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LES 3 AXES D’ACTION DU CETIM / LA R&D<br />
1 fournée<br />
supplémentaire par 24 h,<br />
c’est le gain attendu avec<br />
la mise en place des fours<br />
à sole en boulangerie<br />
« ROUND ROBIN TEST »<br />
EN PNEUMATIQUE<br />
Cette étude menée dans le cadre de la commission<br />
professionnelle du <strong>Cetim</strong>, « Transmissions hydraulique et<br />
pneumatique », comprenant la participation du syndicat<br />
Artema, constitue un exemple en termes de collaboration<br />
partenariale. Pour ce faire, un cadre inter-laboratoires a été<br />
constitué sous l’égide du comité ISO TC131/SC5. Distributeurs,<br />
vérins, régulateurs ont ensuite fait l’objet d’une série d’essais<br />
de fi abilité selon le projet de norme ISO 19973 « Pneumatic<br />
fl uid power - Assessment of component reliability by testing ».<br />
Objectif : valider les spécifi cations défi nissant un programme<br />
d’essais portant sur les normes des composants. À terme, il<br />
s’agit également de positionner le <strong>Cetim</strong> comme laboratoire<br />
de référence français pour les campagnes d’intercomparaison<br />
sur composants pneumatiques. Les essais ont été conduits<br />
selon les spécifi cations ISO 19973 parties 1, 2, 3 et 4 avec huit<br />
laboratoires travaillant en parallèle. L’intercomparaison entre<br />
laboratoires a été effectuée par le groupe de travail ISO dans<br />
le cadre de son action normative. Les résultats permettront<br />
d’étayer les propositions françaises à travers les actions de<br />
normalisation de la profession des transmissions pneumatiques.<br />
28 CETIM / RAPPORT ANNUEL <strong>2008</strong><br />
« LA ROUILLE C’EST PROPRE ! »<br />
L’affi rmation « la rouille c’est propre ! » est-elle fi nalement<br />
judicieuse ? Pour répondre à cette interrogation, une étude a<br />
été réalisée dans le cadre de la commission professionnelle<br />
« Dispositifs médicaux », intégrant la participation du syndicat<br />
Snitem. Les travaux ont consisté à déposer des germes sur<br />
des échantillons de corrosions normalisées afi n de voir ce<br />
qu’il resterait après le cycle de désinfection, de lavage et<br />
de stérilisation. L’inquiétude de constater que des germes<br />
résistaient après les deux premiers traitements a conduit les<br />
industriels à reconduire une étude plus complète sur cet aspect<br />
en 2009. Les principaux résultats ont par ailleurs été diffusés lors<br />
de la journée technique organisée en <strong>2008</strong> à Paris sur le thème<br />
des implants.<br />
BREVET