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Histoires familiales et relations intergénérationnelles : l ... - Ined

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Décembre 2010Arnaud Régnier-Loilier - Proj<strong>et</strong> phare P03-1-5<strong>Histoires</strong> <strong>familiales</strong> <strong>et</strong> <strong>relations</strong> <strong>intergénérationnelles</strong> :l’Enquête « Générations <strong>et</strong> genre1 »Composition de l’équipe de rechercheResponsable :Arnaud REGNIER-LOILIERAutres participants INED :Ariane PAILHE, co-responsable de la 3 e vague de l’enquêteOlivier THEVENON,Service des enquêtes,Groupe d’exploitation (voir liste en annexe 4)Participants hors INED :Pascal Sebille (Université de Nanterre)Insee (différents services)Chercheurs étrangers de divers instituts (voir annexe 1)Groupe d’exploitation (voir liste en annexe 4)1 Renommée depuis, pour le cas de la France, enquête « Étude des <strong>relations</strong> <strong>familiales</strong> <strong>et</strong> <strong>intergénérationnelles</strong> »(ÉRFI).INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


Note introductiveLe proj<strong>et</strong> P03.1.5 occupe une place quelque peu singulière parmi les autres proj<strong>et</strong>s-phares de l’<strong>Ined</strong> dans lamesure il consiste en la mise en place de l’enquête Étude des <strong>relations</strong> <strong>familiales</strong> <strong>et</strong> <strong>intergénérationnelles</strong>(Érfi), déclinaison française de l’enquête internationale Generations and Gender Survey (GGS) <strong>et</strong> en lapromotion de l’exploitation des données (coordination de l’exploitation des données par la mise en place d’ungroupe d’exploitation <strong>et</strong> publication des premiers résultats). L’enquête est cependant multithématique <strong>et</strong> laplupart des chercheurs inscrivent dans d’autres proj<strong>et</strong>s-phares les recherches qu’ils développent à partir deces données.Afin d’éviter la redondance de l’exposé des thématiques de recherche avec ces autres proj<strong>et</strong>s-phares, nesont présentés ici que les aspects ayant trait à la mise en œuvre pratique de l’enquête <strong>et</strong> à la coordinationdes premières recherches engagées à partir de l’enquête. On trouvera cependant en fin de proj<strong>et</strong> une listedécrivant un ensemble de publications <strong>et</strong> communications réalisées à partir de l’enquête Érfi, ceci afin d’enmontrer l’intérêt sur le plan scientifique, références qui pourront également figurer dans d’autres proj<strong>et</strong>sphares.Présentation du proj<strong>et</strong>I. PRESENTATION GENERALE DU PROJET INTERNATIONALLe proj<strong>et</strong> « Générations <strong>et</strong> genre » (« Generations and Gender Project » ou « GGP ») a été lancé en 2000par la Population Activities Unit (PAU) des Nations Unies de Genève. L’INED, au même titre que les plusimportantes institutions européennes de recherche démographique (voir en annexe 1 la liste des partenairesdu proj<strong>et</strong>), a été sollicité par la PAU pour participer à la conception de ce proj<strong>et</strong> qui comprend deux vol<strong>et</strong>s.a) Organisation d’une nouvelle vague d’enquêtes internationales (« Generations and Gender Surveys »ou enquêtes « GGS ») centrées sur la dynamique de la construction de la famille (fécondité, histoire desunions, recomposition familiale, transferts <strong>et</strong> solidarités <strong>familiales</strong>, valeurs <strong>et</strong> attitudes, <strong>et</strong>c.).Différents chercheurs de l’<strong>Ined</strong>, Aline Désesquelles, Ariane Pailhé, Wilfried Rault, Arnaud Régnier-Loilier,Anne Solaz, ont pris part au groupe d’élaboration des questionnaires de référence des trois vagues del’enquête 2 , lesquels ont été approuvés par les représentants des offices statistiques européens. Ces2 Ils ont participé à chacune des réunions du Questionnaire Developping Group (« QDG ») qui se tenaient plusieursfois par an dans différents instituts de recherche d’Europe <strong>et</strong> d’ailleurs.INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


questionnaires servent désormais de base à chaque pays souhaitant m<strong>et</strong>tre en place c<strong>et</strong>te enquête(consultable en langue anglaise à l’adresse Intern<strong>et</strong> :http://www.unece.org/ead/pau/ggp/questionnaire/core_quest_upd_17_05_04.pdf).À l’instar des enquêtes FFS (Fertility and Family Survey, réalisés dans les années 1990 par 25 pays), lesenquêtes GGS réunissent dans une même opération les trois composantes indispensables à lacompréhension de la dynamique de la formation de la famille, à savoir :- la dimension internationale ;- le recueil d’informations détaillées sur l’histoire génésique <strong>et</strong> matrimoniale ;- le recueil d’informations détaillées sur de nombreuses autres caractéristiques individuellessusceptibles d’influer sur ces comportements (enfance, habitat, niveau d’éducation, situationprofessionnelle, revenus, valeurs, <strong>et</strong>c.).GGS diffère cependant des enquêtes FFS, à plusieurs égards. Tout d’abord, la dimension économique duquestionnement y est renforcée avec en particulier l’inclusion d’un module consacré aux revenus du ménage<strong>et</strong> d’une rétrospective des séquences d’activité, inactivité, chômage, <strong>et</strong>c. depuis le 16 e anniversaire durépondant. Le proj<strong>et</strong> « Générations <strong>et</strong> genre » s’ouvre en outre à de nouvelles problématiques : les rapports de genre : la prise en compte de c<strong>et</strong>te problématique dans une grande enquête quantitativeinternationale peut être considérée comme une première. Les modifications des rapports de genresurvenues au cours des dernières décennies (autonomie plus grande des femmes, augmentation du tauxd’activité féminin, implication plus grande des hommes dans la sphère familiale, <strong>et</strong>c.) ont sans doutecontribué très fortement aux évolutions démographiques constatées. GGS se propose de prendre la mesurede l’eff<strong>et</strong> de ces évolutions sur les comportements individuels. les <strong>relations</strong> <strong>intergénérationnelles</strong> méritent à plus d’un titre de faire l’obj<strong>et</strong> d’un questionnementapprofondi dans une grande enquête internationale. L’augmentation de l’espérance de vie se traduit par uneaugmentation du nombre de familles à 4 ou 5 générations. Dans le même temps, la baisse de la fécondités’accompagne d’une réduction de la taille du réseau familial horizontal. Dans ce contexte, comment ontévolué les <strong>relations</strong> entre les générations ? Comment l’environnement proche des individus (entre le micro <strong>et</strong>le macro, autrement dit l’environnement au niveau meso) <strong>et</strong> les transferts d’argent ou de services qui sedéroulent en son sein, influencent-ils désormais les comportements de fécondité <strong>et</strong> de mise en union ?Le vieillissement démographique amène par ailleurs à porter un regard nouveau sur les conditions de vie despersonnes âgées (ressources, état de santé, mode de vie) <strong>et</strong> conduit à de nouvelles interrogations. Dansquelle mesure les solidarités <strong>intergénérationnelles</strong> sont-elles mobilisées ? Quelle est la part de l’aide,INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


financière ou humaine, apportée par le secteur public ? Par le secteur privé ? L’enquête GGS répondra, defaçon sans doute très différente d’un pays à l’autre, à ces questions.b) Création d’une base de données contextuelles. Une autre nouveauté du programme d’enquêtes« GGS » réside dans la mise en place d’une base de données contextuelles afin de perm<strong>et</strong>tre la réalisationde comparaisons internationales. Patrick Festy (INED, UR 13) a été membre du groupe de travail en chargede ce proj<strong>et</strong>. Le postulat à l’origine de la constitution de c<strong>et</strong>te base de données est simple : lescomportements individuels ne dépendent pas seulement des caractéristiques des individus mais sont aussiinfluencés par l’environnement dans lequel ils vivent, à tous les niveaux (économique, politique, juridique,culturel, <strong>et</strong>c.). Il s’agit donc d’enrichir les données micro <strong>et</strong> meso issues de l’enquête par des données auniveau macro : marché du travail, marché du logement, politique familiale, législation. Ce dispositif doitperm<strong>et</strong>tre la mise en place d’analyses multi-niveaux.II. METHODOLOGIESur le plan méthodologique, le choix s’est porté sur un panel (3 vagues séparées de trois années) plutôt quesur une enquête transversale, mais intégrant cependant des données rétrospectives (calendrier des unions,de l’activité professionnelle notamment). L’idée est de perm<strong>et</strong>tre une approche dynamique des événementsétudiés, en lien avec différentes variables dépendantes du temps comme les revenus ou les valeurs. On nepeut en eff<strong>et</strong> connaître la situation de l’enquêté qu’au moment de l’entr<strong>et</strong>ien. Or ces variables jouent trèsvraisemblablement un rôle majeur sur les comportements matrimoniaux ou féconds. Dans le cas d’un panel,les informations sur les revenus <strong>et</strong> les valeurs collectées lors de la première vague sont actualisées à chaquepassage <strong>et</strong> les évolutions observées doivent perm<strong>et</strong>tre de mieux comprendre les événements survenus entrele premier passage <strong>et</strong> les suivants. En particulier, on pourra confronter les intentions déclarées dansdifférents domaines (intention d’avoir un enfant, de changer d’emploi, de se marier, de prendre sa r<strong>et</strong>raite,<strong>et</strong>c.) à leur réalisation trois <strong>et</strong> six ans plus tard, en essayant de voir quels événements survenus depuis lapremière vague ont pu favoriser la réalisation de ces intentions ou, au contraire, l’empêcher ou la r<strong>et</strong>arder.Afin de satisfaire à c<strong>et</strong>te ambition longitudinale <strong>et</strong> aux objectifs présentés précédemment (étude des <strong>relations</strong>de genre <strong>et</strong> entre générations), il a été préconisé d’interroger un minimum de 10 000 personnes, femmes <strong>et</strong>hommes âgés de 18 à 79 ans, lors de la première interrogation.INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


III. LA COLLECTE EN FRANCE : AVANCEE DU PROJETa) Réalisation de la première vague de l’enquête en France en 2005 <strong>et</strong> suivi des répondantsLa première vague de l’enquête GGS a d’ores <strong>et</strong> déjà été réalisée dans plusieurs pays, au rang desquelsl’Allemagne, les Pays-Bas, la Pologne, la République tchèque, la Russie, la Bulgarie, la Géorgie, la Lituanie,la Hongrie, l’Italie, le Japon, <strong>et</strong>c. Elle est en cours dans d’autres pays (en Belgique notamment).La France a pour sa part réalisé c<strong>et</strong>te première interrogation à l’automne 2005 (responsable scientifique :Arnaud Régnier-Loilier, INED), enquête renommée en France « Étude des <strong>relations</strong> <strong>familiales</strong> <strong>et</strong><strong>intergénérationnelles</strong> » (Érfi) en raison de l’imprécision du terme « genre ». Reconnue d’intérêt général <strong>et</strong> dequalité statistique, sans caractère d’obligation (label n°2005X724AU), elle a été menée en collaboration avecl’Insee <strong>et</strong> a permis d’interroger 10 079 personnes âgées de 18 à 79 ans, avec une durée moyenne d’entr<strong>et</strong>iend’environ une heure. Les entr<strong>et</strong>iens se déroulaient en face-à-face au domicile des répondants <strong>et</strong> la saisie desréponses se faisait « en direct » par ordinateur (sous « Capi »).Le financement de la première vague de l’enquête a été assuré par la mise en place de partenariats (Cf.Annexe 3) sous forme de conventions <strong>et</strong> par l’ANR (Agence Nationale de la Recherche).Afin de favoriser au mieux la participation des mêmes répondants pour la seconde interrogation, plusieurschoses avaient été mises en place :- rédaction d’une plaqu<strong>et</strong>te de présentation de l’enquête jointe à la l<strong>et</strong>tre-avis annonçant auxpersonnes sélectionnées qu’elles allaient être contactées par un enquêteur de l’Insee. C<strong>et</strong>tebrochure présentait l’enquête, sa thématique, son utilité ainsi que l’INED <strong>et</strong> l’Insee. Elle renvoyaitégalement à l’adresse Intern<strong>et</strong> du site de l’enquête : http://www-erfi.ined.fr 3- mise en place pour le début de la collecte 4 d’un site Intern<strong>et</strong> ERFI en français : ce site était dansun premier temps destiné aux personnes tirées au sort pour répondre. On leur indiquaitnotamment qu’il s’agit d’une enquête nationale, officielle <strong>et</strong> strictement anonyme ;- rédaction d’un argumentaire destiné aux enquêteurs afin de les aider à convaincre les personnessélectionnées d’accepter d’être réinterrogées.3 Site mis en place par Arnaud Régnier-Loilier, avec le concours de Geneviève Bourge (cellule « Web » du serviceInformatique). Ce site est hébergé sur le domaine de l’INED.4 Le site a été mis en ligne avant la collecte mais dans une version volontairement incomplète. Notamment, unensemble de documents (questionnaire par exemple) n’ont été rendus accessibles qu’après la collecte.INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


Le suivi des personnes qui avaient accepté (soit environ 89 % des répondants de 2005) a été assuré par leService des enquêtes de l’INED. Une base comportant les coordonnées des personnes a d’abord étéconstituée (sans qu’aucun lien ne soit possible entre c<strong>et</strong>te base <strong>et</strong> la base de données contenant lesréponses). Plusieurs courriers ont été envoyés (remerciements début 2006, premiers résultats publiés dansPopulation & Sociétés en octobre 2006, résultats de la DREES publiés dans Études <strong>et</strong> résultats en 2007, cartede vœux en janvier 2008, annonce de la seconde vague en juill<strong>et</strong> 2008) afin de limiter au mieux l’attrition del’échantillon en « gardant le contact » avec les répondants. Ces envois répétés à intervalle régulier (environ 2par an) perm<strong>et</strong>tent d’actualiser régulièrement la base d’adresses en effectuant des recherches en cas der<strong>et</strong>our (« NPAI : N’habite plus à l’adresse indiquée »), condition indispensable pour la réussite de l’ambitionlongitudinale du proj<strong>et</strong>.b) Réalisation de la seconde vague (automne 2008)Au niveau international, le questionnaire de la 2 e interrogation a été finalisé (avec la participation dechercheurs de l’<strong>Ined</strong> : Ariane Pailhé, Arnaud Régnier-Loilier, Anne Solaz) <strong>et</strong> approuvé par le ConsortiumBoard au cours de l’année 2006. Il est dans l’ensemble assez semblable au questionnaire de la premièrevague (on r<strong>et</strong>rouve notamment les questions portant sur les valeurs, les revenus, l’activité par exemple, demême que l’ensemble des questions portant sur les intentions à l’horizon de 3 ans – une troisième <strong>et</strong>dernière vague étant programmée 3 ans plus tard) mais inclut en plus un calendrier professionnel rétrospectifcompl<strong>et</strong> du répondant depuis son 16 e anniversaire (celui-ci devrait perm<strong>et</strong>tre de mieux comprendrel’agencement des événements de la vie, en particulier dans une perspective de choix-contrainte entre activitéprofessionnelle <strong>et</strong> choix familiaux).En France, le questionnaire de la seconde vague a été adapté au cours de l’année 2007 <strong>et</strong> présenté auComité du Label (Cnis). L’enquête a obtenu le label d’intérêt général <strong>et</strong> de qualité statistique sans obligationde réponse, pour l’année 2008. Un test a eu lien en mars-avril 2008 dans deux Directions Régionales del’Insee (Limousin <strong>et</strong> Aquitaine) auprès de 180 personnes. La collecte en « grandeur réelle » a débuté enoctobre <strong>et</strong> s’est achevée début décembre 2008 5 .Au terme des trois années de suivi, l’échantillon constitué avant la seconde vague comptait encore 8 341fiches-adresse (sur les 9 090 personnes ayant accepté le principe du panel). Ainsi, le contact a été perduavec environ 750 personnes entre 2005 <strong>et</strong> 2008 (déménagements sans laisser d’adresse, décès <strong>et</strong> quelquesrefus de poursuivre). Dans 70 % des cas, ces « perdus de vue » n’avaient pas donné de personnes-relais(contre 45 % pour les personnes encore dans le panel) <strong>et</strong> nous ne disposions pas de coordonnéestéléphoniques pour 54 % d’entre eux (contre 8 %, respectivement), limitant ainsi les chances de r<strong>et</strong>rouver les5 Le calendrier détaillé des opérations figure en annexe 2.INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


coordonnées du répondant 6 . Lors de la collecte, seuls 6 576 répondants ont pu être interrogés. Le décalageentre la base d’adresses <strong>et</strong> le nombre d’entr<strong>et</strong>iens réalisés correspond principalement à des refus departiciper à la seconde vague, à des personnes pour lesquelles les adresses dont nous disposions n’étaientplus à jour <strong>et</strong> à des personnes sorties du champ de l’étude (décédées, parties à l’étranger). Enfin, parmi ces6 576 questionnaires, 42 ont été supprimés de la base de données dans la mesure où les recoupementsentre les deux vagues laissaient supposer que le répondant de 2008 n’était pas le même que celui de 2005(conjoint ? autre personne du ménage ?). Le taux d’attrition total s’élève donc, entre les deux premièresvagues de l’enquête Érfi à 35 %, avec une variance assez forte selon les caractéristiques des personnes(attrition plus forte chez les jeunes, les plus âgés, les personnes seules, vivant à Paris, <strong>et</strong>c. : cf. Régnier-Loilier, 2009). Afin de corriger ces biais, une variable de pondération a été construite (Service des enquêtesde l’<strong>Ined</strong> : Nicolas Razafindratsima <strong>et</strong> Ruxandra Popa).La seconde vague de l’enquête (coûts externes uniquement 7 ) a été financée par l’<strong>Ined</strong>, la Caisse nationaled’allocations <strong>familiales</strong> (Cnaf) <strong>et</strong> la Direction de la recherche, des études <strong>et</strong> de l’évaluation statistique(Drees). L’Insee <strong>et</strong> l’<strong>Ined</strong> ont pris à leur charge les coûts internes 8 .Le taux d’acceptation des répondants pour prendre part à la troisième <strong>et</strong> dernière vague est très élevé(97 %), laissant augurer une attrition plus faible entre la seconde <strong>et</strong> la troisième vagues qu’entre les deuxpremières. Le suivi des personnes continue d’être assuré par le Service des enquêtes de l’<strong>Ined</strong> (RuxandraPopa, Lamia Zamouri). De premiers résultats ont été envoyés fin 2009 (Population & Sociétés, n°461) <strong>et</strong> uneplaqu<strong>et</strong>te de présentation de l’ouvrage Portraits de familles a été adressée à chaque répondant en juin 2010afin de « garder le contact » <strong>et</strong> m<strong>et</strong>tre régulièrement à jour les adresses.c) Une dernière vague programmée à l’automne 2011L’<strong>Ined</strong> se prépare à interroger une dernière fois les personnes ayant répondu aux deux précédentes vaguesd’enquête, à la fin de l’année 2011. Le questionnaire est, en termes de contenu, dans la lignée de ceux desdeux précédentes éditions. On notera cependant l’inclusion de quelques nouvelles questions portant sur les<strong>relations</strong> avec les beaux-enfants <strong>et</strong> avec les p<strong>et</strong>its <strong>et</strong> arrière-p<strong>et</strong>its-enfants.Un test est programmé au printemps (21 mars – 16 avril 2011) dans deux Directions Régionales de l’Insee <strong>et</strong>l’enquête en grandeur réelle se déroulera du 12 septembre au 26 novembre 2011 sur l’ensemble du territoiremétropolitain.6 Il est à noter que les « personnes-relais » n’étaient pas « suivies » <strong>et</strong> leur adresse n’était donc pas actualisée durantl’entre-deux vagues.7 C’est-à-dire les coûts de collecte (paye des enquêteurs <strong>et</strong> de leurs déplacements).8 Coût de personnel <strong>et</strong> de fonctionnement pour la mise en place de l’enquête, le suivi des personnes, la programmationinformatique du questionnaire, la documentation des fichiers, <strong>et</strong>c.INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


Le calendrier détaillé des opérations figure en Annexe 2.d) Des perspectives d’entr<strong>et</strong>iens qualitatifs (2012-2013)La troisième vague de l’enquête Érfi sera aussi la dernière. Toutefois, l’<strong>Ined</strong> envisage de m<strong>et</strong>tre en place,sous réserve de l’accord du comité du label du CNIS, une campagne d’entr<strong>et</strong>iens qualitatifs dans les 18 moisqui suivront la fin de la collecte.Il est donc prévu d’indiquer au répondant que « c<strong>et</strong>te enquête est désormais terminée » mais de luidemander s’il accepterait dans les 18 prochains mois « de recevoir la visite d’un chercheur afin de discuterplus librement d’une des thématiques abordées durant le questionnaire ». Si la personne accepte, une fichede suivi serait alors remplie (comme à la fin des vagues précédentes). L’<strong>Ined</strong> répartirait ensuite, entre lesdifférentes équipes de recherche souhaitant procéder à des entr<strong>et</strong>iens qualitatifs, un certain nombre defiches-adresse répondant à des critères de sélection précisés en amont (par exemple, personne en famillemonoparental, résidant dans telle ou/<strong>et</strong> telle région ; personne ayant déclaré en 2005 avoir l’intention d’avoirun enfant mais ne l’ayant pas eu, <strong>et</strong>c.). Le nombre de proj<strong>et</strong>s restera cependant limité.Les chercheurs auront la possibilité de relier les entr<strong>et</strong>iens réalisés aux réponses enregistrées aux troisvagues, dans des règles <strong>et</strong> engagement de confidentialité qui restent à définir précisément (dans tous lescas, une convention précisant les obligations des chercheurs sera préalablement établie avec l’<strong>Ined</strong>).Ce type de « post-enquête » qualitative est de plus en plus souvent associé aux enquêtes quantitatives,notamment celles du système de statistique publique 9 <strong>et</strong> perm<strong>et</strong>tent d’apporter de nouveaux élémentsd’interprétation des données quantitatives.IV. DE LA COLLECTE AUX RESULTATS :DIFFUSION DES DONNEES ET COORDINATION DES EXPLOITATIONSa) Constitution d’un groupe d’exploitationDès la base de données de la première vague constituée, l’<strong>Ined</strong> a mis en place un « groupe d’exploitation »animé par Arnaud Régnier-Loilier (responsable des deux premières vagues de l’enquête), afin de perm<strong>et</strong>tre àtous les chercheurs qui le souhaitaient, quel que soit leur organisme d’appartenance, d’accéder aux fichiers.Les objectifs de ce groupe étaient multiples :9 Dernièrement, l’enquête TéO (2010), ou encore l’enquête Familles <strong>et</strong> employeurs (2005).INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


- Encadrer <strong>et</strong> coordonner les premières exploitations de l’Erfi afin d’éviter qu’un même suj<strong>et</strong> soit étudiéà l’identique par plusieurs chercheurs ou équipes ;- Faire circuler l’information relative à l’exploitation de l’enquête (à c<strong>et</strong>te fin, un l<strong>et</strong>tre d’actualité Lagaz<strong>et</strong>te de l’Erfi, était régulièrement diffusée <strong>et</strong> un site Intern<strong>et</strong> est régulièrement mis à jour : wwwerfi.ined.fr);- Être un « lieu » de discussion <strong>et</strong> d’échanges sur les problèmes techniques <strong>et</strong> méthodologiquesrencontrés par les chercheurs à partir de ces données ;- Valoriser <strong>et</strong> diffuser les résultats de l’enquête, à la fois en proposant à chaque séance desprésentations de résultats <strong>et</strong> en publiant l’ensemble des contributions de chacun dans un ouvragecollectif.En outre, l’<strong>Ined</strong> a coordonné un proj<strong>et</strong> d’études comparées dès 2005 confrontant les situationsdémographiques <strong>et</strong> <strong>familiales</strong> de la France, de la Russie, de la Géorgie <strong>et</strong> de la Lituanie, seuls paysdont les données étaient alors disponibles (proj<strong>et</strong> Anr « Ecodef/Ci » 10 2005-2008 coordonnée parl’<strong>Ined</strong>).Le groupe d’exploitation s’est de nouveau réuni en avril 2010 à l’<strong>Ined</strong> à l’occasion de la mise àdisposition des données de la seconde vague. Il n’est cependant pas prévu de rencontres régulièresdans les mois à venir dans la mesure où les données de la seconde vague restent « intermédiaires »<strong>et</strong> que bon nombre de chercheurs attendent la troisième vague pour se lancer dans des études enlongitudinal (les deux premières vagues n’étant espacées que de trois années, l’apport du longitudinalsera principalement patent avec les données de la troisième vague).b) Une foisonnante exploitation des données des deux premières vagues de l’enquête françaiseDans le cadre du groupe d’exploitation, les données de la première vague de l’enquête Erfiont pu être exploitées dès le début de l’année 2006 <strong>et</strong> ont donné lieu à de multiples présentations dansdes congrès nationaux <strong>et</strong> internationaux.En outre, de nombreux articles scientifiques ont été publiés dans des revues au rang desquellesDemographic Research, Économie <strong>et</strong> Statistique, Population, Rivista di studi famigliari, Politiquessociales <strong>et</strong> <strong>familiales</strong>, Gérontologie <strong>et</strong> société, Revue des sciences sociales, Courrier des statistiques,<strong>et</strong>c., <strong>et</strong> plusieurs articles de vulgarisation scientifique ont été largement repris dans la presse(Population & Sociétés, Insee Première, Études <strong>et</strong> résultats, Regard sur la parité homme-femme, <strong>et</strong>c.).10 « Éclairer les comportements démographiques en France par la comparaison internationale ».INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


Enfin, un ouvrage collectif Portraits de familles coordonné par l’<strong>Ined</strong> a été publié fin 2009. Il présente lestravaux réalisés dans le cadre du groupe d’exploitation mis en place en 2006 <strong>et</strong> coordonnée par l’<strong>Ined</strong> (20chapitres pour 550 pages environ). En outre, un numéro spécial de la Revue d’études comparatives Est-Ouest (n° double 3 <strong>et</strong> 4, décembre 2009) présente une diz aine d’articles scientifiques confrontant lessituations <strong>familiales</strong> en France, Russie, Lituanie <strong>et</strong> Géorgie.Les données de la seconde vague (2008) offrent de nouvelles possibilités d’exploitations (notamment enperm<strong>et</strong>tant de confronter intentions <strong>et</strong> réalisations ou encore en perm<strong>et</strong>tant des analyses rétrospectives plusfouillées grâce au calendrier rétrospectif des périodes d’activité, chômage, formation présent dans lequestionnaire de la seconde vague). À ce jour, peu d’études ont été réalisées compte tenu de la mise àdisposition relativement récente des données (premier semestre 2010). On recense cependant 2 articlesportant sur l’influence de l’arrivée d’un enfant sur la répartition des tâches domestiques <strong>et</strong> un articleméthodologique étudiant l’attrition sélective observée entre les deux vagues. Plusieurs travaux confrontantintentions de fécondité <strong>et</strong> réalisation (comparaison entre la France <strong>et</strong> l’Italie) ont été présentés dans descolloques internationaux (Congrès de l’IUSSP, Marrakech, 2009 ; PAA, Dallas, 2010). D’autres études sontd’ores <strong>et</strong> déjà engagées (évolution de l’implication des pères dans les charges parentales – étude présentéeau colloque international de l’Aidelf à Genève en juill<strong>et</strong> 2010 – , comparaison des opinions quant à la prise encharge des personnes âgées en France <strong>et</strong> en Russie, externalisation du travail domestique, connaissance dusystème de r<strong>et</strong>raite, évolution des opinions relatives à la famille selon les configurations <strong>familiales</strong>, <strong>et</strong>c.)Une liste non exhaustive 11 des publications <strong>et</strong> communications réalisées à partir de l’enquête Érfi(vagues 1 <strong>et</strong> 2) est présentée en pages 13 <strong>et</strong> suivantes.c) Transmission des données françaises aux Nations Unies (UNECE, PAU)Le programme GGS implique un certain nombre d’engagements de la part des pays participants.En premier lieu, chaque pays doit transm<strong>et</strong>tre (selon ses possibilités) dans les 3 années qui suivent laréalisation de l’enquête la base de données individuelles dans un format spécifique, pré-harmonisé. Dans lamesure où l’enquête a subi en France (comme ailleurs) un certain nombre de modifications (ajout dequestions, suppression, modification de filtres, <strong>et</strong>c.), cela a nécessité un travail important de mise en forme(chaque variable a été renommée en vue de l’harmonisation des bases européennes) <strong>et</strong> de documentation(chaque écart au questionnaire international de référence a été consigné). Le service des enquêtes de l’<strong>Ined</strong>a réalisé ce formatage, avec le concours d’Olivier Thévenon, Arnaud Régnier-Loilier <strong>et</strong> Ariane Pailhé, <strong>et</strong> en11 Les données étant désormais distribuées au niveau international, il n’est plus possible d’avoir un r<strong>et</strong>our systématiquesur les publications <strong>et</strong> communications utilisant les données françaises. Seules sont donc présentées ici lespublications « encadrées » dans le cadre du groupe d’exploitation mis en place en 2006 par l’<strong>Ined</strong>.INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


elation étroite avec le Nidi. Une première version de la base de données Erfi harmonisée au formatinternationale a été transmise en 2008 (une seconde version améliorée a été transmise en 2010).En second lieu, chaque pays participant doit réunir un ensemble de données de contexte : informationsqualitatives (politiques <strong>familiales</strong>, protection sociale, législation, système des r<strong>et</strong>raites, modes de garde desenfants, éléments historiques, <strong>et</strong>c.) <strong>et</strong> quantitatives (séries de données macro tel l’évolution du taux d’emploides femmes, du taux de chômage, <strong>et</strong>c. depuis les années 1970). Ce travail a été réalisé par l’<strong>Ined</strong> 12 , dans lecadre du proj<strong>et</strong> ECODEF/CI <strong>et</strong> la base de données a été transmise à l’UNECE en 2008. Il est prévud’actualiser régulièrement c<strong>et</strong>te base, en particulier en complétant les séries statistiques pour les annéesrécentes <strong>et</strong> en actualisant les éléments législatifs <strong>et</strong> politiques.Il est enfin à noter que l’<strong>Ined</strong> tient une place centrale dans le proj<strong>et</strong> international GGS en termes de diffusiondes données internationales. À c<strong>et</strong>te fin, le service des enquêtes (avec notamment Leïla Saboni <strong>et</strong> RaphaëlLaurent) a mis en place un dispositif sécurisé (serveur <strong>et</strong> accès Intern<strong>et</strong>). Chaque base de données esttransposée dans un format standard (Nestar) <strong>et</strong> peut être téléchargée selon un protocole de diffusion biendéfini (les demandes sont examinées par la PAU puis l’<strong>Ined</strong> se charge de donner accès aux fichiers <strong>et</strong>documentations).Sur le plan international, le proj<strong>et</strong> GGS a connu un engouement certain puisqu’au 1 er septembre 2009, 17pays avaient réalisé la première vague de l’enquête <strong>et</strong> 9 la seconde vague (cf. Annexe 5), d’autres s’ypréparant. Parmi eux, 9 pays – dont la France – ont déjà mis à disposition leur base de données de lapremière vague dans un format harmonisé, perm<strong>et</strong>tant des comparaisons internationales.Désormais, de nombreux proj<strong>et</strong>s de recherches comparatives sont en cours ou en préparation <strong>et</strong> unecentaine de demandes a été adressée aux Nations Unies pour l’obtention des données GGS.12 Ce travail a été réalisé par Mohamed Ouardani puis repris par Sébastien Delarre, en Post-Doc à Strasbourg dans lecadre d’un proj<strong>et</strong> ANR désormais achevé (2006-2008), <strong>et</strong> relu par Arnaud Régnier-Loilier, Joëlle Gaymu (<strong>Ined</strong>),Christiane Delbès (Fondation nationale de gérontologie), Aline Désesquelles (<strong>Ined</strong>), Ariane Pailhé (<strong>Ined</strong>).INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


Bibliographie indicative à partir des données Érfi-GGSLa liste ci-après recense un ensemble de publications <strong>et</strong> communications réalisées à ce jour à partir del’enquête « Etude des <strong>relations</strong> <strong>familiales</strong> <strong>et</strong> <strong>intergénérationnelles</strong> » (vague 1 <strong>et</strong> vague 2). C<strong>et</strong>te liste n’estcependant pas exhaustive : elle ne correspond qu’aux travaux réalisés dans le cadre du groupe d’exploitationde la version française de l’enquête.Désormais, les données de la première vague sont disponibles au niveau international. Une centaine dechercheurs auraient à ce jour obtenus les données des neuf pays ayant rendu leur fichier disponible (maisaucune liste de publications ou communications n’existe au niveau international).A noter enfin que les travaux réalisés à partir de la seconde vague de l’enquête française sont à ce jour peunombreux : les données n’ont été disponibles pour diffusion qu’à partir d’avril 2010.Publications <strong>et</strong> communication à partir des données de la vague 1Ouvrage, numéro spécial de revue, thèseREGNIER-LOILIER A. (dir.), 2009, Portraits de familles. L’Étude des <strong>relations</strong> <strong>familiales</strong> <strong>et</strong> <strong>intergénérationnelles</strong>,Collection « Grandes Enquêtes », 543 pages.BLUM A., LEFEVRE C., SEBILLE P. (dir.), 2009, « La famille d’Est en ouest : un demi-siècle de transformationsen Europe », Revue d’études comparatives Est-Ouest, 40(3-4), 354 pages.BEAUJOUAN É., 2009, Réorganisation familiale <strong>et</strong> reconstruction conjugale après la rupture de la premièreunion, sous la direction de Marlène Lamy (Tutrice : France Prioux, <strong>Ined</strong>) : soutenue le 17 octobre 2009.Articles <strong>et</strong> chapitres d’ouvrageBADURASHVILI I, CHEISHVILI R, KAPANADZE E, TSIKLAURI S. and SIRBILADZE M., 2008, “Gender Relations inModern Georgian Soci<strong>et</strong>y”, UNFPA- GCPR, Tbilisi, 86 p. In English and GeorgianBAUER D., 2009, « Concilier vie familiale <strong>et</strong> vie professionnelle : Question de santé ou de bien-être pour lesfemmes ? », in DANET S. <strong>et</strong> MOISY M., La santé des femmes, éditions de la Documentation Française.BAUER D., 2009, « L’organisation des tâches domestiques <strong>et</strong> parentales dans le couple », Chapitre 8, inREGNIER-LOILIER A. (dir.), 2009, Portraits de familles. L’Étude des <strong>relations</strong> <strong>familiales</strong> <strong>et</strong><strong>intergénérationnelles</strong>, Collection « Grandes Enquêtes » : 219-240.INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


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RÉGNIER-LOILIER A., VIGNOLI D., 2009, « Figli unico o famiglia numerosa : chi si allonta dalla norma dei duefigli? Un confronto tra i desideri di fecondità in Francia e Italia », Sessione “Intenzioni di fecondità trasperanza e realtà”, Giornate di Studio sulla Popolazione, Milano, 3 février.SABONI L., PLATINOVSEK R., GGP on-line database (presentation and demonstration), Workshop on GGPdata use, Conference EAPS, EPC 2010, Vienna, 1 September 2010.SINYAVSKAYA O., 2008 (14-16 mai), « Relative employment positions of partners and gender <strong>relations</strong> in theframework of women-friendly policies in France and Russia », Conférence de la Population Activities Unitde l’UNECE: “How generations and gender shap demographic change, Nations-Unies, Genève.SOLAZ A., 2007, « Histoire conjugale <strong>et</strong> division du travail domestique », séminaire Temps de vie, Palermo,28-29 septembre.SOLAZ A., 2008, « Once but not twice, marital histories and work division within partners », ESPE, Londres19-21 juin.SOLAZ A., 2008, « Once but not twice, marital histories and work division within partners », IATUR, Sydney 1-3 décembre 2008.STANKUNIENE Vlada, ZAKHAROV Sergei, RÉGNIER-LOILIER Arnaud, BAUBLYTE Mare, MASLAUSKAITE Austra(2009), « Transition to the new Partnership Formation Pattern in Lithuania, Russia and France: DifferentPaths to Convergence? », session 506 « Formation des unions <strong>et</strong> mariage », XXVIe congrèsinternational d’étude de la population de l’UIESP, Septembre 2009TOULEMON L., PENNEC S., 2010, Partly co-resident couples and Living apart tog<strong>et</strong>her (LAT) couples in France.Communication présentée à la European Population Conference, 2010, Vienne, Austriche, 1-4septembre. Séance 98: Living arrangements and coresidence.TROITSKAIA I., AVDEEV A., BADURASHVILI I., KOSTOVA D., 2009p, « Contraception at age 35+: Evidence fromthe Generations and Gender Survey », XXVIe congrès international d’étude de la population de l’UIESP,Septembre 2009.ZAKHAROV S., 2008 (14-16 mai), « Transition to the second child in partnerships of different type in Russia »,Conférence de la Population Activities Unit de l’UNECE: “How generations and gender shapdemographic change, Nations-Unies, Genève.Communications lors de colloques <strong>et</strong> séminaires internesa. Séminaires de travail du proj<strong>et</strong> ECODEF/CI (présentation de résultats d’Érfi uniquement)Note : beaucoup des présentations sont redondantes d’un séminaire à l’autre : il s’agissait deséminaires de travail destinés à m<strong>et</strong>tre en place puis affiner des analyses comparées entrepays. Le résultat de ces études comparatives ont été publiés dans un numéro spécial de laRevue d’études comparatives Est-Ouest (cf. ci-dessus)Séminaire 1 (26-27 juin 2006 – CERCEC-EHESS-Paris)LEFEVRE C., 2006, « Décliner nationalement un proj<strong>et</strong> d'enquête internationale, GGS en France, Russie <strong>et</strong>Géorgie »PROKOFIEVA L., LEFEVRE C., 2006, « Opinions sur la place respective du système de protection sociale <strong>et</strong> dela responsabilité de la famille en France <strong>et</strong> en Russie »REGNIER-LOILIER A., 2006, « Synthèse sur les propositions d'exploitation de l'enquête française »INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


SEBILLE P., 2006, « Adaptation <strong>et</strong> aménagements du questionnaire français de l'enquête internationaleGGS »ZAKHAROV S., OUARDANI M., 2006, « Présentation des bases de données contextuelles russe <strong>et</strong> française »Séminaire 2 (14-15 novembre 2006 – INED-Paris)RÉGNIER-LOILIER A., 2006, « How often do adult children see their parents ? »SEBILLE P., 2006, « Les étapes de la formation familiale en France à partir des données de l'enquêteGGS/ERFI »Séminaire 3 (14-15 mai 2007 – Université de Strasbourg)AVDEEV A., DELARRE S., HINTERMEYER P., 2007, « Crise de la vie <strong>et</strong> sentiment de mal-être »BRETON D., PRIOUX F., 2007, « Situation <strong>et</strong> histoire familiale des enfants »CHARTON L., 2007, « Du désir d’enfant à la naissance »CORDAZZO P., 2007, « Éléments de mesure sur les conditions de vie »DELARRE S., OUARDANI M., 2007, « Présentation <strong>et</strong> intérêt de la Base de Données Contextuelle »DELARRE S., SEBILLE P., BLUM A., 2007, « Présentation du Powerpoint International »DENIS M.-N., PFEFFERKORN R., 2007, « La famille <strong>et</strong> l'argent, la gestion des finances dans le couple »PAILHÉ A., SINYAVSKAYA O., 2007, « Relative labor mark<strong>et</strong> statuses and employment positions of co-residentmen and women in Russia and France »Séminaire 4 (28-29 novembre 2007 – Moscou, Russie)BLUM A., SEBILLE P., REGNIER-LOILIER A., 2007, « Recherche socio-démographique comparative entre laFrance, la Géorgie, la Lituanie <strong>et</strong> la Russie à partir de la première vague GGS »BRETON D., PRIOUX F., POPOVA D., 2007, « Situation familiale des enfants <strong>et</strong> risques de séparation desparents en Russie <strong>et</strong> en France: quelles différences ? »CHARTON L., SURKOV S., 2007, « Intention de fécondité en Russie <strong>et</strong> en France »COSIO M.E., 2007, « Questions de mesures des rapports de genre à partir des données des enquêtesinternationales Genre <strong>et</strong> générations »LEFEVRE C., PROKOFIEVA L., KORCHAGINA I., 2007, « Comparaison des opinions sur la place de la famille <strong>et</strong>de la société entre France <strong>et</strong> Russie dans les solidarités <strong>intergénérationnelles</strong> »PAILHE A., SINIAVSKAIA O., 2007, « Position relative des conjoints dans l’emploi <strong>et</strong> valeurs de genre. Unecomparaison entre la France <strong>et</strong> la Russie »PROKOFIEVA L., 2007, « Questions sur la typologie des familles <strong>et</strong> des ménages en Russie <strong>et</strong> en France »REGNIER-LOILIER A., BADURASHVILI I., 2007, « Analyse comparée des <strong>relations</strong> entre parents <strong>et</strong> enfants auxdiverses étapes du cycle de vie en Géorgie <strong>et</strong> en France »REGNIER-LOILIER A., PROKOFIEVA L., VALETAS M.-F., KORCHAGINA I., 2007, « Parents, enfants <strong>et</strong> beaux-enfantsaprès un divorce, en France <strong>et</strong> en Russie – Des <strong>relations</strong> différentes selon le sexe ? »SEBILLE P., BLUM A. ZAHAROV S., 2007, « Les premières étapes de l'histoire de vie en France <strong>et</strong> Russie »TROITSKAIA I., AVDEEV A., 2007, « Possibilité de mener une analyse comparative des comportementscontraceptifs en Russie <strong>et</strong> en France »INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


Séminaire 5 (11-12 juin 2008 – Tbilissi, Géorgie)BADURASHVILI I., KAPANADZE E., AVDEEV A., TRETJAKOVA V., TROITSKAIA I., , 2008, « Comparative study ofcontraceptive behavour in France, Georgia, Lithuania and Russia »BLUM A. REGNIER-LOILIER A., SEBILLE P., 2008, « Dynamiques socio-démographiques <strong>et</strong> aires culturelles entreEuropes de l’Est <strong>et</strong> de l’Ouest. Comparaisons entre la France, la Géorgie, la Lituanie <strong>et</strong> la Russie à partirde la première vague GGS »KORCHAGINA I., VALETAS M.-F., PROKOFIEVA L., REGNIER-LOILIER A., 2008, « Parents <strong>et</strong> enfants noncohabitantsaprès un divorce, en France, en Russie <strong>et</strong> en Géorgie – Des <strong>relations</strong> différentes selon lesexe ? »LEFEVRE C., KORCHAGINA I., BADURASHVILI I., GEDVILAITE M., PROKOFIEVA L., STANKUNIENE V., 2008,« Comparaison des opinions sur le rôle de la famille <strong>et</strong> de la société entre France, Russie, Géorgie <strong>et</strong>Lituanie dans les solidarités <strong>intergénérationnelles</strong> »PAILHÉ A., SINIAVSKAIA O., 2008, « Labor force participation of men and women and gender <strong>relations</strong> inFrance and Russia »Prioux F., Popova D., Br<strong>et</strong>on D., 2008, « Situation familiale des enfants <strong>et</strong> risques de séparation des parentsen Russie <strong>et</strong> en France: quelles différences ? »Séminaire 6 (octobre 2008 – Vilnius, Lituanie)BRETON D., POPOVA D., PRIOUX F., 2008, « Situation familiale des enfants <strong>et</strong> risques de séparation desparents en Russie <strong>et</strong> en France », 6è séminaire international ECODEF-CI, Vilnius, octobre 2008.BLUM A., SEBILLE P., ZAKHAROV S., « Les premières étapes de l'histoire de vie en France <strong>et</strong> en Russie : Versdes modèles différents ? », 6è séminaire international ECODEF-CI, Vilnius, octobre 2008.LEFEVRE C., PROKOFIEVA L., KORCHAGUINA I., 2008, avec la participation de GEDVILAITE M., STANKUNIENE V.,BADURASHVILI I., SIRBILADZE M., « Opinions comparées entre la France, la Géorgie, la Russie <strong>et</strong> laLituanie sur le rôle de la famille <strong>et</strong> de la société dans les solidarités <strong>intergénérationnelles</strong> », Séminaireproj<strong>et</strong> Intas <strong>et</strong> ANR/Ecodef-CI, Vilnius, octobre.PAILHÉ A., SINYAVSKAYA O., 2008, « Labor force participation of women and gender <strong>relations</strong> in France andRussia », INTAS seminar, Vilnius.b. Groupe d’exploitation Érfi :BAUER D., mars 2007, « L’organisation familiale <strong>et</strong> domestique dans les couples avec enfants en rapportavec l’investissement professionnel des parents »BEAUJOUAN É.., juill<strong>et</strong> 2007, « Séparations au fil des unions » ;BRETON D., PRIOUX F., juill<strong>et</strong> 2007, « Comment décrire la situation familiale des enfants en 2005 ? ».COSIO M., SEBILLE P., juill<strong>et</strong> 2007, « Que peut-on apprendre sur le genre à partir d'ERFI ? »FLACHAIRE V., déc. 2006, « Solidarités <strong>familiales</strong> <strong>et</strong> activité »GIERVELD J., avril 2007, « Intégration sociale ou solitude pour les 55 ans <strong>et</strong> plus » (en anglais)INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


LEFEVRE C., PROKOFIEVA L., Korchagina I, mars 2007, « Opinions comparées entre la France <strong>et</strong> la Russie surles rôles respectifs de la société <strong>et</strong> de la famille dans les solidarités sociales <strong>et</strong> <strong>familiales</strong> »REGNIER-LOILIER A., 2007, « Après le départ du foyer parental. La fréquence des rencontres enfantsparents»REGNIER-LOILIER A., 2007, « Conditions de passation de l’enquête ERFI. Description <strong>et</strong> influence surles réponses »REGNIER-LOILIER A., BEAUJOUAN É., VILLENEUVE-GOKALP C., mars 2007, « Les <strong>relations</strong> amoureuses stablesnon cohabitantes. Qui sont ces personnes qui ne vivent pas avec leur conjoint ? ».RENAUT S., OGG J., avril 2007, « Histoire conjugale <strong>et</strong> situation professionnelle en 2 e partie de carrière »SEBILLE P., déc. 2006, « Changements <strong>et</strong> persistances dans les premières étapes de l'histoire de vie »TROITSKAIA I., déc. 2006, « Pratiques contraceptives <strong>et</strong> leurs facteurs en Russie »VIVAS É., CHARDON O., avril 2007, « Les <strong>relations</strong> des adultes avec leurs parents »c. Autres cadres (réunion d’unité, séminaires internes, valorisation de la recherche, <strong>et</strong>c.)BEAUJOUAN É., 2010, « Fécondité <strong>et</strong> risques de séparation des nouvelles unions »,valorisation de l'<strong>Ined</strong>, Paris, Mai 2010.Les journées deBONNET C., DESTRE G., 2010, « R<strong>et</strong>irement benefits as a parent or spouse? Knowledge and opinions ofFrench households », Séminaire Scientifique de la Caisse des Dépôts, Bordeaux, mars 2010.BONNET C., DESTRE G., LEFEVRE C., 2008, « Un éclairage sur la prise en compte des situations <strong>familiales</strong>dans le système de r<strong>et</strong>raite français : connaissance <strong>et</strong> opinions », mai, séance plénière du Conseild'Orientation des R<strong>et</strong>raites.BOURGEOIS A., 2008, « Les aspects démographiques de la grand-parentalité en France », Séminaires dudépartement de démographie, Univ. de Montréal, Montréal, 20 mars,BRETON D., 2009, « Avoir un enfant relativement tôt en France - Tentative de mesure d'une "fracturereproductive" ? », Journées du CRESS, séminaire « Changement d’états », mars.BRETON D., PRIOUX F., 2008, « Les enfants dans l’enquête ERFI : peut-on décrire leur situation familiale àl’enquête ? Comment évolue c<strong>et</strong>te situation avec l’âge ? », Journées d’études ELFE sciences sociales,30 juin – 1er juill<strong>et</strong> 2008CHARTON L., 2010, « De la contraception à la stérilisation : trajectoires contraceptives <strong>et</strong> motivations enFrance <strong>et</strong> au Québec », Colloque « Vingt ans après l’arrêt de la Cour Suprême dans l’affaireMorgenthaler, où en sommes-nous ? », Familles en mouvance, Dynamiques <strong>intergénérationnelles</strong>,INRS, 3 février.COSIO M., SEBILLE P., 2008 (OCTOBRE), « Fecundidad y género. Análisis de la encuesta francesa ERFI delGenerations and Gender Program (PAU-CEE-UN) », Conférence Nationale de la société mexicaine dedémographie, 8-11 octobre 2008, Merida, Yucatan, Mexique.DEVETTER F.-X., 2009, « L’externalisation des tâches domestiques réduit-elle les inégalités de genre ? »,colloque SASE, Paris, juill<strong>et</strong> 2009DEVETTER F.-X., 2010, « L’externalisation des tâches domestiques réduit-elle les inégalités de genre ? »,Communication au colloque Égalité Hommes / Femmes <strong>et</strong> articulation Travail / Famille, 30 septembre -1er octobre, Paris.INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


LEFEVRE C., REGNIER-LOILIER A., 2008, : « Décliner nationalement un proj<strong>et</strong> d’enquête internationale :l’expérience des enquêtes Generations and Gender Survey en France, Russie <strong>et</strong> Géorgie », Atelier deModélisation <strong>et</strong> Méthodes Statistiques en Sciences Sociales, 19 février.LEFEVRE C., REGNIER-LOILIER A., 2008, : « Mise en place d’une enquête quantitative au niveau international.Comparaison France, Russie <strong>et</strong> Géorgie », Intervention à l’École Normale Supérieure, décembre.RAULT W., 2008, « Les pacsé-e-s <strong>et</strong> l’ordre sexué », Journée Jeune Recherche de l’Institut Émilie duChâtel<strong>et</strong>, CNAM, Paris, novembre 2008.RAULT W., 2009, « Le pacte civil de solidarité, une expression du changement familial ? », ConférenceNouvelles configurations <strong>familiales</strong>, dans le cadre du cycle de conférences organisé par la MaisonEuropéenne des Sciences Humaines <strong>et</strong> Sociales A-t-on encore besoin de la famille ?, Lille, juin 2009REGNIER-LOILIER A., 2006, « Influence des caractéristiques d’emploi sur le souhait d’avoir un troisième enfanten France », Réunion interne aux Unités Famille, fécondité, sexualité <strong>et</strong> Unité économie, (discutant : N.Picard), Ceped, Paris, octobre 2006.REGNIER-LOILIER A., 2006, « Présentation de la mise en place d’une enquête par questionnaire : l’enquêteErfi », Séminaire de l’école doctorale de Paris V, Cerpos, février 2006.RÉGNIER-LOILIER A., 2007, « Frequency of contact with parents. Analysis of the French GGS », Fifth Me<strong>et</strong>ingof the GGP International Working Group, Ljubljana, Slovenia, 18-20 january 2007.REGNIER-LOILIER A., 2007, « Les jeunes adultes. Les déterminants de la fréquence des rencontres entreenfants <strong>et</strong> parents en France », Communication pour le Comité régional pour l’information économique <strong>et</strong>sociale- CRIES, Marseille, 25 mai 2007.REGNIER-LOILIER A., 2008, « Country Report 2008 : Avancée de l’enquête GGS France », InternationalWorking Group, Nations Unies (Genève), 13 mai (Country report 2008 : France).REGNIER-LOILIER A., 2008, « L’arrivée d’un enfant : conditions préalables <strong>et</strong> calendrier », séminaire de« l’Observatoire de la p<strong>et</strong>ite enfance », Désir d’enfants <strong>et</strong> parentalité tardive (intervenants : Bajos ;Discutant : Pascale Donati), Cnaf, Paris, 11 février 2008.REGNIER-LOILIER A., 2008, « L’enquête Generations and Gender Survey (GGS) : panorama général <strong>et</strong>expérience française », Ministère de la Famille <strong>et</strong> des aînés, Québec, 2 septembre 2008.REGNIER-LOILIER A., 2008, « Les relation des parents séparés avec leurs enfants. Un exemple d’exploitation àpartir de l’Érfi (2005) », Ministère de la Famille <strong>et</strong> des aînés, Québec, 2 septembre 2008.REGNIER-LOILIER A., DEDENON J.-L., 2008, Érfi. Formations des formateurs d’enquêteurs, 22, 23 <strong>et</strong> 24septembre 2008 (3 journées pleines de formation, avec une vingtaine de participants chaque jour).REGNIER-LOILIER A., PRIOUX F., 2008, « La pratique religieuse a-t-elle encore une influence sur lescomportements familiaux en France? », Réunion d’unité UR3, 16 mai 2008, <strong>Ined</strong>.RENAUT S., 2008, « Parcours de vie <strong>et</strong> situation professionnelle en deuxième partie de carrière. Uneexploitation des données ERFI-GGS sur les cohortes 1941-1960, 45-64 ans en 2005 », Séminaire derecherche, les mardis matins de la Cnav, 8 avril, Cnav, Direction des recherches sur le vieillissement.INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


SEBILLE P., 2007, « Évolution des trajectoires de vie <strong>et</strong> de la formation familiale en France », ColloqueInternational Jeunes Chercheurs en Démographie – Population d’Ici <strong>et</strong> d’Ailleurs. Regards Croisés,Nanterre (CERPOS – Université Paris 10 – Nanterre), 25-26 octobre.SEBILLE P., 2007, « L’enquête sur les Relations Familiales Intergénérationnelles : Du questionnaire auxrésultats », communication au cours d’une Com’Interne DR de la Direction Régionale Centre de l’INSEE(Orléans), juin.SEBILLE P., BRUGEILLES C., (2009), "Participation des pères aux soins <strong>et</strong> à l’éducation des enfants. L’influencedes rapports sociaux de sexe entre les parents <strong>et</strong> entre les générations", Réunion d’unité UR3, 7 avril2009.Documents de travailDELARRE S., REGNIER-LOILIER A., 2007, Spécifications du questionnaire de l’ERFI 2 e passage (2008),document de travail remis à l’Insee en juin 2007, 156 pages.DESESQUELLES A., LEFEVRE C., REGNIER-LOILIER A., 2004, Dossier de présentation de l’enquête pour leComité du Label, CNIS (décembre 2004 <strong>et</strong> février 2005).DEVETTER F.-X., 2010, « Employer une Femme de Ménage à domicile, Pratiques <strong>et</strong> représentationssociales », rapport pour la FEPEM, avec Isabelle PUECH <strong>et</strong> Marion LEFEBVRE (document de travail CEEen préparation).LINCOT L., REGNIER-LOILIER A., 2006, Étude des <strong>relations</strong> <strong>familiales</strong> <strong>et</strong> <strong>intergénérationnelles</strong>. Dictionnaire descodes, INED-INSEE, 404 pages (juill<strong>et</strong> 2006).MENARD C., REGNIER-LOILIER A., 2005, Enquête ÉRFI, Guide pédagogique à l’attention des formateurs,INSEE-INED (août 2005), 46 pages.REGNIER-LOILIER A. 2005, Guide d’instructions aux enquêteurs (juill<strong>et</strong> 2005), 60 pages.REGNIER-LOILIER A., 2004, Bilan du premier test « Papier » de l’enquête « Générations <strong>et</strong> genre » (mai 2004)(version française, 29 pages ; version anglaise, 11 pages).REGNIER-LOILIER A., 2004, Spécifications du questionnaire de l’ÉRFI, document de travail remis à l’Insee enaoût 2004, 189 pages.REGNIER-LOILIER A., 2005, Bilan du premier test « Capi » de l’enquête « Générations <strong>et</strong> genre » (janvier 2005)(version française, 106 pages ; version anglaise, 56 pages).REGNIER-LOILIER A., 2005, Bilan du second test « Capi » de l’enquête « Etude des <strong>relations</strong> <strong>familiales</strong> <strong>et</strong><strong>intergénérationnelles</strong> », (mai 2005).REGNIER-LOILIER A., 2005, Plaqu<strong>et</strong>te de présentation de l’enquête (juill<strong>et</strong> 2005), 4 pages.REGNIER-LOILIER A., 2005, Site Intern<strong>et</strong> de l’enquête, http://www-erfi.ined.fr, Site Intern<strong>et</strong>, août 2005, 26pages hors liens <strong>et</strong> hors documents en ligne.REGNIER-LOILIER A., 2006, « La gaz<strong>et</strong>te de l’ÉRFI », n°1, février, 2 pages.REGNIER-LOILIER A., 2006, « La gaz<strong>et</strong>te de l’ÉRFI », n°2, mai, 2 pages.REGNIER-LOILIER A., 2006, « La gaz<strong>et</strong>te de l’ÉRFI », n°3, juill<strong>et</strong>, 2 pages.REGNIER-LOILIER A., 2006, « La gaz<strong>et</strong>te de l’ÉRFI », n°4, octobre, 2 pages.INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


REGNIER-LOILIER A., 2007, « La gaz<strong>et</strong>te de l’ÉRFI », n°5, janvier, 2 pages.REGNIER-LOILIER A., 2007, « La gaz<strong>et</strong>te de l’ÉRFI », n°6, avril, 2 pages.REGNIER-LOILIER A., 2007, « La gaz<strong>et</strong>te de l’ÉRFI », n°7, septembre, 2 pages.SEBILLE P., LEFEVRE C., 2008, Rapport final ANR du proj<strong>et</strong> ÉCODEF/CI (éclairer les comportementsdémographiques de la France par la comparaison internationale), juill<strong>et</strong> 2008, 47 pages.SEBILLE P., REGNIER-LOILIER A., 2007, Modifications to the Generations and Gender Surveys questionnaire inFrance (wave 1), Documents de travail n°144, 191 pages.INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


Publications <strong>et</strong> communication à partir des données de la vague 2Articles <strong>et</strong> chapitres d’ouvrageREGNIER-LOILIER A., 2009, « L’arrivée d’un enfant modifie-t-elle la répartition des tâches domestiques au seindu couple ? », Population <strong>et</strong> Sociétés, n°461, novembre, 4 pages.REGNIER-LOILIER A., 2009, « La déperdition dans les enquêtes longitudinales : l’exemple de l’enquête "Étudedes <strong>relations</strong> <strong>familiales</strong> <strong>et</strong> <strong>intergénérationnelles</strong> », Courrier des statistiques, 128, p. 55-61.REGNIER-LOILIER A., 2010, « Le déséquilibre persiste toujours au sein des couple », Tribune dans l’Humanité,12 janvier.REGNIER-LOILIER A. HIRON C., 2010, « Évolution de la répartition des tâches domestiques après l’arrivée d’unenfant », Politiques sociales <strong>et</strong> <strong>familiales</strong>, 99 : 5-26.REGNIER-LOILIER A. HIRON C., 2010, « Évolution de la répartition des tâches domestiques après l’arrivée d’unenfant », actes du colloque Les transformations de la conjugalité: configurations <strong>et</strong> parcours, Cnaf-Cerlis-<strong>Ined</strong>, Paris, octobre 2009, dossiers d’études de la Cnaf, n° 127.REGNIER-LOILIER A., 2010p, « Attrition entre les deux premières vagues de l’Étude des <strong>relations</strong> <strong>familiales</strong> <strong>et</strong><strong>intergénérationnelles</strong> », Actes du colloque de méthodologie statistique, Tanger, 2010, à paraître.Communications lors de colloques internationauxBRUGEILLES C., SEBILLE P., 2010, « Partage des activités parentales : le statu quo », Colloque InternationalAIDELF « Relations <strong>intergénérationnelles</strong>, Enjeux démographiques », Genève, 21-24 juin.REGNIER-LOILIER A., 2010, « Attrition entre les deux premières vagues de l’Étude des <strong>relations</strong> <strong>familiales</strong> <strong>et</strong><strong>intergénérationnelles</strong> », colloque de méthodologie statistique, Tanger, 2010.REGNIER-LOILIER A., HIRON C., 2009, « Évolution de l’organisation domestique après la naissance d’unenfant », colloque « Les transformations de la conjugalité : configuration <strong>et</strong> parcours », Cnaf-Cerlis, Paris(13 octobre).REGNIER-LOILIER A., VIGNOLI D., 2009, « Désirs, intentions de fécondité <strong>et</strong> réalisation en France <strong>et</strong> en Italie :similitudes <strong>et</strong> différences », session 406 “The gap b<strong>et</strong>ween desired and achieved fertility”, XXVI e congrèsinternational d’étude de la population de l’UIESP, Septembre 2009.RÉGNIER-LOILIER A., VIGNOLI D., 2010, « Fertility dynamics in France and Italy. Who are the couple that do notgive birth to the intended child », PAA, Dallas, avril.INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


Communications lors de colloques <strong>et</strong> séminaires internesRÉGNIER-LOILIER A., 2010, « Sample attrition b<strong>et</strong>ween the French GGS Waves 1 and 2 », Workshop « PanelMaintenance », La Haye, 13 <strong>et</strong> 14 juill<strong>et</strong>.Documents de travailREGNIER-LOILIER A. 2008, Érfi. Étude des <strong>relations</strong> <strong>familiales</strong> <strong>et</strong> <strong>intergénérationnelles</strong>. Instruction de collecte,(juill<strong>et</strong> 2008), 56 pages.REGNIER-LOILIER A. 2010, Présentation, questionnaire <strong>et</strong> documentation de l’Étude des <strong>relations</strong> <strong>familiales</strong> <strong>et</strong><strong>intergénérationnelles</strong> (Érfi-GGS2), Documents de travail, n°165, <strong>Ined</strong>, 211 pages.REGNIER-LOILIER A., 2007, Dossier de présentation de l’enquête ERFI 2 e passage (2008) pour le Comité duLabel, CNIS (2007), 120 pages (hors annexes).REGNIER-LOILIER A., 2008, Érfi. Étude des <strong>relations</strong> <strong>familiales</strong> <strong>et</strong> <strong>intergénérationnelles</strong>. Questionnaire, (août2008), 119 pages.REGNIER-LOILIER A., 2008, Plaqu<strong>et</strong>te de présentation de l’enquête Érfi 2 e vague (juill<strong>et</strong> 2008), 4 pages.REGNIER-LOILIER A., DEDENON J.-L., 2008, Érfi. Étude des <strong>relations</strong> <strong>familiales</strong> <strong>et</strong> <strong>intergénérationnelles</strong>. Guidepédagogique à l’attention des formateurs d’enquêteurs, 52 pages.REGNIER-LOILIER A., LINCOT L. 2009, Dictionnaire des codes. Seconde vague de l’enquête Érfi, document d<strong>et</strong>ravail, 463 pages.VIGNOLI D., RÉGNIER-LOILIER A., 2010, « Fertility dynamics in France and Italy. Who are the couples that donot give birth to the intended child ? », Working Paper 2010/07, Dipartimento di statistica GiuseppeParenti, Università degli studi di Fireneze, 18 pages.INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


ANNEXE 1Partenaires du proj<strong>et</strong> « Générations <strong>et</strong> Genre »AllemagneMax Planck Institute for Demographic Research.AutricheÖIF: Austrian Institute for Family Studies.BelgiqueVrije Universiteit Brussel : Interface Demography.CanadaStatistics Canada.University of Montreal : Demographic Research Institute.FranceInstitut National d'Etudes Démographiques (Arnaud Régnier-Loilier, Ariane Pailhé, Anne Solaz).Institut National de la Statistique <strong>et</strong> des Etudes Economiques (Aline Désesquelles, Cécile Ménard)HongrieHungarian Central Statistical Office : Demographic Research Institute.ItalieUniversità « La Sapienza » : Dipartimento di Scienze Demografiche.Pays-BasN<strong>et</strong>herlands Interdisciplinary Demographic Institute.Royaume-UniLondon School of Economics & Political Science: Centre for Analysis of Social Exclusion.Nations UniesCommission Economique pour l’Europe, Population Activities Unit.INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


ANNEXE 2Calendrier de réalisation de l’enquête française (troisième vague)Enquête ERFI (Enqu<strong>et</strong>e sur les Relations Familiales <strong>et</strong> Intergénérationnelles)version au 06 juill<strong>et</strong>2010EtapesDatesActeursRemise des spécifications du questionnaire ERFI3 1 octobre 2010<strong>Ined</strong> ARLRemise des spécifications paye 9 février 2011Insee CAEMC BCRemise des spécifications des postes gestion <strong>et</strong> concepteur 9 février 2011Insee CPOS JLDRemise du DM à Capi 11 février 2011Insee Blaise RC - NCProposition d'enquête aux enquêteurs 9 février 2011Insee CAEMC BCLivraison du poste de collecte 11 mars 2011Insee Capi ED + ??Livraison du poste de gestion 11 mars 2011Insee Capi ED + ??Livraison du poste concepteur 17 mars 2011Insee Capi ED + ??Tirage échantillon 21 février 2011 25 février 2011 ETSD ??Impression des FA <strong>et</strong> envoi aux DR 28 février 2011 11 mars 2011 Editic Nantes CNINFormation des enquêteurs DR n°1 15 mars 2010Insee - <strong>Ined</strong> ARL <strong>et</strong> JLD <strong>et</strong> AP/SLFormation des enquêteurs DR n°2 18 mars 2011Insee - <strong>Ined</strong> ARL <strong>et</strong> NM <strong>et</strong> AP/SLOpération terrain 21 mars 2011 16 avril 2011 DEMBilan DR n°1 18 avril 2011Insee - <strong>Ined</strong> ARL <strong>et</strong> JLD <strong>et</strong> AP/SLBilan DR n°2 21 avril 2011Insee - <strong>Ined</strong> ARL <strong>et</strong> NM <strong>et</strong> AP/SLSpécifs Aval CAPI 14 février 2011 25 février 2011 <strong>Ined</strong> ARLAval CAPI9 mai 2011SIN-LilleEtapesDatesActeursRemise des spécifications du questionnaire23 mai 2011<strong>Ined</strong>Remise des spécifications paye 8 juin 2011Insee CAEMC CAEMCRemise des spécifications des postes gestion <strong>et</strong> concepteur 8 juin 2011Insee CPOSRemise du DM à Capi 10 juin 2011Insee Blaise BLAISELivraison du poste de collecte 8 juill<strong>et</strong> 2011Insee Capi CAPILivraison du poste de gestion 8 juill<strong>et</strong> 2011Insee Capi CAPILivraison du poste concepteur 8 juill<strong>et</strong> 2011Insee Capi CAPIOpération en DR 8 juill<strong>et</strong> 2011 22 juill<strong>et</strong> 2011 Les deux DR avec transferts DEM, CPOS, PôleBilan25 juill<strong>et</strong> 2011INSEE DEM <strong>et</strong> CPOSEtapescalendrier détaillé des tests <strong>et</strong> collecteERFI - TEST CAPIERFI - REPETITION GENERALEERFI - ECHANTILLONAGEDatesSélection des FA qui seront réinterrogées en 2011, préparationde l'échantillon, ajout des données antérieures nécessaires àCAPI. 2 août 2011 2 septembre 2011 <strong>Ined</strong> ARL <strong>et</strong> ??Fourniture de l'échantillon au CPOS 5 septembre 2011<strong>Ined</strong> ARL <strong>et</strong> ??RGES, RG…..) <strong>et</strong> livraison à CAEMC, CAPI, Aval CAPI <strong>et</strong>CPOS 5 septembre 2011 7 septembre 2011 Insee Cpos JLDLivraison de l'échantillon aux DR (après ajout code Zus <strong>et</strong> clé)<strong>et</strong> CPOS 13 septembre 2011Insee CAEMC GBLivraison fichier avec variable interne INSEE (RGES, RG, Clé,Zus….) à INED pour impression FA 13 septembre 2011Insee Cpos JLDImpression des FA papier (contenant les identifiants, infos denom, adresse, personne relais <strong>et</strong> observationsde 2008) <strong>et</strong>envoi aux DR. 14 septembre 2011 18 septembre 2011 <strong>Ined</strong> ARL <strong>et</strong> ??Remise d'un fichier contenant les derniers déménagementsdont l'<strong>Ined</strong> a été informé après transmission de l'échantillon àl'Insee 24 octobre 2011<strong>Ined</strong> Cpos DEMERFI - ENQUETEEtapesDatesActeursRemise des spécifications du questionnaire1 août 2011INEDRemise des spécifications paye 12 août 2011Insee CAEMC CAEMCRemise des spécifications des postes gestion <strong>et</strong> concepteur 12 août 2011Insee CPOS CPOSRemise du DM à Capi 12 août 2011Insee Blaise BLAISEProposition d'enquête aux enquêteurs 26 août 2011Insee CAEMC BCFormation des formateurs sur les postes de la RG 2 septembre 2011 9 septembre 2011 Concepteur-CPOS ARL <strong>et</strong> NM <strong>et</strong> AP/SLLivraison Poste de collecte 19 septembre 2011Insee Capi CAPILivraison Poste de gestion 19 septembre 2011Insee Capi CAPILivraison Poste de concepteur 23 septembre 2011Insee Capi CAPIFormation des enqu<strong>et</strong>eurs sur postes RG si besoin 12 septembre 2011 23 septembre 2011 Insee <strong>et</strong> INED DEMOpération terrain 26 septembre 2011 26 novembre 2011 Toutes les DR Pôle PENMApurement DR 3 octobre 2011 9 décembre 2011 Toutes les DRERFI - AVAL ENQUETEActeursEtapesDatesActeursSpécifs Aval CAPI 21 septembre 2011 9 novembre 2011 INED ARL <strong>et</strong> ??INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


ANNEXE 3Partenaires de l’ERFI, 1 ère vague- INED : Institut national d’études démographiques- Insee : Institut national de la statistique <strong>et</strong> des études économiques- La Drees : Direction de la Recherche des Études de l'Évaluation Statistique (Ministèrede l'Emploi <strong>et</strong> de la Solidarité)- La Dares : Direction de l'animation de la recherche, des études <strong>et</strong> des statistiques(Ministère du travail)- La CNAF : Caisse Nationale d’Allocations Familiales- La CNAV : Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse- Le COR : Conseil d’Orientation des R<strong>et</strong>raitesPartenaires de l’ERFI, 2 e vague- INED : Institut national d’études démographiques- Insee : Institut national de la statistique <strong>et</strong> des études économiques- La CNAF : Caisse Nationale d’Allocations Familiales- La Drees : Direction de la Recherche des Études de l'Évaluation Statistique (Ministèrede l'Emploi <strong>et</strong> de la Solidarité)INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


Partenaires de l’ERFI, 3 e vague- INED : Institut national d’études démographiques- Insee : Institut national de la statistique <strong>et</strong> des études économiques… Et ont été sollicités à ce jour la CNAF, la CNAV, la CNSA, le COR, la DARES, laDREES (en attente d’une réponse).INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


ANNEXE 4Liste des participants au groupe d’exploitationBAUER Denise (DREES), BEAUJOUAN Eva (INED), BILLARI Francesco (Univ Bocconi), BOURGEOIS Anne (Univ.Montréal), BONNET Carole (INED-Cor), BRESSE Sophie (CEE-ENPC), BRETON Didier (Univ. Strasbourg),BRUGUEIL Carole (Univ. Nanterre, Cerpos), CAILLAVET France (INRA), CAZAIN Sophie CNAF), CHARDONOlivier (INSEE), CHARTON Laurence (Univ. Strasbourg), CORIJN Martine (SVR, Belgique), CREPIN Christiane(CNAF), CORDAZZO Alain (Univ. Strasbourg), COSIO Maria (Univ. Nanterre, Cerpos), DEBEST Charlotte (INED-Univ. Paris VII), De la ROCHEBROCHARD Elise (INED-Inserm), DENIS Marie-Noële (CNRS), DELARRESébastien (Univ. Strasbourg), DÉSESQUELLES Aline (INED-Insee), DEVETER François-Xavier (Univ. Lille 1),EKERT-JAFFE Olivia (INED), FESTY Patrick (<strong>Ined</strong>), FLACHAIRE Valérie (DARES), GAYMU Joëlle (INED),GIERVELD Jenny (Nidi, Pays-Bas), LEFEVRE Cécile (INED), LÉGARÉ Jacques (Univ. Montréal), LETRAIT Muriel(Univ. Paris V), LINCOT Liliane (Insee), LUY Marc (Max planck Institut), MAKAY Zsuzsanna (Sciences Po,Hongrie), MÉDA Dominique (CEE), MICHON Sébastien (Univ. Strasbourg), OGG Jim (CNAV), OUARDANIMohamed (Univ. Strasbourg), PAILHÉ Ariane (INED), PETITE Ségolène (Univ. Lille 3), PFEFFERKORN Roland(Univ. Strasbourg), PONTHIEUX Sophie (Insee), PRIOUX France (INED), PROKOFIEVA Lidia (ISEPNPAN,Russie), PROKOUDINA-GANJOUR Olga (UNIV. PARIS X), RAULT Wilfried (INED), RÉGNIER-LOILIER Arnaud (INED),REIGNIER Elisab<strong>et</strong>h (DIF), RENAUT Sylvie (CNAV), ROSSIER Clémentine (INED-Inserm), SAMUEL Olivia (Univ.Versailles-Saint Quentin), SEBILLE Pascal (Univ. Nanterre, Cerpos), SOLAZ Anne (INED), TOULEMON Laurent(INED), THÉVENON Olivier (INED), VILLENEUVE GOKALP Catherine (INED), VIVAS Émilie (INSEE), WEBERFlorence (CEE).INSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr


ANNEXE 5Liste des pays ayant réalisé Ggs au 1 er septembre 2009Pays ayant réalisé la première vague (17) :• Allemagne• Australie• Autriche• Belgique• Bulgarie• Estonie• France• Georgie• Hongrie• Italie• Japon• Lituanie• Norvège• Pays-Bas• Republique Tchèque• Roumanie• RussiePays ayant réalisé la seconde vague• Allemagne• Bulgarie• France• Georgie• Hongrie• Italie• Lituanie• Pays-Bas• République Tchèque• RussieINSTITUT NATIONAL D'ETUDES DEMOGRAPHIQUESETABLISSEMENT PUBLIC SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE • 133 BOULEVARD DAVOUT 75980 PARIS CEDEX 20 FRANCETEL. 33 (1) 56 06 20 00 • FAX 33 (1) 56 06 21 99 • MEL arnaud.regnier-loilier@ined.fr

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