Quand les peintres pratiquaient les Exercices spirituels. De Lotto à Vermeer
Dans les Exercices spirituels d’Ignace de Loyola, le regard et l’imaginaire sont souvent sollicités. Il est proposé au retraitant de se projeter dans une scène évangélique, comme s’il y participait lui-même, au moyen de ses cinq sens. Un certain nombre de peintres du XVIe au XVIIe siècle — et pas des moindres — ont non seulement pratiqué les Exercices mais s’en sont emparés pour renouveler leur propre art. Mais comment les artistes sont-ils passés d’une image mentale, spirituelle, à son expression sur la toile ? Qu’ont-ils gagné de ce nouvel espace de l’imaginaire que leur offrait saint Ignace ? Parmi les peintres dont il sera ici question (Poussin, Rubens, Lotto...), Vermeer apparaît comme l’un de ceux dont l’œuvre a été le plus profondément marquée par la proximité avec les Exercices. Une manière originale de découvrir ou redécouvrir la fécondité de cette voie spirituelle.
Dans les Exercices spirituels d’Ignace de Loyola, le regard et l’imaginaire sont souvent sollicités. Il est proposé au retraitant de se projeter dans une scène évangélique, comme s’il y participait lui-même, au moyen de ses cinq sens.
Un certain nombre de peintres du XVIe au XVIIe siècle — et pas des moindres — ont non seulement pratiqué les Exercices mais s’en sont emparés pour renouveler leur propre art. Mais comment les artistes sont-ils passés d’une image mentale, spirituelle, à son expression sur la toile ? Qu’ont-ils gagné de ce nouvel espace de l’imaginaire que leur offrait saint Ignace ?
Parmi les peintres dont il sera ici question (Poussin, Rubens, Lotto...), Vermeer apparaît comme l’un de ceux dont l’œuvre a été le plus profondément marquée par la proximité avec les Exercices.
Une manière originale de découvrir ou redécouvrir la fécondité de cette voie spirituelle.
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Dans <strong>les</strong> <strong>Exercices</strong> <strong>spirituels</strong> d’Ignace de Loyola, le regard et<br />
l’imaginaire sont souvent sollicités. Il est proposé au retraitant de<br />
se projeter dans une scène évangélique, comme s’il y participait<br />
lui-même, au moyen de ses cinq sens.<br />
Un certain nombre de <strong>peintres</strong> du XVI e au XVII e siècle — et pas<br />
des moindres — ont non seulement pratiqué <strong>les</strong> <strong>Exercices</strong> mais<br />
s’en sont emparés pour renouveler leur propre art. Mais comment<br />
<strong>les</strong> artistes sont-ils passés d’une image mentale, spirituelle, <strong>à</strong> son<br />
expression sur la toile ? Qu’ont-ils gagné de ce nouvel espace de<br />
l’imaginaire que leur offrait saint Ignace ?<br />
Parmi <strong>les</strong> <strong>peintres</strong> dont il sera ici question (Poussin, Rubens,<br />
<strong>Lotto</strong>…), <strong>Vermeer</strong> apparaît comme l’un de ceux dont l’œuvre a été<br />
le plus profondément marquée par la proximité avec <strong>les</strong> <strong>Exercices</strong>.<br />
Une manière originale de découvrir ou redécouvrir la fécondité de<br />
cette voie spirituelle.<br />
ISBN :978-2-87299-358-1<br />
Pierre GIBERT, jésuite, spécialiste de l’histoire de la Bible, est<br />
l’auteur de nombreux ouvrages. Ce livre est <strong>à</strong> situer dans la<br />
continuité de <strong>Quand</strong> <strong>les</strong> <strong>peintres</strong> lisaient la Bible : l’exégèse<br />
des <strong>peintres</strong> <strong>à</strong> la Renaissance (Bayard, 2015).<br />
29,00 €<br />
www.editionsjesuites.com<br />
Illustration de couverture :<br />
Johannes <strong>Vermeer</strong>, Le Christ chez Marthe et Marie, avant 1656. Édimbourg, National Gallery of Scotland.
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