Wie alles begann Ahmad Bahadli Championnats suisses

nieren dabei zu sein: «Ich habe in letzter Zeit gemerkt, dass,
wenn ich nicht da bin, Luca bessere Resultate erzielt.» Beim
Turnier in Herzogenbuchsee 2004 sei dies so gewesen, als
Luca die Serie U15 gewann und bei den Herren D erst im Final
scheiterte. Beim Zusehen eines Spiels ist Claude unruhig: «Ich
denke, ich bin nervöser als mein Sohn. Aber ich versuche dies
Suivre un match important de sa fille
ou de son fils n’est pas toujours une
mince affaire pour les pères. Certains
sont calmes et sereins et d’autres engagés
et disposés à pousser leur progéniture
à la victoire.
Michel Modoux
La relève se bat derrière la table pour des
points et des victoires. Et les pères? Eux
aussi se battent, mais derrière les séparations.
Le combat est intérieur et plus ou
moins intensif.
Martin Williner Cindy Williner
Denis Brisson du CTT Montriond suit assez
sereinement les rencontres de son fils
Alexandre. Il veille à ce que le plaisir soit
toujours au premier plan. Il préfère
d’ailleurs ne pas coacher son fils car celuici
ne l’apprécie pas. Lors d’un match de
son fils, il reste toujours relativement calme:
«Ce qui m’énerve, par contre, c’est
quand il joue sans réfléchir et qu’il perd à
cause de ça. S’il joue bien et qu’il perd ce
n’est pas un problème.» Alexandre a 9 ans
et s’entraîne une fois par semaine avec les
écoliers du CTT Montriond. Entraînement
dirigé par son papa.
Fokus Dans la ligne de mire 11
nicht zu zeigen.» Tipps könne er seinem Sprössling keine geben,
obwohl er vor kurzem beim TTC Rossens mit Tischtennisspielen
begonnen hat. Als Sportlehrer kann er seinem
Schützling jedoch psychologische Ratschläge geben. Druck
auf seinen Sohn will Claude Anthonioz nicht machen: «Seine
Schule hat Priorität». l
souffrir à côté de la table
Les papas derrière les séparations
Des heures de route
Le quotidien pongiste des Keller est plutôt
orienté vers la performance. Les deux
filles de Remo Keller du CTT Stalden, Sabrina
(12 ans) et Chantal (14 ans), font partie
des meilleures joueuses de leur catégorie
en Suisse et sont soutenues par leur
papa. Parce que la plupart des camps et des
tournois ont lieu en dehors du Valais, ils
passent beaucoup de temps en voiture.
«Les déplacements durent entre deux et
trois heures», souligne le Valaisan. Remo
Keller se voit d’ailleurs un peu comme
«l’homme à tout faire», car c’est lui qui