les dieux et heros des anciennes religions et - Quand les dieux et ...

Quant au soleil, il prouve, par sa présence à cet endroit, que nous avons atteint
l’époque du solstice d’été (d’où la luminosité du mont à cet instant précis).
Maintenant, supposons qu’Ahriman représentait la Voie Lactée au lieu de représenter la
constellation de l’Hydre.
En ce cas, le Mont Lumineux est alors représenté par la Grande Ourse.
7. Retour à la grande déesse et à son identification avec la rivière
céleste / distinction entre le Hara Berezaiti et le mont Hukairya / le
Sauveur sous les traits du roi Haoshyanhia (alias Saoshyant, alias
Sraosha ?)
Pour en revenir à la grande déesse qui appartenait à la plupart des panthéons des
peuples de l’antiquité, quand les textes (qui sont ici d’origine indo-européenne - védiques
et autres) l’assimilent à une rivière céleste, cette dame est une planète Vénus qui joue les
rivières, durant son déplacement le long de la ligne de l’Ecliptique, en coulant depuis un
Mont Nuageux ou Orageux renvoyant lui-même au secteur de l’Ecliptique qui est situé
dans la partie couverte de nuages (qui sont ici ceux de la Voie Lactée) appartenant à la
constellation des deux Gémeaux.
Et quand cette même déesse rivière coule depuis le Mont Lumineux, ce mont-là renvoie
au secteur de l’Ecliptique qui est situé, ou bien dans la partie des deux Gémeaux qui n’est
pas couverte par la Voie Lactée, ou bien dans le Cancer.
Et parce que notre planète Vénus descend, le long de cette ligne, durant son transport
entre le Cancer et le Capricorne, elle incarne une déesse rivière qui, à force de couler vers
l’aval, arrive dans une mer Vouru-Kasha qui renvoie elle-même à la Voie Lactée côté
Scorpion Sagittaire.
Et parce que, durant sa descente en direction de cette mer, notre rivière céleste
stationne, en arrivant au début du Lion, au-dessous de la Grande Ourse, on peut identifier
cette Ourse-là au mont Hukairya (abrégé parfois en Huk).
Ceci dit on peut également assimiler ce mont avec la partie des Gémeaux qui n’est pas
couverte par les nuages de la Voie Lactée, comparée à une partie couverte qui est alors
représentée par le Harā Bərəzaitī (ou Hara tout court) .
Ce lieu est à la fois lumineux et constellé d’étoiles car il se situe à l’extérieur même de
la Voie Lactée côté Gémeaux.
C’est donc depuis là que coule la rivière céleste, sous les noms d’Arinna, de Nanshé,
d’Anahita, de Sarasvati, et finalement sous ceux de toutes les déesses qui, parce qu’elles
s’identifient ici à la planète Vénus, sont en train de descendre, sur le planisphère céleste,
durant leur déplacement depuis les Gémeaux ou le Cancer, en direction du Sagittaire et
du Capricorne.
Et parce que cette déesse planète fréquente la constellation de l’Hydre durant son
passage entre la fin du Cancer et le début du Lion d’un côté, et la Balance de l’autre, elle
est confrontée à toutes sortes de démons à cet instant. D’où son rôle de guerrière.
Quant aux guerriers qui l’accompagnent (qu’il s’agisse des planètes Mars, Mercure ou
Soleil), ils se nourrissent d’un haoma qui était probablement représenté, dans la variante
sabéenne du récit, par l’amas de la Ruche situé dans le Cancer, avant d’affronter
victorieusement les daevas grâce à une pareille potion magique.
A part cela, quand nous lisons dans le site http://en.wikipedia.org/wiki/Hara_Berezaiti
Harā is tall and luminous, free from darkness and the predations of the daēvas, the
"false gods" that are later considered to be evil spirits. The sacred plant haoma grows on
Harā. It is also the home of the yazata Mithra. It is the site in legend of sacrifices (yasnas)
to the yazatas Mithra, Sraoša, Arədvī Sūrā Anāhitā, Vayu, and Druvāspa, by sacrificers
such as the divine priest Haoma (epitome of the sacred plant) and kings like Haošyaŋha
and Yima.
le roi Haoshyanhia (alias Saoshyant, alias Sraosha?) est un Sauveur qui est ici,
probablement, la planète Mercure, comparé à un roi Yima qui était, en tant que Premier
Homme, l’expression du soleil (lequel circule ici le long de la ligne de l’Ecliptique), et
«Quand les dieux et les hommes étaient des planètes, des étoiles ou des constellations»
Tome V : «Qui étaient, à la lumière du sabéisme, les principaux dieux et les principaux héros des anciennes religions et/ou mythologies grecque, romaine, védique, avestique, mésopotamienne et
égyptienne ?»
par Claude Gétaz, chercheur indépendant
texte protégé par © Copyright, certification IDNN 2009
(cf.http://www.legalis.net/cgi-iddn/certificat.cgi?IDDN.CH.010.0114040.000.R.A.2009.035.40100)
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