les taux d’imposition, tout en démontrant que l’impôt perçu par <strong>la</strong> commune<br />

augmente, puisque les bases augmentent. Mme TABELING considère qu’être vertueux,<br />

c’est baisser les taux pour compenser l’augmentation <strong>de</strong>s bases.<br />

Mme TABELING revient sur <strong>la</strong> fermeture <strong>de</strong> <strong>la</strong> poste <strong>du</strong> vil<strong>la</strong>ge. Elle ne souhaite pas re<strong>la</strong>ncer<br />

le débat qui a eu lieu l’année <strong>de</strong>rnière à ce sujet tout en rappe<strong>la</strong>nt que les élus <strong>de</strong> <strong>la</strong> majorité<br />

avaient affirmé qu’il fal<strong>la</strong>it absolument supprimer cette agence. Cependant, elle constate que<br />

le service postal n’a pas été assuré pendant les vacances <strong>de</strong> Noël, <strong>la</strong> bou<strong>la</strong>ngère ne pouvant<br />

pas être à <strong>de</strong>ux endroits à <strong>la</strong> fois. Or, dans le <strong>de</strong>rnier Info <strong>Seyssins</strong>, un article très é<strong>du</strong>lcoré<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


explique que <strong>la</strong> fermeture <strong>de</strong> l’agence postale était <strong>la</strong> meilleure solution et qu’elle est<br />

compensée par un service é<strong>la</strong>rgi. Il est écrit que ce service est ren<strong>du</strong> le samedi, le dimanche<br />

et pendant les vacances, ce qui est faux. La bou<strong>la</strong>ngère, le dimanche tout comme pendant<br />

les vacances <strong>de</strong> Noël, ne peut pas et ne fait pas <strong>la</strong> poste, donc le service n’est pas tant<br />

compensé que ce<strong>la</strong>.<br />

M. VERGNOLLE revient sur <strong>la</strong> question <strong>de</strong> l’augmentation <strong>de</strong> <strong>la</strong> masse sa<strong>la</strong>riale <strong>du</strong> fait <strong>de</strong> <strong>la</strong><br />

réintégration d’un poste qui était auparavant associatif et financé par une subvention. Les<br />

3,1% d’augmentation comprennent également le glissement-vieillesse-technicité et les<br />

décisions <strong>de</strong> création d’emplois d’avenir pour environ 2%. L’augmentation restante <strong>du</strong>e au<br />

transfert <strong>du</strong> poste dont il est question n’est qu’apparente, puisque <strong>la</strong> charge <strong>de</strong> ce poste était<br />

supportée par une subvention. Des discussions sont en cours avec LEJS. Elles portent<br />

notamment sur le montant attribué au titre <strong>de</strong>s cultures urbaines et pour déterminer <strong>la</strong> date<br />

exacte à <strong>la</strong>quelle le sa<strong>la</strong>ire <strong>de</strong> cet agent n’est plus supporté par cette association. M<br />

VERGNOLLE confirme que <strong>la</strong> subvention allouée à LEJS sera diminuée <strong>du</strong> montant<br />

correspondant au sa<strong>la</strong>ire <strong>de</strong> cet agent. M. VERGNOLLE prend l’engagement <strong>de</strong> présenter,<br />

lors d’une prochaine délibération modificative, <strong>la</strong> liste <strong>de</strong> toutes les associations avec les<br />

subventions votées ce soir et les subventions qui seront alors proposées au vote. Le conseil<br />

<strong>municipal</strong> aura ainsi une vision globale <strong>de</strong> toutes les subventions. Cependant, sur l’ensemble<br />

<strong>du</strong> volume qui est distribué, soit 779 000 € environ, plus <strong>de</strong> 700 000 € sont d’ores et déjà<br />

présentés au cours <strong>de</strong> <strong>la</strong> présente séance.<br />

Sur <strong>la</strong> question <strong>de</strong>s bases d’imposition couvrant l’inf<strong>la</strong>tion, <strong>la</strong> commune est aussi vertueuse<br />

que possible. Personne ne peut prétendre pouvoir faire l’impasse complète sur le coût <strong>de</strong> <strong>la</strong><br />

vie. D’ailleurs le gouvernement, qu’il soit <strong>de</strong> droite ou <strong>de</strong> gauche, a toujours, dans le cadre<br />

<strong>de</strong> <strong>la</strong> conception <strong>de</strong>s maquettes budgétaires et <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi <strong>de</strong> finance, arrêté le montant qui doit<br />

être retenu pour l’augmentation <strong>de</strong>s bases. Ce<strong>la</strong> n’appartient pas aux communes. Cette<br />

année, ce montant a été fixé à 1,8%. La responsabilité <strong>de</strong>s communes est engagée sur les<br />

taux, non sur les bases. La commune agit comme tout sa<strong>la</strong>rié qui, lorsqu’il a une<br />

augmentation, <strong>la</strong> prend et fait vivre son ménage au mieux. Mme TABELING voudrait rendre<br />

les 1,8%. Aucune <strong>municipal</strong>ité, même <strong>de</strong> son courant politique, n’est en mesure <strong>de</strong> le faire.<br />

Pour être vertueuse, <strong>la</strong> commune doit être conséquente, parce qu’elle a <strong>de</strong>s responsabilités,<br />

<strong>de</strong>vant les services en tant qu’employeur, <strong>de</strong>vant les parents pour <strong>la</strong> crèche et l’école… La<br />

commune ne peut sabrer les recettes, elle se doit d’être raisonnable, ce qui implique <strong>de</strong><br />

maintenir les taux. Comme M. VERGNOLLE l’a expliqué lors <strong>du</strong> débat d’orientation<br />

budgétaire, chacun, qu’il soit riche ou pauvre, contribue au financement <strong>de</strong>s prélèvements<br />

sociaux à hauteur <strong>de</strong> 40 à 44% <strong>de</strong> sa richesse pro<strong>du</strong>ite. Cette part ne peut augmenter<br />

qu’avec <strong>de</strong>s limites, entre l’argent qui est « socialisé » et l’argent dont l’usage est d’ordre<br />

privé. L’orientation <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>municipal</strong>ité est <strong>de</strong> maintenir <strong>la</strong> part <strong>de</strong> <strong>la</strong> commune dans <strong>de</strong>s limites<br />

acceptables.<br />

M. VERGNOLLE fait un parallèle avec le graphique national sur le coût <strong>du</strong> « panier <strong>de</strong>s<br />

maires », qui correspond à l’évolution <strong>du</strong> coût <strong>de</strong>s dépenses <strong>de</strong>s mairies par rapport au coût<br />

<strong>de</strong> <strong>la</strong> vie. Compte tenu <strong>de</strong> l’importance <strong>de</strong> cette évolution et malgré les efforts fournis par les<br />

collectivités, les communes sont souvent amenées, tous les 5 à 6 ans, soit à accueillir <strong>de</strong><br />

nouveaux foyers fiscaux, soit à avoir un effet <strong>de</strong> rattrapage par l’impôt. En effet, elles font<br />

face à une croissance rapi<strong>de</strong> <strong>de</strong>s dépenses, liées aux règles concernant <strong>la</strong> masse sa<strong>la</strong>riale<br />

dans un contexte <strong>de</strong> croissance économique atone.<br />

Le pro<strong>du</strong>it <strong>de</strong>s impôts à <strong>Seyssins</strong> reste dynamique, grâce à <strong>la</strong> construction <strong>de</strong> logements et à<br />

l’augmentation <strong>de</strong>s bases <strong>de</strong> 1,8%. Cependant, les dotations et les subventions font <strong>de</strong> plus<br />

en plus défaut. Ces subventions, versées par l’État ou le <strong>Conseil</strong> général, sont dépendantes<br />

<strong>de</strong> <strong>la</strong> capacité <strong>de</strong> <strong>la</strong> France à pro<strong>du</strong>ire <strong>de</strong> <strong>la</strong> richesse. Aujourd’hui, <strong>la</strong> question majeure est <strong>de</strong><br />

ré<strong>du</strong>ire les déficits pour ne pas être sous une contrainte financière internationale<br />

préjudiciable.<br />

La question <strong>de</strong> <strong>la</strong> bou<strong>la</strong>ngerie au vil<strong>la</strong>ge a déjà été abordée à <strong>de</strong> multiples reprises. M.<br />

VERGNOLLE constate qu’il y a <strong>de</strong>s progrès. Les choses évoluent en permanence et<br />

nécessitent <strong>de</strong> trouver, à chaque fois, <strong>de</strong>s solutions nouvelles. Cependant, <strong>la</strong> question<br />

majeure est <strong>de</strong> savoir si l’investissement réalisé est bien justifié. Mme TABELING se<br />

contente d’affirmer que <strong>la</strong> commune <strong>de</strong>vrait rendre <strong>de</strong> l’argent aux Seyssinois : c’est un peu<br />

court.<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Monsieur Jean-Luc LERA-VALDES <strong>de</strong>man<strong>de</strong> ce que représente le SIRD, au niveau <strong>de</strong> <strong>la</strong><br />

commune, en euros.<br />

Monsieur François GILABERT revient sur les 1,8%, prévus par <strong>la</strong> loi <strong>de</strong> finance <strong>de</strong> l’État. La<br />

commune ne peut aller en-<strong>de</strong>ssous, car ce<strong>la</strong> in<strong>du</strong>irait une perte <strong>de</strong> pouvoir d’achat <strong>de</strong> <strong>la</strong><br />

collectivité, ce qui est impossible.<br />

Concernant le SIRD, <strong>la</strong> réponse à <strong>la</strong> question <strong>de</strong> M. LERA-VALDES est : 250 000 euros. M.<br />

GILABERT a participé au débat d’orientation budgétaire <strong>du</strong> SIRD le 23 janvier <strong>de</strong>rnier. Le<br />

SIRD a une utilité certaine : délinquance, emploi, insertion, mission locale, MIPE,<br />

équipements sportifs. Mais il est en<strong>de</strong>tté à hauteur <strong>de</strong> 5,8 millions d’euros et sa capacité<br />

d’en<strong>de</strong>ttement nécessitera à l’avenir une gran<strong>de</strong> vigi<strong>la</strong>nce. La capacité d’en<strong>de</strong>ttement est lié<br />

à <strong>la</strong> capacité pour une collectivité, en nombre d’année, <strong>de</strong> pouvoir se désen<strong>de</strong>tter par rapport<br />

à son épargne brute. Le critère pour une collectivité comme le SIRD est <strong>de</strong> 9 à 10 ans. Or, le<br />

SIRD arrive en 2012 à 8,70 soit presque 9 ans. Il a donc atteint un pic et ne pourra, dans les<br />

années futures, ni emprunter ni pro<strong>du</strong>ire d’équipements sportifs ou autres. M. GILABERT a<br />

soulevé <strong>la</strong> question, lors <strong>du</strong> débat d’orientation budgétaire <strong>du</strong> SIRD, <strong>de</strong> savoir ce qu’il<br />

faudrait changer dans sa gouvernance en matière <strong>de</strong> <strong>de</strong>ttes. Avant 2008, <strong>la</strong> croissance<br />

économique était <strong>de</strong> 3% et le SIRD, comme toutes les collectivités, empruntait. Cette logique<br />

n’est plus possible aujourd’hui.<br />

Aujourd’hui, le SIRD va investir 1,2 millions d’euros dans l’achat <strong>de</strong> locaux afin <strong>de</strong> réaliser<br />

une sorte <strong>de</strong> guichet unique regroupant Pôle emploi, <strong>la</strong> mission locale et <strong>la</strong> MIPE. M.<br />

GILABERT s’est abstenu lors <strong>du</strong> vote sur cette question, estimant que <strong>la</strong> vocation <strong>du</strong> SIRD<br />

n’était pas d’acheter <strong>de</strong>s locaux, d’autant qu’aujourd’hui, <strong>la</strong> question <strong>de</strong> l’avenir <strong>de</strong> ce type <strong>de</strong><br />

syndicats <strong>de</strong> communes se pose. Le SIRD, sous contrainte financière, doit être très attentif à<br />

ses futurs emprunts. Il va cependant emprunter 350 000 euros en 2013. M. GILABERT<br />

estime que jusqu’en 2017-2018, le SIRD, ne pouvant plus emprunter, ne pourra plus faire<br />

d’investissements ni <strong>de</strong> projets nouveaux. Il s’inquiète pour l’avenir <strong>de</strong> ce syndicat <strong>de</strong><br />

communes, dont <strong>la</strong> vocation est <strong>de</strong> con<strong>du</strong>ire <strong>de</strong>s projets. Aujourd’hui, dans les documents<br />

officiels <strong>du</strong> SIRD, il est écrit : « on considère comme problématique une capacité <strong>de</strong><br />

désen<strong>de</strong>ttement à partir <strong>de</strong> 9-10 ans, c’est-à-dire le nombre d’années qu’il faut à <strong>la</strong><br />

collectivité pour rembourser <strong>la</strong> totalité <strong>de</strong> sa <strong>de</strong>tte. On constate sur le graphique que l’année<br />

2012 correspond à un pic d’en<strong>de</strong>ttement <strong>de</strong> <strong>la</strong> collectivité, suite au programme pluriannuel<br />

d’investissement, sans toutefois dépasser ce seuil critique. » M. GILABERT appelle les élus<br />

à <strong>la</strong> vigi<strong>la</strong>nce, car ce qui arrive au SIRD pourrait arriver aux communes. Il estime cependant<br />

que le budget d’investissement <strong>de</strong> <strong>la</strong> commune que vient <strong>de</strong> présenter Michel VERGNOLLE<br />

est éloigné <strong>du</strong> scénario présenté pour <strong>de</strong>s projets futurs, sous contraintes financières fortes,<br />

<strong>de</strong> ce syndicat <strong>de</strong> communes.<br />

M. VERGNOLLE souhaite répondre à M. LERA-VALDES concernant les 250 000 euros<br />

<strong>de</strong>stinés au SIRD. Cette somme correspond à une augmentation d’impôt <strong>de</strong> 5 à 6 points.<br />

Cependant, <strong>la</strong> commune <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> se situe dans <strong>la</strong> moyenne fiscale <strong>de</strong> l’agglomération,<br />

au niveau <strong>de</strong>s taux, même en prenant en compte l’effet <strong>du</strong> SIRD.<br />

Personne ne savait, au moment <strong>de</strong> <strong>la</strong> création <strong>du</strong> SIRD, ce que <strong>de</strong>viendrait <strong>la</strong> communauté<br />

d’agglomération. Il était normal que les communes se structurent pour mieux s’organiser<br />

autour <strong>de</strong> questions telles que les équipements sportifs ou l’emploi.<br />

Cependant, il est important aujourd’hui d’analyser les actions menées par le SIRD afin <strong>de</strong><br />

déterminer celles qui doivent être poursuivies en fonction <strong>de</strong> leur efficacité.<br />

Le temps <strong>de</strong> <strong>la</strong> croissance est passé et pour chaque commune doit être posée <strong>la</strong> question <strong>de</strong><br />

<strong>la</strong> stabilité et <strong>de</strong> <strong>la</strong> pérennité <strong>de</strong> sa structure budgétaire. Dans les budgets publics, il faut<br />

également s’interroger sur <strong>la</strong> re<strong>la</strong>tion entre <strong>la</strong> capacité d’avoir <strong>de</strong>s recettes et <strong>de</strong> faire <strong>de</strong>s<br />

dépenses. En tous cas, ce n’est pas en sabrant dans les services que <strong>la</strong> collectivité est utile<br />

à <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tion, mais plutôt en estimant l’efficacité sur le service ren<strong>du</strong> <strong>de</strong> chaque dépense et<br />

<strong>la</strong> possibilité <strong>de</strong> son financement. Tous les usagers et membres d’associations que les élus<br />

rencontrent le comprennent : nul ne peut dépasser un certain en<strong>de</strong>ttement.<br />

L’en<strong>de</strong>ttement est une question difficile. Il ne faut pas seulement prendre le ratio. Ainsi, bien<br />

que <strong>la</strong> commune soit dans un très bon ratio <strong>du</strong> point <strong>de</strong> vue <strong>de</strong> l’en<strong>de</strong>ttement, il n’est pas<br />

question d’emprunter puisque ce<strong>la</strong> dépend <strong>de</strong> <strong>la</strong> capacité à pro<strong>du</strong>ire <strong>de</strong> l’autofinancement.<br />

Les intérêts <strong>de</strong> l’emprunt rognent cet autofinancement qu’il conviendra d’accroitre. Ce<strong>la</strong><br />

permet <strong>de</strong> préserver l’avenir, afin <strong>de</strong> continuer à investir pour le bien <strong>de</strong> tous.<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Monsieur Fabrice HUGELÉ rappelle que le conseil <strong>de</strong> ce soir est consacré au budget <strong>de</strong> <strong>la</strong><br />

commune, non à celui <strong>du</strong> SIRD.<br />

M. GILABERT revient sur ce que paie exactement <strong>la</strong> commune au SIRD, soit 242 798 euros.<br />

Pour exemple, en arrondissant, Fontaine paie 727 802 euros, Noyarey 66 000 euros,<br />

Sassenage 319 000 euros, Seyssinet-Pariset 473 000 euros, <strong>Seyssins</strong> donc 242 000 euros<br />

et Veurey 51 000 euros, ce qui fait un total <strong>de</strong> 1,882 millions d’euros. Ce<strong>la</strong> permet <strong>de</strong>s<br />

investissements comme le gymnase Flemming à Sassenage qui a coûté 6 millions d’euros et<br />

sera inauguré le vendredi 8 février.<br />

M. LERA-VALDES calcule que 250 000 euros en arrondissant, représentent environ 1,250<br />

millions au terme <strong>du</strong> mandat, soit l’équivalent <strong>de</strong> 1, 2, 3, 4 ou 5 points <strong>de</strong> plus. Ainsi, lorsqu’il<br />

a été dit que les taux n’augmentaient pas, ce n’était pas tout à fait exact. Les bases et les<br />

taux ont augmenté <strong>du</strong>rant tout le mandat, pas seulement en une fois. M. LERA-VALDES<br />

estime que <strong>la</strong> réponse apportée n’était pas très honnête. Il reconnait cependant que le<br />

budget présenté a le mérite <strong>de</strong> comporter <strong>de</strong>s économies, ce qui est nécessaire en cette<br />

situation <strong>de</strong> crise.<br />

Néanmoins, M. LERA-VALDES estime que <strong>la</strong> marge d’économies que peut générer <strong>la</strong><br />

baisse <strong>de</strong>s frais <strong>de</strong> fonctionnement n’est plus très importante et qu’il faudra rapi<strong>de</strong>ment<br />

chercher les économies ailleurs. Selon lui, il est nécessaire d’anticiper dès aujourd’hui et <strong>de</strong><br />

chercher <strong>de</strong>s solutions alternatives, qui consisteraient à ne pas conserver le même nombre<br />

d’employés. Il ne préconise pas <strong>de</strong> mettre <strong>de</strong>s gens à <strong>la</strong> porte, mais <strong>de</strong> ne pas remp<strong>la</strong>cer<br />

l’ensemble <strong>de</strong>s personnes qui pourraient partir à <strong>la</strong> retraite.<br />

Concernant les logements, M. LERA-VALDES souhaite évoquer le montant <strong>de</strong> 4 000 euros<br />

le m 2 . Il a lu dans un journal, fin 2012, que <strong>Seyssins</strong> était aux alentours <strong>de</strong> 3 200 euros le m 2<br />

et le Grésivaudan, notamment Mey<strong>la</strong>n, 3 400 euros le m 2 . Donc, si aujourd’hui le prix <strong>du</strong> m 2 à<br />

<strong>Seyssins</strong> est passé à 4 000 euros, ce<strong>la</strong> signifie que <strong>la</strong> commune n’est plus dans le marché.<br />

M. VERGNOLLE remercie M. LERA-VALDES <strong>de</strong> reconnaître que tous les efforts<br />

nécessaires concernant <strong>la</strong> gestion sont faits.<br />

Les 5 points d’augmentation d’impôts sur <strong>la</strong> mandature, sont <strong>la</strong> conséquence <strong>de</strong>s effets <strong>de</strong><br />

rattrapage. Ainsi, <strong>la</strong> complexité <strong>de</strong>s structures budgétaires fait qu’une partie <strong>du</strong> budget a <strong>de</strong>s<br />

règles d’augmentation plus fortes que les recettes.<br />

La commune <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> n’est pas terminée, plusieurs programmes sont en cours, tels que<br />

les Jardins <strong>de</strong> <strong>la</strong> Baume qui amèneront une cinquantaine <strong>de</strong> nouveaux contribuables dès<br />

2014, puis Cœur <strong>de</strong> P<strong>la</strong>ine, Pré Nouvel… Ainsi, une bonne gestion <strong>de</strong> <strong>la</strong> commune<br />

aujourd’hui permet <strong>de</strong> sauvegar<strong>de</strong>r son avenir pour plusieurs années.<br />

Nul ne peut dire aujourd’hui ce que sera l’avenir <strong>de</strong>s communes dans 10 ou 15 ans. Il faudra<br />

sans doute s’adapter à <strong>de</strong>s circonstances nouvelles, <strong>la</strong> croissance ne reviendra pas au<br />

même niveau que par le passé. Il sera nécessaire d’inventer <strong>de</strong> nouveaux mo<strong>de</strong>s <strong>de</strong><br />

fonctionnement, liés au rapport existant entre <strong>la</strong> richesse pro<strong>du</strong>ite par le pays et <strong>la</strong> capacité à<br />

dépenser. C’est pourquoi toutes les commissions, notamment <strong>la</strong> commission <strong>de</strong>s finances,<br />

ainsi que les élus, travaillent chaque jour afin <strong>de</strong> prévoir, au moins pour une dizaine d’année,<br />

<strong>de</strong>s solutions qui permettront à <strong>Seyssins</strong> <strong>de</strong> poursuivre dans <strong>la</strong> voie d’un dynamisme<br />

associatif, social et <strong>de</strong> conforter <strong>la</strong> qualité <strong>de</strong> vie encore longtemps.<br />

M. HUGELÉ ne souhaite pas prolonger outre mesure un débat qui avait déjà été fructueux<br />

lors <strong>du</strong> débat d’orientation budgétaire, le mois précé<strong>de</strong>nt. Il ne reviendra donc pas sur toutes<br />

les questions qui ont été posées, un certain nombre d’entre elles ayant reçues <strong>de</strong>s réponses<br />

précises, mais uniquement sur celles qui nécessitent quelques précisions.<br />

Comme l’a souligné M. VERGNOLLE <strong>Seyssins</strong> n’est pas terminé, <strong>la</strong> commune continue <strong>de</strong><br />

s’épanouir et <strong>de</strong> se développer, en vertu <strong>du</strong> projet porté par les élus <strong>de</strong> <strong>la</strong> majorité <strong>de</strong>puis<br />

2008 et même avant. La question <strong>de</strong>s bases ne se limite pas à l’augmentation décidée par le<br />

gouvernement mais également à l’augmentation <strong>du</strong> nombre d’habitants. Le bénéfice <strong>de</strong><br />

l’instal<strong>la</strong>tion <strong>de</strong> nouvelles familles et <strong>de</strong> nouveaux contribuables sur <strong>la</strong> commune commence<br />

à être visible. Cet accroissement <strong>de</strong> <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tion est préconisé par les élus <strong>de</strong> <strong>la</strong> majorité,<br />

qui multiplient les efforts pour permettre aux familles seyssinoises <strong>de</strong> rester et à d’autres<br />

familles <strong>de</strong> s’installer afin qu’elles bénéficient <strong>de</strong> ce cadre <strong>de</strong> vie et contribuent à leur tour à<br />

<strong>la</strong> solidarité communale. Mais cet accroissement est également réalisé dans <strong>de</strong>s limites<br />

raisonnables, <strong>de</strong>s équilibres tolérables pour le vil<strong>la</strong>ge qu’est <strong>Seyssins</strong>.<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Être vertueux, c’est aussi permettre à ces bases <strong>de</strong> s’é<strong>la</strong>rgir et au nombre <strong>de</strong> contribuables<br />

d’augmenter et ainsi mieux partager l’effort fiscal. M. HUGELÉ rappelle à Mme TABELING<br />

qu’il s’agit bien d’être vertueux, mais qu’il ne faut pas confondre <strong>la</strong> vertu avec<br />

l’inconséquence voire avec <strong>de</strong>s propositions démagogiques. Être vertueux ne signifie pas<br />

diminuer les impôts mais mieux partager l’effort fiscal et tenir compte <strong>de</strong>s réalités qui<br />

s’imposent aux communes comme aux ménages, ne pas nier l’augmentation <strong>du</strong> coût <strong>de</strong> <strong>la</strong><br />

vie, <strong>de</strong> l’énergie, <strong>de</strong> <strong>la</strong> construction et <strong>de</strong>s services.<br />

En ce qui concerne le prix au mètre carré à <strong>Seyssins</strong>, le chiffre <strong>de</strong> 3 200 euros le m 2 est<br />

erroné, ce<strong>la</strong> fait longtemps que les prix au m 2 neuf ont dépassé ce seuil dans<br />

l’agglomération, au détriment <strong>de</strong> nombreuses familles contraintes <strong>de</strong> quitter l’agglomération<br />

pour trouver <strong>de</strong>s logements accessibles à 30 ou 40 km <strong>de</strong> là. Ce<strong>la</strong> concerne 1 700 habitants<br />

chaque année et entraine <strong>de</strong> nombreux problèmes <strong>de</strong> dép<strong>la</strong>cement. Le Figaro Magazine<br />

dévoi<strong>la</strong>it, il y a quelques semaines, les chiffres <strong>de</strong>s transactions réelles relevés par les<br />

notaires. Le prix <strong>du</strong> m 2 neuf à <strong>Seyssins</strong> ces <strong>de</strong>rnières années est <strong>de</strong> 4 071 euros. Ce<strong>la</strong> peut<br />

paraître un peu élevé, mais reste dans <strong>la</strong> moyenne d’autres communes <strong>de</strong> l’agglomération<br />

très recherchées pour leur qualité <strong>de</strong> vie. Ce débat a déjà eu lieu lors <strong>du</strong> débat d’orientation<br />

budgétaire ainsi que par tribunes politiques interposées dans le journal <strong>municipal</strong>. Il ne faut<br />

pas se méprendre ni jouer avec les mots et <strong>la</strong> peur <strong>de</strong>s usagers. L’attractivité <strong>de</strong> <strong>la</strong> commune<br />

ne cesse <strong>de</strong> se renforcer <strong>de</strong>puis une quinzaine d’années. Ce<strong>la</strong> fon<strong>de</strong> <strong>la</strong> valeur <strong>du</strong> patrimoine<br />

<strong>de</strong>s Seyssinois, qui se voit ainsi confortée, et <strong>de</strong>s opérations réalisées.<br />

Le prix <strong>du</strong> m 2 à <strong>Seyssins</strong> étant <strong>de</strong> l’ordre <strong>de</strong> 4 100 euros, l’équipe <strong>municipal</strong>e a décidé<br />

d’engager <strong>de</strong>s projets volontaristes et d’imposer aux promoteurs le nombre significatif <strong>de</strong> 35<br />

% <strong>de</strong> logements sociaux, qui <strong>la</strong>isse tout <strong>de</strong> même une part très importante à l’accession à <strong>la</strong><br />

propriété soit 65 %. Là aussi, l’équipe <strong>municipal</strong>e a choisi d’innover, en imposant aux<br />

promoteurs <strong>de</strong> pro<strong>du</strong>ire 20 % <strong>de</strong>s logements <strong>de</strong>stinés à l’accession à <strong>la</strong> propriété, à <strong>de</strong>s<br />

tarifs encadrés afin <strong>de</strong> permettre à <strong>de</strong>s ménages moyens, <strong>de</strong> jeunes familles et aux primoaccédants<br />

<strong>de</strong> trouver une offre accessible selon leur capacité <strong>de</strong> financement. Ainsi, le<br />

quartier <strong>de</strong> Pré Nouvel offrira 35 % <strong>de</strong> logements sociaux, <strong>de</strong>s logements en accession à <strong>la</strong><br />

propriété <strong>de</strong> l’ordre <strong>de</strong> 4 000 euros le m 2 , mais également 20 % <strong>de</strong> logements en vente à un<br />

coût inférieur au marché <strong>de</strong> 20 %. Cette décision quasi unique dans l’agglomération participe<br />

<strong>de</strong> l’exigence <strong>de</strong> travail, <strong>de</strong> diversité, <strong>de</strong> diversification <strong>de</strong>s parcours vers le logement et<br />

l’accession définitive, <strong>de</strong> l’équipe <strong>municipal</strong>e.<br />

M. HUGELÉ qualifie ce budget <strong>de</strong> véritable budget <strong>de</strong> combat, permettant <strong>de</strong> travailler sur<br />

une équation à quatre inconnues. Il s’agit tout d’abord <strong>de</strong> maintenir un bon niveau<br />

d’investissement, afin que <strong>la</strong> commune continue <strong>de</strong> valoriser <strong>de</strong>s atouts et qualités qui<br />

fon<strong>de</strong>nt son attractivité et participent à <strong>la</strong> valorisation <strong>du</strong> patrimoine indivi<strong>du</strong>el <strong>de</strong>s<br />

Seyssinois.<br />

Cette équation s’équilibre avec une recherche maximale d’économies, qui représente <strong>la</strong><br />

secon<strong>de</strong> inconnue. Depuis 4 ans, les services, en partenariat avec l’équipe <strong>municipal</strong>e, se<br />

sont attachés à ré<strong>du</strong>ire <strong>de</strong> 3 % par an leur budget <strong>de</strong> fonctionnement et à trouver <strong>de</strong>s<br />

économies sur <strong>la</strong> moindre <strong>de</strong>s politiques publiques <strong>de</strong> <strong>la</strong> commune. M. HUGELÉ les<br />

remercie <strong>de</strong> s’astreindre avec succès à cet exercice difficile. Il remercie également les<br />

associations, notamment les prési<strong>de</strong>nts <strong>de</strong> l’UAS et <strong>de</strong> LEJS présents ce soir, qui elles aussi<br />

ont participé à cette recherche d’économies et partagé une réflexion commune. Chacun a<br />

conscience que le pays vit une pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> contraction effective pour les finances publiques<br />

qui nécessite <strong>de</strong> trouver, ensemble, <strong>de</strong>s économies potentielles et <strong>de</strong> travailler différemment.<br />

Ce<strong>la</strong> permet à <strong>la</strong> commune <strong>de</strong> prolonger ses actions politiques en direction <strong>de</strong>s jeunes, <strong>de</strong>s<br />

plus anciens, <strong>de</strong> <strong>la</strong> solidarité, ses actions humanitaires. Ainsi les associations, cette année<br />

encore, ont accepté <strong>de</strong> faire un effort conséquent qui a abouti à une ré<strong>du</strong>ction <strong>de</strong> l’enveloppe<br />

associative globale <strong>de</strong> l’ordre <strong>de</strong> 3 % environ.<br />

La troisième inconnue concerne le maintien <strong>de</strong> <strong>la</strong> bonne qualité <strong>de</strong> vie et <strong>de</strong> l’attractivité <strong>de</strong> <strong>la</strong><br />

commune. Il s’agit <strong>de</strong> poursuivre <strong>la</strong> voie <strong>du</strong> désen<strong>de</strong>ttement tracée par Didier MIGAUD. Là<br />

encore, <strong>Seyssins</strong> figure parmi les communes <strong>de</strong> moins <strong>de</strong> 10 000 habitants les plus<br />

vertueuses, puisque l’en<strong>de</strong>ttement rapporté au nombre d’habitants est inférieur aux<br />

moyennes constatées sur le p<strong>la</strong>n national.<br />

La quatrième inconnue s’inscrit dans un contexte <strong>de</strong> non évolution <strong>de</strong>s taux communaux. Il<br />

s’agit bien là <strong>de</strong>s taux communaux et non <strong>de</strong> ceux <strong>du</strong> SIRD. Depuis 2006 soit 7 ans, les taux<br />

communaux n’ont pas augmenté, conformément aux engagements pris par l’équipe<br />

<strong>municipal</strong>e.<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Cette année connaîtra le <strong>de</strong>rnier exercice budgétaire entier <strong>du</strong> mandat. Un certain nombre<br />

<strong>de</strong> projets majeurs seront poursuivis et achevés, prouvant une fois encore que le niveau<br />

d’exigence en matière <strong>de</strong> solidarité, <strong>de</strong> qualité environnementale, <strong>de</strong> maîtrise fiscale <strong>de</strong><br />

l’équipe <strong>municipal</strong>e ne souffre d’aucun relâchement. Cette pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> crise doit être propice<br />

à s’inquiéter, à s’interroger mais aussi à faire preuve d’esprit d’initiative et d’esprit<br />

d’entreprendre. C’est ce qui caractérise le plus l’ensemble <strong>de</strong> cette équipe <strong>municipal</strong>e qui a<br />

su trouver les mots et l’écho auprès d’une vie associative et <strong>de</strong> services extrêmement<br />

volontaristes et soucieux <strong>de</strong> prolonger <strong>la</strong> solidarité et <strong>la</strong> qualité <strong>de</strong> vivre ensemble qui<br />

existent à <strong>Seyssins</strong> <strong>de</strong>puis quelques années.<br />

M. HUGELÉ propose au conseil <strong>de</strong> passer aux votes.<br />

001 - FINANCES – BUDGET PRIMITIF 2013 – BUDGET PRINCIPAL ET DÉTERMINATION<br />

DES TAUX D’IMPOSITION<br />

Mesdames, Messieurs,<br />

Rapporteur : Michel VERGNOLLE<br />

M. Michel VERGNOLLE, adjoint aux finances, expose les différentes composantes <strong>du</strong><br />

budget 2013 <strong>de</strong> <strong>la</strong> commune à partir <strong>de</strong>s documents qui ont été remis aux membres <strong>du</strong><br />

conseil <strong>municipal</strong> et qui comprennent notamment :<br />

- note <strong>de</strong> synthèse<br />

- équilibres simplifiés<br />

- état <strong>de</strong>s subventions<br />

- synthèse <strong>de</strong>s dépenses <strong>de</strong> fonctionnement<br />

- synthèse <strong>de</strong>s recettes <strong>de</strong> fonctionnement<br />

- synthèse <strong>de</strong>s investissements 2013<br />

- état <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>de</strong>tte<br />

L’équilibre budgétaire 2013 est le suivant :<br />

La section <strong>de</strong> fonctionnement s’équilibre à 8 145 294 €<br />

En dépenses, dont :<br />

- dépenses réelles : 7 565 225 €<br />

- autofinancement (opération comptable) : 580 069 €<br />

En recettes, dont :<br />

- recettes courantes <strong>de</strong> l’année : 8 145 294 €<br />

La section d’investissement s’équilibre à 2 694 773 €<br />

En dépenses, dont :<br />

- nouvelles dépenses d’équipement : 1 407 480 €<br />

- remboursement <strong>du</strong> capital <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>de</strong>tte : 328 500 €<br />

- opérations d’ordre : 61 402 €<br />

- réinscriptions 2012 : 897 391 €<br />

En recettes, dont :<br />

- recettes réelles hors emprunt : 1 202 313 €<br />

- autofinancement (opération comptable) : 580 069 €<br />

- emprunt : 0 €<br />

- opérations d’ordre : 15 000 €<br />

- réinscriptions 2012 : 897 391 €<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Le conseil <strong>municipal</strong>,<br />

Après avoir enten<strong>du</strong> cet exposé,<br />

Après en avoir délibéré,<br />

Vu <strong>la</strong> nomenc<strong>la</strong>ture M14 applicable aux communes,<br />

Vu l’avis <strong>de</strong> <strong>la</strong> Commission <strong>de</strong>s finances <strong>du</strong> 23 janvier 2013,<br />

• Approuve le budget primitif 2013 <strong>de</strong> <strong>la</strong> commune.<br />

• Approuve les subventions <strong>de</strong> fonctionnement dont <strong>la</strong> liste est intégrée au<br />

document budgétaire.<br />

• Déci<strong>de</strong> <strong>de</strong> maintenir les taux d’imposition communaux comme suit :<br />

• Taxe d’habitation : 9,75 %<br />

• Taxe foncière sur les propriétés bâties : 30,85 %<br />

• Taxe foncière sur les propriétés non bâties : 93,00 %<br />

Conclusions adoptées : 24 pour ; 2 contre (Colette TABELING et Jean-Luc LERA-<br />

VALDES).<br />

002 - FINANCES – BUDGET PRIMITIF 2013 DES LOCATIONS COMMERCIALES<br />

Mesdames, Messieurs,<br />

Rapporteur : Michel VERGNOLLE<br />

M. Michel VERGNOLLE, adjoint aux finances, expose les différentes composantes <strong>du</strong><br />

budget 2013 <strong>de</strong>s locations commerciales à partir <strong>de</strong>s documents qui ont été remis aux<br />

membres <strong>du</strong> conseil <strong>municipal</strong> et qui comprennent notamment :<br />

- note <strong>de</strong> synthèse<br />

- équilibres simplifiés<br />

- synthèse <strong>de</strong>s dépenses <strong>de</strong> fonctionnement<br />

- synthèse <strong>de</strong>s recettes <strong>de</strong> fonctionnement<br />

- synthèse <strong>de</strong>s investissements 2013<br />

L’équilibre budgétaire 2013 est le suivant :<br />

La section <strong>de</strong> fonctionnement s’équilibre à 37 300 €<br />

En dépenses, dont :<br />

- dépenses réelles : 33 694 €<br />

- autofinancement (opération comptable) : 3 606 €<br />

En recettes, dont :<br />

- recettes courantes <strong>de</strong> l’année : 37 300 €<br />

La section d’investissement s’équilibre à 3 606 €<br />

En dépenses, dont :<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


- nouvelles dépenses d’équipement : 3 606 €<br />

En recettes, dont :<br />

- autofinancement (opération comptable) : 3 606 €<br />

Le conseil <strong>municipal</strong>,<br />

Après avoir enten<strong>du</strong> cet exposé,<br />

Après en avoir délibéré,<br />

Vu <strong>la</strong> nomenc<strong>la</strong>ture M4 applicable aux communes,<br />

Vu l’avis <strong>de</strong> <strong>la</strong> Commission <strong>de</strong>s finances <strong>du</strong> 23 janvier 2013,<br />

• Approuve le Budget Primitif 2013 <strong>de</strong>s locations commerciales.<br />

Conclusions adoptées : 24 pour ; 2 abstentions (Colette TABELING et Jean-Luc LERA-<br />

VALDES).<br />

003 - FINANCES – BUDGET PRIMITIF 2013 DES LOCATIONS DE SALLES<br />

Mesdames, Messieurs,<br />

Rapporteur : Michel VERGNOLLE<br />

M. Michel VERGNOLLE, adjoint aux finances, expose les différentes composantes <strong>du</strong><br />

budget 2013 <strong>de</strong>s locations <strong>de</strong> salles à partir <strong>de</strong>s documents qui ont été remis aux membres<br />

<strong>du</strong> conseil <strong>municipal</strong> et qui comprennent notamment :<br />

- note <strong>de</strong> synthèse<br />

- équilibres simplifiés<br />

- synthèse <strong>de</strong>s dépenses <strong>de</strong> fonctionnement<br />

- synthèse <strong>de</strong>s recettes <strong>de</strong> fonctionnement<br />

L’équilibre budgétaire 2013 est le suivant :<br />

La section <strong>de</strong> fonctionnement s’équilibre à 171 000 €<br />

En dépenses, dont :<br />

- dépenses réelles : 171 000 €<br />

En recettes, dont :<br />

- recettes courantes <strong>de</strong> l’année : 171 000 €<br />

La section d’investissement s’équilibre à 4 030 €<br />

En dépenses, dont :<br />

- nouvelles dépenses d’équipement : 4 030 €<br />

En recettes, dont :<br />

- autofinancement (opération comptable) : 4 030 €<br />

Le conseil <strong>municipal</strong>,<br />

Après avoir enten<strong>du</strong> cet exposé,<br />

Après en avoir délibéré,<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Vu <strong>la</strong> nomenc<strong>la</strong>ture M4 applicable aux communes,<br />

Vu les avis <strong>de</strong> <strong>la</strong> Commission <strong>de</strong>s finances <strong>du</strong> 23 janvier 2013,<br />

• Approuve le Budget Primitif 2013 <strong>de</strong>s locations <strong>de</strong> salles.<br />

Conclusions adoptées : 24 pour ; 2 abstentions (Colette TABELING et Jean-Luc LERA-<br />

VALDES).<br />

004 - FINANCES – BUDGET PRIMITIF 2013 DU SERVICE DES EAUX<br />

Mesdames, Messieurs,<br />

Rapporteur : Michel VERGNOLLE<br />

M. Michel VERGNOLLE, adjoint aux finances, expose les différentes composantes <strong>du</strong><br />

budget 2013 <strong>du</strong> service <strong>de</strong>s eaux à partir <strong>de</strong>s documents qui ont été remis aux membres <strong>du</strong><br />

conseil <strong>municipal</strong> et qui comprennent notamment :<br />

- note <strong>de</strong> synthèse<br />

- équilibres simplifiés<br />

- synthèse <strong>de</strong>s dépenses <strong>de</strong> fonctionnement<br />

- synthèse <strong>de</strong>s recettes <strong>de</strong> fonctionnement<br />

- synthèse <strong>de</strong>s investissements 2013<br />

- état <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>de</strong>tte<br />

L’équilibre budgétaire 2013 est le suivant :<br />

La section <strong>de</strong> fonctionnement s’équilibre à 801 803 €<br />

En dépenses, dont :<br />

- dépenses réelles : 717 708 €<br />

- autofinancement (opération comptable) : 84 095 €<br />

En recettes, dont :<br />

- recettes courantes <strong>de</strong> l’année : 800 937 €<br />

- opérations d’ordre : 866 €<br />

La section d’investissement s’équilibre à 454 695 €<br />

En dépenses, dont :<br />

- nouvelles dépenses d’équipement : 67 095 €<br />

- remboursement <strong>du</strong> capital <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>de</strong>tte : 16 534 €<br />

- opérations d’ordre : 1 866 €<br />

- réinscriptions 2012 : 369 200 €<br />

En recettes, dont :<br />

- recettes réelles hors emprunt : 0 €<br />

- autofinancement (opération comptable) : 84 095 €<br />

- emprunt : 400 €<br />

- opérations d’ordre : 1 000 €<br />

- réinscriptions 2012 : 369 200 €<br />

Le conseil <strong>municipal</strong>,<br />

Après avoir enten<strong>du</strong> cet exposé,<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Après en avoir délibéré,<br />

Vu <strong>la</strong> nomenc<strong>la</strong>ture M49 applicable aux communes,<br />

Vu les avis <strong>de</strong> <strong>la</strong> Commission <strong>de</strong>s finances <strong>du</strong> 23 janvier 2013,<br />

• Approuve le Budget Primitif 2013 <strong>du</strong> service <strong>de</strong>s eaux<br />

Mandate Monsieur le Maire pour entreprendre toute démarche nécessaire pour <strong>la</strong> mise en<br />

œuvre <strong>de</strong> <strong>la</strong> présente délibération.<br />

Conclusions adoptées : 24 pour ; 2 abstentions (Colette TABELING et Jean-Luc LERA-<br />

VALDES).<br />

005 - FINANCES – BUDGET PRIMITIF 2013 DU RESTAURANT DU PERSONNEL<br />

COMMUNAL<br />

Mesdames, Messieurs,<br />

Rapporteur : Michel VERGNOLLE<br />

M. Michel VERGNOLLE, adjoint aux finances, expose les différentes composantes <strong>du</strong><br />

budget 2013 <strong>du</strong> restaurant <strong>du</strong> personnel communal à partir <strong>de</strong>s documents qui ont été remis<br />

aux membres <strong>du</strong> conseil <strong>municipal</strong> et qui comprennent notamment :<br />

- note <strong>de</strong> synthèse<br />

- équilibres simplifiés<br />

- synthèse <strong>de</strong>s dépenses <strong>de</strong> fonctionnement<br />

- synthèse <strong>de</strong>s recettes <strong>de</strong> fonctionnement<br />

L’équilibre budgétaire 2013 est le suivant :<br />

La section <strong>de</strong> fonctionnement s’équilibre à 5 148 €<br />

En dépenses, dont :<br />

- dépenses réelles : 5 148 €<br />

En recettes, dont :<br />

- recettes courantes <strong>de</strong> l’année : 5 148 €<br />

Le conseil <strong>municipal</strong>,<br />

Après avoir enten<strong>du</strong> cet exposé,<br />

Après en avoir délibéré,<br />

Vu <strong>la</strong> nomenc<strong>la</strong>ture M4 applicable aux communes,<br />

Vu l’avis <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission <strong>de</strong>s finances <strong>du</strong> 23 janvier 2013,<br />

• Approuve le budget primitif 2013 <strong>du</strong> restaurant <strong>du</strong> personnel communal ;<br />

• Mandate Monsieur le Maire pour entreprendre toutes démarches nécessaires à <strong>la</strong><br />

mise en œuvre <strong>de</strong> <strong>la</strong> présenté délibération.<br />

Conclusions adoptées : 24 pour ; 2 abstentions (Colette TABELING et Jean-Luc LERA-<br />

VALDES).<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


006 - SUBVENTIONS 2013 AU CCAS ET AUX ASSOCIATIONS<br />

Mesdames, Messieurs,<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013<br />

Rapporteur : Michel VERGNOLLE<br />

La vie associative et sociale <strong>de</strong> <strong>la</strong> commune constitue un élément essentiel <strong>de</strong> <strong>la</strong> cohésion<br />

sociale et <strong>du</strong> développement harmonieux <strong>de</strong> <strong>la</strong> commune et <strong>de</strong> ses habitants. La<br />

<strong>municipal</strong>ité soutien ce dynamisme qui s’exprime dans les domaines <strong>de</strong> <strong>la</strong> solidarité, <strong>du</strong><br />

sport, <strong>de</strong> l’enfance, <strong>de</strong> <strong>la</strong> jeunesse, <strong>de</strong> l’é<strong>du</strong>cation et <strong>de</strong> <strong>la</strong> culture.<br />

Monsieur Michel VERGNOLLE rappelle que les subventions supérieures à 23 000 euros ou<br />

qui sont assorties <strong>de</strong> conditions d’octroi, doivent faire l’objet d’une délibération distincte ;<br />

c’est le cas <strong>du</strong> CCAS, <strong>du</strong> CEM et <strong>de</strong> LEJS. Certaines subventions sont également soumises<br />

à conditions. Leur montant définitif sera arrêté après présentation d’un bi<strong>la</strong>n certifié par le<br />

prési<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> l’association, qui fera état <strong>de</strong>s besoins <strong>de</strong> celle-ci.<br />

Les subventions d’un montant inférieur à 23 000 euros et non assorties <strong>de</strong> conditions<br />

d’octroi, figurent sur <strong>la</strong> liste annexée au budget.<br />

Une décision modificative complètera cette liste et permettra d’avoir une vision complète <strong>de</strong>s<br />

subventions attribuées aux associations.<br />

Madame Colette TABELING <strong>de</strong>man<strong>de</strong> un vote fractionné, pour le CCAS d’abord et tout le<br />

reste après.<br />

Monsieur Fabrice HUGELÉ accepte et <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à Mme TABELING si elle souhaite faire une<br />

explication <strong>de</strong> vote.<br />

Mme TABELING ne souhaite pas donner d’explication <strong>de</strong> vote.<br />

Monsieur le maire fait procé<strong>de</strong>r aux votes.<br />

Vu <strong>la</strong> loi n° 94-504 <strong>du</strong> 22 juin 1994 portant dispositions budgétaires et comptables re<strong>la</strong>tives<br />

aux collectivités territoriales ;<br />

Vu les décrets n° 96-522, 96-523, 96-524, 96-525 et 96-526 <strong>du</strong> Ministère <strong>de</strong> l’économie et<br />

<strong>de</strong>s finances <strong>du</strong> 13 juin 1996, publiés au Journal Officiel <strong>du</strong> 15 juin 1996, rendant obligatoire<br />

l’application <strong>de</strong> l’instruction budgétaire et comptable M14 à compter <strong>du</strong> 1 er janvier 1997 ;<br />

Vu l’ordonnance 2005-1027 <strong>du</strong> 26 août 2005, re<strong>la</strong>tive à <strong>la</strong> simplification et à l’amélioration<br />

<strong>de</strong>s règles budgétaires et comptables applicables aux collectivités territoriales, portant<br />

modifications <strong>du</strong> p<strong>la</strong>n <strong>de</strong> comptes M14 au 1 er janvier 2006, et spécifiant dans son article 7<br />

que l’attribution <strong>de</strong>s subventions doit faire l’objet d’une délibération distincte lorsque<br />

ces subventions sont supérieures à 23 000 euros ou assorties <strong>de</strong> conditions d’octroi ;<br />

Vu les crédits inscrits au budget primitif 2013, articles D.657362 – subvention au CCAS - et<br />

D.6574 – subventions <strong>de</strong> fonctionnement aux associations - ;<br />

Sur proposition <strong>de</strong> Monsieur Michel VERGNOLLE, premier adjoint délégué aux finances,<br />

Après en avoir délibéré,<br />

Le conseil <strong>municipal</strong> <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong>,<br />

1) Déci<strong>de</strong> d’attribuer une subvention <strong>de</strong> fonctionnement prévisionnelle <strong>de</strong> 693 000 € au<br />

Centre communal d’action sociale (CCAS) <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong>. Les versements interviendront en<br />

fonction <strong>de</strong>s besoins réels <strong>de</strong> financement <strong>du</strong> service pour assurer son équilibre, sur<br />

pro<strong>du</strong>ction d’appels <strong>de</strong> fonds.<br />

Résultat <strong>du</strong> vote : unanimité.<br />

2) Déci<strong>de</strong> d’attribuer les subventions <strong>de</strong> fonctionnement courant suivantes aux associations :


« Autres horizons » : 26 000 €<br />

Résultat <strong>du</strong> vote : 24 pour ; 2 abstentions (Colette TABELING et Jean-Luc LERA-<br />

VALDES).<br />

« Centre d’é<strong>du</strong>cation musicale <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> » : 89 700 €<br />

Résultat <strong>du</strong> vote : 24 pour ; 2 abstentions (Colette TABELING et Jean-Luc LERA-<br />

VALDES).<br />

« Loisirs enfance jeunesse <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> » : 234 318 €<br />

Résultat <strong>du</strong> vote : 24 pour ; 2 abstentions (Colette TABELING et Jean-Luc LERA-<br />

VALDES).<br />

Elles feront l’objet <strong>de</strong> versement d’acomptes sur <strong>de</strong>man<strong>de</strong>, en fonction <strong>de</strong>s besoins <strong>de</strong><br />

trésorerie <strong>du</strong> bénéficiaire.<br />

3) Déci<strong>de</strong> d’attribuer les subventions conditionnelles suivantes aux associations :<br />

<br />

« loisirs enfance jeunesse <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> », dans le cadre <strong>de</strong> son action<br />

d’accompagnement sco<strong>la</strong>ire : prévisionnel <strong>de</strong> 16 000 €<br />

Résultat <strong>du</strong> vote : 24 pour ; 2 abstentions (Colette TABELING et Jean-Luc LERA-<br />

VALDES).<br />

<br />

« loisirs enfance jeunesse <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> », dans le cadre <strong>de</strong> son action multisport en<br />

direction <strong>de</strong>s jeunes Seyssinois : prévisionnel <strong>de</strong> 33 000 €<br />

Résultat <strong>du</strong> vote : 24 pour ; 2 abstentions (Colette TABELING et Jean-Luc LERA-<br />

VALDES).<br />

<br />

« loisirs enfance jeunesse <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> », pour ses interventions dans le cadre <strong>de</strong>s<br />

activités Espace é<strong>du</strong>catif concerté (E2C) : prévisionnel <strong>de</strong> 49 000 €<br />

Résultat <strong>du</strong> vote : 24 pour ; 2 abstentions (Colette TABELING et Jean-Luc LERA-<br />

VALDES).<br />

<br />

« loisirs enfance jeunesse <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> », pour ses interventions dans le cadre <strong>de</strong>s<br />

activités <strong>du</strong> <strong>Conseil</strong> Municipal Jeunes : prévisionnel <strong>de</strong> 6 100 €<br />

Résultat <strong>du</strong> vote : 24 pour ; 2 abstentions (Colette TABELING et Jean-Luc LERA-<br />

VALDES).<br />

<br />

« loisirs enfance jeunesse <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> », pour ses interventions dans le cadre <strong>de</strong>s<br />

activités cultures urbaines : prévisionnel <strong>de</strong> 6 500 €<br />

Résultat <strong>du</strong> vote : 24 pour ; 2 abstentions (Colette TABELING et Jean-Luc LERA-<br />

VALDES).<br />

<br />

« loisirs enfance jeunesse <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> », pour ses interventions dans le cadre <strong>de</strong><br />

l’animation liée à <strong>la</strong> restauration sco<strong>la</strong>ire : prévisionnel <strong>de</strong> 146 000 €<br />

Résultat <strong>du</strong> vote : 24 pour ; 2 abstentions (Colette TABELING et Jean-Luc LERA-<br />

VALDES).<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Ces sommes sont <strong>de</strong>stinées à assurer l’équilibre financier <strong>de</strong> l’action. Elles pourront faire<br />

l’objet <strong>de</strong> versement d’acomptes en fonction <strong>de</strong> l’avancement <strong>de</strong> l’action. Le montant définitif<br />

sera arrêté après présentation d’un bi<strong>la</strong>n certifié par le prési<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> l‘association.<br />

4) Dit que les subventions d’un montant inférieur à 23 000 €, et non assorties <strong>de</strong> conditions<br />

d’octroi, figurent sur <strong>la</strong> liste annexée au budget.<br />

5) Mandate Monsieur le maire pour prendre toute mesure et signer tous documents utiles à<br />

<strong>la</strong> mise en œuvre <strong>de</strong> cette délibération.<br />

Madame Délia MOROTÉ précise que <strong>la</strong> subvention allouée au CCAS est <strong>du</strong> même montant<br />

que celle allouée en 2012. Elle souhaite insister sur <strong>la</strong> volonté <strong>de</strong> tous les élus qui ont<br />

travaillé pour établir le budget, <strong>de</strong> maintenir l’ai<strong>de</strong> pour toutes les missions <strong>du</strong> CCAS, que ce<br />

soit au niveau <strong>du</strong> social, <strong>de</strong>s personnes âgées et <strong>de</strong> <strong>la</strong> petite enfance.<br />

M. HUGELÉ souligne <strong>la</strong> volonté et l’exigence mises dans le travail fourni par le CCAS, le<br />

conseil d’administration et les services. Le CCAS est un <strong>de</strong>s maillons forts <strong>de</strong> <strong>la</strong> solidarité sur<br />

<strong>la</strong> commune.<br />

007 - RESTAURATION SCOLAIRE : EXTINCTION DE CRÉANCE<br />

Mesdames, Messieurs,<br />

Rapporteur : Michel VERGNOLLE<br />

Par décision <strong>du</strong> 7 février 2012, le Tribunal d’Instance <strong>de</strong> GRENOBLE a déc<strong>la</strong>ré recevable <strong>la</strong><br />

procé<strong>du</strong>re <strong>de</strong> rétablissement personnel <strong>de</strong>mandée par une administrée. Elle entraine<br />

l’extinction <strong>de</strong> créances que <strong>de</strong>s tiers peuvent détenir sur l’intéressée. Elle s’impose à<br />

l’ordonnateur comme au comptable.<br />

Pour <strong>la</strong> commune <strong>de</strong> SEYSSINS, cette mesure concerne <strong>de</strong>s factures <strong>de</strong> restauration<br />

sco<strong>la</strong>ire à hauteur <strong>de</strong> 206,60 €.<br />

La Trésorerie <strong>de</strong> FONTAINE nous <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> constater l’irrécouvrabilité <strong>de</strong> cette créance.<br />

Sur proposition <strong>de</strong> Monsieur Michel VERGNOLLE, adjoint délégué aux finances,<br />

Le conseil <strong>municipal</strong><br />

Après en avoir délibéré,<br />

Vu <strong>la</strong> <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> <strong>la</strong> Trésorerie <strong>de</strong> FONTAINE,<br />

Constate l’irrécouvrabilité <strong>de</strong> <strong>la</strong> créance sus mentionnée ;<br />

Déci<strong>de</strong> d’imputer <strong>la</strong> dépense au compte 6542 – créances éteintes – <strong>du</strong> budget principal<br />

<strong>de</strong> <strong>la</strong> commune<br />

Mandate Monsieur le maire pour prendre toute mesure et signer tous documents utiles<br />

à <strong>la</strong> mise en œuvre <strong>de</strong> cette délibération.<br />

Conclusions adoptées : unanimité.<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


008 – TRAVAUX D’ÉCLAIRAGE PUBLIC 2013 – DEMANDE DE SUBVENTIONS AUPRÈS<br />

DU SYNDICAT DES ÉNERGIES DU DÉPARTEMENT DE L’ISÈRE (SEDI)–<br />

APPROBATION DE LA CONVENTION POUR LA RÉPARTITION DES CERTIFICATS<br />

D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE.<br />

Mesdames, Messieurs,<br />

Rapporteur : Laurent CHAPELAIN<br />

Le Syndicat <strong>de</strong>s Énergies <strong>du</strong> Département <strong>de</strong> l’Isère subventionne le programme d’éc<strong>la</strong>irage<br />

public <strong>de</strong> <strong>la</strong> commune selon un programme <strong>de</strong> travaux qui lui est soumis. L’étu<strong>de</strong> technique<br />

<strong>du</strong> programme 2013 pour lequel un subventionnement est <strong>de</strong>mandé amène <strong>la</strong> commune à<br />

l’actualiser.<br />

Le programme d’éc<strong>la</strong>irage public complémentaire 2013 actualisé comprend :<br />

<br />

<br />

<br />

La mise en p<strong>la</strong>ce <strong>de</strong> 8 luminaires à led pour l’éc<strong>la</strong>irage <strong>de</strong> l’accès à <strong>la</strong> frange verte, <strong>la</strong><br />

bi puissance sur 8 Stel<strong>la</strong> <strong>de</strong> Indal 48w, pour un montant total <strong>de</strong> 19 000 € HT ;<br />

<strong>la</strong> mise en p<strong>la</strong>ce <strong>de</strong> 8 luminaires à led pour l’éc<strong>la</strong>irage avenue Louis Armand, <strong>la</strong> bi<br />

puissance sur 8 Stel<strong>la</strong> 22 w, avenue Louis Armand pour un montant total <strong>de</strong> 18 000<br />

€ HT ;<br />

<strong>la</strong> mise en p<strong>la</strong>ce d’un luminaire led pour <strong>la</strong> traversée piétonne avenue Louis<br />

ARMAND, avec dispositif <strong>de</strong> régu<strong>la</strong>tion et bouton d’appel pour un montant <strong>de</strong> 1 500 €<br />

HT ;<br />

Total <strong>du</strong> programme complémentaire 2013 : …………………………………38 500 € HT<br />

De plus, <strong>la</strong> loi d’orientation énergétique <strong>de</strong> juillet 2005 a mis en p<strong>la</strong>ce le dispositif <strong>de</strong>s<br />

certificats d’économie d’énergie. Les collectivités locales sont <strong>de</strong>s acteurs éligibles à ce<br />

dispositif et peuvent valoriser les économies d’énergie qu’elles ont réalisées par l’obtention<br />

<strong>de</strong> certificats.<br />

Le syndicat <strong>de</strong>s Énergies <strong>du</strong> Département <strong>de</strong> l’Isère, en tant qu’autorité organisatrice <strong>du</strong><br />

service public <strong>de</strong> <strong>la</strong> distribution <strong>de</strong> gaz et d’électricité, syndicat intercommunal regroupant<br />

392 communes <strong>du</strong> département, 5 syndicats primaires et le département <strong>de</strong> l’Isère a <strong>la</strong><br />

possibilité <strong>de</strong> jouer le rôle d’intégrateur <strong>de</strong>s CEE et <strong>de</strong> mutualiser les économies d’énergies<br />

réalisées par les collectivités adhérentes. Afin <strong>de</strong> percevoir les subventions prévues, il est<br />

nécessaire que <strong>la</strong> commune lui transfère les certificats d’énergie re<strong>la</strong>tifs au programme<br />

d’éc<strong>la</strong>irage public 2012 / 2013.<br />

Monsieur Laurent CHAPELAIN, conseiller <strong>municipal</strong> délégué aux travaux, propose au<br />

conseil <strong>municipal</strong> d’accepter cette convention.<br />

Le conseil <strong>municipal</strong>,<br />

Après avoir délibéré,<br />

Considérant <strong>la</strong> nécessité <strong>de</strong> subventionner notre programme d’éc<strong>la</strong>irage public et <strong>de</strong><br />

valoriser les certificats d’économies d’énergie correspondants ;<br />

<br />

<br />

<br />

vali<strong>de</strong> le programme <strong>de</strong> travaux complémentaires pour l’année 2013 actualisé, sur <strong>la</strong><br />

base d’une estimation <strong>de</strong> 38 500 € HT ;<br />

sollicite auprès <strong>de</strong> syndicat <strong>de</strong>s énergies <strong>du</strong> département <strong>de</strong> l’Isère (SEDI) <strong>la</strong><br />

subvention <strong>la</strong> plus <strong>la</strong>rge possible au titre <strong>du</strong> programme complémentaire 2013<br />

d’éc<strong>la</strong>irage public <strong>de</strong> <strong>la</strong> commune, pour un montant subventionnable <strong>de</strong> 38 500 €<br />

H.T. soit 46 046 € TTC ;<br />

autorise le Maire à signer <strong>la</strong> convention re<strong>la</strong>tive au transfert <strong>de</strong>s certificats d’énergie<br />

et tout document re<strong>la</strong>tif à cette décision ;<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


mandate Monsieur le maire ou son représentant pour signer tout document re<strong>la</strong>tif à<br />

ce dossier.<br />

Conclusions adoptées : unanimité.<br />

Monsieur Fabrice HUGELÉ rappelle l’effort très important réalisé par <strong>la</strong> commune en matière<br />

d’éc<strong>la</strong>irage public, d’abord pour économiser l’énergie première (il y a 1 200 points lumineux<br />

sur <strong>la</strong> commune), ensuite pour ré<strong>du</strong>ire les effets <strong>de</strong> <strong>la</strong> pollution lumineuse, et protéger <strong>la</strong><br />

biodiversité ainsi que <strong>la</strong> qualité <strong>du</strong> ciel <strong>de</strong> nuit sur <strong>Seyssins</strong>.<br />

009 - MARCHÉS PUBLICS – RÉSILIATION DU MARCHÉ N°12.18 POUR LA CRÉATION<br />

D’UN ESPACE ASSOCIATIF – LOT 10 : CARRELAGE – FAÏENCE<br />

Mesdames, Messieurs,<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013<br />

Rapporteur : Laurent CHAPELAIN<br />

Par une délibération en date <strong>du</strong> 02 juillet 2012, le conseil <strong>municipal</strong> a autorisé <strong>la</strong> signature <strong>du</strong><br />

marché public n°12.18 re<strong>la</strong>tif à <strong>la</strong> création d’un espace associatif – lot 10 : carre<strong>la</strong>ge -<br />

faïence pour un montant <strong>de</strong> 31 198,00 € HT.<br />

Conformément à l’article 46 <strong>du</strong> Co<strong>de</strong> <strong>de</strong>s marchés publics, l’entreprise doit fournir <strong>de</strong>s<br />

certificats fiscaux et sociaux, attestant qu’elle a satisfait à toutes ses obligations fiscales et<br />

sociales, pour se voir attribuer un marché public.<br />

À ce jour, <strong>la</strong> ville <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> a sollicité à <strong>de</strong> nombreuses reprises l’entreprise titu<strong>la</strong>ire afin<br />

qu’elle fournisse ses attestations fiscales et sociales. Ces <strong>de</strong>man<strong>de</strong>s sont restées sans<br />

résultats. La ville <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> a adressé une lettre recommandée avec accusé <strong>de</strong> réception<br />

mettant en <strong>de</strong>meure l’entreprise PIARULLI CARRELAGES <strong>de</strong> fournir ces attestations, sous<br />

peine <strong>de</strong> résiliation pour faute <strong>du</strong> titu<strong>la</strong>ire conformément à l’article 47 <strong>du</strong> Co<strong>de</strong> <strong>de</strong>s marchés<br />

publics et à l’article 10.1 <strong>du</strong> cahier <strong>de</strong>s c<strong>la</strong>uses administratives particulières n°12.03. Cette<br />

mise en <strong>de</strong>meure est restée infructueuse.<br />

De ce fait, le pouvoir adjudicateur constate <strong>la</strong> faute <strong>du</strong> titu<strong>la</strong>ire et procè<strong>de</strong> à <strong>la</strong> résiliation <strong>du</strong><br />

marché en cause aux torts <strong>du</strong> titu<strong>la</strong>ire, sans in<strong>de</strong>mnité, tel que le prévoit l’article 10.1 <strong>du</strong><br />

cahier <strong>de</strong>s c<strong>la</strong>uses administratives particulières n°12.03 : « en application <strong>de</strong> l’article 47 <strong>du</strong><br />

Co<strong>de</strong> <strong>de</strong>s marchés publics, suite à <strong>la</strong> conclusion <strong>du</strong> présent marché, en cas d’inexactitu<strong>de</strong><br />

<strong>de</strong>s documents et renseignements mentionnés aux article 44 et 46 ou <strong>de</strong> refus <strong>de</strong> pro<strong>du</strong>ire<br />

<strong>de</strong>s pièces prévues aux articles R324-4 ou R324-7 <strong>du</strong> Co<strong>de</strong> <strong>du</strong> travail conformément au 1°<br />

<strong>de</strong> l’article 46 <strong>du</strong> Co<strong>de</strong> <strong>de</strong>s marchés publics, il est fait application aux torts <strong>du</strong> titu<strong>la</strong>ire <strong>de</strong>s<br />

conditions <strong>de</strong> résiliation prévues par le marché ». Il est également indiqué que les c<strong>la</strong>uses<br />

<strong>de</strong>s articles 46 à 48 <strong>du</strong> CCAG sont applicables, avec certaines précisions figurant au CCAP<br />

n°12.03.<br />

Ainsi, cette résiliation intervient dans le cadre <strong>de</strong> l’article 46.3.1 l. <strong>du</strong> cahier <strong>de</strong>s c<strong>la</strong>uses<br />

administratives générales applicable aux marché <strong>de</strong> travaux, selon lequel :<br />

« postérieurement à <strong>la</strong> signature <strong>du</strong> marché, les renseignements ou documents pro<strong>du</strong>its par<br />

le titu<strong>la</strong>ire, à l’appui <strong>de</strong> sa candidature ou exigés préa<strong>la</strong>blement à l’attribution <strong>du</strong> marché<br />

s’avèrent inexacts. ». L’article 46.3.2 <strong>du</strong> CCAG travaux précise qu’une mise en <strong>de</strong>meure<br />

préa<strong>la</strong>ble n’est pas nécessaire pour ce cas <strong>de</strong> résiliation.<br />

Concernant les modalités <strong>de</strong> résiliation spécifiques au marché, le point B <strong>de</strong> l’article 10.1 <strong>du</strong><br />

CCAP n°12.03 précise les conditions <strong>de</strong> <strong>la</strong> résiliation pour faute <strong>du</strong> titu<strong>la</strong>ire. Selon cet article,<br />

un abattement <strong>de</strong> 10% est appliqué aux prestations déjà réalisées et acceptées par le maitre<br />

d’ouvrage. Les prestations pour ce marché n’ont pas fait l’objet d’un commencement


d’exécution, donc aucun abattement ne sera appliqué. Il est également possible <strong>de</strong> faire<br />

réaliser les travaux aux frais et risques <strong>du</strong> titu<strong>la</strong>ire. Cette possibilité ne sera pas appliquée en<br />

l’espèce.<br />

Le conseil <strong>municipal</strong> <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong>,<br />

Après en avoir délibéré,<br />

Sur proposition <strong>de</strong> M. Laurent CHAPELAIN, conseiller <strong>municipal</strong> délégué aux travaux,<br />

Vu le Co<strong>de</strong> général <strong>de</strong>s collectivités territoriales ;<br />

Vu le Co<strong>de</strong> <strong>de</strong>s marchés publics et notamment son article 47 ;<br />

Vu <strong>la</strong> délibération <strong>du</strong> conseil <strong>municipal</strong> en date <strong>du</strong> 02 juillet 2012 approuvant le marché<br />

n°12.18 passé avec l’entreprise PIARULLI CARRELAGES pour <strong>la</strong> réalisation <strong>de</strong>s travaux <strong>de</strong><br />

création d’un espace associatif – lot 10 : carre<strong>la</strong>ge - faïence ;<br />

Vu les dispositions contenues à l’article 10 <strong>du</strong> cahier <strong>de</strong>s c<strong>la</strong>uses administratives<br />

particulières n°12.03, pièce contractuelle ;<br />

Vu les dispositions <strong>du</strong> cahier <strong>de</strong>s c<strong>la</strong>uses administratives générales applicables aux marchés<br />

publics <strong>de</strong> travaux, notamment son article 46.3 ;<br />

Considérant <strong>la</strong> nécessité <strong>de</strong> prendre en compte les conséquences <strong>du</strong> manquement <strong>de</strong><br />

l’entreprise au Co<strong>de</strong> <strong>de</strong>s marchés publics,<br />

<br />

<br />

autorise Monsieur le Maire à procé<strong>de</strong>r à <strong>la</strong> résiliation <strong>du</strong> marché n°12.18 création<br />

d’un espace associatif – Lot 10 : carre<strong>la</strong>ge – faïence ;<br />

mandate Monsieur le maire ou son représentant pour signer tout document re<strong>la</strong>tif<br />

à ce dossier.<br />

Conclusions adoptées : unanimité.<br />

Monsieur Fabrice HUGELÉ précise qu’il n’y a aucun retard dans <strong>la</strong> réalisation <strong>de</strong> cet espace<br />

associatif partagé, qui sera donc livré à l’été 2013.<br />

010 - MARCHÉ PUBLIC PRESTATIONS DE SERVICES DE RESTAURATION PAR<br />

LIAISON FROIDE – CONVENTION DE GROUPEMENT DE COMMANDES VILLE DE<br />

SEYSSINS / CCAS DE SEYSSINS - AUTORISATION DE SIGNATURE<br />

Mesdames, Messieurs,<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013<br />

Rapporteure : Délia MOROTÉ<br />

Un groupement <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>s entre <strong>la</strong> ville <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> et le CCAS <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> a été<br />

établi en 2009 pour les marchés <strong>de</strong> service <strong>de</strong> restauration. Ces marchés concernent <strong>la</strong><br />

fourniture et <strong>la</strong> livraison <strong>de</strong> repas par liaison froi<strong>de</strong> <strong>de</strong>stinés aux cantines sco<strong>la</strong>ires <strong>de</strong> <strong>la</strong> ville,<br />

à <strong>la</strong> restauration <strong>du</strong> personnel communal, au portage à domicile pour les personnes âgées et<br />

à <strong>la</strong> restauration <strong>de</strong> <strong>la</strong> rési<strong>de</strong>nce le Belvédère. Les marchés publics ainsi conclus arrivent à<br />

échéance le 31 août 2013.<br />

Il est proposé au conseil <strong>municipal</strong> <strong>de</strong> procé<strong>de</strong>r à nouveau à <strong>la</strong> création d’un groupement <strong>de</strong><br />

comman<strong>de</strong>s entre <strong>la</strong> commune <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> et le centre communal d’action sociale (CCAS)<br />

<strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> afin <strong>de</strong> satisfaire les besoins <strong>du</strong> groupement en termes <strong>de</strong> service <strong>de</strong><br />

restauration.<br />

Ce groupement sera constitué pour <strong>de</strong>s considérations relevant <strong>de</strong> <strong>la</strong> bonne gestion <strong>de</strong>s<br />

procé<strong>du</strong>res et <strong>de</strong> leur coût <strong>de</strong> gestion, <strong>de</strong> <strong>la</strong> mutualisation <strong>de</strong>s besoins et d’efficience <strong>de</strong>s


procé<strong>du</strong>res d’achat, conformément aux articles 7 et 8 <strong>du</strong> Co<strong>de</strong> <strong>de</strong>s marchés publics. Le<br />

choix <strong>du</strong> groupement <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>s permettra aux participants <strong>de</strong> bénéficier <strong>de</strong> conditions<br />

avantageuses <strong>de</strong> prix et <strong>de</strong> service.<br />

La réalisation <strong>de</strong> ce groupement <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>s se tra<strong>du</strong>irait par <strong>la</strong> conclusion d’une<br />

convention <strong>de</strong> groupement <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>s entre les parties. Cette convention aurait pour<br />

objet <strong>de</strong> définir c<strong>la</strong>irement les contours et modalités <strong>de</strong> fonctionnement <strong>du</strong> groupement et <strong>de</strong><br />

<strong>la</strong> consultation envisagée. La ville <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> serait désignée coordinateur <strong>du</strong> groupement,<br />

chargée <strong>de</strong> procé<strong>de</strong>r, dans le respect <strong>de</strong>s règles prévues par le Co<strong>de</strong> <strong>de</strong>s marchés publics,<br />

à l'organisation <strong>de</strong> l'ensemble <strong>de</strong>s opérations <strong>de</strong> sélection <strong>de</strong>s cocontractants, <strong>de</strong> <strong>la</strong><br />

convocation <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission d’appel d’offre <strong>du</strong> groupement, <strong>de</strong> <strong>la</strong> signature et <strong>de</strong> <strong>la</strong><br />

notification <strong>de</strong>s marchés à l’issue <strong>de</strong> <strong>la</strong> procé<strong>du</strong>re, chaque membre <strong>du</strong> groupement, pour ce<br />

qui le concerne, s’assurant <strong>de</strong> leur bonne exécution.<br />

Il sera procédé au choix <strong>de</strong>s cocontractants par <strong>la</strong> commission d’appel d’offre <strong>du</strong> groupement<br />

qui est composée d’un représentant <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission d'appel d'offres <strong>de</strong> chacun <strong>de</strong>s<br />

membres <strong>du</strong> groupement, <strong>de</strong> personnalités compétentes et sera présidée par le représentant<br />

<strong>du</strong> coordonnateur.<br />

Chaque membre <strong>du</strong> groupement s'engage, dans <strong>la</strong> convention, à signer avec les<br />

cocontractants retenus un marché à hauteur <strong>de</strong> ses besoins propres, tels qu'il les a<br />

préa<strong>la</strong>blement déterminés.<br />

Il s’agit <strong>de</strong> satisfaire les besoins <strong>de</strong> <strong>la</strong> ville <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> et <strong>du</strong> centre communal d’action<br />

sociale (CCAS) <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> en termes <strong>de</strong> service <strong>de</strong> restauration : il est atten<strong>du</strong> <strong>la</strong> fourniture<br />

et <strong>la</strong> livraison <strong>de</strong> repas par liaison froi<strong>de</strong>. Ces repas sont <strong>de</strong>stinés aux cantines sco<strong>la</strong>ires <strong>de</strong><br />

<strong>la</strong> ville, à <strong>la</strong> restauration <strong>du</strong> personnel communal, au portage à domicile pour les personnes<br />

âgées et à <strong>la</strong> restauration <strong>de</strong> <strong>la</strong> rési<strong>de</strong>nce le Belvédère.<br />

Il est envisagé <strong>de</strong> procé<strong>de</strong>r, à <strong>la</strong> passation d’un marché à bon <strong>de</strong> comman<strong>de</strong> pour une <strong>du</strong>rée<br />

<strong>de</strong> 1 année renouve<strong>la</strong>ble 3 fois par pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> 1 année à compter <strong>du</strong> 1 er septembre 2013,<br />

dans le cadre d’un groupement <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>s avec le CCAS.<br />

Sur proposition <strong>de</strong> Mme Délia MOROTÉ, adjointe au maire chargée <strong>de</strong> <strong>la</strong> petite enfance ;<br />

Le conseil <strong>municipal</strong>,<br />

Après avoir enten<strong>du</strong> cet exposé,<br />

Après en avoir délibéré,<br />

Vu le Co<strong>de</strong> général <strong>de</strong>s collectivités territoriales ;<br />

Vu les articles 7 et 8 <strong>du</strong> Co<strong>de</strong> <strong>de</strong>s marchés publics ;<br />

Considérant l’intérêt général <strong>de</strong> procé<strong>de</strong>r à <strong>la</strong> création d’un groupement <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>s<br />

entre <strong>la</strong> commune <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> et le centre communal d’action sociale (CCAS) <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong><br />

afin <strong>de</strong> satisfaire les besoins <strong>du</strong> groupement en terme <strong>de</strong> restauration ;<br />

<br />

<br />

autorise le maire à signer <strong>la</strong> convention <strong>de</strong> groupement <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>s avec le<br />

centre communal d’action sociale (CCAS) <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> en vue <strong>de</strong> <strong>la</strong> passation<br />

d’un marché <strong>de</strong> service <strong>de</strong> restauration par liaison froi<strong>de</strong> à bon <strong>de</strong> comman<strong>de</strong><br />

d’une <strong>du</strong>rée <strong>de</strong> 1 année renouve<strong>la</strong>ble 3 fois par pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> 1 année à compter<br />

<strong>du</strong> 1 er septembre 2013, dans le cadre d’un groupement <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>s avec le<br />

CCAS <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> ;<br />

mandate Monsieur le maire ou son représentant pour signer tout document<br />

re<strong>la</strong>tif à ce dossier.<br />

Conclusions adoptées : unanimité.<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


011 - URBANISME : AVENANT N°1 À LA CONVENTION DE CONSULTANCE<br />

ARCHITECTURALE<br />

Mesdames, Messieurs,<br />

Rapporteur : Catherine BRETTE<br />

Notre commune bénéficie <strong>de</strong>s services d’un architecte conseil proposé par le <strong>Conseil</strong> en<br />

Architecture, en Urbanisme et en Environnement (CAUE) <strong>de</strong> l’Isère et mis en p<strong>la</strong>ce par le<br />

<strong>Conseil</strong> Général <strong>de</strong> l’Isère.<br />

Suite à <strong>la</strong> réforme <strong>de</strong> <strong>la</strong> taxe d’aménagement, le <strong>Conseil</strong> Général <strong>de</strong> l’Isère a sollicité le<br />

CAUE pour qu’il verse aux collectivités signataires ses ai<strong>de</strong>s.<br />

Cette sollicitation a été soumise au <strong>Conseil</strong> d’Administration <strong>du</strong> CAUE qui a donné son<br />

accord à condition que le <strong>Conseil</strong> Général lui reverse <strong>la</strong> part <strong>de</strong> <strong>la</strong> taxe d’aménagement <strong>de</strong><br />

chaque permis <strong>de</strong> construire.<br />

La commune dans sa convention <strong>du</strong> 3 juin 2010 avec le CAUE indiquait qu’elle pouvait<br />

solliciter le <strong>Conseil</strong> Général <strong>de</strong> l’Isère pour obtenir une subvention sur le coût <strong>de</strong>s conseils <strong>de</strong><br />

l’architecte <strong>du</strong> CAUE.<br />

Pour permettre à <strong>la</strong> commune <strong>de</strong> bénéficier d’une subvention <strong>du</strong> CAUE, il est donc<br />

nécessaire <strong>de</strong> passer un avenant à <strong>la</strong> convention <strong>du</strong> 3 juin 2010 entre <strong>la</strong> collectivité et le<br />

CAUE.<br />

La commune a été <strong>de</strong>stinataire <strong>de</strong> ce projet d’avenant le 14/01/2013 avec l’indication d’une<br />

prise d’effet dès l’exercice 2012.<br />

Vu <strong>la</strong> délibération n° 87, en date <strong>du</strong> 14 juin 2010, autorisant le renouvellement <strong>du</strong> contrat <strong>de</strong><br />

l’architecte conseil, autorisant M. le maire à signer <strong>la</strong> convention passée entre <strong>la</strong> commune<br />

et le CAUE et sollicitant <strong>du</strong> <strong>Conseil</strong> Général <strong>de</strong> l’Isère une subvention <strong>de</strong> 25 % <strong>du</strong> coût<br />

annuel <strong>de</strong> <strong>la</strong> consultance en architecture ;<br />

Vu le projet d’avenant <strong>de</strong> cette convention modifiant les conditions <strong>de</strong> versement <strong>de</strong>s ai<strong>de</strong>s<br />

initialement versées par le <strong>Conseil</strong> Général <strong>de</strong> l’Isère ;<br />

Considérant les modifications d’attribution <strong>de</strong>s ai<strong>de</strong>s pour <strong>la</strong> consultance architecturale ;<br />

Sur proposition <strong>de</strong> Mme Catherine BRETTE, conseillère <strong>municipal</strong>e déléguée à l’urbanisme<br />

règlementaire,<br />

Après en avoir délibéré, le conseil <strong>municipal</strong> <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> :<br />

<br />

<br />

<br />

adopte le projet d’avenant à <strong>la</strong> convention <strong>de</strong> consultance architecturale proposé par<br />

le CAUE ;<br />

autorise le Maire à signer l’avenant à <strong>la</strong> convention <strong>de</strong> consultance architecturale et<br />

toutes les pièces contractuelles s’y référant ;<br />

autorise le Maire <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> à signer tous documents se rapportant à ce dossier.<br />

Conclusions adoptées : unanimité.<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


012 – URBANISME : DÉLIBÉRATION RECTIFICATIVE – ACQUISITION DE LA<br />

PARCELLE AA389, PROPRIÉTÉ DE M. ET MME GOURDEL, RUE DU HAUT SEYSSINS<br />

Mesdames, Messieurs,<br />

Rapporteure : Catherine BRETTE<br />

M. et Mme GOURDEL Olivier ont acquis une propriété sur le Haut <strong>Seyssins</strong> qui comprend<br />

les parcelles AA n° 386, 387, 388, 389 et 390 (issues <strong>de</strong> <strong>la</strong> parcelle AA n° 385, elle-même<br />

issue <strong>de</strong>s parcelles AA n° 53, 54, 55, 56, 57, 58, 59 et 60). L’acquisition <strong>de</strong> ces terrains par<br />

les époux GOURDEL a permis <strong>de</strong> mettre à jour les servitu<strong>de</strong>s qui grevaient leur bien. La<br />

commune a ainsi régu<strong>la</strong>risé l’assiette <strong>de</strong> l’aire <strong>de</strong> collecte <strong>de</strong>s poubelles <strong>du</strong> hameau et<br />

organisé une médiation pour trouver une solution amiable à l’accès à une propriété riveraine.<br />

Il vous est aujourd’hui proposé <strong>de</strong> régu<strong>la</strong>riser <strong>la</strong> situation <strong>du</strong> bassin construit sur <strong>la</strong> propriété<br />

mais qui est d’un usage public <strong>de</strong>puis <strong>de</strong>s temps immémoriaux.<br />

Un accord est intervenu en ce sens avec les époux GOURDEL et <strong>la</strong> commune. À cet effet, il<br />

vous a été proposé <strong>de</strong> vali<strong>de</strong>r, lors <strong>du</strong> conseil <strong>municipal</strong> <strong>du</strong> 16 avril 2012, l’acquisition par <strong>la</strong><br />

commune <strong>de</strong> <strong>la</strong> parcelle cadastrée section AA n° 389 d’une surface <strong>de</strong> 17 m², propriété <strong>de</strong><br />

M. et Mme GOURDEL Olivier sise rue <strong>du</strong> Haut <strong>Seyssins</strong>. Cette parcelle correspond à<br />

l’assiette <strong>du</strong> bassin alimenté par le réseau communal d’eau potable <strong>du</strong> Haut <strong>Seyssins</strong> affecté<br />

à l’usage direct <strong>du</strong> public.<br />

M. et Mme GOURDEL <strong>de</strong>vaient cé<strong>de</strong>r cette parcelle à M. et Mme MASCIAVE aussi l’avis <strong>du</strong><br />

service France Domaine n° 2011-486V2401, visé dans <strong>la</strong> délibération n° 048 <strong>du</strong> 16 avril<br />

2012, indiquait comme propriétaires <strong>de</strong> cette parcelle M. et Mme MASCIAVE.<br />

Une nouvelle <strong>de</strong>man<strong>de</strong> d’avis a été sollicitée auprès <strong>du</strong> service France Domaine afin <strong>de</strong><br />

rectifier le nom <strong>du</strong> propriétaire<br />

Vu le <strong>de</strong>uxième avis <strong>de</strong> France Domaine n° 2012-486V2523, en date <strong>du</strong> 16 novembre 2012,<br />

indiquant comme propriétaires, M. et Mme GOURDEL et fixant <strong>la</strong> valeur vénale <strong>de</strong> <strong>la</strong><br />

parcelle à 1000 euros ;<br />

Considérant <strong>la</strong> nécessité <strong>de</strong> préserver un élément <strong>de</strong> patrimoine <strong>de</strong> <strong>la</strong> commune et le libre<br />

accès pour les Seyssinois à ce bassin sis rue <strong>du</strong> Haut <strong>Seyssins</strong> ;<br />

Sur proposition <strong>de</strong> Mme Catherine BRETTE, conseillère <strong>municipal</strong>e déléguée à l’urbanisme<br />

réglementaire,<br />

Après en avoir délibéré,<br />

Le conseil <strong>municipal</strong> <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong> :<br />

Dit que cette délibération annule et remp<strong>la</strong>ce <strong>la</strong> délibération n° 048-2012 en date <strong>du</strong><br />

16 avril 2012 susvisée ;<br />

Déci<strong>de</strong> d’acquérir auprès <strong>de</strong> M. et Mme GOURDEL Olivier, <strong>la</strong> parcelle cadastrée<br />

section AA n° 389, pour le montant estimé par France Domaine le 16 novembre<br />

2012, soit 1000 euros ;<br />

Déci<strong>de</strong> <strong>de</strong> charger Maître Myrtille REBERT, notaire à Eybens <strong>de</strong> <strong>la</strong> rédaction <strong>de</strong><br />

l’acte, le cas échéant en double minute avec le notaire choisi par le ven<strong>de</strong>ur ;<br />

Dit que les frais d’acte, <strong>de</strong> publication seront à <strong>la</strong> charge <strong>de</strong> <strong>la</strong> commune ;<br />

Dit que les crédits sont inscrits au budget 2013 <strong>de</strong> <strong>la</strong> commune <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong>, chapitre<br />

024 ;<br />

Mandate M. le maire ou son représentant pour prendre toute mesure nécessaire à <strong>la</strong><br />

mise en œuvre <strong>de</strong> <strong>la</strong> présente délibération.<br />

Conclusions adoptées : unanimité.<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


013 – RESSOURCES HUMAINES : TRANSFERT D’UN ACTIVITÉ PRIVÉE VERS LE<br />

SERVICE PUBLIC ET CRÉATION D’EMPLOI<br />

Mesdames, Messieurs,<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013<br />

Rapporteur : Martine BROUZET<br />

Invitée par M. le maire, Madame Martine BROUZET, adjointe au Maire chargée <strong>du</strong><br />

personnel, propose au conseil <strong>municipal</strong> <strong>de</strong> reprendre en régie directe <strong>la</strong> programmation<br />

culturelle « ça se passe chez Victor » qui découle <strong>de</strong> l’accompagnement <strong>de</strong>s artistes en<br />

rési<strong>de</strong>nce assurée jusqu’à présent par l’association LEJS.<br />

La vie culturelle seyssinoise s’organise autour d’une col<strong>la</strong>boration fructueuse entre un tissu<br />

associatif riche et vivant et <strong>la</strong> <strong>municipal</strong>ité. Afin d’améliorer les conditions <strong>de</strong> ce partenariat et<br />

renforcer le soutien apporté par <strong>la</strong> <strong>municipal</strong>ité à <strong>la</strong> richesse <strong>de</strong> <strong>la</strong> vie associative, les élus<br />

ont souhaité mieux structurer l’offre <strong>de</strong> services que <strong>la</strong> <strong>municipal</strong>ité apporte dans le domaine<br />

culturel. Cette action vise notamment à renforcer <strong>la</strong> cohérence <strong>de</strong>s interventions <strong>de</strong>s<br />

services municipaux impliqués dans <strong>la</strong> vie culturelle <strong>de</strong> <strong>la</strong> commune.<br />

À ce titre, un poste <strong>de</strong> médiateur culturel doit être créé, permettant <strong>de</strong> développer <strong>la</strong> culture<br />

comme lien social entre générations, quartiers, publics <strong>de</strong> <strong>la</strong> commune. Ce poste s’inscrit<br />

dans une politique socio-culturelle <strong>de</strong> développement territorial.<br />

Le contrat <strong>de</strong> droit public proposé reprendra les c<strong>la</strong>uses substantielles <strong>du</strong> contrat <strong>de</strong> travail,<br />

dans le cadre d’un contrat à <strong>du</strong>rée indéterminée.<br />

Le conseil <strong>municipal</strong>,<br />

Après avoir délibéré,<br />

Vu <strong>la</strong> loi n° 82-213 <strong>du</strong> 2 mars 1982 re<strong>la</strong>tive aux droits et libertés <strong>de</strong>s communes, <strong>de</strong>s<br />

départements et <strong>de</strong>s régions ;<br />

Vu <strong>la</strong> loi n° 84-53 <strong>du</strong> 26 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires re<strong>la</strong>tives à <strong>la</strong><br />

fonction publique territoriale ;<br />

Vu l’article L.1224-3 <strong>du</strong> Co<strong>de</strong> <strong>du</strong> travail fixant le régime applicable à l’ensemble <strong>de</strong>s sa<strong>la</strong>riés<br />

d’une entité économique dont l’activité est transférée à une personne morale <strong>de</strong> droit public<br />

dans le cadre d’un service public administratif ;<br />

Vu l’avis <strong>du</strong> comité technique paritaire en date <strong>du</strong> 1 er février 2013 ;<br />

Considérant <strong>la</strong> volonté <strong>de</strong> <strong>la</strong> commune <strong>de</strong> reprendre en régie directe l’activité <strong>de</strong> <strong>la</strong><br />

programmation culturelle « ça se passe chez Victor » qui découle <strong>de</strong> l’accompagnement <strong>de</strong>s<br />

artistes en rési<strong>de</strong>nce, assurée jusqu’à présent par l’association LEJS ;<br />

Considérant que dans ce cadre il convient <strong>de</strong> reprendre le sa<strong>la</strong>rié <strong>de</strong> cette structure, en<br />

charge d’organiser <strong>de</strong>s projets <strong>de</strong> médiation culturelle et d’animation <strong>de</strong>s publics ;<br />

Sur proposition <strong>de</strong> Madame Martine BROUZET, adjointe au Maire chargée <strong>du</strong> personnel,<br />

Déci<strong>de</strong> :<br />

d’acter le transfert <strong>de</strong> l’activité <strong>de</strong> l’association LEJS ;<br />

<strong>de</strong> prévoir le transfert d’un agent <strong>de</strong> l’association LEJS à <strong>la</strong> commune <strong>de</strong> <strong>Seyssins</strong>, <strong>la</strong><br />

création correspondante <strong>de</strong> l’emploi faisant l’objet d’une délibération spécifique ;<br />

dit que les crédits sont inscrits au budget primitif - chapitre 012. charges <strong>de</strong><br />

personnel ;<br />

précise que le financement <strong>de</strong> cet emploi est assuré par le transfert <strong>de</strong>s crédits<br />

précé<strong>de</strong>mment versés sous forme <strong>de</strong> subvention à Loisirs Enfance Jeunesse à<br />

<strong>Seyssins</strong> ;


mandate Monsieur le maire pour prendre toute mesure nécessaire à <strong>la</strong> mise en<br />

œuvre <strong>de</strong> <strong>la</strong> présente délibération.<br />

Monsieur Fabrice HUGELÉ rappelle qu’il s’agit d’une opération neutre pour <strong>la</strong> commune.<br />

Cette décision est l’aboutissement d’une longue pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> réflexion sur <strong>la</strong> vie culturelle et<br />

son organisation, ainsi que <strong>la</strong> volonté d’optimiser les moyens qui sont mis à disposition sur<br />

cette politique culturelle.<br />

Conclusions adoptées : 24 pour ; 2 abstentions (Colette TABELING et Jean-Luc LERA-<br />

VALDES).<br />

014 – RESSOURCES HUMAINES : MODIFICATION DU TABLEAU DES EFFECTIFS<br />

Mesdames, Messieurs,<br />

Rapporteur : Martine BROUZET<br />

Invitée par M. le maire, Madame Martine BROUZET, adjointe au Maire chargée <strong>du</strong><br />

personnel, propose au conseil <strong>municipal</strong> <strong>de</strong> modifier le tableau <strong>de</strong>s effectifs <strong>du</strong> personnel<br />

permanent afin <strong>de</strong> prendre en compte :<br />

<br />

une augmentation <strong>du</strong> temps <strong>de</strong> travail d’un agent mis à disposition auprès <strong>de</strong> LEJS<br />

afin <strong>de</strong> satisfaire au mieux les besoins d’organisation <strong>de</strong> l’accueil <strong>de</strong>s enfants <strong>du</strong><br />

périsco<strong>la</strong>ire dans les écoles maternelles suite à l’évolution <strong>de</strong>s besoins dans le cadre<br />

<strong>de</strong> ses fonctions <strong>de</strong> référente <strong>de</strong>s animatrices d’une part et un aménagement <strong>de</strong><br />

poste préconisé par le mé<strong>de</strong>cin <strong>de</strong> prévention, d’autre part ;<br />

<strong>la</strong> réussite à un concours <strong>de</strong> catégorie B correspondant au profil <strong>de</strong> poste <strong>de</strong> l’agent ;<br />

<br />

le transfert d’une activité privée vers une personne publique.<br />

Madame Colette TABELING <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à Monsieur le maire si le vote peut être fractionné,<br />

avec un vote sur les <strong>de</strong>ux premiers points et un second vote sur le troisième point.<br />

Monsieur Fabrice HUGELÉ accè<strong>de</strong> à cette <strong>de</strong>man<strong>de</strong> et fait procé<strong>de</strong>r aux votes.<br />

Le conseil <strong>municipal</strong>,<br />

Après avoir délibéré,<br />

Vu <strong>la</strong> loi n° 82-213 <strong>du</strong> 2 mars 1982 re<strong>la</strong>tive aux droits et libertés <strong>de</strong>s communes, <strong>de</strong>s<br />

départements et <strong>de</strong>s régions ;<br />

Vu <strong>la</strong> loi n° 84-53 <strong>du</strong> 26 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires re<strong>la</strong>tives à <strong>la</strong><br />

fonction publique territoriale ;<br />

Vu les décrets d’application <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi précitée re<strong>la</strong>tifs aux différents cadres d’emplois ;<br />

Vu l’article L. 1224-3 <strong>du</strong> Co<strong>de</strong> <strong>du</strong> travail ;<br />

Vu l’avis <strong>du</strong> comité technique paritaire en date <strong>du</strong> 1 er février 2013 ;<br />

Considérant <strong>la</strong> nécessité d’adapter le tableau <strong>de</strong>s effectifs aux besoins <strong>du</strong> service public ;<br />

Considérant l’inscription sur <strong>la</strong> liste d’aptitu<strong>de</strong> <strong>du</strong> gra<strong>de</strong> <strong>de</strong> rédacteur ;<br />

Considérant <strong>la</strong> volonté <strong>de</strong> <strong>la</strong> commune <strong>de</strong> reprendre en régie directe l’activité <strong>de</strong> <strong>la</strong><br />

programmation culturelle « ça se passe chez Victor » qui découle <strong>de</strong> l’accompagnement <strong>de</strong>s<br />

artistes en rési<strong>de</strong>nce assurée jusqu’à présent par l’association LEJS ;<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013


Sur proposition <strong>de</strong> Madame Martine BROUZET, adjointe au Maire chargée <strong>du</strong> personnel,<br />

Modifie comme suit le tableau <strong>de</strong>s effectifs :<br />

o Dans le cadre d’une augmentation <strong>du</strong> temps <strong>de</strong> travail :<br />

Résultat <strong>du</strong> vote : unanimité.<br />

• Suppression d’un emploi d’adjoint technique <strong>de</strong> 1 ère c<strong>la</strong>sse à temps<br />

non complet (58%) à compter <strong>du</strong> 1 er mars 2013 ;<br />

• Création d’un emploi d’adjoint technique <strong>de</strong> 1 ère c<strong>la</strong>sse à temps non<br />

complet (62%) à compter <strong>du</strong> 1 er mars 2013.<br />

o Dans le cadre <strong>de</strong> <strong>la</strong> réussite à un concours :<br />

<br />

<br />

Suppression d’un emploi d’adjoint administratif <strong>de</strong> 2 ème c<strong>la</strong>sse à temps<br />

complet à compter <strong>du</strong> 1 er mars 2013 ;<br />

Création d’un emploi <strong>de</strong> technicien à temps complet à compter <strong>du</strong> 1 er<br />

mars 2013.<br />

Résultat <strong>du</strong> vote : unanimité.<br />

o Dans le cadre <strong>du</strong> transfert d’activité privée vers une personne publique :<br />

Création d’un emploi d’adjoint d’animation 2 ème c<strong>la</strong>sse à temps non<br />

complet (80 %) à compter <strong>du</strong> 1 er mars 2013 ;<br />

dit que les crédits sont inscrits au budget primitif - chapitre 012.<br />

charges <strong>de</strong> personnel.<br />

Résultat <strong>du</strong> vote : 24 pour ; 2 abstentions (Colette TABELING et Jean-Luc LERA-<br />

VALDES).<br />

<br />

mandate Monsieur le maire pour prendre toute mesure nécessaire à <strong>la</strong> mise en<br />

œuvre <strong>de</strong> <strong>la</strong> présente délibération.<br />

Monsieur le maire donne lecture <strong>de</strong> <strong>la</strong> décision qu’il a eue à prendre en application <strong>de</strong>s<br />

délégations que le conseil <strong>municipal</strong> lui a octroyé et <strong>de</strong>man<strong>de</strong> si elle soulève <strong>de</strong>s questions.<br />

Aucune question n’est soulevée.<br />

M. HUGELÉ lève <strong>la</strong> séance à 23h00.<br />

Ainsi fait et délibéré en séance, ce lundi 04 février 2013.<br />

Suivent les signatures <strong>de</strong>s présents :<br />

Pour extrait conforme,<br />

Le Maire,<br />

Fabrice HUGELÉ<br />

Procès-<strong>verbal</strong> <strong>du</strong> CM <strong>du</strong> 04-02-2013

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!