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CFSSD Report_FR.indd - Economic Commission for Africa - United ...

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surtout de l’accès aux technologies qui avaient donné les meilleurs résultats dans la pratique,aux pratiques et systèmes de réduction, de recyclage, de collecte, de transport et d’éliminationde divers types de déchets ainsi qu’aux fonds nécessaires pour les investissements ; il faudraitégalement ren<strong>for</strong>cer les capacités humaines et institutionnelles des services publics etl’engagement effectif du secteur privé, des organisations de la société civile et de la société dansson ensemble. Les pays africains comptaient sur le soutien de la communauté internationalepour le transfert et la diffusion des technologies adaptées, la mise en application des accordsinternationaux, l’inventaire des déchets, en particulier des déchets dangereux et radioactifs, lasensibilisation des populations et le changement de mentalité en faveur de la gestion intégréedes déchets.77. Remerciant l’ONUDI de sa présentation utile et riche en in<strong>for</strong>mations, la délégationde la <strong>Commission</strong> de l’Union africaine a fait observer que l’exposé contenait une référenceaux accords multilatéraux sur l’environnement et a saisi l’occasion pour in<strong>for</strong>mer le Comitéde la composante africaine du programme d’accord multilatéral sur l’environnement des paysd’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP), appuyé par l’Union européenne et administrépar la <strong>Commission</strong>. Ce programme avait été élaboré pour remédier à la mise en œuvreinsuffisante d’importants accords multilatéraux sur l’environnement auxquels les pays de larégion ACP étaient parties, en raison de problèmes de capacités. Dans la région Afrique, leprogramme visait à ren<strong>for</strong>cer les capacités des pays africains pour qu’ils puissent s’acquitter deleurs obligations en vertu des accords multilatéraux sur l’environnement et serait mis en œuvresur une période de quatre ans.78. Les activités déjà menées portaient notamment sur le recensement des besoins etdes priorités en matière de capacités grâce à des séminaires des parties prenantes qui avaientretenu la biodiversité, la gestion durable de l’eau, la réduction de la pollution, la gestion desdéchets, la gestion foncière et la lutte contre la désertification comme domaines prioritaires.Les besoins en capacités identifiés par les parties prenantes étaient notamment le ren<strong>for</strong>cementd’institutions telles que le Centre régional de <strong>for</strong>mation de la Convention de Bâle, situé àDakar, le ren<strong>for</strong>cement des capacités en matière de rédaction des textes juridiques, l’échanged’in<strong>for</strong>mations et la mise en œuvre. À partir des priorités recensées, la <strong>Commission</strong> de l’Unionafricaine avait présenté son plan de travail à l’Union européenne et estimait que l’exécution desactivités commencerait au début de 2010. Des interlocuteurs avaient déjà été désignés dansles États membres et dans les communautés économiques régionales (CER). Le programmecontenait des modalités de duplication et de viabilité, et la première phase de la mise en œuvrecomportait la réunion, en 2010, de la première Conférence des parties à la Convention deBamako. Cette phase apporterait également un appui à la mise en œuvre d’autres conventionsrégionales, notamment les conventions de Maputo, Nairobi et Abidjan.Rapport de la sixième session du Comité de la sécurité alimentaire et du développement durable25

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