CHRONIQUE D'HISTOIRE MARITIME - Société Française d'Histoire ...

apportant le soutien qui me paraît légitime aux Délégations Régionales à
l’occasion des colloques et activités qu’elles mènent en propre.
Il s’agit là d’un problème récurrent et qui se trouve posé depuis l’origine
de la C.F.H.M. Force est de constater que, faute de moyens, il n’a
jamais pu être résolu de façon satisfaisante dans la durée. Une solution
pourrait être d’adopter une chronique informative uniquement, telle la
« Newsletter » de la Commission Internationale complétée alors par la
publication d’un ou plusieurs volumes à périodicité variable en fonction
de nos ressources. 1
Quoi qu’il en soit, il a été décidé de ne modifier en rien la Chronique
que vous recevez aujourd’hui, préparée fin 2004 par la précédente
administration – et je l’en remercie – afin de ne pas en retarder
exagérément l’envoi. Mais la question se pose, et nous vous la poserons
sous une forme à définir (sondage – libre débat) afin d’être en mesure de
répondre au souhait du plus grand nombre.
Dans le souci d’améliorer les ressources de notre Association , quelques
idées ont été déjà évoquées lors de la dernière réunion du C.A.. Par
exemple en essayant d’obtenir le label « Association d’utilité
publique », qui permet de déduire, au moins partiellement, les
cotisations des déclarations d’impôt et … de recevoir des subventions de
la société « civile ». Cela implique une gestion sans doute davantage
contrôlée, voire contraignante. Pour moi j’y verrais plutôt l’avantage
d’être tenus à plus de rigueur dans le fonctionnement de notre Société :
des comptes plus précis, des délais à respecter impérativement,
l’interdiction du cumul des fonctions – d’ ailleurs contraire à nos statuts
– autant de dérives peut-être à l’origine de certaines incompréhensions
passées .
Restant dans ce domaine, peu motivant, mais hélas essentiel, c’est à
vous que je voudrais faire appel. Le nombre de cotisants de notre
Association est tombé de 377, en 2003, à 280, fin 2004, une trop forte
érosion difficile à expliquer, sauf à évoquer une fois encore les vents
contraires qu’a rencontrés la S.F.H.M. Sans doute faut-il mieux la faire
1 A l’origine la Chronique était semestrielle, ce qui permettait généralement de
publier chaque année un recueil de travaux historiques de qualité.
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