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Numéro 35
Hôtellerie-Architecture : Des
scènes pour se rencontrer.
Collaboration Center AKoS.
Culture de bureau au banc d’essai.
Hôtels à travers le monde :
Le NoMad London.

Conférence dans
une ambiance de salon.
L‘époque des salles polyvalentes classiques sans ambiance ni caractère est
révolue ! Les salles de conférence du futur doivent être chaudes, douces et
vraiment cosy. Conclusion : pour réussir dans le domaine de l‘événementiel
aujourd‘hui, il faut faire preuve d‘imagination ! Notre article à la une se
penche sur les coulisses de ces nouvelles „scènes de rencontre“.
Il est suivi d‘informations utiles pour le quotidien des voyageurs. Et c‘est
ainsi équipé que nous nous rendons dans un centre d‘affaires inhabituel.
Nous y découvrons un concept de collaboration astucieux qui offre une
alternative au bureau à domicile et qui stimule l‘esprit d‘équipe.
Avec Anna et Nils Schnell, nous parcourons ensuite 34 pays et quatre
continents et visitons plus de 130 entreprises. Le couple y a enquêté sur la
manière dont on travaille de manière moderne dans le monde entier. Dans
une interview passionnante, ils partagent avec nous leurs expériences et
leurs conclusions. Qui voyage loin, a aussi besoin d‘un hôtel : chez NH
Group, le troisième plus grand acteur dans ce secteur d’affaires, nous ne
nous sommes pas contentés d’être référencé, mais nous avons équipé des
hôtels avec quelques-uns de nos best-sellers.
Pour les vieux sujets de discorde en matière de culture de bureau, il y a
aussi quelques conseils utiles. Un regard critique se pose sur le pantalon de
jogging, sur la nouvelle décontraction dans le code vestimentaire du bureau
et sur la cravate.
La cravate : est-ce que l‘on va vraiment s‘en prendre à elle dans certains
contextes ? Enfin, nous donnons la parole à la génération Z, car il s‘agit de
notre avenir !
Et maintenant, prenez un peu de temps, faites votre valise et venez avec
nous pour un voyage à travers des aires (et des ères) passionnantes.
Laura et Markus Wiesner

Des scènes pour se rencontrer. ...................................04
Observatoire des tendances . .....................................07
Entrevue : Horst Heinzmann .......................................08
Anna et Nils Schnell en tournée Modern Work ..........10
Référence : NH Hotel Group .......................................12
Culture de bureau au banc d’essai .............................14
Code vestimentaire au bureau ...................................16
Solutions logicielles pour bureau partagé ..................18
Hôtels à travers le monde : Le NoMad London ..........20
Que trouve-t-on dans votre bureau, Michaela Wolf ?.....23
Génération Z : Le monde du travail en pleine mutation..24
Showroom ..................................................................26
Editeur : Wiesner-Hager Möbel GmbH, Linzer Straße 22, A-4950 Altheim, T +43/(0)7723/460-0, altheim@wiesner-hager.com, www.wiesner-hager.com,
thinknewwork.com ; Conception/rédaction : Wiesner-Hager, mintmind Communication GmbH ; Mise en page : mintmind Communication GmbH,
Auteur invité : Wojciech Czaja ; Sous réserve d’erreurs de composition & d’impression ; 11/2022.
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Hospitality Concepts
Des scènes
pour se
rencontrer.
Les hôtels jouent un rôle important lorsqu‘il
s‘agit de solliciter le marché en installations pour
réunions et conférences. Mais avec le covid et
la numérisation croissante de la communication
professionnelle, la situation a changé de manière
spectaculaire. Un regard encourageant et stimulant
posé sur les salles de conférence du futur :
C‘est comme si l‘on avait pris place dans un loft d‘usine
où, pendant quelques secondes, aurait résonné un son
fugace évoquant Modern Talking et Miami Vice. D‘un
côté, des fenêtres d‘usine, des tuyaux à nu de ventilation
spiro et un revêtement assez grossier en heraklith gris. De
l‘autre, des murs sombres, gris comme la
scène, et une moquette à damier gris-violet,
qui évoque un peu les conséquences
d‘un accident chromatique postmoderne.
Il ne manque plus que les volutes de fumée
froide d‘où émergent soudain Thomas
Anders et Don Johnson. « L‘époque de
la pure satisfaction des besoins, comme
celle des salles polyvalentes classiques sans
atmosphère et sans caractère, est révolue »,
déclare Erich Bernard, Managing
Partner du bureau d‘architecture viennois
BWM. « Avant le covid, lorsque la ruée
vers l‘accueil de conférences était encore
énorme et la demande supérieure à l‘offre
disponible sur le marché, il n‘y avait pas
vraiment de concurrence. Mais avec le covid, le marché
s‘est transformé en un temps record et l‘offre prime désormais
sur la demande. Aujourd‘hui, pour réussir dans le
domaine de l‘événementiel, il faut faire preuve d‘imagination
! » Il y a quelques mois, BWM a terminé le nouvel
hôtel Gilbert dans la Breiten Gasse, à quelques pas du
Museumsquartier de Vienne, et en septembre ont eu lieu
les portes ouvertes du projet de rénovation. L‘hôtel, un
crossover entre Urban-Stay et Industrial-Luxury, dispose
de 56 chambres et dont le cœur est un lobby recouvert
de verre et inondé de lumière avec un bar, un restaurant
et un agréable lounge chill-out avec cheminée et carreaux
Omama. Deux salles de conférence pour douze et trente
personnes se trouvent au premier étage, légèrement en
retrait, avec de grandes fenêtres et une galerie attenante.
Le Marriott construit par BWM sur la Potsdamer Platz à
Berlin (2018) se présente de manière encore plus spectaculaire,
encore plus envoûtante. Derrière un doux voile de
rideau dans la grande salle de conférence, des inscriptions
poétiques dédiées à la rencontre apparaissent en néon :
connect, inspire, imagine, celebrate. Dans les zones de
pré-fonction et de rupture, BWM a en revanche mis en
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scène un style artistique plus déco avec un placage de bois
sombre, un plafond laqué brillant, du velours moelleux,
des meubles couleur laiton et des applications murales
géométriques qui rappellent le Chrysler Building, Gatsby
le magnifique et l‘âge d‘or new-yorkais des années 20.
« Il faut que ce soit chaud, doux et vraiment cosy »,
explique Bernard. « Les clients et les participants aux
conférences aspirent à des couleurs et à des textiles, à
un laid-back et à un low-seating confortables, à une
multifonctionnalité sans faille, mais qui se cache derrière
l‘apparence d‘un beau salon confortable. » Et contrairement
à ce qui se passait
auparavant, l‘architecte
affirme que les espaces
break-out (en rupture) et
pré-fonctionnels prennent
également de plus en
plus d‘importance. « Et
non, ce n‘est pas un vœu
pieux ni une superstructure
de théorie architecturale,
c‘est la réalité. Depuis
la pandémie, je n‘ai plus
jamais participé à une
conférence qui m‘aurait BWM Hôtel Gilbert, Galerie
laissé froid sur le plan spatial.
La plupart des événements ont eu lieu dans des lieux
assez sensationnels, souvent avec une vue imprenable
sur la ville ou sur le paysage. La concurrence est devenue
importante. À l‘ère des réunions Zoom et des conférences
numériques, seuls les meilleurs survivent. »
C‘est ce que confirme Susanne Baumann-Söllner, viceprésidente
chargée de la gestion des congrès au Centre
international de Vienne (IAKW) et également porte-parole
du conseil d‘administration de l‘ACV, Austria Center
Vienna, de loin le plus grand centre de congrès d‘Autriche.
« L‘architecture - et donc une certaine expérience
spatiale et technique - devient de plus en plus importante,
car les conférences n‘ont pas seulement pour mission
de transmettre des connaissances, mais aussi de créer
des réseaux et de proposer une expérience sensorielle en
dehors du travail quotidien normal. Avec la pandémie
et le triomphe de la communication numérique, cette
importance de la réunion physique est devenue encore
plus importante. »
Et pour Christiane Unawatuna Hewage, Director of
MICE chez Verkehrsbüro Hospitality, il s‘agit avant tout
d‘équipement technique et de possibilités spatiales et
numériques sur place : « Auparavant, les salles de conférence
dans le secteur
de l‘hospitalité étaient
généralement réservées
un an à l‘avance.
Mais aujourd‘hui, les
réservations arrivent
aussi deux ou trois
mois avant l‘événement.
Les conditions
d‘annulation ont donc
également changé et,
bien entendu, les hôtels
doivent aujourd‘hui
être en mesure de réagir
très spontanément et à
court terme aux changements. »
L‘événement a-t-il lieu ? S‘agit-il d‘un événement purement
analogique ou hybride ? Quelles sont les possibilités
de réagir à d‘éventuelles nouvelles réglementations
gouvernementales, par exemple en matière d‘hygiène, de
distanciation et de restauration pendant les pauses-déjeuner
? Et que faire si la conférence se déroule exclusivement
dans l‘espace numérique ? Pour répondre à cette question
durant l’année de pandémie 2020, une suite classique de
l‘Austria Trend Hotel Savoyen, proche du jardin botanique
et du Belvédère, a été sacrifiée et transformée en une
suite de streaming - avec une salle média insonorisée, une
© BWM Architekten Michael Königshofer
Il faut que ce soit chaud,
doux et vraiment cosy.
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Hospitality Concepts
salle de régie, deux salles de conférence et même une salle
de préparation pour les orateurs.
Un autre aspect important est la durabilité écologique,
qui n‘épargne pas le secteur des conférences. « Mon
expérience montre que de nombreuses grandes entreprises
n‘organisent leurs conférences et symposiums que
là où elles peuvent également tenir une réunion verte
certifiée », estime Michaela Reitterer, propriétaire de
l‘hôtel Stadthalle et, jusqu‘au début de l‘année, présidente
de longue date de l‘Association autrichienne des hôteliers
(ÖHV). « Je conseille à tous les hôtels et hôteliers
d‘investir en conséquence s‘ils
veulent continuer à avoir du
succès sur le marché. » L‘experte
allemande en hôtellerie
Maria Pütz-Willems, éditrice
de la revue sectorielle Hospitality
Inside, formule ce point de
manière encore plus tranchante :
« L‘hôtel semi-professionnel de
papa-maman qui gère approximativement
une salle de réunion,
quelle que soit sa conception,
a fait son temps. En effet, les
Mariott Hôtel, Salle de bal.
grandes entreprises cotées en
bourse, qui se sont engagées vis-à-vis de leurs actionnaires
et de leurs parties prenantes à respecter certaines normes
de gouvernance écologique, ne peuvent pas se permettre
de ne pas les respecter. Elles doivent régulièrement prouver
qu‘elles agissent de manière durable, les hôtels sans
certification verte ne peuvent même plus être sollicités.
Dans ce contexte, le secteur hôtelier serait bien avisé
d‘adapter au plus vite son secteur conférence. » Parmi
les aspects les plus importants de la certification verte,
on compte l‘accessibilité publique, une bonne option de
transport respectant l’éco-concept du dernier kilomètre,
le renoncement aux emballages dans le domaine de la
nourriture, des goodies et des cadeaux, le plus grand
renoncement possible aux matières plastiques, l‘électricité
verte ainsi qu‘une utilisation généralement respectueuse
des ressources énergétiques, une nourriture locale et de
saison, si possible même avec un avantage social, des
produits de nettoyage écologiques ainsi qu‘une empreinte
carbone globalement faible et rendue transparente sur le
lieu de l‘hôtel. « Et l‘observation du marché le montre »,
estime Pütz-Willems, « non seulement les grands acteurs
du secteur urbain des quatre et cinq étoiles ont investi en
conséquence, mais aussi de nombreuses entreprises familiales
de taille moyenne, comme par exemple les hôtels
Lindner, et même des marques économiques comme les
hôtels Ruby. Même les complexes de vacances classiques
comme Center Parcs et Club Med reconnaissent de plus
en plus l‘importance des réunions et du travail numérique.
Pas étonnant, sur le dos d’un éléphant quelque part
dans la jungle thaïlandaise, le WLAN (réseau informatique
local sans fil) est plus stable
que chez nous en Allemagne. »
C‘est justement dans le domaine
budgétaire que des produits d‘hospitalité
et des services d‘affaires
intéressants font régulièrement
leur apparition. La chaîne d‘hôtels
économiques Ruby Hotels a
par exemple créé sa société sœur
Rubyworks. Il s‘agit d‘espaces de
coworking et d‘installations de
conférence autonomes à louer. On
peut les utiliser en externe ou les
mettre à la disposition des clients
de l‘hôtel. Pütz-Willems dit : « Les lieux Rubyworks sont
généralement situés à quelques minutes à pied de l‘hôtel
Ruby. L‘offre est très bien accueillie et constitue, à mon
avis, une réaction intelligente et astucieuse à l‘évolution
de ces deux dernières années. » Le marché est devenu difficile,
il a semblé à la baisse durant les confinements, presque
à terre, mais malgré tout, les espaces de conférence ne
vont pas s‘éteindre, tous les intervenants dans cet article
en conviennent. « Il y a une grande nostalgie analogique
en chacun de nous », déclare Erich Bernard, architecte
chez BWM. « En plus de tous les formats en ligne et des
réunions numériques, nous voulons à nouveau ressentir
les post-its, les flip charts, les graphiques et la proximité
physique. Notre tâche dans l‘architecture, l‘hôtellerie et
le design d‘intérieur est de faire en sorte que ces scènes de
rencontre fonctionnent bien et surtout qu‘elles procurent
du plaisir, encore plus de plaisir qu‘auparavant ».
Wojciech Czaja
© BWM Architekten Wolfgang Zlodej
Aujourd‘hui, pour
réussir dans l‘événementiel,
il faut faire preuve
d‘imagination.
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Observatoire des tendances
Tuyaux utiles
pour le quotidien
des voyageurs.
Skyroam Solis.
Hotspot dans la poche.
Les hotspots mobiles de la série Solis vous
offrent presque partout et à tout moment
un accès à l’internet. Tout cela sans
devoir prendre soin des contrats de
téléphonie mobile couteux, des
cartes SIM ou d’autres inconvénients
tels que d’éventuelles
incompatibilités. Le WLAN
offert par l’outil permet actuellement
dans plus de 130 pays
un accès au réseau en utilisant 10
appareils à la fois.
www.soliswifi.co
© Solis
© Solis
AroundMe – Points of Interest
dans les alentours.
Vous avez faim et vous cherchez de l’inspiration ? Vous
voulez rencontrer des amis dans un bar ? Avec
AroundMe vous pouvez chercher des restaurants, des
banques et des stations-service à proximité ou réserver un
hôtel et trouver un cinéma dans les environs.
www.aroundmeapp.com
© TravelPerk
© AroundMe
Voyages d’affaires regroupés dans une
plate-forme centrale.
TravelPerk est la plate-forme pour voyages d’affaires
de la prochaine génération. La plate-forme tout-enun
donne aux voyageurs la liberté qu’ils souhaitent
et aux entreprises le contrôle nécessaire, en allant
des réservations de groupe à la facturation et la
gestion des coûts. TravelPerk dispose du plus grand
inventaire de voyage dans le monde entier ainsi que
de fonctions d’administration performantes, d’un
support clients disponible 24h sur 24, d’une technologie
de pointe et d’un design convivial, pour que les
entreprises puissent exploiter leurs voyages le mieux
possible.
www.travelperk.com
contact 7

Entrevue
AKoS Collaboration Center:
Plus qu‘un habituel
centre d’affaires.
L’entreprise AKoS (Académie pour perfection
des compétences et de simulation) a ouvert
à Stuttgart un centre qui est plus qu’un
centre d’affaires. On a créé des environnements
d’apprentissage et de travail à la
pointe de la technologie avec des espaces
pour workshops, entraînements, formations
et coworking. Le gérant de AKoS, Horst
Heinzmann, explique le concept de base.
Récemment AKoS a ouvert le dénommé Collaboration
Center à Stuttgart. Quel est votre concept ?
A cause de la pandémie tous connaissent le bureau à
domicile, des réunions et des séminaires en ligne. Mais
de très nombreuses entreprises constatent de plus en
plus que les cadres et les employés souhaitent à nouveau
se rencontrer en personne. Le Collaboration
Center offre des espaces pour workshops, entraînements
et formations, mais aussi pour de grandes
conférences avec jusqu’à 100 personnes. Dans certains
cas nos clients réservent des salles pour une journée,
mais il y a toujours un plus grand nombre de clients
qui se réunissent avec leurs collègues une à deux fois
par semaine. Ils passent le reste du temps au bureau à
domicile ou ils sont sur la route. Une infrastructure
complète est disponible pour les rencontres, des
cafetières et aux boissons à la technique médias. Une
autre approche du centre pour collaboration est la
coopération avec des experts pour l’aménagement intérieur
et pour la technique médias. Outre le fabricant
de meubles Wiesner-Hager, l’entreprise Konferenzraum.tv
nous soutient dans la technique médias et la
société commerciale ISOLED® FIAI dans la technique
d’éclairage. Une formation réussie exige non
seulement un formateur qualifié, mais également des
meubles confortables et fonctionnels, une technique
médias simple d’utilisation qui fonctionne, ainsi qu’un
éclairage agréable.
Avec votre entreprise vous offrez du soutien lors de
la mise en place des arrangements d’enseignement et
d’apprentissage numériques. Que comprend exactement
ce service ?
Dans une salle de formation un écran interactif est
standard. Avec nos partenaires de coopération choisis
sélectivement nous offrons également des solutions
méthodologiques et didactiques. Nous ne mettons pas
8 contact

seulement l’accent sur la mise à disposition de la technique,
mais également sur l’instruction et la formation
des formateurs. Et nous ne voulons pas offrir cette
expérience, ce vécu et cette utilisation pratique de la
technique média uniquement aux participants des formations
et des réunions. Nous ouvrons la possibilité de
tester la technique et les logiciels à toutes les entreprises
et institutions de formation pouvant être intéressées.
De plus toutes les salles sont équipées d’une technique
de transmission vidéo de pointe pour des rencontres
hybrides. Ces formes de rencontres gagnent en importance
et sont de plus en plus demandées.
Qu-est-ce qui a été pris en compte dans le Collaboration
Center lors de l‘aménagement des différentes
salles pour réunions, séminaires et workshops ? Où se
concentre l’attention ?
L’attention se concentre sur la flexibilité. Nous créons
des espaces qui répondent rapidement et facilement
aux besoins et aux attentes de nos clients. Un workshop
créatif par exemple exige un ameublement et une
technique médias différents d’un scénario classique de
formation. Nous avons donc délibérément aménagé
nos locaux de manière très différente. Les versions
d’ameublement standard incluent une salle classique
de formation pouvant accueillir jusqu’ à vingt participants,
une salle de conférence et une salle créative
pour douze participants chacune. La plus grande salle
offre place à cinquante personnes en configuration
parlementaire et jusqu’à cent personnes en configuration
de type théâtre.
Le Collaboration Center offre également des places
de travail pour coworking. Quel est votre concept de
coworking ?
Avant la pandémie les places de travail pour coworking
était déjà un sujet, mais surtout en raison du manque
de surfaces de bureau. Entre-temps elles servent
plutôt à l’image extérieure d’une entreprise. Nous
offrons des places pour coworking combinées avec des
salles de réunion. Nos clients nécessitent surtout des
salles représentatives, pour recevoir des clients et des
partenaires commerciaux. Les locataires des espaces
coworking et leurs clients sont accueillis personnellement
par nos écrans d’accueil interactifs. Ils se sentent
immédiatement à l’aise dans nos locaux à l’équipement
moderne. C’est un concept très apprécié surtout par
les entreprises start-ups.
Sur le personnage Horst Heinzmann : L’académie pour
perfection de compétences et de simulation – bref AKoS
– est un spin-off de l’université Stuttgart présent sur le
marché depuis 2010. Elle soutient des entreprises dans le
développement et la mise en œuvre de dispositifs numériques
d’enseignement et d’apprentissage dans le but de
maintenir la pérennité de ceux-ci et de développer les compétences
des employés de façon durable. Horst Heinzmann
est associé gérant, de formation pédagogue professionnel
et technique, il s’investit depuis des années dans la transformation
numérique dans les processus d’enseignement et
d’apprentissage.
AKoS Collaboration Center
Eichwiesenring 4F
70567 Stuttgart
www.collaboration-center.de
contact 9

Office Concepts
Modern Work Tour.
Quelles sont les méthodes
de travail modernes
dans le monde ?
34 pays – quatre continents – plus de 130 entreprises : Les deux propriétaires de la
société de conseil en gestion MOWOMIND, Anna et Nils Schnell, ont voyagé à travers le
monde pendant deux ans pour explorer des modes de travail nouveaux et innovants. Ils
partagent leurs expériences et découvertes dans l’interview.
© Anna Schnell & Nils Schnell – MOWOMIND
10 contact

Qu’avez-vous exploré pendant votre Modern Work
Tour ? Comment s’est passé la tournée ?
Nous sommes partis en vadrouille moderne – en
Modern Work Tour avec cette question : comment
travaille-t-on d’une façon moderne dans le monde entier ?
Entre 2018 et 2020 nous avons visité 34 pays sur quatre
continents et des entreprises à travers tous les secteurs
– des starts-ups aux grands groupes. L’accent a été mis
sur de nouvelles idées de gestion, de méthodes de travail
modernes ou d’organisations alternatives d’entreprises,
telles que l’autogouvernance selon Frederic Laloux. Il
était également important pour nous de trouver des
entreprises auxquelles les entreprises moyennes de la
région DACH (Allemagne, Autriche et Suisse) puissent
s’identifier. Les exemples des géants de la Silicon-Valley
sont très captivants, mais souvent très éloignés de ce que
nous voyons ici. Pour cette raison nous avons visité des
hauts-lieux comme Singapour, Tel Aviv, Shenzhen ou
Lagos, mais également des joyaux cachés comme Kigali
au Rwanda, Ulaanbaatar en Mongolie ou Sarajevo en
Bosnie Herzégovine. Pendant notre Modern Work Tour
nous avons coopéré avec plus de 130 entreprises tandis
qu’en Allemagne nous avons continué d’accompagner
nos clients à distance avant la pandémie.
Qu’entendez-vous par travailler d’une façon moderne ?
Nous entendons par cela d‘organiser les mondes de
travail modernes de manière proactive et d’améliorer le
travail pour les hommes raisonnablement. Nous nous
appuyons sur l’idée du fondateur du concept du New
Work, Frithjof Bergmann, avec son axe principal sur le
« vouloir vraiment, vraiment » à laquelle nous ajoutons
le « faire vraiment, vraiment » dans notre „approche
Reflect and Act“.
Quels sont les pays qui pratiquent le plus le New Work ?
Nous avons trouvé des premiers signes de New Work
dans tous les 34 pays que nous avons
visités pendant notre Modern Work Tour,
bien qu’à des degrés différents. Il était
intéressant que le terme New Work soit
peu connu dans le monde entier et qu’on
parle plutôt de Future of Work. Il était
captivant de voir comment au Rwanda les
conditions-cadres à la création ont été si
simplifiées qu’une entreprise peut être créée
dans un délai de quelques jours seulement.
Il est aussi intéressant d’observer comment
l’intention d’une fondatrice en Mongolie
de contribuer à une société en meilleure
santé l’a motivée à créer la première
marque de soins naturels dans le pays.
Quelle est la situation internationale –
en dehors de l’Europe ?
Beaucoup de gens perçoivent que le monde de travail est
en train de subir de profonds changements et veulent
réagir avec d’autres méthodes de travail pour y participer
de manière proactive. Il est intéressant que les points
communs l’emportent sur les différences. La durabilité et
la diversité sont partout des motivateurs essentiels. Ils sont
des accélérateurs pour créer un nouveau monde de travail
tout autour du globe. Dans notre livre nous présentons
9 principes de Modern Work qui décrivent plus précisément
les points communs.
Est-ce que le tour de monde va continuer ?
En effet le Modern Work Tour continue le 6 octobre. En
raison de la pandémie nous étions contraints d’interrompre
la vadrouille du travail moderne dans le monde en
Afrique. C’est pourquoi nous nous mettons maintenant
en route vers l’Amérique du Sud, Amérique centrale et
du Nord. Nous bouclons ainsi la boucle de notre tour
du monde et nous le terminons dans un lieu où nous ne
voulions pas aller de prime abord : dans la Silicon Valley.
On verra bien s’ils se laissent inspirer par nos aperçus
globaux ?
Les lecteurs qu’est-ce qu’ils peuvent attendre de votre
livre Modern Work Tour ?
Ils peuvent attendre un livre avec
un mélange particulier : C’est un
livre d’affaires avec des exemples
pratiques et des portraits d’entreprises,
un carnet de voyage d’un
couple entrepreneur de Hambourg
ainsi qu’un livre illustré et plein
d’inspiration, nous montrons
également notre belle terre vue
d’en haut avec des photos prises
par un drone. Vous trouvez toutes
les dates du tour et des vidéos
captivantes concernant le livre sur
notre site www.mowomind.com.
Bien du plaisir avec la lecture et
pour le voyage mental.
© Anna et Nils Schnell – MOWOMIND
Anna et Nils Schnell – MOWOMIND
contact 11

Référence
Secteur hôtelier.
Wiesner-Hager référencé
par le groupe NH Hôtel.
© NH Hotel Group
Le groupe NH Hôtel, troisième acteur principal de ce secteur
d’affaires, gère environ 280 hôtels. Fondé en 1978 à Navarre
(Espagne), le groupe NH Hôtel se fait un nom et devient un acteur
majeur dans l’hôtellerie. En se positionnant l’hôtellerie d’affaires,
le groupe NH accorde une grande importance aux secteurs
d’activité de conférence et d’événements. 21 hôtels à travers
l’Europe ont été aménagés avec des meubles intelligents pour
conférences et congrès de Wiesner-Hager : le siège empilable
nooi et la table empilable yuno, ainsi que la table de conférence
skill et le siège de conférence pulse.
12 contact
© NH Hotel Group

« Suivant notre philosophie The Responsive
Way of Working, nos clients sont au
centre de notre attention. Nous mettons à
disposition des gestionnaires d’événements,
des hôtels et des résidences avec des solutions
hautement spécialisées pour réunions
et événements », Pablo Fernández Cachafeiro,
directeur des opérations du groupe
NH décrit ainsi la philosophie de la société.
Depuis 2019 Wiesner-Hager est partenaire
du groupe NH pour l’ameublement des
espaces pour événements et séminaires dans
les hôtels : « Les meubles représentent l’élément-clé
pour le développement et la réalisation de notre garantie
de performance. Notre ambition est que les pensionnaires
et les participants aimeraient emmener les tables
et les sièges dans leurs bureaux le jour de leur départ »,
explique Cachafeiro. Le groupe NH avait quelques
exigences à voir satisfaites lors du choix du mobilier
parfait : « L’aménagement sera adapté au type d’hôtel
et à sa situation géographique. La flexibilité, la réponse
proactive et la gamme de produits multiple trouvées
chez Wiesner-Hager nous ont incités à la coopération.
En tant que partie intégrante de Minor Hôtels, nous
avons étendu notre portefeuille et nos marchés cibles et
nous avons plus que jamais besoin d’un partenaire qui
offre des solutions globales », souligne le directeur des
opérations.
© NH Hotel Group
© NH Hotel Group
La numérisation et les permanents
processus de changement dans
l’univers du séminaire nécessitent
des adaptations aux circonstances
actuelles. « Nous travaillons ensemble
avec beaucoup de clients qui ont
des besoins totalement différents :
des réunions internes, des constitutions
d’équipe, des conférences, des
showrooms et des présentations de
produit. Chacun d’entre eux a des
attentes et des priorités p.ex. confort,
flexibilité ou technologie. Nous
devons définir toute configuration de
manière à ce qu’elle couvre toutes les
exigences et qu’elle offre des expériences
inoubliables – c’est inscrit dans
notre ADN », explique Cachafeiro.
Données de projet :
Hôtels :
280 à travers l’Europe
Hôtels aménagés : 21
Ameublement : 5800 nooi sièges empilables
1440 yuno tables empilables
Coopération avec Wiesner-Hager depuis 2019
contact 13

Office Life
Culture de bureau revisitée :
Thématiques
anciennes et
sensibles
repensées.
Après cette période du bureau à domicile en raison de la pandémie
le mot d’ordre pour beaucoup de salariés est le retour au bureau.
A peine le canapé et la chaise de cuisine remplaçaient les pendants
ergonomiques, à peine la routine prenait place et le pantalon jogging
s’instituait vêtement de travail, arrivait déjà le moment du retour au
bureau – au moins partiellement. Il n’est donc pas étonnant que la
transition culturelle reconduisant de la calme chambre au bureau
grand-espace, ou au bureau partagé, ravive certains thèmes de
discussion et de conflits.
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Ces points de friction ne sont pas tout à fait nouveaux.
Le collègue X passe ses appels téléphoniques à un volume
plutôt adapté à un discours rageur et la collègue
Y ne s’est pas encore débarrassée de ses problèmes de
mauvaise haleine. Sans parler de conflits classiques tels
que température, aération et ordre. Comment a-t-on
réglé ces choses avant la période de pandémie ? On ne
le sait plus. Tout cela a comme conséquence un surmenage
et un stress qui rend le retour au bureau plus
difficile.
Même le small talk et la culture de l’échange doivent
être réappris. Alors que les vidéoconférences sont menées
au pas de course, les réunions physiques semblent
s’étirer éternellement. Pendant les mois solitaires du
travail à domicile beaucoup ont
développé un véritable besoin
de parler, ce qui fait que chaque
sujet est décortiqué dans les
moindres détails. Le revers de
cette tendance est pour tous
ceux, qui, à cause du télétravail,
doivent s’habituer à nouveau
aux entretiens spontanés, à un
volume sonore plus élevé et au
contact direct.
Faciliter le retour
au bureau.
Même si les conflits du passé
sont bien connus, il est très
important d’accompagner la
reprise du travail au bureau. Un
échange ouvert, des réunions
en équipe et des entretiens
constituent une atmosphère
adéquate pour se retrouver, mais
également pour aborder ouvertement des points problématiques.
Il faudrait en plus élaborer des modèles
de travail appropriés à la présence effective au bureau.
Des directives pour une coexistence sous forme d’une
politique au bureau soutiennent la collaboration et
évitent des conflits par un règlement écrit. Des community
managers surveillent le respect des directives.
Ils tiennent compte des différents intérêts, coordonnent
la communication et constituent finalement le
lien entre tous les collègues au bureau. Une ambiance
de soutien au niveau de l’espace, et des zones de bureau
à l’aménagement attrayant, aident de surcroît à éviter
des problèmes dans le
sens propre du mot et
à motiver les employés
de retour au bureau.
Des espaces de repos,
telles que silent rooms
ou bibliothèques créent
des zones pour échapper
au bureau ouvert
ou au bureau d’équipe
et produire un travail
concentré. Des espaces
créatifs et des zones de
rencontre favorisent par
contre la collaboration
et soutiennent l’activation
de l’esprit d’équipe.
Des zones extérieures,
ainsi que des lieux pour
repos et entretiens informels
rendent le bureau
également attrayant.
Comment se déroule
réellement le retour au
bureau peut varier fortement
d’une personne
à l’autre. Tandis que les
uns sont impatients de
© shutterstock
voir le jour des retrouvailles,
les autres sont
encore dépassés par la nouvelle situation. Il est cependant
sûr que des contacts sociaux, malgré les conflits
qu’ils amènent, sont indispensables pour garantir
une coopération fructueuse ainsi que pour inspirer la
créativité et les idées.
contact 15

Office Life
Dresscode au burea
J’échange d
des baskets
Il est le compagnon le plus fidèle du bureau à
domicile, car il est confortable, pas compliqué
et indémodable. Il s’agit du pantalon jogging
classique. Karl Lagerfeld aurait sans doute eu
un avis différent, mais le pantalon jogging a
connu (pour des raisons de confort) son heure
de gloire pendant la pandémie.
© AdobeStock
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u :
es escarpins contre
! Comme
chacun sait l’être humain tient à ses habitudes
et n’aime pas du tout quitter sa zone de confort. Bon le
pantalon jogging est peut-être un exemple un peu extrême.
Même si la génération Z a une grande affinité avec
des vêtements très décontractés et si elle apprécie porter
un jogging au bureau, le vêtement iconique n’a finalement
pas pu s’y imposer dans la pratique. Une chose qui
a pourtant changé lors du retour aux bureaux est une
nouvelle attitude décontractée au niveau de la consigne
vestimentaire et un renâclement à s’enfermer dans des
vêtements inconfortables. Dans beaucoup de domaines
le moment est donc venu de dire adieu à la cravate et au
costume. Selon une étude de Bearing Point, conseiller
en gestion et technologie, seulement 2 % des employées
dans un bureau peuvent imaginer être à son poste de
travail en costume ou en tailleur. Unique exception : des
rendez-vous officiels avec sa hiérarchie ou les partenaires
commerciaux. Il y a également des raisons financières :
selon Bearing Point les dépenses pour des vêtements
professionnels s’évaluaient encore environ à 1.700 euros
pendant l’année 2019. Et pendant la phase de pandémie
on a seulement investi 480 euros en moyenne. Un
dilemme se pose de plus en plus souvent quand on a des
contacts fréquents avec des clients : Un code vestimentaire
trop rigoureux fait fuir les collègues,
tandis que des tenues trop décontractées
donnent une impression peu professionnelle.
Casual est le nouveau Chic.
Une chose est évidente : le retour au standard
du temps avant la pandémie n’est plus possible.
Un code vestimentaire qui variera fortement en fonction
du secteur ne peut pas non plus être fixé. Le soi-disant
casual-look pourtant nous fournit une possibilité
d’allier confort et élégance. Ce style est caractérisé par
la combinaison de vêtements décontractés et chics, par
exemple des jeans en coloris foncé avec un blazer. Selon
des experts en mode il faut veiller à ce que les matériaux
soient de haute qualité. Des chaussures ouvertes, des
tissus à motifs ou des couleurs criardes sont proscrits,
même dans un look décontracté. Le t-shirt blanc est un
must-have absolu. Il confère une décontraction dans
tous les styles et il peut parfaitement être combiné.
Les baskets remplacent les chaussures
à talons aiguilles.
Les chaussures à talons aiguilles et les chaussures de
costume étroites sont le synonyme absolu de l’inconfort.
C’est pourquoi le moment est venu que les chaussures
confortables soient très tendance. Depuis longtemps
des baskets confortables ont fait leur entrée dans les
bureaux et on les porte même avec costume et tailleur.
Mais attention là aussi les experts tempèrent : il faut
choisir les chaussures dans des couleurs sobres tel que
noir ou blanc et des motifs trop voyants ou des design
multicolores sont à éviter.
Come as you are.
Comme mentionné plus haut, la jeune génération en
particulier adopte de plus en plus une attitude décontractée
sur le plan vestimentaire. Dans certaines startups,
certes de manière éparse, s’applique la philosophie
du „Come as you are“ (Venez comme vous êtes). De la
chemise aux tongs, on y trouve de tout. Le credo est de
s’habiller d’un style adapté à sa propre personnalité et
de ne pas suivre toutes les tendances de la mode. Quelle
est la conclusion ? Regardons les recommandations des
experts : Dépendant de la culture d’entreprise et du secteur
commercial, le code vestimentaire sera à négocier
avec ses employés. Dans le meilleur des cas le dialogue
mène à une compréhension mutuelle ou à un compromis.
Tout semble donc mener au casual……à moins que
la cravate ne connaisse bientôt un renouveau ?
Dans beaucoup de
domaines le moment est donc
venu de dire adieu à la cravate
et au costume.
contact 17

Observatoire des tendances
Solutions informatiques
pour bureaux
partagés.
On ne peut pas avoir les deux – le télétravail et un poste de travail personnel au bureau : De plus en
plus d’entreprises partagent ce point de vue. La table de bureau désertée est un espace non utilisé
pendant les jours de télétravail. Les bureaux partagés, des postes de travail à utilisation commune
sont de plus en plus courants et la table de bureau personnelle est dans de nombreux endroits
obsolète. Ce qui paraît simple à première vue, exige pourtant un effort sur le plan de l’organisation
pour garantir un processus de travail sans problème. Les solutions logicielles sont un soutien pour
des bureaux partagés.
© evoko
Desk Booking.
Où l’employé peut-il monter sa tente temporairement
pendant les jours au bureau ? C’est là
qu’interviennent des systèmes de réservation
pour une table de bureau. Des outils
électroniques tels que le kleeo desk manager
sont montés sur poste de travail et le logiciel à
l’arrière-plan indique directement sur la table,
si et quand le poste est occupé et qui l’a réservé.
On peut même trouver des solutions soutenues
18 contact

par des applications : deskbird offre par exemple
une plate-forme facile à utiliser pour une réservation
rapide d’un poste au bureau. Tous les postes de travail
disponibles sont indiqués en temps réel et peuvent être
réservés en deux clics. En plus les collègues peuvent
s’informer de la présence d’autres collègues au bureau,
ce qui facilite la planification des réunions physiques.
Avec l’application Desk Sharing
FlexWhere on peut faire plus que réserver
des places de travail : l’application aide à
filtrer les tables de bureau selon certains
critères tels que l’équipement technique
de celles-ci. Pour les managers de
bureaux et de bâtiments, la fonction des
statistiques est également disponible afin
d’optimiser l’utilisation et le taux d’occupation
des diverses salles de réunion.
Intégration intelligente.
L’intégration aux programmes déjà en utilisation,
comme Microsoft Teams ou Outlook, du logiciel
de Desk-Sharing est particulièrement sensée. De
nombreux fournisseurs, dont anny, ont déjà intégré ce
service. Ainsi la formation aux programmes est plus
facile car l’utilisation se fait par des outils connus. La
planification personnelle de l’agenda et la réservation
des salles de réunion font dans de nombreux
cas partie de ces solutions logicielles et peuvent
être synchronisées avec des calendriers déjà
existants. Des directives organisationnelles
sont une condition préalable importante : seule
l’utilisation continuelle et correcte du logiciel
peut garantir au bureau partagé une mise en
œuvre sans heurts.
Matériel informatique pour les
bureaux partagés.
A part un bon logiciel il existe diverses solutions en
matériel informatique pour un travail facilité dans un
bureau partagé. Une des possibilités est Plug and Play :
les utilisateurs ont leurs propres ordinateurs portables
et ils se connectent par câble USB-C avec la station
d’accueil, Plug and Play, qui est de préférence intégrée
dans un moniteur externe. Une autre option sont les
ordinateurs fixes avec des accès partagés. Concrètement
cela signifie que l’utilisateur se connecte avec ses
données d’accès personnelles et qu’il peut accéder
à son propre bureau qui contient toutes les
données. C’est aussi une bonne méthode pour
des salles de réunion. Les contenus, tels que
des présentations ou des documents, seront mis
à disposition par le cloud, sans que l’utilisateur
doive connecter son propre ordinateur.
A côté de tous les détails techniques
il y aussi des règles banales qui sont
importantes pour le bureau partagé,
notamment l’établissement d’une
Clean Desk Policy. Finalement on
n’est plus seul responsable de son
poste de travail – alors faisons place nette
au prochain utilisateur du bureau partagé !
contact 19

Hôtels à travers le monde
Une nuit
avec Oscar
Wilde.
Le NoMad à Londres, hier prison, et en
2021 primé Hôtel européen de l’année,
joue avec son histoire ambivalente et
prouve que même dans un lieu aussi
sombre sommeillent beaucoup de force
et de potentiel créatif. Une promenade
dans un immeuble hôtelier pas tout à fait
comme les autres.
© SimonUpton
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Oscar Wilde, la militante féministe
Emmeline Pankhurst et les frères jumeaux
Kray, des criminels qui dans les
années cinquante et soixante ont mené
une carrière peu enviable dans l‘East
End de Londres en perpétrant meurtres,
vols, escroqueries, incendies et jeux
d‘argent illégaux, ont jadis séjourné ici.
Mais séjourner n‘est peut-être pas le
mot juste. Ils ont plutôt passé des mois
et des années derrière les barreaux -
certains de manière légitime, d‘autres
non. Le 20 avril 1895, la première page
du Police News affichait ce triste titre :
„Oscar Wilde at Bow Street.“
Il y a deux ans, l‘ancienne Bow Street
Magistrates Court and Police Station,
situé au cœur de Covent Garden, faisait
à nouveau la une des gazettes. Mais
cette fois-ci, ce n‘est pas en raison de
ses visiteurs involontaires, mais plutôt
de ses hôtes payant de leur plein gré et
désireux de s‘installer pour quelques
nuits dans un endroit nimbé d‘ombre
et de lumière, d‘Histoire et de
sous-entendus incongrus, de confort
physique et d‘esprit d‘aventure. Avec
sa succursale au 28 Bow Street - à
mi-chemin entre la Tamise et le British
Museum, juste en face du Royal
Opera House - la chaîne d‘hôtels
de luxe américaine NoMad a ouvert
son premier établissement sur le sol
européen. Et quel établissement !
« Le bâtiment a été construit au 18e
siècle et a servi de poste de police et
Nous voulons
que nos projets
permettent aux
gens d‘expérimenter
le confort bourgeois,
mais qu’ils découvrent
aussi un romantisme
sauvage et une joie
de vivre bohème.
de prison pendant plus de 250 ans »,
explique Stephen Alesch, qui dirige
avec sa partenaire Robin Standefer
le bureau de design new-yorkais
Roman and Williams. « La maison
a un caractère dur, masculin de bout
en bout. Nous voulions opposer à
cette masculinité austère quelque
chose de doux et de glamour et
donner d‘une certaine manière une
touche féminine au bâtiment existant.
Cet hôtel est plein de dichotomies,
d‘oppositions contrastées, qui
sont pour nous l‘expression d‘une
manipulation hédoniste vraiment jouissive. »
C‘est au plus tard lorsque, le soir, la table est dressée
dans la grande salle à manger, somptueusement garnie
de vaisselle et de couverts classiques, et que les bougies
s‘allument entre des oliviers d‘un mètre de haut, que
l‘on comprend ce qu‘il faut entendre par le cross-over
dichotomique des sexes. Au milieu de la pièce se
dévoile ce que le bureau de design new-yorkais appelle
„la vie sauvage indomptée“, tandis qu‘en arrière-plan,
sur les caissons en bois des murs et du plafond, se
© SimonUpton
© SimonUpton
contact 21

Hôtels à travers le monde
déploie une fresque murale plus que magique, presque
spectrale, de l‘artiste française Claire Basler.
Ailleurs encore, du velours, des tapisseries, du marbre,
du cristal, du verre de Murano, des franges et des cordons,
des classiques du design côtoient des meubles de
style brillants et un piano laqué. « Non, nous n‘avons
pas de style ni de signature unique », affirment
Stephen Alesch et Robin Standefer, lui autodidacte,
peintre et dessinateur passionné, elle scénographe et
décoratrice de cinéma de formation, qui a travaillé
pendant 15 ans comme conseillère visuelle pour Martin
Scorsese. « Nous travaillons avec ce que nous trouvons
et, dans ce cas, il s‘agit d‘une maison très bavarde,
qui a déjà vécu beaucoup de choses et qui apporte une
énergie incroyable et inimitable. Cette maison est une
alternance de forces. »
Après sa transformation par EPR Architects autour
de Mark Bruce et la conception de l‘intérieur par
Roman and Williams, l‘hôtel NoMad, classé monument
historique et désormais propriété du Sydell
Group, abrite 91 chambres de luxe. À cela s‘ajoutent
diverses aventures spatiales comme le lobby, l‘atrium,
la bibliothèque, l‘Elephant Bar, des salles de séminaire
et des salons au design spectaculaire pour les mariages,
les banquets et les dîners privés. Les prix des chambres
se situent normalement entre 400 et 600 livres, donc
au-delà de toutes les limites de la douleur, mais en
contrepartie, on peut se coucher dans la splendeur de
l‘European Hotel of the Year 2021. « Nous voulons
que les gens découvrent avec nos projets le confort
bourgeois, mais aussi un romantisme sauvage et une
joie de vivre bohème », explique Alesch, qui a déjà
habillé avec son équipe de nombreux hôtels et temples
de la gastronomie primés et qui compte parmi les 100
meilleurs designers du monde selon Architectural
Digest. « Ils doivent être curieux et vouloir s‘évader
très loin par la pensée. » Et qui sait, peut-être croisera-t-on
dans l‘une des chambres à coucher le portrait
de Dorian Gray ou le spectre féministe de la suffragette
Emmeline Pankhurst. Je peux résister à tout, sauf
à la tentation. Oscar Wilde.
Wojciech Czaja
© SimonUpton
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What’s on your desk?
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© Gustav Willeit
Que trouve-t-on dans votre
bureau, Michaela Wolf ?
Les constructions de Bergmeisterwolf s‘inscrivent radicalement dans
le paysage, nouent des dialogues tantôt poétiques, tantôt dissonants
avec leur environnement, égratignent, choquent, provoquent, mais sont
finalement composées de manière si harmonieuse qu‘on aimerait ne rien
y changer. L‘atelier dans lequel les idées prospèrent et prennent forme se
présente de la même manière que leur concrétisation. Michaela Wolf et
son partenaire Gerd Bergmeister sont en effet installés dans une maison
du 14e siècle classée monument historique, en plein centre de Brixen, à
côté de laquelle passe l‘Eisack, le deuxième plus grand fleuve du Tyrol du
Sud. « Nous avons emménagé il y a cinq ans et avons dû mettre la main
à la pâte, ce qui était un vrai défi avec les règles strictes de l‘Office des
monuments historiques », explique Wolf, et oui, elle aime les défis.
« Nous avons à peine touché à l‘ancien, mais nous l‘avons complété par
de nouveaux éléments de discontinuité. Il s‘agit de rompre, de repenser et
d‘élargir en permanence. » La rupture avec les codes établis se rapporte
également au travail, car on cherchera en vain chez elle un poste de travail
fixe. « Dans l‘architecture de bureau, on parle de desk sharing et d‘activity
based working. Nous le faisons depuis des années, car je ne supporte pas
de rester assise au même endroit toute la journée. Je dois me déplacer, ce
qui est probablement dû à mon caractère agité, et me créer constamment
de nouvelles perspectives. Je travaille sur un chantier, sur le siège passager
d‘une voiture, en me promenant dans la forêt. »
Wojciech Czaja
© Archiv Bergmeisterwolf
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On entre dans le bureau par l‘atelier des maquettes. C‘est en
quelque sorte la base de notre architecture. Un processus de
conception sans maquette et sans travail physique de nos propres
mains est pour nous inimaginable.
L‘escalier est constitué de panneaux de coffrage en béton disponibles
dans le commerce. Le lisse et le parfait ne nous conviennent
pas. Nous voulons rendre visible le processus de planification et de
construction. Parfois, j‘utilise aussi l‘escalier pour travailler sur mon
ordinateur portable.
Au premier étage se trouvent des postes de travail de bureau classiques
et – très important – un petit bar pour que nous puissions
boire un espresso ensemble.
Le plafond à poutres en bois date encore du 14e siècle. Nous avons
conservé toutes les traces de peinture, nous avons simplement
soutenu le plafond avec une simple structure en acier traité à la
cire de buffle.
Les matériaux sont très bruts : sol en béton, chauffage mural,
enduit à la chaux sur les murs, les murs ont jusqu‘à un mètre
d‘épaisseur, les fenêtres sont posées de telle sorte qu‘on ne les voit
pas de l‘extérieur.
La table est faite sur mesure. J‘ai besoin de grandes surfaces
dégagées pour travailler. J‘attache de l‘importance à l‘ordre, car ce
n‘est que lorsque le poste de travail et la tête sont bien rangés qu‘il
y a de la place pour de nouvelles pensées.
Nous préférons combiner le neuf avec quelques pièces anciennes,
en l‘occurrence de vieilles chaises Eames ou des chaises Tolix que
nous avons trouvées chez Lichterloh à Vienne.
On peut aussi trouver de nouvelles chaises en bois, mais elles
doivent alors être vraiment bonnes. Comme la chaise Czech de
l‘architecte viennois Hermann Czech.
Notre studio est rempli de miniatures de travail. Tout en carton
ondulé, facile à découper et à graver. Nous aimons nos miniatures.
Nous passons beaucoup de temps au bureau et nous aimons cet
endroit. Mais parfois, on a besoin de se changer les idées. Alors je
prends mon ordinateur portable et je sors à l‘air libre.
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Office Life
Le monde du travail en pleine mutation :
La génération Z arrive !
Il doit être flexible, mais également sensé, bien payé, avec des hiérarchies
horizontales et des tâches variées. – Ainsi peut-on résumer les
exigences envers leur emploi des nouveaux arrivants de la génération
Z dans le monde du travail. Quelles sont les idées de la génération Z
et à quoi doivent s’attendre les employeurs.
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X – Y – Z … qui est qui ?
Il n’y a pas mal de termes qui viennent à être utilisés
pour la description des générations – qui doit alors
être affilié et où ? La génération Z (en abrégé Gen Z)
inclût toutes les personnes qui sont nées entre 1996 et
2010. Les prédécesseurs des Z sont – comment pourrait-il
en être autrement – la génération Y des années
1981 à 1995. Les personnes nées entre 1965 et 1980
sont donc attribuées à la génération X. Avant il y a
encore les babyboomers, qui sont nés à partir de 1946.
Jusqu’ici tout est clair. Cette classification montre que
la génération Z est actuellement prête à l’action pour
la vie professionnelle.
C’est la situation actuelle.
Contrairement aux générations précédentes, ceux qui
appartiennent à la génération Z ont grandi dans une
grande prospérité et avec beaucoup de possibilités.
Téléphone mobile, ordinateur
et internet sont leur norme
standard depuis la scolarisation.
La richesse matérielle permettait
à leurs parents de les promouvoir
dans une large mesure. Trouver la
formation adéquate a donc une
assez grande valeur. La volonté
d’arrêter l’apprentissage ou les
études pour une réorientation
est également plus grande. Les
Z ont donc une exigence différente à la vie et à l’emploi
– spoiler : le travail n’est plus numéro un. Selon
le magazine économique brand eins, il y a à peine
moins de neuf millions personnes qui sont nées en
Allemagne au tournant du millénaire. C’est donc un
très petit groupe et la conséquence est un manque de
main d’œuvre dans le futur. C’est pourquoi ce sont
les entreprises qui font des efforts pour recruter des
collaborateurs et non le contraire. Et précisément cela
le rend encore plus facile à la génération Z de faire
valoir ses droits.
Quelles sont les attentes ?
Quel est l’essentiel pour la génération Z dans la vie
professionnelle ? Selon une enquête du Statista
Research Department un équilibre entre le travail et
la vie est au premier rang. 84 pourcents des personnes
entre 18 et 23 ans interrogées dans le monde entier,
L’emploi en tant que
but en soi pour gagner de
l’argent n’est plus la priorité.
déclarent qu’elles estiment important ou très important
de trouver un équilibre entre travail et loisirs.
L’emploi en tant que but en soi pour gagner de l’argent
n’a plus la priorité. Pour la jeune génération les loisirs,
la famille et l’épanouissement personnel sont les piliers
fondamentaux. L’aspect financier joue tout de même
un rôle central. 87 pourcents ont après tout déclaré
qu’ils considèrent un bon salaire et d’autres prestations
supplémentaires comme essentiels. 76 pourcents souhaitent
en outre des horaires de travail flexibles ainsi
que la possibilité de travailler en dehors du poste de
travail classique. Travail à domicile, travail à distance
et une ambiance de travail créative ne sont pas des
privilèges pour la génération Z mais des modalités
toutes naturelles. En plus 80 pourcents ont déclaré que
la diversité de leurs tâches, ainsi que la chance d’exercer
une influence importante grâce à leur activité, sont
décisives pour le choix du métier et de l’employeur.
Que faire maintenant.
Corbeille de fruits, travail à
domicile et cantine ne suffisent
plus pour attirer la génération
future des actifs. Les
gestionnaires de ressources
humaines doivent mettre au
point des concepts nouveaux
pour convaincre la génération
Z. On peut gagner des
points avec des voyages, des postes à temps partiel,
un sur-classement des vacances ou des événements
réguliers pour les employés et surtout un surplus de
loisirs ainsi que plus de solidarité. Les Z apprécient en
plus des hiérarchies horizontales, un contact direct,
des coachings et des formations continues.
Si un employé Z est bien arrivé dans l’entreprise, il
s’agit alors de le garder. Comment réussir ? Des experts
en ressources humaines recommandent surtout une
communication ouverte et une rétroaction régulière,
aussi bien des félicitations que des propositions d’amélioration.
La génération Z aime en plus des défis et de
la responsabilité pour des projets personnels. Et encore
une chose très importante : l’acceptation de l’équilibre
entre le travail et la vie. Les Z veulent une séparation
nette entre emploi et vie privée sans avoir mauvaise
conscience.
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Showroom
Entre confort et
fonctionnalité.
Découvrez deux nouveautés de Wiesner-Hager – le siège traîneau batch avec
un rembourrage confort accueillant et la table pliante p.f.s., qui convainc par
un mécanisme pliant fonctionnel et une haute stabilité.
batch comfort
Un minimalisme formel rencontre un
confort d’assise maximal.
batch comfort est la nouvelle variante du siège luge à
succès, il est doté d’ un confortable rembourrage. Ici
le minimalisme du piètement rond, fin et graphique,
rencontre un rembourrage particulièrement généreux,
qui confère au siège un charme accueillant et confortable.
Le rembourrage volumineux et confortable,
agréable à l’œil et au toucher, marque un contrepoint
intéressant au piètement luge gracieux en tube d’acier
rond de 12 mm, qui évoque de simples dessins au
trait introduisant le minimalisme et la sobriété. Les
nombreuses variantes de tissu de la collection variée de
Wiesner-Hager ouvrent un terrain de jeu créatif pour
l‘aménagement de l’espace.
batch comfort est utilisé dans beaucoup de contextes
de l’architecture de bureau, ainsi que dans des hôtels
et des centres de congrès – particulièrement dans les
Working Cafés, Conference Lobbys, halls d’entrée,
espaces d’attente et bibliothèques.
Bref : Vous trouverez batch comfort partout où des
entretiens décontractés ou un séjour confortable ont
lieu.
Design : Andreas Krob
26 contact

p.f.s. tables pliantes
Un relook ludique pour les grands espaces.
Le nom même de la table pliante p.f.s. annonce la couleur : „ progressive
folding system “ ne nécessite pas de traverse supplémentaire et garantit
plus de stabilité ainsi qu’un espace généreux pour les jambes. Le maniement
de la fonction de pliage est extrêmement aisé, intuitif et fiable. Une
protection intégrée garantit un empilage sécurisé qui ne provoque aucun
dommage. La table pliante p.f.s. révèle ses atouts surtout dans des salles
(grand-espace) dédiées à l’utilisation multifonctionnelle, où les reconfigurations
sont fréquentes. Elle est donc parfaitement adaptée dans les salles
de congrès et de séminaire ainsi que dans les locaux dédiés à l’événementiel.
De plus le système de tables convainc par une foule de variantes de
formats, de finitions et d’options supplémentaires. Trois piètements
différents augmentent la liberté de conception : le tube d’acier rectangulaire
incliné de haute qualité, le tube d’acier rond cintré minimaliste, et le
piètement en T stylé et élancé.
Design : Andreas Krob
contact 27

Configurer des ensembles de
meubles en ligne – Appliquer
directement les données de planification.
Nous avons ajouté des scénarios de planification à notre catalogue de produits CAO. Il est ainsi
possible de configurer en ligne des modules complets ou des ensembles (par ex. table de conférence
+ chaises de conférence assorties) et de les transférer ensuite directement dans la planification.
Cet outil permet de réaliser des planifications et des offres beaucoup plus rapidement.
Cliquez ici pour aller
au configurateur.