Mgr. Joseph-Octave Plessis, évêque de Québec / l'abbé Ferland.

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— 'ri — le jugement f]uo ses contemporains poi talent sur son compte. Son attachement aux règles del'Kgliscc •H sa fidélité à les faire observer, avaicr souvent contrarié des hommes accoutumé à commander cl à ne point rencontrer d refus à leurs demandes. Aussi, le duc d Kent, qui pendant son séjour au Canad avait appris à connaître le curé de Quél»e< mit devoir donner des avis à Sir Robei Preseott, gouverneur de la province. Dan une lettre écrite île Halifax, le seize octobre 1797, le prince exprime ses inquiétudes ce sujet : •'yuanl.au coadjuteur, M Plessis, tnande-t-il au général, " je crois de mo
— 43 — par les plus zélés sujets de Sa Majesté dans te pays, comme une des nombreuses raisons pour lesquelles M. Plessis était dans une position douteuse, sous le rapport de la loyauté envers la Grande-Bretagne." Lo'duc de Kent souhaitait faire tomber le choix sur un vieux curé, incapable de remplir les devoirs d'un évoque. En apprenant l'intention du prince, M. Plessis, qui avait d'abord refusé la mitre, comprit que pour le bien de l'église du Canada, il devait accepter les offres de monseigneur Denaut. Le secrétaire du gouverneur, M. Ryland alors ami du curé de Québec, aplanit les voies, et le général Prescott agréa l'homme que l'opinion publique désignait comme le plus digne de l'épiscopat. Le vingt septembre, 1797, monseigneur Denaut informait le cardinal Gerdil de son heureux succès ; " La providence a eu soin de l'église du Canada : j'ai obtenu pour coadjuteur, un sujet versé dans les affaires ecclésiastiques, connaissant bien le diocèse, et possédant la confiance de la plus saine partie du clergé et l'estime des peuples." Convaincu que M. Ryland avait rendu un véritable service à la religion catholique, en éloignant de la dignité épiscûpale un sujet incapable, M. Plessis adressa de sincères remercîments au secrétaire, qui se prévalut plus tard de cet acte de courtoisie. Quoiqu il n'occupât encore que le second rang dans le diocèse, le coadjuteur élu ne
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Les gouffres, les torrens, les roch
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IV Epitaphe de Mgr. Plessis, écrit
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