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LA DESCENTE DANS LES COUCHES DE LA TERRE
sur le chemin d'initiation anthroposophique
Traduit par Vincent Choisnel. 147 pages, 12 €
Que signifie « descendre dans les couches de la Terre »?
On entend par là tout d'abord le chemin frayé par le Christ dans les
couches spirituelles de la Terre entre Sa mort sur le Golgotha, le
Vendredi saint, et Sa Résurrection, le matin de Pâques. L'homme
descend après sa mort dans les profondeurs spirituelles de la Terre,
cet organisme où il découvre le passé, le présent et l'avenir et, en particulier, le
karma non résolu de l'humanité, inscrits dans ses couches comme en une chronique
vivante. Ces couches gardent non seulement la trace des actions humaines, mais
aussi celles des puissances adverses Lucifer, Ahriman et les asura.
S'appuyant sur la conférence de Steiner du 16 avril 1906 (GA 96, La science de l'esprit,
une source d'impulsions pour la vie, Éditions Novalis), Judith von Halle décrit ces
neuf couches de la Terre et illustre le combat du Christ affrontant l'entité soratienne
pour sauver le moi de l'homme et l'avenir de l'humanité. Elle met ainsi en lumière le
sens des trois tremblements de terre intervenus lors de la mort du Christ et la signification
symbolique de la coupe du Graal.
Grâce à cet acte du Christ, l'homme peut s'engager sur ce chemin d'initiation qui lui
permet de pénétrer dans les neuf couches de la Terre, que Judith von Halle met en
parallèle avec les sept degrés de l'initiation.
LE MYSTÈRE DE LAZARE ET DES TROIS JEAN
Jean-Baptiste, Jean l'Évangéliste et Jean Zébédée
Traduit par Vincent Choisnel. 208 pages, 14 €
Rudolf Steiner enseigna grâce à la science de l'esprit qu'il existait un
lien occulte profond entre les personnages des Évangiles Lazare et
Jean. Il proposa, à travers la révélation de tels liens, une toute
nouvelle lecture des Évangiles et de l'histoire. Judith von Halle
s'efforce ici de répondre à ces questions ouvertes par Rudolf Steiner,
avec une méthode rigoureuse et en s'appuyant sur les données de
Rudolf Steiner ; en particulier elle rappelle l'énigme que pose la
dernière allocution de Steiner, le 28 septembre 1924.
Que représentent ces trois personnages appelés « Jean » :
Jean-Baptiste dont l'enfance est racontée dans un chapitre particulier, Jean l'Évangéliste
et Jean Zébédée, le frère de Jacques ?
Ou encore : qui est « Lazare-Jean », le disciple « que Jésus aimait » et qui est présent
au pied de la croix au moment du Golgotha ?
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