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Programme<br />
SePtembre ≥écembre<br />
19.
édito<br />
Aujourd’hui, tram constitue un rése<strong>au</strong> exceptionnel de<br />
production et de diffusion de <strong>la</strong> création contemporaine.<br />
À l’échelle de l’Île-de-France, ses 31 membres proposent <strong>au</strong><br />
moins 155 expositions par an et ont invité plus de 700 artistes et<br />
collectifs. Ce dynamisme est le fait de l’engagement des équipes,<br />
de <strong>la</strong> qualité des programmations et de <strong>la</strong> mise en p<strong>la</strong>ce d’outils<br />
de communication et de médiation mutualisés.<br />
La rentrée 2011 - 2012 sera riche en événements. Elle commence<br />
avec une nouvelle édition d’Hospitalités, manifestation unique<br />
en son genre. Son titre témoigne de <strong>la</strong> vocation d’accueil des<br />
membres de tram. Ensemble ils ont imaginé, sur <strong>la</strong> thématique du<br />
dép<strong>la</strong>cement et de <strong>la</strong> circu<strong>la</strong>tion, un programme d’expositions, de<br />
performances, de conférences et de rencontres qui <strong>au</strong> cours de<br />
taxis tram entrainera le public d’un lieu à l’<strong>au</strong>tre chaque samedi du<br />
24 septembre <strong>au</strong> 10 décembre.<br />
2011 marque également l’ouverture de tram à l’international.<br />
Invité par l’Institut Français de Bratis<strong>la</strong>va en Slovaquie, le rése<strong>au</strong><br />
é<strong>la</strong>bore un programme vidéo qui y sera présenté en octobre dans<br />
le cadre du festival d’art contemporain BLAF.<br />
2011 ce sont <strong>au</strong>ssi les 30 ans du rése<strong>au</strong> ! Pour célébrer l’événement,<br />
une journée professionnelle est organisée le 6 décembre à Ivrysur-Seine.<br />
Ce sera l’occasion de s’interroger sur le sens de nos<br />
missions, de nos actions, sur leur portée artistique, économique<br />
et sociologique dans le champ de <strong>la</strong> création contemporaine.<br />
Pour <strong>au</strong>tant, cette riche actualité ne doit pas nous faire oublier<br />
que nos structures restent fragiles. La fermeture de l’École<br />
supérieure d’arts de Rueil-Malmaison fin juin, les incertitudes<br />
concernant l’avenir de centre d’art du Domaine départemental<br />
de Chamarande témoignent de cette vulnérabilité.<br />
Malgré les difficultés rencontrées par certains d’entre nous dont<br />
nous restons solidaires, nous avons à cœur de vous accueillir, de<br />
vous proposer des programmations exigeantes pour vous faire<br />
découvrir une création contemporaine toujours plus proche de<br />
vous et inscrite dans le champ du réel.<br />
Nous vous souhaitons une très belle rentrée.<br />
<strong>au</strong>de cartier et Lionel balouin<br />
Coprésidents de tram
01<br />
02<br />
03<br />
04<br />
05<br />
06<br />
07<br />
08<br />
09<br />
10<br />
11<br />
12<br />
13<br />
14<br />
15<br />
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17<br />
18<br />
19<br />
20<br />
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22<br />
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30<br />
31<br />
abbaye de m<strong>au</strong>buisson<br />
be<strong>au</strong>x-arts de paris, l'école nationale supérieure<br />
bétonsalon - centre d'art et de recherche<br />
centre d'art contemporain de brétigny<br />
centre d'art contemporain de <strong>la</strong> ferme du buisson<br />
centre d'art contemporain d'ivry - le crédac<br />
centre national de l'édition et de l'art imprimé<br />
centre photographique d'île-de-france<br />
domaine départemental de chamarande<br />
école et espace d'art contemporain camille <strong>la</strong>mbert<br />
école municipale des be<strong>au</strong>x-arts /galerie édouard manet<br />
les églises, centre d’art contemporain de chelles<br />
espace khiasma<br />
<strong>la</strong> galerie, centre d'art contemporain<br />
galerie municipale jean-collet<br />
galerie vil<strong>la</strong> des tourelles<br />
immanence<br />
jeu de p<strong>au</strong>me<br />
les <strong>la</strong>boratoires d'<strong>au</strong>bervilliers<br />
mac / val musée d'art contemporain du val-de-marne<br />
maison d'art bernard anthonioz<br />
maison des arts de ma<strong>la</strong>koff<br />
maison popu<strong>la</strong>ire<br />
<strong>la</strong> maison rouge, fondation antoine de galbert<br />
<strong>la</strong> maréchalerie - centre d'art contemporain<br />
micro onde<br />
pa<strong>la</strong>is de tokyo<br />
le p<strong>la</strong>te<strong>au</strong> / frac île-de-france<br />
synesthésie<br />
<strong>la</strong> vitrine de l'ensa paris-cergy<br />
espace culturel louis vuitton
Jusqu’<strong>au</strong> 1 er octobre.<br />
Du 30 novembre <strong>au</strong> 28 mai.<br />
Vernissage le mardi 29 novembre<br />
à 18h. Navette depuis Paris sur<br />
réservation.<br />
Samedi 24 septembre :<br />
abbaye de M<strong>au</strong>buisson,<br />
Galerie municipale Jean-Collet.<br />
01 abbaye<br />
de m<strong>au</strong>buiSSon<br />
abbaye de M<strong>au</strong>buisson,<br />
site d’art contemporain du<br />
Conseil général du Val d’Oise<br />
avenue Richard de Tour<br />
95310 Saint-Ouen l’Aumône<br />
01 34 64 36 10<br />
abbaye.m<strong>au</strong>buisson@valdoise.fr<br />
www.valdoise.fr<br />
13h-18h s<strong>au</strong>f mardi<br />
week-ends et fériés : 14h-18h<br />
(sf les 25/12 et 01/01)<br />
Ouverture uniquement durant<br />
les expositions temporaires<br />
Entrée libre<br />
A15 dir. Cergy-Pontoise, sortie 7<br />
Saint-Ouen l’Aumône centre<br />
Gare du Nord ou RER C dir.<br />
Pontoise station Saint-Ouen<br />
l’Aumône + 10 min à pied en<br />
suivant <strong>la</strong> rue Guy Sourcis<br />
Jan Kopp, La courbe de <strong>la</strong> ritournelle<br />
Le travail de Jan Kopp frappe par l’étonnante diversité des moyens<br />
d’expression qu’il investit (dessins et films d’animation, vidéos,<br />
sculptures, instal<strong>la</strong>tions). Ses œuvres, il aime à les concevoir<br />
avec les <strong>au</strong>tres. C’est le cas du dessin animé Les Ba<strong>la</strong>nçoires<br />
réalisé dans le cadre d’ateliers avec des habitants du Val-d’Oise.<br />
Cette exposition est p<strong>la</strong>cée sous le signe du jeu qui est le fil<br />
conducteur d’une pièce à l’<strong>au</strong>tre.<br />
emmanuelle Vil<strong>la</strong>rd, artifici finti #2<br />
Ici, <strong>la</strong> peinture sort de son cadre : sculpture, instal<strong>la</strong>tion, photo...<br />
Différentes séries prolifèrent et s’entrecroisent dans les<br />
accrochages. En intervenant dans le cadre patrimonial et<br />
anciennement religieux de l’abbaye, Emmanuelle Vil<strong>la</strong>rd propose<br />
un monde séduisant et baroque, un peu trop bril<strong>la</strong>nt en surface,<br />
peut-être à l’image de celui dans lequel nous évoluons.<br />
circu<strong>la</strong>tion<br />
Le parcours réunit les œuvres de quatre artistes : Jan Kopp,<br />
artiste allemand ; Agnès Caffier, artiste française ; Sadek Rahim,<br />
artiste algérien présentés à l’abbaye de M<strong>au</strong>buisson et Andrée<br />
Philippot-Mathieu, artiste française qui expose à <strong>la</strong> Galerie<br />
municipale Jean-Collet de Vitry-sur-Seine. Les œuvres de ces<br />
artistes abordent de près ou de loin des questions liées à<br />
l’identité, <strong>au</strong> déracinement, à <strong>la</strong> circu<strong>la</strong>tion migratoire, à <strong>la</strong> façon<br />
dont ils s’inscrivent en tant qu’artistes en territoire étranger et<br />
<strong>au</strong>x regards qu’ils posent sur cette altérité.
02 be<strong>au</strong>x-artS<br />
Du 21 octobre <strong>au</strong> 8 janvier<br />
Vernissage le jeudi 20 octobre à 18h.<br />
Commissaire invité :<br />
Guil<strong>la</strong>ume Désanges.<br />
Galeries d’exposition.<br />
Samedi 5 novembre.<br />
Du 27 octobre <strong>au</strong> 21 janvier.<br />
Vernissage le mercredi 26 octobre<br />
à partir de 18h.<br />
Cabinet des Dessins Jean Bonna.<br />
de PariS,<br />
L’ écoLe nationaLe SuPérieure<br />
14, rue Bonaparte<br />
75006 Paris<br />
01 47 03 50 00<br />
www.be<strong>au</strong>xartsparis.fr<br />
Galeries d’exposition<br />
13, quai Ma<strong>la</strong>quais.<br />
tous les jours s<strong>au</strong>f le lundi 13h-19h<br />
Cabinet des dessins Jean Bonna,<br />
14, rue Bonaparte :<br />
du lundi <strong>au</strong> vendredi 13h-18h<br />
Galeries d’exposition :<br />
6€-tarif réduit 4€<br />
Cabinet des dessins Jean Bonna :<br />
3€-tarif réduit 2€.<br />
métro ligne 4<br />
station Saint-Germain des Prés<br />
Bus : lignes 24, 27, 39, 63, 70,<br />
86, 87, 95, 96<br />
2001 – 2011 : Soudain déjà<br />
L’exposition 2001-2011 : Soudain déjà, présente une sélection de<br />
30 artistes issus de l’École depuis l’année 2000, en les mettant<br />
en parallèle avec les grands événements de cette décennie. Ce<br />
faisant, il ne s’agit pas d’illustrer l’actualité par les œuvres, mais<br />
plutôt de mesurer <strong>la</strong> position déviante que peut prendre l’art par<br />
rapport à des contextes et des événements. C’est donc une ligne<br />
chronologique qui constitue le fil de cette exposition sur <strong>la</strong>quelle<br />
viennent s’associer librement les trav<strong>au</strong>x des artistes. S’il est<br />
toujours difficile d’avoir du recul sur une génération contemporaine,<br />
l’exposition p<strong>la</strong>ce délibérément et exagérément cette génération<br />
dans son temps, <strong>au</strong> centre d’un rése<strong>au</strong> de faits et de situations<br />
contemporains. Proposer des lectures alternatives du monde par<br />
l’art. Cette exposition est également l’occasion de saluer l’action<br />
d’Henry-C<strong>la</strong>ude Cousse<strong>au</strong> à <strong>la</strong> tête de l’École durant <strong>la</strong> même<br />
décennie et les importantes réformes et évolutions que l’institution<br />
a connues <strong>au</strong> cours de cette intense période, visant son ouverture<br />
sur le monde, son internationalisation et sa modernisation.<br />
À <strong>la</strong> source de l’antique :<br />
<strong>la</strong> collection Sergei tchoban<br />
D’origine russe, architecte et dessinateur reconnu, Sergei Tchoban<br />
s’est intéressé très tôt à <strong>la</strong> période du retour à l’Antique <strong>au</strong> cours<br />
de <strong>la</strong>quelle Saint-Pétersbourg, sa ville natale, a trouvé sa forme<br />
actuelle. Ainsi, il collectionne depuis une dizaine d’années des<br />
feuilles réalisées entre le milieu du XVIII e siècle, moment de <strong>la</strong><br />
redécouverte de l’Antiquité romaine et grecque, jusqu’<strong>au</strong> milieu<br />
du XIX e siècle qui voit l’apogée du style néo-antique en Europe<br />
centrale et orientale.
03 bétonSaLon<br />
centre d'art & de recherche<br />
Du 9 septembre <strong>au</strong> 29 octobre.<br />
Vernissage le jeudi 8 septembre<br />
à partir de 18h.<br />
Commissariat : Mé<strong>la</strong>nie Mermod.<br />
Samedi 15 octobre<br />
CAC Brétigny,<br />
Bétonsalon – centre d’art et de<br />
recherche,<br />
Maison de <strong>la</strong> culture du Japon<br />
à Paris.<br />
Du 16 novembre <strong>au</strong> 15 janvier.<br />
Vernissage le mardi 15 novembre<br />
à partir de 18h.<br />
9, esp<strong>la</strong>nade Pierre Vidal-Naquet<br />
Rez-de-ch<strong>au</strong>ssée<br />
de <strong>la</strong> Halle <strong>au</strong>x Farines<br />
75013 Paris<br />
01 45 84 17 56<br />
www.betonsalon.net<br />
info@betonsalon.net<br />
du mardi <strong>au</strong> samedi : 11h-19h<br />
fermeture en août<br />
entrée libre<br />
métro ligne 14<br />
ou RER C station Bibliothèque<br />
François Mitterrand<br />
Jikken ko – bo –<br />
Le Jikken ko – bo – (実験工房 Atelier expérimental) est un collectif<br />
d’artistes comprenant p<strong>la</strong>sticiens, compositeurs, photographes,<br />
scénographes, un poète et critique de musique, un concepteur<br />
lumière, un graveur, un pianiste et un ingénieur. Actif de 1951 à<br />
1958 à Tokyo, le Jikken ko – bo – a généré des formes d’événements<br />
artistiques atypiques, entre ballet, récital et art environnemental.<br />
Éclipsé par <strong>la</strong> reconnaissance mondiale du Gutai Bijutsu Kyo – kai<br />
(Association d’art concret), le Jikken ko – bo – a proposé une vision<br />
transdisciplinaire, axée sur <strong>la</strong> question de l’œuvre col<strong>la</strong>borative,<br />
de l’expérimentation de nouve<strong>au</strong>x <strong>format</strong>s d’exposition et d’une<br />
expérience « sensorielle » de l’art. En association avec Showroom<br />
Londres et le CAC Brétigny, Ei Arakawa, Sergei Tcherepnin et<br />
Ge<strong>la</strong> Patashuri proposeront une nouvelle performance en<br />
hommage à ce collectif. Une série d'événements accompagnera<br />
l'exposition.<br />
une légende en cache une <strong>au</strong>tre<br />
En lien avec le cycle de rencontres mensuelles<br />
Sous le ciel libre de l’histoire organisé par Bétonsalon <strong>au</strong> musée du<br />
quai Branly cette année, l’idée de cette exposition collective est<br />
née de l’actualité : le 9 mai dernier, <strong>la</strong> tête maorie du Muséum<br />
d’Histoire Naturelle de Rouen a été définitivement remise à son<br />
peuple lors d’une cérémonie traditionnelle.
04 centre<br />
Du 23 septembre <strong>au</strong> 22 octobre.<br />
Vernissage le 22 septembre.<br />
Samedi 8 octobre, performances<br />
<strong>au</strong> CAC Brétigny et Bétonsalon.<br />
Samedi 15 octobre<br />
Performances & films CAC<br />
Brétigny, Bétonsalon<br />
Maison du Japon.<br />
Le mardi 8 et mercredi 9 novembre.<br />
d’art<br />
contemPorain de brétigny<br />
Espace Jules Verne, rue Henri Douard<br />
91220 Brétigny-sur-Orge<br />
t. 01 60 85 20 76 f. 01 60 85 20 90<br />
www.cacbretigny.com<br />
info@cacbretigny.com<br />
du mardi <strong>au</strong> samedi : 14h-18h<br />
et avant les soirs de spectacle<br />
<strong>au</strong> Théâtre Brétigny s<strong>au</strong>f jours<br />
fériés<br />
entrée libre<br />
RN 20 dir. Étampes<br />
accès RER C (30 min de Paris)<br />
dir. Dourdan Étampes, station<br />
Brétigny<br />
ei arakawa, ge<strong>la</strong> Patashuri,<br />
Sergei tcherepnin be a speaker… So be it…<br />
Ei Arakawa s’associe de nouve<strong>au</strong> à l’artiste géorgien Ge<strong>la</strong> Patashuri<br />
et l’artiste et compositeur américain Sergei Tcherepnin, une configuration<br />
col<strong>la</strong>borative à l’origine de plusieurs performances et dispositifs :<br />
Casco (Utrecht, 2010) New Jersey (Bâle, 2009) Tbilisi 5. Wednesday<br />
was Thursday (Tbilisi, Géorgie, 2008).<br />
La performance Be a speaker. So be it… est présentée à Paris en<br />
articu<strong>la</strong>tion à l’exposition Jikken ko – bo – , à Bétonsalon, et comporte<br />
une <strong>au</strong>tre version produite et montrée à The Showroom à Londres.<br />
alexandra bachzetsis<br />
a Piece danced alone<br />
La dernière œuvre de <strong>la</strong> chorégraphe interroge les notions connexes<br />
d’original et d’imitation. La question centrale est ici de savoir<br />
combien de répétitions – exprimées dans un mouvement, un<br />
geste, une phrase, une image ou un signe – sont indispensables<br />
à <strong>la</strong> production de sens et à l’établissement de nouve<strong>au</strong>x codes<br />
culturels. La première présentation en France de cette œuvre<br />
est proposée sous <strong>la</strong> forme d’une mise en miroir entre <strong>la</strong><br />
scène du théâtre du Centre culturel suisse de Paris (le 2 et 3<br />
novembre) et l’espace d’exposition du CAC Brétigny.
Jusqu’<strong>au</strong> 25 septembre.<br />
Vernissage le samedi 24<br />
septembre à 20h.<br />
Concert avec lllliillll.<br />
05 centre<br />
Samedi 17 septembre à 17h :<br />
performances de Scoli Acosta,<br />
Åbäke, Yaïr Barelli, Tom Marioni.<br />
Du 6 novembre <strong>au</strong> 29 janvier.<br />
Vernissage le dimanche 6<br />
novembre à 15h.<br />
Dimanche 13 novembre à 15h30 :<br />
projection et rencontre avec<br />
Filipa Cesar et Raquel Scheffer<br />
en partenariat avec l’Espace Khiasma.<br />
Samedi 10 décembre<br />
d’art contemPorain<br />
de La Ferme du buiSSon<br />
Allée de <strong>la</strong> Ferme-Noisiel<br />
77448 Marne-<strong>la</strong>-Vallée cedex 2<br />
t. 01 64 62 77 00 f. 01 64 62 77 99<br />
www.<strong>la</strong>fermedubuisson.com<br />
contact@<strong>la</strong>fermedubuisson.com<br />
mercredi, samedi,dimanche :<br />
14h-19h30. Jusqu’à 21h les soirs de<br />
spectacle et toute <strong>la</strong> semaine<br />
sur rdv. Visites guidées tous<br />
les samedis à 16h<br />
2€ TP, 1€ TR, entrée libre :<br />
buissonniers, moins de 12 ans,<br />
groupes et sur présentation de<br />
votre billet cinéma ou spectacle<br />
Porte de Bercy, A4 dir.<br />
Marne-<strong>la</strong>-Vallée, sortie Noisiel-<br />
Torcy puis Noisiel-Luzard (15 min)<br />
depuis Paris, RER A, dir.<br />
Marne-<strong>la</strong>-Vallée / Chessy, arrêt<br />
Noisiel (20 min)<br />
La ronde<br />
La commissaire Émilie Renard est invitée à concevoir<br />
une exposition collective et évolutive, réunissant œuvres<br />
permanentes, performances parlées ou dansées, concerts et<br />
séances de travail ouvertes <strong>au</strong> public, <strong>au</strong>tour de <strong>la</strong> figure de<br />
<strong>la</strong> ronde. Celle-ci se complète <strong>au</strong> fur et à mesure jusqu’<strong>au</strong><br />
vernissage « de clôture ».<br />
_Avec : Åbäke, Boris Achour, A Constructed World, Scoli<br />
Acosta, Bertille Bak, Yaï r Barelli, Johanna Billing, Elise Florenty,<br />
Dan Graham, lllliillll, Tom Marioni, Loreto Martínez Troncoso<br />
et Lore Gablier, Joachim Mogarra, Frédéric Moser et Philippe<br />
Schwinger, Ernesto Sartori, Katerina Šedà.<br />
mathieu Klebeye abonnenc<br />
orphelins de Fanon<br />
Mathieu Klebeye Abonnenc travaille à <strong>la</strong> manière d’un historien,<br />
à <strong>la</strong> recherche de figures et d’histoires oubliées ou passées<br />
sous silence. Il exhume des documents introuvables et souvent<br />
<strong>la</strong>cunaires qu’il interprète pour remettre <strong>au</strong> jour tout un pan de<br />
l’histoire coloniale et postcoloniale. Il présente à <strong>la</strong> Ferme du<br />
Buisson sa première exposition personnelle dans une institution<br />
française. S’interrogeant sur l’héritage de <strong>la</strong> pensée de Frantz<br />
Fanon, il conçoit une exposition-dispositif dans une architecture<br />
inspirée des pièces de théâtre écrites par le psychiatre et<br />
philosophe martiniquais, où prennent p<strong>la</strong>ce des films, des<br />
sculptures, des lectures, des tables-rondes…
06 centre<br />
Du 16 septembre <strong>au</strong> 18 décembre.<br />
Vernissage le jeudi 15 septembre<br />
de 17h à 21h.<br />
Samedi 3 décembre<br />
Centre d’art contemporain d’Ivry<br />
- le Crédac,<br />
La Maréchalerie - centre d’art<br />
contemporain.<br />
d’art<br />
contemPorain<br />
d’iVry - Le crédac<br />
La Manufacture des Œillets<br />
25-29 rue Raspail<br />
94200 Ivry-sur-Seine<br />
t.01 49 60 25 06 f. 01 49 60 25 07<br />
www.credac.fr<br />
contact@credac.fr<br />
du mardi <strong>au</strong> vendredi : 14h-18h<br />
samedi et dimanche : 14h-19h<br />
entrée libre<br />
métro ligne 7<br />
station Mairie d’Ivry<br />
(à 200 m du métro)<br />
mircea cantor<br />
more cheeks than S<strong>la</strong>ps<br />
Pour sa première exposition francilienne, Mircea Cantor investit<br />
les nouve<strong>au</strong>x espaces du Crédac situés désormais dans<br />
le bâtiment « américain » de <strong>la</strong> Manufacture des Œillets à Ivry.<br />
Mircea Cantor s’intéresse <strong>au</strong>x mythes et <strong>au</strong>x symboles (qu’ils<br />
soient universels ou liés à son pays natal) ainsi qu’à <strong>la</strong> trans<strong>format</strong>ion<br />
des traditions culturelles. Au Crédac, il présente des<br />
œuvres existantes et des pièces inédites. Parmi elles,<br />
I Decided not to Save the World (2011), une vidéo d’à peine une<br />
minute où un petit garçon dit de manière angélique, franche et<br />
rieuse qu’il a décidé de ne pas s<strong>au</strong>ver le monde. La vidéo Tracking<br />
Happiness (2009) met en scène de manière quasi mystique<br />
un groupe de sept femmes vêtues de b<strong>la</strong>nc, qui se promènent<br />
en file indienne puis forment un cercle, pieds nus sur du sable<br />
fin, un ba<strong>la</strong>i à <strong>la</strong> main. Chacune des traces qu’elles <strong>la</strong>issent est<br />
ba<strong>la</strong>yée par <strong>la</strong> personne qui suit. Fishing Fly (2011) est une sculpture<br />
monumentale, une sorte d’avion fabriqué à partir de barils<br />
de pétrole récupérés. Équipé d’un hameçon doré accroché sous<br />
<strong>la</strong> carlingue, il rappelle les jouets fabriqués à partir de cannettes.<br />
More Cheeks Than S<strong>la</strong>ps évoque <strong>la</strong> sentence de l’Évangile « tu ne<br />
rendras pas le mal par le mal... mais tu tendras <strong>la</strong> joue g<strong>au</strong>che ».<br />
C’est <strong>au</strong>ssi le titre d’une instal<strong>la</strong>tion en néon dont les mots sont<br />
écrits à l’envers et lisibles grâce à leurs reflets dans un miroir.<br />
Les équipes du Crédac et de La Maréchalerie vous accueillent<br />
pour une visite privilégiée de leurs expositions et de leurs<br />
sites, marqués chacun par un contexte historique contrasté,<br />
commentée par un architecte.
07 centre<br />
Du 9 <strong>au</strong> 21 septembre.<br />
Vernissage le vendredi 9 septembre<br />
à partir de 18h.<br />
Évènements Open books les samedis<br />
10 à 17h et 17 septembre à 16h.<br />
Du 21 octobre <strong>au</strong> 23 octobre<br />
Au Point Ephémère.<br />
Vendredi de 14h à 21h / samedi de<br />
14h à 21h / dimanche de 12h à 18h.<br />
Samedi 29 octobre<br />
Cneai<br />
MAC/VAL.<br />
nationaL<br />
de L’ édition &<br />
de L’ art imPrimé (cneai)<br />
Cneai de Paris<br />
20 rue Louise Weiss<br />
75013 Paris<br />
01 39 52 45 35<br />
www.cneai.com<br />
cneai@cneai.com<br />
du mardi <strong>au</strong> vendredi :11h - 19h<br />
entrée libre<br />
métro ligne 6<br />
station Chevaleret<br />
ligne 14 ou<br />
RER C station Bibliothèque<br />
François Mitterrand<br />
open books<br />
Ce projet de Charlotte Cheetham & Sophie Demay<br />
explore <strong>la</strong> représentation et l'exposition de l'objet livre.<br />
Ces interrogations sont mises en scène dans l’espace<br />
et compilées dans une publication.<br />
Salon Light #8<br />
Le Cneai renouvelle le <strong>format</strong> de cet incontournable rendezvous<br />
de <strong>la</strong> micro-édition en proposant un nouve<strong>au</strong> modèle<br />
de présentation des publications, transformant le salon en un<br />
véritable espace d’exposition des pratiques éditoriales.<br />
on trans<strong>la</strong>tion<br />
conférence de Sébastien Pluot à 16h30<br />
Au-delà du clivage entre le fantasme d’une communication et<br />
d’une traductibilité immédiate et le versant opposé de cette<br />
idéologie qui serait celui d’une opacité que l’on identifie dans<br />
les postures de l’ineffable et de l’indicible, il est question<br />
d’interroger <strong>la</strong> manière dont certaines pratiques artistiques<br />
proposent des formes dialectiques.<br />
conférence de yann Sérandour à 17h30<br />
L’artiste présente <strong>la</strong> publication Une traduction d’une <strong>la</strong>ngue à l’<strong>au</strong>tre,<br />
envisagée comme <strong>la</strong> traduction des enjeux de l’exposition<br />
Double Bind, Arrêtez d’essayer de me comprendre (Vil<strong>la</strong> Arson.<br />
février/mai 2010) qui portaient sur les phénomènes de<br />
traduction, d’interprétation, d’altération et d’inadéquation<br />
générés <strong>au</strong> sein d’œuvres d’art contemporaines.
08 centre<br />
Du 10 septembre <strong>au</strong> 6 novembre.<br />
Vernissage le vendredi 9<br />
septembre à 19h30.<br />
Du 20 novembre <strong>au</strong> 15 janvier.<br />
Vernissage le samedi 19 novembre<br />
à 13h.<br />
Samedi 8 octobre.<br />
PhotograPhique<br />
d’ÎLe-de-France (cPiF)<br />
107, avenue de <strong>la</strong> République<br />
77340 Pont<strong>au</strong>lt-Comb<strong>au</strong>lt<br />
t.01 70 05 49 80 f.01 70 05 49 84<br />
Pôle pédagogique (visites, projets,<br />
p’tits ateliers) : 01 70 05 49 83<br />
Atelier de théorie et de pratique<br />
photographique : 01 70 05 49 80<br />
www.cpif.net<br />
contact@cpif.net<br />
du mercredi <strong>au</strong> vendredi :10h-18h<br />
samedi et dimanche : 14h-18h<br />
entrée libre,<br />
<strong>au</strong>toroute A4 (porte de Bercy)<br />
dir. Metz-Nancy sortie Emerainville<br />
/Pont<strong>au</strong>lt-Comb<strong>au</strong>lt (N 104) puis<br />
sortie 14 : Pont<strong>au</strong>lt-Comb<strong>au</strong>lt (gare)<br />
En ville suivre ‘centre ville’<br />
puis ‘Centre photographique’<br />
RER E (30 mn. de Magenta) :<br />
dir. Tournan-en-Brie, descendre<br />
à Emerainville / Pont<strong>au</strong>lt-Comb<strong>au</strong>lt,<br />
Cpif à 10 mn. à pied de <strong>la</strong> gare<br />
L<strong>au</strong>ra henno - Sarah ritter<br />
Les deux artistes interrogent le point de bascule entre fiction et<br />
réalité en photographie et ont en commun d’articuler <strong>la</strong> figure<br />
humaine et le paysage. L<strong>au</strong>ra Henno construit des images qui<br />
rendent palpable une extrême tension entre l’intériorité de ses<br />
jeunes modèles et une réalité extérieure. Sarah Ritter observe et<br />
prélève des instants <strong>au</strong>xquels elle confère une manière d’éternité.<br />
Ces images sans dramaturgie, ni spectacu<strong>la</strong>ire fragmentent le réel,<br />
l’éc<strong>la</strong>tent, sans que le spectateur puisse s’accrocher à une trame<br />
narrative.<br />
À distance<br />
À distance est une expérience pédagogique exceptionnelle qui unit<br />
<strong>la</strong> démarche de jeunes <strong>au</strong>teurs de textes et d’images, issus de<br />
l’École Nationale Supérieure de <strong>la</strong> Photographie d’Arles et de l’École<br />
Normale Supérieure de Lyon. Les projets se sont construits <strong>au</strong>tour<br />
de l’interrogation et de <strong>la</strong> réinvention des rapports possibles entre<br />
les deux modes d’expression que sont <strong>la</strong> photographie et l’écriture.<br />
L’hospitalité des paysages<br />
Le parcours est construit <strong>au</strong>tour d’une réflexion sur <strong>la</strong> re<strong>la</strong>tion entre<br />
les territoires, paysages, naturels ou artificiels, d’origine ou d’accueil,<br />
et <strong>la</strong> présence humaine. Au programme, visites des expositions<br />
de <strong>la</strong> Maison d’art Bernard Anthonioz et du Jardin Tropical<br />
ainsi que de celle du CPIF et rencontre avec Nathalie Gonthier,<br />
directrice du Frac Réunion puis découverte de l’exposition de<br />
Thierry Fontaine à Micro Onde.
09 domaine<br />
Jusqu’<strong>au</strong> 25 septembre.<br />
Au châte<strong>au</strong> et dans les fabriques.<br />
Jusqu’à fin décembre.<br />
Dans le parc.<br />
déPartementaL<br />
de chamarande<br />
centre d’art contemPorain<br />
38 rue du Commandant Arnoux<br />
91730 Chamarande<br />
t. 01 60 82 52 01<br />
www.chamarande.essonne.fr<br />
chamarande@essonne.fr<br />
Châte<strong>au</strong> et Orangerie,<br />
tous les jours : 12h-19h<br />
Parc, mai : 9h-19h<br />
juin-sept : 9h-20h<br />
entrée libre<br />
A10, dir. Borde<strong>au</strong>x puis RN 20,<br />
dir. Étampes, sortie Étrechy-<br />
Chamarande<br />
RER C,<br />
dir. St-Martin-d’Étampes,<br />
station Chamarande<br />
en piste !<br />
L’exposition s’appuie sur une forme emblématique, le cercle - <strong>la</strong><br />
piste -, qu’elle conjugue à des images renvoyant <strong>au</strong>x acteurs du<br />
cirque. C’est une invitation à une expérience scénographique<br />
liée à des situations immédiates produites par les œuvres :<br />
le spectateur croise alors danseuses, magiciens, clowns…<br />
Projets spécifiques de Marcel Ber<strong>la</strong>nger, Jean-Daniel Bourgeois,<br />
Daniel Firman, Fransizka Furter, Vincent M<strong>au</strong>ger et Ruth Proctor.<br />
L’esprit des lieux<br />
L’Esprit des lieux, c’est favoriser <strong>au</strong> fil des saisons le dialogue entre<br />
création contemporaine, patrimoine bâti et environnement<br />
paysager. Cette année, deux artistes ont investi les espaces du<br />
Domaine : Gilles Bruni le Marais, et L<strong>au</strong>re Tixier le Potager.
10 écoLe<br />
Du 17 septembre <strong>au</strong> 22 octobre.<br />
Vernissage le samedi 17 septembre<br />
à partir de 18h.<br />
Rencontre avec Dominique Liquois<br />
le mardi 20 septembre à 19h.<br />
Du 16 novembre <strong>au</strong> 17 décembre.<br />
Vernissage le samedi 19 novembre<br />
à partir de 18h.<br />
Rencontre avec Éric Suchère<br />
le mardi 22 novembre à 19h.<br />
Samedi 19 novembre<br />
Immanence. Domaine<br />
départemental de Chamarande.<br />
Espace d’art contemporain<br />
Camille Lambert.<br />
& eSPace<br />
d’art contemPorain<br />
camiLLe Lambert<br />
35, avenue de <strong>la</strong> Terrasse<br />
91260 Juvisy-sur-Orge<br />
01 69 21 32 89<br />
eart.<strong>la</strong>mbert@portesessonne.fr<br />
Commun<strong>au</strong>té d’agglomération<br />
Les Portes de l’Essonne<br />
du mardi <strong>au</strong> samedi :<br />
14h-18h et sur rdv<br />
entrée libre<br />
<strong>au</strong>toroute A6 dir. Orly puis<br />
dir. Evry par <strong>la</strong> N7<br />
RER C ou RER D (10 mn. de Paris)<br />
station Juvisy-sur-Orge,<br />
sortie Mairie puis 10 mn. à pied<br />
dominique Liquois, conflicto barroco<br />
À <strong>la</strong> surface des toiles de Dominique Liquois surgissent des<br />
protubérances textiles. L’artiste abandonne parfois le pince<strong>au</strong><br />
pour l’épingle et greffe des volumes à même <strong>la</strong> toile. Son univers<br />
abstrait n’est pas dénué de liens avec <strong>la</strong> réalité. Le tissu, familier<br />
pour tous, évoque et suggère souvenirs ou évasions. La richesse<br />
des motifs se lie <strong>au</strong>x ap<strong>la</strong>ts de couleurs vives. Conflicto barroco est<br />
une invitation <strong>au</strong> voyage dans son univers.<br />
L’<strong>au</strong>berge espagnole, carte b<strong>la</strong>nche à éric Suchère<br />
Éric Suchère invite François Schmitt à concevoir une proposition<br />
pour l’Espace d’art Camille Lambert, à <strong>la</strong> fois instal<strong>la</strong>tion et<br />
scénographie utilisant ses propres sculptures et peintures. Dans<br />
ce territoire p<strong>la</strong>stique, François Schmitt accueille à son tour les<br />
œuvres de trois artistes : Gabriele Chiari, Silvia Hestnes et Olivier<br />
Soulerin qui dialoguent avec ce déjà existant dans <strong>la</strong> plus grande<br />
proximité.<br />
cartes b<strong>la</strong>nches<br />
Pour ce parcours les trois lieux s’associent dans une nouvelle<br />
invitation à Éric Suchère pour <strong>la</strong> conception d’un parcours qui<br />
s’achève à Juvisy par le vernissage de son exposition carte<br />
b<strong>la</strong>nche. Immanence présente des ouvrages, livres d’artistes<br />
issus d’Archive Station, son centre de documentation et de<br />
recherche, notamment des publications d’Éric Suchère,<br />
Gabriele Chiari, Silvia Hestnes et Olivier Soulerin.
11 écoLe<br />
Du 15 septembre <strong>au</strong> 22 octobre.<br />
Vernissage le mercredi 14 septembre<br />
à 18h30.<br />
Rencontre avec les artistes,<br />
le samedi 24 septembre à 14h30.<br />
Samedi 1 er octobre.<br />
Du 8 novembre <strong>au</strong> 17 décembre.<br />
Vernissage le lundi 7 novembre<br />
à 18h30.<br />
Rencontre avec le commissaire et<br />
les artistes, le samedi 19 novembre<br />
à 14h30.<br />
municiPaLe<br />
deS be<strong>au</strong>x-artS /<br />
gaLerie édouard manet<br />
3, p<strong>la</strong>ce Jean Grandel<br />
92230 Gennevilliers<br />
t. 01 40 85 67 40<br />
http://www.ville-gennevilliers.<br />
fr/culture/ecole-municipaledes-be<strong>au</strong>x-arts-galerieedouard-manet/<br />
embamanet@ville-gennevilliers.fr<br />
du lundi <strong>au</strong> vendredi : 14h-18h30<br />
le samedi : 14h-19h et sur rdv<br />
entrée libre<br />
Porte de Clichy, dir. Clichy<br />
centre, Pont de Clichy, Gennevilliers<br />
centre puis Vil<strong>la</strong>ge (10 mn. de <strong>la</strong><br />
Porte de Clichy)<br />
métro ligne 13 terminus<br />
Asnières-Gennevilliers-Les<br />
Courtilles + 10 mn. à pied ou bus<br />
ligne 166 ou 240 ou 378 arrêt<br />
Ancienne mairie<br />
Philippe daney et michel Verjux,<br />
La partie carrée<br />
Parallèlement à <strong>la</strong> mise en valeur d’un patrimoine industriel<br />
gennevillois dans l’espace public, La presse Bliss, par Philippe Daney,<br />
créateur et Michel Verjux, p<strong>la</strong>sticien connu pour ses dispositifs<br />
d’éc<strong>la</strong>irage, <strong>la</strong> galerie Édouard Manet propose une exposition<br />
<strong>au</strong>x deux artistes.<br />
La partie carrée, référence subtile <strong>au</strong> Déjeuner sur l’herbe<br />
d’Édouard Manet, est pour eux l’occasion d’une confrontation<br />
polysémique entre leurs trav<strong>au</strong>x respectifs, entre <strong>la</strong> production<br />
d’une exposition et <strong>la</strong> réponse à une commande, entre <strong>la</strong> re<strong>la</strong>tion<br />
à l’espace d’exposition et à l’espace urbain.<br />
In<strong>au</strong>guration de <strong>la</strong> commande publique, avenue Gabriel Péri, le<br />
vendredi 23 septembre à 18h.<br />
P<strong>la</strong>ces ! une proposition d’emmanuel S<strong>au</strong>lnier<br />
Emmanuel S<strong>au</strong>lnier invite à exposer ensemble onze jeunes artistes<br />
qui furent ses élèves <strong>au</strong>x be<strong>au</strong>x-arts de Nantes, de Nancy, de Dijon<br />
et de Paris. « Chacun porte dans sa pratique <strong>la</strong> mémoire du<br />
dép<strong>la</strong>cement et l’expérience de ce mouvement. Ainsi <strong>la</strong> conscience<br />
de <strong>la</strong> p<strong>la</strong>ce se situe pour eux <strong>au</strong> centre de leur projet et ce<strong>la</strong> fait<br />
étrangement écho <strong>au</strong>x sons du monde… », écrit-il.<br />
_Avec Steeve B<strong>au</strong>ras, Julie Chabin, Jean-François Courti<strong>la</strong>t,<br />
Sarah Derat, Sébastien Gschwind, L<strong>au</strong>ra Huertas, Guil<strong>la</strong>ume<br />
Lemarchal, Jean-Baptiste Mognetti, Andrés Ramirez, Olivier Sévère,<br />
Elise Wandevalle.
12 LeS<br />
Du 9 octobre <strong>au</strong> 15 janvier.<br />
Vernissage le samedi 8 octobre,<br />
à partir de 11h30. Navette allerretour<br />
Paris / Chelles. Départ<br />
P<strong>la</strong>ce de <strong>la</strong> Bastille à 11h sur<br />
réservation.<br />
Le 5 novembre à 15h :<br />
Bi-portrait Jean-Yves, chorégraphie<br />
de Mickaël Phelippe<strong>au</strong>,<br />
avec Jean-Yves Robert<br />
et Mickaël Phelippe<strong>au</strong>.<br />
Le 3 décembre, à 15h :<br />
Performance de Virginie Thomas<br />
& Yasmine Youcef<br />
suivie d’une chorégraphie de<br />
Rémy Héritier.<br />
Samedi 1 er octobre<br />
École municipale des be<strong>au</strong>x-arts/<br />
Galerie Édouard Manet,<br />
Les églises, centre d’art contemporain<br />
de <strong>la</strong> ville de Chelles.<br />
égLiSeS<br />
centre d’art contemPorain<br />
de La ViLLe de cheLLeS<br />
rue éterlet<br />
77500 Chelles<br />
01 64 72 65 70<br />
http://leseglises.chelles.fr<br />
leseglises@chelles.fr<br />
du vendredi <strong>au</strong> dimanche :<br />
14h-17h et sur rdv en semaine<br />
Interruption du 19 décembre<br />
<strong>au</strong> 3 janvier inclus<br />
entrée libre<br />
Transilien SNCF ligne Gare<br />
de l’Est – Me<strong>au</strong>x ou RER E (depuis<br />
H<strong>au</strong>ssmann/St Lazare ou Magenta)<br />
Station Chelles Gournay, sortie<br />
bd Chilpéric, puis traverser le<br />
Parc du Souvenir (5 min. à pied).<br />
guil<strong>la</strong>ume robert, La p<strong>au</strong>pière, le seuil<br />
La p<strong>au</strong>pière, le seuil est une instal<strong>la</strong>tion multimédia in situ alliant<br />
vidéo, scénographie, son et lumière. À travers ce projet ambitieux<br />
investissant l’espace du centre d’art dans sa globalité, Guil<strong>la</strong>ume<br />
Robert construit une mise en abîme d’images creusant un<br />
espace-temps virtuel. Tournés puis projetés <strong>au</strong> cœur des églises,<br />
des p<strong>la</strong>ns-séquences s’enchâssent les uns dans les <strong>au</strong>tres, selon<br />
une partition précise. L’espace filmique vient redoubler en<br />
couches successives l’espace réel. Il génère un vertige perceptuel<br />
nourri par <strong>la</strong> création sonore é<strong>la</strong>borée en col<strong>la</strong>boration avec<br />
Julien C<strong>la</strong>uss et les lumières réalisées par Rémi Godfroy.<br />
L’agencement des éléments mobiliers (bancs, tables, tribune...)<br />
défini pour <strong>la</strong> captation des images se recompose et demeure<br />
<strong>au</strong> sein de l’instal<strong>la</strong>tion, comme une excroissance du tournage<br />
en devenant le dispositif de projection et d’accueil physique du<br />
public. La p<strong>au</strong>pière, le seuil est conçue comme un terrain de jeu à<br />
activer, elle sera ponctuée d’interventions per<strong>format</strong>ives tout <strong>au</strong><br />
long de l’exposition.<br />
Panoramiques<br />
Entre <strong>la</strong> découverte des œuvres de Philippe Daney, de Michel<br />
Verjux et de Guil<strong>la</strong>ume Robert présentées dans chacun des sites,<br />
le duo d’artistes Nathalie Brevet_Hughes Rochette interviendra<br />
le long du parcours en posant un regard particulier sur le lien<br />
paysager émergeant de Gennevilliers à Chelles.<br />
Aux églises, Guil<strong>la</strong>ume Robert dévoilera à cette occasion une<br />
étape de tournage de La p<strong>au</strong>pière, le seuil.
13 eSPace<br />
Du 30 septembre <strong>au</strong> 12 novembre.<br />
Vernissage le jeudi 29 septembre<br />
de 18h30 à 23h.<br />
Samedi 12 novembre<br />
Le P<strong>la</strong>te<strong>au</strong>,<br />
Espace Khiasma,<br />
Galerie Vil<strong>la</strong> des Tourelles,<br />
Maison des Arts de Ma<strong>la</strong>koff.<br />
KhiaSma<br />
15, rue Chassagnolle<br />
93260 Les Li<strong>la</strong>s<br />
01 43 60 69 72<br />
www.khiasma.net<br />
info@khiasma.net<br />
du mercredi <strong>au</strong> samedi : 15h-20h<br />
accueil des groupes sur rdv<br />
entrée libre<br />
métro ligne 11<br />
station Porte ou Mairie des Li<strong>la</strong>s<br />
(5 min à pied)<br />
Bus 115, Porte des Li<strong>la</strong>s /<br />
Châte<strong>au</strong> de Vincennes,<br />
arrêt Chassagnolle<br />
Vincent meessen, my Last Life<br />
My Last Life prend pour point de départ <strong>la</strong> couverture d’un<br />
numéro de Paris Match paru en 1955 où un enfant de troupe<br />
fait le salut militaire. Ro<strong>la</strong>nd Barthes a longuement écrit sur<br />
cette couverture dans Mythologies. Empruntant <strong>la</strong> piste <strong>la</strong>issée<br />
ouverte par le penseur français, Vincent Meessen construit une<br />
fable complexe faite d’objets, de films et d’archives, matéri<strong>au</strong>x<br />
documentaires qui habilement mettent en crise le récit<br />
historique pour le peupler de fantômes. Avec cette première<br />
exposition personnelle en France, Vincent Meessen propose<br />
une archéologie fictionnelle du monde colonial et de ses figures<br />
refoulées. En extension de son exposition, l’artiste a conçu un<br />
programme itinérant de films récents, Hantologie des Colonies,<br />
articulé <strong>au</strong>tour de <strong>la</strong> figure du fantôme colonial. Les projections<br />
se dérouleront du 8 octobre <strong>au</strong> 18 novembre <strong>au</strong> sein notamment<br />
de différents lieux du rése<strong>au</strong> tram et de cinémas du Groupement<br />
National des Cinémas de Recherche.<br />
hospitalité pour les fantômes<br />
Par un jeu de fictions critiques, les quatre expositions de ce<br />
parcours prennent en charge des récits qui négocient les<br />
absences, les zones d’ombres mais <strong>au</strong>ssi les stéréotypes du récit<br />
historique et du discours scientifique.<br />
Par <strong>la</strong> fable, <strong>la</strong> fantaisie, l’uchronie ou <strong>la</strong> relecture, les artistes<br />
mettent ici en c<strong>au</strong>se le principe même de vérité historique ou<br />
scientifique pour faire apparaître <strong>la</strong> structure complexe de tout<br />
événement et les enjeux formels de tout récit.
14 La<br />
Du 17 septembre <strong>au</strong> 19 novembre.<br />
Vernissage le vendredi 16 septembre<br />
de 18h à 21h.<br />
Du 3 décembre <strong>au</strong> 12 février.<br />
Vernissage le vendredi 2 décembre<br />
de 18h à 21h.<br />
Curateur associé :<br />
Jean-Marc Avril<strong>la</strong>.<br />
Lors de chaque vernissage,<br />
navette gratuite <strong>au</strong> départ de<br />
Paris, P<strong>la</strong>ce de <strong>la</strong> République à 19h.<br />
Samedi 5 novembre<br />
ENSBA,<br />
La Galerie, centre d’art contemporain,<br />
Les Laboratoires d’Aubervilliers.<br />
gaLerie,<br />
centre d'art contemPorain<br />
1 rue Jean-J<strong>au</strong>rès<br />
93130 Noisy-le-Sec<br />
01 49 42 67 17<br />
www.noisylesec.net<br />
<strong>la</strong>galerie@noisylesec.fr<br />
du mardi <strong>au</strong> vendredi :14h-18h<br />
Samedi : 14h-19h. Fermeture<br />
dimanche, lundi & jours fériés<br />
entrée libre<br />
RER E + 10 min de marche en<br />
direction de <strong>la</strong> mairie<br />
Bus : 105, 145 et 301 (arrêt<br />
Jeanne d’Arc)<br />
<strong>Tram</strong> : T1 de Bobigny,<br />
La Courneuve, Saint-Denis<br />
(arrêt Noisy-le-Sec RER)<br />
Porte des Li<strong>la</strong>s direction<br />
Romainville ou Porte de Pantin<br />
direction Noisy-le-Sec<br />
meris angioletti<br />
Pour sa première exposition personnelle en France, l’artiste<br />
italienne Meris Angioletti (1977) désormais basée à Paris<br />
présente à La Galerie un ensemble d’œuvres, dont une pièce<br />
sonore inédite, <strong>au</strong> croisement de méthodes scientifiques,<br />
d’expériences perceptives et de recherches sur l’inconscient.<br />
georges tony Stoll<br />
Opérant un choix parmi vingt ans de peinture, photographie,<br />
vidéo, dessin et construction, cette nouvelle exposition de<br />
Georges Tony Stoll (né en 1955 à Marseille, vit à Paris) propose<br />
un « parcours al<strong>la</strong>nt de <strong>la</strong> réalité sensible du monde - que l’on<br />
nomme expérience - à une <strong>au</strong>tre réalité visible que l’on nomme<br />
abstraction ».
15 gaLerie<br />
Du 11 septembre <strong>au</strong> 16 octobre.<br />
Vernissage samedi 10 septembre à 18h.<br />
Samedi 24 septembre :<br />
abbaye de M<strong>au</strong>buisson<br />
Galerie municipale Jean-Collet.<br />
Du 21 novembre <strong>au</strong> 19 décembre.<br />
Vernissage samedi 20 novembre<br />
à 18h.<br />
Le 1 er octobre.<br />
municiPaLe<br />
Jean-coLLet<br />
59 avenue Guy-Môquet<br />
94400 Vitry-sur-Seine<br />
01 43 91 15 33<br />
www.mairie-vitry94.fr/culture<br />
/galerie<br />
galerie.municipale@mairie-vitry94.fr<br />
du mardi <strong>au</strong> dimanche : 13h-18h<br />
et mercredi : 10h-12h<br />
entrée libre<br />
RER C gare de Vitry<br />
ou métro 7<br />
station Villejuif Louis-Aragon<br />
ou métro 8 station Liberté<br />
puis bus 180 arrêt église<br />
de Vitry<br />
andrée Philippot-mathieu,ici comme ailleurs<br />
L’exposition est un volet du travail de l’artiste qui aborde <strong>la</strong><br />
notion d’identité dans toutes ses acceptions, de l’intime <strong>au</strong><br />
collectif. L’identité personnelle, sociale ou culturelle, l’homme et<br />
son environnement sont questionnés par cette artiste dont les<br />
voyages étayent <strong>la</strong> démarche artistique. Ses œuvres s’articulent<br />
par séries et témoignent d’un cheminement qui l’a menée de <strong>la</strong><br />
peinture à <strong>la</strong> photographie. Réalisées dans différents endroits du<br />
monde, deux séries sont présentées : Nomadic Portraits, aborde<br />
l’entièreté de l’<strong>au</strong>tre, et Ici comme ailleurs montre <strong>la</strong> vie popu<strong>la</strong>ire<br />
et quotidienne et les mêmes besoins souvent, derrière les<br />
différences culturelles.<br />
novembre à Vitry 2011<br />
Depuis 1969, ce prix annuel est ouvert à des artistes de moins<br />
de 40 ans qui proposent une œuvre dont <strong>la</strong> problématique<br />
s’attache à tous les possibles du pictural. Le jury composé<br />
d’artistes retiendra deux œuvres qui entreront dans <strong>la</strong> collection<br />
« Novembre à Vitry » de <strong>la</strong> ville de Vitry-sur-Seine et les <strong>la</strong>uréats<br />
exposeront en mai 2012 à <strong>la</strong> Galerie.<br />
nuit b<strong>la</strong>nche 94<br />
Le collectif Studio 21bis est invité à intervenir dans l’espace<br />
public en créant une œuvre monumentale et éphémère p<strong>la</strong>ce<br />
Jean-Martin à Vitry-sur-Seine. En écho, l’école d’arts p<strong>la</strong>stiques<br />
met en œuvre un work in progress ouvert à tous sous <strong>la</strong> direction<br />
artistique d’Alexandra Sà, questionnant <strong>la</strong> re<strong>la</strong>tion intérieur/<br />
extérieur de l’architecture du lieu.
16 gaLerie<br />
Du 30 septembre <strong>au</strong> 14 janvier.<br />
Vernissage le mercredi 5 octobre<br />
de 18h à 21h.<br />
Commissaires invités :<br />
Frédéric Dumond<br />
& Emmanuel Adely.<br />
Samedi 12 novembre<br />
Le P<strong>la</strong>te<strong>au</strong>,<br />
Espace Khiasma,<br />
Galerie Vil<strong>la</strong> des Tourelles,<br />
Maison des Arts de Ma<strong>la</strong>koff.<br />
ViLLa deS toureLLeS<br />
9, rue des Anciennes-Mairies<br />
92000 Nanterre<br />
01 41 37 52 06<br />
www.nanterre.fr<br />
galerievil<strong>la</strong>destourelles@<br />
mairie-nanterre.fr<br />
mardi / jeudi / vendredi : 16h- 19h<br />
mercredi et samedi : 14h-19h<br />
entrée libre<br />
RER A,<br />
station Nanterre-Ville (suivre<br />
fléchage Maison de <strong>la</strong> musique)<br />
para doxa,<br />
hétérodoxies de l’événement<br />
L’exposition est conçue en écho à <strong>la</strong> commémoration du<br />
17 octobre 1961, jour où de nombreux Algériens furent tués<br />
par <strong>la</strong> police française alors qu’ils rejoignaient Paris depuis <strong>la</strong><br />
banlieue pour une manifestation pacifique contre le couvre-feu.<br />
Elle réunit des artistes et des écrivains qui, chacun selon ses<br />
positions, évoquent des événements historiques (répressions,<br />
faits d’actualités) en proposant des dispositifs de représentation<br />
en dissidence de l’opinion commune.<br />
_Avec les œuvres de Emmanuel Adely, Jeremy Deller,<br />
Frédéric Dumond, Oriana Eliçabe, Harun Farocki, C<strong>la</strong>ire Fontaine,<br />
François Martig, Philippe Parreno, Peter Watkins et des textes de<br />
Nicole Caligaris, Arno Calleja, Anne-James Chaton, Sonia Chiambretto,<br />
Didier Daeninckx, Emmanuelle Heidsieck, Alban Lefranc,<br />
Oliver Rohe, Daniel de Roulet présentés dans l’espace public.
Du 22 septembre <strong>au</strong> 15 octobre.<br />
Vernissage le jeudi 22 septembre à 18h30<br />
Commissariat invité :<br />
du Cygne, Virginie Thomas<br />
& Olivia Hernandez.<br />
Du 17 novembre <strong>au</strong> 14 décembre .<br />
Vernissage le jeudi 17 novembre à 18h30<br />
Commissaires invitées : Valentine<br />
Meyer & Véronique Ribordy.<br />
Samedi 19 novembre.<br />
_Dans l’espace NEW<br />
Du 8 <strong>au</strong> 24 septembre, vernissage<br />
le jeudi 8 septembre à 18h30.<br />
Du 29 septembre <strong>au</strong> 29 octobre,<br />
vernissage le jeudi 29 septembre<br />
à 18h30.<br />
Du 10 <strong>au</strong> 26 novembre, vernissage<br />
le jeudi 10 novembre à 18h30.<br />
17 immanence<br />
21 avenue du Maine<br />
75015 Paris<br />
t/f : 01 42 22 05 68<br />
www.art-immanence.org<br />
immanence.art@club-internet.fr<br />
du jeudi <strong>au</strong> samedi : 14h-18h<br />
et sur rdv<br />
banalités curieuses<br />
Les espaces de vie, de travail et d’exposition des artistes se<br />
confondent souvent, amenant certains à envisager leur logement<br />
comme matière de travail. À travers des prélèvements du quotidien<br />
revisités, réinventés, détournés, le white cube se voit empli d’une<br />
atmosphère à <strong>la</strong> banalité curieuse._Avec : M. de Broin, Cocoon<br />
(Christophe Demarthe), Q. Crestinu, C. Desvignes, F. Dupont,<br />
A. de Lavilléon, M. Mercier, C. Meynier, P. P<strong>au</strong>lin et M. Zheng.<br />
Parce que <strong>la</strong> carte est plus importante que le territoire<br />
Face à face de <strong>la</strong> jeune création franco-suisse <strong>au</strong>tour du temps<br />
de <strong>la</strong> carte, celui de <strong>la</strong> représentation mentale d’un paysage<br />
intérieur ou celui de <strong>la</strong> construction de <strong>la</strong> mémoire parce que<br />
<strong>la</strong> carte est plus importante que le territoire. Tout contre les<br />
mots du dernier roman de Michel Houellebecq, un poème de<br />
B<strong>la</strong>ise Cendrars issu du recueil La prose du transsibérien et de <strong>la</strong><br />
petite Jehanne de France , est donné comme fil rouge à chacun<br />
des artistes._Avec : M. Gunzberger, Ming Jun Luo, S. Ausländer<br />
Bouvier, G. Chotard, J. Liron, C. Tanc.<br />
Stéphane Lecomte, Ça tient <strong>la</strong> route<br />
agnès thurn<strong>au</strong>er, Sujet, verbe et compléments<br />
Artistes invités : Art & Language<br />
Nuit B<strong>la</strong>nche, le samedi 1 er octobre de 14h à 22h<br />
L<strong>au</strong>rent mazuy<br />
entrée libre<br />
métro station Montparnasse<br />
sortie n°2 (lignes 4, 6, 12, 13)<br />
ou Falguière.<br />
Bus (91, 92, 95, 96)
Jusqu’<strong>au</strong> 25 septembre.<br />
Du 18 octobre <strong>au</strong> 5 février.<br />
18 Jeu<br />
Programmation Satellite 4<br />
de Raimundas Ma<strong>la</strong>s<strong>au</strong>skas.<br />
Du 25 octobre <strong>au</strong> 20 décembre.<br />
Samedi 26 novembre<br />
Espace Synesthésie,<br />
Jeu de P<strong>au</strong>me / Espace Virtuel,<br />
Espace culturel Louis Vuitton.<br />
ˆ<br />
de P<strong>au</strong>me<br />
1, p<strong>la</strong>ce de <strong>la</strong> Concorde<br />
75008 Paris<br />
01 47 03 12 50<br />
www.jeudep<strong>au</strong>me.org<br />
info@jeudep<strong>au</strong>me.org<br />
mardi : nocturne 12h-21h<br />
du mercredi <strong>au</strong> vendredi : 12h-19h,<br />
samedi et dimanche : 10h-19h<br />
Fermé le lundi<br />
8,5€ , tarif réduit : 5,5€<br />
Abonnement annuel : 25€<br />
Tarif réduit : 20€ , tarif jeune : 15€<br />
Rdv avec les conférenciers<br />
mercredi & samedi à 12h30 et<br />
Rdv en famille le samedi à 15h30<br />
(gratuit sur présentation du billet)<br />
métro Concorde, lignes 1 , 8 , 12<br />
Santu mofokeng / c<strong>la</strong>ude cahun / France Fiction<br />
diane arbus<br />
Diane Arbus (New York, 1923-1971) a révolutionné l’art de <strong>la</strong><br />
photographie. L’<strong>au</strong>dace de sa thématique, <strong>au</strong>ssi bien que son<br />
approche photographique ont donné naissance à une œuvre<br />
souvent choquante par sa pureté, par cette inébran<strong>la</strong>ble célébration<br />
des choses telles qu’elles sont. Avec plus de 200 clichés, cette<br />
première rétrospective en France permet de découvrir <strong>la</strong> source,<br />
l’étendue, mais <strong>au</strong>ssi les aspirations d’une force parfaitement<br />
originale dans l’univers de <strong>la</strong> photographie.<br />
<strong>au</strong>drey cottin : charlie & Sabrina, qui l’eût cru?<br />
Audrey Cottin aime <strong>la</strong> matérialité des choses : l’immédiateté du<br />
moment et l’irréductibilité du présent sont parmi ses vocations<br />
les plus profondes. Ainsi, elle dissémine ses multiples fascinations<br />
dans des expéditions kaléidoscopiques qui traversent le genre,<br />
les formes et les protocoles.<br />
Jahnu barua/adoor gopa<strong>la</strong>krishnan<br />
north east by South West<br />
L’unité du cinéma indien se manifeste par <strong>la</strong> quantité impressionnante<br />
de films produits, <strong>la</strong> richesse de son répertoire et <strong>la</strong> p<strong>la</strong>ce éc<strong>la</strong>tante<br />
qu’il occupe dans l’histoire du cinéma mondial. Nous avons choisi<br />
de montrer les films de ces deux cinéastes, ayant reçu <strong>la</strong> même<br />
<strong>format</strong>ion, mais que séparent leur ancrage géographique et<br />
historique et <strong>la</strong> <strong>la</strong>ngue parlée dans leurs films.
19 LeS<br />
Performance avec Ren<strong>au</strong>d Golo<br />
et Pascaline Denimal, le jeudi 22<br />
septembre à 20h<br />
Nuit B<strong>la</strong>nche, le samedi 1 er<br />
octobre<br />
Samedi 5 novembre<br />
ENSBA, La Galerie, centre<br />
d’art contemporain de Noisyle-Sec,<br />
Les Laboratoires<br />
d’Aubervilliers.<br />
LaboratoireS<br />
d'<strong>au</strong>berViLLierS<br />
41, rue Lécuyer<br />
93300 Aubervilliers<br />
01 53 56 15 90<br />
www.les<strong>la</strong>boratoires.org<br />
info@les<strong>la</strong>boratoires.org<br />
Contact Illégal_cinéma :<br />
m.lericq@les<strong>la</strong>boratoires.org<br />
le Journal des Laboratoires<br />
(présentations publiques) : 20h<br />
Accueil du public, bar et<br />
rest<strong>au</strong>ration légère dès 19h30.<br />
entrée libre sur réservation<br />
et dans <strong>la</strong> limite des p<strong>la</strong>ces<br />
disponibles.<br />
métro ligne 7 Aubervilliers<br />
/ Pantin / Quatre-Chemins<br />
(sortie Avenue de <strong>la</strong> République,<br />
côté numéros pairs)<br />
barbara manzetti, enfant. guitare. rouge<br />
Dans ce projet <strong>au</strong>x confins de l’écriture et de <strong>la</strong> performance,<br />
Barbara Manzetti utilise comme support d’écriture deux lieux :<br />
l’espace Khiasma et les Laboratoires d’Aubervilliers, où ses écrits<br />
sont présentés lors de performances tous les quatre mois.<br />
idéographie, de noé Soulier, 20h30 - 21h30<br />
Dans Idéographie, Noé Soulier compose des argumentaires<br />
théoriques disparates en employant des outils chorégraphiques,<br />
music<strong>au</strong>x ou cinématographiques. Loin de défendre une thèse,<br />
il engage l’<strong>au</strong>ditoire dans une expérience de pensée structurée à<br />
partir de principes dramaturgiques.<br />
no Future et no Past de P<strong>au</strong>line boudry et renate Lorenz, 20h -22h<br />
Avec No Future et No Past (15’, 2011), P<strong>au</strong>line Boudry et Renate<br />
Lorenz abordent le thème du rapport à <strong>la</strong> temporalité établi par<br />
les mouvements alternatifs, notamment queer et punk.<br />
Elles entameront en 2012 une nouvelle création vidéo <strong>au</strong>x<br />
Laboratoires, qui s’inscrit dans ce questionnement et cette<br />
pratique d’é<strong>la</strong>boration progressive d’une archéologie queer.<br />
une pièce, deux pièces, trois pièces…<br />
« Tour anti-touristique » par un col<strong>la</strong>borateur du projet Architectures<br />
de <strong>la</strong> décolonisation qui intervient lors du trajet de Noisy-le-Sec à<br />
Aubervilliers, puis projection d’une sélection de documentaires<br />
de 17h15 à 21h30 proposée par Marion von Osten. Ces films<br />
remettent en perspective l’habitat social des banlieues européennes,<br />
comme double symbole de l’échec de <strong>la</strong> modernité architecturale<br />
et de l’histoire conflictuelle de <strong>la</strong> décolonisation.
Du 21 octobre <strong>au</strong> 5 février.<br />
/ VaL<br />
muSée d'art contemPorain<br />
20mac<br />
du VaL-de-marne<br />
Vernissage le vendredi 21 octobre,<br />
à partir de 18h30.<br />
Navettes sur réservation.<br />
Dès le 21 octobre.<br />
Samedi 29 octobre<br />
CNEAI,<br />
MAC/VAL.<br />
On Trans<strong>la</strong>tion<br />
14h - Under the influence, lecture/<br />
performance de Jérôme Game,<br />
écrivain et poète sonore.<br />
15h30 - Présentation de l’œuvre de<br />
Pedro Reyes, artiste mexicain.<br />
P<strong>la</strong>ce de <strong>la</strong> Libération<br />
94400 Vitry-sur-Seine<br />
t: 01 43 91 64 20 f : 01 43 91 64 30<br />
contact@macval.fr<br />
www.macval.fr<br />
du mardi <strong>au</strong> vendredi : 10h-18h,<br />
du samedi <strong>au</strong> dimanche : 12h-19h<br />
5€ /2,5€, gratuité sous<br />
conditions et les 1 er dimanches<br />
de chaque mois<br />
Porte de Choisy, RN 305<br />
jusqu’à <strong>la</strong> p<strong>la</strong>ce de <strong>la</strong> Libération<br />
Métro ligne 7, arrêt Porte<br />
de Choisy puis bus 183 arrêt<br />
Musée Mac/Val.<br />
RER C, gare de Vitry-sur-Seine<br />
puis bus 180. RER D, gare de<br />
Maisons-Alfort- Alfortville puis<br />
bus 172 arrêt Henri de Vilmorin<br />
Jesper Just<br />
Pour sa première exposition monographique en France ce<br />
jeune artiste (né en 1974 à Copenhague, vivant à New York)<br />
à <strong>la</strong> renommée internationale, présente un ensemble de films<br />
ainsi qu’une nouvelle production. Son univers est romantique<br />
et décalé. Ses films courts sont construits comme des récits qui<br />
disent <strong>la</strong> vulnérabilité cachée dans le masque social, qui disent<br />
l’amour dans une esthétique travaillée, poussée et référentielle,<br />
où rien n’est <strong>la</strong>issé <strong>au</strong> hasard.<br />
une saison d’artistes<br />
d’amérique <strong>la</strong>tine<br />
Pedro Reyes, Carlos Amorales et Tomas Espina développent un<br />
travail protéiforme : ils créent des dessins, des sculptures, des<br />
instal<strong>la</strong>tions et des vidéos. À travers leurs œuvres, ils mettent<br />
en re<strong>la</strong>tion des publics et des lieux. Chacun s’intéresse <strong>au</strong>x<br />
liens soci<strong>au</strong>x qui se tissent dans l’espace public. Trois nouvelles<br />
productions seront dévoilées à cette occasion.<br />
bgL<br />
Le collectif BGL, composé de trois artistes du Québec est<br />
invité à réinterpréter sa pièce conçue pour Nuit B<strong>la</strong>nche 2011. Ils<br />
proposent un immense bûché bricolé avec des branches, divers<br />
objets de rebut, animé de f<strong>la</strong>mmes factices faites de rubans de<br />
couleurs ventilés. Cette expérience sensorielle est à découvrir<br />
dans l’espace de <strong>la</strong> nef du musée.
Du 8 septembre <strong>au</strong> 23 octobre.<br />
Vernissage le 7 septembre à 19h.<br />
Du 9 septembre <strong>au</strong> 11 septembre.<br />
Samedi 8 octobre<br />
Maison d’art Bernard Anthonioz<br />
Jardin tropical, CPIF, Micro Onde.<br />
21maiSon d'art<br />
bernard anthonioz<br />
16, rue Charles VII<br />
94130 Nogent-sur-Marne<br />
01 48 71 90 07<br />
www.maisondart.fr<br />
maison-dart-bernard-anthonioz@<br />
wanadoo.fr<br />
tlj, sf mardis et jours fériés :<br />
12h-18h<br />
entrée libre<br />
métro : Ligne 1 Châte<strong>au</strong> de<br />
Vincennes + bus 114 sous-préfecture<br />
RER A : Nogent / Marne, 10 min à<br />
pied. RER E : Nogent-Le Perreux,<br />
8 min à pied<br />
Frédéric teschner, Le Secret des anne<strong>au</strong>x de Saturne<br />
La proposition de Frédéric Teschner installe l’objet-livre comme<br />
matéri<strong>au</strong> visuel et p<strong>la</strong>stique de l’exposition. Il est allé à <strong>la</strong> découverte<br />
du fonds documentaire conservé à <strong>la</strong> bibliothèque de <strong>la</strong> Maison<br />
d’art et y a g<strong>la</strong>né, ici ou là, <strong>au</strong> gré des pages feuilletées, sur une<br />
couverture ou une carte postale, des images, des morce<strong>au</strong>x<br />
d’images avec lesquelles il compose d’<strong>au</strong>tres images qui se<br />
déploient dans l’exposition.<br />
Ces objets graphiques disséminés dans l’espace sont accompagnés<br />
de textes proposés par différents <strong>au</strong>teurs, critiques, artistes, graphistes,<br />
<strong>au</strong>tour de <strong>la</strong> question du statut et du rôle du graphisme <strong>au</strong>jourd’hui.<br />
Piy #2<br />
La seconde édition de PIY#2 poursuit son exploration des livres<br />
de photos <strong>au</strong>to-publiés : du poster à <strong>la</strong> boîte, de <strong>la</strong> monographie<br />
<strong>au</strong> fanzine, de l’offset à l’impression maison. Retour sur cette<br />
tendance « do it yourself ».<br />
L’hospitalité des paysages<br />
Le CPIF, <strong>la</strong> Maison d’art Bernard Anthonioz et Micro Onde<br />
proposent un parcours organisé <strong>au</strong>tour d’une réflexion sur le<br />
paysage naturel ou construit par l’homme et relevant de questions<br />
d’identités et de territoires. Les œuvres comme les acteurs qui<br />
ponctueront chacune des étapes de ce parcours donneront<br />
l’occasion de possibles interrogations en termes d’identité, de<br />
métissage, d’héritage ou d’emprunt, voire de rémanences de<br />
visées impérialistes ou coloniales. _Avec les œuvres de Frédéric<br />
Teschner, L<strong>au</strong>ra Henno, Thierry Fontaine et Francis Morandini.
22 maiSon<br />
Du 21 septembre <strong>au</strong> 18 décembre.<br />
Vernissage le samedi 24 septembre<br />
à 18h.<br />
Samedi 12 novembre<br />
Le P<strong>la</strong>te<strong>au</strong>,<br />
Espace Khiasma,<br />
Galerie Vil<strong>la</strong> des Tourelles,<br />
Maison des Arts de Ma<strong>la</strong>koff.<br />
deS artS<br />
de maLaKoFF<br />
105, avenue du 12-Février-1934<br />
92240 Ma<strong>la</strong>koff<br />
01 47 35 96 94<br />
http://maisondesarts.ma<strong>la</strong>koff.fr<br />
maisondesarts@ville-ma<strong>la</strong>koff.fr<br />
du mercredi <strong>au</strong> vendredi :12h-18h<br />
samedi et dimanche : 14h-19h<br />
lundi et mardi sur rdv<br />
entrée libre<br />
métro ligne 13<br />
station Ma<strong>la</strong>koff-<br />
P<strong>la</strong>te<strong>au</strong> de Vanves<br />
station Vélib’ 22404<br />
natacha nisic, my corean dream<br />
Au travers d’œuvres inédites (vidéos, textes et photographies)<br />
émanant d’un dialogue avec l’artiste coréen Chang Kyong Park,<br />
Natacha Nisic interroge le regard que nous portons sur les <strong>au</strong>tres<br />
et comment certaines « figures de l’orientalisme » sont des<br />
exotismes masquant des réalités historiques souvent bien plus<br />
violentes. En Corée, Natacha Nisic a rencontré une femme shaman.<br />
Cette dernière, tout <strong>au</strong> long d’un entretien, re<strong>la</strong>te ses difficultés<br />
à trouver une p<strong>la</strong>ce entre tradition, spiritualité et char<strong>la</strong>tanisme,<br />
mais <strong>au</strong>ssi combien il est difficile de gagner sa vie, élever ses<br />
enfants et répondre <strong>au</strong>x exigences de <strong>la</strong> société contemporaine…<br />
De ses heures de films documentarisés précieux et totalement<br />
inédits, l’artiste nous montre une vision fragmentée de <strong>la</strong> Corée<br />
contemporaine à travers <strong>la</strong> confrontation de points de vue sur<br />
des territoires géographiques ou spirituels. Où les héritages<br />
d’époques différentes se côtoient, de <strong>la</strong> tradition shamanique<br />
<strong>au</strong>x séquelles de <strong>la</strong> guerre froide.<br />
hospitalité pour les fantômes<br />
Par un jeu de fictions critiques, les quatre expositions de ce<br />
parcours prennent en charge des récits qui négocient les<br />
absences, les zones d’ombres mais <strong>au</strong>ssi les stéréotypes<br />
du récit historique et du discours scientifique.<br />
Par <strong>la</strong> fable, <strong>la</strong> fantaisie, l’uchronie ou <strong>la</strong> relecture, les artistes<br />
mettent ici en c<strong>au</strong>se le principe même de vérité historique<br />
ou scientifique pour faire apparaître <strong>la</strong> structure complexe<br />
de tout événement et les enjeux formels de tout récit.
23maiSon<br />
PoPuLaire<br />
Du 5 octobre <strong>au</strong> 10 décembre.<br />
Art Orienté Objet (Marion<br />
Laval-Jeantet et Benoît Mangin).<br />
Commissaire : Raphaële Jeune,<br />
en col<strong>la</strong>boration avec le philosophe<br />
Frédéric Neyrat.<br />
Vernissage le mardi 4 octobre<br />
à partir de 18h.<br />
Samedi 22 octobre à partir de 14h30<br />
Pa<strong>la</strong>is de Tokyo,<br />
Maison popu<strong>la</strong>ire.<br />
Samedi 1 er octobre à 17h30,<br />
Pourquoi rien, plutôt que tout ?<br />
Samedi 22 octobre à 17h30,<br />
Act glocally !<br />
9 bis, rue Dombasle<br />
93100 Montreuil<br />
t. 01 42 87 08 68 f. 01 42 87 64 66<br />
www.maisonpop.fr<br />
centredart@maisonpop.fr<br />
lundi : 14h-21h.<br />
mardi-vendredi : 10h-21h.<br />
samedi de 10h à 17h. Fermé<br />
les dimanches, jours fériés et<br />
pendant les vacances sco<strong>la</strong>ires<br />
entrée libre<br />
métro ligne 9 station<br />
Mairie de Montreuil (prendre<br />
rue Walwein, rue de Rosny,<br />
devant le Lycée Jean J<strong>au</strong>rès,<br />
rue Dombasle sur <strong>la</strong> droite)<br />
Plutôt que tout…<br />
Plutôt que tout… interroge <strong>la</strong> responsabilité individuelle dans un<br />
monde global. À travers un ensemble de propositions qui font<br />
intervenir <strong>au</strong>tant une popu<strong>la</strong>tion montreuilloise que celle d’une<br />
ville située à l’<strong>au</strong>tre bout du monde, il met en scène une utopie<br />
qui brouille les échelles de valeurs et les repères culturels.<br />
Marion Laval-Jeantet et Benoît Mangin sur le fond d’une requête<br />
épique – le c<strong>la</strong>ssement d’un <strong>la</strong>c naturel <strong>au</strong>stralien <strong>au</strong> Patrimoine<br />
mondial de l’Humanité – à <strong>la</strong>quelle ils veulent associer le public<br />
de <strong>la</strong> Maison popu<strong>la</strong>ire, envisagent de produire un dispositif<br />
rayonnant depuis <strong>la</strong> salle d’exposition, vers <strong>la</strong> ville et le monde,<br />
par le biais de différents médias. Ce dispositif réunira des œuvres<br />
<strong>au</strong>ssi diverses qu’une pétition, une série de vidéos, une<br />
programmation télé, un p<strong>la</strong>te<strong>au</strong> de tournage de karaoké<br />
pour chansons détournées. L’ensemble visant à susciter une<br />
mobilisation <strong>au</strong>tour de l’épiphénomène du Lac Clifton, qui<br />
n’est qu’un des symptômes d’une situation globale devenue<br />
ingérable. Ils espèrent parvenir ainsi à une démonstration<br />
formelle où <strong>la</strong> formule bien connue du « penser globalement,<br />
agir localement » se renverserait dans une prouesse ultime en<br />
« penser localement, agir globalement ».<br />
P<strong>la</strong>te<strong>au</strong>x tV<br />
Les artistes mettent en scène deux p<strong>la</strong>te<strong>au</strong>x de télévision.<br />
Des personnalités politiques, scientifiques et culturelles y débattent<br />
en public <strong>au</strong>tour des questions soulevées par l’exposition.
Jusqu’<strong>au</strong> 25 septembre.<br />
24 La<br />
Du 22 octobre <strong>au</strong> 15 janvier.<br />
Samedi 10 décembre<br />
La maison rouge,<br />
La Ferme du Buisson,<br />
La Vitrine.<br />
maiSon rouge,<br />
Fondation antoine de gaLbert<br />
10, boulevard de <strong>la</strong> bastille<br />
75012 Paris<br />
t. 01 40 01 08 81 f. 01 40 01 08 83<br />
www.<strong>la</strong>maisonrouge.org<br />
du mercredi <strong>au</strong> dimanche : 11h-19h<br />
nocturne le jeudi jusqu’à 21h.<br />
Fermeture les 01/01 et 01/05<br />
Accès handicapés moteurs<br />
ou à mobilité réduite.<br />
7€, tarif réduit : 5€ (13-18 ans,<br />
étudiants, maison des artistes,<br />
carte senior), <strong>la</strong>issez-passer : 19€ / 14€<br />
entrée libre : – de 13 ans, chômeurs,<br />
accompagnateurs de personnes<br />
invalides, membres de l’ICOM,<br />
Amis de <strong>la</strong> maison rouge<br />
métro lignes 1 / 5 / 8, stations<br />
quai de <strong>la</strong> Rapée ou Bastille<br />
RER A station Gare de Lyon,<br />
Bus n° 20, 29 , 91<br />
my Winnipeg<br />
La maison rouge in<strong>au</strong>gure son cycle d’expositions consacré <strong>au</strong>x<br />
scènes artistiques de grandes métropoles périphériques et met à<br />
l’honneur <strong>la</strong> ville de Winnipeg (Manitoba, Canada).<br />
mémoires du futur<br />
La collection de thomas olbricht<br />
Présentée pour <strong>la</strong> première fois en France, <strong>la</strong> collection de<br />
l’allemand Thomas Olbricht associe des objets de cabinet de<br />
curiosités, des œuvres anciennes (Dürer, Callot, Goya) et des<br />
œuvres contemporaines <strong>au</strong>tour de thématiques universelles<br />
(vanité, mort, religion, eros…).<br />
À travers une sélection importante de peintures (Gerhard Richter,<br />
Marlène Dumas, John Currin, Thierry de Cordier, Franz Gertsch,<br />
Jonas Burgert…), d’instal<strong>la</strong>tions et sculptures (Jake et Dinos Chapman,<br />
C<strong>la</strong>irefontaine, M<strong>au</strong>rizio Catte<strong>la</strong>n, Thomas Lerooy, Jeppe Hein),<br />
de photographies historiques et contemporaines (Robert Capa,<br />
Cindy Sherman, Pierre et Gilles, Vic Muniz) l’exposition dresse le<br />
portrait d’un amateur original et exigent.<br />
Alors que Thomas Olbricht présente ses œuvres à <strong>la</strong> maison<br />
rouge à Paris, Antoine de Galbert dévoile, de son côté, une<br />
partie de sa collection <strong>au</strong> Me Collectors Room à Berlin.
25 La<br />
Du 17 septembre <strong>au</strong> 10 décembre.<br />
Journées Européennes du Patrimoine<br />
Les 17 et 18 septembre.<br />
De 14h à 18 h.<br />
Visites guidées par des<br />
médiateurs.<br />
Samedi 3 décembre<br />
Centre d’art contemporain d’Ivry<br />
- le Crédac,<br />
La Maréchalerie - centre d’art<br />
contemporain.<br />
maréchaLerie –<br />
centre d'art contemPorain<br />
École nationale supérieure<br />
d’architecture de Versailles<br />
5, avenue de Sce<strong>au</strong>x<br />
78000 Versailles<br />
01 39 07 40 27<br />
http://<strong>la</strong>marechalerie.versailles.<br />
archi.fr<br />
<strong>la</strong>marechalerie@versailles.archi.fr<br />
du lundi <strong>au</strong> samedi : 14h-18h<br />
et le matin sur rdv<br />
Fermé les jours fériés<br />
entrée libre<br />
accès par <strong>la</strong> p<strong>la</strong>ce des Manèges,<br />
face à <strong>la</strong> gare Versailles Rive<br />
G<strong>au</strong>che<br />
A13 ou A86<br />
sortie Versailles Châte<strong>au</strong><br />
RER C<br />
Gare Versailles Rive G<strong>au</strong>che<br />
Lucy + Jorge orta<br />
clouds / nuages<br />
Clouds / Nuages est une œuvre produite dans <strong>la</strong> continuité de<br />
OrtaWater, trav<strong>au</strong>x que Lucy et Jorge Orta développent depuis<br />
2005, et qui posent <strong>la</strong> question environnementale de <strong>la</strong> rareté de<br />
l’e<strong>au</strong> : collecte, purification et distribution.<br />
Le processus du projet réfère <strong>au</strong>x systèmes organisés de<br />
recyc<strong>la</strong>ge, rencontrés par les Orta dans les bidonvilles du Caire.<br />
La forme du dispositif suggère <strong>au</strong>ssi <strong>la</strong> chaîne de déchets qui<br />
peu à peu s’agglomèrent dans l’Océan en îlots errants et<br />
fragmentés. L’œuvre est conçue sur <strong>la</strong> base de trav<strong>au</strong>x réalisés<br />
par des étudiants de 1 ère année de l’école nationale supérieure<br />
d’architecture de Versailles lors d’un workshop réalisé en juin 2011,<br />
sur une proposition du Studio Orta et d’enseignants de l’école.
26 micro<br />
Du 9 octobre <strong>au</strong> 10 décembre.<br />
Vernissage, le samedi 8 octobre<br />
à 19h30.<br />
Navette gratuite, <strong>au</strong> départ<br />
de <strong>la</strong> Concorde à 19h.<br />
Réservation <strong>au</strong> 06 12 77 88 90.<br />
Du 9 octobre <strong>au</strong> 3 décembre.<br />
Samedi 8 octobre<br />
Samedi 26 novembre à 15h :<br />
Conférence Identité et paysage avec<br />
Pascal Be<strong>au</strong>sse, Gilles Clément,<br />
Thierry Fontaine, Francis Morandini<br />
et Christophe Royoux.<br />
onde – centre d’art<br />
contemPorain de L’onde<br />
8 bis , avenue Louis-Bréguet<br />
78140 Vélizy-Vil<strong>la</strong>coub<strong>la</strong>y<br />
t. 01 34 58 19 92 f. 01 34 58 03 39<br />
www.londe.fr (rubrique Micro<br />
Onde, centre d’art)<br />
microonde@londe.fr<br />
du mardi <strong>au</strong> vendredi : 13h-19h<br />
samedi : 10h-16h. Les dimanches<br />
de spectacles de 15h à 18h et les<br />
soirs de spectacle, ouverture une<br />
heure avant <strong>la</strong> représentation<br />
entrée libre<br />
A86 direction Versailles,<br />
sortie Vélizy centre<br />
RER C arrêt gare<br />
Chaville-Vélizy, puis bus CVJ<br />
direction Vélizy-Vil<strong>la</strong>coub<strong>la</strong>y,<br />
arrêt Wagner ou à <strong>la</strong> gare<br />
routière bus CVM arrêt Wagner<br />
thierry Fontaine, changement de main<br />
L'artiste interroge l’identité ethnique et sociale, <strong>la</strong> difficulté du<br />
rapport à l’<strong>au</strong>tre, l’isolement. Il construit ses images en observant<br />
<strong>au</strong>tour de lui, les mouvements et les brassages des modèles soci<strong>au</strong>x<br />
à travers <strong>la</strong> p<strong>la</strong>nète. Tel un metteur en scène, il organise des<br />
rencontres improbables, parfois mêmes antagonistes qui<br />
aboutissent à des hybridations et des métissages inattendus.<br />
Les images se mesurent à <strong>la</strong> dimension du lieu.<br />
Francis morandini, Ligne de désir<br />
Une sélection de photographies et une série de tirages inédits<br />
témoignant de l’interaction de l’Homme avec le paysage <strong>au</strong><br />
travers d’une somme de gestes individuels et d’appropriations<br />
de l’espace naturel et urbain sont présentés dans <strong>la</strong> Boîte et <strong>la</strong><br />
rue traversante.<br />
L’hospitalité des paysages<br />
La journée propose une réflexion sur le paysage naturel ou<br />
construit par l’homme, objet de questionnements identitaires<br />
ou territori<strong>au</strong>x. Les œuvres comme les acteurs qui ponctuent<br />
chacune des étapes de ce parcours abordent les notions<br />
d’identité, de métissage, d’héritage ou d’emprunt, voire de<br />
rémanences de visées impérialistes ou coloniales.<br />
Avec les œuvres de Thierry Fontaine, L<strong>au</strong>ra Henno, Francis<br />
Morandini et Frédéric Teschner.<br />
À cette occasion Micro Onde propose une visite avec les artistes<br />
et une rencontre avec Nathalie Gonthier, directrice du FRAC Réunion.
Jusqu’<strong>au</strong> 18 septembre.<br />
Du 18 octobre <strong>au</strong> 1 er janvier.<br />
Vernissage le lundi 17 octobre,<br />
de 20h à minuit.<br />
Samedi 22 octobre<br />
27 PaLaiS<br />
de toKyo<br />
13, avenue du Président Wilson<br />
75116 Paris<br />
01 47 23 54 01<br />
www.pa<strong>la</strong>isdetokyo.com<br />
info@pa<strong>la</strong>isdetokyo.com<br />
du mardi <strong>au</strong> dimanche de 12h<br />
à 21h<br />
6€ / 4,50€ / 1€<br />
métro ligne 9<br />
station Alma-Marce<strong>au</strong> ou Iéna,<br />
RER C station Pont de l’Alma<br />
robin meier et ali momeni<br />
the tragedy of the commons<br />
The Tragedy of the Commons (La tragédie des biens communs)<br />
consiste en une instal<strong>la</strong>tion où des milliers de fourmis Atta<br />
– surnommées fourmis coupe-feuilles – produisent une<br />
chorégraphie en réagissant à des couleurs et à des odeurs<br />
judicieusement choisies. Amplifié, le son des fourmis génère des<br />
textures sonores à l’image de leurs mouvements <strong>au</strong> sein d’une<br />
structure architecturale, acoustique et <strong>au</strong>tomatisée.<br />
o<strong>la</strong>f breuning, the art Freaks<br />
S’inscrivant dans le cadre des recherches récentes de l’artiste<br />
sur son rapport à l’histoire de l’art moderne et contemporain,<br />
The Art Freaks se déploie dans l’espace via une quinzaine de<br />
bannières suspendues <strong>au</strong> p<strong>la</strong>fond. Sur chacun de ces étendards<br />
est imprimée une photographie nous montrant un personnage<br />
dont le corps est peint à <strong>la</strong> manière d’un artiste emblématique<br />
(Francis Bacon, Louise Bourgeois, Damien Hirst, On Kawara,<br />
Yves Klein, Jackson Pollock, Vincent Van Gogh, Andy Warhol…).<br />
John m. armleder, all of the above<br />
All of the Above est <strong>la</strong> reprise inversée de l’expression idiomatique<br />
anglophone « none of the above ». Synonyme de « vote b<strong>la</strong>nc »,<br />
cette dernière pourrait se traduire littéralement en français par<br />
« rien <strong>au</strong> dessus ». Une cinquantaine d’œuvres feront dialoguer<br />
éloge de <strong>la</strong> surface, contestation et principe d’équivalence pour<br />
constituer un véritable dispositif propice <strong>au</strong> mé<strong>la</strong>nge de genres<br />
<strong>au</strong>ssi distincts que table rase et re<strong>la</strong>tivisme généralisé.
28 Le<br />
Du 22 septembre <strong>au</strong> 20 novembre<br />
Vernissage le mercredi 21<br />
septembre de 18h à 21h.<br />
Commissariat<br />
de Xavier Franceschi.<br />
Samedi 12 novembre<br />
Le P<strong>la</strong>te<strong>au</strong>,<br />
Espace Khiasma,<br />
Galerie Vil<strong>la</strong> des Tourelles,<br />
Maison des Arts de Ma<strong>la</strong>koff.<br />
PLate<strong>au</strong> /<br />
Frac ÎLe-de-France<br />
P<strong>la</strong>ce Hannah Arendt,<br />
angle de <strong>la</strong> rue des Alouettes<br />
et de <strong>la</strong> rue Carducci<br />
75019 Paris<br />
01 76 21 13 41<br />
www.fracidf-lep<strong>la</strong>te<strong>au</strong>.com<br />
info@fracidf-lep<strong>la</strong>te<strong>au</strong>.com<br />
du mercredi <strong>au</strong> vendredi : 14h-19h<br />
samedi et dimanche : 12h-20h<br />
entrée libre<br />
métros ligne 11<br />
station Jourdain<br />
ou ligne 7 bis<br />
station Buttes-Ch<strong>au</strong>mont<br />
Bus n° 26 arrêt Jourdain<br />
alien theory<br />
João maria gusmão et Pedro Paiva<br />
Depuis 2001, João Maria Gusmão et Pedro Paiva mettent<br />
en p<strong>la</strong>ce ce qu’ils décrivent comme l’écriture d’une « fiction<br />
poétique philosophique », à travers instal<strong>la</strong>tions, objets et films<br />
courts. Influencés par <strong>la</strong> science fiction, l’ethnographie ou les<br />
sciences occultes et phénomènes paranorm<strong>au</strong>x, leurs courtsmétrages<br />
muets questionnent les limites de <strong>la</strong> perception<br />
à travers de petits scénarios énigmatiques, oscil<strong>la</strong>nt en<br />
permanence entre réalité et fiction, humour et poésie.<br />
Pour <strong>la</strong> première exposition personnelle en France des deux<br />
artistes portugais, le visiteur découvre <strong>au</strong> P<strong>la</strong>te<strong>au</strong> un ensemble<br />
de films courts ainsi que plusieurs camera obscura, à travers<br />
lesquels les artistes mettent en scène <strong>la</strong> figure animale et<br />
son rapport à l’homme dans un environnement résolument<br />
cosmique.<br />
hospitalité pour les fantômes<br />
Par un jeu de fictions critiques, les quatre expositions de ce<br />
parcours prennent en charge des récits qui négocient les<br />
absences, les zones d’ombres mais <strong>au</strong>ssi les stéréotypes<br />
du récit historique et du discours scientifique.<br />
Par <strong>la</strong> fable, <strong>la</strong> fantaisie, l’uchronie ou <strong>la</strong> relecture, les artistes<br />
mettent ici en c<strong>au</strong>se le principe même de vérité historique<br />
ou scientifique pour faire apparaître <strong>la</strong> structure complexe<br />
de tout événement et les enjeux formels de tout récit.
29 SyneSthéSie<br />
Du 9 novembre <strong>au</strong> 16 décembre.<br />
Samedi 26 novembre<br />
Synesthésie,<br />
Jeu de P<strong>au</strong>me,<br />
Espace culturel Louis Vuitton.<br />
À 13h30, Espace Synesthésie :<br />
rencontre avec l’artiste Veit<br />
Stratmann, l’historienne d’art<br />
Nina Gülicher et <strong>la</strong> créatrice du<br />
CAV de Synesthésie Anne-Marie<br />
Morice.<br />
15, rue Denfert-Rochere<strong>au</strong><br />
93200 Saint-Denis<br />
t/f : 01 40 10 80 78<br />
www.synesthesie.com<br />
mediation@synesthesie.com<br />
du mardi <strong>au</strong> vendredi : 11h-18h<br />
samedi : 14h-19h et sur rdv<br />
Veit Stratmann<br />
éc<strong>la</strong>irage public, 2011 & les Projets irréalisables<br />
entrée libre<br />
métro Saint-Denis Porte<br />
de Paris (ligne 13),<br />
sortie Marcel Sembat<br />
RER D Gare de Saint-Denis<br />
sortie p<strong>la</strong>ce de <strong>la</strong> Gare<br />
En 1998, Synesthésie a ouvert grand les portes de son Centre<br />
d’Art Virtuel à Veit Stratmann pour produire et héberger une de<br />
ses pièces « irréalisables », La Boîte d’arrogance.<br />
Treize ans plus tard le Centre d’Art Virtuel de Synesthésie<br />
accueille une deuxième pièce « irréalisable » de l’artiste : Éc<strong>la</strong>irage<br />
public. Nouvelle proposition, savoureusement c<strong>au</strong>stique, pour<br />
un espace public hyper-régulé, dont elle révèle un potentiel de<br />
contrôle social sidérant.<br />
À l’occasion de <strong>la</strong> mise en ligne de cette pièce, Synesthésie<br />
organise une exposition des « projets irréalisables » de<br />
Veit Stratmann à l’Espace Synesthésie.<br />
Pages d’accueil<br />
Le parcours met en lien Synesthésie, le Jeu de P<strong>au</strong>me et<br />
l’Espace culturel Louis Vuitton à travers des projets artistiques<br />
qui problématisent les notions d’accueil, d’interactivité et<br />
d’infiltration à l’ère des rése<strong>au</strong>x, du numérique, de l’événementiel<br />
et de <strong>la</strong> transdisciplinarité.<br />
Les espaces virtuels de Synesthésie et du Jeu de P<strong>au</strong>me se<br />
matérialisent et le potentiel musical des œuvres exposées à<br />
l’Espace culturel Louis Vuitton est révélé.
Le samedi 1 er octobre,<br />
Nuit B<strong>la</strong>nche.<br />
30 La<br />
Du 6 octobre <strong>au</strong> 12 novembre.<br />
Vernissage le mercredi 5 octobre.<br />
Une proposition d’Andrés<br />
Ramirez et Élise Vandewalle.<br />
Du 24 novembre <strong>au</strong> 31 janvier.<br />
Vernissage mercredi 23 novembre.<br />
Samedi 10 décembre, Not for<br />
Pivate Use Only, La maison rouge,<br />
<strong>la</strong> Ferme du Buisson, <strong>la</strong> Vitrine.<br />
Vitrine<br />
de L'enSa PariS-cergy<br />
24, rue Moret<br />
75011 Paris<br />
t. / f. 01 43 38 49 65<br />
www.ensapc.fr/<strong>la</strong>vitrine<br />
<strong>la</strong>vitrine@ensapc.fr<br />
du mercredi <strong>au</strong> samedi : 13h-19h<br />
Fermé durant les vacances sco<strong>la</strong>ires<br />
entrée libre<br />
métro Ménilmontant<br />
ou ligne 2 station Couronnes<br />
ou ligne 3 station Parmentier<br />
Sevenup<br />
Les étudiants de l’ENSAPC sont invités à investir le lieu durant<br />
toute <strong>la</strong> nuit en collectant un répertoire de gestes, d’objets et de<br />
situations afin de constituer une partition festive.<br />
_Avec : Adrienne Alcover, Raphaëlle Cellier, Mathilde Chenin,<br />
Anaï s Leroy, Vio<strong>la</strong>ine Lochu, Gloria Maso, L<strong>au</strong>ra Porter.<br />
Studio romance (hybrid object n˚3)<br />
Hybrid Object a été initié en 2009 par l’artiste serbe Veljo Zejak<br />
dans le but d’exprimer différents processus de fabrication<br />
d’objets. Élise Vandewalle et Andrés Ramirez invitent les artistes<br />
serbes et français à produire le modèle réduit d’une œuvre -<br />
à venir ou existante - et proposent un dispositif d’exposition<br />
composé de modules inspirés du cabinet de curiosité.<br />
_Avec : Mrdjan Bajic, Thomas Boulmier, Camille Debray,<br />
Jonas De<strong>la</strong>borde, L<strong>au</strong>rent Isnard, Jamesdin, Pedraj Keselj,<br />
Marko Markovic, Jean-Baptiste Mognetti, Danije<strong>la</strong> Mrsulja,<br />
Ana Petrovic, Matthieu Pi<strong>la</strong>ud, Andrés Ramirez, S<strong>la</strong>man Trtovac,<br />
Cyril Verde, Élise Vandewalle, Ana Zejak, Veljko Zejak.<br />
a Secret Poet<br />
Jeff Perkins, artiste américain satellite de Fluxus, mais également<br />
ch<strong>au</strong>ffeur de taxi durant 22 ans, enregistra l’ensemble<br />
de ses conversations avec ses clients.<br />
En col<strong>la</strong>boration avec les étudiants de l’ENSAPC, il imagine<br />
des modes de présentation et de traduction de ses 400 heures<br />
d’enregistrement - matéri<strong>au</strong> à <strong>la</strong> fois privé et témoin inéga<strong>la</strong>ble<br />
d’un mouvement artistique majeur du XX e siècle.
structure<br />
associée<br />
31 eSPace<br />
Du 24 juin <strong>au</strong> 23 octobre.<br />
Commissaire : Hervé Mikaeloff.<br />
Du 18 novembre <strong>au</strong> 19 février.<br />
Commissaire: Fabienne Fulchéri.<br />
Samedi 26 novembre<br />
Synesthésie, Jeu de P<strong>au</strong>me<br />
Espace culturel Louis Vuitton.<br />
cuLtureL<br />
LouiS Vuitton<br />
60, rue de Bassano<br />
101, avenue des Champs-Élysées<br />
75008 Paris<br />
t : 01 53 57 52 03 f : 01 53 57 52 32<br />
www.louisvuitton.com/espaceculturel<br />
espaceculturel@louisvuitton.com<br />
lundi <strong>au</strong> samedi : 12h-19h,<br />
le dimanche : 11h-19h, ouvert les<br />
jours fériés à l’exception du 25<br />
décembre et du 1 er janvier<br />
entrée libre<br />
métro 1 station George V<br />
trans-Figurations, mythologies indonésiennes<br />
Poursuivant ses explorations de territoires de création contemporaine<br />
lointains et méconnus, l’exposition réunit onze artistes indonésiens.<br />
Reflet poétique et coloré d’une société multiculturelle en mutation,<br />
<strong>la</strong> jeune scène artistique de Java fusionne mythes et modernité avec<br />
spiritualité. _Artistes : Heri Dono, Arie Dyanto, Mel<strong>la</strong> Jaarsma, Jompet<br />
Kuswidananto, Agung Kurniawan, Eko Nugroho, Garin Nugroho,<br />
Ariadhitya Pramuhendra, Eko Prawoto, Bayu Widodo, Tintin Wulia.<br />
musiques<br />
Conçu selon un <strong>format</strong> inédit qui s’apparente <strong>au</strong>tant à celui<br />
d’une exposition que d’un concert, ce projet p<strong>la</strong>ce <strong>la</strong> musique<br />
<strong>au</strong> centre du dispositif. Questionnant les re<strong>la</strong>tions étroites qui<br />
existent entre le corps du musicien et son instrument, les artistes<br />
présentent des œuvres qui dépassent le cadre de l’objet et de<br />
<strong>la</strong> sculpture. Certaines de ces créations ont <strong>la</strong> capacité d’être<br />
jouées. Autonomes, elles ont <strong>au</strong>ssi <strong>la</strong> possibilité de jouer de<br />
concert. _Artistes : Pascal Broccolichi, Rémy Jacquier,<br />
Christina Kubisch, Charlotte Moorman, Thierry Mouillé,<br />
L<strong>au</strong>rent Saksik, Anri Sa<strong>la</strong>, Su-Mei Tse, Stéphane Vigny.<br />
Pages d’accueil<br />
L’Espace culturel Louis Vuitton convie le public à une performance<br />
<strong>au</strong> cours de <strong>la</strong>quelle des instrumentistes joueront avec des<br />
œuvres de l’exposition. Une retransmission de cette performance sera<br />
mise en p<strong>la</strong>ce sur le site internet de l’Espace culturel, créant un <strong>au</strong>tre<br />
nive<strong>au</strong> de lecture. La perception d’un <strong>au</strong>tre lieu d’écoute.
Notes
Notes
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Ville<br />
Fait le Signature<br />
et de nous l’adresser, accompagné de votre règlement par chèque<br />
à l’ordre de tram,<br />
4ter rue de <strong>la</strong> solidarité 75019 Paris<br />
• Soit 9 € pour une adresse en France.<br />
• Soit 13,50 € pour une adresse de l’Union Européenne et Suisse (Zone A).
Le bure<strong>au</strong> tram :<br />
Coprésidents<br />
Aude Cartier,<br />
directrice de <strong>la</strong> Maison des Arts de Ma<strong>la</strong>koff<br />
Lionel Balouin,<br />
directeur de l'École municipale des be<strong>au</strong>x-arts / galerie Édouard Manet<br />
Gennevilliers<br />
Secrétaires<br />
Annie Agopian,<br />
directrice de <strong>la</strong> Maison popu<strong>la</strong>ire, Montreuil<br />
Mathilde Villeneuve,<br />
chargée des expositions de <strong>la</strong> Vitrine de l'ENSA Paris-Cergy<br />
Trésorière<br />
P<strong>au</strong><strong>la</strong> Aisemberg,<br />
directrice de <strong>la</strong> maison rouge, fondation antoine de galbert<br />
L’équipe permanente :<br />
Secrétaire générale<br />
Selma Toprak, selma.toprak@tram-idf.fr<br />
tél : 01 53 34 64 15<br />
Chargée de communication<br />
Sophie Rattier, info@tram-idf.fr<br />
tél : 01 53 19 73 50<br />
Chargée de mission<br />
Bérangère Marizien<br />
taxitram@tram-idf.fr<br />
tel : 01 53 34 64 43<br />
tram<br />
Rése<strong>au</strong> art contemporain Paris / Île-de-France<br />
4 ter , rue de <strong>la</strong> Solidarité 75019 Paris<br />
tel : 01 53 19 73 50<br />
fax : 01 53 38 56 63<br />
www.tram-idf.fr<br />
Design graphique<br />
David Valy & Annelise Cochet, Campingdesign<br />
<strong>Tram</strong> bénéficie pour l’ensemble de ses actions du soutien de <strong>la</strong> Drac Île-de-France et de <strong>la</strong> Région Île-de-France