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Créationsde fond sur ces représentations dedanse(s). Jusqu’au 11 janvier à laBibliothèque-musée de l’Opéra PalaisGarnier. Infos: 33/153 79 37 40Fondé en 2004, le Groupe deRecherche et d’Esthétique théâtrale(Gresth), est issu d’une collaborationentre le séminaire Interdisciplinairede Recherche Littéraire des FacultésUniversitaires Saint-Louis et le Centred’Etudes Théâtrales de Louvain-La-Neuve. Il a pour but de mener desréflexions croisées sur le théâtre etcréer un échange entre théoriciens etpraticiens. Cette année, les journéesd’étude qu’il organise auront pourthème «Parler le corps, incarner letexte: dramaturgies croisées». Lapremière se tiendra le 14 novembre etsera consacrée aux liens entre «Danseet philosophie». Les intervenants enseront Daniel Franco, Hélène Harmatet Mattia Scarpulla. A l’heure qu’il estnous n’avons pas plus d’informationsur le contenu des interventions. Infos:sklimis@fusl.ac.be Le nom de Ted Stoffer est surtout associéà l’enseignement (en Belgiquedans la compagnie Ultima Vez et àCharleroi/Danses notamment, et à traversl’Europe) et au travail de recherchechorégraphique qu’il mène au seinde l’Aphasia Dance Company qu’il afondé en 1998. Il a également dansédans de nombreuses compagnies internationalescomme la Rambert DanceCompany, le Scapino Ballet Rotterdamou pour Sasha Waltz. Cet automne, ilcrée sa première pièce chorégraphique,produite par les Ballet C. de la B.:Aphasiadisiac. Cette pièce parle de la«politique de l’amour», de l’espérance,des déceptions, des désillusions, de laperte de nos idéaux romantiques. Elleparle des langages privés que nousemployons avec nos intimes. De ce quiest au-delà de la nature explicite de laparole. Quatre danseurs dont lui-mêmese partageront la scène. Deux couplesqui nous feront partager leurs problèmeset inventions de communication.Première le 30 septembre au Théâtredes Tanneurs.Première pour Anouk Llaurens, anciennedanseuse de Michèle Anne DeMey, formée au CNDC d’Angers, assistantede Fernand Schirren à PARTS,et qui depuis 2001 fait son petit bonhommede chemin comme chorégrapheavec Ritournelle, You are the onlyone et Tsie, la limitation. Aujourd’hui enrésidence à Charleroi/Danses, elle signeHélium, un solo qui influencé par lapost modern dance américaine (AnnaHalprin, Steve Paxton, Lisa Nelson,Deborah Hay). Hélium est une suite detrois poèmes en mouvement qui naîtd’une succession de dialogues: celuid’une femme avec une branche, avecune couleur, et avec une bâche en plastique.S’intéressant ainsi à un état de lamatière à chaque fois différent: solide,liquide, gazeux. Un cheminement dulourd au subtil. Création le 9 octobre àla Raffinerie à Bruxelles.Deux créations sont au programme dela Cie Irène K qui, pour rappel, travailleà Eupen où elle est installée depuisde nombreuses années. Popville, unepièce de danse théâtre pour le jeunepublic à partir de 7 ans, montre lesdessous d’un spectacle imaginé parun «gang» de quatre artistes. Le théâtren’est-il pas le lieu idéal pour voircomment fonctionnent les rapports humains?Un spectacle qui se veut joyeuxet coloré, et qui verra sa première enmatinée scolaire à Mouscron au Centreculturel Marius Staquet ce mois d’octobre.Pour tous publics, cette fois, M. E.(Max Ernst) sera créé le 11 octobre aucentre culturel Junglingshaus d’Eupen.De l’aveu d’Irène Borguet, le peintre atoujours inspiré son travail chorégraphique.Sa rencontre avec Luca Scarlini,une spécialiste de son oeuvre a fait lereste. De la complexité de celle-ci, lachorégraphe n’a retenu que les élémentsles plus caractéristiques: le rapportau corps, à la religion et au mysticisme,à la métamorphose, au mondeanimal et à la main. Quant à la forme,elle s’inspire du collage, technique égalementutilisée par l’artiste plasticien,servie sur scène par la musique et ladanse.Nouveau projet d’envergure pour SidiLarbi Cherkaoui, qui signe Sutra, enréférence aux textes fondateurs del’Hindouisme et du Boudhisme et quitémoigne de son intérêt inaltérablepour la spiritualité et l’altérité culturelle.Cette fois, c’est le Shaolin, cet art martialassocié à la méditation religieusepratiqué par des moines, qui l’ont inspiré.Performance physique et stylistiqueservie sur scène par des moinesShaolin en chair et en os, Sutra tenterade capter ce qui peut nous questionnerdans cette pratique. Le jeune compositeuranversois Szymon Brzoska signeune partition pour percussions, violons,Helium d'Anouk Llaurens © Anouk Llaurensvioloncelle et piano jouée live naturellementet le sculpteur londonien AntonyGomley, connu pour ses immensessculptures et installations, signe la scénographie.Première le 28 octobre à laMonnaie, après Pékin et Avignon.L’été dernier, Matteo Moles créait Lesmariés dans les jardins potagers du DomaineDépartemental de Chamarande(F). Il réadapte cet automne la chorégraphiepour la présenter au Centreculturel de Braine-l’Alleud. Dans cettepièce pour quatre danseurs, il est questiond’amour: l’amour unique et éternelest-il une utopie? La fidélité a-t-elle encoreune place dans notre société deconsommation? Qu’en est-il de la polygynie?Rêve ou possible réalité? Troisfemmes et un homme abordent cesquestions tantôt avec humour tantôtavec émotion. Première le 7 novembreau Centre culturel de Braine-l’Alleud.Bud Blumenthal revient au ThéâtreVaria pour sa nouvelle création: StandingWave qui réunit quatre danseurset un quatuor à cordes interprétant despièces originales du compositeur belgeWalter Hus. Comme chaque instrumentdu quatuor, les danseurs deviennentdes entités chorégraphiques qui seconfrontent, s’amplifient, s’interpénètrentà la manière de vagues, chacuneavec sa propre fréquence et amplitude.L’image et la technologie chères auchorégraphe s’y retrouvent mais distilléespar une nouvelle approche, plusabstraite. Première le 25 novembre auThéâtre Varia.Première belge de All in All, que PierreDroulers a crée il y a un an avec le Balletde l’Opéra de Lyon. Métamorphoses,emprunts aux arts plastiques, la piècepropose un corps hybride entre postureet sculpture vivantes. Sur le mode de laperformance, huit danseurs parcourentdans un mouvement continu. Premièrele 28 novembre aux Écuries de Charleroi.Standing Waves de Bud BlumenthalSous l’intitulé Coupe Maison, le KoninklijkBallet van Vlaanderen proposeaux danseurs de son corps de balletune sorte de tribune libre, afin qu’ilspuissent mettre en scène leurs propresvisions artistiques. Après les deuxpremières, la troisième coupe maisonsera à déguster dès ce 3 décembre auTheater’t Eilandje d’Anvers. 08

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