MetAir - LPAS - EPFL
MetAir - LPAS - EPFL
MetAir - LPAS - EPFL
Create successful ePaper yourself
Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.
Campagne 1999<br />
42<br />
Projet Modélisation<br />
UTC, le signal de l'ozone montre un bruit excessif. D'autre part, les variations avant 10:00 UTC<br />
sont plausibles, puisque l'ozone est parfaitement bien anti-corrélé avec le NO2 (voir schéma 4).<br />
Un renvoi au graphe de la position montre que ce bruit s'est produit pendant un vol près de Vif.<br />
Cet exemple souligne l'importance du filtrage qui doit être fait soigneusement..<br />
4) Zoom sur le temps de la deuxième séquence marquée sur le schéma 3.<br />
5) Séries chronologiques de l'altitude, de l'O 3 , du NO 2 et de la température (moyennés sur 1 mn)<br />
l'après-midi du 26 juillet.<br />
6) Matin du 27 juillet.<br />
7) Après-midi du 27 juillet.<br />
8) Matin du 3 août.<br />
9) Après-midi du 3 août.<br />
10) Profils verticaux des concentrations d'ozone (moyennés sur 1 mn), courbe représentée par des<br />
mesures du vol total (pas simplement le profil vertical près de Crolles). Ils montrent les<br />
homogénéités ou inhomogénéités à différentes altitudes. Le 3 août au matin, la couche réservoir<br />
a atteint à 3000 m des concentrations d'O 3 de 70 ppb. Au cours de l'après-midi, un brutal<br />
changement des masses d'air s'est produit. Ce changement est aussi visible dans les profils du<br />
rapport de vapeur d'eau, et dans nos notes de terrain.<br />
11) Profils verticaux des concentrations en NO 2 . Les concentrations les plus élevées sont près de la<br />
surface (proximité des sources). Le transport sur de longue distance est négligeable et on voit<br />
qu'il ne se stocke pas dans des couches réservoirs. Entre le matin et l'après-midi, la variation de<br />
la hauteur de mélange est bien visible.<br />
12) Profils verticaux des aérosols (particules de taille supérieure à 0,3 µm). En les comparant avec<br />
les schémas 11 et 13, il semble bien se corréler à la mesure de l'humidité. Depuis septembre<br />
1999, les particules de taille supérieure à 10 nm sont également mesurées.<br />
13) Profils verticaux du rapport de mélange de la vapeur d'eau (humidité). Le 26 juillet et le 3 août,<br />
l'air au-dessus de la couche mélangée était très sec. Le 3 août, l'assèchement de la masse d'air<br />
au-dessus de 2000 m est bien visible.<br />
14) Les profils de vitesse de vent montrent que le premier jour de l'observation était le plus faible.<br />
Cependant, pendant l'après-midi, la vitesse de vent a augmenté sous l'influence des vents<br />
thermiques ascendants. Le 27 juillet, un vent fort du sud sud-ouest a soufflé en altitude (voir<br />
schéma 15).<br />
15) Profils des directions de vent. Les basses vitesses de vent du 26 juillet se reflètent par la grande<br />
variabilité des directions de vent dans les trois vallées.<br />
16) Exemple d'une carte de champ de vent (moyennée sur 1 mn - les données sont disponibles avec<br />
une fréquence de 3 hertz).<br />
17) Résultat de mesure de COV (in-situ-GC) : deux substances (toluène et benzène), sur environ 30<br />
substances mesurées, sont traitées pour le 27 juillet. En accord avec le rapport de concentrations<br />
NO x /O 3 près de Vif pour les 26 et 27 juillet (les schémas 3, 4 et 6), les substances benzène et<br />
toluène ont atteint leur maximum à cet endroit. Le rapport élevé tol/bz autour de 3 (voir la courbe<br />
noire) montre qu'à cet endroit la pollution en COV est intense tout au long de la journée. Dans les<br />
autres endroits, la dilution au cours de l'après-midi ramène ce rapport autour de 1,5.