JEUDI 4 JANVIER 1012 Colza, — c«jiir:in!, 78 00; prochain, 78 50; i pr. -- (Vni'ni!'. ;o s»; tprxaiain, 40 c», 4 î>re ïik r?. 1:0 125; -itte mars, to'370. Ciô'turc, — i v aHns. .... courant, sa 35: rxrocJialn, lû 35; 4 prarolem, 89 20; 4 il» mare, 33 3u; tcmlnnce ferai". s, — COuraittt, K;.l>roe1i.iln, 20 20; ï premiers, M 50: •'• «h» ni :ir-, 35 30; tciHimjice Terme. Si («te». O0U1I .ml, '-2 Sf&j prochain, 22 56; 4 rpro mi
LE NUMERO 5 CENTIW Organe qxsotictfeiî. <strong>de</strong> I> taesent. » De M. Ju<strong>de</strong>t, dans XEclair -i •-« Les cent sénateurs qui seront dans quel- ques jours investis d'an mandat solennel, au- ront pour leurs débuts à repousser ou à accep- ter le traité franco-allemand. .» Il est indispensable qu'ils arrivent au \ Testameuî Ë Prêteur Ummm Paris, 3 janvier. Les dispositions du -processeur Lannelongue dont, nous l'avons déjà dit, le prési<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> to République est l'exécuteur testamentaire, sont aujourd'hui connues. M. Larnelonguie fait don à la Société locale <strong>de</strong>s mé<strong>de</strong>cins du Gers fédérée à l'Association' générale <strong>de</strong>s mé<strong>de</strong>cins <strong>de</strong> France, d'une rente mnueïïe <strong>de</strong> 500 francs pour les mé<strong>de</strong>cins malheureux ou leurs veuves. Cette disposition complète tme donation qu'il avait faite <strong>de</strong> son vivant à l'Association géné- rale <strong>de</strong>s médiecins <strong>de</strong> France, dont il fut le prési<strong>de</strong>nt pendant <strong>de</strong> longues années. A chacun <strong>de</strong>s bureaux <strong>de</strong> bienfaisance d'Auch, da Condom et <strong>de</strong> Gastéra-Verduzaii, M. LanÉelongue laisse une rente annuelle <strong>de</strong> 1.200 francs. d On sait que quelque temps avant sa mort M. Lannelongue avait donné à l'Etat les élé- ments d'un musée qui. sera, créé à Castéra-Ver- duzan, où il était né, et dont il était maire <strong>de</strong>pm's Uvoïte-six ans. Ce musée contiendra les. reproductions, soit par moulage, soit par photographie, <strong>de</strong>s plus belles œuvres dVe peinture et <strong>de</strong> sculpture <strong>de</strong> toutes les époques, ainsi que tous les objets <strong>de</strong> collection, meubles et tableaux, au milieu <strong>de</strong>s- quels vivait M. Lanneilongue. M. Lannalougue a accompagné ce don d'une somme <strong>de</strong> 180.000 francs pour les frais d'i-ns- tallatiion et d'entretien <strong>de</strong> ce musée qui portera son nom. La commune <strong>de</strong> Castéra-Vcrduzan bénéficie <strong>de</strong> nombreux autres legs. L'institution comme légataires universels <strong>de</strong> MM. Strauss, sénateur ; André Falltères flfe du prési<strong>de</strong>nt, et Branet, neveu du défunt, di- recteur général <strong>de</strong>s douanes au ministère <strong>de</strong>s finances, est faite à charge d'affecter tout ce qui restera <strong>de</strong> la fortune du professeur après le paiement <strong>de</strong>s dons, legs et charges, à la création cn France d'une œuvre internationale ou nationale d'ordre social ou scientifique. Aucune disposition n'a encore ôté prise a cet Lg Le testament du professeur Lannelongue so termine par cette phrase : , « Je <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à être enterre à Castera-Verdtt- zan, mon pays natal ; je désire qu'il ne soit prononcé aucun discours à mes obsèques, qui <strong>de</strong>vront être simples et avoir lieu dans ma commune, s [ DES LOCATAIRES Parie, 3 janvier. L'Agence Ilavas communique ia note sui- vante : - - ; A - « M Caillaux a reçu ce matin M. Aubriot, dé- puté du 15' arrondissement, qu i l'a entretenu <strong>de</strong>s inci<strong>de</strong>nts surven us dans ï immeuble <strong>de</strong> la rue <strong>de</strong> Dantziiï, habité par le eeorotaire du Syndicat <strong>de</strong>s locataires. _ Anhrin . m é M Caillaux a fait savoir a. M. Aubriot qu.1 avait donné à ce propos <strong>de</strong>s^ifitructtons. au se- crétaire- général -le ia .préfecture <strong>de</strong>pplioe Il a engagé le députe du la . a attra VOH fonctionnaire. „„,,„v^tr M PJUI- M CoiUaux avait refusé <strong>de</strong> recevoir M. uau- ohoii qui accompagnait M. Aubnot.. » LES OKEVîSiS Chez les mineurs belges Mons, 3 janvier. I es m^xeoTB An liorinage ont voté ia grève. Viiigt-cinq milto ouvriers ont déjà quitté le U Le^mouvement s'étend et on croit quo