oncux Anniversaire - Bibliothèque de Toulouse

JKUDI 4 JANVIER 1912
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EAU DE NOIX CABAIV1-B
HC K TOULOUSE
(gphéméities toulousaines
a JANVIER
Saint du jour : Saint Tito, ^tninobert.
Fête à souhaiter : Sainte Amélie, Saint bi-
méon Stylitc. „„,,-!,«• si, B
Lever de la lune : s h. 38, s. ;eoucher, s h. e.
matin ; pleine lune, à i h. S6,sou.
Lever du soleil. T h. t9 ; coucher, A h.
IL Y A CINQUANTE ANS
a T YNVIER 1862. — M. Caze présente à la So-
ciété d'Agriculture une analyse des principales
décisions juridiques rendues pendant l année
mi, sur des questions intéressant layncui-
tilTC
SPECTACLES. — Al heures, « Le Gamin de Pa-
ris », « les Souvenirs de Jeunesse ».
Le budget municipal et les pauvres
de tramways électriques et l'examen du projet
de construction d'un magasin au dépôt de
mendicité. ________
Faculté des Sciences
Institut électro-technique
A partir du mercredi 3 janvier, l'enseigne-
ment préparatoire au brevet de conducteur
électricien sera organisé de la façon suivante :
Cours : Le mercredi soir (cours publie), à
8 heures et demie ; le jeudi matin, à 8 heures
en demie ; le dimanche matin, à 8 heures et
demie. ,
Travaux pratiques : Le dimanche matin, a
9 heures et demie.
Les excursions seront indiquées chaauc mois
par une affiche spéciale.
recettes, en imaginer quelques autres
•m'nn.°r les dépenses. ,. . , _
il est deux articles de dépenses diminuées
nue nous ne devons pas laisser passer inaper-
çus, car ils intéressent l'hospice et le bureau
de bienfaisance.
« Le budget, lisons-nous dans ie rapport Jup-
pont, comporte des réductions de dépenses.
» a) Subvention aux hospices civils, 100,000
ir en 1912 au lieu de 130,000 fr. en 1911.
» L'administration des hospices a demandé
à la Ville pour faire face à ses obligations
budgétaires, que Sa subvention municipale soit
portée de 130,000 fr. à 170,000 fr. »
Les nécessités budgétaires de la Ville exi-
gent une diminution de subvention de oO.OOO
francs. , . ,
Les obligations budgétaires de 1 hospice re-
clament une augmentation de la subvention
municipale de 40,000 francs.
Comment combiner ensemble ces nécessités
et ess obligations î M. Juppont ne nie pas les
besoins des hospices ; mais alors la Ville veut-
elle réduire la part des pauvres ? Revenons au
rapport ; son texte mérite l'attention ; le voici :
« L'administration municipale, considérant
que la situation déficitaire des hospices pro-
vient pour une très large part de l'iusufUsance
du prix de la journée payée pour l'entretien
des vieillards hospitalisés (les hospices ont
demandé le relèvement à 1 tr. 30 du prix de la
journée qui a été jusqu'ici de 1 fr. 15) et esti-
mant que l'Etat et le département devaient
légitimement participer au comblement de ce
déficit dans la proportion de C0 %, proportion
établie dans les charges provenant de l'assis-
tance aux vieillards, a demandé à l'adminis-
tration préfectorale .d'autorisés 1 le transfert au
compte de l'assistance des 200 vieillards en-
tretenus sur les ressources propres des hospi-
ces » Levari oculos meos ad montera de l'Etat.
Les familles à l'Etat ; les hospices à l'Etat ;
les bureaux de bienfaisance à. l'Etat ; tout à
l'Etat qui paiera, s'il paie, avec nos deniers.
» Des pourparlers, continue M. Juppont. sont
engagés en vue d'obtenir cette solution qui,
vraisemblablement, sera acceptée, ainsi qu'elle
l'a été à Nantes dans des circonstances identi-
ques, ce qui dégrèvera notablement le budget
général des hospices et lui donnera l'élasticité
nécessaire. Mais, si nos prévisions étaient in-
suffisantes, il sera facile à nos successeurs
d'inscrire au budget supplémentaire de 1912
les sommes nécessaires au fonctionnement des
hospices, en les prélevant sur les 200,000 francs
du nettoiement, si, comme on peut le présu-
mer, cette question est réalisée à bref délai
dans le cas contraire (voyons par où il faut
en finir), pour assurer l'exécution du budget
de 1912, il serait indispensable de voter des res-
sources nouvelles en cours d'exeicice. »
Nous y voilà I Pauvre budget supplémentaire
de 1912, tu crèveras sous le farix
Après les hospices, un tour de vis est donné
au bureau de bienfaisance.
« (B). — Subvention au bureau de bienfai-
sance, 65,000 francs en 1912 au lieu do 85,000 fr.
en 1911. »
La raison de cette réduction est la suivante :
« Depuis la révision du tarif des droite des
pauvres et l'attribution au bureau de bienfai-
sance des 3/10 du tiers du produit brut des con-
cessions de terrains dans les cimetières, lequel
était précédemment attribué en totalité aux
.plces (une bonne raison pour ne pas rédui
Faculté de Droit
M. Ginesty soutiendra sa thèse de doctorat
dans une dés sallee de la Faculté de droit sa-
medi prochain 6 de ce mois, à 3 heures du soir,
sur le sujet suivant : « « De la justice d'un im-
pôt sur la rente.»
Examens de doctorat
Une session d'examens s'ouvrira le 15 jan-
^ Qn s'inscrira et on consignera du 4 au 10
janvier.
Enseignement Libre et Chrétien
Préparation au certificat d'aptitude pédago-
gique Cours préparatoire chaque jeudi, à 2 h.,
rue Lakanal, 6, près du Lycée, Toulouse, sauf
aujourd'hui, 4 courant, à cause des vacances
du premier de l'an.
La conférence pédagogique est précédée do
l'explication d'un sujet de composition fran-
çaise. , . ,
Cours (avec correction des devoirs comprise)
G fr. par mois ; par correspondance, 1 franc
par devoir corrigé.
On. demande une sous-maitresse avec brevet
supérieur ou môme avec brevet élémentaire,
mais ayant l'expérience de renseignement,
pour une institution d'Agen.
Pour tous renseignements, .s'adresser au se-
crétariat de la revue l'Ecole, libre, 5, rue Baour-
Lormian, Toulouse. Timbre pour la réponse.
leur
1909
§064 fi
ibventton) le budget du bureau de
MI ce accuse annuellement un boni qui
it au 31 mars 1911, date de la clôture
seige 1910, pour une somme totale de
•
S01t > P°' ur los années 1907, 1908,
1910 , une moyenne annuelle de
. bd.
i 2 t nCM ? s a d,onc paru Possible, sans nuire au
bon fonctionnement des services de cet établis-
H^Jrff,
1 * ftoyentim communale
annuelle à 6a,000 francs, car les fonds des
contribuables no peuvent servir à effectuer d"s
placements destinés â accroître la fortune r^r.
somelie du bureau de bienfaisance. »
Vc
s 'Sf if c!oc . hc "'entend qu'un
burmu r i êt!MS ur î, nstant l'oreille au
«S J i'-enfaisancc, il nous dirait ce oui
ririTM^ESSI impnmtons au « compte mo-
paM£lK_t* S e «* établissement :
^« lîtSLr 8 ?' 1 * de •déficits successifs, le bureau
a éne? S 'fr e ,n fUt '/ n 1894