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lyon people janvier 2015

Malheureusement, ceux qui réagissent sont traités de réactionnaires par le progressisme triomphant loué par les médias bien-pensants. Des médias alimentés par une AFP omniprésente. Quand vous lisez sur votre tablette, les applications du Monde ou du Figaro, du Parisien ou de Libération ou encore du Progrès, regardez bien, vous vous apercevrez que plus de la moitié des infos sont signées AFP. Une Agence France Presse dont les journalistes sont, pour la plupart, de vieux militants trotskistes ou leurs enfants. Des trots-kystes malheureusement cancéreux dont les métastases se diffusent insidieusement dans l’ensemble de la presse avec les conséquences que l’on imagine sur l’opinion publique et sur notre société qu’ils haïssent et ont décidé de détruire. Et si nous réagissions ! Méfions-nous cependant des démagogues populistes qui, par réaction justement, pourraient nous entraîner vers pire encore. Bonne année, quand même !

Malheureusement, ceux qui réagissent sont traités de réactionnaires
par le progressisme triomphant loué par les médias bien-pensants.
Des médias alimentés par une AFP omniprésente. Quand vous lisez
sur votre tablette, les applications du Monde ou du Figaro, du Parisien ou
de Libération ou encore du Progrès, regardez bien, vous vous apercevrez
que plus de la moitié des infos sont signées AFP. Une Agence France Presse
dont les journalistes sont, pour la plupart, de vieux militants trotskistes ou leurs
enfants. Des trots-kystes malheureusement cancéreux dont les métastases se
diffusent insidieusement dans l’ensemble de la presse avec les conséquences
que l’on imagine sur l’opinion publique et sur notre société qu’ils haïssent et
ont décidé de détruire.
Et si nous réagissions ! Méfions-nous cependant des démagogues populistes
qui, par réaction justement, pourraient nous entraîner vers pire encore.
Bonne année, quand même !

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MAX<br />

CHAOUL<br />

« Non, je ne suis<br />

pas mort ! »<br />

Après sa descente aux enfers, Max Chaoul<br />

entame un nouveau départ. Tel un Phénix qui<br />

renaît de se cendres, le créateur <strong>lyon</strong>nais n’a<br />

pas dit son dernier mot et entend bien continuer<br />

à nous faire rêver.<br />

Par Sophie Guivarch - Photos : Saby Maviel<br />

N<br />

on je ne suis pas mort et je tiens à le faire savoir ! » Il est<br />

libre Max et n’a rien perdu de sa verve légendaire.<br />

C’est dans son fief de la rue François Dauphin, là<br />

où tout a commencé, que je retrouve un homme<br />

attachant et combatif qui revient, non sans émotion,<br />

sur ses heures de gloire et son effondrement il y a tout juste un an.<br />

La fin d’une histoire, un cauchemar dont il se relève avec amertume<br />

et quelques kilos en trop ! Visionnaire dans les années 70 avec ses<br />

collections réalisées pour Christian Josse, le créateur de la marque<br />

Clémentine, véritable institution <strong>lyon</strong>naise durant de nombreuses<br />

années, lance sa propre griffe éponyme en 1995. Il s’installe derrière<br />

la place Bellecour au 7 de la rue François Dauphin et dessine des<br />

premiers modèles estampillés Max Chaoul. Le succès est au rendezvous,<br />

plébiscité pour ses robes de mariées couture au style affirmé,<br />

créatif et inspiré. Audace et élégance se marient. Le corset se lace<br />

dans le dos, le bustier sublime la femme tandis que fleurs, plumes,<br />

dentelle et papillons ornent les créations dans la plus grande tradition<br />

de la haute couture. Les grandes familles <strong>lyon</strong>naises (Mérieux,<br />

Bocuse…), les personnalités du show-biz (Kylie Minogue ou encore<br />

Mélissa Theuriau) confient au créateur <strong>lyon</strong>nais la réalisation de<br />

leur robes de mariées. Une renommée qui dépasse les frontières.<br />

« Je me rappelle encore de ce prince saoudien qui me fit venir en jet<br />

privé à Dubaï pour habiller sa fille. » Et des anecdotes, Max Chaoul<br />

n’en manque pas, de la robe de mariée réalisée en filet tricoté pour<br />

un mariage sur un îlot à la cliente dont il a confectionné les robes de<br />

ses cinq noces ! Des années de gloire et de faste qui ne laissaient pas<br />

présager une lente descente aux enfers.<br />

« JE ME SUIS RETROUVÉ<br />

TOTALEMENT SEUL<br />

et peux compter sur les doigts de la main<br />

CEUX QUI M’ONT SOUTENU. »<br />

Lyon<strong>people</strong> / Janvier <strong>2015</strong><br />

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