BIBLIOGRAPHIE HIPPIQUE - Centre de documentation équestre

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pu vendre quelques-uns de ses produits
que« parce qu'il a trouvé un Anglais qui
'< s'estprèté à en fairepasserplusieurs pour
« être de son pays ».
Il demande une loi établissant la conscription
des chevaux, la remonte faite
exclusivement en France, l'exemple
donné par les hautes classes de la Société,
•etc.
Mémoire à Messieurs les M cm tires
composant la Société d'Encouragement
pour l'amélioration de la Race
chevaline dans le Département de
l'Aisne, par M. le Comte de La-
Tour- Du- Pin-Chambly. Orléans,
lmp. Alphonse Gatineau, S. D.
(1847)-
Broch. in-8° de 23 p.
C'est la continuation de son réquisitoire .
contre le conseil général de l'Aisne qui
persistait à encourager exclus-vement la
production du gros cheval et l'emploi de
l'étalon percheron, et qui avait été jusqu'à
exclure de toute prime et de tout
prix les chevaux autres que ceux de car-
rosse et de labour, en enlevant tout encouragement
au cheval de selle et par
conséquent au cheval de guerre.
Les brochures du C te de La Tour du
Pin, dont cette nomenclature est peutêtre
incomplète, sont devenues très rares,
sauf la première, et c'est regrettable, \
car elles peuvent être encore utilement
consultées.
LA TOUR SA1XT-JAMES (R.).
Au Pays du Galop, par R. La Tour !
Saint-James. Paris, F. R. de Rude- {
val, 1907.
1 vol. in-18 de 1 30 p.
L'ouvrage contient de nombreux passages
sur l'industrie chevaline en Argentine.
LAUGIER, SIEUR DE PORCHÈ-
RES (Honoré 1 ) voy. CARROUSELS
DE 1612.
LAULANHIER (Armand-Charles-Auguste
DE) .
Officier de cav' e français. 1799-18...
— Entré au service en 1814 comme gendarme
de la Garde du Roi (rang de
sous-lieut m ) ; cap nt ' au 6 e Lanciers
en 1831 et mis, la même année, en
réforme sur sa demande. Il chercha plus
tard inutilement à reprendre du service.
Projet de conservation de la
Race chevaline dans le Perche, par
A. de Laulanhier, Propriétaire cul-
— LAU
tivateur, ancien Capitaine de Cavalerie.
Versailles, lmp. Montalant-
Bougleux, 1843.
Broch. in-8° de 15 p.
L'auteur demande qu'on n'envoie pas
dans le Perche d'étalons de races étrangères,
sauf quelques arabes * à cause de
« la grande analogie entre l'arabe et le
« percheron »; qu'on cherche à fixer
dans le pays, au moyen de primes, les
meilleurs reproducteurs des deux sexes,
et trace le plan d'une association d'élevage.
Plan d'établissement de Haras
et de Ferme-modèle dans le Perche,
par A. de Laulanhier, Propriétaire
cultivateur, ancien Capitaine de
cavalerie Versailles, lmp. Montalant-Bougleux,
18.13.
Broch. in-8" de 22 p.
Dans cet opuscule, Laulanhier exprime
l'idée, alors très répandue, et bien
démentie depuis par les faits, que les
chemins de fer vont supprimer presque
entièrement les débouchés pour les éleveurs
de trait léger, « les services