MANUEL GÉNÉRAL DE L'INSTRUCTION PRIMAIRE - INRP

86" Année. N« 41 S Juillet 1919 

MANUEL GÉNÉRAL 

DE L'INSTRUCTION PRIMAIRE 

JOURNAL HEBDOMADAIRE 

DES INSTITUTEURS ET DES INSTITUTRICES 

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Les manuscrits non insérés ne sont pas rendus. 

SOMMAIRE DE LA PARTIE GENERALE 

A propos de la vie chère 

Nos enfants et la guerre 

F. PÉCAUT 529 

G. SALVAN 53o 

Pour les Institutrices. — Lingerie nouvelle. . . 

. .' C. REYMO ) 536 

Mon franc parler. — L'Insliluleur et les familles Opinions et communications 537 

A. BALZ 532 Revue des Bulletins départementaux. . . . 

Le mouvement corporatif H. BORDAGE 533 

A. ANCELLIN. 538 

Revue littéraire. — 1. Une séance symbolique à En lisant l'Officiel 539 

l'Académie française. — 2. La bonne grand'mère. 

— 3. En l'honneur des roses. — 4- Un collège Correspondance 53g 

d'autrefois. — 5. L'amitié indestructible. . LÉO 534 Annonces 54o 

AVIS A NOS LECTEURS : "Voir à la « Partie scolaire » du présent numéro 

le compte rendu du Concours entre les meilleurs élèves des Écoles primaires. 

A propos de 

La vie chère : nous en souffrons; mais, 

puisque nous n'y pouvons rien, — au moins 

individuellement, autant vaut méditer sur ce 

phénomène déconcertant et tragique. L'effort 

pour comprendre ce qui l'affecte, quand il n'y 

a pas mieux à' faire, est la consolation du 

sage. 

Cette consolation, la presse nous la prodigue, 

il faut le reconnaître, en s'appliquant chaque 

matin à nous expliquer les causes de la crise. 

Il est bien certain que la grande cause ou, du 

moins, la plus apparente, est dans cette circonstance 

que d'immenses forces de production 

ont été détournées vers les œuvres de mort; la 

production des objets utiles à la vie diminuait 

donc terriblement, cependant que le besoin 

qu'on en avait, restait constant. 

Cependant il est une autre cause, souvent signalée, 

mais d'un caractère assez singulier pour 

qu'il vaille la peine de la suivre avec quelque 

attention. Elle est peut-être la plus efficiente; 

elle est, en tous cas, la seule générale, la seule 

qui affecte tous les prix à la fois. Nous voulons 

parler de la multiplication de la monnaie en 

circulation. 

L'Etat a accru la quantité de monnaie servant 

aux échanges en émettant des billets de Banque 

qui n'ont pas leur contre-partie dans les réserves 

d'or de la Banque de France. Certes, cette 

monnaie de papier n'est pas dépréciée par rapport 

à celles en métal précieux. A juste titre le 

public lui donne sa confiance. Avec un billet de 

vingt francs en papier, on obtient autant, dans 

un magasin, qu'avec un louis. Notre crise ne 

ressemble donc pas à celle de la Révolution, 

pendant laquelle il y avait deux séries de prix : 

Partie générale. 

la Vie chère, 

ceux des achats soldés en métal; cc.ix des 

achats soldés en assignats. 

S'il n'y a pas à distinguer entre les deux monnaies, 

il n'en est pas moins vrai que la quantité 

de monnaie a considérablement augmenté. Or, 

ainsi que chacun le sait, il en est de la monnaie 

comme de toute autre marchandise. Augmentant 

de quantité, elle perd, toutes choses égales 

d'ailleurs, de sa valeur relative. Avec l'unité 

monétaire on obtient moins, dans l'échange, 

que lorsque la quantité ne s'était pas accrue. 

Donc.les prix montent.. Toutes choses égales d'ailleurs,. 

car si, par exemple, la production des objets 

augmente, les prix baissent. Mais si la 

production diminue, comme depuis cinq ans, 

alors les deux causes se conjuguent pour déchaîner 

la hausse formidablement. 

Il faut aussi, pour que l'effet se produise, 

que la monnaie circule. Si on ne s'en sert pas 

pour acheter, si on la serre dans un tiroir ; si on 

thésaurise, c'est comme si elle n'existait pas. 

Et c'est une curieuse notion que cette notion 

de vitesse de circulation qu'il faut faire intervenir 

pour expliquer les prix. Supposez une somme 

de 20 francs, dont 10 frs en pièces de 1 fr. qui 

changent 8 fois de mains en un an, et deux 

écus de S frs qui changent 4 fois. Si l'on prend 

l'année comme unité de temps, la vitesse de 

circulation pourra se traduire dans l'expression : 

10x8 + 10x4 _ 

20 

— 

Comment l'accroissement de monnaie exercet-il 

son action? Voici, par exemple, des propriétaires 

de mines, auTransvaal, qui récoltent 

de l'or. Enrichis, ils achètent des objets et en 

N' 41.

530 MANUEL GÉNÉRAL DE L'INSTRUCTION PRIMAIRE 

font hausser les prix. Les vendeurs, enrichis à 

leur tour, en font de même. Ainsi la hausse se 

propage par ondes samecessiies,, et la vitesse- d® 

propagation est variable, suivant que Tes circonstances 

la favorisent ou ta conlrarient, — 

plus rapide généralement lorsqu'il s'agit de 

l'émission-de papier, que de l'extraction de 

métal dans les mines. 

Si la hausse se transmet uniformément et 

tend à élever tous les prix, iî ne s:'ensuit pas 

qu'elle ait un effet uniforme sur les fortunes 

des particuliers. Tout au contraire. Elle 

appauvrit certaines catégories de personnes, 

enrichit d'autres catégories' et c'est c e qui la 

rend si grave et parfois si dangereuse socialement. 

Elle profite aux détenteurs de matières 

premières et aux producteurs ; et donc, particulièrement 

aux paysans, si des circonstances 

contraires ne s'exercent pas. La vie chère fait,, 

d'ordinaire, les campagnes plus prospères. Les 

paysans deviennent non seulement propriétaires, 

mais rentiers, c'est-à-dire créanciers du 

travail national. 

Or l'histoire vérifie . assez bien ces considérations 

déduites par les économistes. Regardons 

dans le siècle dernier. Pendant sa première 

moitié, la production de l'or est faible: 80 

millions de moyenne annuelle. Les gisements 

du Brésil et du Mexique donnent des signes 

d'épuisement. Mais aux approches de 1850, on 

découvre ceux de Californie et d'Australie. Du 

coup, dans la période de 1850 à l'870, ta production 

bondit à 670 millions annuels. Les 

prix montent, malgré l'extension de l'industrie 

et favorisent cette extension. Prospérité rurale, 

dont les paysans attribuent le mérite à l'empereur 

et qui consolide le régime impérial. 

De 1870 à 1890, la production d e l'or ne 

s'accroît pas; elle fléchit même légèrement; 

d'où baisse des prix ; la crise sévit sur les campagnes 

; la valeur de la terre tombe. 

Mais voici que vers 1890, on met en exploitation 

les terrains aurifères du Transvaal, de 

l'Alaska. La production de l'or saute huit milliard, 

annuel, de 1890 à 1900; à deux milliards de 

1900 à 1910. L'onde de hausse est retardée par 

diverses circonstances et, particulièrement,, 

par ce faitquelesEtatsthésaurisent,augmentent 

leurs réserves métalliques. Mais qui ne se souvient 

de renchérissement qui se produisit à 

partir de 1906 environ ? enchérissement de 

' Nos enfants 

La guerre, crise violente, surtout quand elle 

est de si longue duiée, a profondément agi sur 

la nation. A-t-on essayé de se rendre compte 

des perturbations qu'elle jeta dans la population 

enfantine? 

De ces cinq longues, années terribles,, les 

jeunes ont souffert à leur manière. Il n'est 

peut-être pas. inutile d'essayer de nous en 

rendre compte, peut-être même d'en tirer 

quelques conclusions. 

Le premier des effets de la guerre auquel on 

pense tout de suite, c'est celui qui a trait à 

l'alimentation. Certés, pour les tout petits, la 

crise du lait et celle du sucre ont été graves ; 

elles auraient pu être- dangereuses. Ne parlons 

pas de la suppression des pâtisseries et des bonbons, 

privation sans doute bienfaisante. N'in? 

sislons pas non plus outre mesure sur fe 

toutes choses et dans tous les pays; enchérissement 

inattendu et qui fit ma effet de surprise. 

Le bien-être paysan eut. une montée certaine. 

Et cette hausse se maintenait encore à la veille 

de' la guerre. 

Au moyen âge, on n'avait guère pour les 

échanges que le stock monétaire accuinuté par 

les anciens. Et ce stock s'usait, se perdait, se 

dispersait en des pays lointains. Mais en 1519, 

Cortez eotreà Mexico, Pizarre s'empare du Pérou. 

L'afflux d'o-r et d'argent d'Amérique galvanise 

l'Europe. Le XYL° siècle est, chez nous, 

une époque d'enehêrissement considérable. 

M. Levasseur établit que l'hectoPitre cfe blé, en 

1510, se vendait à Paris, 1 fr. 17 (de notre 

monnaie actuelle); mais il atteignait 15 fr. 68 

de 1570 à 1590. Le peuple murmure; le peuple 

fait quelques émeutes.; les rois, dans leurs 

ordonnances, se plaignent du « prix excessif à 

quoi sont venues toutes choses »; et ni ordonnances, 

ni plaintes n'y font rien. 

Voici doue une suit® de causes et d'effets qui 

ressemble tout à fait à u n mécanisme physique, 

à celui de lia transmission de la chaleur, par 

exemple.. Des Etats, pour solder des dépenses, 

des particuliers pour s'enrichir .déelaaetaent 

ces mécanismes et ceux-ci déroulent des conséquences 

que les Etats et l'es particuliers n'ont 

pas prévues, n'ont pas voulues. Nous n'arrivons 

même pas à les bien connaître; nous les 

subissons. Et elles sèment sur leur passage la 

prospérité et ta misère, changent l'a face de la 

société, transforment la situation des classes, 

les besoins, les idées. 

Les guerres bouleversent aussi profondément 

peut-être les sociétés dans ces phénomènes 

souterrains que par les traités diplomatiques. 

Seulement, encore une fois, nous nous rendons 

mal compte de ce qui se passe et lie savons pas 

l'empêcher. 

Notre pouvoir sur la nature matérielle s"est 

.peu à peu accru par notre science et notre industrie. 

Mais notre pouvoir sur la société est 

presque tout entier à créer; il y faut l'étude 

des causes qui tissent les événements et aussi 

l'organisation et l'entente pour agir sur celles 

de ces causes qui dépendent de nous. 

En attendant, il faut se contenter de palliatifs, 

de remèdes empiriques, et s'armer d'indulgence 

à~ l'égard de ceux qui n'ont que l'apparence de 

diriger le monde. FÉLIX PÉGAUT. 

et la Guerre. ' 

manque de vêtements. Sauf u n certain nombre 

de cas douloureux, exceptionnels, on en a été 

quitte pour porter des costumes un peu plus 

rapiécés, par remplacer la casquette par le 

bonnet de police venu tout droit du front. Et 

l'ingéniosité des mères françaises, avec un 

inépuisable fonds de bonne volonté, a su faire 

des miracles. 

Il n'en va pas de même pour le logement. 

Toutes nos villes et parfois nos campagnes 

se sont engorgées de soldats, de services de 

la guerre, a hôpitaux, d'arsenaux, de poudreries, 

d'usines diverses, qui ont fait affluer la 

main-d'œuvre étrangère. Les logements se 

sont surpeuplés. Les services de nettoyage 

et de désinfection ont été négligés. * Autant 

de causes qui ont placé l'enfant, comme d'ailleurs 

chacun de -nous, dans des conditions 

D E LAVELEYE. ÉLÉMENTS D 'ÉCONOMIE P OLITIQUE. Un volume iu-16, br. 3 fr.

.PARTIE GÉNÉRALE 

hygiéniques défectueuses, souvent déplorables. 

Les dommages de la guerre ont été plus 

grands au point de vue intellectuel. Les classes 

ont été désorganisées par les nombreux vides 

résultant de la mobilisation des instituteurs. 

Sans m édire des je unes suppléants et suppléantes 

qui ont fait tout le possible, il faut bien constater 

que l'absence de maîtres expérimentés et jouissant 

d'une grande autorité morale ne pouvait 

manquer de causer un certain désarroi. 

Qu'est devenue durant la .guerre notre loi 

d'obligation, si impérative dans ses ternies etsi 

peu observée., môme avant 1914? Les lois sur 

le travail des enfants n'ont pas été appliquées. 

Les absences se sont faites plus fréquentes., 

plus faciles encore, dans les campagnes surtout 

où., dès qu'on a huit ans, on peut se rendre 

utile.. Beaucoup, vers onze ou douze aas,oj^ dit 

à l'école un adieu probablement sans retour. A 

cette fréquentation irrégulière et raccourcie 

doit correspondre un bagage scolaire singulièrement 

amoindri. 'Comment en combler les lacunes? 

Pour l'enfant, la guerre s'est manifestée surtout 

par lés vidps qui se sont produits autour de 

lui. 11 a vu partir les hommes de .son village. 

Il a vu s'en aller son père, ses frères. 11 a 

connu la tristesse du foyer' où il manque quelqu'un, 

l'attente anxieuse des lettres qui n'arrivent 

pas. 11 a vu se gonfler les yeux de sa maman. 

Lui aussi a fait effort pour ne pas pleurer, premieressai 

de volonté, première manifestation de 

courage. D'autres, hélas ! trop nombreux, auront 

eu à pleurer tout de ton, car un jour on leur a 

dit que leur papa ne reviendrait plus. 

il serait téméraire, je crois, de se figurer 

que nos enfants n'ont point tant souffert moralement 

parce qu'ils n'ont pas cessé de jouer et 

de rire avec leurs camarades. Ne concluons pas 

hâtivement à l'indifférence de nos fils. Nousmêmes,nous 

n'avons pas toujours eu durant ces 

cinquante mois la mine attristée et le visage 

sévère. N'oublions pas surtout que 'la douleur 

n'est pas, pour l'enfant, ce qu'elle est pour 

l'homme fait. Chez nous, elle peut susciter une 

réaction de volonté; chez l'enfant, trop jeune 

et trop faible pour y résister, elle briserait le 

ressort et risquerait de laisser un pauvre être 

hébété du coup. : 

Autre effet de la guerre: la famille a été 

désorganisée! Chacun a dû aller de son côté : 

l'homme au front, la femme aux champs ou à 

l'usine, l'enfant à l'école ou dans là rue. 

Avouons-le, l'enfant, par la force des choses, 

s'est trouvé, pour ainsi dire, livré à lui-même, 

exposé au danger des mauvaises fréquentations, 

à celui encore plus grand des spectacles si peu 

moraux de la rue. N'avons-nous pas eu la tristesse 

de voir des gamins de douze ans, fumant 

la cigarette, tapageant, jurant,.d'une effronterie 

révoltante? 

C'est une exception sans doute, mais sans 

aller jusque-là, le nombre est grand de ceux à 

à qui fit défaut tout ensemble l'éducation de la 

famille, celle de. l'école, celle de tous les milieux 

moraux qui peuvent protéger l'enfance et 

les adolescents. 

•le ne veux quand même pas dire que seules 

des influences mauvaisesse sont fait jour. Soyons 

justes. Nos fils ont eu de beaux spectacles 

a contempler : l'unanimité des cœurs et des 

sentiments, le formidable travail de l'arrière, 

les œuvres d'assistance, l'héroïsme de nos soldats, 

leurs glorieuses blessures, leur sublime 

sacrifice... De tout cela aussi quelque chose 

est resté qui peut contre balancer beaucoup de 

mauvaises influences. Mais encore faudrait-il 

aider le bien à triompher du mal,et. à cet effet, 

soutenir l'enfant contre les tentations et les 

d-ëfail lances de toute sorte. 

Si toutes ces considérations sont exactes pour 

nos enfants en génê , elles le sont bien davantage 

pour ceux qui ont vu de près les horreurs 

de la guerre, c'est-à-dire pour ceux des régions 

envahies. Ceux-ci ont connu par surcroît la fuite 

douloureuse, la vie errante, l'incessant voisinage 

des soldats dont ils ont partagé les souffrances.^ 

Mais là je veux céder la parole à un 

document pour ainsi dire officiel et qui n'en 

est que plus émouvant. C'est le rapport présenté 

à l'Académie de médecine par les docteurs Genevrier 

et Ilenger, après une enquête sur l'état 

sanitaire des enfants de ces régions. 

« Trois séries d'écoliers ont été examinés : 

ceux au-dessous de six ans, ceux de sept à 

douze ans et ceux de treize à quatorze ans. On 

a relevé, à Lille notamment, une notable insuffisance 

de poids chez tous les enfants des écoles 

maternelles et '80 0/0 de ceux fréquentant les 

écoles primaires élémentaires. Les thorax, 

tons trop étroits, se dilatent mal, la tension 

artérielle est très affaiblie. 20 0/0 des jeunes 

écoliers et de 60 à 75 0/0 des enfants âgés de 

huit à treize ans sont atteints d'adénopathie 

trachéo-bronchique. » 

Suivent d'autres détails enregistrés* par les 

savants en termes techniques. Et ils ajoutent: 

« Au point de vue pédagogique, tous les 

enfants de la région de Lille présentent un 

retard scolaire de deux ans au moins, souvent 

avec des signes dé débilité motrice et un nota- • 

Me retard du développement intellectuel. » 

Que faire là-contre ? Comment réagir? Ces 

docteurs demandent, entre autres mesures urgentes, 

l'établissement d'une inspection'médicale 

visant l'installation de cantines scolaires, 

bains, douches, écoles de plein air; assainissement 

ou reconstruction des locaux scolaires; 

enseignement de la gymnastique respiratoire et 

reprise énergique de toutes les œuvres scolaires 

et postscolaires. 

Plus que jamais, ajouterons-nous, il est nécessaire 

de reprendre en main ces jeuues 

esprits sur lesquels de mauvaises influences se 

saut appesanties. Plus que jamais, il faut que 

l'école et la famille s'entendent pour coordonner 

leur action. Les parents et les maîtres se 

verroct, ils causeront de l'enlànt, l'étudieront, 

s'entendront sur les moyens de le former. 

Surtout, il faut prolonger l'influence de l'école 

par des réunions, des causeries, des séances 

récréatives, par les cours d'adultes, par les 

cours professionnels, par des sociétés de gymnastique, 

de tir, de sports. 

Peut-on supposer qu'une telle œuvre sera 

l'œuvre d'une seule personnel? Quelle eri eur ce 

serait I Nul instituteur, à lui seul, n'y peut 

suffire. Mais la tàéhe s'impose à tous les bons 

citoyens : qu'ils unissent ieurs efforts! Il s'agit 

au fond d'assurer l'éducation d'une génération 

sur qui reposera un héritage lourd de gloire, 

mais aussi de responsabilités. 

G. SALVAN, 

Instituteur à'Cuzorn (Lot-et-Gftronne) 

0. FORSANT. L'ÉCOLE S O U S L E S OBUS. I volume in-I6 illustré. 4 50 Ma j° rat - 

comprise^

532 MANUEL GÉNÉRAL DE L INSTRUCTION PRIMAIRE 

— M O N F R A N C P ARLER 

L'Instituteur et les Familles. 

Les associations d'autrefois. — Querelles périmées. — Mais il y eut la guerre 

L'arrêt de la Cour de cassation et sa véritable portée. — Le principe de la neutralité 

Il doit s'appliquer à tous. — Dans l'enseignement secondaire. — Un exemple 

à suivre. — Les avantages de la collaboration. 

On a fait quelque bruit dernièrement autour 

d'un arrêt de la Cour de cassation qui semblait, 

en. effet, réveiller de vieilles querelles. Vous 

n'avez pas, sans doute, oublié les faits : 

Une « Association de pères de famille » avait 

cité en justice u n instituteur des Basses-Pyrénées, 

auquel elle reprochait une prétendue violation 

de la neutralité. Le ministère public, estimant 

que cette Association était illicite, en 

avait demandé la dissolution, mais la Cour de 

cassation, saisie de l'affaire, affirma, au contraire, 

la légalité des Associations de ce genre et rendit 

un arrêt qui détermine leurs attributions et fixe 

sur ce point la jurisprudence. 

Cet arrêté il y a quelques années, auçait excité 

une violente émotion. Encouragées par une 

lettre des évêques, les Associations de pères de 

famille étaient devenues des machines de guerre, 

instituées pour battre en brèche l'école laïque, 

et — nul ne l'a oublié — leur esprit combatif 

provoqua sur plus d'un pointées incidents et 

des violences déplorables. 

Depuis, la guerre a passé et « les deux jeunesses» 

"dont parlait Waldeck-Rousseau se sont 

rencontrées sur le front pour défendre la même 

cause. Elles se sont reconnues, réconciliées 

dans la communauté des périls et des sacrifices. 

Quelle est, au surplus, la portée exacte de 

l'arrêt de la Cour?Il s'appuie sur le principe de 

la neutralité, mais ce principe, les fondateurs de 

l'école laïque — Jules Ferry en tête — l'ont toujours 

placé à la base même de nos institutions 

scolaires. 

La Cour de cassation ne donne nullement 

aux Associations le droit d'intervenir directement 

dans les méthodes, le choix des livres 

ou la vie intérieure de la classe. Elle ne touche 

en rien aux droits et devoirs des autorités universitaires 

« qui ont seules qualité pour réglementer 

tout ce qui concerne l'organisation de 

l'enseignement dans l'école ». 

En résumé, tout en reconnaissant la légalité 

de ces (Associations, la Cour de cassation ne 

leur accorde' rien de plus que ce que la loi 

accorde à chacun de nous, c'est-à-dire le droit 

de porter leurs réclamations devant les autorités 

compétentes. 

Y a-t-il là une innovation? Pas le moins du 

monde. C'est l'application pure et simple de la 

loi du 1 er juillet 1901 et cette loi ne donne 

aux pères de famille que le droit de « faire collectivement 

ce que chacun d'eux pouvait faire 

à titre individuel ». 

Or, la réciproque va de soi, car si les défenseurs 

de l'école libre peuvent dénoncer à qui 

de droit les ouvrages qui leur semblent violer 

le principe de la neutralité, pourquoi serait-il 

interdit aux défenseurs de l'école laïque de 

signaler, de leur côté, les livres qui violent 

ouvertement les principes sur lesquels repose 

la société moderne? 

Tout récemment encore, u n de mes correspondants 

m'envoyait, à ce propos, des extraits 

suggestifs d'un livre d'histoire répandu dans les 

écoles libres et où se trouvent exposées, sur les 

guerres de religion, Michel de L'Hôpital, la revocation 

de l'édit de Nantes et les philosophés 

du xvm° siècle, des opinions souvent erronées 

et toujours tendancieuses. Est-il équitable, estil 

admissible que l'école laïque seule soit tenue 

à respecter le principe de la neutralité? 

L'enseignement secondaire, lui aussi, a depuis 

longtemps des Associations de pères de famille. 

Mais elles ont été dès le début animées d'un 

tout autre esprit. Au lieu d'être, en face du personnel 

enseignant, [des Comités de surveillance 

et des groupements de combat, elles sont pour 

la plupart leurs meilleurs auxiliaires. 

J'en connais une des plus actives, l'Association 

du lycée Carnot, que préside, depuis bien 

des années, le D r Gallois. Cette Association 

garde le. contact avec les professeurs et l'administration. 

Elle suit avec intérêt la marche des 

études ; elle assiste aux Congrès qu'on réunit de 

temps en temps et prend volontiers une part 

active aux débats qui s'engagent sur les plans 

d'études et les programmes. 

L'exercice du droit d'association n'a donc rien 

qui puisse inquiéter nos instituteurs. Comme 

l'écrivait très judicieusement M. Roussel, président 

de la Fédération des Amicales : « Ces 

groupements ayant une existence légale, pourront, 

par les moyens légaux, s'efforcer d'obtenir 

satisfaction et nous ne verrons plus mettre 

en œuvre des procédés de violence et d'action 

directe ». 

J'ajoute qu'au lieu de laisser cette arme à 

leurs adversaires, les amis de l'école publique 

devraient être les premiers à provoquer 

la création de pareils groupements. Quels 

avantages ne pourrait-on pas recueillir de ce 

contact journalier entre l'instituteur et la famille 

? 

Sans intervenir, bien entendu, dans la vie 

intérieure de l'école, est-ce que ces associations 

n e pourraient pas exercer une influence 

heureuse sur la bonne tenue des enfants et le 

maintien de la discipline ? .Elles seraient aussi 

les protectrices naturelles de toutes les œuvres 

qui gravitent autour de l'école. Elles s'intéresseraient 

non seulement à la fréquentation, 

mais aux jeux de plein air, à l'organisation 

des conférences et des fêtes qui viendraient 

rompre un peu la monotonie des exercices scolaires. 

A tous ces points de vue, l'arrêt de la Cour de 

cassation n'a donc rien qui puisse nous inquiéter» 

bien au contraire. Il faudra même s'en réjouir 

si, à des menées perfides et sournoises, à une 

guerre à coups d'épingle entre instituteurs et 

familles, succède, pour le plus grand bien de 

l'école, une franche et loyale collaboration. 

ANDRÉ BAU. 

V. BOUILLOT. La Coopération de l'École et de la Famille. Un vol. IN-16, broché. 1.25

PARTIE GÉNÉRALE 533 

L E M O U V E M E N T C ORPORATIF 

D'accord avec le Gouvernement, les deux 

Chambres ont voté des textes 1 reconnaissant le 

droit syndical aux fonctionnaires, employés et 

ouvriers de l'Etat. Le Sénat n'ayant point admis 

le droit de grève, la question devra revenir à 

la Chambre des Députés pour qu'un texte unique 

soit arrêté. 

En attendant, tous les groupements d'instituteurs 

et d'institutrices étudient la question de 

leur transformation en Syndicats. 

Dans le Bulletin de l'Emancipatrice (Associa- 

. tion des Instituteurs et Institutrices publics du 

Finistère), le secrétaire, Allot, adresse à ses collègues 

un appel qui se résume en cette phrase: 

« Un 'Syndicat affilié à la F. N. S. I. et à la C. G. 

T. existe dans notre département. N'en créez pas un 

autre à côté, ne divisez pas vos forces, dissolvez 

l'Emancipatrice et demandez votre adhésion au Syndicat. 

» 

Afin d'éviter l'action dispersée, le Bureau 

fédéral a adressé à toutes les Amicales d'Institu7 

teurs et d'Institutrices une circulaire les priant 

d'étudier la question syndicale dans les Assemblées 

générales, et de mandater des délégués 

au Congrès qui se tiendra à Paris en septembre 

prochain. Voici la conclusion de cette circulaire : 

Déjà un certain nombre d'A. — et non des moins 

puissantes par le nombre — envisagent leur transformation 

immédiate. 

Nous pensons que nous avons intérêt — en raison 

de la continuité de notre effort corporatif actuel à la 

Fédération — d'agir simultanément par décision du 

Congrès et nous vous prions d'inviter les groupements 

fédérés à. différer de quelques semaines leur décision. 

Quand notre réunion

534 MANUEL GÉINÉRAL DE L'INSTRUCTION PRIMAIRE 

, R E V U E L ITTÉRAIRE , 

PAH LÉO 

1- Une séance symbolique à l'Académie française. — 2. La bonne grand'mère. — 3. En l'honneur 

des roses. — 4. Un collège d'autrefois. — 5. L'amitié indestiuctible. 

4. Une séance symbolique 

à l'Académie française. 

Le respect des croyances A'autrui. — Un bel exemple. 

— Littré, Pasteur, Renan. — Ce que nous 

impose la victoire. 

Au cours d'une bien vivante conférence sur 

« Notre Victoire », M. Louis Barthou a rappelé 

les termes de la « Déclaration des droits de 

l'homme » sur le respect de toutes les libertés, 

y compris la liberté religieuse, et il a évoqué à 

ce propos le souvenir d'une des plus mémorables 

séances'de, l'Académie française : 

Le 27 avril 1882, a-t-il dit, Pasteur était reçu par 

Ernest Renan. Pasteur, un homme tel que si l'on 

avait à. nommer les cinq grands bienfaiteurs de lTiu 

manitè, il serait impossible, d'un consentement unanime, 

de ne pas l'inscrire. Pasteur, le grand savant, 

le génie bienfaisant, était catholique et pratiquant et 

il rapportait à son Dieu l'origine et les bienfaits de 

ses découvertes. Il remplaçait un homme qui ne 

croyait pas, un savant, Littré ;ct Pasteur, respectueux 

de la liberté des autres, parce qu'il n'y a de vraie 

liberté que ceile qui respecte la liberté d'autrui, 

Pasteur s'inclinait devant Littré et l'appelait « un 

saint laïque ». 

« Et celui qui était assis au fauteuil de directeur 

s'appelait Ernest Renan — Ernest Renan, l'homme 

sceptique et ondoyant, mais un grand homme et un 

grand écrivain, — rendait hommage à Littré et à 

Pasteur,, lisant que Littré, libre penseur, fut un libéral, 

que Pasteur, grand savant, était catholique, et il 

s'inclinait devant la science dé l'un et devant les 

bienfaits de l'autre. < 

.S ;. •( 

M. Louis Bartliou voit avec raison dans cette 

séance une admirable leçon de liberté. En cette 

matière, la tolérance ne suffit pas, il y faut 

joindre le respect. « C'est par l'union que nous 

avons vaincu, c'est l'union de tous les Français, 

de leurs cœurs, de leurs intelligences et 

dé leurs volontés qui nous conservera l'honneur 

de la victoire et qui, en même temps, 

nous permettra d'en développer les profits et 

les bienfaits. » 

2. — La bonne grand'mère. 

En vacances. — Joies du retour. — La poule au 

pot. — Plaisirs des champs. — La poésie des souvenirs. 

M. Adolphe Brisson évoque dans les Annales 

le temps heureux où, sur les bois de sa chère 

Dordogne, il revenait à la belle saison passer 

les vacances dans la maison familiale. Plus 

chers encore à distance, ses souvenirs se réveillent 

en foule et le paysage prend sous sa 

plume un relief pittoresque et un charme attendrissant. 

i Je saluais au passage les chemins 

creux, les sentiers, les arbres de la route des 

hameaux, le pont suspendu, au tablier branlant 

et enfin, au bout d'une heure, j'apercevais des 

objets plus familiers, un coin de pré, un bout 

de vigne où j'avais joué l'été précédent, le petit 

-bois qui m'abritait de son ombre, l'abreuvoir 

où nos bœufs venaient, la journée finie, se désaltérer. 

» 

Enfin la voiture s'arrête devant une bonne 

dame en bonnet noir qui trottinait à sa rencontre 

: 

L. BARTHOU. LAMARTINE, ORATEUR. UN volume in-8 broché 

Pauvre grand'mère! Elle était rouge comme la 

braise, fêlle sortait de la cuisine où, depuis le matin, 

elle s'occupait à. préparer un repas délicieux: la 

poule au pot du roi Henri dont elle possédait la 

recette véritable,' le confit d'oie, le gigot et les melliasses 

— gâteaux frits dans la graisse — et qui m'induisaient 

rien que par leur parfi'm en péché de 

gourmandise. 

Quel moment que celui du retour! Comme on se 

serrait autour de la table! Comme on s'aimait! 

C'étaient des interrogations sans lin sur ce qu'on 

avait fait, sur ce qu'on comptait faire. 

Grand'mère ne tarissait pas, un œil au service, 

une oreille aux confidences, agitée, inquiète, ainsi 

qu'une poule qui reunit ses poussins. Et quand, 

étourdi et fatigué du voyage, je m'étais endormi dan:; 

mon assiette, elle m'entraînait avec précaution vers 

le lit blanc placé près du sien. Elle m'y accommodait, 

s'agenouillait près de moi (car sa foi était profonde) 

et mes paupières achevaient de se clore entre 

sa prière et son baiser. 

« Oh! les heureuses, les chères années ! Je les revis, 

en traçant ces lignes ! Elles chantent dans ma 

mémoire ; elles surgissent une à. une, rayonnantes et 

fleuries !... Je parcours auprès de ma mère bien 

aimée les prairies qui s'abaissent jusqu'à la rivière. 

J'accompagne mon père 'à la chasse, portant avec 

orgueil son carnier, jouant avec ia chienne Siska et 

m'amusant à. cueillir des pâquerettes. Je me mêle 

aux moissonneurs et aux vendangeurs; j'écoute le bruit 

cadencé des fléaux qui frappent la terre dure; j'aspire 

les vapeurs grisantes qui s'exhalent du pressoir, 

et,, le soir, assis à table parmi ces braves gens, j'écoute 

avidement les vieux contes qu'ils tiennent de 

leurs aïeux et dont ils bercent ma jeune imagination. 

Je plains ceux qui n'ont pas dans leur vie quelquesuns 

de ces tableaux de grâce et de fraîcheur. Us sont 

ineffaçables et c'est par eux que l'âme s'ouvre et se 

façonne à la poésie... 

3. — En l'honneur des roses. 

Chants de saison. — A la Roseraie de Bagatelle. — 

Les leçons des fleurs. 

Les beautés, de la saison, les splendeurs des 

parterres inspirent en ce moment toutes les 

âmes poétiques. C'est lÉ|rose surtout qui recueille 

la meilleure part de leurs hommages. 

« Les roses, écrit Jean Rameau, ont une mission 

: propager de la tendresse. Dans u n pays 

qui n'aurait pas de roses, les gens passeraient 

leur existence à se quereller. Pour une pomme, 

on peut se battre. Il n'est pas de rose de discorde. 

» 

De son côté, Mme Gérard d'IIouville, après une 

promenade à la roseraie de Bagatelle, dédie aux 

roses ce joli couplet : 

Rien ne m'émeut comme un parfum..., çt le parfum 

de ces roses est si fort, qu'il en est presque visible. Oïl 

ne s'étonnerait pas de le voir ruisseler comme un vin. 

tacher l'herbe et les allées, ainsi que du sang... 

Petites filles qui courez sous les beaux ombrages, 

sans vous occuper des rosiers, petites filles habillées 

dux oouleurs des fleurs, plus tard, quand vous aurez 

grandi et que vous rêverez le soir dans les jardins 

d'ete, vous vous enivrerez de tous les arômes et vous 

l

Voyez-les. Elles s'efforcent d'accomplir toute leur 

mission, elles lâchent de ne pas mourir sans confier 

à la nature le germe d'une fleur à venir, qui sera 

sans doute toute pareille à elles, mais qui sera peutêtre 

aussi encore plus belle, plus large et plus parfumée. 

Que nous les laission dans les champs ou 

dans les jardins, ou que nous les coupions pour orner 

la maison ou embaumer notre .corsage, toujours cap 

tives, souvent torturées, elles nous livrent tout leur 

trésor, de fraîcheur et de grâcej elles nous en font le 

don miraculeux, bien qu'ilnous soit familier. L'essence 

de leur vie, leur odeur sacrée, elles nous la donnent, 

elles nous la versent, et puis elles meurent, se flétrissent, 

après avoir été le charme des jours, le plaisir 

des heures, l'ivresse des saisons. Regardez mourir les 

fleurs, petites filles; elles meurent comme des femmes. 

Pétale à pétale, leur beauté les quitte, et frissonnantes 

et dépouillées, c'est leur cœur qui meurt le dernier. 

4. — Un collège d'autrefois. 

Les souvenirs bourguignons de M. Henry Joly. — 

Au collège de Jacques Amyot. — La religion du 

grec. — La tradition olassique. — Littéraires et 

scientifiques. 

M. Henri Joly, de l'Académie des sciences 

morales et politiques, a conservé un faible pour 

son vieux collège d'Auxerre, fondé par l'hellér 

niste Jacques Amyot, le traducteur de Plutarque. 

On y donnait, dit-il, une instruction 

classique très consciencieuse. Elle n'avait besoin 

que de reqevoir à Paris un complément 

d'esprit littéraire, un certain raffinement de 

goût et un élan plus confiant vers de nouveaux 

horizons. Les professeurs étaient divers, tin peu 

inégaux comme partout, mais tous avaient le 

culte de la tradition et ne plaisantaient ni avec 

le latin, ni avec le grec. 

Ce n'est pas qu'ils eussent rien de rogue ni de 

brutal. Si le genre de discipline haïe de Montaigne et 

de Rabelais avait tenté de reparaître, il n'eût à coup 

sûr pas réussi. Ce n'est pas seulement avec des sobriquets 

et des jeux de mots ou avec des essais de parodie 

que la nouvelle génération eût protesté, car elle avait, 

en un sens, une assez mauvaise tête. Mais comme tous 

avaient à assurer leur carrière, comme leurs familles 

leur faisaient presque toutes sentir l'étendue de leurs 

sacrifices et la nécessité de n'en pas laisser perdre le 

fruit, ils appprèciaiènt parfaitement la manière dont 

on les faisait travailler... 

Parlant de l'un d'eux qui avait été aussi mon professeur, 

M. Alapetite me disait il y a deux ans à 

peine : « Quand M. Marchand préludait à quelque 

explication d'Homère ou de Sophocle, on eût (lit qu'il 

allait ouvrir un tabernacle ». Le mot n'est pas seulement 

spirituel, il est absolument exact. Le bon 

M. Marchand, qui était notre professeur de seconde, 

avait, du reste, trouvé quelques esprits bien préparés, 

notamment pour le grec. Nous nous souvenons encore 

du professeur de sixième qui nous faisait chanter tous 

ensemble, à l'unisson et en cadence, les terminaisons 

caractéristiques des temps, des modes et des voix, des 

verbes grecs. C'était même un amusoment de la 

classe; l'amusement était instructif et il ne troublait 

rien, car l'excellent homme nous avait appris qu'il ne 

fallait rire que quand il en avait donné lui;même le 

signal. 

M. Henry Joly 'a conservé aussi le souvenir 

des professeurs de grammaire et du mélange 

« d'émotion douloureuse et d'indignation » que 

provoquaient les infractions aux saintes règles 

de la grammaire latine. 11 se demande, à ce 

propos, si cette éducation classique était exclusive 

et fermait la porte aux vocations scientifiques 

et pratiques. Il ne le croit pas, car il a 

remarqué que ses camarades qui, après avoir 

achevé leurs études littéraires, se destinaient 

aux sciences, à la médecine par exemple, pou 


vaient, en quelques mois, prendre leur baccalauréat 

ès sciences, car ils abordaient ces nouvelles 

études avec une intelligence ouverte et 

formée. C'était le premier avantage d'une solide 

culture générale. 

5. — L'amitié indestructible. 

Les souvenirs de M. Bergson. — Ce qu'il a vu en 

Amérique. — 'Nouveaux croisés. — La foi dans 

leur mission. — Les deux conceptions de l'homme 

moderne. 

M. Henri Bergson évoque, dans la Vie universitaire, 

le souvenir de son voyage en Amérique. 

J'ai été témoin de ce fait unique dans l'histoire : 

unpeuple de près de cent millions d'hommes se jetant 

dans la guerre avec toutes ses forces, toutes ses ressources, 

consentant par avance à tous les sacrifices, 

sans que ce fût poûr se défendre (il n'y avait pas 

alors mille personnes en Amérique, il n'y en avait 

peut-être pas cinq cents, à admettre que l'Allemagne 

pût être un danger pour les Etats-Unis), sans que ce 

fût non plus pour un avantage matériel (par avance, 

les Américains refusaient toute compensation, et un 

de leurs généraux disait ici l'année dernière : « Nousrentrerons 

chez nous les mains vides, à moins que 

nous ne ramenions nos morts »); sans calcul, sans 

arrière-pensée, ni par intérêt ni par crainte, simplement 

pour un principe, pour une idée, pour la 

jiission que ce peuple se sentait appelé à remplir 

dans le monde. J'étais là, et je puis dire, car je l'ai 

vue monter sous mes yeux, que ce fut une grande 

vague d'enthousiasme, et d'enthousiasme quasi religieux, 

qui souleva la nation américaine. 

Ce sont surtout les professeurs d'université, 

anciens collègues ou émules de Willon, qui n'ont 

cessé de répéter que l'Amérique ne pouvait 

pas, ne devait pas rester en dehors de la guerre; 

et ce sont leurs élèves, les étudiants, qui, dans 

les listes funèbres, ont fourni un contingent 

hors de proportion avec leur nombre. 

Au commencement de 1913, je professais à l'Université 

de Columbia de New York et j'étais en rapport 

avec d'autres Universités américaines. On me 

disait : « Nous nous sommes tournés vers les Universités 

allemandes à une époque où les vôtres n'étaient 

pas encore réorganisées. Puis nous avons continué 

par habitude. Mais , maintenant, c'est de votre côté 

que nous regardons ». Voilà comment parlaient des 

Américains, avant que la guerre leur eût pleinement 

révélé l'infériorité morale de l'âme allemande. 

Pour ne parler que de la philosophie, ce n'est pas 

chez nous qu'on l'a hérissée de mots techniques, barbares, 

qui s'interposent entre elle et le public. Nos 

plus grands penseurs, à commencer par Descartes, 

ont jugé qu'il n'y a pas d'idée philosophique, si profonde 

ou si subtile soit-elle, qui ne puisse et ne doive 

être exprimée dans la langue de tout le monde. La 

philosophie a pu se répandre ainsi dans la nation 

entière. La nation y a gagné. La philosophie aussi; 

car, au lieu de s'amuser, seule avec elle-même, à 

construire des systèmes fragiles, où il y a toujours 

du vide et parfois de l'absurde, elle s'est soumise 

ainsi au contrôle du sens commun, en même temps 

qu'elle s'est fécondée au contact de la science, de la 

littérature, de l'art. Elle a pu rester constamment 

génératrice d'idées. 

Pour conclure, M. Henri Bergson estime que 

c'est surtout l'idéal moral qui fera la fraternité 

entre Universités françaises et Universités américaines. 

La force et la valeur de cet idéal se 

sont pleinement manifestées pendant la guerre. 

Aujourd'hui, entre notre conception de l'homme 

moderne et la conception allemande, le monde 

est fixé et sait quelle est celle des deux qui peut 

donner une force de résistance morale indéfinie. 

LÉO. 

M. FARRAND. LES ÉTATS-UNIS. Un volume in-16, broché 4.50 (Majoration comprise).


Pour les Institutrices. 

Lingerie nouvelle. 

Une tendance relativement 

nouvelle en 

matière de lingerie, 

c'est la recherche de 

la grâce, du seyant, 

des jolies proportions, 

d'une coupe 

qui produise une 

agréable silhouette; 

on s'attachait surtout 

auparavant à la 

qualité de l'étoffe, 

au soin minutieux 

de l'exécution, à la 

Fig. I. - Chemise en batiste t flneSSe , deS f ..g»" 

ae. coton, garnie do jours au tures, ^ ClGntGllG OU 

oint turc, rose dossmée par broderie. Sans doute 

Ses lignes de jours brocles t o u t c e l a n' e g t p a g 

(nous avons donne dans le Ma- , . ,,. , 1 

femmes portent directementsur 

lapeau 

ceinture et soutiengorge; 

sur ces lingeries 

souples et légères, 

aussi faciles à 

laver qu'une chemise 

elles mettent une 

combinaison qui fait 

à la fois chemise 

— pantalon — jupon, 

sorte de petite robe 

de dessous qui suffit 

à tout. Rien n'estplus 

nuel, n-25, l'explication de ces devenu indillerent, 

iours turcs). mais une femme frais et plus agréable 

en été. Pour l'hiver, 

il est plus pratique, 

par ce temps où |le 

charbon est rare, de 

porter sur une che 

Fig. IV. — Parure en batiste 

de coton, ornée de jours et 

d'une dentelle basse. L'ourlet 

de la chemise est surmonté do 

trois petitsplis. 

choisit souvent des mise la ceinture 

modèles de lingerie sans grande valeur, sans porte-jarretelles et, par dessus, une culotte de 

aucune garniture, parce qu'ils l'habillent avec jersey pouvant dispenser du jupon les personnes 

grâce, tandis qu'elle ne se résigne pas à porter qui n'aiment pas accumuler les vêtements inu 

les chemises de son trousseau en belle toile à tiles. Il est certain que, même avec dés jupes 

laquelle elle préfère la légèreté d'un fin nansoult 

— voire d'un voile de coton 

enjolivé de broderies de prix, — mais 

qui n'embellissent que la chemise et 

non celle qui la porte.comme le fait 

une bande de tulle ou une dentelle 

légère. 

Les chemises se font étroites, très 

larges, la silhouette reste bien nette, comme 

la font des dessous réduits au nécessaire, 

sans superflu, et non pas empâtée 

par la superposition de chemise, 

pantalon, jupon de dessous, 

jupon, faits de tissus plus ou moins 

épais et froncés qui altèrent et alourdissent 

les lignes. 

Deu biaisées ; loin d'y ajouter des poin 

Le Manuel général a mis à la distes, 

on retranche souvent, pour les 

position de ses lectrices d'excellents 

tailles moyennes, sur l'ampleur de 

patrons de pantalon et chemise par 

1 m. 60 que fournit la largeur habimi 

les patrons primes proposés en 

tuelle d'un tissu de coton (0 m. 80, 

1917 et en 1918. 

un lé faisant le dos, l'autre le de 

On prendra pour les exécuter une 

vant). Une chemise ne doit pas dé 

batiste de coton fine et solide —• cela 

passer le genou, le pantalon non plus 

ne s'exclut pas — à miins qu'on ne 

du reste ; c'est même un maximum 

préfère le crépon de coton à grains 

de longueur, auquel on retranche le Fig. m. Chemise do de poudre, genre crépon roumain qui 

plus souvent cinq ou six centimètres. supprime le repassage : il suffit de 

Par contre, le pantalon se]fait large; rapportée par un jour ri- bien 1 étirer entre les doigts au sortir 

vière, ceinture faite dune de l'eau, en le mettant sécher; de 

(Cûr d %éltSnt b l Us ÎIP^| 11 a il a la silhouette d'un très petit jupon 

court. Les bas, bien entendu, 

l'avantage de ne point se 

doivent être assez longs pour habil- lessive). chiffonner au porter. Quand les blanlerlajambe, 

beaucoup plus hauts que 

chisseuses, à Paris du moins, de- 

la ligne où finissent chemise et pantalon. Les 

combinaisons sont économiques et très en faveur, 

combinaison 

Fig. H. - 

chemise-pantalon ou 

cache-corset-jupon ; 

cache-corset est d'ailleur 

un euphémisme, 

car, vous le savez,on 

ne porte plus guère 

de corset proprement 

dit; à moins d'avoir à 

endiguer des formes 

opulentes, on se contente 

d'une ceinture 

Chemise do nuit P eu ou point baleinée 

kimono, légère broderie à à laquelle s'attachent 

l'anglaise au décolleté et aux 

manches, ceinture montée à 

jours passant dans deux 

groupes de plis. 

l e s jarretelles et d'un 

i , 

Soutien-gorge de ba tiste ; beaucoup de 

mandent 1 fr. 50 pour une chemise et un pantalon, 

tout ce qui simplifie le blanchissage et 

permet de l'exécuter 

soi-même, avec le minimum 

de temps et 

de peine, est à considérer. 

Bien entendu, 

pour bénéficier pleinement 

de la suppression 

du repassage, il 

faut retrancher les 

garnitures, mais rien 

n'est d'une plus artistique 

simplicité, 

qu'une chemise « à la 

paysanne », faite de ce Fig. v. — Chemise do nuit de 

charmant tissu dont forme kimono, groupes de 

les nli


OPINIONS ET COMMUNICATIONS 

Le Congrès 

des Retraités de l'Enseignement public. 

Le Congrès de la Fédération des Retraités de l'Enseignement 

•public aura lieu, le 13 juillet prochain, à 

Tours, Ecole de garçons du Musée, à 10 heures du 

matin. 

Toutes les communications concernant le Congrès 

devront être adressées, avant le 10 juillet, au Président, 

M, GILLET, Directeur honoraire à la Préfecture 

de Nantes. 

Toutes les demandes de renseignements concernant 

le voyage et les hôtels, au Délégué, M . CHIDAINE, 

28, rue Faidherbe, Tours. 

Le concours de l'inspection primaire. 

Un certain nombre de candidats à l'inspection primaire, 

anciens mobilisés, rappellent les mesures réparatrices 

accordées dans l'enseignement secondaire 

et l'enseignement supérieur pour le doctorat endroit, 

les études de médecine, le concours à l'Ecole normale 

supérieure et aux bourses de licence ainsi que 

pour les concours d'agrégation. 

En conséquence, ils émettent le vœu : 1° Que les 

admissibles à l'I. P. d'avant-guerre soient dispensés 

de toute épreuve et nommés inspecteurs de piano ; 

2° Que les candidats âgés d'au moins 40 ans, 

ayant affronte plusieurs fois l'examen et qui ont 4 ans 

de présence effective aux Armées soient admis (ayant 

particulièrement souffert de l'interruption de leur 

préparation), à présenter des spécimens de dissertations 

pédagogiques, de sujets de législation traités 

antérieurement à leur mobilisation, et puissent être 

•délégués, puis nommés sans examen ; 

3° Qu'une session spéciale avec programmes limitatifs, 

dont la préparation pourrait être faite en quelues 

mois, soit réservée aux autres candidats et que 

es cours spéciaux soient organisés au chef-lieu de 

chaque Académie, de juillet à novembre. 

Ils demandent, en outre, qu'il soit tenu compte de 

l'âge, du temps de mobilisation, de l'emploi occupé 

etdu séjour au front et que la durée de la campagne 

soit considérée comme service effectif dans le décompte 

des dispensés de stage. 

Pour les élèves-maîtres mobilisés. 

La circulaire ministérielle en date du 25 mars 1919 

indiquait que « le moment était venu de prévoir des 

mesures d'ensemble à l'égard des normaliens qui 

avaient dû interrompre leurs études par suite de la 

mobilisation ». 

Les intéressés espéraient qu'ils seraient traités de 

la même manière que les élèves des grandes écoles 

(polytechnique, centrale, arts et métiers, etc.) qui 

ont obtenu, depuis le mois de mars dernier : 

1° Leur mise en sursis ; 

_2» La faculté de suivre des cours spéciaux, organisés 

dans des centres d'études qui leur sont spécialement 

réservés. 

Leur espérance a été déçue et ils attendent toujours 

cette double réalisation.. 

Le droit strict, indiscutable, de l'élève-maître démobilisé 

est de pouvoir continuer ses études interrompues. 

L'Administration lui reconnaît bien ce droit, 

puisqu'elle lui permet de retourner à. son école normale 

d'origine, mais elle oublie de faire une distinction 

entre rélève-maître, plus âgé, qui a fait la 

guerre, et celui, beaucoup plus jeune, qui ne Va pas 

faite. 

Le premier devrait avoir le droit de suivre, s'il le 

désirait, un cours spécial, ayant un programme condensé 

bien déterminé, pendant un temps limité, en 

vue de l'obtention du certificat de fin d'études normales 

et du brevet supérieur ; cours organisé dans 

un ou plusieurs centres d'études, où seraient groupés 

les démobilisés, selon la durée de leurs études antérieures. 

A l'issue du cours, les auditeurs pourraient obtenir 

les diplômes dont sont pourvus leurs camarades de 

même promotion n'ayant pas été mobilisés. 

Pendant la durée du cours, les élèves-maîtres de 

vraient recevoir une indemnité au moins équivalente 

au traitement des stagiaires pourvus d'un poste. 

En résumé, trois mesures réparatrices s'imposent' 

immédiatement pour remédier à la situation très 

digne d'intérêt des élèves-maîtres mobilisés : 

1° Une mesure militaire : mise en sursis, aussitôtaprès 

la signature des préliminaires de paix ; 

2° Une mesure pédagogique : création de cours 

spéciaux, spécialement organisés ; 

3° Une mesure financière : attribution d'un traitement 

minimum de début. 

UN INSTITUTEUR TOURANGEAU. 

Pour améliorer la fréquentation. 

L'article : « Pour la fréquentation scolaire •>. 

(Manuel général du 1 er février 1919), m'avait beaucoup 

intéressée et mon ennui était de ne pouvoir 

appliquer le remède qui faisait merveille à Lyon. 

C'est qu'à la campagne, l'autorité municipale ne 

slmmisce guère dans les affaires scolaires ; dame, il 

faut compter avec les électeurs ! 

Pourtant, me voici à même de vous signaler aussi un 

remède efficace. 

Par une circulaire du 7 mai dernier, M. le Sous- 

Prèfet de Saint-Pol annonçait son intention de prendre 

ou de faire prendre des sanctions énergiques à 

l'égard des parents qui n'envoient pas leurs enfants 

en classe et, quelques jours après, il visitait les écoles 

rurales, encourageant ainsi maîtres et élèves. 

Résultats : depuis le 15 mai, il n'y a eu parmi mes 

125 élèves, aucune absence' non motivée, et 3 enfants 

que leurs parents retenaient pour garder les vaches 

ont repris place sur les bancs de l'école. 

Si cet exemple était suivi, que de jeunes Français 

recevraient l'instruction dont les privent des familles 

indifférentes! A. FORTIÉR. 

Directrice d'école à Diéval (Pas-de-Calais). 

A rropos d'un pensum. 

Une institutrice, qui exprime son indignation avec 

esprit et éloquence, se montre fort scandalisée en 

constatant qu'on donne couramment en punition — 

et sans croire mal faire — des verbes à conjuguer. 

(.Manuel général n° 33.) 

Non seulement j'ai commis ce crime jadis, mais je 

l'ai recommandé ici même, et j'ai beau me raisonner 

en admirant le réquisitoire de ma jeune collègue — 

car elle est jeune sûrement, — je sens, que, le ca» 

échéant, je récidiverais sans remords. 

La conjugaison, rapide, correcte, sans hésitation, 

— machinale en quelque sorte — des verbes, est en 

grammaire, l'équivalent de la récitation impeccable 

de la table de multiplication en arithmétique._ Tant 

que l'on ne possède pas à fond ces deux éléments, on 

crible de fautes d'orthographe ses compositions françaises 

et on risque fort de manquer ses problèmes. 

Les enfants ne réfléchissent guère : leur jeune cerveau 

est plutôt disposé pour emmagasiner et peu leur 

importe, en général, d'y entasser ceci ou cela. Us 

aiment à répéter les mêmes mots dans le même ordre 

et la monotonie des conjugaisons ne leur déplaît nulment 

; elle berce leur indolence instinctive et repose 

leur esprit tenu en éveil par tant de leçons diverses 

et de devoirs variés. 

« L'étude calme et lumineuse qui fixe tant de nuances 

délicates » a sa place en classe, dans le milieu 

favorable au travail intelligent et soigné. Quand on 

est puni, on ne songe qu'à aller vite et quelle que 

soit « la noire besogne imposée », on l'expédie' sans 

goût — mais pas toujours sans profit. 11 y a des mots, 

des formes graphiques, des notions qu'on retient 

presque malgré soi. 

Notre correspondante dit encore : « Si, au moins, on 

donnait un exercice à faire, la transposition d'un 

texte à.une autre personne... à un autre temps.... » 

Si on le donnait? Les punis le prendrait en grippe 

également. Mieux vaut laisser au verbe tout simple, 

avec ses a je, tu, il » rythmiques, son rôle de bouc 

émissaire; il y est habitué et je vous assure, ma chère 

collègue, que cela lui est bien égal et aux écoliers 

aussi. J . MASSET, Institutrico honoraire. 

MONTAIGNE. De l'éducation des Enfants,avec notesdeM. G. Compayré.Unebroch.in-16. lfr.


REVUE DES BULLETINS DÉPARTEMENTAUX 

Quelques causes de la faiblesse en 

composition française. 

I. — La composition française est traitée en 

« parente pauvre », même au Certificat d'études. 

Nos maîtres ont assez communément la tendance 

— bien compréhensible d'ailleurs — à faire la part 

la plus large aux enseignements qui « rendent » le 

plus, dont les résultats apparaissent le plus nettement 

et rècompei sent le plus vite leurs eflorts : l'orthographe, 

le calcul, sont, à ce titre, des privilégiés 

dans nos écoles, tandis que la composition française 

y est parfois un peu trop traitée en parente pauvre. 

Il faut ajouter, à la décharge de nos maîtres, que la 

réglementation de l'examen du C. E. P. E. n'est pas 

faite pour les inciter à réagir contre cette fâcheuse 

tendance. Le personnel attache, et à très juste titre, 

à mon avis, beaucoup d'importance au C. E. P. E. 

Or, avec deux notes convenables en orthographe et 

en calcul, le candidat est à peu près sùr de franchir 

la seuil de l'admissibilité; comme la préparation à 

l'épreuve de composition française est beaucoup plus 

difficile et plus aléatoire que la préparation aux 

épreuves d'orthographe et de calcul, c'est sur la dictée 

et le calcul que, pour mettre les meilleurs atouts 

dans son jeu^ on concentre surtout ses efforts ; et 

l'événement confirme le pronostic : de nombreux 

candidats son{ admis avec des notes faibles, parfois 

même déplorables, en composition française; l'orthographe 

et le calcul les ont « sauvés ». (Charente). 

II. — C'est l'exercice scolaire le plus difficile. 

11 faut convenir que l'enseignement de la composition 

française présente beaucoup plus de difficultés 

que les autres enseignements. Quand il s'agit 

d'histoire, de géographie, de sciences, de calcul 

même, si la mémoire ne suffit pas à rendre fécondes, 

chez l'enfant, les leçons du maître (la mémoire, indispensable 

partout, n'est suffisante nulle part), le rôle 

qu'elle joue est du moins capital ; la parole du maître, 

le chapitre du livre fournissent à l'élève des faits, 

des notions, des règles qu'il n'a qu'à recevoir et à 

« retenir », après explications. La besogne lui est 

donc toute a mâchée », si j'ose dire. Il n'en va pas 

de même en composition française. Ce qu'on demande 

à l'enfant, ce n'est plus seulement du « savofr », 

mais du « savoir-faire », ce qui est bien autre chose. 

H ne s'agit plus de simplement retenir des faits, ou 

d'appliquer des règles. Il faut faire, vraiment, œuvre 

personnelle : bien comprendre, d'abord, le sujet proposé, 

chercher ensuite les idées qui s'y rapportent, 

faire entre toutes ces idées un choix.judicieux, les 

disposer suivant l'ordre convenable, trouver, pour 

les exprimer, les termes qui conviennent, et agencer 

ces termes dans des phrases correctes. Ce travail qui, 

au premier abord, peut paraître simple, est, en réalité, 

des plus complexes. Il exige, pour que le résultat 

en soit satisfaisant, un entraînement de longue 

haleine chez l'élève et, chez le maître, une préparation 

méthodique et intelligemment graduée. 

(Charente). 

Nous savons aussi à quels écueils seTieurte l'instituteur 

dès qu'il aborde avec ses élèves l'épreuve de 

la rédaction, c'est-à-dire de l'exercice où doit s'affirmer 

le mieux, se marquer le plus nettement l'aptitude 

de l'enfant à employer avec justesse, à relier comme 

il convient les mots, les expressions dont sa mémoire 

dispose, pour faire du tout un ensemble bien composé. 

(Nièvre). 

III. — L'influence du milieu familial. 

La composition française ne traduit pas seulement, 

comme l'onhographe par exemple, la valeur de l'enseignement 

scolaire, mais colle de toute la culture 

intellectuelle, et le milieu familial coniribue certainement 

plus que l'école à ce développement intime et 

profond. C'est pourquoi nos meilleurs élèves en composition 

française appartiennent, dans la plupart de 

nos centres, aux familles de fonctionnaires, c'est-à-dire 

à la petite bourgeoisie française. (Alger). 

IV. — Il faut — avant tout — que le sujet plaise 

à l'enfant. 

Il est indispensable d'apporter beaucoup de réflexion 

dans le choix des sujets qu'on leur propose. 

On éliminera ceux qui ne sont pas naturels, qui ne 

correspondent pas à l'expérience personnelle de l'enfant, 

qui sont hors de proportion avec ses facultés, 

qui ne l'intéresseront pas : quand le sujet sourit aux 

elêves, il y a des chances pour qu'ils en affrontent 

pl6s volontiers les difficultés et ne se tirent pas trop 

mal d'aftaire. (Charente). 

V. — Sujets qui ne plaisent pas aux écoliers. 

Parmi les sujets donnés, le choix est parfois 

étrange. Quel intérêt, par exemple, peut offrir un 

sujet tel que celui-ci : « Le couteau. Qu'est-ce qu'un 

couteau? De quoi est composé un couteau? Quelle en 

est la partie la plus importante »? (sic) — ou celui-ci: 

« Décrire un carton d écolier »? 

Nous pourrions citer encore beaucoup d'autres 

sujets du même genre et qui n'offrent pas plus d'intérêt. 

Le résultat, on le devine. Tous les devoirs sont 

secs, froids, coulés dans le même moule, ne se distinguent 

que par le nombre des fautes d'orthographe. 

Ces sujets de « natures mortes » n'inspirent, en 

réalité, rien. 

Combien préférables sont les petites scènes vécues, 

les tableaux qui montrent des personnages en action, 

dont l'enfant saisit le détail, intéressé qu'il est par 

tout ce qui vit, s"agite et remue. (Cher). 

Assez souvent, on propose aux élèves des sujets de 

développement empruntés directement aux sciences, 

à l'histoire ou à la morale. C'est les exposer au 

manque d'originalité, les condamner à ne rapporter 

qu'un résumé assez pâle et assez informe d'une leçon 

antérieure; avec de tels sujets, l'élève ne « compose » 

pas véritablement, il se contente de recourir à sa 

mémoire, sans faire aucun effort d'imagination. 

« Lors d'un des derniers examens du Certificat 

d'études primaires, m'écrit M. lé Directeur de l'Ecole 

normale, une heure avant les épreuves, je remarquai 

une fillette qui s'appliquait à lire à haute voix un 

cahier qu'elle avait apporté. Comme je lui demandais 

à quoi elle s'occupait, elle me répondit : « Je repasse 

d mes rédactions ». Comment peut-on repasser ses 

rédactions? Je veux trouver dans sa réponse la critique 

essentielle de la méthode trop (souvent employée 

dans l'enseignement de la composition française : les 

enfants ne sont pas habitués à trouver les idées dont 

ils ont besoin; dans l'exercice de création qu'est la 

composition française, ils s'adressent à leur mémoire, 

au lieu de chercher à découvrir, à penser par euxmêmes. 

(Landes). 

VI. — Laissons de temps en temps à l'écolier 

la liberté du sujet. 

On a aussi recommandé, pour habituer les écoliers 

à la sincérité dans la composition, de leur laisser, de 

temps en temps, toute liberté quant au choix du 

sujet. Avec les élèves du cours moyen et du cours 

supérieur, nous avons quelquefois obtenu des tableaux 

pris sur le vif avec un souci des détails que nous 

n'aurions pas soupçonné chez des enfants de 11 à 

13 ans. (Genre de sujets choisis : « ma mère », « un 

jour de pêche », « la foire », « le ramoneur ». Dans 

tous les cas, ce genre d'exercices a contribué à donner 

aux élèves des habitudes intellectuelles (souci de 

l'observation attentive, de l'exactitude), et morales 

(amour de la vérité, probité, initiative), qui déterminent 

des progrès réels dans l'art d'écrire. Il a toujours 

éveillé l'intérêt et fait sentir que la composition 

française est une œuvre où l'on ne réussit qu'à 1» 

condition de rester soi-même. (AriègeJ. 

A . ANCELLIN. 

C. WIRTH. Le Livre de Composition française des Jeunes filles, i vol. in-i6 cart. 1 fr«


EN LISANT L'OFFICIÈL 

Nota. — G. = Partie générale de l'Officiel. S. = Compte rendu du Sénat. D. = Compte rendu de la Chambre des Députés. 

Médailles d'argent. 

Les médailles d'argent seront attribuées aussitôt 

que le Parlement aura voté les crédits nécessaires et 

dont l'inscription a été demandée au budget de 1919. 

(J.-O. du 17 juin 1919, G., page 6286). 

Le crédit proposé par la Commission du budget 

pour les allocations aux médaillés de l'enseignement 

primaire se monte, pour 1919, h 914 200 fr. (Annexe 

n° 6158, du 20 mai 1919, D,, page 141). 

Nomination des instituteurs et institutrices 

mariés. 

La Chambre a adopté, sans débat, le 18 juin, la 

proposition de M. Calï'ort 1 , député de l'Hérault, tendant 

à faciliter la nomination des instituteurs et institutrices 

mariés et séparés de leur conjoint, dans le 

1. Voir,^ dans lo Manuel du 7 juin, p. 4GS, l'analyse du 

projet Cail'ort, par M. André Balz et, ci-dessous, les renseignements 

insérés dans la « correspondance ». 

• Famille évacuée d'un instituteur mobilisé. — 

L. À H. (MEUSE). — La famille d'un instituteur 

rriobilisé a été évacuée de 1916 à 1919 : a-t-elle droit 

à Vallocation des réfugiés ? 

L'assistance aux réfugiés est due s'ils sont nécessiteux. 

L'état de nécessité n'est présumé ne pas exister 

ou cesser d'exister que si les ressources des réfugiés 

atteignent les chifi'res fixés aux barèmes départementaux. 

Le point de départ de l'attribution de l'assistance 

est fixé au jour de l'arrivée du réfugié dans sa commune 

de refuge. Les réfugiés arrivant en convoi 

n'ont aucune déclaration à faire. Par contre, les 

réfugiés arrivant par destinations individuelles ou 

familiales doivent, pour s'assurer l'assistance, déclarer 

leur présence à la mairie dès leur arrivée. Quand 

des réfugiés ont volontairement laissé ignorer leur 

qualité, le point de départ de l'assistance est fixé au 

jour de la demande. (Instruction du Ministère de 

l'intérieur, J. O., du 17 février 1918). 

Secrétariat de mairie des régions envahies. — J. 

à M. (ARDENNES). — Est-il exact que l'Etat a payé 

leur traitement aux secrétaires de mairie des pays 

envahis ? 

Il ai été ouvert un crédit, géré par le Ministère de 

l'Intérieur, pour avances sur traitements et pensions 

aux fonctionnaires et anciens fonctionnaires des 

départements et communes des régions envahies. Il 

est peu probable que ce régime d'avances continue de 

fonctionner: depuis l'armistice, les départements et 

les communes ont repris ou reprennent progressivement 

la libre gestion de leurs fonds. 

Institutrice mariée à un fonctionnaire. — M. A 

T., (INDRE-ET-LOIRE) ET DIVERS. — Existe-t-il un 

règlement d'après lequel quelques vlaces sont réservées 

aux femmes de fonctionnaires au chef-lieu 

du département? 

Un tel règlement, en sa forme impérative, n'existe 

pas ; mais il a été dit à divers correspondants que 

l'administration s'attache à rapprocher les conjoints, 

instituteur et institutrice, instituteur ou institutrice 

marié à un fonctionnaire, dans les limites des 

vacances et dans la mesure compatible 'avec les 

règles d'avancement. La difficulté la plus fréquente 

est celle qui résulte du passage d'un département à 

un autre. A cet égard, une proposition de lof de 

M. Calï'ort est venue devant la Chambre des Députés, 

en vue de faciliter la nomination des instituteurs et 

institutrices mariés et séparèsde leur conjoint, dans 

le département et la résidence de ce dernier. Elle tend 

aussi à offrir un poste double dans le courant de 

CORRESPONDANCE 

département et la résidence de ce dernier. (/. 0. du 

19juin 1919, D., page 2734). 

Indemnité aux membres des C. D. 

L'indemnité de déplacement à laquelle ont droit 

les inspecteurs primaires et les délégués des instituteurs 

et institutrices au C. D., résidant en dehors du 

chef lieu de département, est fixée à 15 centimes (au 

lieu de 10) par kilomètre, tant au retour qu'à l'aller, 

ii raison de un voyage par session. Elle comprend et 

outre, par jour de séance, une somme de 20 fr. 

(Paris), 18 fr. (villes de 100 000 hab. et au-dessus), 

15 fr. (villes de 40000 à 100000 hab.), 12 fr. (dans les 

auires villes). 

Toutefois, si le déplacement ne comprend qu'une 

journée et que le bénéficiaire ne soit pas obligé de 

passer la nuit hors de sa résidence, cette somme sera 

respectivement réduite à 15, 12, 10 et 8 fr. (Décret 

du 11 juin 1919). [J. O. du 20 juin 1919, G, p. 6381). 

l'année scolaire à tout ménage d'instituteur marié à 

une institutrice. 

Attribution des classes. — B. A P., (SEINE). — 

Vne institutrice chargee d'un cours élémentaire 

peut-elle, malgré son refus motivé, se voir imposer 

par la directrice la classe du cours supérieur ? 

La circulaire du 15 janvier 1908 dispose que le' 

Conseil des maîtres (ou des maîtresses) sera consulté 

sur la répartition des instituteurs dans les classes. Il 

est naturel et équitable que ceux-ci soient appelés à 

manifester leurs convenances et leurs aptitudes. La 

décision définitive revient à l'inspecteur, après avis 

du Conseil des maîtres, sur la proposition du directeur 

(ou de la directrice) : mesure libérale, qui 

concilie les préférences de chacun avec les intérêts 

supérieurs de l'école. 

On n'accomplit bien qu'une tâche conforme à ses 

oûts; mais est-on toujours bon jug;e de ses aptitudes? 

f 

1 est préférable qu'on soit chargé de la classe vers 

laquelle on se sent attiré; il est plus important encore 

que chacun soit placé dans la fonction qu'il est le 

mieux capable de servir. Une classe n'est pas 

demandée : il faut bien qu'elle soit pourvue. On. 

l'accepte, soutenu par la pensée de se rendre utile. 

Engagement décennal. — S. A C., (ARDËCHE). — 

Quelles charges entraînerait pour moi la résiliation 

de mon engagement décennal'! N en puis-je attendre 

l'expiration-par des congés successifs ? 

L'ancien èlève-maître, l'ancienne élève-maîtresse 

qui rompt l'engagement décennal contracté au 

moment du concours d'admission à l'école normale 

est tenu de restituer le prix de la pension dont il a 

joui. Ce prix comprend les frais de nourriture, de 

blanchissage et de fournitures classiques, tels qu'ils 

résultent du compte d'administration annuel présenté 

par le directeur de cet .établissement. 

L'engagement est accompli par 10 années de services 

effectifs, dans lesquels ne sont compris ni la. 

durée totale ou partielle du séjour h l'école normale, 

ni les congés pour convenances personnelles. De tels 

congés n'auraient d'autre effet que de suspendre la 

réalisation de l'engagement décennal. La durée en a 

été, du reste, strictement limitée par la circulaire du 

15 février 1S87. Sauf pour cause de maladie dûment 

constatée par un médecin assermenté, la durée des 

congés accordés, pour quelque raison que ce soit, 

aux normaliens et normaliennes qui n'ont pas intégralement 

accompli leur engagement décennal, ne 

doit pas excéder trois" ans. 

LACABE, 

Inspecteur do l'enseignement primaire. 

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Manuel général 1918-1919. N" 41 Juillet 1919 

SUJETS DE COMPOSITIONS 

donnés dans 

LES EXAMENS E T CONCOURS DE L'ENSEIGNEMENT PRIMAIRE 

COMPTE RENDU MENSUEL 

à l'usage des Candidats au 

* CERTIFICAT DAPTITUDE PÉDAGOGIQUE 

SUJETS T RAITES EN JUIN 

Premier sujet. 

candidats. Voici leur système : autrefois, il n'y avait 

I. •— On a beaucoup recommandé aux institu 

que de mauvais livres; aujourdhui, nous avons des 

teurs et institutrices de se libérer du a manuel » et 

livres excellents; nous pouvons nous reposer sur les 

de faire des leçons oralts familières et vivantes. 

bons manuels. — Ces affirmations coniiennent une 

Qu'en pensez-vous'/ Montrez à quelles conditions la 

grande part de vérité. Mais c'est un procédé .trop 

leçon orale esi vraiment utile, de quelles précau 

élémentaire que celui qui prétend résoudre ainsi tous 

tions et de quels procédés elle doit être soutenue. les problèmes pédagogiques : autrefois, on enseignait 

(Il sera bon de rendre votre développement plus mal ; aujourd'hui, on enseigne bien. Cela se dit de 

particulier et plus précis en l'appliquant, à titre la grammaire, de l'arii hmétique, de l'histoire, de 

d'exemple, à l'une des matières du programme) l'écriture..., de tout enfin. Dans ne cas, l'auteur se 

(G. A. P., Alpes-Maritimes, 1918). 

borne !i esquisser une comparaison entre le passé et 

le présent, à affirmer que tout est bien maintenant, 

La première précaution à prendre pour traiter ju qu'il ne reste plus rien à. améliorer. Celte disposition 

dicieusement une question est de faire une bonne est absolument contraire à l'esprit même de la science 

« mise en place •>. Par une lecture patiente du texte pédagogique, qui consiste dans une incessante évolu 

et un effort vigoureux de réflexion sur chacun des tion des méthodes et des procédés. Quant aux nou 

termes principaux, on arrive à dominer tous les éléveaux ouvrages scolaires, ils sont souvent fort bien 

ments et à se placer au centre du sujet. Il faut se conçus et plusieurs d'entre eux nous rendent les plus 

garder de confondre les idées secondaires avec l'idée grands services; cependant, ils n'ont pas encore 

essentielle. 

atteint la perfection absolue et nous devons rechercher, 

Nos canlidats ont souvent fait une mauvaise mise leurs points faibles, de manière à porter notre effort 

en place. Leur développement tourne autour du ma sur ce qui leur manque. 

nuel ou se disperse sur l'enseignement attrayant en 11 nous faut aller plus loin encore et souligner 

général. Il est de toute évidence que la question do l'erreur fondamentale qui est à la base d'un grand 

minante du sujet proposé est la leçon orale; tous les nombre de ces copies. Le candidat ne sent pas a*sez 

autres éléments sont subordonnés à celui-ci et ne qu'il s'agit ici, en substance, de l'opposition entre 

doivent apparaître au cours de l'exposé que dans la renseignement formaliste, artificiel, indirect, morne, 

mesure où ils entrent en rapport avec lui. 

— qui est d'aujourd'hui, helas, comme d'autrefois 

Nous avons donc souvent regretté de ne pas ren — et l'enseignement réaliste, vrai, direct, vivant. 

contrer une solide étude de la leçon orale, des immenses 

ressources qu'elle offre, de sa supériorité sur 

l'emploi exclusif du manuel. C'est par elle que le 

maître présente à l'enfant le résultat précieux des 

heures consacrées k l'observation, àlareflexion personnelle, 

à l'étude féconde. Elle lui peiunei de mettre 

"en jeu son originalité propre, et c'est là l'un des secrets 

de lart pédagogique. Elle lui fournit les moyens 

d'adapfer son enseignement au milieu local, au moment 

: par l'utilisation des objets réels, des collections, 

des images, par les évocations et les comparaisons 

saisissanies, il établit un contact direct entre 

son auditoire etle monde extérieur, entre sa classe et la 

vie. Alors que l'ouvrage scolaire, tiré à dt-s milliers 

d'exemplaires, s'adresse h tous les écoliers anonymes, 

le maître s'adresse à ses élèves qu'il connaît parfaitement 

et doj t il satisfait d'instinct les besoins et les 

désirs. La leçon va vers l'élève; le livre .attend que 

l'élève aille vers lui; elle exerce sur lui un charme 

complexe et puissant; en particulier, elle lui communique 

l'enihousiasme par l'effet de la sympathie : 

variété et chaleur de la diction, agrément de la voix, 

éclat du regard, eic... 

Une apologie sincère de la bqnne leçon orale ne 

nous dispensait pas, d'ailleurs, d'indiquer les inconvénients 

de la leçon orale insuffisante. Ce point est 

parfaitement à sa place dans le devoir et il se présente 

comme une suite naturelle du paragraphe précédent. 

Mais nos auteurs se sont engagés dans des 

développements irréfléchis : parfois ils ont carrément 

supprimé le livre, ou bien ils ont entrepris une réhabilitation 

véhémente du bon manuel... qui n'est certes 

pas attaqué 1 

Cette réhabilitation du livre nous offre l'occasion 

de formuler un conseil d'ordre général. Il faut éviter 

le discours facile et trop optimiste. L'opposition entre 

autrefois et aujourd'hui satisfait trop aisément nos 

: 

Celui qui a rédigé le texte conçoit un idéal d'enseignement 

très fécond, inspiré des principes du grand 

maître Rousseau; il nous demande si nous sommes 

capables de réaliser cet idéal par un commerce d'esprit 

très actif avec nos élèves, si nous voulons consentir 

à être l'intermédiaire adroit et persuasif entre 

la vérité qui émane des choses et l'esprit de l'enfant; 

il nous invite à préciser par quels moyens nous nous 

efforcerons d'atteindre ce but. Mais les données du" 

texte n'impliquent pas une hostilité intransigeante 

contre le manuel ; il s'agit surtout de se libérer d'un 

esclavage total qui ruinerait l'initiative et l'effort. Le 

bon livre, à notre avis, constitue l'un des éléments 

que supposent les termes : précautions, procédés 

destinés à soutenir la leçon. Nous sommes parfaitement 

autorisés à faire intervenir le manuel, à la 

condition qu'il contribue à parachever une leçon orale 

familière et vivante. 

Le nœud du développement réside précisément dans 

cette partie delicate : combinaison rationnelle de la 

parole du maître et de la lettre du livre, de l'exposé 

oral entendu à l'école et du texte imprimé étudié à la 

maison. 

Dans la préparation de la leçon du jour, il faut 

faire une place à. l'examen des ressources qu'offre le 

manuel, et, autant que possible, adopter le plan qu'il 

contient, de manière à ne pas derouter l'enfant. — 

Par une analyse rigoureuse, on determine quel est 

le point essentiel de la question, ou le point délicat 

sur lequel devra porter l'exposé oral. — On fixe 

à l'avance les éléments variés 4e cet exposé. — On 

détermine également sur quels points portera l'explication 

du livre, qui doit aboutir à une parfaite clarté 

du texte, de l'illustration, des tab'eaux, etc... — Il 

est bon d'arrêter les lignes du résumé bref et riche 

qui s'harmonise avec- les données du manuel et a*ec 

• ——— ; 

l'exposé 

a 

oral. — Ainsi le maître prévoit, avant 

— 

la 

—» 

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leçon, ce qu'il peut demander au livre. Loin de bannir 

celui-ci, il lui confie le soin de prolonger, après la 

classe, l'effet bienfaisant de sa parole. — Rentré chez 

lui, l'écolier studieux regarde k loisir les images qui 

l'ont séduit ; il parcourt sans ennui les lignes dont les 

mots précis raffermissent sa mémoire déjà, en éveil; 

volontiers il formule les réponses au questionnaire 

lumineux qui-termine le chapitre, et il s'engage dans 

une révision facile à travers les feuillets qui sont pour 

lui pleins de souvenirs. Enfin, en cas d'absence forcée, 

le bon livre offre à l'écolier la série des leçons apprises 

par les camarades et lui permet, dans une certaine 

mesure, de se remettre au courant. 

Ce développement termine d'une manière logique 

la partie générale du devoir et appelle, par une transition 

toute naturelle, la partie d'application qui vérifie 

les principes et met à l'épreuve les règles énoncées. 

Cette étude demande beaucoup de précision et 

de netteté. 

Nous avons lu des devoirs absolument disproportionnés, 

où l'auteur néglige de fixer les idées générales, 

et s'engage dès le début dans une mise en 

pratique obscure et flottante. Résumons ici les 

grandes lignes du plan d'ensemble : 

I. — Introduction. 

II. — Supériorité de la bonne leçon orale sur 

l'emploi exclusif du manuel. 

III. — La leçon orale peut -présenter des inconvénients. 

IV. — Il faut se prémunir contre ces insuffisances, 

surtout en faisant appel au bon manuel. 

V. — Application (étude précise et détaillée). 

VI. — Conclusion. 

Second sujet. 

II. — L'enseignement vous semble-t-il un « métier 

» ordinaire1 Pourquoi la carrière que vous 

avez choisie vous plaît-elle? Dites les satisfactions 

de l'instituteur attaché à sa fonction. Concluez. 

(G. A. P., Nord, 1918). 

Ce sujet a inspiré la plupart de nos candidats et 

nous avons lu un bon nombre de développements 

heureux. Directement mis en cause par cette question 

d'ordre intime, nos jeunes maîtres ont répondu avec 

simplicité et chaleur. Ces copies valent surtout par 

l'accent de personnalité qui les anime. Il n'étafl; point 

besoin, cette fois, de discuter la valeur d'une méthode 

ou de décrire minutieusement l'application 

d'un procédé; ce ç'ètait pas le moment de faire appel 

à une autorité étrangère et de transposer les grandes 

doctrines pédagogiques. Nos correspondants ont bien 

senti que tout emprunt serait ici déplacé, et ils ont 

fait œuvre originale, se bornant à citer tout au plus 

une réflexion -profonde de quelque grand maître 

pour donner plus d'éclat et de force à leur propre 

pensée. 

Avouons-le : dans un devoir de ce genre, le charme 

qui naît de la franchise aimable agit puissamment 

sur l'esprit du lecteur. Celui-ci croit recevoir des 

confidences au cours d'un libre entretien, et il abandonne 

quelque chose de sa sévérité coutumière. Il 

accepte de voir fléchir un peu les lignes rigides du 

plan; il se laisse entraîner vers de séduisantes digressions. 

Cependant, il ne faut pas trop compter sur 

cette indulgence coupable. Le correcteur a des reprises 

de pleine clairvoyance, et il redevient luimême 

pour condamner sans faiblesse les redites et le 

désordre, le débit languissant, la phrase obscure, la 

construction irrégulière. 

Nos correspondants pouvaient aisément organiser 

leurs idées personnelles suivant un plan analogue à 

celui-ci : 

T. — Introduction. 

II. — L'enseignement est-il u n « métier » 

ordinaire 1 

1° Oui, il est d'abord un « métier » ordinaire, 

car : 

A. — 11 exige une certaine science et un certain 

art : connaissance de la matière (âme et corps de 

l'enfant); ce qui lui convient; comment la traiter. 

B. — Il suppose un effort cérébral et une grande 

résistance physique; aptitudes physiologiques particulières. 

C. — Il est exécuté dans un temps défini. 

D. — Il suppose un salaire déterminé. 

E. — Il est dirigé et contrôlé par des chefs. 

R — Il est soumis k des sanctions. 

2° Mais il est plus qu'un métier ordinaire ; il est un 

apostolat. 

A. — Aucune matière, dans l'industrie et le commerce, 

ne peut être comparée à, ce dépôt sacré : les 

enfants, trésors du pauvre comme du riche. Le 

maître est responsable, devant sa conscience, du 

progrès humain. Besoin ardent de toujours mieux 

faire. 

B. — line limite jamais son effort; le travail abrège 

sa vie. 

C. — Après les heures de classe, il se dévoue encore 

à ses élèves de mille manières. 

D. — Par une sorte de pudeur délicate, il se refuse 

à vendre sa science comme une vile marchandise, 

mais demande avec fierté qu'on lui assure une existence 

digne et libre. 

E. — Respectueux de la discipline imposée, il accomplit 

son devoir surtout pour réaliser un idéal qu'il a 

choisi lui-même. 

F. — Les sanctions qui le touchent vraiment sont 

d'un ordre intime supérieur : le succès de ses élèves, 

leur élévation morale, la confiance qu'ils lui témoignent, 

etc. 

G. — En somme, désintéressement et enthousiasme 

inspirent ce « métier ». 

III. — Pourquoi cette carrière vous plaît-elle? 

Satisfactions qu'elle procure. 

(Il y a intérêt, — pour éviter les redites —, à réunir 

ces deux points qui se complètent). 

1° Cette carrière plaît à celui qui a l'amour des 

enfants. 

2' Qui a foi en l'avenir de l'humanité. 

3° Qui a foi en la grandeur de la France. 

4° Elle procure des satisfactions puissantes : 

A. — Immédiates, comme : 

Plaisir d'avoir fait une bonne leçon — constatation 

d'un progrès longtemps attendu — regard confiant 

d'un petit timide — mot ému d'une mère, etc... 

B. — Lointaines, d'une valeur incomparable. Joie 

de contempler les enfants devenus hommes : 

a) Leur prospérité matérielle (sains, heureux, bons 

travailleurs). 

b) Leur valeur individuelle (esprit ouvert, amour 

des choses qui élèvent l'âme ; arts, beaux livres, nature, 

sports). 

c) Leur valeur sociale (justes, tolérants, généreux; 

apaisement des conflits sociaux). 

d) Leur valeur humaine (France au premier rang 

des nations admirées et respéctées). 

IV. — Conclusion. 

Pour ce métier plus qu'ordinaire : 

1° Nécessité d'un recrutement qui offre toutes les 

garanties. 

2" Celui qui n'a pas la vocation doit se retirer : il 

est nuisible et malheureux. E. LEROY-VIDAUD. , 

Sujets à traiter en juillet. 

I. — « L'Etat considère comme un de ses premiers 

devoirs d'éduquer, de fortifier et d'élever par 

l'Ecole le sentiment patriotique des futurs citoyens. 

Nos instituteurs n'y sauraient apporter trop de 

soins et trop de scrupules. » (Directions relatives 

aux Programmes de 1905 des Ecoles Normales). 

Commentez ces instructions et indiquez comment 

vous concevez pratiquement l'éducation du sentiment 

patriotique à l'Ecole. (C.A.P., Gard, 1918.) 

II. — Quels moyens employez-vous pour assurer 

la fréquentation scolaire? (C.A.P., Indre, 1918.) 

N. B. — Les copies seront reçues Jusqu'au 

20 JUILLET, dernier délai. 

Nous conseillons vivement aux candidats de traiter 

chaque mois, régulièrement, les deux sujets proposés 

par le Manuel général. 

C. JEANNOT. Cent épreuves écrites des examens du C.A.P. 3fr. iompriM."

BREVET ÉLÉMENTAIRE 1 . 

Orthographe. 

Les sentiments des Alsaciens. 

L'Alsacien adulte est sérieux, réfléchi, concentré. 

Il veut fortement ce qu'il veut, parce qu'il ne se résout 

jamais à la légère et qu'il ne procède pas par 

coups de tête comme les Français du Midi. Notre 

résistance au vainqueur n'étant pas affaire de caprice, 

mais déraison, de dignité, de conscience et de 

droit, méritait d'être réglée par poids et mesure. La 

France nous a cédés malgré elle; nous lui devons de 

prouver û monde que c'était aussi malgré nous. 

Nous ne donnerons pas le spectacle de ces insurrections 

inutiles et sanglantes, qui ont été le suicide de 

la Pologne. A l'impossible, nul n'est tenu. Si tous les 

efforts d'un grand peuple ont été impuissants à nous 

conserver, comment deux malheureuses provinces 

désarmées, enchaînées, couvertes de garnisons, s'affranchiraient-elles 

par elles-mêmes? C'est la Patrie 

qui nous délivrera, nous comptons sur son courage, 

comme elle peut compter sur notre fidélité. Qu'elle 

prenne son temps, qu'elle répare ses forces à loisir; 

nous lui ferons crédit de dix ans, de vingt ans, d'un 

demi-siècle s'il le faut; elle nous retrouvera tels 

qu'elle nous a laissés. 

En attendant, nous tiendrons tête à l'ennemi sur 

le terrain légal où les honnêtes gens sont chez eux. 

EDMOND ABOUT. 

QUESTIONS. 

I. — Sens des mots : concentré, caprice, insurrection, 

s'aSranchir (4 points). 

II. — Sens des expressions : se résoudre à la 

légère, régler par poids et mesure, prendre son 

temps, tenir tête sur le terrain légal (6 points). 

III. — Analyser logiquement : « Qu'elle prenne 

son temps... nous a laissés (5 points). 

ÎY. — Indiquez la première personne du singulier 

de tous les temps de l'indicatif et du subjonctif du 

verbe « se résoudre » (5 points). 

EXPLICATIONS. 

I. — Concentrer veut dire littéralement « réunir 

vers un centre commun (préfixe cum = avec) ». 

Un sentiment est concentre quand il est maintenu 

dans le cœur (considéré comme le centre des émotions) 

sans se manifester au dehors. Par extension, 

un homme est concentré quand il a une « vie intérieure 

» active et ne laisse rien voir de ses sentiments. 

Il ne faut pas confondre cette qualité avec 

l'hypocrisie et la dissimulation; elle n'exclut pas la 

franchise. Elle procède d'un esprit sérieux et réfléchi. 

— Un caprice est un sentiment, un désir qui se 

manifeste tout à coup, sans que rien dans l'attitude 

antérieure puisse l'expliquer. Il est tyrannique, violent, 

mais éphémère. Comme il ne tient pas aux racines 

profondes de l'être, qu'il ne saurait se justifier 

raisonnablement, il disparait avec la même soudaineté. 

Le mot caprice a la même origine que le mot 

chèvre. Le caprice a la vivacité, l'inconstance, l'élan 

inattendu et désordonné de la chèvre. — Une insurrection 

est la levée en armes d'un peuple, d'une ville, 

C[ui se dresse (rarine rect) subitement contre (préfixe 

in) le gouvernement. — S'affranchir, c'est se rendre 

franc (libre) d'un joug, d'une servitude que l'on subissait 

depuis longtemps. 

II. — Se résoudre à la légère, c'est se décider 

légèrement, c'est-à-dire sans avoir beaucoup réfléchi 

à ce que l'on va faire, sans en avoir examiné les conséquences.'— 

Régler par poids et mesure, c'est, au 

contraire, peser toutes les raisons qu'on a d'agir ou de 

ne pas agir, en mesurer la portée, les conséquences; 

c'est réfléchir même aux détails de l'action. — On 

prend son temps quand on attend pour agir le moment 

favorable; ce moment est conditionne par l'acquisition 

de tous les moyens d'action qu'on a pu 

réunir et par l'occasion propice qui en facilitera le 

1. Yonne, 2' Session 1918. (Aspirants ot aspirantes.) 

SUJETS DE COMPOSITIONS 123 

jeu. Prendre son temps, ce n'est donc pas du tout 

« perdre son temps », ni même garder une attitude 

passive. — Tenir tête, c'est répondre avec succès k 

une attaque (Cf. l'expression faire face). L'Alsace et 

la Lorraine ont « tenu tète au gouvernement allemand 

sur le terrain légal » en lui résistant dans les 

limites de la loi allemande. Il y a des résistances 

sentimentales, des répugnances, une certaine réserve 

dans l'attitude, une force d'inertie dans l'action que 

la loi est impuissante à condamner. 

III. — Sept propositions, dont une sous-entendue. 

1° et 2° Les deux' premières : » qu'elle prenne son 

temps, qu'elle répare ses forces à loisir », sont des 

subordonnées juxtaposées, compléments d'objet d'une 

principale sous-entendue à laquelle elles sont réunies 

par la conjonction que. 3' « Nous demandons (ou nous 

souhaitons) qu'elle prenne son temps». (Il faut remarquer 

cependant que les deux verbes de ces propositions 

sont de véritables impératifs parle sens. Ils 

sont au subjonctif, simplement parce que nousn'avons 

pas -en français de forme pour la 3 e personne de 

l'impératif. On ne commettrait donc pas de faute en 

appelant indépendantes ces deux premières propositions, 

à. condition qu'on justifie la dénomination et 

qu'on explique la présence des deux que de subordination); 

— 4° « Nous lui ferons crédit de dix ans, de 

vingt ans, d'un demi-siècle », principale, juxtaposée 

aux précédentes; — 5° « S'il le faut », subordonnée 

par la conjonction si au verbe ferons (crédit), dont 

elle est un complément marquant une condition ; — 

6° « elle nous retrouvera tels », principale, juxtaposée 

à la précédente principale; — 7° « qu'elle nous 

a laissés », subordonnée par la conjonction que, en 

corrélation avec tels qu'elle complète. 

Composition française. 

Un dé nos historiens a dit : « Le Français qui 

connaît bien l'histoire de son pays ne perdra jamais 

l'espèrànce dans les plus tristes jours ». Montrez les 

motifs de confiance qu'un Français d'aujourd'hui peut 

puiser dans la connaissance du passé. 

INDICATIONS. 

Ce sujet a été donné à la veille de l'armistice de 

novembre, au moment où tout redevenait « motif de 

confiance ». Aujourd'hui, au lendemain de la victoire, 

tous les Français n'ont pas conservé cette grande 

confiance dans l'avenir. Mais si nous montrons que 

la France est sortie glorieusement des grands périls 

où, à plusieurs reprises au cours de son histoire, elle 

a paru devoir sombrer, notre raisonnement sera valable 

à plus forte raison contre le malaise qui inquiète 

aujourd'hui exagérément certains de nos compatriotes. 

Combien de fois, au cours de notre histoire, l'étranger 

a foulé le sol français! Combien de. fois même il 

est allé jusqu'au coeur du pays, entrant dans Paris, 

imposant les dures conditions du vainqueur au gouvernement 

et à la population terrifiée, divisée contre 

elle-même 1 

Et, chaque fois, beaucoup pouvaient croire (jue c'en 

était fait de la France 1 Mais, chaque fois, les énergies 

du pays se groupèrent autour d'un chef. Tantôt, 

dans un élan soudain que le désespoir faisait irrésistible, 

nos défenseurs chassaient l'envahisseur qui fuyait 

en désordre; tantôt ils usaient lentement un ennemi 

tenace qui finissait par céder. Et, de nouveau, l'avenir 

leur souriait. Paris eut, contre les Normands, les 

ducs ie France qui devaient bientôt entreprendre la 

grande tâche de l'unité nationale. — A Bouvines, ce 

tut l'union féconde de la royauté encore 1 nouvelle et 

des milices communales, fortes des libertés qu'elles 

venaient de conquérir. — Pendant le long deuil de 

la guerre de Cent Ans, le patient travail de la bourgeoisie 

organisait, fortifiait la France économique et 

administrative, malgré les imprudences et l'incapacité 

des rois. Et tout à coup, du milieu des hommes de 

guerre, un grand capitaine surgissait : Duguesclin. 

De nouveau envahie, déchirée en même temps par la 

guerre civile, la France a il sa tête un roi devenu fou, 

dont le fils, au lendemain de son avènement, n'a même 

plus de capitale. C'est alors que paraît Jeanne d'Arc, 

la plus belle figure du patriotisme français. Et voici 

BREVET ÉLÉMENTAIRE : G . MANUEL. Cinq cents épreuves écrites et orales. 2 vol. 2.15 

— —— Majoration temporaire 100 °|0 •


de nouveau cent autres années d'organisation, d'agrandissements 

territoriaux, de prospérité économique, 

Charles VII, Louis XI, Louis Xll, puis l'admirable 

floraison littéraire et artistique de la Renaissance^ — 

La Reforme et l'horrible guerre civile; la Ligue, les 

partis appelant l'un et l'autre l'étranger à leur aide, 

méditant des changements de dynastie; le roi obligé 

de laire le siège ue sa capitale... Mais ce roi est 

Henri IV et de nouveau la grande paix, la richesse 

s'étendent sur les campagnes, les cilés industrielles 

fleurissent par toute la France. La nation et le roi se 

sont bien compris et collaborent gaiement. — Dans 

les cent années qui suivent, la France est plusieurs 

fois menacee, envahie même. Mais elle a le génie 

organisateur de Richelieu, de grands capitaines qui 

portent la lutte hors du sol national. Conde, Turenne 

arrêtent victorieusement l'ennemi à nos frontières, 

comme Villars à Denain. — Y eut-il dans notre 

histoire une période plus critique que celle de la 

Révolution? En 17113, la France est partout menacee 

sur ses frontières, soixante départements sont en 

insurrection contre la Republique, des villes révoltées, 

comme Toulon, sont défendues par les Anglais. 

Mais c'est l'admirable cri de Danton, le recrutement 

des volontaires, accourus en foule pour sauver « la 

Patrie en danger ». Et la Marseillaise part de Strasbourg 

même pour devenir désormais le chant de victoire 

des armées de la République. — 1814, 1815 : 

l'Europe veut se venger d'avoir été vaincue sans cesse 

depuis-plus de vingt ans. Mais la France, très digne, 

affirme .-a volonté de paix et en impose à ses ennemis 

même. Elle reprend tout de suite sa place parmi les 

grandes puissanc-s, elle est des premières à se lancer 

dans le formidable mouvement qui transforme toutes 

les conditions d'existence à cette époque. Au lendemain 

de la grande secousse de 1 empire, c'est elle qui 

donne au mon te les plus admirables artistes, une 

pléiade de poètes illustres et de savants. — 1870! Par 

la maladresse du gouvernement impérial, la France 

est isolée contre la Prusse, désormais à. la tète de 

l'Allemagne tout entière. L'incurie de l'empire nous 

a laissés sans aucune préparation militaire. Deux mois 

après la déclaration de guerre, la France n'a plus 

d'armée et l'ennemi commence le siège de Paris. Le 

vainqueur nous vole deux provinces et nous impose 

une indemnité formidable pour l'époque. La France 

est désormais écrasée. Or, quand le gouvernement 

adresse un appel au monde pour l'emprunt qui servira 

à payer notre dette et qui relèvera peut -?tre la 

France de ses ruines, l'emprunt est couvert treize 

fois! L'Europe témoignait sa confiance à notre pays. 

Dix ans après, la France était en mesure de commencer 

la conquête de son immense domaine colonial 

en Asie, puis en Afrique. Dès 1893, les nations étrangères 

recherchaient son alliance. 

Quel est le secret de cette.force toujours renaissante? 

Il y a d'abord la puissante vitalité, la volonté 

de vivre d'un peuple qui sent bien qu'il n'a pas dit 

son dernier mot sur la scène du monde. Il y a la 

conscience bien légitime que le peuple français a de 

sa valeur. Il puise précisément sa force dans les grandes 

idées dont il s'est fait le porte-parole surtout depuis 

le ivin e siècle. Un peuple libre ne meurt pas et voit 

accourir à lui tous les autres peuples libres qui sentent 

que sa cause est la leur. C'est le sens profond de la 

grande alliance de 1914 18 contre l'Allemagne. Mais 

le peuple français a d'autres qualités encore. 11 est 

laborieux. Il trouve dans le travail la consolation de 

ses maux et les ressources avec lesquelles il réédifiera 

sa maison détruite. Il est économe avec simplicité. Il 

est enthousiaste de toute oeuvre qui a pour objet le 

bien commun, la gloire de la France, et qui s'inspire 

de l'amour de l'humanité. 

Toutes ces qualités, nos alliés, en ces années terribles 

que nous venons de vivre, les ont comme découvertes, 

parce que nous avions pris l'habitude de 

nous calomnier. Ce leur fut une heureuse surprise de 

voir ce que nous sommes réellement. Leur collaboration 

n'en devint que plus sincère et plus active. Avec 

eux désormais unie pour l'œuvre de reconstitution nationale 

et de paix mondiale, que ne fera pas la France 

dans les années de travail que nous allons vivre? 

Arithmétique. 

1. Dans le calendrier républicain, le temps compris 

entre midi et minuit se divisait en 10h., chaque 

heure se dioisait m 100 minutes et chaque minute 

en 100 secondes. En supposant qu'une horloge soit 

reglée d'après ce système on demande quelle heure 

il sera duns le systcme actuel, lorsque ladite horloge 

marquera 8 h. 15 du soir. 

SOLUTION. 

10 heures du système républicain sont égales à : 

100 min. du syst. rép. x 10 = 1000 min. du syst. rép. 

12. heures du système actuel soin égalés à : 

60 min. du syst. act. x 12= 720 miu. du syst. act. 

Le temps qui s'ecoule entre ini ii et minuit est 

donc mesuré par 720 min. du système actuel et par 

1000 min. du système républicain. Par suite, 1 min. 

du syst. rép est égale à : 

1 72 

720 min. du sys. ac. x ^ de 1 min. du sys.ac. 

Quand il est 8 h. 15 min. du soir, il s'est écoulé, 

depuis midi, 815 min. du syst. républicain qui équivalent 

à : 

72 8 

—. de 1 min. du svs. act. x 815 = 5S6 min. — de min. 

1UJ " 1U 

Dans le système actuel, quand il s'est écoulé 

586 minutes depuis midi il est, 9 h. 46 min. 48 sec. 

du soir. 

2. Une cour rectangulaire était telle que sa longueur 

vulai' les 7/4 dé sa largeur. On l'a agrandie 

en augmentant de 1/3 chacune île se.' dimensions ; 

son étendue actuelle surpasse de 1764m* son étendue 

primitive. Trouver les dimensions actuelles de 

cette cour? 

SOLUTION. 

Soit a la largeur de cette cour, en mètres. 

La longueur, en mètres, est a x 7/1 et l'aire, en 

mètres carrés, de cette cour rectangulaire est : 

7 i, 7 a X ® X .- = & X 

- 

r 

4 'A 

Après agrandissement, la largeur est devenue les 

4/3 de ce qu'elle était ou, en mètres, a X 4/3; la longueur 

en mètres est devenue 

et l'aire en mètres carrés est : 

4 7 4 , 2S 

a X 5 X a X 7 X 5 = a* X —• 

3 4 3 9 

La différence des aires est donc : 

ou : 

a 1 x -7T —' a X r = liGi 

9 4 

49 

aî x§|="6i. 

ob 

Par suite est les 36/49 de 1764 ou 

17G4 x ^ = 1296. 

49 

Donc a, ou la largeur, en mètres, de la cour est: 

V'i.Wî =36 

Et la longueur, en mètres, est 

36 x 7/4= 63. 

V érification : 

l rc superficie de la cour : 

1 m"- x (36 x 63) =2268 m s . 

2 e superficie de la cour : 

lmîx (36 X g X. 63 X = 4032 m 3 . 

Différence : 4032 m s — 22fi8m 5 = 1764 m 1 

Dessin. 

Dessin à vue -d'une chaise sur laquelle on aura 

placé un chapeau. 

Couture. 

Bâtir au milieu du morceau d'étoffe deux plis de 

lingerie espacés de 1 centimètre. Les coudre au point 

devant sur une longueur de 8 centimètres et exécuter 

dans l'intervalle un point d'ornement de lingerie. 

DICTÉES : G . MANUEL. Cent dictées expliquées i^TThaquÔ" v'o.Ll 11 ? 8 : 1.20 

Majoration temporaire 100 °/,

Manuel général 1918-1919. N° 41 E Juillet 1919 

PARTIE SCOLAIRE 

COMPTE RENDU DU CONCOURS GÉNÉRAL 

ENTRE LES MEILLEURS É LÈVES DE NOS É COLES P RIMAIRES 

Ouvert dans le numéro du 17 mai 1919 

Après la signature de l'armistice, la fréquentation scolaire s'est notablement améliorée dans un grand 

nombre de communes. D'autre part, beaucoup de maîtres, démobilisés, ont repris la direction de leurs 

classes. Notre concours annuel s'est ressenti des bons effets produits par ces deux causes : d'abord le nombre 

des concurrents a sensiblement augmenté, surtout dans la seconde division; ensuite les compositions sont 

généralement supérieures à celles de l'an dernier, ce qui a permis au jury de se montrer plus sévère dans 

ses appréciations et de relever ainsi le niveau du concours. 

Nous rappelons à nos lecteurs que « chaque école ne peut présenter à ce concours qu'un candidat par 

division. » C'est pourquoi nous avons dû éliminer sans examen toutes les compositions des candidats 

présentés en surnombre. 

ire DIVISION 

Orthographe et explications. — Peu de fautes d'orthographe; mais ponctuation négligée. Explications 

trop souvent inexactes, insuffisantes ou vagues. Dans l'analyse, le pronom oit est inconnu de beaucoup 

d'élèves. 

Ecriture. — La ronde et la bâtarde paraissent négligées, en général, ainsi que la grosse anglaise. 

Composition française. — Nous avons eu plaisir à. noter de piquants détails locaux, des impressions 

personnelles simplement exprimées. Les banalités prétentieuses, les phrases déclamatoires se rencontrent 

encore çà et là, mais moins nombreuses qu'autrefois. 

Calcul. — Beaucoup de réponses exactes; mais peu de bonnes solutions raisonnées. Des tâtonnements 

dans le 1 er problème pour la recherche de la contenance du tonneau; dans le 2 e problème, un croquis du 

terrain eût facilité le travail et empêché bien des fautes. 

Dessin. — Filles. — Plusieurs bons dessins, mais dans l'ensemble, le panier fleuri, trop volumineux, 

encombre l'assiette au lieu de l'ornér. Certains artichauts sont remarquables par la vérité et le fini. 

Garçons. — Les cotes manquent dans de nombreux croquis; la mise en place n'est pas toujoursheureuse. 

Toutefois, ensemble assez satisfaisant. 

2 e DIVISION 

Orthographe et explications. — Le jury accordait quatre points pour l'orthographe et six points 

pour les explications. L'orthographe était correcte, en général; mais les explications, vagues ou inexactes, 

ne méritaient souvent qu'une note assez faible. Malgré nos observations réitérées, beaucoup d'élèves 

(52, cette année) continuent à, représenter par le même signe les accents aigus et les accents, graves. Cette 

négligence ou cette insouciance est vraiment inexcusable. Il ne faut pas cinq minutes d'attention pour 

apprendre à distinguer et à écrire lés trois sortes d'accents : aigu, grave et circonflexe. 

Ecriture. — Encore un progrès sur le concours de l'an passé qui, lui-même, présentait des écrituresmeilleures 

que celles de l'année précédente. Visiblement, les principes de l'écriture sont enseignés avec 

soin dans la plupart des écoles. 

Composition française. — Le sujet aurait pu, nous semble-t-il, inspirer heureusement les élèves. 

Beaucoup d'entre eux ou d'entre elles ont réellement assisté au retour d'un prisonnier; il leur suffisait 

donc de dire simplement et sincèrement ce qu'ils avaient vu et senti. Mais ils n'ont pu résister à la tentation 

d'ajouter à l'expression de leurs propres sentiments des jugements généraux, puisés dans les journaux, sur la 

guerre et ses horreurs. Cette addition d'une littérature convenue et banale a gâté plus d'une bonne 

composition. 

Calcul. — Peu de solutions raisonnées et surtout peu de solutions claire» et précises. On se contentesouvent 

d'indiquer les opérations h faire. Malgré nos observations des années précédentes, beaucoup 

d'élèves continuent à ignorer que le multiplicateur est un nombre abstrait. Dans la colonne des opérations, 

on supprime trop fréquemment les signes conventionnels qui indiquent chacune des quatre opérations : 

addition, soustraction, multiplication et division. 

(Dessin. — Moins de dessins que de coutume, et nous le regrettons vivement. Il faut donner à cette 

branche essentielle la place qui doit lui revenir dans notre enseignement primaire. La plupart des 

concurrents et des concurrentes ont remplacé le dessin par l'agriculture ou l'économie ménagère. Nous 

reconnaissons d'ailleurs que les compositions portant sur ces matières nous ont paru meilleures que cellesdes 

concours précédents. 

PREMIÈRE DIVISION 

I. — FILLES. 

(ÉLÈVES QUI AVAIENT 13 ANS RÉVOLUS AU 1 ER JUILLET 19J9.) 

P r i x ' NOTES EN 

N " ORTHO 

D'ORDRE NOMS ET PRÉNOMS ADRESSES ET QUESTIONS, ÉCR 

1 Lemaire Mad., éc. pub. d'Hannapes, par Etreux 55 15 

(Aisne). 

I Sougey Lucienne, éc. pub. de Sainte-Foy-l'Argentière 55 16 

(Rhône). 

3 Bruel Camille, inst. Jeanne-d'Arc, Pléaux (Cantal). 56 17 

COMPOS. 

FRANÇAISE CALCUL DESSIN TOTAFC. 

56 56 16 158 

55 56 16 158- 

53 51 17 157' 

Partie scolaire, N° 41.


D ORDRE NOMS ET PRENOMS 

10 

10 

10 

10 

14 

14 

16 

16 

18 

18 

18 

18 

2-2 

22 

22 

-22 

22 

22 

22 

2a 

29 

29 

29 

29 

54 

34 

34 

34 

34 

39 

39 

39 

39 

39 

39 

39 

39 

39 

39 

39 

50 

S0 

50 

50 

50 

50 

50 

50 

50 

50 

.50 

50 

50 

50 

«0 

50 

50 

50 

50 

50 

50 

«0 

50 

50 

50 

50 

50 

50 

50 

50 

Roulot Georgette, 

Barbai in Charlotte, 

Decnamtre Paul, 

Rousseau Jeanne, 

Vila Esperanza, 

Blazy Lucille, 

Varrin M.-Keine, 

Bourrasset Marie, 

JMandran Yvonne, 

Balland Thérèse, 

Bert Cécile, 

de Madon Renée, 

Montauvert Marc., 

Ruchet Jeanne, 

Renoult Genev., 

Jolibois Louise, 

Lamblin Andi'ée, 

Carre Henriette, 

Lenormand Suz., 

Gommard Germ., 

Lacape Marg., 

Saunier Denise, 

Arzul Mad., 

Malcuit Louise, 

Deluze Germ., 

Bertrand Elise, 

Piccavet Simone, 

Michaud Suz., 

Julien EJith, 

Oudot Suz., 

Moreau Mad., 

Vidaud Ger., 

Rouède Mad., 

Le Hénaff M.-L., 

Fouquet Marie, 

Bouttevin Simone, 

Canivet de Chastel 

Desmeures Marie, 

Prade Simone, 

André Marie, 

De la Guerière M., 

Bourdin Marie, 

Leclerc Suz., 

Fourni.il Mad., 

Nolin Mariette, 

Nouclerq Jeanne, 

Genevois Julie, 

Lambert Henr., 

Favîer Jeanne, 

Rey Marie-L., 

Me ignac Claire, 

Bonétat Andrée, 

50 Leymarie Marie, 

Sauvade Germ., 

Lades Eva, 

Augier Josette, 

Milet Suz., 

Mellet Hélène, 

Vernier Marcelle, 

50 Bonnet Jeanne, 

50 Delzongles Josep., 

Lineot Marie, 

Noguez Germ., 

Deal Marie, 

50 Gilbert Blanche, 

Bouclier Marie, 

PélKson'Camille, 

Gavairgio Mad., 

Ruy Genev., 

Puon Marg., 

Guiilard Renée, 

Dénoyer Marie. 

Be iud"in Andrée, 

Cauvin Renée, . 

Lemaire i\lad., 

Fouquet Marthe. 

Koussel Germ., 

Bordes Amelie, 

Morel Yvonne. 

Dubois Mad., 

Montagne-de-l'Artilierie, Le Creusot. 

éc. jean-Macé, Ttoyes (Aube). 

4S, r. deBlanzy, Le Creusot (S.-et-L,). 

Courroy, par Thorigny lYonne). 

villa Oteiza-Atacha, San Sébastian. 

25, rue Bonaparte, Paris. 

Francourt. par Lavoncourt (H.-Saône) 

instit St-Louis, Issoire (Puy-de-D.). 

1, rue Lamartine, Firminy (Loire), 

place Notre-Dame,Chàteau-Chinon. 

aux Granges, par C'ivrac-en-Medoc. 

65, r. de Bègles, Bordeaux. 

cours Jeanne-d'Arc, Voiron (Isère), 

cours compter" place des Minimes, 

Roanne iLoire). 

2, r. de la Cerisaie, Charenton (Seine). 

Roches-sur-Rognon (H.-M.). 

12t>, av. Victor-Hugo, Dijon. 

1, rue de l'Abbé-Boyer, Lesparre. 

inst. Tonneux, à Mantes iS.-et-Oise). 

éc. pub., Annet-s.-Marne (S.-et-M.). 

rue Brémoniier, La Teste-de-Buch. 

Thurins (Rhône). 

c. compl., Pontrieux (C.-du-Nord). 

éc. pub.,Chatenay-s.-Seine(S.-et-M.). 

gendarmerie Orbec (Calvados). 

chez ses parents, Vingrau(l'.-0r.). 

21, espl. St-Omer (Pas-dcCalais). 

éc. pub. r. delà Banque,Bourg (Ain), 

av. Senequier, Toulon (Var). 

15, rue Sigoffin. Courbevoie (Seine). 

6, rue Paradis, Beaune (Côte-d'Or). 

éc. Mory, 52, av. Parmentier, Paris, 

pens. St-Laurent, Fleurance (Gers) 

39, r. Meslay, Paris. 

pl. St-Pierré, Melle (Deux-Sèvres). 

29, boul. Mac-Manon: Montargis. 

'27, r Er.-Renan, Issy-les-Moulineaux. 

Aspères, par Sommières (Gard), 

éc. pub., Villenauxe (Aube), 

pensionnatde Jouey (Saôné.et-L.). 

éc. 8, r. Emangeards, Laigle (Orne), 

inst., r de l'Eglise, RemalarJ (Orne), 

éc. pub.,Orignv-en-Thierache(Aisne). 

45, r. Levieux.Bordeaux-St-Augustin. 

14, rue de la Fraternité, Aù.verre. 

52, r. P.aspail, Bois-Colombes (Seine), 

inst Jeanne-d'Arc,St-Léger-s.-Dheune 

(S.-et-L.). 

éc. priv., 5, r. du Louvre, Tarascon. 

éc. libre, Sandillon (Loiret). 

68, r. Mondenàrd, Bordeaux. 

éc. de Langon (Gironde). 

éc. Bernardines, St-Aignan-sur-Cher. 

(L.-et-Cher). 

éc. priv.. St-Roman, par Cabbé-Roquebrune 

(Alpes-M.j. 

inst. Jeanne d'Arc, AmbertfP.-de D.). 

éc. pub., Fumel (Lot-et-Gar ). 

inst. St-Paulin, 68, rue Lachassaigue, 

Bordeaux. 

pens. Achinard, 41 bis, Grand'Rue, 

Sèvres (S.-et-Oise). 

pens. Chazal, Sézanne (Marne). 

inst. Luzy, Dufeillant, par Beaurepaire 

(Isère). 

1, r. Lakanal, Voiron (Isère), 

éc. Ratié, Saint-Martin-Valmeroux 

(Cantal). 

éc. priv.,Cerdon (Ain). 

17, pl. de la Bourse, Bordeaux. 

inst. Saint-Maurice-lès-Châteauneuf 

(S.-et-L.). 

éc. Lalande-de-Libourne, par Libourne 

(Gironde). 

éc. de St-Bonnet-de-Joux (S.-et-L.). 

10, rue Cazotte, Dijon. 

boul. des Vallées, Thonon-les-Bains. 

3 bis, pl. de la République, Nevers. 

av. de Toulouse, Caussade (T.-et-G.). 

$c.pub„ 5, chaussée de la Madeleine, 

Nantes. 

12, rue Germain-Pilon, Paris (18'). 

r. St-Michel, Pont-l'Evéque (Calva.). 

79, r. Hoche, Houilles (S.-et.-Oise). 

pens. Ste-Marie-sur-Ouche, parPontde-Pany 

(Côte-d'Or). 

éc Mlle Chartier, Dellys, Alger. 

102, rue Rambuteau, Mâcon (S.-et-L.). 

inst. St-Foy, Clairac (L.-et-Gar.). 

rue Centrale, Tenay (Ain). 

63, r. du Chat, Blaye;Gironde). 

NOTES EN 

ORTHOG. COMPOS. 

QUESTIONS ÉCRIT. FRANÇAISE CALCUL DESSIN TOTAÏ, 

34 '16 54 36 16 156 

35 15 34 35 17 156 

52 16 34 35 18 135 

34 14 " 31 36 17 135 

34 16 31 34 16 134 

56 14 34 31 ' 16 < 134 

36 14 34 34 15 133 

54 15 36 34 16 155 

34 12 - 54 56 17 135 

31 16 34 35 14 135 

36 12 34 54 16 132 

54 16 34 32 16 152 

54 16 28 36 17 «1 

30 16 34 54 17 , 151 

34 18 2# 51 / 18 130 

32 16 52 56 .14 130 

53 16 34 52 15 130 

52 15 36 34 15 130 

50 14 34 56 15 1-29 

31 13 28 56 1S 1-29 

34 16 28 34 1.7 129 

33 16 28 55 i7 129 

54 16 26 56 17 v 129 

32 16 52 34 15 129 

56 16 52 29 16 129 

28 14 34 54 18 128 

56 15 - 28 54 15 128 

54 10 34 36 14 12S 

30 14. 30 36 18 128 

32 15 52 . 34 15 128 

32 . 15 50 36 14 127 

50 14 52 36 15 127 

53 15 30 54 15 127 

33 16 29 34 15 127 

54 16 28 - 52 17 127 

26

DORDRE NOMS ET PRENOMS 

50 

S0 

50 

- 50 

50 

Vandhmme Blanche. 

Cartier Raym-. 

Médecin Jeanne, » 

Carbonneaux M., 

Maheux Eugénie, 

50 Clauzet Marcelle, 

50 Fournier Jeanne, 

50 

50 

50 

50 

50 

50 

50 

50 

50 

50 

50 

50 

50 

50 

50 

50 

50 

50 

Villeneuve Noèraie, 

Marc Suzanne, 

Blanc Uûle, 

Gruchey Louise, 

Raymond Odette, 

Després Odette, 

Le Hyaric Angèle, 

Collen t Marg., 

André Maig. 

Duloutre Yvo ine, 

Ra'guenit Cçline, 

Massnt Alice, 

Lehir Marcelle, , 

Robillard Christ., 

Thebault Germ., 

Bertrand Odette, 

Massota Andrée, 

Rolland M.-Anne, 


ADRESSES I; 

ofo's,r.duGenéral-Blaise, Paris (9'). 

inst. Jne-d'Arc, Malesherbes (Loiret), 

éc p., Roquehrune,Cap-Martin, A.-M. 

éc. pub., Bletterans (Jura). 

éc. pub., Monteneul, par Poicara 

(Morbihan). 

éc. libre Maurs (Cantal).inst. 

J .-d'Arc, Dagneux, par Monthuel 

(Ain). 

éc. pub., Ville basse. Le Blanc (Indre), 

éc. Crampel, St-Chéron (S.-et-O.). 

éc. priv., Chomelix (H.-Loire). 

éc. Michelet, Lisieux (Calvados), 

éc. priv., av. de la République, Capestang 

(Hérâult). 

éc. pub. r. Courbet, Carmaux (Tarn), 

pens. de Plouay (Morbihan). 

éc. pub., Nuits-s-Armançon (Yonne), 

éc. pr., Belleville-sur-SaÔne (Rhône), 

c. compl. d'Audenge ((iironde). 

éc. de filles n - 5* Auchel (Pas-de-C.). 

50, av. Vie-Hugo, Boulogne-s.-Seine. 

éc. priv. Kerity-P iimpol (C.-du-N.). 

c. compl. de filles, La Flèche (Sarthe). 

"I, r. St-Vivien, Rouen (S.-lnf.). 

10, r. Corvisart, Paris (13*). 

inst. familial, Montauban (T.-et-G.). 

ec. pub. Rostrenen (C.-du-Nord). 

VIENNENT ENSUITE 

Avec 124 points : 

Laugier Elise, éc. pub. Fuveau (B.-du-Rhône); — Chandelier 

Madeleine, éc. pub. St-Julien lAube); — Perret 

Marthe, Champagnat, p. Cuiseaux (S.-et-L.); — Couret 

Lucienne, oastries (Hérault; ; — Clémens Yvette, c. Gambetta, 

Langon (Gironde) Grauby Marcelle, Quérigut 

lAriége); — • Lepetit Cieneviève, pens. Riou, St-Pierre-s.- 

Dives (Calvados); — VillemagneGerm.,71 bis, Grande-Rue, 

St-Clair, (Lyon) ; — Jacquelet Marie-Cécile, éc. 9, av. de 

Saxe, Paris 7*; — Gohé Jeanne, 3o, av. du Château, Romilly-s.-Seine 

lAube); — Morvan Yvonne, 1, route de Châleaugiron, 

(Rennes); — Marcou Lucienne, 17, r. Poissonnerie, 

Lunel (Hérault). 


Fratnery Madeleine, éc. pub. Laigneville (Oise); — Martin 

Denise, éc. pub., 11, r. Suzanne, Le Tréport (S.-lnf.); 

— Gonsolin Simone, i3, r. de Pontoise, Ermont (S.-et-O.) ; 

— Armand Jeanne, 14, r. de la Ville-L'Evéque. Paris 8'; — 

Olympe Marcelle, 25, r. du Rempart (Nevers); — Faure 

Marie, éc. priv., St-Lauj'ent-de-Chamousset (Rhône); — 

Dauveigne Marie, c. cômp. Paray-le-Monial (S.-et-Loire) ; 

— Bardou Julienne, éc. pub., Fresnay-s.-Sarthe (Sarthe) ; 

— Douillard Jeanne, éc. pub., pl. des Garennes (Nantes); 

— Leroy Marcelle, éc. priv., Seurre (Côte-d'Or); — Guillermain 

Geneviève, 21, r. de la Paix, Rochefprt-s.-Mer:•— 

Cazarré Marie, éc. priv., Lavernose (Hte-Garonne) ; — Billet 

Julia, Vanchy. près Bellegarde; — Veron Marguerite, 

Inst., 24, rue Audigeois, Vitry-s.-Seine (Seine) Hautin 

Lucienne, éc.-N.-Dame, Sancerre (Cher). 


DoucetReine, Montcellereux, p. Mer (L.-et-C.) ;— Dabin 

Simonne, 42, av. de la République, Villejuif (Seine); — 

Denis Mélanie, éc. pub., La Rebeyrolle, Sardent 'Creuse); 

— Banabera Andrée, c. Ste-Odile, St-Jean-de-Luz (Bses- 

Pyrénées); — Grand Thérèse, Inst. priv., St-Peray (Ardèche) 

: — Palmade Marie, éc. mixte, Quérigut (Ariège) ; — 

Bréchan Marthe, (indic. insuffisantes)-, — Sallier Marguerite, 

à Montmoreau (Charente) ; — Boin Raymonde, éc. 

pub., Jonchères, par l.iernais (C.-d'Or); — Ranzv Odette, 

éc., 92, r. de l'Ohirer (Marseille) ; — Colas Louise, 23, q. 

Malakoff (Nantes) ; — Menard Alice, 44, r. E.-Zola, Rochefort-s.-Mer 

; — Tribout Renée, extern-, 32, rue Lord-Kitchener, 

Le Havre; — Ribaille Angèle, éc. priv., Oleterre, 

p. Azay-le-Ferroz (lndrei; — Helion Simonne, éc. pub. 

Lussac-les-Eglises (Hte-Vienne)-; — Pendenier Yvette, 

22, r. Ville-Pépin, St-Servan (I.-et-V.); — Archer Marie, éc. 

priv.. Genelard (S.-et-Loire); — Estrèmé Germaine, èc. 

priv., Tomeins (L.-et-Garonne); — Drouhard Marie, 6, r. 

de l'E.-Normale, (Nevers) ; — Cade Suzanne, éc. priv., rue 

Ampère (Nantes); — Jabert Thérèse, route de Nyons, Valreas 

(Vaucluse); — Canot Madeleine, 12, r Petit, Paris 19' ; 

— Braun Marie, éc. Daval, Cornimont (Vosges) ; — Cambon 

Marguerite, éc. priv., Villereal (L.-et-Garonne); — 

Bâtisse Emilienne, Inst. J. d'Arc, Paray-lè-Monial (S.-et- 

Loire);— Henry Raymonde, éc. pub., pl. de l'Eglise, Pontl'Evêque; 

— Orhant Marie, Inst. N.-Dame, La Ferté-Macé 

(.Orne); — Goussel Yvonne, Rimaucourt (Hte-Ma'rne): — 

1 

Mentions honorables. 

NOTES EN 


' QUESTIONS ECRIT. FRANÇAISE CALCUL DESSIN TOTAL 

56 15 30 35 9 125 

52 ' 16 r 27 53 17 123 

32 15 30 51 17 125 

55 - 14 54 32 12 125 

32 13 33 52 15 l i a 

56 -16 29 52 12 12» 

54 12 si 56 12 125 

50 14 29 32 Mr. 125 

54 .10 35 54 W 125 

32 15 33' 58 1

472 MANUEL GENERAL DE L'INSTRUCTION PRIMAIRE 

4, rue Ollivier (Rodeillac) Toulon-— Labat Marthe, éc. Boucquetot Marie-Louise, éc. rue Valais, Brionne (Eure); 

priv., Hagetmau (Landes) ; — De Rudeval Marguerite, éc. — Limousis Cécile, éc. pub. Tourouzelle (Aude); — Pape- 

priv., 10, r. d. Roi Albert, Nantes ; — Leray Marthe, 2, pas hin Simone, éc. pub. Chateauneuf, Val St-Donat (Bassessage 

Niolles, Paris; — Garrigues Eva, éc. priv., Loupian flpes); — Cabaret Rose, Le Catelet (Aisne); — Agnès 

(Hérault) ; — Clément Mr.deleine, éc N.-Dame, Dol-de-Bre- Lucie, éc. priv., rueFarnaud-Milly, (Seine-et-Oise); — Pitagne 

: — Racot Georgette, éc. priv., Arboux (Nièvre); — chonat Odette, éc. N.-Dame,Mehun-sur-Yèvre (Cher); — 

Villaz Marguerite, éc. priv., rue Danton, Voiron (Isère); — Lefebvre Odette, 28 rue de Clj,irlebourg, La-Garenne-Co 

Borel Marie-Thérèse, 85, rue du Commerce, Nevers ; — lombes; — Pons Marie-Jeanne, 12, rue Georges-Blanc, 

•Courrèges Elisabeth, éc. priv., Villaudrant (Gironde); — Arles; — Faucher Marguerite, Sennecey-le-Grand (S.-et- 

•Cotteret Léontine, éc. pub., Choisy-en-Brie (S.-et-M.). Loire); — Desnoue Andrée, inst., 17, rue Sèche, Loudun 

Avec il7 points : 

(Vienne); — Rivière Yvonne, éc. Jeanne-d'Arc. St-Berthevin 

(Mayenne); — Vaillant Julienne, éc. pub. Château-Re 

Toy-Riont Gilberte, 114, ch. du Roucas-Blanc, Marseille; nault (Indre-et-Loire);— Lozet Yvonne, 20, rue d'Orléans, 

— Prolongeau Denise, éc. priv., Guitres (Gironde) ; — Fai- Neuilly-sur-Seine; — Charon Madeleine, Cheptainville 

zand Germaine, r. Descartes, Châtellerault (Vienne) ; — (Seine-et-Oise); — Bordas Berthe, éc. N.-Dame, Nontron 

Bernagout Marguerite, éc. pub., Quincy (Cher) ; — Guinot (Dordogne);— Chandès Marie, èc. Ste-Anne, Migennes- 

Jeanne, pl. du-marché. Chaudesaigues (Cantal) ; — Lafage Laroche (Yonne); — Tessier Anne-Marie, école priv., 

Elise, éc. pub., St-Cirice (Lot) ; — Dubail Louise, éc. pub;, Preuilly-sur-Claise (Indre-et-Loire). 

Orange (Vaucluse) ; — Nozière Yvonne, Marmanhac (Cantal);— 

ArescThérèse, pens. Trappes (S.-et-O.); — Heloury 

Avec m points : 

Marie, éc. priv., Plouèzec (C.-du-N.) ; — Broihanne Made Feuillet Marie-Louise, éc. pub. Paudy (Indre) ;.— Barleine, 

72, r. Foncillon, Royan; — Morelle Jeanne, éc. pub., rière Jeanne, éc. publ. La-Tour-de-France iPyr.-Or.); — 

Domart-en-Ponthieu (Somme). 

Houel Suzanne, éc. pub. La-Ferté-Bernard (Sarthe); — 


Fichet Lucienne, éc. pub. Breuillet (Seine-et-Oise); — Lemonnyer 

Madeleine, èc. pub. Cerences (Manche); — Dou- 

Vuillermoz Angèle, èc. public., Oyonnax (Ain); — Silve merc Madeleine, éc. Ste-Marie, Montignac-sur-Vézère, 

Denise, éc. pub., Fours, par Barcelonnette(B.-A.) ; —Cour- (Dordogne); — Siret Suzy, 3, rue de la Republique, Mazadil 

Mireille, éc. Delessert, 97, r. de Reuilly, Pans 12*; — met (Tarn); — Chauvelot, M. L. 2. place Paulin, Agen; — 

Thomain Marie, èc. priv., 17,rue Pte.-Saint-Jean, Orléans; 

— St-Martin Annette, éc. priv., Boulogne-s.-Gesse (Ilte- 

André Georgette, 20 ru,e du Charolais, Paris XII 

Garonne); — Viala Charlotte, r. Lapeyrade, Graulhet 

(Tarn); — Fournier Marcelle, Vierzon-Forges (Cher); — 

Fontaine Jeanne, Montjoie, p. St-Pois (Manche) ; —Dessales 

Mélanie, éc, pub., Domerat (Allier); — Nain Marthe, 

Ancy-le-Franc (Yonne) ; — Michel Claire, éc. pub., Lyon-la- 

Forêt (Eure). 

Avec n5 points : 

Michel Annette, Inst, Jean-Hamon, 10, av. du Maine, 

Paris; — Richardeau Yvette, é.c, pub., r. de la Boure, 

Saintes ; — Firnain Georgette, éc. priv., 'Bessèges (Gard); 

— Granaidier Suzanne, éc. pub., Diarville (M.-et-Moselle) 

— Fraisse Adrienne, éc. pub., Vigneville (Aude) ; — Charton 

Suzanne, Damas, p. Dompaire (Vosges) ; — RouvièreM.- 

Rose, éc. pub., Pré-Commun, p. La Canourgue(Lozère); — 

Bessière Anna, éc. pub., r. Hôtel-Dieu, Nîmes ; — Cravet 

Anne, 43, r. de Brest Rerentrec'h Lorient ; — Dury Marthe, 

pens. N.-Dame-des-Anges. Bourbon-Lancy (S.-et-Loire) ; 

— - Augeron Berthe, éc. pub-, Genouilli (Char-Inf.); — 

Werts Suzanne, 61, rue du Centre, Pantin: — Berthier 

Julienne, éc. pub., Sauilly, par Diges (Yonne); — Theurot 

Geneviève, éc. pub., Marsannay-la-Côte (Côte-d'Or); — 

Boutinard Marguerite, avenue Lesson, Rochefort-s.-Mer. 

Avec 114 points 

Marcérou Annette, 7 bis, route de Narbonne, Carcassonne; 

— Marembert Antoinette, éc. pub., Courçais 

(Allier); — Peuffier Léa, Asile St-Jeanne, Enghien les- 

Bains; — Collot Madeleine, pens. Mlle Besse, Longjumeau 

(S.-et-O.) ; — Sommereuse Antoinette, éc. pub.. Viïlefranche-s.-Saône 

(Rhône) ; — Engrand Simone, éc. pub., Isbergues, 

Pont-à-Balques (P.-de-C.) ; — Pineau Marguerite, éc. 

riv., Bourbon (Allier); — Cron Charlotte, éc. ae Choisy, 

Paramé (I.-et-V.) ; —Geminel Andrée, Seurre (Côte-d'Or); 

— Chaumontel Suzanne, pens. Richard, Neuilly-Plaisance, 

(S.-et-O.) ; — Rougé Justine, éc. pub., Sougraigne (Aude); 

— Barde A.-M., 18, r. Lamothe, Libourne (Gironde) ; — Boutonnet 

Marthe, éc. St-Cécile, Laval; — Labroquère Marie- 

Louise, éc. pub., Créteil (Seine) ; — Le Bayon Anne, inst. 

N.-Dame, Hennebont (Morbihan); — Sauguet Madeleine, 

éc. Sévigné, Flers-de-l'Orne. 

Avec n3 points : 

Reramaux Jeanne, inst. Ste-Geneviève, Foix; —Collinot 

Denée, éc. priv., aux Montils (Loir-et-Cher); — Achimoff 

Marthe, inst., 26, rue Boileau, Paris; — Veziât Lèontineéc. 

pub. Laurens (Hérault); — Portai Elise, 26 rue Emile, 

Jamais, Nîmes; — Moussu Madeleine, éc. mixte, Choiseul 

(Hte-Marne); — Josse Suzanne, éc. pub., Beaumont-le- 

Roger (Eure); — Bordes Hélène, éc. priv., 6, pl. du Busca, 

Toulouse; — Salel Marthe, éc. pub. Aubenas (Ardèche); 

— Laplanche Marthe, 22, av. Detouche, Villemomble, 

(Seine);— Lagresle Jeanne, éc. pub., Cours (Rhône); — 

Doucet Marguerite, éc. pub., Molières-sur-Cèze (Gard); — 

Caipentier Paule, éc. pub. Rouvrqy.-Abbeville (Somme); 

— Corre Anne, éc. N.-D.-de-Bonne-Garde, Nantes; — Goubier 

Georgette, 162, rue du Tondu, Bordeaux; — Godet 

Marie-Louise, éc. pub. PaL'ney (Jura); — Vidal Henriette, 

•inst., 347, rue Lecourbe, Paris (i5). 

1 ; — Fon- 1 

taine Joséphine, éc. pub. Artemare (Ain); — Barband Marcelle, 

éc. pub. Champrongier,parSellières (Jura); — Soulignac 

Marcelle, pensionnat r. de l'Hôtel-de-Ville, Gourdon 

(Lot); — Barthélémy Gabrielle, rue Neuve, Saint-Just-sur- 

Loire (Loire); — Brissaud Juliette, Meyrié, par Bourgoin 

(Isère). 


Pillot Alice, 106 boul. St-Julien, Petit-Quevilly (S.-Inf.); 

— Fillatreau Marie-Louise, éc. pubi Croix-Comtesse, (Charente-Inf.); 

— Hamel Geneviève, villa Ste-Marie, Pomponne, 

par Lagny (Seine-et-Oise); — Moroni Mathilde, 

22, Cours Gambetta, Montpellier; •—Feugas Fèlicie, éc. 

pub., Arbus-par-Lescar (Basses-Pyrénées); — Raynaud 

Emilia. éc. pub. de Champigny (Centre); — Guilfermin 

Anne-Marie, 62, rue St-Michel, Lyon; — Touchet Renée, 

éc. pub. Brissac (Maine-et-Loire); — Fpsse Anna éc. pub. 

Boisset-les-Montrond (Loire) ; — Rambèrt Marthe, éc. priv. 

St-Vallier (Drôme);—Vanderstichel Adrienne,26, rue delà 

Mairie Vanves (Seine); — Poret Clotilde, Antingues, près 

Ardres (Pas-de-Calais) ; — Escudier Denège, 12, rue de Venise, 

Castres ; — Bécam Lucienne, éc. priv., Chandai (Orne); 

— Ducret Fernande, La-Saisse, Pont-de-Poitte (Jura). 


Sanitas Odette, Roulhat-bas, par-Aydat (Puy-de-Dôme); 

— Pesquet Edith, éc. pub. Longueil (Seine-Inf.); — Cas 

Marcelle, èc. pub., Gueures (Seine-Inf.); — Biais Irène, éc. 

priv. Le Cormenier (Deux-Sèvres): —Carré, Marguerite, 

éc. pub. Touillon (Côte-d'Or); — Courtois Lucie, éc. pub. 

St-Renan (Finistère); — Mûre Marcelle, éc. pub.. St-Oiers- 

Champagne (Charente-Inf.) ; —Mouleyre Lucienne, 21 boul. 

St-Jean, Le Puy; — Rapin Savine, éc. priv., Fayl-Billot 

(Haute-Marne);— MaucourantMadeleine, èc. mixte, Tilloy- 

Bellay (Marne); — Seris Jeanne, éc. St-Pierre, Tonneins 

(Lot-et-G.);— Durand Maria, éc. priv., Angerville (Seineet-Oise); 

— Maitrier Suzanne, éc. pub., Velles (Haute- 

Marne); — Jérôme Hélène, classes Ste-Marie, Rouen. 


Moreau Jeanne, g,rue J. J.-Rousseau, Bordeaux; — Viateur, 

éc. priv., St-Pierre-de-Chignac (Dordogne); — Person 

Fédora, éc. mixte Ognes, par Fleurs (Marne); — André 

Marie, éc. pub., Savigny (Rhône); — De Mellanville Suzanne, 

éc. de Pass)', par Veron (Yonne); — Godin Marie- 

Louise, éc. priv., 3 rue des Anges, Lyon; — Folly Marie; 

éc. Jeanne-d-Arc, Couhé (Vienne); — Pommery Clotilde, 

éc. pub. La Cregut, Tremouille (Cantali; — De Saint-Pol 

Jeanine, Bourbonne-les-Bair.s (Haute-Marne); — Richa r d 

Gilberte, inst., 80, rue de Reuilly, Paris XII"; — Durand 

Marguerite, éc. Jeanne-d'Arc, Chateaurenard (Loiret); — 

Biarnois Odette, éc. pub., rueFournerat,3, Dijon; — Martin 

Gabrielle, éc. pub. Monestier-Port-Dieu (Corrèze) ; — 

Heraud Emma, éc. pub. Egliseneuve (Puy-de-Dôme); — 

Périer Suzanne, La Châtre (Indre); — Pâtissiez Jeanne, 

èc. pub. de Morance (Rhône) ; — Vidal Madeleine, éc. pub., 

CoursanfAude); — Sengez Adrienne, éc. pub. Audruicq 

(Pas-de-Calais); — I-Ianoteau Yvonne, La Côte-St-Andre 

(Isère):—Castagnet Henriette, éc. pub., St-André-de-Seignant 

(Landes); — Therme Marie, éc. pub. Langogne 

(Lozère); — Nicolas Lucienne, éc. pub., Montlfgnon (S-et 

Oise); — Holzem Marcelle, 10, rue Laferrière, Paris IX". 


Souriau Marie, éc. mixte, Fontaine-en-Beauce (Loir-et- 

-Cher); — Beuve Marie-Louise, éc. Jeanne-d'Arc, Sainte- 

Adresse (Seine-Inf.); — Dumien Juliette, éc. Ste-Anne, 

Marseille; —Debelgarric Marcelle, éc. pub. Verfeil (llte- 

•Garonne); — Gauder Marcelle, 11, av. Allard, Nantes; — | 

. Avec 107 points : 

Picard Marcelle, èc. priv., St-Laurent-de-Mure (Isère); — 

Le Palud Renée, éc. pub. St-Georges, Ile-d'Oléron (Charente-Inf.); 

— Mhun Madeleine, éc. mixte, Faverolles 

(Marne); —de Partouneaux Nicole, Guethary (Basses-Py

PARTIE SCOLAIRE 473 

rénées); — Delassalle Louise, institutions jeunes filles, 

ÎOuistreham (Cavados); — Faucanié Albertine, Montech 

Tarn-et-Garonne) ; — Rolland Jeanne, éc. libre, Grignan 

Drôme); — Lafosse Marie, Montmerret (Orne); — Fairegè 

(Julia), St-Montant (Ardèche); — Lapierre Jeanne, 

éc., rue Grataloup, Lyon; — Fournier Camille, éc. des 

Beguillères (Charente); — Edern Jeanne, éc. pub. Plouvorn 

(Finistère). 


Chasagne Mary, éc. pub. Saint-Pierre-d'Eyrand (Dor 

dogne); — Chamboredon Esthre, Jonquiéres (Gard; — 

Descoubes Clorinthe, Ma.cheprime (Gironde) ; — Chetal 

Juliette, éc. priv., Chauffailles (Saône-et-Loire): — Guillieï 

Germaine, éc. mixte Montcabon (Sarthe) ; — Desvignes 

Marie, Pontanevaux (Saône-et-Loire); — Bouviolle Suzanne, 

Boulogne-sur-Mer; — Coulon Marcelle, éc. pub., 

Evette (Belfort); — Renier Marie, inst. Jeanne-d'Arc, Bou- 

ie(Constantine); — Ressouche Olga, éc. pub. Rougesfarets 

(Lozère) ; — Jausserand Hélène, éc. de la Doire-de- 

Séranon (Alpes-Maritimes); — Tourel Gabrielle, Dellys; — 

Caron Suzanne, éc. pub., Barbison (Seine-et-Marne); — 

Triquet Félicité, éc. priv., Landivy (Mayenne) ; — Artair 

Chalotte, éc. pub. Vesseaux (Ardèche); — lilliette Marcelle, 

41, av. Laumière. Paris XIX 1 ; — Verdun Marcelle, 

Beaufort-sur-Doron (Savoie); — Coulon Elise, éc. pub., 

St-Etienne-les-Orgues (Basses-Alpes) ; — Chareyre Madeleine, 

90 Grand'-rue, Pierrelatte (Drôme); — Lavault Renée 

Argenton : par-Moulins (Allier); — Guizard Elisabeth, Recoules-Previncq 

(Aveyron). 

Avec io5 points : 

Guenot Jeanne, éc. priv., Chissey-en-Morvan (Saône-et- 

Loire); — Cléau Françoise, éc. Ste-Anne, Nantes; — ConversanMarie,LaKsiba-el-Mediouni 

(Tunisie); — Lavergne 

Joséphine, éc. pub. St-Claud (Charente); — Façon Yvonne, 

éc. priv., Chitenay (Loir-et-Cher); — Etienne Charlotte, éc. 

pub. Arengosse (Landes); — Petel Marie, éc. d'Arfeuilles 

(Allier); — Guy Renée, éc. pub., La Bouexière (Ille-et- 

Vilaine); — Bidault Madeleine, éc. priv. Arrou (Eure-et- 

Loir);— Brouquil Antoinette, 2i3, cours Gambetta, Talence 

(Gironde); — Jouen Louise, éc. 21,(rue du Collège, Bernay 

(Eure); — LagrouMarguerite, éc. priv. Gonnevïïle (Seine- 

Inf.); — Bedos Rosine, Montlaur (Aude); — Barbé Maria, 

Casties-Labrande (Haute-Gar.) ; Vachemont Emilie, La 

Forest-par-Landernau ; — Bertin Jeanne, 10, rue de Trion, 

Lyon-St-Just; — Noyer Yvonne, éc. pub., Cuissai-par- 

Demigny (Orne) ; —Pailliez Lucie, éc. mixte, Rozières (Hte- 

Marne); — Ramond Marie-Louise, éc. pub. Saillagol (Tarnet-Garonne); 

— Georgette Blanche, éc. priv., Serquigny 

(Eure); — Florian-J ulfian Odette, 12, cours Carnot, Salon 

Châteaui(Deux-Sèvres) ; — Pionchon Elisabeth, 

1, rue des Templiers, Lyon; — Barichard Marie, Neuvv, 

1 

(Bouches-du-Rhône); — Cayrat Elisa, Monteil (Ardèche); 

— Philippe Célestine, éc. annexe, Rennes ; — Ducros Odette, 

4, rue Lazare-Carnot, Cette; — Mamer Liliane, 22, rue des 

Vieillards, Boulogne-sur-Mer; — Rame Marthe, éc. priv.,: 

Suze-la-Rousse (Drôme). 

Les( autres concurrents ont un total de points inférieur 

h 105. 

N" 

D'ORDRE NOMS ET PRÉNOMS 

1 Mauclère René, 

2 Vasserot André, 

5 Protte André, 

4 Hennebico Georges 

5 Quentin Bernard, 

6 Fendlerjean, 

7 Pélissier Marcel, 

S Auriscoste Louis, 

9 Py Clément, 

10 Perrier Edmond, 

10 Desplas Raymond, 

12 Mudry Jules, 

15 Selles Michel, 

15 Darguesse Jules, 

15 Deloustal Léo, 

15 Chamont Jean, 

15 Ladeuille André, 

la Pénisson André, 

19 Bruleyjean, 

19 David Robert, 

19 Larroche Marc, 

19 Dulfau Bernard, 

19 Beauville Roger, 

19 Chopin Fernand, 

19 Débiton Henri, 

19 Thirel André, 

II. GARÇONS 

PRIX 

ADRESSES El 

éc. de Charly-s. Marne (Aisne). 

éc. de Buxières-les-Mines (Allier). 

éc. rue Ilennequin, Troyes. 

éc.dè Boissy-l'Aillerie (S.-et-O.)/ 

éc. dAmbrières (Mayenne). 

éc. du Château, Le Blanc (Indre), 

éc. de Maringues (Puy-de-Dôme). 

E. P. S. de Luzech (Lot). 

éc. de Belfahy (Hte-Saône). 

èc. des Récollets, Saumur(Mne-et-L-). 

éc. de Tardets (Basses-Pyrénées.). 

éc. de Brienne (Aube). 

éc. de St-Laurent-de-Cerdant (P.-O.). 

éc.des M.Hersin-Coupigny(P.-de-C.). 

éc. de Verteuil (Lot-et-Gai 1 .). 

éc. de Condat (Puy-de-Dôme). 

éc. de Remy (Oise). 

inst. Laval, Castillon (Gironde). 

éc. de St Julien (Aube). 

éc. de Clairoix (Oise). 

éc. dAudenge (Gironde). 

éc. de Mono'uilhem (Gers). 

éc. de CapaenauGare (Aveyron). 

éc. r. Poterie, Montereau (S.-et-M.). 

éc. libre, Ambert (Puy-de-Dôme), 

ec. Bellefonds, Rouen (Seine-Inf.). 

VIENNENT ENSUITE : 


Labadie Alix. éc. Moulin-Neuf (Ariège); — Barnaud 

André, éc. El-Affroun (Alger) ; — Lepoittevin Louis, éc. 

St-Nicolas, St-James (Manche); — Carme Robert, orph.des 

Restaurateurs, Sannois (S.-et-O.); — Mandon Maurice éc. 

•de Lamastre (Ardèche) ; — Grapin Georges, éc. de Cuiseaux 

(Saône-et-Loire). 


Le Provost Emile, éc. libre, Granville (Manche); — Perîiey 

René, éc. St-Germain-les-Lure (Hte-Saône).; — Prudent 

Albert, éc. St-Hippolyte (Doubs) ;— Haupin Jean, r. Paris, 

72, Gisors (Eure); — Eymery Marcel, éc. de la MottedAveillons 

(Isère). 


Garapin Jean.éc, rue Joyeuse, Bourges (Cher); — Jeanne 

Maurice, éc. Courteranges (Aube); — Rousseau Paul, éc. 

de CoUlonges-s.-Autize ;Deux-Sévres). 

Avec 119 points: 

Barthel Georges, éc. rue Charles-Chefson, Bois-Colombes 

(Seine) : —Moulièrcs Paut, éc. libre, Roujan (Hérault);— 

Morge Edouard, éc. de Balarue-le-Vieux (Hérault). 

• Avec riô points : 

Marty Raymond, éc. libre, Villefranche-de-Rouergue 

(Aveyron) ; — Philibert Auguste, éc. Picarreau (Jura) ; — 

Radigue Robert, r, de Tolbiac, Paris ; — Rivère Jean. éc. 

St-Jude, Toulouse; — Uthurrisq Bernard, éc. St-Palais 

(Basses-Pyrénées); — lîontemps Georges, éc. de Liginiac 

(Corrèze). 

Mentions honorables ; 

NOTES EN 


QUESTIONS ECRIT. FRANÇAISE CALCUL DESSIN TOTAL 

08 15 . 56 57 18 144 

n6 14 57 58 1S 145 

• 55 18 36 55 17 141 

38 U 36 56 16 140 

51 16 54 57 18 159 

52 l'b' 56 37 16 157 

5-2 U 56 56 17 135 

50 •10 54 56 16 152 

5i 14 54 52 17 151 

5U 15 51 52 15 150 

06 14 52 54 14 150 

oA 14 50 34 17 129 

11 • 34 35 16 128 

1 14 32 54 16 12S 

. 30 14 36 54 12 126 

• 26 14 35 56 15 126 

28 14 34 ' 54 16 126 

20 16 28 36 16 •126 

3Î 12 32 33 14 125 

51 •12 52 34 16 125 

52 15 26 58 16 125 

51 U 54 50 16 125 

52 14 27 56 16 125 

28 15 50 56 18 125 

28 16 34 31 16 125 

50 14 56 29 16 125 

Avec 112 points •• 

Blanchard Daniel, êc. libre, Marmande; — Mabilat Camille, 

éc. St-Joseph, Châteauneuf (Cher); — Nadaud Jean, 

inst. Coulanges, Vincennes; — Riant Maurice, éc. Nogeiitle-Roi 

(Eure-et-Loir) ;—Thoprieux Jean, éc. Rueii (S.-et-O.). 

Avec 109 points : . 

Lauge Roger, éc. Gambetta, Bègles (Gironde); — Paineau 

Olivier, éc. boul. delà Fraternité, Nantes; — Piètre 

ment Henri, éc. r. de la Grille, Romilly (Aube) ; - Pourreau 

René, éc. libre, Queyrac (Gironde). 


Boudier Michel,éc. Luneray S.-Inf.) ;— Courvoisier Lucien, 

èc. Fontenay-s.-Bois (Seine);— Manet Gaston, éc. 

Souday (Loir-et-Cher). 


Caubisens Joseph, éc. Lannes (Basses-Py r.) ;—Clarysse 

Raymond, èc. Fénelon, Charenton (Seine) ; — Glasson 

Léon, au Russey (Doubs); — Coudet Henri, Beaujeu 

(Rhône). Avec 106 points : 

Cazanave Aimé, éc. libre, Vic-Bigorre (Hte-Pvr.); — 

Chartier.Louis, inst. St-Charles, Thouars (Deux-Sèvres); 

— Istasse Albert, Issy-les-Moulineaux (Seine) ; — Rebuffel 

Clément, éc. de la Doire, Séranon (Alpes-Mmes). 

Avec io5 points : 

Aubron Léon, éc. La Sicaudais (Loire-Inf.) — Chalaye 

Gaston, r. Emilio-Castelar, Paris ; — Durand Jean, éc. Conteville 

(Somme); — Clémencelle Gaston, èc. de Pothiéres 

(Côte-d'Or). . 

Les autres concurrents ont moins de 106 points.

474 MANUEL GENERAL DE L'INSTRUCTION PRIMAIRE 

D'ORDRE NOMS ET PRÉNOMS 

1 Montjotin Colette, 

2 . Darvey Germaine, 

2 Lizé Lucie, 

2 Roux Fernande, 

2 Mousson Renée. 

2 jehannot Gisèle, 

2 Pilet M.-Therèse, 

8 Aubard Berthe, 

8 Adaire Eugénie, 

8 Maillard M.-Louise, 

8 Antheaume Marg , 

8 Nadon Jeanne, 

8 ' Bernard Solange, 

8 Crétin Valentine, 

8 Sigûenza Marina, 

8 Verthuy Irène, 

8 Labarre Marg., 

8 Nicolas Raymonde, 

8 Chazal Denise, 

8 Olivier Justine, 

8 Thomas Léa, 

8 Brugière Renée, 

23 Gauvain Marg., 

23 Labadie Marie, 

23 Servalins Jenny, 

25 Chret Cécile, 

25 Hettinger Andrée, 

23 Longueval Sim., 

25 Blcslel Renée, 

25 Caspar Elisabeth, 

25 Latrasse Marie, 

25 Jacobs Raymonde, 

25 ÉyraudM.-Thérèse, 

25 Lacroix Marie, 

23 Maillefaud Germ., 

25 Pauquet Simone, 

23 Gué

102 

102 

102 

Teissier Emiienne, 

Ausscnac I .éocadie, 

Chazal Rachel 

Deleule Marcelle, 

Pa.:hot Germaine, 

Pelletier Anita, 

Lt comte Marg., 

Vinav Blanche, 

Lefay Marie, 

Sipra Thérése, 

Mespoulhès Elise, 

Rescanières Odet., 

Jules M.-Louise, 

Gendre Fernande, 

Quette Andréa, 

Lafosse Geneviève, 

Amice Fernande, 

Roman Jeanne, 

Martial Andrée, 

Lettré Raymonde, 

Sondas: Clémence, 

Roviglione Delph., 

Cohu Germaine, 

Ponlain Albertine; 

Dupuy Marie. 

Bohéé Germaine, 

Buisson Odette, 

Collin Marie, 

Bonnet M;cthilde, 

Rapin Germaine, 

Rochand Juliette, 

Sourgnies Julienne, 

•102 Jamet Nelly, 

Capart Louise, 

Lannerey Simone, 

DelbouscasEsther, 

102 Poyez Simone, 

102 

102 

102' 

102 

102 

102 

102 

102 

102 

102 

102 

102 

102 

102 

102 

102 

.102. 

-102 

102 

102 

•lté 

102 

102 

"102 

1(12 

102 

102 

104 

102 

Galabert Félicie, 

Hougron Berthe, 

Paint Elise 

Bédex Alexandrine, 

Hennequin A.-M., 

Bourzat Henriette, 

Prunier Andrée, • 

Claverie Marg., 

Bergeret Jeanne, 

Robert Maria, 

Chevalier Eglan., 

Boulestin Made., 

Gauchet Aymée, 

Lecomte Gabrielle, 

Marnat Yvonne,' 

Tnoutevre Marie, 

Rollet Gabrielle, 

Montel Jeanne, 

Fraisse Claire, 

Guyon Iluguette, 

Roussel Jeanne, 

Sanson M.-Louise, 

Crochet Yvonne, 

Alexandre Adrien., 

Mamias Elisabeth, 

Fonlupt Céline, 

Bubatton Madel., 

Delhommeaux Ma., 

Pérony Jeanne, 


éc. deSt-Privat-de-Vallongued.oz.)., 

rue de la Brèchlia, Loupian (Hérault 

Orphelinat de la Ville de Paris, 

Enghien (S.-et-Oise). 

éc. de l J ontarlier (Doubs). 

éc. de Heuilley (Meurthe-et-Moselle), 

éc. de Vassieux-Dormans (Marne), 

éc. de la Snussaye, par Elbeuf. 

éc. d. St-Mamans, p. Marches (Di ôme). 

éc. libre de Beaujeu (Rhône), 

éc. d'Artigues, par Le Pla (Ariège). 

éc. de l.aroquebrou (Cantal). 

éc. de Moulin-Neuf (Ariège). 

éc. de Valréas (Vaucluse). 

route St-Jean. Saintes (Chte-Inf.) 

85, rue Piat. Paris 20'. 

éc. de Sérécourt, par Lamarche 

(Vosges). 

éc. de St-Ouen-des-Alleux (I.-et-V.). 

villa Be.iu-Séjour, Pt-St-Esprit(Gnrd). 

Inst. de St-Pierre-s. Dives(Calvados). 

15, r. de Grammont, Rouen (S.-Inf.j. 

éc. de Cheptainville, p. Marolles-en- 

Hu'epoix (S.-et-Oise); 

Inst. Legouvé.av. Sénéquier.Toulon. 

éc. du Pless>s-Macé,parLaMembrolle 

(M.-et-Loire). 

l,r. de Châieaugiron, Rennes, 

éc. libre de Lnvernose (HterGar.). 

éc. du Désert, p. Beny-Bocage (Cal.). 

125, r. d Bordeaux, Périgueux (Dor.). 

éc. de l.ignéville. p. Vittel'Vosges), 

éc. d'Ailhon, par Aubenas (Ardèchc). 

éc. de Langon (Gironde). 

éc. de Ste-Foy l'Argentière (Rhône), 

éc. de Vignevieille, par Monthoumet 

(Aude). 

éc. de Courceroy. par Nogent-sur- 

Seine(Aube). 

éc. d'Orignv-en-Thièrache (Aisne). 

5 bis, rue du Général-Biaise, Paris 11". 

éc. de Savignac, par Monflanquin 

(L.-et-Garonne). 

éc. de -Villers-Brun, par Aubigny-en- 

Artois (P.-de-Calais). 

éc. de Bez (Gard). 

éc. de St-Aubin-des-Châteaux (L.- 

Inf.). 

éc. de Mèze (Hérault). 

éc. libre de Plouav (Morbihan). 

19, r. de Bonsecours, Nancy. 

rue A. Boussac, Layrac (L.-et-G.). 

éc. de St-Pierre-de-Rumilly (Hte-S.). 

éc. de Bonnefonl (Htes-Pvrénées). 

éc. d'Orègue, par Saint-Palais (B.- 

Pyrénées). 

éc. libre de Paulhaguet (H.-Loire), 

éc. de Sn'iers-Champagne, par St- 

Maigrin (Ch.-Inf.). 

éc. de Marthon (Charente). 

éc. de Guillerval, par SacIas(S.-et-0.). 

éc. de Vaux-le-Moncelot (Hte-Saône). 

Inst. 15, rue d'Aube, Bar-sur-Aube 

éc. libre de Chomelix (Hte-Loire). 

51 bis. rue de la- Poterie, Lacroix-St- 

Ouen (Oise). 

éc. de Quincié (Rhône). 

éc. libre de Livron (Drôme). 

èc. d'Astillé, par Cossé le-Vivien 

(Mayenne). 

22,av Detouche, Villemomble(Seine), 

éc. d'Amayé-s.-Orne (Calvados), 

éc. de Louverey, par Mourmelon-le- 

Petil (Marne). 

éc. d'Agon (Manche). 

éc. de Lnsigny (Aube). 

éc. rue Marengo, Roanne (Loire), 

rue Neuve, Tenay(Ain). 

Inst. Jeanne-dArc, Chateau-Gontier 

éc. du Mas, Firminy (Loire), 

VIENNENT ENSUITE: 

Avec un total de 34 points 

Peillard Aimée, éc. libre de Suze-la-Rousse (Drôme); — 

Bordier Jeanne, èc. de Tizac de Galgon (Gironde); — 

Michelier Lucienne, éc. de Vedéne (Vaucluse); — Masseau 

Jeanne, éc. de Bourcefranc (Ch.-Inf.); — Hudelot Andrée, 


NOTES EN 


: QUESTIONS ÉCRIT. FRANÇAISB CALCUL DBSSIN TOT**. 

8' 7 7 7 ' .7 56 

' 8 8 6 8 6 56 

7 8' '8 7 6 56 

8 8 S 8 G 56 

7 8 7 8 fi ' 56 

7 7 7 8 7 56, 

8 9 6 7 6 56 

7 6 8- 8 7 56 

8 8 6- 7 7 56 

8 7 6 8 7 56 

7 8 6 8 r ' 56 

8 7 8 7 6 56 

7 • 6 7 8 8 56 

7 7 7 8 7 56 

8 7 8 8 5 56 

. 7 7 8 8 6 56 

8 8 6 7 7 36 

8 8 6 8 6 56 

8 7 6 8 7 56 

7 9 6 8 3 56 

7 • 8 6 8 7 36 

8 7 6 8 7 36 

8 7. 8 6 7 36 

9 . 7 7 7 6 56 

8 8 7 . 8 5 36 

8 8 6 8 6 36 

7 . 7 ' 7 8 7 36 

r - 8 6 8 7 56 

9 r 7 8 6 56 

8 8 6 8 6 56 

7 8 6 7 7 35 

7 S 7 \ 7. 6 35 

8 7 7 7 6 35 

8 7 b 8 6 35 

7 8 6 7 7 35 

7 ' 1 6 8 7 55 

8 7 

*1 l .7 6 35 

S 6 7 8 e 55 

8 7 6" 7 7 35 

8 6 7 8 6 35 

9 6 7 7 6 35 

8, 6 8 7 6 55 . 

S 6 6 8 7 35 » 

8 6 7 S 6 55 

8 6 6 8 7 . 35 

8 7 6 7 • 55 

7 6 7- , 8 7 • . 

8 5 ' 7 8 7 35 

55 

8 7 7 •7,- " - 6 55 

8 6 6 S 7 55 

7- e 8 7 7 55 

' .7 6 S 5 0 33 

8 8 - 6 7 • 6 33 

7 7 6 8 7 55 

7 8 : • 7 7 6 35 

6 6 S 8 7 55 

7 6 7- S 35 

8 7 7 7 6 55 

8 6 6 8 7 35 

7 7 ' 6 8 7 35 

7 7 7 8 6 5o> 

7 S 6 7 7 35 

9 7 6 7 6 35 - 

8 ' 6 7 7 7 35 

7 7 6 8 7 55 

7 7 6 - 8 7 55 

éc. de Beaujeu (Hte-Saône); — Salagnac Louise, 15, ch. du 

Monteiller, Neuville-s-Saône (Rhône); — Besseteaux Geneviève, 

instit., 26 rue de la Mairie, Vanves (Seine); — Cogné 

Julia, à Bretagne (Indre); — Potier Marguerite, èc. de 

Pouillenoy (C. d'Or); — Mangeard Suzanne, 52, r. Raspail, 

Bois-Colombes (Seine): — Bassigny Suzanne, à 

Moussy (Marne); — Dedieu Henriette, éc. oe Champnieri

*76 MANUEL GÉNÉRAL DE L'INSTRUCTION PRIMAIRE 

(Charente); — Soubiran Madeleine, éc. de Louchats, par 

Hostens (Gironde); —Bohan Henriette, éc. de Chateaulin 

(Finistère);—LenouardSuzanne,21 r. Soleillet,Paris (20.); 

— Ridel Cécile, éc. de Longueil, par Ouville-la-Rivière 

(S.-Inf.); — Doret Yvonne, éc. d Annet-s-Marne (S.-et. 

Marne); — Athiel M.-Thérèse, Vingrau (Pyr. Orient.; — 

Fuzellier Elisa, éc. de St.-Jean Froidmentel (L.-et-Cher); — 

Charpentier Thérèse, Auvers St.-Georges, par Etréchy 

(S.-et-Oise): — Youclas Alice, éc. de Peyrilles, par St.-Germain 

du Bel Air (Lot); — Ducourau Suzanne, éc. av. des 

Pyrénées, Biarritz (Basses-Pyr.) ; — Gravallon Alice, éc. 

dé Tournus (S.-et-Loire); — Huetter M.-Jeanne, 7 r. des 

Etuves, Montpellier (Hérault): — Lafont Simone, M cours 

de l'Intendance, Bordeaux (Gironde); — Dumousseaud 

Andrée, éc. de Poursac, par Verteuil(Charente) ; — Sarthou 

Marie, Verdets, par; Oloron Ste.-Marie (Ch.-Inf.);—Germain 

Etiennette, instit. 32 r. Lord Kitchener, Le Havre 

(S.-Inf.); — Caunière Renée, instit. N.-Dame, Villeréal 

(L.-et-Gar.); — Liabot Noélie, éc. de St.-Cyprien (Dordogne); 

— Despagne Raymonde, éc. de Moidrey, Pontorson 

(Manche); — Larquey Madeleine, éc. de Lamarthe, 

rés St.-Sauveur, par Cocumont (L.-et-Gar.); — Terrier 

g 

>enise, éc. de St.-Sernin du Bois, par le Creusot (S.-et-L); 

— Charuel France, à Odet-Quimper (Finistère); — Sapède 

Elise, éc. de Molières-s-Cèze (Gard); — Colpin Rose, r. de 

Péruel, à Busigny (Nord); — Doussot Juliettte, éc. libre, 

Fayl-Billot (Hte-Slarne); — Delien Juliette, éc. de Brissac 

(M.-et-L.); — Torlet Eisa, éc. des Bordes (Loiret); — 

Granet Léonie. éc. de Beauvais,par Landouge (Hte-Vienne) ; 

— Fort Marcelle, éc. annexe de Clermont-Ferrand (P. de 

Dôme); — Ségueia Yvonne, éc. de Vernajoul, par Foix 

(Ariège); — Molinée M.-Louise, éc. de Dégagnazès, par 

St.rGermain du Bel Air (Lot); — Remérand Georgette, éc. 

de Romagne (Vienne); — Merlet Suzanne, éc. de Petite 

Fontaine, par La Chapelle-sous-Rougemont (Ht-Rhin): — 

Leboiteux Fernande, éc. de Lanneray, par Châteaudun 

(E.-et-Loir); — Balin Jeanne, éc. de Chaillé-sousles Ormeaux, 

par Nesmy (Vendée); — Feugère Germaine, éc. de 

St.-Alban-les-Eaux (Loire); — Mézy Elise, éc. de Pompadour, 

par Arnac-PomDadour (Corrèze) ; — Bouthors Paule, 

éc. de Puchevillers, par Toutencourt (Somme); — Mondon 

Blanche, éc. de Chalençon (Ardèche); — Diet Marguerite, 

éc. d'Epeigné-s-Dême (I.-et-L.); — Ternois Simone, 38 r. 

de Paris, Houilles (S.-et-O.);— Dantigny Raymonde, éc. 

de Villenauxe-la-Gde (Aube); — Geerts Raymonde, éc. r. 

Montgolfier, Bordeaux (Gironde); — Boussereau Alice, r. 

Marguerite, à Surgères (Ch.-Inf.); — Lambert Renée,10. r. 

de là Pompe, Paris 16"; — LambingAugusta,éc.d'Ourches, 

par St.-Germain (Meuse) ; — Dannel Marie; éc. des Tribunaux, 

St.-Omér (Pas de Calais); — Mallard Lucienne, 

pension Ste-Marthe, 124 route de Flandre, Pantin (Seine); 

— Renaud Germaine, éc. r. St.-André, Nantes (L.-Iuf.); — 

Barthe Héléna, éc. de Vazay, par Saintes (Ch.-Inf.) ; — 

Point Suzette, éc. de Magenta, par Epernay (Marne) ; — 

Jouandin Renée, éc. de Paudy (Indre) ; — Marois Madeleine, 

éc. de St.-Aubin-Ie-Cauf, par St.-Nicolas d'Aliermont 

(S.-Inf.); — Lafougère Louise, Rare de Layrac(L.-et-Gar.); 

— Glaud Augustine, éc. de Neuvy, par Moulins (Allier) ; — 

Hériot Madeleine, éc. libre d'Essoyes(Aube);—Bouvrande 

Juliette, éc. de Marolles, par La Ferté Milon (Aisne) ; — 

Carville Thérèse,-éc. de Verson (Calvados); — Bellanges 

Marcelle, éc. libre d'Aubevoye-Gaillon (Eure); — Erny 

Alice.éc.des Neuves-Granges,par Rioz (Hte-Saône); — Bladier 

Elisabeth, Clairefontaine,parFourchambault(Nièvre); 

Laurent Joseph, Châtenois, territoire de Belfort (Ht-Rhin); 

Laboulard Célestine, éc. de Larcan (Hte-Gar.); — Lignon 

Valentine, éc. de Villesèque-des-Corbières (Aude); — 

Dénoyer Marguerite, 12 r. Germain Pilon, Paris 18"; — 

Gidel Jeanne, éc. de Lamure-s-Azergues (Rhône); — 

Rolandey Françoise. 62 r. St.-Michel, Lyon (Rhône): — 

Gautherot Marguerite, éc. de Villiers-s-Praslin, par Villemorien 

(Aube); — Delasalle Denise, éc. de Claye-Souilly 

(S.-et-Marnc); — Andersen Hélène, instit., 38, r. de.St.- 

Mandé, à St.-Maurice (Seine); — Larrède Odette, éc. 

d'Yvrac (Gironde); — Courtel Madeleine, 124, r. François 

de Sourdis Bordeaux (Gironde); — Gratieux M.-Louise, 

éc. St.-Augustin, Sézanne (Marne); — Guillard Marcelle, 

éc. de Pontcharra-s-Turdine (Rhône); — Lhermitte Armande, 

Beauvilliers, par Voves (E.-et-Loir); — Déguine 

Madeleine, Ec. de Boussac (Creuse); — Meynia Madeleine, 

éc. du Breuil-s-Couze (Puy-de-Dôme); — Viard 

Isabelle, éc. de Pulligny (Meurthe-et-Moselle); — Costet 

Germaine, éc. de Cronce, par Pinols (Hte-Loire); — Maupertuis 

M.-Louise, Ec. de Bily (Allier); — Guienier M. 

Thérèse, 1 r. des Halles, Bois-Colombes (Seine); — 

Hausard Lucie, éc. d'Aeonac (Dord.); — Montv Marthe, 

éc. libre de Tallende (P. de Dôme); — Lefèvre Georgette! 

éc d'Annappes, par Etreux (Aisne): — Colin Madeleine, 

aux Lesses, Fresse-s-Moselle (Vosges): — Ribeyrol Marcelle, 

éc. de l'Epinette, Libourne (Gironde); — Corre 

Jeanne, Hte-Ile, Rezé, Nantes (L.(Inf.); — Dufour Madeleine, 

éc. de Chatillon d'Azergues (Rhône) ; — Denis* M. 

Thérèse, 7 r. Biaise, Nantes (L.-Inf.l: — Rioult Edith, 

instit. 14 r. d'Ignauval, Ste.-Adresse (S.-Inf.); — Mignot 

Geneviève, éc. de Coursan, par Ervy-le-Chatel (Aube); — 

Rousselot Jeanne, éc. de Trannes, par Jessains (Aube); 

— Guillot Marie, 113 Grande Rue, Sèvres (S.-et-Oise); — 

Chabernaud Germaine, éc. des Seguins de Ruelle, par 

Ruelle-s-Touvres (Charente); — Cailliez Marie, éc. d'Audruicq 

(P.-de-Calais); — Walch Henriette, éc. de Cadillacs-Garonne 

(Gironde); — Brunaud Marcelle, éc. libre de 

Vertejil (Ch.); — Bourgeois Suzanne, éc. de Nuits-s-Armançon 

(Yonne); — Henry Louise, éc. de Mannois (Hte- 

Marne) ; — Theuriet Suzanne, éc. de Marsannay-la-Côte 

(C. d'Or); — Jacquemin Marguerite, instit. r. de la Pierre 

Nantaise, Nantes (L -Inf.); — Mercier Gilberte, r. des 

Franc-Bourgeois, Soisy-s-Etiolles (S.-et-O.) ; — Le Bronec 

Madeleine, 3 r. des Teinturiers, Dreux (E.-et-Loir) ; Gordon 

Judith, 64 rue de la Glacière, Paris 14";— Guitteau 

Germaine, au Couloumey, Lesparre (Gironde); — Bérillon 

Noêla, éc. Champagne au Mont d'Or (Rhône); — Oursin 

Madeleine, éc. de Grandville (Manche); — Lemarié M. 

Thérèse, èc. de Choisy Paramé (I.-et-Vilaine): — Régnier 

Renée, éc. de Tilques, par St.-Orner (P. de Calais); — 

Décourbey Madeleine, 12 r. de l'Etuve, Montbèliard 

(Doubs); — Bouffard Eva, Ec. de Miribelle-les-Echelles 

(Isère) ; — Martin Madeleine, éc. de St.-Claud (Charente); 

— Reveyrand Eugénie, Grenay, par Heyrieux (Isère); — 

Etienne Madeleine, Hagetmau (Landes); — Guillemaut 

Lucienne, éc. de Poncey-Givry, par l'Orbize (S.-et-Loire); 

— Poulet Yvonne, éc. de Montarlot-les-Rioz (Hte-Saône); 

— Chàtelier A.-Marie, éc. de la Montagne (L.-Inf.); — 

Bonnet Elise, Dagiieux, par Montluel (Ain); — Marchienne 

Marie, éc. de St.-Georges d'OIéron, Ile d'Oléron (Ch.- 

Inf.);— Fillioux Madeleine, éc. de l'IIay (Seine);—Falvard 

Madeleine, éc. de Maringues (P.-de-Dôme); — Gavaggio 

Madeleine, éc. libre, av. des Vallées, Thonon-les-bains 

(Hte-Savoie) ; — Cliirat Madeleine, instit. Jeanne d'Arc, 

Tarare (Rhône); — Siret Yvonne, 3 r. de la République, 

Mazamet (Tarn); — Rose Geneviève, 28 rue des Forts, 

Fécamp (S.-Inf.); — Faucheux Suzanne, éc. privée, à 

Chitenay (L.-et-Cher); — Escribe Juliette, éc. de N.-Dame 

des Vignes, parGraulhet (Tarn);—Martin Denise, Cugand 

(Vendée); — Le Bras Madeleine, éc. St.-Médard-s-Ille, par 

St.-Germain-s-IlIe (I.-et-Vil.); — Toy-Riont, Sabine, 114 ch. 

du Roucas blanc, Marseille (B.-du-Rhône); — Braillard 

Gilberte, éc. de Maîche (Doubs); — Amen Claire, éc. N.- 

Dame, St-Antonin (T.-et-Gar.) ; — Gauthier Germaine, éc. 

E 

de Chevagnes (Allier) : — Hermann Marie, à Sablayrolles, 

ar Brassàc (Tarn); — Thivel Marie, instit. Jeanne d'Arc, 

t-Léger-s-Dheune (S.-et-LJ; — Pellé Gabrielle, 4 r. 

Gerbier, Paris 11"; —Tondu Suzanne, éc. d'Epinay-s-Seine 

(Seine); — Leclère Marguerite, éc. de Choisy-en-Brie 

(S.-et-Marne) ; — Guérin Andrée, éc. r. Vallon de Villeneuve, 

Boissy-st.-Léger (S.-et-O.); — Vareille Roberte, 

32 r. Malnoue, Champs-s-Marne (S.-et-Marne) ; — Dardare 

Louise, 25 b. Garibaldi, Montrouge (Seine); — Egré Madeleine, 

Pougues-les-Eaux (Nièvre); — Lalauze Louise, 

Recoules-Prévinquier (Aveyron) ; — Bouzereau'Louise, La 

Roche-Pot. par Nolay (C.-d'Or) : — Davy Elise, éc. N.- 

Dame, La Ferté-Macé (Orne) ; — Gervaise Francine, cours 

Maintenon, r. du Centre 90, La Garenne-Colombes 

(Seine.) ; — Thomas Lucienne, éc. Les Mazures (Ardennes). 

Avec 33 •points : 

Brunet Suzanne, iS, r. Mazagran, Laval (Mayenne); — 

Roquillet Thérèse, éc d'AmilIv, p. Chartres (E.-et-Loir); 

— Labarthe Simone, éc. de fat-Sauveur de Meilhan, par 

Cocumont (L.-et-Gar.); — Peyrard M.-Louise, éc. libre de 

St-Vallier (Drôme) ; — Rault Léonie, éc. de Bernières-s.-M. 

(Calvados); — Marchand Alice, Domérat (Allier); — Boutonnet 

M.-Louise, Arcanhac, p. Laffouillade (Aveyron); — 

Périè Berthe, Cuzanne, p. Martel (Lot); —Richard Jeanne, 

La Sauzée, par Dampierre-s.-Boutonne (Char.-Inf.); — 

Ressort Francine, Mablv, p. Roanne (Loire); — Larrabure 

Marie, éc. de Bidarray (B.-Pyr.); — Besse Hélena, éc. de 

Baignes-Ste-Radegonde (Char.) : — Bouffartigue Lucette, 

6, pl. du Busca. Toulouse (Hte-Gar.); — Bessot Germaine, 

éc. libre de Chazeuil, p. Varennes-s.-Allier (Allier); — 

Philis Aline, éc. libre de Langeac (Hte-Loire); — Dury 

Marthe, pension N.-Dame, Bourbon-Lancy (S.-et-Loire); 

— LaguerreMadeleine, 26, r. Trianon, Sotteville-les-Rouen 

(S.-Inf.); — Vautherot Emilie, Hérimoncourt (Doubs); — 

Pouly Louise, èc. du Sacré-Cœur, à St-Maurice-les-Châteauneuf 

(S.-tt-Loire); — Perry Isabelle, éc. de Laqueuille 

(P.-de-Dôme); — Seillol Elia, éc. de La Capelle Biron (L.et-Gar.); 

— Martinou Jeanne, éc. de Savigny (Rhône); — 

Rolland Paule, 3, r. des Anges, Lyon (Rhône); — Perrin 

Sylvie, éc. de Quérigut (Ariège); — DeprezMarie, Pagney 

(Jura) ; — Barault Rolande, éc. de Villebéon, par Lorrez-le- 

Êocage (S.-et-Marne); — Albinet Marguerite, La Lande, 

Carmaux (Tarn); — Marché Pauline, éc. de La Chapelle- 

St-Martin (L.-et-Cher); — Mouilleseaux Marguerite, éc. r. 

Paul-Bert, Roanne (Loire); — Mallay Fernande, La Tour- 

Bourbon-l'Archambault (Allier); — Aujard M.-Louise, La 

Tronche (Isère); — Senez Suzanne, éc. d'Aiserey (C.-d'Or); 

— Ayot Noëlie, éc. de l'Hospitalet, par Cahors (Lot); — 

Donna M.-Rose, La Crusaz-Morzine (Hte-Savoie); — Soreau 

Adrienne, 72, rue Michel-Ange, Paris; — Desprès 

Adrienne, Perriers.p. Beaumont-le-Roger (Eure); — Camy 

Nanett€, 36, pl. St-Espiit, Bayonne (B.-Pyrénèes); — Sou-

teyrand Yvonne, institut. Jeanne-d'Arc, Ambert (P.-de- 

Dôme); — Marty Madeleine, Pachins, par Montbazens 

(Aveyron); — Filhol Raymonde, éc. de Fumel (L.-et-Gar.); 

— Poncelet Renée, éc. de Montlignon (S.-et-Oise); — Leblanc 

Hélène, 22, rue de la Pompe, Villejuif (Seine); — 

Besnard Madeleine, 26, bd Botton, Royan (Char.-Inf.ij — 

Loret Gilberte, éc. de Thimert, par Chàteauneuf-en-Thimerais 

(E.-et-Loir) ; — Capdepon Marguerite, 44 bis Gde- 

Rue, Sèvres (S.-et-Oise); — Bonhomme Lucienne, inst. rue 

de l'Eglise, Rémalard (Orne) ; — Audas Marguerite, éc. de 

Burcy (S.-et-Marne); — Charles Rose, éc. de Malbuisson, 

par La Mure (Isère); — Follereau Suzanne, 25, rue de Réinigny, 

Nevers (Nièvre); — Durand Yvonne, 18, pl. Gardon, 

Mâcon (S.-et-Loire); — Chuzeville Claudia, éc. libre de 

Chauffailles (S.-et-Loire); — Bonnesœur Paulette, éc. du 

Clos St-Libert, p. St-Symphorien (I.-et-Loire); — Tortu 

Camille, Villebernier, p. Saumur (M.-et-Loire); — Derinck 

Albertine.éc.d'Isbergues, p. Pont-à-Balques (P.-de-Calais); 

Faure Marcelle, à Terrasson, Chambon-Fcugerolles 

(Loire); — Lorioi Madeleine, éc. de Cherré, près LaFerté- 

Bernard (Sarthe); — Courbin Simone, éc. du Barp (Gironde); 

— Laruas Marie, Bar-le-Régulier, par Manlay (C.d'Or).; 

— Gayet Marguerite, La Garenne, par Epinac-les- 

Mines (S.-et-Loire)! — Deaufin Simone, éc. dOuarvilie 

(E.-et-Loir); — Pauvrasseau M.-Louise, à Beaumont-la- 

Tricherie (Vienne); — Delplace Marie, Pré-Commun, La 

-Canourgue (Lozère); — Peccaud Mathilde, éc. de Morbier 

YJura); — Menchi Marie-R., 88, r. Perrin-Solliers, Marseille 

(B.-du-Rhône); — Maltête. Anna, éc. de La Bouexière 

(I.-et-Vilaine) ; — Creugny Marcelle, éc. de Vornay, par 

Dun-s.-Auron (Cher); — Lagardetle Alice, rue Loison 

•Chastelus, Villefranche-s.-Saône (Rhône); — Pla Alice, 80, 

rue de Reuilly, Paris, 12* ; — Opert Madelon, éc. St-Joseph, 

à St-Roman, par Cabbé-Roquebrune (Alpes-Marit.J; — 

Delhaye Henriette, 71 bis, Gde-Rue-Sainte-Clair, Lyon 

(Rhône); — Tétenoire Denise, éc. de Quincy; — Gaillard 

Germaine, Rouilhat-Bas, par Aydat (P.-de-Calais); — 

Bocage M.-Louise, 21, rue du Collège, Bernay (Eure); 

— Perfetti Pauline, éc. de St-Montant (Les Baraques) (Ardèche);— 

Crozet Marthe, éc. de La Chapelle-de-Guinchay, 

par Pontanevaux (S.-et-Loire) ; — Lamugue Madeleine, 

éc. de Gan (Las' Hies) (B.-Pyr.) ; — Poncet Jeanne, éc. libre 

St-Laurent-de-Chamousset (Rhône); — Berger Thérèse, 

èc. de Morzine (Hte-Savoie) ; — Baucilhon Helène, éc. de 

Molezon, parle Pompidou (Isère); — Loas Marie, éc. libre 

de Plouézec (C.-du-N.); — Delfroc Marguerite, éc. de 

Marmanhac(Cantal); —Bardillon Germaine, èc.de St-Vrain 

(S.-et-O.); — de Lugny Marie, 16, r. de l'Ec. Normale, Nevers 

(Nièvre); — Douhairet Armande, éc. de Joncy (S.-et- 

Loire);— Le Gai Marguerite, éc. libre de Kernascléden 

(Morbihan); — Clerc Georgettç, éc. de St-Etienne en Bresse 

(S.-et-Loire); —Anger Victoria, éc. deSaulx-les-Chartreux 

(S.-et-O.); — Augagneur Marie, éc. libre de Gibles (S.-et- 

Loire); — Besson Gabrielle, Saint-Maurice-en-Danjoire 

(Rhône); — Nicolas Marie, éc. de Sarrigné, par Corné 

(M.-et-Loire) ; — Esliénaze Renée, 52, av. Parmentier, Paris, 

il'; — Guyonnet Charlôtte, institut, de Luzy-Dufeillant, 

Beaurepaire-d'Isère (Isère); — Bagnouls Georgette, 

Estoher, par Espira (Pyr.-Or.); — Massot Aimée, éc. rue 

Danton, Voiron (Isère) ; — Spiess Pierrette, r. du 14 Juillet, 

-35, Rochel'ort-s.-M. (Charente-Inf.); — Sourbet Suzanne, 

éc. libre d'Houeillés (L.-et-Gar.); — Blivet Germaine, éc. 

de Musigny, par Arnay (C.-d'Or) ; — Gillet Emila, éc. de 

Générac, par St-Savin-de-Blaye (Gironde); — France M. 

Thérèse, éc. libre de Lasvaux, par Les Quatre-Routes 

(Lot); — Morel Florence, éc. de Guignen (I.-et-Vilaine); — 

Billette Gilberte, éc. d'Arrembécourt, p. Chavanges (Aube); 

— Vernerie Lucie, éc. de Lemuy (Jura); — Forter Denise, 

35, r. St-Quentin, Le Havre (S.-Inf.j; — Melon Madeleine, 

70, r. Mondenard, Bordeaux (Gironde) ; — Micholet Hélène, 

éc. de Monnetay, par St-Julien-s.-Suran (Jura); — Tinet 

Françoise, av. de la Gare, Puiseaux(Loiret); — Marseault 

Marie, à Fresnes, par Contres (L.-et-Cher); — Chapot M. 

Louise; éc. libre, 10, ch. des Mures, Point-du-Jour, Lyon 

(Rhône); — Salmon Lucie, éc. d'Orsay, par Theillay (L.-et- 

Cher); — Boulc'h, A.-Màrie, éc. libre de Plouvorn (Finistère); 

— Duvergé Suzanne, éc. de Ruch (Gironde); — 

Pinard Hélène, éc. d'Esores (I.-et-L.); — Tassin Jeanne, 

éc. libre de La Chapelle du Noyer, par Chateaudun (E.-et- 

Loiî-); — Beaujard Jeanne, éc. des Bernardines, St-Aignan 

(L.-et-Cher) ; — Courbon M.-Louise, éc. d'Aspères, par 

Sommières (Gard); — Bertine Rose, éc. de Courmemin 

(L.-et-Cher); — Boidin Eugénie, éc. de Maxey-s.-Vaise 

(Meuse); — Delpouys A.-Marie, Maison Ste-Ursule, Montauban 

(T.-et-Gar.); — Marchand Paulette, éc. de Tilloy, 

Bellav, par Auve (Marne) ; — Fleury Geneviève, 10 bis, av. 

du Maine, Paris, i5*; — Bouc Yvette, S, rue du Treuil- 

Bègles (Gironde); — Hainneville Simone, institut, de 

Forges-les-Eaux(S.-I.); — Froom Paulette, 4, av.du Génèral- 

Détrie, Paris; — Chevalot Hélène, éc. de Bétoncourt-s.- 

Mance (Hteâône) ; — Germain Yvonne, éc., 10, rue François-Dauphin, 

Lyon (Rhône); — Duc Henriette, éc. de 

Chabeuil (Drôme) ; — Le Bouêdec Marie, éc. libre, 76, rue 

du Port, Lorient (Morbihan); — Souchon Germaine, i.rue 

Berthelot, Issy-les-Moulineaux (Seine) ; — Olivièro Andrée, 

èc. de Pléneuf (C.-du-N.) ; — Lemaire Simone, 20, route de 


Mons, St-Saulve (Nord); — Ville Alexine, éc. Ste-Anne, rue 

Thieux, Marseille (B.-du-Rh.); — Jalmain Théodine, Passy, 

ar Veron (Yonne) ; — Picard M.-Thérèse, éc. privée Notre- 

Ê>ame, Sancerre (Cher) ; — Lherm Juliette, Laval-de-Cêre, 

par Cahus (Lot); —Nomblot Madeleine, 24, r. Audigeois, 

Vitry-s.-Seine (Seine); — Got Gabrielle, éc. d'Aussillon, par 

Mazamet (Tarn);—Gauthier Angéle, èc. libre de St-Laurent-de-Mûre 

(Isère) ; — Masson Odette, éc. de St-Mardsen-Othe 

(Aube); — Coiffard Henriette, éc. de Ste-Souline, 

par Brossac (Charente); — Françoise Germaine, éc. de 

Tracy-Bocage, par Villers-Bocage (Calvados); — Bertrand 

Marguerite, éc. pl. de l'Eglise, Pont-l'Evêque(Calvados);— 

Krantz Ariette, inst., 26, r. Boileau, Paris, i6*; —Denis Marie, 

éc. de Biville-la-Baignarde, par Auffay (S.-Inf.) ; — Reuge 

Sylvaine, éc. de Letrade, p. Mérinchal (Creuse); — Pirinski 

Marie, éc. J.-d'Arc, Villandraut (Gironde);— Rio Marie, éc. 

de St-Aaron, par Lamballe (C.-du-Nord); — Lepage Paulette, 

68, r. Lachassaigne, Bordeaux (Gironde) ; — Bernheim 

Colette, 27, rue St-Philippe, Neuilly-s.-Seine (Seine); — 

Gougain Madeleine, éc. libre de Bellegarde (Ain); — Guillaume 

Jeanne, éc. libre de Thurins (Rhône); — Meunier 

Yvonne, éc. du'S. C., 6, r. Nationale, Cholet (M.-et-Loire); 

— Yardin Bernadette, éc. de Baroville, par Bar-s.-Aube 

(Aube); — Reix Elise, La Chapelle, Montabourlet, par La 

Tour-Blanche (Dordogne);— Séguy Idçlie, éc. de Paulhiac, 

par Montflanquin (L.-et-Gar.); — Laval Rachel, éc. de 

Pouilhac, par Gourdon (Lot); — Laroche Céline, éc. de La 

Rebeyrolle, commune de Sardent (Creuse) ; — Combe Marguerite, 

5, rue du Pont-de-Lodi, Paris, 6*; — Lafon Marie, 

èc. libre de Védaillac, par Limogne (Lot) ; — Brégère Marie, 

4g, rue de la Boétie, Bergerac (Dordogne); — Faucher Clémentine, 

Ste-Radegonde-des-Noyers, à Chaille-les-Marais 

(Vendée); — Joubert Gabrielle, éc. libre d'Obterre, par 

Azay-le-Ferron (Indre) ; — Courrèges Denise, cours Maintenon, 

Bordeaux (Gironde). — Desvignes Madeleine, Pontanevaux 

(S.-et-Loire) ; — Thuiller Rosa, éc. de Demptézieu 

de St-Savin (Isère) ; — Marguet Marguerite, éc. de la Côte 

St-Àndré (Isère) ; — Vacquier Germaine, éc. de Montignacs.-Vézère 

(Dordogne);— Desmaisons Simone, éc. annexe 

d'Auxerre (Yonne); — Grappin Berthe, éc. d"Ancy-le- 

Franc (Yonne): — Charbonier Jeanne, éc. de Lefète, par 

Arnav-le-Duc (C.-d'Or); — Calippe Marie, Herniin, par 

Houdain (Pas-de-Calais); — Mourice Gilberte, éc. de Santeuil-s.-Marines 

(S.-et-O.); — Kern Angélique, éc. de Quèven, 

par Gestel (Morbihan) ; — Thévenin Jeanne, éc. de St- 

Rambert-en-Bugey (Ain); — Mallet Marthe, éc. rue de la 

Loire, Firminy (Loire); — Neveu Marie, éc. de St-Jean-de- 

Liversay (Ch.-Inf.) ; — Radiguet Marcelle, éc. de Mutrécy, 

par St-Laurent-de-Condel (Calvados) ; — Sentis Germaine, 

pension St-Laurent, Fleurance (Gers); — Gondran Laurentine, 

éc. de filles d'Orange (Vauciuse) ; — Cornilleau Jeanne, 

46, r. de Strasbourg, Nantes (L.-Inf.) ; — Ménager Ambroisine, 

1, av. du Grand-Chêne, Parc-St-Maur (Seine); — Delattre 

Renée, 48, av. de la Bourdonnais, Paris ; — Maubourguet 

Madeleine, éc. de Lacquy, par-Villeneuve-de-Marsan 

(Landes); — Bourdage Hermance, éc. de Montmoreau 

(Charente) ; —Barthes Joséphine, éc.deTourouzelle (Aude); 

— Borel Denise, éc. de St-Etienne-les-Orgues (B.-Alpes) ; 

,— Raylaud Fanny, éc. de La Doire-de-Séranon (A.-Marit.); 

— Chaptal Anna, éc. de Trêves (Gard); — Pluchard Stéphanie, 

éc. de Redessan (Gard); — Pêcherie Rachel, gendarmerie, 

route de Narbonne, Carcassonne (Aude); — 

Jaffard Suzanne, 3i, bd Carnot, Alger (Algérie); — Fay 

Nellv, éc. de Beauvert (Ardèche) ; — Fillod Gabrielle, éc. de 

Vosbles, p. Arinthod (Jura); — Moussu Suzanne, èc. de 

Choiseul, p. Merrey (Hte-Marne); — Cornette Yvonne, éc. 

de Marcillac-Lanville (Char.) ; — Thevenet Juliette, 25, rue 

Sébastopol, Le Creusot (S.-et-Loire); — Flouret Marguerite, 

institut. Sacré-Cœur, St-Péray (Ardèche); — Greffe 

Simone, institut. Ste-Anne, Migennes-Laroche (Yonne); — 

LépinetAntoinette, scierie,St-Julien tlnci.insuf.); — Feray 

M.-Louise, 18, r. St-Amand, Elbeuf (S.-Inf.); — Husson 

Clémence, éc. de Diarville (M.-et-Moselle). 

Avec 32 points • 

Joannon Antonine, éc. de St-André-la-Côte,par Mornant 

(Rhône);— Barbanchon Madeleine, Pension de Luneray 

(S.-Inf.); — Bonnemayso Rose, éc. de Prades (Pyr.-Or.); 

— Peysson Marguerite, éc. de St-Nazaire-en-Royans 

(Drôme); — Pillot Denise, éc. de Picarreau, par Mirebel 

(Jura); — Tarbouriech Eveline, èc. de St-Julien-la-Lavinière, 

par La Lavinière (Hérault) ; — Anciant Andrée, éc. 

de Moussières (Jura); — Marc Geneviève, St-Chéron 

(S.-et-O.); — BeckerMarguerite, éc.libre de St-Bonnet-dejoux 

(Saône-et-Loire); — Larbot Marie-Louise, éc. J.-d'Arc, 

Tamaris-Alais (Gard): — Sudour Laurence, éc. de Vesseaux 

(Ardèche); — Léonard Madeleine, éc. Ste-Marie, 

Montignac-sur-Vézère (Dordogne); — Barbot Emilie, éc. 

de Mondevert, par Erbrèe (I.-et-Vilaine); — Vanberkel 

Andrée, éc. de Le Blanc (Ville Basse) (Indre); — Bureau 

Lucïenne, éc. deBrazey-en-Morvan, par Liernais(C.-d'Or); 

— Legros Céline, éc. de St-Avit-de-Gardes (Creuse); — 

Vilet Olga, éc. de Noyelles-Godault (P.-de-Calais); — 

Chemin Edmée, Institution Tonneux, Mantes-sur-Seine 

(S.-et-O-); — Dumènil Geneviève, Therouldeville, par 

Valmont (S.-Inf.); — Barde Henriette, 16, rue Frère, Bor


deaux (Gironde) ; — Villard Germaine, Bayenghem-les- 

Semnehem, pir Lumbres (P.-de-C.): — Daix Lucienne, 

Institution, 4, 'joj.e\ard de l'Ouest, Le Raincy (S-et-O.); 

— Koisserie Mathilde, Pension de St-Pierre de Chignac 

(Oordogne); — Tugdual Alarie, éc. libre Kérity, Paimpol 

(C.-du-Nord); — Fourrier Bernadette, éc. de Mafil, Carhaix 

(C.-du-Nord); — Tournent Renée, Grande Rue, Melle 

(Deux-Sèvres); — Largfillier Yvonne, Institution J.-d'Arc, à 

Malesherbes (Loiret); — Balacé Cécile, éc. de Lucy-le 

Bois (Yonne); — Maugrion C .mille, éc.de Malicornay, par 

Pommiers (Indre);— Pierre Yvonne, éc. de La Couardesur-Mer. 

Ue-de-Ré (Ch.-lnf.); — Auclair Jeanne, ;, r. D'- 

Duplant, Belleville-sur-Saône (Rhône); — Pinard Gaetane, 

58, r. de la Montagne. Nantes (L -Inf.); — Watrin Magdeleine, 

éc. de Tourailles, par Gondrecourt (Meuse); — Duc 

Hélène, éc. d'Etauliers (Gironde); — Bernard Solange, éc. 

de Tauves (Puy-de-Dôme); — Dubourgues Yvonne, I3I, r. 

de Flandre, Paris XIX - ;— Travert Renée, 3o, rue d'Epernay, 

Sézanne (Marne) ; — Aelbroucq Antoinette, éc. d'Irai, 

par Randonnai (Oine); — Prost Jeanne, éc. libre de Génelard 

(S.-et-Loire); —deMeurvilleThérèse, CoursSte-Odile, 

St-Jean-de-Luz (Basses-Pyrénées); — Rousseau Henriette, 

éc. de Payré, par Couhé ( Vienne); — Casiraghi Charlotte, 

éc. av. du Château, Romilly-sur-Seine (Aube); — Cassard 

Renée, 128, r. de Paris, Nantes (L.-Inf.); — Lapirot 

Georgette, éc. de Besset, par Valprivas (Haute-Loire);— 

Rique M. Louise, Sl-Alexandre, parPont-St-Esprit (Gard); 

— Torillec Yvette, 70. r de la République, Brest(Finist,ère); 

— Albérit Yvonne, éc. libre de Lormont (Gironde); — 

Robert Alice, 25, rue du Poteau, Paris, XVIII"; — Barrié 

Albertine, Labastide-Couloumat, par Belpech (Audel; — 

Roche Madeleine, éc. de Barbizon (S.-et-.viarne); — Mordelet 

Anna, 22, Grande Rue. Louveciennes (S.-et-Otse)-; — 

Mouton Camille, 35, boul. de la République, Agen (L.-et- 

Garonne): — Capelle Odette, éc. libre de Mauro (Cantal); 

— Forest Léontine, éc. libre de Cerdon (Ain); — Rivière 

Simone, enregistrement, Chantonnay (Vendée) ; — Rivière 

Simone, éc. d'Evry-les-Chàteaux, p. Brie-Comte-Robert 

(S.-et-M.); — Gaillet Simone, éc. de Poinpogne, p Houcillès 

(L.-et-G.); — Bès Odette, 1, avenue de St-Pons, 

Castres (Tarni; — Ferrât Claire, éc. de Fuveau (B.-du- 

Rhône); — Guyot Germaine, Villegruis, par Villiers-Saint- 

Genrges (S.-et-Marne); — Gontier Anne, éc. annexe de 

Rennes (I.-et-Vilaine); — Girard Henriette, èc. de La 

Chapelle Vendômoise (L.-et-Cher); — Giry Charlotte, éc. 

d'Aleu (Ariège); — Charmault Marie, éc. de Rigné, par 

Thouars (Deux-Sèvres); — Paillet Yvette, éc. libre de 

Pugnac (Girondel ; — Grandjean E.,9. avenue de la Station, 

Neuilly-Plaisance (S.-et-O.) ; — Péquet Berthe, éc. r. 

de la Banque, Bouro- (Ain); — Morel Suzanne, 6, pl. Jean- 

Desveaux, Nevers (Nièvre) ; — Feuillette Elisabeth, éc. de 

Coutures, par Verteillac (Dordogue); — Mas (Fernande, 

Institution de Trappes (S.-et-O ); — St-Bertrand Marcelle, 

26, rue Bourbaki, Talence (Gironde); - du Ban arin Anne, 

162, rue Consolât, Marseille (B.-du-Rh.); — Navet Sylvane, 

éc. de Preuilly, par Mehun-s.-Yèvre (Cher); — Poujade 

Emilienne, av. Gambetta, Gourdon (Lot); — Rang 

Germaine, Pension Saint-Charles, Vienne (Isère); — Roux 

Agnès, éc. de Marsac (Tarn); — Erbéja Georgette, à 

Bougie (Constantine); — Dupuis Yvonne, éc. St-Félix, 

La Jalabertie (Haute-Gar.); — Peycelon Berthe, éc. privée 

Boisset-les-Monrond (Loire); — Morvan Marie, èc de 

Maël-Carhaix (C.-du-Nord); — Vallée Hélène, éc. libre, 

Arrou (E.-et-Loir): — Troly Andrée, Vitreux, par Pagney 

(Jura); — Juliard Irène, Murât, rar Penne (L.-et-Gar.); — 

Flandrin Yvonne. 4, rue Montgolfier, Voiron (Isère); — 

Cellerier Marie, Léo Poux (Creuseï; — Toussel Marcelle, 

éc. de St-Marcel-de-Careiret, par Bagnols-s.-Cèze (Gard); 

— Mure Marie, r. Neuve, St-Just-s.-Loire (Loire); — Ququ 

Marcelle, éc. ue Vaudeville, pjr Haroué (M.-et-Moselle); 

K" 

D'OKDKE 

1 

II 

.11 

11 

NOMS ET TBKNOMS 

Geoffroy André, 

Pautrot (ieorges, 

Briand Pierre, 

Carré Pierre, 

Charlet André, 

Richer Robert, 

Courly Marcel, 

Hagard Lucien, 

Lézé Antoine, 

Moreau Jean, 

Burret Robert, 

Dagréou Charles, 

Douchez Jean, 

— Quertier Lucie, éc. de Bosville, par Cany (S.-Inf.); — 

Joumier Louise,!!», av. de l'Alliance, Pantin (Seine); — 

Dèzert Simonç, éc. libre, rue Farnault, Mily (S.-et-O.); — 

Clavier Jeanne, éc. du Simon. La Ferlé sous-Jouarre 

(Seine-et-Marne); — Meynaud Ra> monde, ec. de Noves 

(B.-du-Rhône); — Lelong M.ideleiné, 2i, r. de la Chaîne, 

Rouen (S.rlnt.): — Lèculliez Andrée, éc. de Croix- 

Comtesse, par Loulay (Ch.-lnf.); — Tilly Renée, éc. 

J.-d'Arc, St-Berthevin (Mayenne); — Bordes Simone, éc. 

libre, 9, r. V.-IIugo, Rochefort-s.-M'-r (Char.-lnf.); — 

Robin Geneviève, éc. de Balloy, par Brav-s Seine (S.-et- 

A1 irne); - Soudy Germaine, 174, Grande-Rue de la Guillotière, 

Lyon (Rhône); — Duthel Verrine, éc de St-Juliens.-Bibost, 

p. Bessenay (Rhône); — Drouelle Madeleine, 70, 

r. de l'Hôpital, Blaye (Gironde); — DuchateauMarguerite, 

Vierzon- orges (Cher): — Stévens Francine, éc. de la 

Rue St-Pierre, par La Neuville-en-Hez (Oise); — Mialon 

Adrienne, éc. r. du Général-Lafayelte, Le Puy (H -L.); 

— Herquet Henriette, 75 bis, route de Darnétal, Rouen 

(S.-Inf.); — Morin Agnès.éc.deCuissai.p. Damigny(Orne); 

— Hospital Genveviève, éc. d'Oyonnax (Ain); — Brun 

Félicie, éc. de l'Iscle(Vergons)(Basses-Alpes); — Garnache 

Amélie, éc.de Popian. p. St-Bauzille-de la-Sylve (Hérault); 

— Guillaumin Renée, éc. de Colombiers, p. St-Amand 

(Cher;; — Pirabeau Jeanne, éc. libre d'Arveyres(Gironde) ; 

— Méchain Pamela, éc. des Béguilliùres, p. St-Sulpice-de- 

Cognac (Charente);— Hostain Elisa, à Larcenac, com. 

de St-Vincent iIIte-Lnire); — Delolme M.-Rose, éc. de 

Burzet (Ardèche); — Vernaz Olga, Beau ort-s.-Doron, La 

Frasse (Savoie) ; — JalTuel Andrée, éc. annexe de Mende 

(Corjèze) ; — Marsac Augustine, éc. de Gejiouillac (Char.); 

— Benoit Andréa, à Bidon, p. Bourg-St-Andéol (Ardèche); 

— Coudène Irma, éc. de Montpezat (Ardèche); — IIuc 

Marie. Institution Ste-Geneviève, Foix (Ariège); —Machin 

Suzanne, Cours Debray, Pont-l'EvèLiue (Calvados); — 

Juchault Andrée, éc. de Sainte-Soline, p. Lezay (Deux- 

Sèvres); - Bary Hélène, èc. de La Mèche iSarthe); — 

Bordin Anaïs, éc. de Chevannes-Changv (Nièvre);— Àndrault 

Marcelle, 7, r. Jules-Gévelot, Issy (Seine); — Simonin 

Marguerite, Dambenoist, p. Citers ((Hte-Saône); — 

Blanc Celina, éc. de Preudeignes, p. Bagnac (Lot); — 

Dollard Madeleine, 5, place Delille, Cette (Hérault); — 

Vernet Simone, 90, Grande-Rue, Pierrelatte (Drôme); — 

Canal Irène, éc. de Sourt, p. St-Paul-de-Jarrat (Ari.-ge); 

Gérard Paule, éc.de La Rue-s.-Harol, p.Hàîoî (Vosges); — 

Assémat l\Iarie, éc. de Malacan, p. 'Boissezon (Tarn); — 

Evmery Marguerite, éc. de la Hauie-T5eaume, par la 

Bêaume-des-Àrnâuds (Htes-Alpes);— Taulier Marie, éc. 

de Pujaud (Gard); — Chapart Gisèle, èc. de Champmotteux, 

p. Boigneville (S -et-O.); — Leplanois Jeanne, 

éc. libre de Serquigny (Eure); — Beaume Yvette, Ext. 

J.-d'Arc, Theys (Isère); — Ragon Mauricette, 17, r. Sèche, 

Loudun 'Vienne):— PastoreiMadeleine.éc. deChabestrat, 

par Paulhao'uet (Hte-Loire); — Hervez Rose, éc. d'Ognes, 

p. Pleurs (Marne); — Bonnefoy Louise, éc. d'Unieux, à 

Côte Quart (Loire); — Martaux Suzanne', éc. des Mesnuls, 

p. Montfort-1'Amaury (S -et-O.); — Grillon Yvonne, éc. de 

St-Clément-les-Levées (M.-et-Loire); — Minet Camille, 

Institution Ste-Thérèse, à Pont-de-Briques (P.-de-C.); — 

Paris Louise, éc. de Letourneux (Alger); - Vernin 

i 

Suzanne, 20, r. J.-d'Arc, Nevers (Nièvre); — Florian 

l ! 1 i a 1 Simone, 12, cours Carnot. Salon (B.-du-Rhône);— 

irouhard Nicole, 6, r.de l'École-Normale, Nevers (Nièvre); 

— Rivière Francisca, à Planay, par Bozel (S 1 voie) ; — 

Monjoi Louise, éc. de Troudoussen, Ploujean (Finistère); 

— Anjibaud Edith, éc.îde Villenouvelle, par Villeneuve-la- 

Comtesse (Char.-lnf.). 

Toutes les autres concurrentes ont moins de 32 

points. 

II. — GARÇONS 

P R I X 

ADRL^SIÏS " K'I 

if), r. Monsieur-le-Priuce, Paris, 

c. compl. Ambrières (Mayenne). 

Villepot, par Soudan i-L.'-Inf.). 

3, r. du Pont, La Fère-Champenoise. 

Cruchy parMontbard (C.-d'Or). 

Coulombiers. par Fresnoy-s.-Sarthe 

(Sarthe). 

Montignac (Charente). 

r. de Home, 8, âHersin-Coupigny (P.de-C.). 

Téoulé, com. de Herré, par Gabarret 

(Landes;. 

éc. tr. St-Claude de Diray IL -et C.). 

éc. libre Vic-Bigorre (Htes-Pyr ). 

c. comp. Aud ngè 'Gironde), 

éc. 1. St-Etienne,"l5,r. Bida,Toulouse. 

NOTES EN 

ORTHCTG. COMPOS. 

QUESTIONS ECRIT. FRANÇAISE CALCUL DESSIN 

N TÔTAL 

8 8 8 9 9 42 

9 7 8 9 8 41 

9 7 7 9 9 41 

s 7 7 9 9 40 

8 8 8 8 *8 40 

8 8 8 9 7 40 

:) 8 9 59 

10 7 9 8 59 

» 8 G 8 y b 39 

8 7 8 8 8 59 

F> 7 9 7 58 

9 8 7 8 G 58 

y G 7 9 7 58

D ORDRE NOMS ET PRÛNOMS 

11 

11 

11 

11 

11 

11 

11 

m 

42 

42 

42 

42 

42 

42 

42 

42 

Fauchart Jean, 

Mercier Guillaume, 

Mordclles Albert, 

Pény Fernand, 

Petit Rolland, 

Pierron Gustave, 

Ursule René, 

11 VerdierElie, 

22 Catlier Roger, 

22 Démarais Adrien, 

22 Fournier Henri, 

22 Gantheret Marcel, 

22 Heyraud Emile, 

22 Lafaye Guy, 

22 Lcbailly Marcel, 

22 Lepoil André, 

22 Marion Alphonse, 

22 Miégeville Jean, 

22 Milard Georges, 

22 

22 

22 

22 

22 

22 

22 

22 

42 

Monange François, 

Parlebas Paul, 

Pirou Georges, 

Pean Maurice, 

Rahier Louis, 

Rolie André, 

Saric René, 

Tabarant Marcel, 

Vincent Louis, 

Audeni? Marcel, 

42 Aymard Noël, 

42 Bardon Henri, 

42 Bauchard Désiré, 

42 Demo ieux Raym. 

12 Détant Marcel, 

42 Faucheux Jacques, 

42 

42 

42 

42 

42 

Fayet Maxime, 

Gascogne Albert, 

Gienier J.-M). 

Grossetéte Pierre, 

Ladurelle André, 

Marty Henri, 

Meeard Charles, 

Milleret Julien, 

Odilon Henri, 

Parent André, 

Plumereau Robert, 

Roques Armand, 

Sueur Gaston, 

Durand André, 


éc. p. Vervins (Aisne). 

La Capelle-Biron(L.-et-Gar.). 

62, boulevard Pasteur, Nantes. 

éc. de Lavaud-Montjourde.parFolles 

(Hte-Vienne). 

éc. 9, rue Joyeuse, Bourges. 

éc de Tendon (Vosges). 

St Sulpice de Roumagnac, par Ribérac 

(Dordognej. 

Condezaygues, par Monsempron-Libos 

(Lot-et-Gar. ). 

éc. m. de Sap-André, p. Gacé (Orne), 

éc. g. Luneray IS -lnf ) 

St-Maurice d'Orient, par St-Sernin 

(Aveyrqn). 

Savigny-les-Beaune (C.-d'Or). 

Mon-('haumat, à Unieux-Vigneron 

( Lmre) 

Clavières, par Alais (Gard). 

à Irai, par Randonnai (Orne). 

Auvers-St-Georges, par Etrechy (S.et-O). 

éc. g. Montée du Château, St-Marce!lin 

i Isère). 

éc. Cazères-sur-Adour (Landes), 

éc. pr. de Cours, par Champdeniers 

(Deux-Sèvres). 

éc. de Liginiac (Corrèze). 

éc. du Château, Le Blanc (Indre), 

éc. de Guêprei par Trun (Orne), 

à Bréhemont (Indre-et-Loire). 

éc. de Cinq-Mars 'Indre-et-Loire), 

à Villenauxe (Aube). 

à Targon (Gironde). 

à Condat-les-M' mtboissier (P .-de-D.). 

éc. de Bures, parCampeàux(Calvad.). 

77, r. de la République, Belleville-s.- 

Saône (Rhône). 

éc. de Frex-Anglards, par St-Cernin 

(Cantal). 

r. Pasteur, à Libourne. 

3, r. du Trou-Pierrot, par la rueCantimpré 

(Cambrai) 

9, rue Bezout, à Nemours (S.-et-M.). 

27, r. de la Tannerie, Calais, 

éc. m. de Gouvieux, r. de Chaumont 

(Oise). 

à St-Vert, par Champagne (Hte-L.) 

r. des Remparts, à St-Gaudens, 

éc. lib. de St-Claude (Jura). 

à Cuillon (Yonne). 

16, place du Commerce, Nangis (S.et-M.). 

25, r. des Champs-Elysées, Toulouse, 

r. du Commerce, à St-Aniour (Jura), 

à Sauilly, par Diges (Yonne). 

àCarayac, par Toirac (Lot). 

éc. de St-Hippolvte (Doubs) 

22, r. du Commerce, Chinon (I.-et-L.). 

maison Farjou, au Gua. par Aubin 

(Aveyron). 

éc. de g. a Orry-la-Ville (Oise), 

éc. g. de Nogent-le-Roy (E.-et-L.). 

VIENNENT ENSUITE 

Avec un total. de 35 points : 

Angé René, 16, r. Bavard, à Toulouse; — Angoulvant 

Georges, à Thimert, par Chàteauueuf (E.,-et-L.); — Bellier 

Roger, éc. mixte des Sts-Péres, par Mteaux; — Benoist 

André, à Genôuillé (Char.-Inf.) ; — Bérault Louis, i3S, r. 

Blomet, Paris; — Bernier André, éc. de Conches, par 

Lagny (S.-et M.); — Blatteau Paul, inst. St. Charles, à 

ThouarslDeux-Sèvres); —Bouquet Bernard, 18,r. Poussin, 

à Rouen; — Brisbois André, 3î chemin Lalargue, à Bégles 

(Gironde); —Cassant René, chez Mlle Lemètre, à M Ttigné 

(Mayenne) ; — Célérier Emile, à Landouge (Hte-Vienne) ; — 

Cellier Emile, à Beauvert, c. de St-Jean Roure, par le 

Cheylard (Ardèche); — Chardonnet René, à Espelette 

(Iises-Pyr.); — Chouquet Charles, chez Mile-Hardy, 19, r. 

de Mexico, à Graville-Ste-Honurine (S.-lnf.) ; — Cordreaux 

Georges, 23, r. Charles-Chefson, à Bois-Colombes (Seine) ; 

— Claret Antoine, à Caragoudes, par Caraman (Htc-Gar); 

— Convert Georges, r. Francisco-Ferrer, 4, a Lyon 3"; — 

Cornilliet Edmond, 62, r. Lèon-Rollin, àSt-Maur (Seine); — 

Croquelois Richard, 3, av. des Bruyères, à Coye (Oise) ; — 

Cuvier Bernard, à St-Laurent-des-Bois, par Marchenoir 


NOTES EN 


QUESTIONS ÉCRIT. FRANÇAISE CALCUL DESSIN TOTAL 

8 7 7 9 7 38 

9 7 7 - 8 7 38 

9 6 8 S 6 38 

8 7 6 9 - 8 58 

9 6 7 8 8 38 

8 6 8 8 8 38 

8 7 8 9 ' 6 38 

S 6 7 9 8 38. 

S 5 8 _ 9 7 37 

9 7 7 8 6 37 

8 T 8 7 7 37 

8 7 8 9 5 37 

9 7 7 • 8 6 37 

. 8 5 8 8 8 37 

9 7 5 9 7 . 37 

8 6 9 8 37 

8 7 9 6 37 

7 S 6 9 7 3 

9 6 5 9 8 37 

6 7 . 8 8 8 37 

8 7 6 9 7 37 

9 6 6 8 -8 5.7 

9 7 S 8 8 ~"f~ • 

8 7 5 9 ' 8 

8 4 8 9 8 57 

7 8. , 8' 9 5 57 

8 7 7 8 7 37 

S 6 7 9 7 57 

S 6 7 v 8 7 36 

S 6 ' 

6 3 8 56 

7 8 S 9 4 06 

7 6 8 / 8 "• 56 

6 7 7 8 8 06 

9 6 7 8 6 36 

"7 8 6 8 7 36 

,10 5 6 8 7 36 

8, 7 6 9 6 56 

9 8 6 „ 8 6 56 

8 7 5 9 7 36 

S 7 6 9 . 6 56 

' 8 6 7 8 7 36 

9 5 7 9 6 "36 

7 6 6 9 8 56 

3 8 6 9 1 

7 36 

7 i ' 7 9 9 56 . 

9 7 4 9 7 56 

8 6 7 7 8 36 

8 7 6 8 7 56 

9 6 6 8 7 , 56 

(L.-et-Cher) ; — Debiesse Jean, 16, r. de Mardore à Cours 

(Rhône); — Décurey Raymond, éc. mixte de Montarlotles-Rioz 

(Hte-Saône); — Dejour Anné, à Lamastre 

(Ardèche); — Delamare Emile, éc. de Goderville(S -lnf.); 

— Denis Jean, à Grignon.par Les Laumes (Cnte-d'Or); — 

Dépalle Gaston, éc. pr.de Maringues iP.-de-Dôme.); — 

Fie Henri, 16, r. de l'Ecole Normale, à Nevers; — r-iliol 

Roger, éc Jeanne-d'Arc, à Foncine-le-Haut (Jurai; — 

Fray Jacques, éc. de Miramont (L.-et-Gar.); — Gaumont 

Marius, à uoissy-l'Aillerie (S.-et-O.); — Gérard de Ferrier, 

ec. pr. de Marmande (Lot-et-Gar.); — Goujon Jean, à 

Dame Marie (Ind.-et-Loire); — Gousson Lucien, éc. de 

Mareil-le-Guyon, par Monfort-l'Amaury (S -el-O.) ; — 

Grange Sylvain, éc. de Viscomtat (P.-de-Dôme) ; — 

Jouglard Léon, éc. de'Courrengs d'Orcières iHtes-Alpes); 

— Lagriffoul Henri, 157. r. du Temple, à Paris, 5*; — 

Lavigne Georges, à Arbus, par Lescar (Bses-Pyr ); — 

Leblic Jacques, briqueterie, a Yvetot (S -1 ni'.); — Lépine 

André, 43, r. des Loges, à Chàtellerault-Châteauneut 

(Vienne); — Maurel Louis, à Rebourguil (Aveyron); — 

Mercadier Gaston, à Naves d'Aubrac, par St-Genkz-d'Olt 

(Aveyron); — Mercier Denis, éc. de Chaude onds-sur- 

Layôn (M.-et-Loire); — Montagné François, éc. mixte


d'Artigues, par le Pla (Ariège) ; — Moreau Maurice, éc. de 

Brienne-le-Chateau (Aube) ; — Mouzon Robert, éc. des 

Jacobins, à Fontenay-le-Comte (Vendée); — Péan André, 

à Banvou, par la Ferrière-aux-Etangs (Orne); — Petit 

Paul, à Boursac, par Verteuil (Charente): — Riffaudeau 

Abel, rue Porte-Bruère, Châteauneuf-sur-Cher (Cher);— 

Robineaud Andié, à St-Ciers Champagne, par St-Maigrin 

(Ch.-Im.); — Rolland Jean, à Charvieu (Maison-Neuve) 

(Isère). 

Avec "i4 points : 

Thomasse René, éc. d'Amayé-sur-Orne (Calvados); — 

Verchère Roeer, éc. de g. de Bellign'at (Ain); — Vives 

Jnlien, à St-Ybars (Ariège); — Ybert André, à Tracy- 

Bocage, par Villers-Bocage (Calvados); — Blocquaux 

Jean, éc. g. de Novion-Porcien (Ardennes); — Bobas 

Henri, àThenet, St-Julien (Indre) ; — Boivin René, à Véria, 

par Balanod (Jura); — Briot Maurice, 5, r. de la Grille, à 

Romilly-s-Seine (Aube); — Caillajid Jean, au Coudert, par 

Piei rebuflïère (Hte-Vienne) ; — Candevan Clovis, à Veraets 

par Oloron-Ste-Marie (Bses-Pyr.) ; — Carrara Bernard, 

rue des Portes, impasse le Magnen, à Cherbourg; — 

Chandeau Edgard, a Bricy (Loiret); — Cochet Marceau, 

éc. de Milly-sur-Thérain (Oise); — Courbot Lucien, scierie 

Vescemont par Giromagny (Ht-Rhin); — Cusey Jean, éc. 

de Cuiseaux (S.-et-Loire); — Darnault Henri, 84, r. de la 

Fédération, à Montreuil-s-Bois (Seine); —Delpu Simon, 

à Villeneuve-de-Marsa» (Landes); — Dinè Albert, à 

Lalent-en-Luitré, par Fougères (I.-et-Vil ); — Dunet André, 

à Londinières (S.-Inf.); — Emier Robert, éc. de Marcillac- 

Lanville (Charente) ;Flon Henri, éc. de g. de Pécy (S.-et-M); 

— Gaillotte Robert, éc. m. de Mont-PEtroit, par Sauvigny 

(Meuse); — Génin Louis, au Noyer, par Jars (Cher); — 

Geoffrois Edouard, 36, r. d'Aubervilliers, Paris iq*; — 

Granger Gustave, au Louroux (Indre-et-Loire) ; — 

Guézennec Paul, éc. de g. de Guingamp (C.-du-N.); — 

Guilhot Paul, à Quêrigut (Ariège) ; — Gurgui Michel, r. 

delà Sort, à St-Laurent-de-Cerdans (Pyr.-Or.); — Hauser 

Henri, 26, r..du Fer-à-moulin, Paris 5* ; — Hesse Henri, éc. 

g. de Diarville (M.-et-Mlle); — Honoré Marcel, 55' route 

de Darnétal (Rouen); — Jacquemin Edouard, éc. g.de St- 

Remy-sur-Avre (Eure-et-Loir); — Joliet Jules, io Hs, av. 

du Maine, Paris i5*; — Lacave Jean, à Monguilhem (Gers); 

— Laplace Raymond, pens. de Confort (Ain); — Loubes 

Louis, éc. de Ste-Hilaire-Bessonies (Lot) ; — Martin 

Charles,à Ste-Foyl'Argentière (Rhône); — Millot Edmond, 

49. faub. Bretonnière, à Beaune (C. d'Or); — Parillaud 

Jean, éc. laïque de Courçais (Allier); — Queirel Camille, 

a la Couronne, par Martigues (B.-du-Rh.); — Rajaud René, 

à St-Didier-en-Brionnais, par St-Christophe-en-Brionnais 

(S.-et-L.); — Revil Pierre, éc. de Sur-les-Bois, par Annecy 

(Hte-Savoie); — Ribon Maurice, à Sannois, 28, r. Hippolyte 

lamot (S.-et-O.): — Rondeau Bernard, éc. g. de Nogent-le 

Rotrou (E.-et-L.); — Rothamer André, éc. g. deBoussières 

(Doubs); — Roux Pierre, éc. m. de Nueil-sous-Faye 

(Vienne), par Richelieu (Ind.-et-L.); — Sauzet Georges, éc. 

de g. de Soubès (Hérault); — Serindai Antoine, avenue 

Emmanuel-Chabrier, à Ambert (P.-de-D.); — Tronchet 

Auguste, à Monbéqui, par Dieupentale (T.-et-Gar.); — 

Trosseau Léon, à'Brissac, Champ de foire (M.-et-Loire); 

Valentin André, à Neuvic (Dordogne); — Valleyre Jean, 

éc. g. de Lafarre, par Salettes (Hte-Loire) ; — Védrine 

Paul, éc. deTouët-Escarène (Alp.-Mar.); — Vincent Pierre, 

à Podensac (Gironde). 


Damase Léon. éc. m., Iscle-de-Vergons (B.-Alpes) ; — 

Arcas René, r.de France, àMézin (Lot-et-G.) ; — Barrière 

Maurice, à St-Avit-du-Moiron, par Ste-Foy-la-Grande (Gironde) 

; — Berthommier Marcel, ec. g. deThilleurs-aux-Bois 

(Loiret); — Bidegaray Jean, éc. de Bidarray (B.-Pyr.) ; — 

Bihel Jean, 16, rue de Montagne, à Libourne (Gironde) ; — 

Bizouarn Louis, éc. François I", 3-2, bd François I", Le 

Havre); — Blondel Claude, 310, route de Dieppe, à Déville- 

Iès-Rouen (S.-Inf.); — Bonnifet Joseph, à Bouillé-Courdault 

(Vendée); — Bordier Jean, à Tizac-de-Galgon (Gironde); 

— Carré Georges, à St-Ouen-le-Brisoult (Orne); 

— Cassé André, éc. g. de Castelnau-de-Montmiral (Tarn) ; 

— Chevrollier Maurice, éc. g. de Thorigné, par le Liond'Angers 

(M.-et-L.) ; — Chifflot Louis, à Mainville-la- 

Jeuhin, par Auneau (E.-et-L); — Clément Marcel, éc. de 

Vaudeille, par Haroué (M.-et-Mos.) ; — CpfFre Raymond, 

éc. de Chambeugle, par Charny (Yonne) ; — Coppeaux 

Eaiile, 35, rue Fonnéuve, à Libourne (Gironde) ; — Courteau 

Louis, éc. m. de Lamothe-en-Blaisy (Hté-Marne) ; — 

'Decaix Mélèce, à Boubers-les-Hesmond, par Beaurainville 

(P -de-C.); — Duhallé Jean, à Pardiac-Lacquy, par Villeneuve 

de-Marsan (Landes) ; — Dupeyré Maurice, à Pompogne, 

par Houeillès (Lot-et-Gar.) ; — Falourd Henri, éc. 

p. de Mouilleron-en-Pareds (Vendée) ; — Fauré Julien, à 

Cazaux-Savès, par Samatan (Gers) ; — Ferrière Georges, à 

Tartas (Landes); — Fourgeaud Aimé, à Chevalerie, commune 

de Cherves-Chàtelars (Charente); —Fournier Aimé, 

ec. 1. de St-Jean-du-Var, 176, route de la Valette, à Toulon 

; — Fournier François, à Pommerol, commune de 

St-Maurice-en-Gounrois (Loire) ; — Fromage Georges, éc. 

1. d'Aurec (Hte-Loire) ; — Gandriaux Marcel, éc. de Epervans 

(S.-et-L.) ; — Garnier Pierre, éc. m. de Boéncourt, par 

Moyenneville (Somme) ; — Genin Marcel, éc. d'Amilly, par 

Chartres; — Gibert Marcel, à Léon-en-Sullias, par Sullysur-Loire 

(Loiret); — Guy Gaspard, à Jaligny (Allfcr) j — 

Hecquet Henri, 75 bis, route de Darnétal, à Rouen; — 

Henry Arsène,àVcrderonne, parLiancourt (Oise);— Heym 

Gaston, éc. m. de Petitefontaine, par Lachapelle-sous- 

Rougemont (Ht-Rhin); — Jouenne Henri, éc. I. de Giat 

(P.-de-D.); — Konneradt Eugène,'25, rue de Suresnes, CL 

Rueil (S.-et-O.) ; — Lassalle Charles, éc. m. d'Osseux, par 

Navarroux (Basses-Pyr.) ; — Le Men Georges, éc. Saint- 

Antoine, à Bourbriai: (C.-du-N.); — Letellier Charles, à 

Leféte, par Arnay-le-Duc (C.-d'Or); — Louvel Pierre,. 

6, route de St-Aignan, à Mont-aux-Malades, près Rouen ; 

— Maillot Marcel, éc, m. des Neuves-Granges, par Rioz. 

(I-Ite-Saône) ; — Martin René, éc. de Velles (Hte-Marne) ; 

— Merlet Ernest, à Villenouvelle, par Villeneuve-la-Comtesse 

(Char.-Inr.) ; — Pailleux Lucien, éc. p de Vezin (111eet-Vil.) 

; — Moulin Jean, éc. m. de Bonnée, par les Bordes 

(Loiret); — Penaud Guy, éc.g. de Barbezieux (Charente); 

— Poncelet Julien, éc. de Ognes, par Pleurs (Marne) ; — 

Valentin René, éc. du Chajoux, par La Bresse (Vosges); — 

Veunac Pierre, à Grolejac (Dordogne) ; — Vignéron Marcel, 

à Blémercy, par Mirecourt (Vosges). 


Audurier Jean, éc. g. de Puy-de-Serres (Vendée) ; — 

Baudry René, à Comps, par les Ancizes (P.-de-D.) ; — Berrette 

Jean, éc. de Gan (Las-Hies) 1 B.-Pyr.); — Bonnet 

Marcel, 7, r. Reytres frères, Chàteau-d'Oléron (Char.-Inf.) ;. 

— Bonneval André, au Claux, commune de Sioniac, par 

Beaulieu (Corrèze);— Bouret Marcel, éc.g. de Millançay 

(L.-et-Ch.) ; — Boyer Jean, éc. pr. de Robiac (Gard); — 

Castel Eugène, au Sourt, par St-Paulfde-Jarrat (Ariège) ; 

— Chapin Hubert, rue du Mail, 71, à Rennes ; — Choppard, 

Jean, ec. Fénelon, 8, rue du Parc, à Charenton (S.); — 

Coquin Pierre, éc. g. de Concourson. par Doué (M.-et-L.); 

— Cornevin Léonce, 2, rue St-Pierre, à Courville (E.-et-L.); 

— Coutin André, éc. p. de Cculonges-sur-l'Autize (Deux- 

Sèvres) ; — Darnis Gabriel, à Couzou, par Rocamadour 

(Lot); — Dehove Marcel, éc. de Gommegnies (centre) 

(Nord) : — Drouet René, èc. de g. de Fontenay-le-Marmion 

(Calvados) ; — Duboscq Jules, éc. de Philondeux, par 

Samadet (Landes) ; — Dunil Lucien, éc. m. de Bretagne, 

par Bouges- (Indre) ; — Duprat Paul, éc. de St-Maigner 

(P.-de-D.); — Fort Fernand, à Queyzac, commune de 

Queyrac (Gironde) ; — Fuyet Jean, éc. g. d'Ozolles (S.-et- 

L.) ; — Florentin, canton de Ouérigut (Ariège) ; — Geneix 

Camille, éc. c. de St-Maigner (P.-de-D.) ; — GendronMaximilien, 

éc. de La Moutonnière, par Savenay (L.-Inf.) ; — 

Geoffrin Louis, éc. m. de Roztères, par Montier-en-der 

(Hte-Marne); — Gervais Jean, à Vœuil-et-Giget, par Angouléme 

(Charente) ; — Gomard Pol, orph. Meix-Tiercelin, 

par Sompuis (Marne) ; — Guy de Cockborne, 30, bd de 

Vincennes, à Fontenay-s-Bois (Seine) ; — Henry Edouard, 

à Sarrigué, par Corné (M.-et-L.) ; — Lagarrigue Josély, à 

Blauzac, par la Salvetat (Aveyron); — Leduc Paul, éc. m. 

du Limon, à la Ferté-sous-Jouarre (S.-et-M.); — Lelièvre 

René, avenue Bernardin, à Sourdeval-la-Barre (Manche) ; 

— Le Roch Ferdinand, à Guénin, par Baud (Morbihan) ; — 

Lesaing Robert, éc. m. de Faverolles, par Ville (Marne); 

— Lestrade Paul, éc. g. de Moncrabeau (L.-et-G.) ; —Mocquet 

Louis, éc. g. de Prez-sous-Lafauche (Hte-Marne); — 

Morin Agnès, à la Cour, commune de Cuissai, par Damigny 

(Orne) ; — Mouret Casimir, éc. m. de la Terrisse, par 

Cassuejouis (Aveyron) ; — Oulagne Maurice, éc. de Villedieu 

(Vaucluse) ; — Pallet Yvan, éc. g. au Porge (Gironde); 

— Pèlissier Félix, à Fox-Amphoux (Ain) ; — Perron Marcel, 

au Trimoulet de Saint-Plantaire (Indre) ; — Rosley Lucien, 

éc. g. de St-Mards-en-Othe (Aube) ; — Rousseaux René, éc. 

de Pargnan, par Bourg-et-Comin (Aisne); — Rousselet 

François, éc. pr. de Chissey-en-Morvan (S.-et-L.) ; — 

Rousset Jean, a Vignevieille, par Mouthoumet (Aude) ; — 

Ruelle Paul, éc. m. de Trannes (Aube), — Servant 

Alexandre, à Lécumberry, par St-Jean-le-Vieux (B.-Pyr.) ; 

— Sibert René, éc. pr. de Lalinde (Dordogne); — Toutet 

Roger, Pont-de-Cervières, par Briançon (Htes-Alpes) ; — 

Tripogney Fernand, à Lièvans, par Mollens (Hte-Saône); 

— Vezian René, à La Villedieu (Lozère) ; — Viallet An:onin, 

à Esplantas (Hte-Loire) ; — Boyer Raoul, aux Baraques, 

par St-Montant (Ardèche). 

Tous les autres concurrents ont obtenu moins de 

32 points. 

Les prix et les mentions seront envoyés, avant le 

14 juillet, aux élèves désignés pour les recevoir. Le 

jury étant dissous immédiatement après la publication 

des résultats du concours, nous ne pouvons 

donner, par lettres personnelles, de renseignements 

plus étendus sur les diverses compositions que ceux 

fournis en tête du compte rendu inséré ci-dessus.

MANUEL GÉNÉRAL DE L'INSTRUCTION PRIMAIRE - INRP

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