télécharger le dossier de presse hospitalités - Tram
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ÉColE MUniCiPAlE<br />
DES BEAUx-ARTS /<br />
GAlERiE ÉDoUARD MAnET,<br />
GEnnEVilliERS<br />
Du 15 septembre au 22 octobre<br />
Vernissage <strong>le</strong> mercredi 14 septembre à 18h30<br />
lES ÉGliSES, CEnTRE D’ART<br />
ConTEMPoRAin DE ChEllES<br />
Du 1 er octobre au 15 janvier<br />
Vernissage <strong>le</strong> samedi 8 octobre,<br />
à partir <strong>de</strong> 11h30<br />
07.<br />
Philippe Daney et Michel Verjux, la partie carrée<br />
Parallè<strong>le</strong>ment à la mise en va<strong>le</strong>ur d’un patrimoine industriel gennevillois dans<br />
l’espace public avec l’œuvre La <strong>presse</strong> Bliss <strong>de</strong> Philippe Daney, créateur, et <strong>de</strong><br />
Michel Verjux, plasticien connu pour ses dispositifs d’éclairage; la ga<strong>le</strong>rie Édouard<br />
Manet propose une exposition aux <strong>de</strong>ux artistes dans son espace.<br />
La partie carrée, référence subti<strong>le</strong> au Déjeuner sur l’herbe d’Édouard Manet,<br />
est pour eux l’occasion d’une confrontation polysémique entre <strong>le</strong>urs travaux<br />
respectifs, entre la production d’une exposition et la réponse à une comman<strong>de</strong>,<br />
entre la relation à l’espace d’exposition et à l’espace urbain.<br />
Inauguration <strong>de</strong> la comman<strong>de</strong> publique, avenue Gabriel Péri, <strong>le</strong> vendredi 23 septembre à 18h<br />
Rencontre avec Philppe Daney et Michel Verjux, <strong>le</strong> samedi 24 septembre à 14h30<br />
Guillaume Robert, la paupière, <strong>le</strong> seuil<br />
Pour l’exposition La paupière, <strong>le</strong> seuil, Guillaume Robert propose une installation<br />
multimédia in situ alliant vidéo, lumière, son et scénographie. À travers ce projet<br />
ambitieux investissant l’espace du centre d’art dans sa globalité, il expérimente<br />
une mise en abîme d’images, creusant un espace-temps virtuel. Tournés puis<br />
projetés au cœur <strong>de</strong>s églises, <strong>de</strong>s plans-séquences s’enchâssent <strong>le</strong>s uns dans <strong>le</strong>s<br />
autres, selon une partition précise. L’espace filmique vient redoub<strong>le</strong>r en couches<br />
successives l’espace réel générant un vertige perceptuel accentué par la création<br />
sonore élaborée en collaboration avec Julien Clauss.<br />
Les éléments mobiliers (bancs, tab<strong>le</strong>s, tribune...) agencés pour la captation<br />
<strong>de</strong>s images <strong>de</strong>meurent au sein <strong>de</strong> l’exposition, comme une excroissance du<br />
tournage. Ils matérialisent <strong>le</strong> dispositif <strong>de</strong> projection et d’accueil physique du<br />
public. La paupière, <strong>le</strong> seuil est éga<strong>le</strong>ment conçue comme un terrain <strong>de</strong> jeu à<br />
activer, ouvrant l’installation à <strong>de</strong>s interventions performatives. Philosophes,<br />
critiques d’art, chorégraphes, performeurs seront ponctuel<strong>le</strong>ment invités à venir<br />
s’en emparer ou s’y fondre.