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Note de transition aux IFRS (.pdf 312.55 Ko) - Nexity

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- frais d’étu<strong>de</strong>sEn 99-02, les frais d’étu<strong>de</strong>s étaient stockés, et éventuellement provisionnés si les probabilitésd’obtention du contrat étaient peu élevées. Ces provisions faisaient l’objet <strong>de</strong> reprises si lecontrat était finalement obtenu. En normes <strong>IFRS</strong>, les frais préalables à l’obtention du contratsont directement constatés en charges si les probabilités <strong>de</strong> réalisation sont peu élevées.- SynthèseL’application <strong>de</strong>s normes relatives à l’avancement génère les impacts suivants :- sur les capit<strong>aux</strong> propres part du groupe, au 1 er janvier 2004 : -8,6 M€, et -9,2 M€ enintégrant la part <strong>de</strong>s minoritaires.- sur le résultat net part du groupe, en 2004 : -7,4 M€, et -8 M€ en intégrant la part <strong>de</strong>sminoritaires.- sur les capit<strong>aux</strong> propres part du groupe, au 31 décembre 2004 : -16 M€ et -17,2 M€ enintégrant la part <strong>de</strong>s minoritaires (dont 11,5 M€ au titre du passage à l’avancement dulotissement).L’impact <strong>de</strong> ces règles sur la prise en compte <strong>de</strong> l’avancement conduit à dégager plusprogressivement le chiffre d’affaires pendant la pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> construction (d’où uneaugmentation <strong>de</strong>s produits constatés d’avance qui se traduit sur le backlog - cf. note 10), et unreport dans le temps dans le dégagement <strong>de</strong>s marges.Les impacts sur le compte <strong>de</strong> résultat présentés par secteur d’activité figurent à la note 9.Les retraitements induisent une diminution <strong>de</strong> 17,2 M€ du BFR au 31 décembre 2004(cf. note 11).2) Ecarts d’acquisition (<strong>IFRS</strong> 3 – IAS 36)Selon la norme <strong>IFRS</strong> 3, les écarts d’acquisition ne sont pas amortis. En contrepartie, selonl’IAS 36, les écarts d’acquisition doivent faire l’objet au moins une fois par an <strong>de</strong> tests <strong>de</strong> perte<strong>de</strong> valeur consistant à comparer la valeur recouvrable <strong>de</strong>s actifs sous-jacents (regroupés enunités génératrices <strong>de</strong> trésorerie), calculée sur la base <strong>de</strong> projections <strong>de</strong> cash flows futursactualisés, à leur valeur comptable. Lorsque la valeur recouvrable ainsi déterminée estinférieure à la valeur comptable, une dépréciation correspondant à la perte <strong>de</strong> valeur seraconstatée en résultat.Les unités génératrices <strong>de</strong> trésorerie correspon<strong>de</strong>nt <strong>aux</strong> secteurs d’activité retenus au 1 er niveau<strong>de</strong> l’IAS 14 (Logement, Immobilier Entreprise et Services). Compte tenu du résultat <strong>de</strong>s tests<strong>de</strong> valeur, les écarts d’acquisition au 31 décembre 2004 ne doivent pas subir <strong>de</strong> dépréciation.La correction <strong>de</strong>s amortissements constatés en normes françaises représente un impact <strong>de</strong>+15,6 M€ sur le compte <strong>de</strong> résultat 2004.Page 10 sur 19

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