m - Bibliothèque de Toulouse

Jeudi 3 Occembrr; 19051
^*-*w^Miiiiiiiiwi,iutwwaiii^^
de Viande
se prête ù toutes les
combinaisons culinaires.
Les radicaux-socialistes et i'ocîrol
Ce sont de vieilles connaissances crue les
ftd taux et l'octroi i lis sont loin d avoir
«ompu les rapports qui les unissent, En
principe, toa radicaux proposent de divor-
cer avec l'octroi ; en fait, ils resserrent tou-
jours leurs liens.
En 18%, lorsque, pour la première fois,
Ils unifièrent la dette, ils relevèrent les ta-
i ils de cinq cent mille francs, mesure qui
fut bien loin de favoriser la suppression de
l'octroi.
Les radicaux n'en illustrèrent pas moins
leurs programmer! électoraux de la pro-
messe de libérer Toulouse des droits d'oc-
Ptroi.
Sur quoi, ils agrandirent le périmètre et
grossirent encore quelques taxes.
Toutefois, les radicaux ne rompirent pas
Hvec leur projet de suppression de l'octroi ;
mais ils ilenlurèreait que la mesure n'était
possible qu'avec le concours de l'Etat.
Ce sont, des enragés élu listes que les radi-
caux ; ils sont les véritables doctrinaires
'du socialisme ; on l'a bien vu a Dijon, où
dis se sont déclarés partisans de la pro-
priété individuelle tant qu'elle ne gênerail
pas la propriété collective. ,
Toujours est-il que les tarifs et règle-
ments d'octroi, actuellement en vigueur,
expirent le 31 de ce mois. Le conseil, ajour-
nant; une fois de plus le divorce, a voté
•leur prorogation pour une nouvelle période
.quinquennale.
1 M. Eydoux. rapporteur de la proposition,
a ajouté que, d'après la loi de 1884, il en-
trait dans les attributions du conseil mu-
nicipal de pouvoir proroger tarifs et règle-
ments d'octroi.
Sans doute. Toutefois, le ministre de l'in-
térieur ne laisse pas facilement la bride
sur le cou des communes. Le 2 octobre der-
nier, il prescrivait à ses préfets, par une
circulaire, de lui adresser d'urgence tous
3es dossiers des demandes de prorogation
des taxes et des surtaxes dont la perception
doit expirer le 81 décembre.
Riais les radicaux, ne voulant pas rom-
pse avec leurs habitudes, ne se sont pas
bornés à voter la prorogation des tarifs en
vigueur ; ils ont, en outre, volé des modi-
fications à ces tarifs. Ils -ont soumis à la
taxe d'octroi des objets qui en étaient af-
franchis. Ils en ont surtaxé d'autres. Ils
on! même fait plus : iLs ont créé des taxes
qu'on ne peut qualifier d'octroi.
Toutes ces surcharges sortent des attri-
butions des conseils municipaux et ne peu-
vent être appliquées que si elles sont auto-
risées par décret du président de la Répu-
blique,- rendu ei> Conseil d'Etat, après avis
du conseil général ou de la commission dé-
partementale.
Le Conseil d'Etat trouvera le dossier bien
.vide si les budgets de la commune en sont
'absents ; le budget de 1908 est lettre morte,
M. Juppont a dressé son acte de décès. Ce-
lui de 1909 est sur le chantier. Quand et
comment sera-t-il établi ? Le Conseil d'Etat
passera -t-il l'éponge sur un budget que n'a
pas précédé le budget supplémentaire ?
Mettons que, pour aboutir, le conseil mu-
nicipal se résigne, comme le fait la Cham-
bre des députés quand elle est embarras-
sée, à disjoindre la prorogation des tarifs
de leur modification. Mais alors le conseil
municipal n'aura pas les ressources néces-
saires au relèvement promis du traitement
des employés de l'octroi.
Des édiles soucieux des intérêts dont ils
ont la garde comprendraient que les em-
prunts dont les intérêts et l'amortissement
absorbent le plus clair des revenus des
communes pendant un demi-siècle, ren
dront ù jour donné l'administration impos-
sible.
Toulouse en est à oe point, et les radi-
caux qui ne sont pas les édiles soucieux
dont nous venons de parler, rêvent de quel-
que autre unification de dettes qui alteri
sceculo prosint, pour emmailloter absolu-
ment leurs successeurs.
Jetons un coup d'œil sur quelques-unes
des taxes proposées et qui, selon M. Ey-
doux, « ne doivent porter que sur les arti-
cles consommés par les familles aisées,
ceux qu'on pourrait appeler des articles de
luxe. » Au nombre de ces articles, nous re-
levons les « poissons de mer », — les sar-
dines, les harengs, le thon, seront-ils donc
'surchargés ? M. Eydoux indique également
la morue, les « conserves alimentaires ».
Mais on met en conserve des mets qui ne
«ont pas de luxe et que la femme de l'ou.
îvrier est souvent heureuse d'avoir sous la
main pour servir le repas de son mari.
Nous admirons le goût de l'harmonie qui
distingue nos radicaux. Ils veulent impo-
ser les grenades — fruit de luxe ? parce que
les oranges le sont.
Une contre vérité maintenant. — « D'au-
tres articles ont été légèrement modifiés
paille, orge et avoine, et, parmi las maté
riaux : les chaux, plâtres et les bois en gru
me et ouvrés. Aucune répercussion n'est à
eraindre pour la classe ouvrière et ces
nouveaux tarifs seront facilement' suppor-
tes par les propriétaires d'immeubles ».
C est inexact. Propriétaires, entropre-
fj^!r? frS "5 pourront S•« ^
rVr? v T dau "Y m P">îet de l'octroi,
£Wt d j voir figurer des taxes portant sur
des objets que l'industrie fnbrnmô dans
'TT °"
ne Pourront êt re
Zvè J° taxGS d ' oc, roi, et, pour être
mrï nie 03 .f* 1 ?* 1 . des autorisation*
u,.'r i l'édition
M» *
Les rectifications pour la liste des .adresses
et la liste dee professions, ainsi que les an-
nonces, sont (minore reçues, jusqu'au 10 décem-
bre, délai de rumeur, chez M. ftdoa&ra i ri-
vai, libraire-éditeur, 14, rue des Arts, et a
l'Agence Rives (K. Lasser.ro et V. Legrana,
directeurs), 4, place Saint-Etienne, à Ton 10U ;
Apres le 10 décembre, il ne pourra plus rtu
accepté ni annonces, ni rectifications.
La Foire aux Chevaux
U a été conduit, sur le champ de foire des
allées Charles-de-Frtte : 615 chevaux, so ânes
G vaches.
Passablement d'affaires traitées.
Concert Puijno
Tribunal correctionnsl
Audience du e décembre
Président, M. Zegliclu ; ministère public,
M. Bounioi ; gretfler, M. bonhomme
LES vois. — Ernest Rasby. âgé de 18 ans,
homme de peine, et Emile Do'.madieu, du mê-
me fige, même profession, sont inculpés d a-
voir le 24 octobre, dérobé des sacs da-
voine dans la barque Sainte Uarbe, qui sta-
tionnait SUC le canal du Midi, au Port Saint-
Sauveur.
Rasby a été pincé emportant un sac, tandis
que Donnadieu faisait le guet.
Le tribunal les condamne, par défaut, à trois
mois de prison chacun.
— La darne Marie Roux, figée de 23 ans, »st
inculpée d'avoir, le 28 novembre, dérobé un
porto-monnaie contenant une somme de 28
francs et appartenant à la demoiselle Donfils,
domestique, 2, Port Saint-Sauveur.
Interrogée, elle déclare avoir trouvé ce por-
te-monnaie dans la cuisine de ta maison, traî-
nant sur le parquet.
Le tribunal la condamne a un mois de pri-
son..
Tnucs niv'Ens. — Les moyens varient chez
les inculpés d'escroquerie, mais le but reste
ie même : se procurer de l'argent.
l'.eJesiin Viviers, âgé de 211 ans, représentant
de commerce, est poursuivi pour avoir com-
mandé au nom d'un tiers, et sans l'assenti-
ment de ce dernier, un bloc de grains à Bor-
deaux, puis en avoir pris livraison et l'avoir
vendu.
Le tiers, un épicier de la ville, fut le plus
surpris du monde quand il lui arriva un
mandat représentant le montant de- cette com-
mande. J„ . ... .
La police s'en mêla, et auiourdhui Viviers
est condamné à deux mois de prison.
— La dame blanche Hur, âgée de 22 ans,
sans profession .avait trouvé un outre truc.
Elle louait des -bicyclettes puis allait les por-
ter au Mont-do-Piété ou les revendait. Le tri-
bunal la condamna par défaut, le 28 octobre,
à deux mois de prison. Après avoir fait oppo-
sition, elle nc se présente pas. La précédente
peine est donc maintenue.
OVTRAGES Ai'x ACENTS. — Alexandre Berjon,
âgé de 47 ans, se trouvait sur l'allée Lafayette,
le 27 octobre dernier. Il était en état d'ébnéte
assez complet, et attira de ce fait l'attention
des agents. Comme on le priait de circuler, il
n'en voulut rien faire, et, bien au contraire,
protesta vivement et. outragea même les
agents. Il est condamné à deux mois de pri-
son. , .
AUTRES AFFAIRES. — Dominique B..., inculpé
d'avoir fait voyager un chien sans ticket, est
relaxé.
— Edounad Cordes, âgé de 45 ans, est un va-
gabond que les agents de police trouvèrent
couché sur la voie du chemin de fer départe-
mestal à CR tours. B... déclara qu'il voulait
en finir avec la vie. En scalité, il était ivre.
Le tribunal 1? condamne à un mois de pri-
son pour vagabondage.
— Dans une affaire de diffamation, le sieur
B... est condamné ù 25 francs d'amende avec
sursis et à 50 francs de dommages.
Nous rappelons a nos lecteurs 'Uf c'ost aujour-
d'hui, a la suie lie-, coneerl- Routât, !,. rue ,.u it
Panthéon, h mut tienre» *t 4eaM« ftèct ins uuull. au .bureau des locations; il MtttjUM
MU de plaz-es. l,a coniérence de M. Armand l ra-
viel (sur Bornée «•! ses œuvres) sera un vrai régal.
m-u ; .ranime des plus littéraires : Le. l'assaut avec
Mlle Charleux et Mine Daurelly-VaUia; poésies de
Echos du Palais
AL Bauime. Juge d'instruction, s'est occupé,
hier, de plusieurs affaires de vol.
M. Chaubart, juge d'instruction, a entendu
un témoin dans une affaire d'escroquerie
d'une automobile.
Le même magistrat a entendu des témoins
dans une affaire de vol commis ces derniers
jours au quartier du Pont-des-Demoiselles.
M. Ricard, commissaire aux délégations ju
dicialres. a procédé a une perquisition dans
•une affaire de fraudes alimentaires par com-
mission rogatoire du parquet de Villefranehe
Faculté des Sciences
M. Camiehel fera son cours public aujour-
d'hui jeudi, à huit heures et. demie du soid,
a la Faculté des sciences, aidées Saint-Michél.
Sujet du cours : La Dynamo (suite).
ORURL: I>KS CM.IVM.IUKS SMIVHTKI'RS DK
• ItAM'i: •- MM. les membres aoiu prIOs de vouloir
'".;'" à la I'-H n qui aura lieu aufSu
U nul jeudi a tlécemlire. il huit heure» et donne du
"'•r. --i-, mécanicien, de ni» 1 lira nt rue Cent Pii as, 3.
Spsctack^-Concôîl^ de Toulouse
Du 3 décembre
I mlivdi,
( ' ppée cliente de'mmr lu Couronne el ïcvfro. par TIIllATRK J,\ l'A Vr.T'l'l \ v heure..
Ml h lliceillo, et enlin, pour terminer, le Lut hier de Pansant c le Luthier te «»W(; coi
, ,,;,,,„,,(. (Communhiué.) Fraaeolï Coppoo par M. Armand l'rav
"~T~ « s. heures '„ SfmWI.
Théâtre Saint-Cyprien
CAPITat-K. — AS heures. tes Huguenots;
la Fie de volième et Cavatlcria ttuslicana.
A 2 heures Matinée : le
conférence sur
ravie!. Le soir,
T.a direction nous annonce qu'elle préparc pour
dimanche u decemlnw une représentation extraordi-
naire : le Vieux Caporal, grand drame populaire ca
5 actes, de MM. Dumanoir et d'Ennery.
(Communiqué).
Grand Cinéma Alsace
Aujourd'hui, a ? heures et demie, première séance
de la matinée enfantine, lin outre, des cadeaux et
belles primes distribuées aux enfants, des vues d'ane
beauté remarquable leur seront présentées.
La grande salle du vaste Cinéma retentira,
en matinée, des frais éclats de rire de nos fidèles pe-
tits lia.hilués des jeudis.
Le soir, a huit heures trois quarts, grande repré-
sentation avec l'Aigle en supplément.
(Communiqué).
Cinéma Naîw.al Pallié
Dans l'un de ses derniers numéros, yillustreition
donnait un? intéressante relation du grand drame
historique, l'assassinai du duc de G-ulse, pièce spé-
cialement composée pour le Cinéma Pxuhé, par
Henri Lnvedan, l'eminsnt académicien. L'interpré-
tation en revient à MM. Lo Bargy et Alh-srt Lam-
bert, et à Mmes Robinno et Derthe Bovy. pension-
naires de la Comédie Française.
Le Cinéma National,' rue I^ijwyrottse 7. donnera
cette pièce pour Ja première fois, le samedi r> dé-
cembre prochain. Nul doute que les amateurs n'ac-
courent admirer cette oeuvre poignante.
(Communiqué).
Paris-Décors tient le reeord d93 papiers peints.
SALLE ROUGET. - A» heures
Pugno et GabritLle Campi.
concert Raoul
Programme du concert militai» qui sera exécuté
aujourd'hui jeudi 3 décembre, de heures et de-
mie à 4 heures do l'après-midi :
GBAW-ROOia — IT KKOlHESr Il'INriNTïKJE
1. Allegro de concert (X); Ouverture A ithalie
(MonaeJsohn); 3. Onzième air varié, pour clarinette
(Berr); t. Graudo fantaisie sur la Heine l'ianmiette
(X. Leroux); &. Mazurka du ballet de la Source [L.
Delibes).
tour , avaient accès, et c'était Justice, personne
cependant ivo fut oublie. I*;. «nfunl ., le;,
nés tilles, los Jéunies gens, les mères de fa
mUJe reçurent on ce lour un jouet, un J)ijou,
une petite, su, prise appropriée u leur Age et
tout cela iralussaU -l'in piral cl le pont de
Mine Moras. Sou nom était sur Unîtes U\s Je
vr w et dans tous les cœurs, et le» toasts et
les acclamations liront une large part A celle
qu'un orateur bien qualifié appelait « ange
de charité ot providence de Vieillie-Toulon e
» Le matin de la fête, un enfant avait offert
une gerbe de fleurs a M. le maire. Klh>- sont
déjà lances, niais m,us lui gui'ilon., lloilJ'S
plus vivo ces, colle*, qui poussent au Sninuiet
de iiotro vieux Tuniulus romain, dan.s l'an-
lraetiiOSité do (tue!,pie ,piailler du roc. Ces
Heurs bimples et qui résiste,il plue lon.gtein])S
aux ca],lices du temps symbolisent luen ce
que nous voudrions être et icster : des hOKi-
mes simples par tradition et par goût et aussi
des hommes fidèles aux souvenirs lègues .par
nos ancêtres, ces acharnés travailleurs, pê-
cheurs mi laboureurs, qui allèrent foiiorr Tou-
louse plus loin... au bord du fleuve... Cette
fidélité au travail et a l'hotihenr nous ..l'of-
frons en hoiiimug.' -au milieu des fleurs sau-
vages de noire vieux pays, a notre maire.
lui imitant SOS .exemples, nous soinuiex
surs de ne jamais faiblir et ce sera ja ÉMU
leurs récompense pour i elui que nous fèu-rt.ns
longtemps encore en l'appelant connue au-
jourd'hui : « Le hou M. Moras I «
PRIHE A TOUS riOS LECTEURS
A l'occasion du Jour de l'An, nous som-
mes heureux (l'offrir d nos lecteurs, a litre de
PRIME SPÉCIALE, le PANIER ÉTRENNES .lu
Champagne Aux TR3IS FLEURS llo LVS.
Beaucoup de nos amis ne consomment que
ceite marque de choix, dont l'e-Ioge n'est pius
a faire.
Monsieur le Duc d'Orléans lui-même a dai-
gné honorer se.-, propiiétaiies d'un brevet de
fournisseur.
LE PANIER ÉTRENNES, de forme élégante,
muni d'une poighéecout ieut quatre BOUTEIL-
LES différentes, ornées des armes de la
MAISON ds FRANCE :
Une bouteille carte blanche (doux) à S francs.
Une bouteille carte argent (demi sec) à 8
francs.
Une bouteille carte or (sec) à 6 fr. 50.
Uno bouteille carte bleu de Roi (extra sec) à
8 francs. ,
Jusqu'au 1er janvier, ce PANIER sera envoyé
franco à domicile au PRIX de FAVEUR de
20 francs,contre un Son de Poste adressé ù
MM. BR1ÈRE et C 5, 16. avenue du Bel-Air,
PaTis xn 9 .
tiuiiuïuiiiiinHsijimnïiijiiuilllll
4AfEPJ3r.ES/E.YT - LITERIE — TAPIS
C. SECONZAC, 6, place de la Trinité
PERDU une fourrure Mougoii col hermine,
de la rue des Coffres au Théâtre du Capitole.
Rapporter Julia. 0, rue des Coffres. Récom-
pense.
L'EAU DE COLOGNE AMSfe
MAISON J00BOE
Corsets, iilouscs et Jupons à partir de 10 tr.
ETAÏ-CSV1LJ5E TOULOUSE
rUaLICITlONS DE MARIAGE DU S SECCUBRE 1908
Pierre Liant a. métallurgiste, I'out-de^-DemoitelIes,
31, et Camille Gntmt, lingire, rue Tripière, 1.
lirnest Terrisse, cordonnier, rue Pargaminièrcs, 71
et Irma Boulet, ménagère, J"ti3 de la Concorde, 70.
Emile Marque, otticier d'administration ù Tou-
louse, et Marie Mazon, s. p., à MarseiU •.
Jean Esta,pie, paleirenier, impasse du Mont-de-
Piété, St, et Maria Nauze, s. p.. imp;ts=e du Mont-
de-Piété, 24.
r
DÈCKS OU 2 DeCZilBBC 19'>S
Bajitiste lie.sillières, ?s ans,
Françoise Jlirabail, épouse
nue de Muret, 177 bis.
Maria Ca'sen, épouse Aurin.
Berna, d, i.
Saymonde Saint-Supery, veuve Maury, 82 aas,
rue des Princes, ai.
Jean Jossoran. 40 ans, ru* du Taur. 15.
Anna >lo, épouse Cyr, 43 ans. a Lafourguette.
Catherine Donat, îl mois, a Croix-Daurade.
Marie Abadie épouse Dolmay, U7 ans, rue Léonce-
Castcllwu.
Marc Boreleremy, 53 ans, boulevard Carnot 2
Jeanne Ville, veuve l'rézoui, se ans. rue des Trente-
Six-Ponts, 31.
Aliénés, 1.
:é.-ervoir de Périole.
irabaii, 58 ans, ave-
au-. place Arnaud-
« CONCERT LUIGINÏ"
.lu/OKîd'/tui jeudi, de i à 6 heures du soir.
paFîenje
o
P AUX MAC.ASINS DU CAPITOLE, AUDITIONS MUSICALES I
Services vicinaux
M. Ducacsé -a été nommé cantonnier des
services vicinaux du département de la Hau-
te-Garonne.
Orphelinat des Prévoyants de l'Avenir
Les Prévoyants de l'Avenir des sections
toulousaines organisent, au profit de l'orplieljr
naf de la Société, lequel entretient actuelle-
ment 140 orphelins, leur quatrième fête an
miellé de l'Arbre de Noël, pour le lia décembre
prochain.
Cette fête comprendra, comme les années
précédentes, une matinée enfantine et une
soirée dansante, qui seront données dans la
salle des Jacobins.
Les sociétaires ainsi que les personnes cha-
ritahles s'intéressant eux œuvres mutualistes
et humanitaires pourront retirer leurs tic
kets d'entrée, à partir du G décembre, aux
différents sièges des cinq sections de Tou
louse.
Association générale des Etudiants
Ce soir aura lieu la visite à la brasserie ]
Darrib.au, rue de la Balance.
M. Uarribau c'est mis gracieusement à la
disposition de l'Association pour faire visiter
aux étudiants sa nouvelle usine et leur donner
toutes les explications utiles.
Les étudiants sont priés de se rendre à une
heure et demie à l'Association, rue Romiguiè-
res. 3.
Le corps du capitaine Clauzel retrouvé
Hier dans l'après-midi, le corps du capi-
taine Gtouzed a été retrouvé à Grenade, dans
Tes eaux de la Garonne.
Le commissaire central de. Toulouse, pro-
venu aussitôt, a informé le colonel du 18* d 'ar-
til'erie do la déoouvcrto du cadavre.
On sait que le ca.pilaine Clicuzal a.était noyé
dans la Garonne, il y a près de trois semai-
nes en face Rlagnac, nu cours d'une pnune-
nade à cheval où su monture, s'étant cabrée,
l'avait précipité dans le fleuve.
Toutes les tentai i vos faites pour retrouver le
corps en cet endroit étaient demeurées in-
fructueuses.
Cheval et Tramway
Hier, vers cinq heures de l'nprès-midi. l'un
des tramways éiei"!iriq,,cs qui l'ail Je service
de la. jja-pe Matalrau Saint Mi'ihel, est entré en
collusion dans la rue Al9a,oe Lorraine, à hau-
teur de la rue An Musée, avec un cheval qui
traversait h, vue en cet endroit, ndtar-bé d ar-
rière un tombereau.
Le cheval a été renversé et traîné sur un
parcours de plUMcnirs niel.re., )>n.r le vrivtnwny
que l'es Jcein.s n'ont pu arriMcr inssez 40, .
L'ia.nnual s'est rolicvé saïus munnin mol.
SaVOM DU MIKADO^SSSSuSB
êSSëë fâ$ ëêêMê
Football rugby
KOItB CONTRE SUD
Nous avons déjà donné la composition des équi-
pes Nord et Sud. L'équipe du Nord commandée
par Commuveau, avec le maUlot et la culotte noire.
L'équipe du Sud sera commandée par Bruueau,
maillot blanc, culottes noires et has rouges.
11 est toutefois à regretter que l'excellent demi
toulousain Mayssonnié, joueur international an-
née 1907-1908, n'ait pu prendre dans l'équipe du
Sud, en raison de ta blessure -de dimanche der-
nir, la place qui lui était réservée en demi, «t
probablement aussi lo commandemont de l'équipe.
Telles sont les doux équipes qui ont été lurmées
par la commission Centrale de Rugby de l'Union,
après avis des Comités régionaux.
Contiennenl-eUes vraiment les trente meilleurs
joueurs de rugby actuellement en France ? Il ne
parait pas y avoir de discussion en ce qui concerne
la région du No>d, quoique cependant aucun éqiu-
pie.r du Havre n'y figure, yuantl au Sud, les lignes
arrières paraissent laiblcs, mats cela ne provient
pas d'un choix malneureux, cela tient Sx ce que le
Sud n'a pas dans ses divers clubs îles joueurs rom-
jwtrabb*; a eux ou llaouu: ou du Si.aue. Xoutclols,
nous regrettons vivement que l'on ait omis deux
joueurs que nous considérons, quant à nous, comme
les deux meilleurs centres de notre région : I al,ré-
gal, ùa stade Toulousain, et LeuMehe, du Stattt
Bordelais Université Clu*>, d'autant qu'en les pre-
nant tons deux la commission eût donné it la li-
gné des trois-quarts une homogénéité qui actuelle-
ment parait lui faire défaut. F.Uireftat et Leuvietle
ayant joué trois ans a cûté l'un de l'autre, a Mont-
pellier, et de plus, actuellement, l'un joue à côté
de Ilruneau et l'autre est voisin de Bouey.
Fouettons le Club MhtétiQUB uérigourilin et la
vaillante Société de Bergerac de voir leurs efîorts
récompensés pour la vulgarisa lion du rugby par le
choix qui a été fait dans les rangs de ces clubs.
Afin d'éviter l'encombrement aux guichets le di-
manche c, courant, la. commission centrale de rugby
i décidé quo les caries d'entrée générale serai, ni
distribuées, sans augmentation de prix, à dealer île
ce jour, au siège social du Slade Toulousain. 15,
place Lafayette, Toulouse.
des caries seront délivrées le matin, de 11 heures
a midi, et l'a prés midi. île :, hem», s a 7 heures.
11 en sera également délivré dimanche matin G
contant, de 8 heures
Prochaines Elections
Paris, 3 décembre.
Les électeurs du canton de Mas-Cabardèfi
(Aude) sont convoqués pour le Xu duteinbre
à l'effet d'élire leur représentant au conseu
d'arrondissement
3L-»©3 Congrès
Les inscrits maritimes
Paris, o décembre.
Le congrès -des ineorits maritimes a décade
d'organiser une ex>iifédiéiraiion. qui prendra
pour titre : « Confédération nationale des Syn-
dicats maritimes •.
Le congrès étaint terminé, la plupart des dé-
légués ont cruitté Paris.
LES mmm m L\ BURINE
Paris, 3 décembre.
Le ministre ne la marine a fait appeler ;i
Paiis l'amiral Germinet en vue de lui deman-
der des explications sur les con versât ions qui
lui sont attribuée-s par certains journaux.
L'INSTRUCTION
Dépositions ianiaisi aies
M.. André a enu-iui,, a 'V..' iiiï de' m'ur/i*»
«Lier une d.ine qu e.., vc ,iZS
une conversation ayaul tcaii ,, ,, U e le
' a deux homme.., bah u,,' «. " 1 '-'lté déposition ,-, un e *m
"" ; 11 reçoit d'ailleurs chaque jour d»
nombreuses jetfw» .de peraoane, qui 'pré, ,,
deut avon- u,-, ren eignements sui l'af/otre
M. André a envoyé on l'arquo .1 de Versallin*
une commission rogatoire p..„„- rru'unè eu
queto complète soit faite sur Ja vil , \e,i-
1 " '< " ! '•'" 'a vie qu'v a nioio-,. Mme Slei-
I pendant les trois uns qu'elle v a tiahild
sous le nom de Mme Prévost.
Serait-ce pour toucher une prime
Parmi les nombreux bruits qui nr. HitM
chaque jour dans les couloirs du Palais et
dont bien peu soin à retenir, il en est un qui
courait hier avec aénsiateînoe, niais dont jus-
qu'à présent il a été impossible d'eotenir cm-
11, nia lion,
G.U l'.itoutail que Mme J.npv, mère de Mme
Steinheil, avait suuserii au hi-néflce eie sa
pehle fUle une îniporlanle police d'USSUrattO*
suc In vie ; le» partisans ,u . , m '" ,r * «Onil». qui désirent prn-
t o ri, sporl de ta , ,,„ h, mm „„„ ,„.,,.",,
Tonl^r " ''"'' ' 1:1 "" >m " " , " ,ro W»tS£
MM. les .sociétaires sont priés d'assister à la ré,,
n, on, qui mira lloi ,, l'issue de n, par, ie.
U "
ARRÊT INSTANTANÉ des VOitUreS 4L «ute
mobiles ; Sécurité des voyageurs , protection
des pneunu(K.iqire,s ; brève, à exploite,- • .'î
dresser à M. Louis (irnr, l'.l, rue de l'Industrie
Toulouse.
^*fâ.i*ts dU» «J 5 oui»
SOOIBTf mis pf:e IIKI'US A LA I.IONU ni- r\
H.MUT: t; VIIU.NM: Ce soir, a huit heures «t de.
nue. reni.e.i, nie,, o- e, il", mi l,dires du Cmii,. |
0 odinui. -il ,;,,„>. ai, • c.-' de la Soe.élé. VI, ru» Si
11 eie- U. I, . do jo .ic . Uuo»U0Ot UlVOVSO».
lier dévoué a notre bien et à la prospérité
de 'a commune
» Nous aurions voulut voir affluer les visi-
teurs que nous AOtthAiums un de ces derniers
dimanches. Ils auraient vu une chose unique
peut être, Unis les électeurs —plusde 100 assis
fr:ii,'riielie:ne:it à la table de M. Moras. Dans
les conversations particulières, dans les toasts
il n'était question que de louer les mérites
de notre maire.
» On fêtait on mémo temps qu'une flatteuse
distinction l'anniversaire de sa première élec-
tion : on anticipait un peu .les noces d'argent,
rar on veui a'.lor.-- se réserver pour niicux ©6-
leihia c les mu e,- d'or.
» Au..si ne taut-il pas s'étonner -que noire pu
puiatiûn tout l'uliere, uuio dan:- OOS seuli-
IIIIMI - tl'aiiei :l.ueu;-o recoitn a i :. a o, e. oit \ ou lu
prend, c part ti lu fête
„ Nous nous .souvenions qu'il y a huit tins
M le maire avait déjà reçu l'hommage pu
1,1 „• de noire atlaelietnenl ; l'ou aitue à COneet
vrr , t o l,,,i oror le beau drapeau qu'il voulut
offrir à ses concitovens et ce sont toujours
le. mêmes amis, toujours le.-, mêmes senti-
ment*, car ces quelques année., n'uni l'ail que
(ortitler notre arfectlou.
„ Les orateurs qui, lç dimanche H novem
lu- -, Interprétèrent les pensées communes, M
iraajotnt Pouroèt, M, rtntUfeuteur i.ajous, M
le commandeur C.nzetrouve et d'autres omis
personnels de M. Moras évoquereul avoc rai
so i le sotu'enir de Ja première fêle. Comme
jadis les arc.:. Je t'louiphe pOUtTOOl se dé
cru tre, les heur: : e r.iner, le-, ricinonstratlons
extérieures, feux el'art il lot- ou danses joyeuses
s'oublier, mais iamuis, et M. le maire le sui
bien, on ne perdra le souvenir,
ment .mi t. If u iras eoinmuua le Rfl BOllIelMld,
pour e iHMp.o famille e*t ses délicates alten
; , III, Ul -e,. |lllllhltUr.-UX
t Ail banguot cl choisis comme lé
moins.
L'fiFFAIRE STEINHEIL
L'X mystérieux
Paris, 3 décembre.
La Libre Parole dit à propos ele l'hypiiUièse |
n nivelle du (Ironie - mtWHé» I ami q,n nU-
Kiil refusé ele i'.h:iiiti»r — lamée hier matin
par le» Soleil :
« Quel serait ce ,,ouv«l X mystérieux " (m
proi. on, e deja pliu»ieurs nomii, au moiiiheloux,
celui d'un mngiMml par, sien as.-.iv. connu ei
fort rielw, ri.lt On. |>lns '«> nom d'un [IIIIHOII-
nage occupai, I un rang plus élevé enrore dau»
l'aristocratie républicaine .
i . Cherchez cl vous trouverez peut être. •
Paiement après guérison clos HERNIES, des
douleurs de la MATRICE, ele l'ESTOMAC ou
des INTESTINS par la méthode ORTHO-THÉ.
RAPEUTIQUE qui assure le rétablissement de
toutes leurs fonctions à ces organes sans mé-
dicaments ni opérations.
Cette méthode, dont vingt-cinq ans de suc-
cès ont démontré l'excellence, ainsi que plu-
sieurs rapports à l'Académie de médecine
sera expliquée et appliquée par M. J.
'Récanne, chirurgien spécialiste de l'Institut
ortho-électrothérapiquo de Toulouse, tî^rua
Croix-Baragnon, qui, tous les jours, y recevra
les personnes atteintes, excepté aux dates sui-
vantes, où il sera divrrnihrw.
rarlne». -- Courant, v» m. iirochitin, w »>; J.in
vior février. Si II. prennes, le. i rte tnnti
30 no, leu.t it, v s.oiie.me. . Irenia Iion , !> Uni ren
soitun il,un, W
n e. (ourant, T:,; proe.lnln, ?3; Janrfrr té
vnor. « ât>, t pr«mier,. ?:i r.> . lenOnnc* calme.
Anstae». — Courant . IN lo, ie,. a>ui i, m )ttB
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