oncux Anniversaire - Bibliothèque de Toulouse

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LE NUMÉRO ENTIMES
Organe
RÉDACTION ET
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ION : Toulouse, Rue Roquelaine, 25
LE NUMÉRO 5 CENTISVIfS
ÉDITIONS RÉGIONALES
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AuTEUAHOrWI ET DÉPARTEMENTS LHHTBOPHK3 .... & it. t4 «r. 20 fr-
£ea Abonnements partent do» 1« et 14 da chaque mots eî sont p&yz&tos d'avanc»
gmtU (U&itjmds ette»t de fuir à
fit quatrième vitesse.
D'autre part, ils ont soin de s'armer de
revolvers que l'administration dès domai-
nes, dont la sollicitude est inépuisable, re
vesad aux malfaiteurs après les avoir con-
fequés aux lnumêtes gens comme armes
Birohibées. Ils onit ainsi, pour trois francs
cinquante, d'excellents brownings qui ont
ooûté des quarante et cinquante framès à
ceux sur lesquels on les a saisis. Car, s'il y
a de gros profits pour les bandits, il n'y «m
a pas de petits pour l'Etait qui fait argent do
tout. -,
Attendons-nous donc à voir leurs outils
sîameliorer éBicore, et leur audace croître
avec leurs resswiiirees. Avant peu, nous au-
»ons sans doute le vol en aéroplane — pas le
iwî plané, bien entendu. Les malandrins
attirent à leur service des monoplans et des
biplans grâce auxquels ils entreront chez
voue, non par des portes, souvent gardées
par de vigilants concierges, mais par vos
îwnètres qu'ils ouvriront de force. Tel est
Psiwaiir qui nous est réservé. Il serait con
séqueiument souverainem.ent injuste de nier
lie progrès dû à l'année 1911.
Henri ROCHEFORT.
OPINIONS ET IDÉES
auvre Portugal S
SIMPLES NOTES
présent,
avenir ? Sans doute,
s'avi-
lottr est
«Eue pour de sales opérations de ! ceau de sa Libératrice t
en
du territoire et de tous les horizons de
1 opinion, la foule des patriotes, des
français dont le coiur a gardé le culte
de la Libératrice, à l'humble et glorieuse
maison de Domrémy où s'éveillait, un
matin de 1412, l'espoir de la patrie ago-
nisante, à la chaumière vénérée où bat
toujours le cœur de la Fiance 1
Mais, encore un fois, pour que cette
solennité garde sa vraie signification et
prenne toute son ampleur, il faut qu'elle
soit nationale dans le sens entier du mot.
Jeanne d'Aro appartient à la France ;
elle est la France dans une de ses incar-
nations les plus nobles et les plus pures.
. Il faut donc que ce soit toute la l< rance,
toute dissension oubliée 'pour un jour)