Mgr. Joseph-Octave Plessis, évêque de Québec / l'abbé Ferland.

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avant qu'elle eût été cédée à l'AngloK
Ces entretiens influèrent sans doute sui
opinions que M. Plessis se forma toucl
le mérite des deux gouvernements,
considérant le système do tracasse;
organisé contre l'église et le poupfe
pays, par quelques-uns des chefs et
employés subalternes qu'y envoyait la c
de Louis XV, lorsqu'elle fut tombée s
le sceptre de la Pompadour, il ne pon
s'empêcher de reconnaître que, sous
gouvernement anglais, le clergé catlioli
et les populations rurales jouissaient
plus de liberté qu'on lie leur en a
accordé avant la conquête.
Les rapports entre l'évèqne et son se
taire devaient être bientôt modifiés, s
être cependant interrompus; La santé cl
celante de monseigneur Briand l'empôcl
de s'occuper aussi activement, qu'il l'ait
souhaité, de l;i conduite du diocèse
sentait ses forces s'épuiser par les eff
qu'il faisait pour subvenir aux bes<
spirituels de son troupeau, et sa conscic
délicate s'inquiétait vivement de cet
de choses. Ku conséquence de ses repré:
talions, le Saint-Siège lui permit de
décharger du fardeau qui l'accablait; <
vingt-neuf novembre, I78S, le prélatrej
tait à son coadjuteur le titre et la chf
d'évèque de Québec.
Mgr. DTÀgly se hâta d'appeler à
secours un ouvrier plus fort"et plus jei