S E L E C T I O NAstérix et Obélix : au service de sa MajestéDemain soir sur Canal+En 50 avant JésusChrist, César lance seslégions à la conquêtede la Bretagne, îlemystérieuse auxconfins du mondeconnu. La victoire estéclatante, mais un petitvillage breton résistecourageusem<strong>en</strong>t. MaisCordelia, reine desBretons, craint quecette <strong>en</strong>clave ne tombebi<strong>en</strong>tôt aux mains desRomains. Pour que sescompatriotes ti<strong>en</strong>n<strong>en</strong>tbon, elle espère pouvoir compter sur l'aide de Gaulois opiniâtres,qui n'ont jamais plié devant l'<strong>en</strong>vahisseur. Elle <strong>en</strong>voie donc <strong>en</strong>Gaule Jolitorax, son plus fidèle officier. Jolitorax, reçu avec leshonneurs, se voit confier un tonneau de potion magique. Pourr<strong>en</strong>trer <strong>en</strong> Bretagne, il est escorté par Astérix et Obélix, mais aussipar Goudurix, un neveu du chef fraîchem<strong>en</strong>t débarqué de Lutèce,et qui doit faire ses preuves...Football Betis Séville (Esp) / Lyon(Fra)L'OlympiqueLyonnais de RémiGarde, reversé <strong>en</strong>Ligue Europaaprès avoiréchoué aux portesde la ChampionsLeague, <strong>en</strong>tamedonc sacampagneeuropé<strong>en</strong>ne parun déplacem<strong>en</strong>t<strong>en</strong> Espagne sur lapelouse du BetisSéville. Lescoéquipiersd'AlexandreLacazette etClém<strong>en</strong>t Gr<strong>en</strong>iervont avoir du travail pour rev<strong>en</strong>ir de cette première journée avectrois points dans leur escarcelle. Dans le groupe I, l'OL est avec,outre le Betis, le club portugais de Vitoria Guimaraes et le clubcroate du NHK Rijeka.Ce soir (ou jamais !)Demain soir sur France 2Des invitésissus du mondeculturel danstoute sadiversités'exprim<strong>en</strong>tlibrem<strong>en</strong>t ausujet degrandesquestionsd'actualité : dumariage pourtous auxprintempsarabes, <strong>en</strong>passant par lacrise financière, la laïcité ou <strong>en</strong>core l'urbanisme dedemain. Depuis 2006, philosophes, écrivains,sociologues, peintres, sculpteurs, comédi<strong>en</strong>s et illustrespersonnalités françaises et inter<strong>national</strong>es, rares <strong>en</strong>télévision, se sont succédés sur le plateau de «Ce soir (oujamais !)», sous la houlette de Frédéric Taddeï, qui estparv<strong>en</strong>u à proposer un r<strong>en</strong>dez-vous incontournable, à lafois exigeant et divertissant.Meet the Par<strong>en</strong>tsCe soir sur MBC2Greg Focker, un modeste infirmier de Chicago, vit depuis deuxmois avec la charmante Pam Byrnes et rêve d'officialiser leurunion. Ravie de sa proposition, la jeune femme insiste pour unstrict respect des règles bourgeoises : Greg devra obt<strong>en</strong>irl'accord de son père, Jack.Deux semaines plus tard, le couple fait son apparition dans laluxueuse résid<strong>en</strong>ce des Byrnes. Accueilli à bras ouverts par lamère de Pam, Dina, Greg décèle d'emblée une certaine froideurchez Jack. Ce dernier ne compte pas "céder" sa fille chérie aupremier v<strong>en</strong>u.Bi<strong>en</strong> décidé à emporter la mise, Greg, nerveux, se met <strong>en</strong> quatrepour s'attirer la sympathie et le respect de son beau-père,anci<strong>en</strong> ag<strong>en</strong>t de la CIA, mais toutes ses amabilités, toutes sesplaisanteries tomb<strong>en</strong>t à plat face à cet homme crispé, possessifet paranoïaque.TanguyCe soir sur France 3A 28 ans passés,Tanguy n'atoujours pasquitté le gironfamilial. Brillantprofesseur, sortitout droit deNormale Sup, unemaîtrise dejaponais et unethèse de chinois<strong>en</strong> poche,l'olibrius mèneégalem<strong>en</strong>t unebrillante activitéde conseiller auprès d'un ministère. Son génie n'a d'égalque l'amour immodéré qu'il porte à Paul et Edith, sespar<strong>en</strong>ts. Sa fiancée insiste <strong>en</strong> vain pour qu'ils se mari<strong>en</strong>t,mais Tanguy ne ti<strong>en</strong>t décidém<strong>en</strong>t pas à changer de modede vie. Le jeune homme va jusqu'à refuser un<strong>en</strong>omination à Pékin, au grand dam des si<strong>en</strong>s qui, à boutde nerfs, décid<strong>en</strong>t de lui m<strong>en</strong>er la vie dure pour qu'ilparte. En effet, Edith et Paul ne support<strong>en</strong>t plus ce grand<strong>en</strong>fant, qui a décidé de ne jamais les lâcher...> T É L É V I S I O NLes g<strong>en</strong>sMichel Cymes21Invité sur le plateau du Grand Journal pourdébattre de la question dudéremboursem<strong>en</strong>t des lunettes par lasécurité sociale, Michel Cymes a été mis àl'épreuve par la Miss Météo Doria Tillier etson acolyte, le chroniqueur AugustinTrap<strong>en</strong>ard. Ayant appris que l'expertmédical de France 5 allait bi<strong>en</strong>tôt t<strong>en</strong>ir lerôle d'un vétérinaire dans une fictiontélévisée, la Miss Météo Doria Tillier avoulu tester les tal<strong>en</strong>ts d'acteur del'animateur. Une série d'exercices dontMichel Cymes s'est sorti haut la main, àl'étonnem<strong>en</strong>t général.Le jeûne, une nouvelle thérapie ?Ce soir sur ArteDans les paysoccid<strong>en</strong>taux, lescas de diabète,d'hypert<strong>en</strong>sion,d'obésité ou decancers semultipli<strong>en</strong>t, et laconsommation demédicam<strong>en</strong>tsexplose. Depuis undemi-siècle, desmédecins et desbiologistesexplor<strong>en</strong>t uneautre piste : lejeûne. Réputé poursa source d'eauchaude, le sanatorium de Goriachinsk, dans la plainesibéri<strong>en</strong>ne, est aussi connu pour son c<strong>en</strong>tre de diète, créé <strong>en</strong>1995. En Allemagne, à la clinique Buchinger, sur les rives dulac de Constance, des maladies chroniques sont soignées dela même manière. Aux Etats-Unis, Valter D Longo, professeurde biogérontologie à l'université de Californie, étudie leseffets du jeûne sur des souris atteintes de cancer.28, rue Ahmed Boualem Khalfiex-Burdeau, Alger c<strong>en</strong>treQuotidi<strong>en</strong> <strong>d'information</strong>s généralesEdité par EURL Express News aucapital de 100.000 DARC : 0962805B03Siège social : Maison de la PresseTahar Djaout, 1 rue Bachir Attar, Placedu Premier Mai, Alger…MANAGER GENERALDIRECTEUR DE LA PUBLICATIONHamida AyachiDIRECTEUR DE LA RÉDACTIONChabi YacineSECRETAIRE GENERAL DE LARÉDACTIONMassinissa BoudaoudMAILredactio<strong>news</strong>@yahoo.frREDACTIONTél : 021 637 018SITEwww.algeri<strong>en</strong>ews.infoREDACTION EN CHEFTél/Fax : 021 637 016ADMINISTRATIONTél : 021 663 880Fax : 021 663 879PUBLICITÉ/MARKETINGTél / Fax : 021 663 693ANEP : 1, av. Pasteur, Alger.Tèl : 021 737 678 / 021 737 128Fax : 021 739 559IMPRESSIONC<strong>en</strong>tre SIADIFFUSIONExpress NewsTél/Fax : 021 298 300Les manuscrits, photos et tous autres docum<strong>en</strong>tstransmis à la rédaction, non publiés ne sont pasr<strong>en</strong>dus et ne peuv<strong>en</strong>t faire l'objet de quelqueréclamation.Copyright : La reproduction de tout article estinterdite sans l'accord de l'Administration.ALGERIE NEWS Jeudi 19 septembre 2013
C U L T U R E23Rétrospective Djamel Tatah au MAMAUne œuvre id<strong>en</strong>tifiablemais jamais id<strong>en</strong>tiqueL'exposition rétrospective de l'œuvre de l'artiste franco-algéri<strong>en</strong>, Djamel Tatah, qui sera ouverte le 22septembre au MAMA, a été prés<strong>en</strong>tée hier lors d'un point de presse au forum d'El Moudjahid. Animéégalem<strong>en</strong>t par le directeur du Musée,, Mohammed Djehiche, l'histori<strong>en</strong> de l'art, Eric De Chassey, etAmal Boudebbouz, directrice du départem<strong>en</strong>t Arts visuels et Patrimoine au ministère de la Culture.Cette grande exposition qui dureradu 22 septembre au 21 octobre auMusée d'art moderne et contemporaind'Alger révèlera au public l'ess<strong>en</strong>tielde l'œuvre de Djamel Tatah connupour ses toiles figuratives dépouillées et unstyle singulier qui r<strong>en</strong>d son travail reconnaissable.L'histori<strong>en</strong> de l'art, Eric DeChassey, affirme d'ailleurs que l'artiste « ainv<strong>en</strong>té une nouvelle manière de peindre,traduite notamm<strong>en</strong>t par une restriction dechoix artistiques et habitée par une obsessionqui confère à sa peinture une grandeouverture et une richesse humaine ». Le travailde Tatah, toujours selon l'interv<strong>en</strong>ant, sedistingue par deux qualités fondam<strong>en</strong>tales :« la d<strong>en</strong>sité et la perman<strong>en</strong>ce de s<strong>en</strong>tim<strong>en</strong>tshumains perçus furtivem<strong>en</strong>t dans la viequotidi<strong>en</strong>ne et immortalisés à travers l'œuvrede l'artiste ». Djamel Tatah « apparti<strong>en</strong>t àcette génération qui circule autour de laMéditerranée et <strong>en</strong> est une des incarnationsles plus complexes et les plus riches <strong>en</strong> questionnem<strong>en</strong>ts», ajoute l'histori<strong>en</strong> de l'art quiestime que les situations décrites dans sespeintures « sont toutes connues par celui quiregardera ses toiles, que ce soit <strong>en</strong> France ou<strong>en</strong> <strong>Algérie</strong>, malgré l'abs<strong>en</strong>ce de détails périphériquesr<strong>en</strong>voyant à la géographie».Les personnages de l'artiste respir<strong>en</strong>t <strong>en</strong>effet cette individualité universelle quitransc<strong>en</strong>de le lieu et le temps et laisse voguerles interprétations du regardeur au gré de sespropres expéri<strong>en</strong>ces. C'est ce qu'affirmeraTatah lorsqu'il devancera les questions surson id<strong>en</strong>tité : « Je me considère certescomme un Français et un Algéri<strong>en</strong> à la fois,Né <strong>en</strong> 1959, il fait ses études àl'école des Beaux-arts de Saint-Eti<strong>en</strong>ne de 1981 à 1986. Aucours de son séjour à Marseille<strong>en</strong> 1989, il définit l'ess<strong>en</strong>tiel deson dispositif de création ets'<strong>en</strong>gage dans la réalisation degrands formats et depolyptiques. Il a réalisé sapremière exposition personnelleà la galerie Liliane et MichelDurand-Dessert à Paris <strong>en</strong> 1999.Il a prés<strong>en</strong>té <strong>en</strong>suite ses œuvresdans différ<strong>en</strong>ts lieux <strong>en</strong> Franceet à l'étranger dont le C<strong>en</strong>tred'Art de Salamanque (2002), leMusée de Canton (2005), leMusée des Beaux-arts deNantes (2008), le MAMAC à Nice(2009), la Villa Médicis, leChâteau de Chambord (2011).Depuis 2008, il est professeur àl'Ecole <strong>national</strong>e supérieure desBeaux-arts de Paris. Ledispositif de création de DjamelTatah associe la techniqueanci<strong>en</strong>ne de la peinture à la cire,la photographie, puis lanumérisation des images qu'ilexplore dès 1994.mais surtout comme un mutant qui aimetous les pays dans lesquels il a été éduqué. J<strong>en</strong>e veux pas être <strong>en</strong>fermé dans une id<strong>en</strong>titéet, <strong>en</strong> v<strong>en</strong>ant exposer <strong>en</strong> <strong>Algérie</strong> pour la premièrefois, ce n'est pas <strong>en</strong> partant d'uneposition <strong>national</strong>iste mais amoureuse de cepays ». Certains considèr<strong>en</strong>t que les peinturesde Tatah « sont id<strong>en</strong>tifiables et id<strong>en</strong>tiques», ce que l'artiste dém<strong>en</strong>t <strong>en</strong> partie <strong>en</strong>assumant clairem<strong>en</strong>t l'aspect id<strong>en</strong>tifiablemais <strong>en</strong> rejetant l'épithète id<strong>en</strong>tique. Il estvrai que la singularité du peintre réside justem<strong>en</strong>tdans le fait que, tout au long de sestr<strong>en</strong>te années de carrière, il arbore un style etune démarche propres à lui et portant pourainsi dire sa marque. Ses personnages auxcontours épurés, semblant vivre à l'intérieurd'eux-mêmes et non pas dans le monde duréel, mais dégageant <strong>en</strong> même temps uneint<strong>en</strong>se prés<strong>en</strong>ce humaine, sont le pivotd'une peinture effectivem<strong>en</strong>t id<strong>en</strong>tifiable.Mais Tatah n'est pas pour autant répétitifpuisque la lecture sémiologique et artistiqueTrois questions à Djamel Tatah« Le réel sans le réalisme »<strong>Algérie</strong> News : Comm<strong>en</strong>t résumeriez-vouscette « nouvelle manière de peindre » dontM. De Chassey disait que vous êtes l'initiateur?Djamel Tatah : Je ne peux pas prét<strong>en</strong>dreavoir inv<strong>en</strong>té une manière de peindre. J'aitoujours aimé dessiner ce que je voyais, puisj'ai mis <strong>en</strong> place un processus de travail quim'a permis d'avoir cette écriture-là, sanspour autant me fixer cet objectif d'inv<strong>en</strong>terde ses œuvres est constamm<strong>en</strong>t <strong>en</strong> mouvem<strong>en</strong>t,elle varie selon des mutations infimesque l'on voit dans leurs corps, leurs regardsou leurs gestes, mais aussi à travers un simplechangem<strong>en</strong>t de couleur ou de position.C'est donc ici que se révèle toute la virtuositéde l'artiste : donner cette premièreimpression d'analogie pour <strong>en</strong>suite surpr<strong>en</strong>drele spectateur par la variété et la complexitédes situations et des figures déambulantdans des espaces toujours différ<strong>en</strong>ts. Acela s'ajoute une fulgurante poésie quiémane de l'intégralité de ses œuvres, faited'abysses psychologiques insondables, demurmures et de questionnem<strong>en</strong>ts.La rétrospective qu'accueillera le MAMA,du 22 septembre au 21 octobre, est organiséepar le ministère de la Culture, l'Ag<strong>en</strong>ce algéri<strong>en</strong>nepour le rayonnem<strong>en</strong>t culturel(AARC), la Villa Médicis et la FondationMarguerite et Aimé Maeght.Sarah H.quelque chose. C'est un travail quotidi<strong>en</strong>, delongue haleine, qui a abouti à cette forme.Par contre, cela me fait plaisir quand il y ades g<strong>en</strong>s qui reconnaiss<strong>en</strong>t ce travailacharné. Je p<strong>en</strong>se que lorsqu'on s'<strong>en</strong>gage<strong>en</strong>tièrem<strong>en</strong>t dans ce qu'on fait, on <strong>en</strong> cueilleratoujours les fruits. D'ailleurs, le fait d'exposerau MAMA est l'un de ces aboutissem<strong>en</strong>tsles plus importants.Votre peinture est figurative, mais elleéchappe curieusem<strong>en</strong>t au tiroir du réalisme…Oui, mes œuvres ne sont pas réalistes et j<strong>en</strong>e p<strong>en</strong>se pas qu'on puisse les classer dansune Ecole ou un courant de la peinture.Certes, le réel m'intéresse et anime mestoiles, mais la forme et le langage qui s'<strong>en</strong>dégag<strong>en</strong>t ne sont aucunem<strong>en</strong>t dans le réalismeou l'approche matérialiste.En tout cas, une grande solitude caractérisevos personnages, acc<strong>en</strong>tuée notamm<strong>en</strong>tpar le dépouillem<strong>en</strong>t de vos toiles…Oui, la solitude m'intéresse beaucoup ;qu'elle soit celle de l'individu au milieu d'un<strong>en</strong>vironnem<strong>en</strong>t sociologique opprimant, oubi<strong>en</strong> celle r<strong>en</strong>voyant à l'attitude du p<strong>en</strong>seurou du philosophe. Je p<strong>en</strong>se que la solitudeest un concept artistique fécond et trèsimportant car elle confère à la peinture unedim<strong>en</strong>sion psychologique et une richesse auniveau des interprétations.Propos recueillis par S. H.AGENDACULTURELPalais de la cultureMoufdi-Zakaria- Ce soir à 19h : Soirée de clôture du 5eFestival inter<strong>national</strong> de musiquesymphonique, animé par l'<strong>en</strong>semble desorchestres participants sous la direction dumaestro ukraini<strong>en</strong> Volodymir Sheiko et leschefs de chœur Aziz Hamouli (<strong>Algérie</strong>) etAlla Sheiko (Ukraine). Au programme :Verdi, Tchaïkovski, Bizet, Mascagni, Puccini,Ponchielli, Glinka, etc.MougarJusqu'au 30 septembre : Projection dunouveau film de Ghouthi B<strong>en</strong>deddouche« L'archipel de sable » à raison de quatreséances par jour (14h, 16h, 18h et 20h)Ibn Khaldoun- Ce soir à 21h30 : Concert du groupe derock algéri<strong>en</strong> Caméléon.- Demain v<strong>en</strong>dredi à 20h : Soirée devariétés avec Naïma Ababsa.Filmathèque ZinetCe soir à 19h : Avant-première du clip « Lescrossfaders ». Suivie de la projection dufilm « Elephant » de Gus Van Sant, dans lecadre du cinéclub Chrysalide.Palais MustaphaBachaJusqu'au 28 septembre : Exposition depeintures sous verre de l'artiste FarahLaddi.MAMASamedi 21 septembre à 17h : Vernissage del'exposition rétrospective de l'artisteDjamel Tatah, au Musée d'art moderne etcontemporain d'Alger. L'expo dure jusqu'au22 octobre.Cinémathèqued'AlgerDu 21 au 28 septembre : Projection du film« Parfums d'Alger » de Rachid B<strong>en</strong>hadj àraison de deux séances par jour (13h et17h)Institut françaisd'AlgerLe 21 septembre à 14h30 : Confér<strong>en</strong>ceintitulée «Traduire Saint Augustin», animéepar Frédéric Boyer, écrivain et traducteur.C<strong>en</strong>tre diocésainJeudi 26 septembre à 18h : Confér<strong>en</strong>ceautour du thème « Contrôler l'information :l'administration française, la sociétécoloniale et l'actualitéinter<strong>national</strong>e <strong>en</strong> <strong>Algérie</strong>, 1881-1939 »,animée par l'universitaire Arthur Asseraf.OranDu 23 au 30 septembre : 7e édition duFestival du film arabe d'Oran.MédéaDu 25 au 30 septembre : 3e édition dufestival <strong>national</strong> du théâtre comique à lamaison de la culture de Médéa.ALGERIE NEWS Jeudi 19 septembre 2013