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26 Janvier 1909 - Presse régionale - Mairie de Toulouse
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LE [UMÉROOCEimilES<br />
Crgane eîems« Sociale et<br />
iTION ET ADMINISTRATK>f
Mardi 1b <strong>Janvier</strong> <strong>1909</strong> MttÊmtu Bulletin Fimneier REVUE FINANCIERE SOMMAIRE. — La semaine) financière. — Le marasme <strong>de</strong>s affaires continue à Londres, Berlin et Paris. Ses causés à Londres et a Berlin. — Une intervention malliAureuse <strong>de</strong> l'Etat allemand. — A Paris : l'Emprunt russe à la Bourse cl à la Chambre. — M. caillamv défenseur <strong>de</strong>, l'épargne française, parle trop cl risque <strong>de</strong> se mettre sur la paille. — Revue du Marché. Pa.ris, 24 janvier. Marasme à Paris, marasme a -Barlin, marasme à Lomdirèa : voilà, tonte m être semaine ftuaueiètfe. Ni li'eimélioraition «lie notre Kitu.atioai . extérieure, ni l'Emprunt russe n'ont réussi à provouuiu' île niownrtlitf) .mouvnment d'affaires. Pourquoi ? Gefla tient à <strong>de</strong>s causes d'ordre «énéral d'une part et d oivlre (particulier d'autre part, las premières peuvent se résumer en <strong>de</strong>ux mots : la situation extérieure s'est'améliorée, «Se mm l'est pas encore délinitivennent ; l'Emprunt russe si immobilisé d'énormes diaponibiïttés et il n a pats réussi à provoquer un mouvement d'enthoueiasme parée que, iprécisémertt, l'atmosphère n'était (pas encore sttffiftaimiment rassérénée. Enfin, l'émigration <strong>de</strong> î'er en France dans les caisses <strong>de</strong> moire Banque a quelque peu ému le mainclué anglais. l,p.?i .secon<strong>de</strong>» Relèvent <strong>de</strong> >lta situation économique <strong>de</strong> chaque place. . Ja. situation" extérieure est incontestablement imeiile>ane. L'accord aastro-boogirols a dj-seàpé bien <strong>de</strong>s causlîs d'iuqniétu<strong>de</strong> et facilité Bingiu*ière.ment ta tâche <strong>de</strong> la diplomatie européerane. Les camunentaires <strong>de</strong> la presse viennoise à cet égand sertit typteiutss. Mais .le public, qui est mal remis <strong>de</strong> ses angoisses, n'est pas encore oomplètemeot traruquilfle. On sent SUT le marché malwré a'oetianiame habituel, le désir, le besoin d'une solution définitive qui. puisse dissiper à jamais oe rêve d'Orient par trop i-.inebnnwiwwqu© qui nous laisse enl'ore entrevoir quieéquets .fantômes désagréables «tir tes frontières serbes, monténégrines lut bulgare-, A un manient même, on a craint île se réveiller avec . une question Cretoise sur les bras. Les <strong>de</strong>ux Georges, Georges <strong>de</strong>, Grèce et Georges 1" tte. France — c'est Clemenceau que nous voulons dire — s'étaient si .bien compris qulo -la Triple Entente s'est émue et s'est poliment, mais nettement, refusée à les auiwe. La.p.! us gran<strong>de</strong> Grèce a vécu. Il n'y a,plus <strong>de</strong> qnesjt.iom. cnettoiise. .Mais, en iméme temips, la iruestion petnsaaiè provoquait oijaktues tiraiUanients entre Saint-Péteraboung et Londres, le aatbinét .ru PUS «e refusant é jouer à Téhéran te rôle <strong>de</strong> mentor cousitltutioiiiniell. Et .puis, Quelques ©omipenisiaftione îtanbas ne seraient .pas .mal venues. Tout ceîa inquiète. Ce sont <strong>de</strong>s nuagets légère, sains doute, niais ce n'est pas ieueo.re.le «aime après ta tempête. En fait, le point vérttatblermetnit intéressant pour, le mainché financier est celui-ci : « Où en sommes-mious avec KAJlemagnis '? En coquetterie, c'est indéniable. Deux couiamts se <strong>de</strong>ssinant <strong>de</strong>puis quelques jours dans notre .mon<strong>de</strong> po.iiiiique : l'un — il. n'est pas cteinenciste — voit dans un rapp.roebesneot sérieux ia seo2è vraie solution <strong>de</strong> la ifinestioin d'Orient et une évi<strong>de</strong>nte garantie <strong>de</strong> paix ; l'autre reste les yeux fixés sur Londres avec Gltemeinieèau. M. Piehom est perplexe ; son. cœur veut et ne veut .pas. Cependant, certaines' tridise râlions laissaient' entendre que M. RegnauH «importait dans sa poche ila clé du rapprochement. M. Pichan.slest empressé M 3e démentir dams te Temps <strong>de</strong> vendredi, avant mémo qu'on ait précisé ; donc, il y a *jùdtque chose. Et c'est oe quei'.iqne chose qu'on souipçOnni?. qui a été l'un <strong>de</strong>s plus fermes soutiens <strong>de</strong> lia Rente, en dépit <strong>de</strong>© arbitrages 'provoqués par .l'Emprunt russe, et aussi <strong>de</strong>s inquiétu<strong>de</strong>s souteveas par In. discussion <strong>de</strong> 1 impôt .oomfplémenteire à la Chambre. Bref, eemac qui sont hiirtii nedsetenés votent te situation. extérieure peut-être sous un mmleur jour que le gros publie, matlgré la possibilité d'une crise miiotetérielteen France. Par a-ilieurs. l'abaorption continue du métal jaune sur le marché <strong>de</strong> Londres par la Banque <strong>de</strong> France — 3.375.000 livres sterling pour le seul mois <strong>de</strong> décembre — d'une part, et <strong>de</strong> ["•autre l'imiinobitisatian <strong>de</strong> disponibilités considéra btee en vue <strong>de</strong> l'Bmpapunt ruse» en France ont provoqué à Londres un légea* resserremenit monétaire, à Paris un relèvement assez sensiiite ado prix do rangent. Londres a dû, pour ivumeher un peu d'or, élever le taux <strong>de</strong> son escompte înarawitanépicnt. La Statut espère qao cotte, mesure suffira. A Paris, le mouvement sera <strong>de</strong> courte, durée, les prochaines opérations anuoncées ne comportant pas une grasse absorption <strong>de</strong> disponible. Ces facteurs d'oçdstes divers n'ont pas été étrangers au peu d'importance <strong>de</strong>s oipérai ious qui, cette fois, ont aoeompagné l'émission <strong>de</strong> l'Emiprunt russe. A Loodree, il a été réparti 45 % à la souscription, coutnaireiinent u. ce qu'on avait <strong>de</strong> prime abord annoncé. Etant donné .le peu d'importance die la, tranche anglaise, c'est un échec qui s'est traduit par une baisse momentanée <strong>de</strong> 3/8 sorte pair. Ceci n'étant [pas fait .pour encourager kl spéculation à Paris. En <strong>de</strong>hors <strong>de</strong> ces causles d'ordre général, nos tans .grau<strong>de</strong>s places ont 'eu. é souffrir <strong>de</strong> causes secondaires moindres, mais non méprisables, h êtes 1 A lyondres. la publication <strong>de</strong>s statistiques économiques cause unis impression die malaise réel. L'année a été mauvaise pour le commence extérieur, mauvaise peur l'industrie métallurgique, .mauvaise aussi pour l'industrie du coton, la réduction même <strong>de</strong> la production n'ayant pas réussi à aimél.iorter les prix, et l'exportation sur les filés <strong>de</strong> canton et tes tissus étant en feinte diminution. A Berlin, les 'valeurs métallurgiques sent mieux, mais les chartMxnnage» sont médiocres. On est mal impressionné par ia situation financière <strong>de</strong> l'Empliie, qui s'aggrave chaque jour, et par le conflit économitriue 'qui vient d'écBater avec la Suisse. Ce conflit est un exempte tyipique <strong>de</strong> l'irréductibilité <strong>de</strong>s phénomènes économiques. La, SuLsste, itl'ésireuse <strong>de</strong> protéger ses farines nationales, avait frappé d'un droit d'entrée élevé les farines étrangères. L'Atlilemagne y avait répondu, pour détendre ses minotiers, par une '.pnkrniî à l'exiportation sur tes farines. Oïlère <strong>de</strong>s Suisses, qui se mettant à boycotter comme <strong>de</strong>s Turcs toutes te» céréates aililetmar.idies. A Parts on s'attendait, malgré tout, à une traieUDeurre semaine. Font <strong>de</strong>s eoqpériences précédantes, on estimait que l'emprunit provoquerait un certain courant d'affaires, mais à part quelques arbitiraiges peu imiporïantts dans l'ensembOe, on n'a .riten fait. Ce vi<strong>de</strong> <strong>de</strong> teantstucitionis en un ipaineffl. moment a surpris fies plus ^pessimiste* et lincpuieté Cfiiélqiues-w.ns. B'ancwis même y ont vu une manœuvre inqualifiaiCte et iFinitm'entiom successive à la tritbu.nie <strong>de</strong> la Chtambre <strong>de</strong> M. Pichon et <strong>de</strong> M. Gaiiliaux a qiud.'lque ;peu surpris. Nous ne patrtageons pas tes idées <strong>de</strong> M. Rauanet, même sur tes fonds Busses, et mous trouvons son intervention par- •tiiCMiViareBnetnt dgntaoée à la veille <strong>de</strong> l'emprunt, miais iles rélpoïises qu'elle a provoquées désarment notre rigueur d'autant plus facilemenî que. l'opétmtien s'est heureusement termànée, que les gros portefeuilles se sont largement ouverts (nous pourrions en citer), et qu'çïlies confirment ' pleinement ce que nous écrtrvions Jutndi <strong>de</strong>rnier, à jsdvoir : que nos étattCteementa.<strong>de</strong> ctrédtt ont rendu un fier sorvfce au ip««VKtrnunwviit. Ceci- m, d" H nous sottep» I f unis <strong>de</strong> féiteiiter en passant nos <strong>de</strong>ux LxceiuaB» i • ces. M. Pichon, dans .sa réplique pleine <strong>de</strong> d.lginiiité a pesé un nouveau principe nnainiciw que nous seidtmaStons un:: n»éqiitations <strong>de</strong> M. Ijetroy-Beiiuiiliieu : Se vote d'un empaunl pur une CiPruhiiice <strong>de</strong> dléjaiités est une gnwnltie suff* eante itn crédit' d'Une notion ! Quant à M. Oaiililaux, ié a clé nu lieu superiie et généreux 1 . D'or geste magnanime, PI a convié te petite épargne au banquet <strong>de</strong> l'emprunt tout, en affirunsint, i-nns sa. proipre respouiialiibté, « ipieliL'O n'était pas coimipiumise ». Avec notre sage confrère du. Journal <strong>de</strong>s Débats nous pensons que sa parole a dépassé sa pensée. Le pauvre hom*. mie risque, tt la moindre baisse du nouveau nictse, <strong>de</strong> se voir sur la pa tille <strong>de</strong>vaiht les revenilii-a.tioins <strong>de</strong> La .pe*.ite êjjflrgne ! Mais ce qui est plus grave, c'est qu'une intervention personnelle aussi vive tendrait à prouver que le ci mit. nie Ja. Ruisste avait besoin d'être. défendu, ce qui va à rencontre du but poursuivi, par notre ministre. En tout cas/M. Cailloux, qui guette à chaque coin <strong>de</strong> sou- ruii«ieux projet d'iimpot, sur le revenu l'épargne française, était-il bien l'homme déisiigné pour le rassuré»! Enfin, aihuettia-t-on qu'un giand empire comme la Russie mit besoin «Péire couvert d'un simjple nianiiteau inSinisibéiniol ? Non. C'est une mala/iiresse et un précé<strong>de</strong>nt dangereux... Soyons ind'.ti.'gents : c'est un lapsus « Wnguœ », ms.1s il Citso l'intempérance ! N'eût-li' pas été prias eimpfie. plus loyal et pFus sur, d« convier l'épargne française à l'emiprant en lui disant porjmqnoi et conïment la Bussic avait ëonsarvé la confiance <strong>de</strong> notre haute finance ? News ne doutons pas que cette <strong>de</strong>rnière n'ait éttiuidtié sérietisement la question avant d'ossa-. m er la responsabilité d'une pareiillîe opératiouf NO.HR nous félicitons <strong>de</strong> son heureuse tesroey mets le succès n'eût-a'l pas été pJtus franc, m l'opiinten puhJcque avait été saisi» <strong>de</strong> foutes. Des pièces dlu procès •? L'avenir du n.ouveaiu mardbê (put va s'éliabîir sur ces titres n'en eûtil pas été par avance mieux assuré ? Et pour term iner, est-il bien digne <strong>de</strong> nos ministres <strong>de</strong> voir utiillsea' en rSfîame dans <strong>de</strong>s journaux sérieux comme le Temps, sous <strong>de</strong>s rubriques « ad hoc ». à titre d'attestations, dies morceaux db leurs discours à la Oiiamtoo française î S'èst-'lâ pas quelque peu « Ttteane <strong>de</strong>s Shnkers » î Ce n'est, ce nous semib'ie, digne ni <strong>de</strong> nos ministres, ni. <strong>de</strong> la presse. Nous Ja croyons eppeCée à un rôle moins commercial dans <strong>de</strong>s opératioius <strong>de</strong> ce genre qui s'adressent aux. ressources vives <strong>de</strong> la France ! Sou intervention n'en sera que plus intelligente et, partant,. pUnis utiite aussi bien pour nos étabtfeeementSr financiers que . pcmr le public qui a te droit d'être largement éclairé. - MU animes. La BuJ.ga.nie se montre io> tnait d» dis.ttribttL.ti- un supplcttniJiut <strong>de</strong> ,1 lu M nyir iM tiosi. lionne tenue éga/lement <strong>de</strong> n Compagnie Générale îles Tramways et <strong>de</strong> la ComSagnie Parisienne, <strong>de</strong> Tramways. Pour ce qui est <strong>de</strong> la Thomson.-timi.ston., elle lustlfte sa. fetuneWi ipar les bons lésul'ita*; <strong>de</strong> ses li li â- tes qui -accusent pour 1908 une augmentation <strong>de</strong> 'ireceltes <strong>de</strong> 2.188.430 francs. NAVIUA'IION A l'eapçeption. <strong>de</strong>s Charg«ùrs Réunis qui pend 8 francs, toutes les Sociétés <strong>de</strong>. transports ansir.itimes enrugJstrcid d'iissez sensibles plus-values. La Compagnie <strong>de</strong>s Messageries Maritimes en (particulier est favorablement impressionnée p.ar les coniclliusions adoptées par le rafjcwrtenr yo,rw. nous les IXHUT. iiviiMMitaM-cnt d eux .mémo. L'avenir île rvvU' affaire nous nemOlv brilteiu' ce serait donc île moimsin <strong>de</strong> mettre ce tUi e en pi m te f eut! le. I.RS lUNDS llt'MSr.H Une repris.:, qniOMiua Iras mo<strong>de</strong>ste. ...',.«( q,-^ Bjntée cotte semaine sur les lm:* Eu;* ptnf*s tiu 1) btific-ynins soin dro fernimU digestifs retirés tte* frian<strong>de</strong>s <strong>de</strong>s ar.iuianx. Êiles sont Indiquées cuaU'c toiiles k-s affections ov l'eslyiuac el <strong>de</strong> ni]t< s!in, dyspepsies, gaslritcs, gasli algits, ôitautwns d'esiomae, ÉUiwiles simple el nftaeomembiaiiense, aigreurs, brûtiirés, - rendis, bailonnements, ulcères d'efetmnac, d : a^r!^ée« rebelles.' J'eii\uie franco domicile ta <strong>de</strong>nlî-boîle d'EnpejHases «onn» 3 fr. 25, b gran<strong>de</strong> fcoîte contre 5 fr. 25 cl un échantillon contre O fr, SO. j'envoie, graiis et franco sur <strong>de</strong>man<strong>de</strong>, les neuf brochures où sont exposés mes travaux <strong>de</strong> ttiéra{ievlhique ot d'hygiène, ainsi qu'un questionnaire, et consulte gratuitement tous les jours-, le jeudi excepté..<strong>de</strong> i heure à 3 heures, eu mou cabinet du 5, square -<strong>de</strong> llessine, à Paris, cl par eorrcsponàsRC». Dep tsPh" Par!stenneThomas,7,place Lnfajrelte a ToalotsEe, — P'« Berdot à Poix. — M. 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Paris courir leo magasins et Ses étalages eût été une cruauté i'éeUff. 11 fut décidé quo toute la famille quitterait les Charmes pendant cinq ou six •ours el s'installerait confortablement à [Hôtel Continental. Do la, Mine d'AÎreimpe pourrait évo> ïuer dans Paris sans trop d'efforts et nom trop <strong>de</strong> désagréments. L'adniinislration <strong>de</strong> l'hôtel prévenue, rapipartement retenu et préparé, les do DU'.-ttique.s essentiels expédiés à l'avance, .tous les hôtes <strong>de</strong>s Charmes quitteraient la villa, après le dîner, pour ne pas avoir h subir la chaleur du jour et arriveraient à Paris vers les dix heures. Au jour dit, sitôt le café servi, les gens amenèrent <strong>de</strong>vant lo perron un grand landau découvert, attelé do <strong>de</strong>ux bras duquel piaffait un trotteur <strong>de</strong> premier ordre. C'était Henri d'AIreimpe qui conduisait le dog-car pour éclairer la route. Au moment où il allait mettre le pied sur le marche-pied, il se sentit tiré par un pan <strong>de</strong> son veston. C'était Brien. — Monsieur Henri, dit-il au jeune créole, veuillez bien me faire une petite place. Pas vrai ? Faut pas que je laisse mon capitaine tout seul. Vous savez bien que, loin <strong>de</strong> lui, je ne me ferais pas une once <strong>de</strong> bon sang. Et je vous promets d'être convenable <strong>de</strong> toutes les façons. Vous allez dans « une » hôtel, ainsi que m cm ca.piki.ine ; pour « lorss », je renonce à « Juliette » et à d'autres petits agréments qui ont bien leur charme. Et ce disant, bien à regret, Yves-Marie Brien envoya, promener le pruneau que, <strong>de</strong>puis le matin, il avait à poste fixe. Obligé <strong>de</strong> constater ces importants sacrifices, Henri d'AIreimpe ne fit point d'objections à la pétition du vieux matelot. ' Il l'aimait beaucoup, d'ailleurs, le vieux dur-à-cuire, ainsi qu'il le nommait dans ses moments do belle humeur. Donnant l'ordre à son domestirpie qui <strong>de</strong>vait ramener le dog-car d'occuper lo siège <strong>de</strong> <strong>de</strong>rrière, il mit Brien à côté <strong>de</strong> lui ; et, baissant les rênes, le trotteur partit à gran<strong>de</strong> allure, tandis que Brien, tout joyeux, disait au complaisant créole : — Et puis, voyez-vous, monsieur Henri, je veux être là, parce que si <strong>de</strong>s jaunes ou <strong>de</strong>s blancs veulent regar<strong>de</strong>r <strong>de</strong> trop pics <strong>de</strong> quelle couleur bous avons les yeux, ils trouveront le père Brien qui n'est pas trop moisi, et c'est pas pour dire, mais jo suis convaincu que vous compliment, lorsque vous l'aurez vu se | La route serpente en faisant diverses dau dont il apercevait les lanternes, qui courtes ; et le danger était terrible si un zigzaguaient pareilles à un homme ivre, cheval emporte ne suivait pas les sirrao* , Dans une seule étreinte, recornartansttés du chemin. Il se précipiterait du j dant leurs âmes à Dieu, Mme S'Alreim- Etu<strong>de</strong> <strong>de</strong> M« A. GU1I.MI.N. avoué a. <strong>Toulouse</strong>, roe Alsace-Lorraine, n» 43. A VENDRE Au tribunal, civil <strong>de</strong> Touiount Le jeudi 11 février 13S9, à midi et <strong>de</strong>mi Une petite propriClé dit* j » Villa Margueritte », sise a <strong>Toulouse</strong>,quartier Montandran local <strong>de</strong> la Béarnaise comrun sée <strong>de</strong> maison d'habitation, jardin, vigne, verger et [>e»e. d'une contenance do 6s tirea 61 centiares environ. Mise à prix 5.000 fr. Pour extrait : ! GUII.M1N, avoué, si^nc. PLUS DE FRAIS A R!» UNION JUDICIAIRE. M), ht* Alsace-Lorrain*, m, TOUTOU- SE. Prend à ses (rei.s créances, etc.. etc. proti?ï, succession, liilce. superix» carrossiers, ot un dog-car dans les i serez le premier à lui adresser volré patiner sous les basses voile Les <strong>de</strong>rniers préparatifs terminés, Mme d'AIreimpe, poussant un .profond soupir, se décida à monter en voiture. — Ah ! chère petite, dit-elle à Nïama, c'est bien pour toi que je quitte mes chères habitu<strong>de</strong>s, c'est une bien gran<strong>de</strong> preuve d'affection. Les chevaux partaient, franchissant la grille, et s'avançaient au grand trot sous les allées feuillues du parc. Nathalie était assise à côté <strong>de</strong> sa mère, tout auprès <strong>de</strong> Nïama ; Raoul occupait le siège <strong>de</strong> <strong>de</strong>vant. L'aiielage semblait singulièrement surexcité ce soir-là. Selon te style consacré, le cocher en avait plein les mains. A chaque instant un cheval pointait, rompant son allure, mordant son mors, couvrant son poitrail d'écume. — Mais qu'ont donc ces bêtes ? <strong>de</strong>manda Mme d'AIreimpe au cocher. — Je ne sais pas, madame, les chevaux sont affolés. J'ai, à tout moment, pe.uv qu'ils ne me gagnent la main et ne s'emballent. Ils ont cependant mangé et bu comme d'habitu<strong>de</strong>. Je n'y ecnrpioids rien. — Voulez-vous que nous retournions, madame ? <strong>de</strong>manda Raoul, car lui-même commençait à concevoir une secrète inquiétu<strong>de</strong>. Mmo d'AIreimpe hésita pendant l'espace do quelques secon<strong>de</strong>s. — C'est impossible, répond it-clle,. Henri qui nous <strong>de</strong>vance it la première station twait trop inquiet. Continuez, Joseph, seulement, allez aussi doucemeiM que possible. Je n'y convpiviiuls i qu'il était obligé, <strong>de</strong> fa,irë"7a bête "déTàrien, <strong>de</strong>ux bêles si sages d'ordinaire ! cha une telle rua<strong>de</strong> qu'elle l'envoya roit- A cet instant, on afcivàit à la hauteur , 1er SUl. ia route, qui domine, la Seine et toutes les pentes H se releva tout meurtri, les mains t u- qui dévalent jusqu'à Port-Marly. 1 sanglantées, courant éperdu après le lauhaut <strong>de</strong>s rochers et se broierait cent fois avant d'arriver ù la berge. La nuit étant venue, les voyageurs apercevaient les lumières do Port-Marly. Tout à coup, <strong>de</strong>s détonations partirent à droite et à gauche dans le taillis bordant la route, Des fusées, <strong>de</strong>s feux <strong>de</strong> bengale s'allumaient avec <strong>de</strong> violents éclats. Les chevaux se dressèrent en poussant un renâcleiment d'effroi, le coeher, impuissant à les maintenir, fut précipité à bas <strong>de</strong> son siège et l'attelage emporté roula comme un torrent sans entraves le long <strong>de</strong> la corniche avec <strong>de</strong>s heurts et <strong>de</strong>s chocs terrifiants. M. do Rlignae se cramponnait, gagnait e siège <strong>de</strong> <strong>de</strong>vant, ù la place où le malheureux cocher venait d'être jeté sur la route, et s essayait <strong>de</strong> ressaisir les «ui<strong>de</strong>s <strong>de</strong>s chevaux. Vains efforts, elles leur bat! nient les flancs. Nïama n'avait pas dit un mot pour le retenir. Elle avait pris les mains <strong>de</strong> Mme d'AIreimpe plus morte que vive Nalha.lie, affolée elle-même, répétait seulement : « Oh ! mon Dieu ! oh ! mon Dieu ! » Raoul, voyant la course <strong>de</strong>s bêtes furieuses ci affolées augmenter encore <strong>de</strong> vitesse, tenta un effort désespéré. ' Il s'élança à corps perdu, essayant <strong>de</strong> sauter en selle sur lo porteur. Mais bien qu'il eût calculé avec précisioo le bond pe enlaçait ses <strong>de</strong>ux filles. Elles comprenaient que toutes les trois elles étaient perdues sains ressources. Les chevaux aveuglés filaient droit. Quelques instants encore et ils arrivaient à la crête, la roule faisant à cet endroit un cou<strong>de</strong> aigu. Là, tout l'attelage <strong>de</strong>vait se précipiter dans le vi<strong>de</strong> et se broyer sur les roches. Une main nerveuse saisit les chevaux par le mors. Cet homme surveillait l'arrivée <strong>de</strong> la voiture <strong>de</strong>puis quelques instants. 11 avait entendu les détonations. Alors il avait retroussé ses manches. Il s'était arc-lxnitô sur ses jarrets, et, bondissant comme lancé par tm puissant , ressort, il s'accrochait aux mous, aux gourmettes, tordant les naseaux du porteur. Les <strong>de</strong>ux chevaux, saisis et arrêté* au milieu <strong>de</strong> leur élan, se cabfèrent et s'abatlirent, tandis quo la flèche et le timon, craquant sur place, obligeaient la voiture a verser. Les trois malheureuses femmes icisaient sur la route. Par bonheur, elles avaient plus <strong>de</strong> peur que <strong>de</strong> mal. Quelques contusions sans gravite. Seule, Nlajfha <strong>de</strong>meurait sans connaissance : sa tête avait porte contre un tronc d'arbre. L'inconnu s'était avancé vers elle et la soulevait dans ses bras avec une pcécaution infinie. Des mots inarticulés sortaient <strong>de</strong> B48 lèvres, tandis que do sa poitrine B'échappai!, un rùle. Celui qui venait d'accomplir cet acte Sit d^L^' ,rê ] l,e el d '° v 'S»eui r snperba était cependant un vieillard ,r ,l!, et wi mis d ?î n,M un bûcheron, vêui m\ \ J le viM,w «Bsimulé soûl un large chapeau <strong>de</strong> feutre iv!e^!nï aa ' , U ^ait Parler à Nïanw a\ec une mtonaluon suppliante et douloureuse. Mme d'AIreimpe o N ' tha e ren^rciaient av.r <strong>de</strong>s larmes dÏÏ 3 v^. 1 . h
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